samedi 11 janvier 2020

Madame Caroni - chapitre 28

Clémence avait tout juste eu le temps de s’immobiliser au coin que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Maïlis et Camille entrèrent, hésitantes. Elles avaient quelques minutes de retard. Madame Caroni décida de ne pas leur en tenir rigueur.
Maïlis était inquiète quant aux conséquences de leur retard. Elle avait dû insister auprès de Camille pour qu’elles soient à l’heure au rendez-vous. Maïlis savait que si elles désobéissaient une nouvelle fois, Madame Caroni viendrait les chercher et qu’elle n’aurait aucun mal à les en punir.
Ce serait probablement une descente des trois étages avec pertes et fracas, pour toutes les deux, certainement après avoir reçu une première fessée. Elle ne tenait pas à vivre cette épreuve qui se déroulerait certainement la culotte baissée. Maïlis avait vu Camille se déplacer dans l’ascenseur en tenue des plus légères, elle ne tenait pas à vivre la même expérience.
Elle n’avait convaincu Camille de venir mettre ses fesses à disposition de la rigueur de main de Madame Caroni qu’en lui démontrant l’absence d’alternative.
« Si tu ne descends pas chez Madame Caroni, que vas-tu faire ? Rester ici ? De combien de temps crois-tu qu’elle aura besoin pour te débusquer et te ramener à la raison ? Je parie que ça ne prendra pas plus de dix minutes !
– Non, évidemment, répondit Camille, je ne resterai pas ici.
– Ah bon ? Et où vas-tu aller ? »
Camille resta silencieuse. Elle n’avait pas de réponse satisfaisante à cette question. Chez elle ? Si on mettait de côté le fait que c’était Madame Caroni qui en détenait les clés, ce serait le premier lieu où sa tutrice irait la chercher.
« Ma tutrice, se dit-elle. De quel droit s’est-elle arrogé cette fonction ? Je ne lui ai rien demandé ! »

C’était vrai. Mais là n’était pas la question. Madame Caroni avait jugé que Camille devait être placée sous sa responsabilité et elle s’en était donné les moyens. La jeune femme n’avait pas eu son mot à dire. Madame Caroni ne lui avait pas demandé son avis et la pensée même de le faire aurait sans doute laissé sa tutrice perplexe. Demander son avis à une personne, même si elle était majeure, avant de la punir, quelle idée saugrenue ! Même celles qui avaient le plus besoin d’une tutelle sourcilleuse, auraient refusé. Totalement contre productif !
Camille savait tout cela sans l’admettre vraiment. Elle avait attendu sa majorité pour s’émanciper de la tutelle familiale qui lui pesait depuis le début de son adolescence. Alors qu’auparavant, elle les acceptait sans problème, les reproches que sa mère faisait lui étaient devenus insupportables. Ils étaient très fréquents et interminables, les laissant toutes les deux avec un sentiment de frustration qui grandissait au fur et à mesure des années. Leurs différents n’étaient jamais évacués, chacune restant sur ses positions sans véritable moyen de les imposer à l’autre, ni de la faire changer d’avis. Cela donnait des semaines de bouderies réciproques, rendant irrespirable l’atmosphère du foyer familial.
Dès ses dix-huit ans passés, Camille avait cherché à se construire une vie professionnelle loin de ce carcan. Cela faisait quatre ans maintenant qu’elle était arrivée à La Villeneuve sur Horto et elle avait pensé avoir définitivement gagné son indépendance.
Cela n’avait pas été aussi simple qu’elle l’avait imaginé. Le travail comme vendeuse à temps partiel dans une librairie papeterie lui permettait tout juste de vivre. Elle avait dû rabattre ses prétentions sur une chambre de bonne au sixième étage d’un immeuble bourgeois. Ce n’était pas ce dont elle avait rêvé, mais impossible de faire autrement. Ses moyens ne le lui permettaient pas.
Elle s’était retrouvée isolée dans une ville où elle ne connaissait personne. Ce n’était pas la propriétaire du magasin qui aurait pu faire le lien avec d’autres personnes. Camille avait l’impression d’être tombée sur une réplique de sa mère, aussi exigeante. Cela l’avait agacée au début, mais l’intransigeance de sa patronne l’avait obligée à une certaine assiduité ce qui n’empêchait pas de fréquentes remarques sur la qualité de son travail et sur ses tenues jugées trop négligées.
C’était lors d’une sortie dans une boite de nuit qu’elle avait rencontré Maïlis. Les deux femmes traînaient, chacune de son côté, leur mélancolie d’une vie très éloignée de leur rêve. Elles s’étaient plu tout de suite et elles étaient devenues inséparables. Leurs sorties nocturnes étaient devenues leur point commun le plus évident. Elles avaient progressivement augmenté au point de leur poser quelques soucis dans leur activité professionnelle, par manque de sommeil. Elles savaient toutes deux que ce rythme de vie n’était pas tenable à long terme, mais aucune ne voulait prendre l’initiative d’y mettre fin de peur que l’autre rompe la relation d’amitié qu’elles avaient construite.
La rencontre avec Madame Caroni avait été un choc. Elle se retrouvait de nouveau sous la coupe d’une personne qui avait environ le même âge que sa mère, mais dont les méthodes différaient du tout au tout. A vingt-trois ans, elle avait reçu la première vraie fessée de sa vie. Il n’y avait pas eu de négociation, pas de dispute.
Elle s’était retrouvée munie d’une tutrice sans avoir vraiment compris ce qui lui arrivait. Celle-ci lui avait donné autant de fessées qu’elle l’avait décidé et les tentatives de Camille pour s’y soustraire s’étaient conclues par une aggravation de la sanction. Madame Caroni l’avait punie de plus en plus sévèrement et cela risquait de durer jusqu’au soir.
Elle attendait avec impatience de retrouver sa liberté et la perspective d’être punie toute une après-midi ne lui plaisait pas du tout. Elle cherchait désespérément comment éviter toutes ces fessées qui lui avaient été promises.

Où aller ? Oui, c’était un vrai problème.
« En tous les cas, je ne resterai pas ici !
– Tu vas faire quoi ? Marcher dans la rue toute l’après-midi et après ? Il faudra bien rentrer. Le seul endroit où tu pourras aller c’est ici et c’est là où Madame Caroni t’attendra. Tu imagines la fessée que tu auras ? »
Camille imaginait très bien ou plutôt elle n’imaginait pas vraiment et c’était ce qui était effrayant.
« A moins que tu t’en ailles pour de vrai, que tu quittes la ville parce que autrement elle te retrouvera, tu seras bien obligée de recevoir ta fessée. Tu veux partir définitivement ?
– Non, bien sûr !
– Moi non plus, je ne tiens pas à ce que tu partes. »
Cet aveu réciproque avait fait fondre les dernières résistances de Camille.
« Allez, viens, on y va. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer. »
Comme son amie ne bougeait toujours pas, Maïlis la prit par le bras et elle la poussa vers la sortie sans que Camille ne protestât au-delà d’une grimace de mauvaise humeur.
« Dépêche-toi, on est déjà en retard ! »
Maïlis n’avait lâché Camille durant le trajet qui les amena devant la porte de l’appartement de Madame Caroni. Ce n’est qu’arrivé là qu’elle libéra le bras de Camille.
« On y va ? »
Camille avait hoché la tête d’un tout petit geste de Maïlis interpréta comme un assentiment. Elle sonna.

« Lorena, peux-tu venir me donner un coup de main ?
– Oui Maman. J’arrive tout de suite ! »
Madame Caroni sourit. Pour ce qui était d’un coup de main, c’était plutôt sur les fesses de l’une de ces deux demoiselles qu’il serait donné. Un seul ? Non, il y en aurait bien plus d’un. Lorena fit son apparition.
« J’ai une fessée à donner à chacune de ces demoiselles. Tu en prends une ?
– Oui, bien sûr. Laquelle tu préfères ?
– Je ne sais pas, aucune importance. Choisis !
– Les fesses de Camille ont déjà fait connaissance avec ma main. Maïlis ?
– Tu as entendu, Maïlis ? Va voir Lorena. »
Madame Caroni plaça Camille sous son bras. Elle releva la jupe et lui baissa la culotte. Pendant ce temps-là, Lorena en avait fait autant avec Maïlis.
« Prête ?
– Quand tu veux ! »
Elles donnèrent la première claque de façon parfaitement synchrone. Puis un léger décalage s’installa, la main de Lorena claquait les fesses de Maïlis comme en écho à la fessée que venait de recevoir Camille.
Les cris de Camille furent les premiers à perturber l’harmonie qui ressortait du début de cette double fessée. Maïlis la rejoignit presque aussitôt. Madame Caroni et sa fille fessèrent jusqu’à ce que les plaintes des deux filles deviennent des cris de désespoir. Les fesses étant bien rouges, elles pouvaient mettre un terme à cette première correction de l’après-midi. Madame Caroni s’arrêta en premier. Lorena, emportée par son élan donna encore deux claques à Maïlis avant d’imiter sa mère.
« Pense-tu que ça ira, demanda Madame Caroni à Lorena ?
– Cela va donner de quoi penser à ces deux péronnelles pendant quelques minutes. Elles rejoignent Clémence au coin ?
– Naturellement ! »
Une dernière claque sur chacun des derrières.
« Allez, filez au coin toutes les deux ! »
Les filles trottinèrent vers le lieu de leur pénitence sans demander leur reste. Elles y prirent la position qu’elles connaissaient maintenant sur le bout des doigts. Le calme revint aussitôt.

Lorena et sa mère s’assirent l’une en face de l’autre dans le séjour.
« Tu laisses ces trois-là au coin pendant longtemps ?
– Toutes ne vont pas avoir le droit au même régime, bien qu’elles soient punies toutes les trois pour toute l’après-midi. Clémence a besoin d’apprendre à obéir. Elle va rester au coin jusqu’à sa prochaine fessée, dans une heure. Après, il faudrait qu’elle aille chercher toutes les bouteilles qui contiennent de l’alcool et qu’elle les ramène ici. Je ne veux plus qu’il en reste une goutte chez eux. A partir d’aujourd’hui, ce sera abstinence totale.
– Veux-tu que je m’en occupe ?
– Je veux bien que tu t’en charges. Je ne vais pas être beaucoup là. Il faut que j’emmène Camille chez elle pour faire un tri dans les affaires qu’elle va ramener ici. »
Malgré la douleur qui embrasait ses fesses, Camille était toute ouïe. Ramener des affaires ici, mais pour quoi faire ? Des décisions qui la concernaient, avait été prises par Madame Caroni sans qu’elle en connaisse le premier mot. C’était frustrant ! Elle se retint à temps de taper du pied par terre pour faire connaître son désappointement.
« Quant à Maïlis, elle a sa punition à refaire. Ça pourrait donner une demi-heure de lignes à copier après une demi-heure au coin pour faire suite à chaque fessée. Si elle n’a pas fini ses six-cents lignes d’ici ce soir, elle poursuivra demain matin. Tu la surveilleras ?
– Oh oui, pas de souci. Si je comprends bien, il faudra que je donne la fessée à Clémence et à Maïlis, une fois par heure.
– Si tu voulais le faire, ça m’arrangerait.
– Pas de problème, ça ne me prendra pas beaucoup de temps. A la main seulement ou tu veux que j’utilise la règle ? »
Les trois filles retinrent leur souffle. L’état de leurs fesses en fin d’après-midi dépendrait beaucoup de la prochaine réponse de leur tutrice.
« La main suffira ! Je crois qu’elles gardent toutes les trois un souvenir cuisant de la règle. Il suffira pour l’instant. Sauf si l’une des deux te faisait des difficultés, bien sûr. Dans ce cas-là, tu n’hésites pas. »
Elles sortirent de la pièce, laissant les trois punies à leurs réflexions.

Madame Caroni et Lorena vaquèrent à leurs occupations. Les trois autres n’en avaient aucune sauf si on veut considérer qu’observer l’angle du mur à moins de dix centimètres de ses yeux, constitue une occupation. Cela s’en rapprochait notablement puisque aucune d’elles ne faisait autre chose.
« Camille, on y va. Prépare-toi ! »
Camille se retourna mais elle resta face à Madame Caroni sans bouger. Se préparer ? Que devait-elle faire ?
« Remonte ta culotte, nigaude ! Tu ne vas pas aller jusqu’à chez avec une culotte abaissée ? Moi je veux bien, mais cela ne va pas être facile pour marcher. Comme tu veux ! »
Camille fit aussi vite qu’elle put pour se reculotter.
« Lorena, n’as-tu pas un manteau que tu pourrais prêter à Camille ? »

Madame Caroni pénétra dans la chambre de Camille. Elle avait été impressionnée par la vétusté du dernier étage. Autant les quatre premiers étaient rutilants et le cinquième dans un état passable, autant le dernier, celui où ne se trouvaient que des chambres qui étaient utilisées par les domestiques quand les habitudes des habitants des premiers étages nécessitaient une nombreuse domesticité résidant sur place, était dans un état lamentable. Ce n’était pas seulement une question de peinture qu’il fallait rafraîchir, mais aussi de propreté. Les odeurs désagréables qui en émanaient étaient explicites.
L’intérieur de la chambre était à l’avenant. Camille dormait sur un matelas posé à même le sol qui était recouvert d’une moquette à la propreté douteuse. Le lit n’était pas fait. Des vêtements visiblement sales jonchaient le sol. Madame Caroni souleva, entre deux doigts, une culotte sur laquelle elle avait failli marcher.
« Dis-moi, elle ne sembla pas très propre. »
Camile secoua la tête. En partant de chez elle, le matin-même, l’état de sa chambre lui avait paru normal. Avec le regard critique et exigeant de Madame Caroni, elle paraissait loin d’être acceptable.
« Tu n’as pas d’endroit où tu mets tes vêtements sales ?
– Non Madame. Je… je les laisse là. »
Madame Caroni poussa un tas de vêtements du bout du pied. Trois cafards en panique s’en échappèrent.
« Je vois, fis Madame Caroni. »
Elle fit, du regard, le tour de la pièce.
« Je ne vois ni les toilettes, ni la salle de bains. Où sont-ils ?
– Dehors, de l’autre côté du couloir. »
Madame Caroni n’eut pas besoin de plus d’indication pour les trouver. L’odeur la guida. Il y avait un réduit qui ne fermait que par un verrou branlant, qui contenait une cabine de douche qui avait fait son temps depuis longtemps et un lavabo jauni et une cuvette de toilette d’où provenait l’odeur la plus nauséabonde.
« Qui nettoie cet endroit ?
– C’est nous, Madame.
– Qui ça, nous ?
– Les locataires de l’étage. A tour de rôle.
– Et toi, quand l’as-tu nettoyée pour la dernière fois ? »
Camille baissa les yeux. Elle voyait son lieu d’habitation avec de tout autres yeux que ceux avec lesquels elle l’avait regardé ce matin. Elle avait honte de le montrer à Madame Caroni dans cet état.
« Alors ?
– Je ne sais plus.
– Et je suppose que les autres locataires font comme toi ! »
Madame Caroni la regarda sévèrement. Elle fronçait les sourcils, visiblement mécontente de ce qu’elle voyait.
« Si chacun est aussi peu assidu que toi au nettoyage, je comprends pourquoi c’est dans cet état. Rentrons dans ta chambre pour trier tes vêtements »
Madame Caroni retint Camille par le bras quand elle passa devant elle et elle lui assena quatre fortes claques sur les fesses. Camille ne songea pas à protester. Elle n’aurait rien dit si Madame Colas avait décidé de la déculotter et de la fesser séance tenante, là, dans le couloir.
« J’espère que tu as honte de toi ! »
Des larmes montèrent dans les yeux de Camille, mais la fessée n’en était pas la cause. Elle avait honte d’elle-même. Elle avait envie de demander pardon, mais elle n’osait pas. Une punition lui aurait permis de sortir de cette situation, malheureusement Madame Caroni ne semblait pas décidée à sévir.
« Je ne vais pas te punir pour l’état dans lequel tu as maintenu cette chambre et les toilettes. Tu n’étais certainement ni assez grande ni assez responsable pour vivre dans un tel lieu, ni même pour vivre seule où que ce soit. Mais il n’est plus question que tu demeures ici. »
Plus vivre ici ? Mais où alors ? Il y avait tout un tas de questions sans réponse dans la tête de Camille, mais elle n’osait pas les poser. Madame Caroni ne semblait pas d’humeur à y répondre. Sa tutrice prendrait les décisions et elle obéirait. Camille se doutait que c’est ainsi sa vie fonctionnerait désormais puisqu’elle n’avait plus le refuge de sa chambre. Elle avait entendu les mots de Madame Caroni. Ils étaient sans appel : pas assez grande, pas assez responsable pour vivre seule… Comment dire le contraire face à la situation qu’avait pu constater Madame Caroni ?
« Quelle heure est-il ? Je crois qu’il est l’heure de ta deuxième punition de l’après-midi. Viens ici ! »
Camille se rendit à la convocation de Madame Caroni sans tergiverser. Une fessée allait lui permettre d’être punie, peut-être pas pour l’état dans lequel était le lieu où elle avait tenu sa chambre, mais cela allait en servir de pis-aller. Dans sa tête, elle pourrait associer les deux, même si Madame Caroni ne le faisait pas.
Elle courba la tête sous le bras de Madame Caroni. Elle attendit patiemment que Madame Caroni la positionne comme elle le souhaitait. Sa jupe à relever, sa culotte à baisser, elle ferma les yeux et attendit le début de la fessée. Camille n’avait jamais admis qu’une personne plus âgée qu’elle puisse avoir raison contre elle. Ce jour-là, elle ne put faire autrement. Madame Caroni s’apprêtait à la fesser et c’était parfaitement justifié.
L’empressement qu’elle montrait à aller subir sa punition ne correspondait pas à ce qu’elle souhaitait, mais elle ne pouvait s’en empêcher. Sans doute, une fois qu’elle aurait lui donné aurait donné une sérieuse correction, Madame Caroni pourrait-elle oublier, ou au moins, ne plus fait allusion à ce qu’elle avait vu ici ?
Camille se mordit l’intérieur des joues. Elle savait ce qui l’attendait, mais elle n’aurait rien fait pour l’éviter. Elle laissa sa tutrice l’installer dans la position qu’elle désirait, là où il serait facile de la fesser. Elle ne fit pas un geste quand Madame Caroni acheva de la préparer : la jupe remontée sur la taille, la culotte baissée sur les genoux.
Etait-ce l’envie que cette fessée soit vraiment un moment d’expiation ? Etait-ce la fureur résiduelle de Madame Caroni suite à la découverte de l’incurie de sa pupille ? La fessée, bien que donnée à la main, claqua fortement sur la peau. Camille songea un court instant à ce que ses voisins pourraient entendre et quelle interprétation ils en feraient. Cela n’avait, en fait que peu d’importance alors que la fessée était en cours. Ensuite… Le temps répondra à ces interrogations.


Vous avez loupé le début de l'histoire ?

Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
 ... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 27
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"

Il y aura une suite, bien sûr !

C'est le chapitre 29

Les commentaires...

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1 commentaire:

  1. Amis de la poésie et de la fessée en double... Bonjour !

    Ah la famille Caroni! Telle mère, telle fille... Les deux font la paire et les deux paires de fesses de Clémence et Maïlis font office de terre battue... Et rebattue, à raison d'une fessée à l'heure, ça laisse peu de temps pour la récupération. Les services, volées de claques, de Loréna et sa mère, entretiennent la surface rouge des deux derrières.
    L'éducation des jeunes femmes est à ce prix. Elles semblent s'y soumettre de bonne grâce et accepter leur traitement. Madame Caron, efficacement secondée par sa fille, ne leur laisse pas beaucoup le choix.
    A défaut d'inspection du travail, l'inspection des lieux de commodité à la limite de l'insalubre, ne justifierait elle pas une mise en cause des bailleurs? Malgré l'activité disciplinaire incessante des Caroni, n'y aurait il pas encore quelques postérieurs à mériter leur intervention ?
    A la recherche du temps des fessées perdues...
    Comme le dit avec solennité, notre ami JLG... Tatatin !!! Sonnez trompettes: "Le temps répondra à ces interrogations " On frémit d'impatience...
    Amicalement
    Ramina

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