LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
PETITES COMBINES ET GROSSES FESSÉES .
Très rapidement après qu'il
se soit affalé sur son lit, et alors qu'il tente de récupérer petit à petit,
Gilbert entend la porte d’entrée qui s’ouvre et des portières de voiture
claquer. Les voitures démarrent... il n’y a plus de bruit dans la maison.
Clarisse et Gladys sont parties chacune de leur côté, Régine est seule au rez-de-chaussée.
Lui aussi, seul, à se tortiller sur son lit. Ses grosses fesses, gonflées de
claques, sont atrocement brûlantes et d'autant plus douloureuses qu'elle les a
reculottées sans ménagement, serrées dans un slip devenu beaucoup trop petit
pour les contenir entièrement. Elles débordent des élastiques tendues, mordant
sur la chaire en pleine cuisson...
« Pour que l'effet des
fessées dure le plus longtemps possible ! » A-t-elle ironisé en lui
faisant bruyamment claquer son slip sur le derrière.
Quatre fessées consécutives, dont trois déculottées et une au
martinet, pratiquement sans moment de répit. La correction a été sévère, à la
hauteur de sa faute et il sait que cela va recommencer matin et soir pendant
une semaine. De quoi lui passer définitivement, du moins en principe, l’envie '' d'aller
voir ailleurs''. Ce régime de punition inauguré par Régine allait d'ailleurs en
inspirer d'autre.
Contrairement
à Edwige, qui roulait souvent trop vite et constituait un vrai danger public,
et Régine plus ou moins détachée des règles élémentaires du code de la route,
Gladys conduisait avec maîtrise. Malgré une circulation assez dense en cette
fin de journée, elle n'avait pas mis très longtemps pour rentrer. A l'arrêt, au
dernier carrefour avant chez elle, elle attend patiemment que le feu passe au
vert en pianotant nonchalamment sur le volant de son Austin Cooper.
Un
petit coup d'œil dans son rétroviseur lui renvoie l'image du visage
soigneusement maquillé d'une belle femme élégante, sûre d'elle, et de son
pouvoir de séduction. D'un geste gracieux, elle remonte une mèche tombante sur
son front. Au-delà de l'effet flatteur de sa distinction naturelle, un regard
noir, pénétrant et une attitude un peu hautaine, laissent deviner la forte
personnalité d'une femme à poigne, au caractère autoritaire. Elle est satisfaite de sa journée, une
excellente journée comme elle aime en passer, remplie d'imprévus et de
rebondissements. En ce qui concerne les rebondissements... elle a été gâtée, se
dit-elle en se remémorant les grosses fesses de Gilbert tressautant sous les
fessées.
L'après-midi avait commencé au salon de
coiffure avec les dramatiques révélations de l'infidélité de Gilbert,
l'imprudent mari de Régine. Cette dernière l'avait vraiment étonnée par ses
capacités de ressources. D'abord effondrée par sa découverte, elle avait très
vite réagi en femme énergique, grâce, aussi, à son soutien et celui de
Clarisse. Finalement, jusqu’ici elle ne
connaissait Régine que comme une amie ponctuelle qu'elle rencontrait à
l'occasion de rendez-vous communs au salon de coiffure. Rencontres de
circonstance avec une femme agréable, distinguée, qui partageait les mêmes
convictions sur les valeurs d'une bonne discipline conjugale et pratiquait
aussi la fessée comme méthode éducative.
De
là à imaginer que, derrière les allures un peu maniérées d'une éducation
bourgeoise, se cachait une épouse implacable au tempérament volcanique, capable
de flanquer une correction d'une telle ampleur, certes justifiée, à un mari
volage... Il y avait une longueur de lanières de martinet qu'elle n'avait pas
mesurée. Pourtant habituée à en mettre
des sévères, les trois formidables fessées consécutives, auxquelles elle avait
assisté au cours de l'après-midi l’avait agréablement surprise par leur durée
et leur intensité. Rien de plus redoutable que les faux calmes. Entre autres
révélations du jour, Régine Duplessy, en apparence, si posée, faisait preuve d'une
impitoyable sévérité lorsqu'elle administrait des fessées.
Une
belle rencontre, se dit Gladys, Elle en était là de ses réflexions lorsque le
feu passa au vert, Elle enclencha la première et redémarra, pour se garer cinq
minutes après devant chez elle. La lumière était allumée dans le salon et la
chambre de Robin. Elle eut un petit sourire de satisfaction en regardant sa montre.
''Quand même ! Monsieur se décide,
enfin, à rentrer à l'heure. Il lui en aura fallu des fessées pour devenir ponctuel ! ''
Elle
actionna la commande à distance de la fermeture des portières et passa la
grille du jardin d'un pas décidé.
–
« Patricia ma chérie... Tu es là ? Maman, vient de
rentrer ! »
Lança la maîtresse de maison, d'une voie
enjouée, en enlevant ses gants après avoir posé son sac sur la commode de
l'entrée et s'être débarrassée de sa veste.
Son arrivée n'était évidemment pas passée inaperçue, mais c'était
toujours, chez elle, une volonté permanente de faire remarquer sa
présence. Elle entra dans le salon, réajustant
sa coiffure de la paume de la main. Patricia, enfoncée dans le canapé,
parcourait distraitement une revue de mode, sans vraiment regarder une banale
série télévisée sur une chaîne spécialisée. Les rires préenregistrés y fusaient
toutes les dix secondes pour n'importe quoi et compenser la vacuité des
dialogues qui se voulaient hilarants.
–
« Comment peux-tu regarder des âneries pareilles ? Dit Gladys d'un ton mi amusé, mi agacé en s'asseyant à
côté d'elle.
Patricia leva les yeux de sa revue avec
un petit sourire.
– « Oh maman, tu sais je ne regarde
pas vraiment... ça me fait juste un bruit de fond.
-- Sûrement... c'est bien tout ce que ça vaut ! »
répondit Gladys d'un ton péremptoire.
Elle
croisa haut les jambes, en même temps que les bras sous son opulente poitrine,
qui en profita pour s'affranchir un peu plus de son décolleté. Elle
ironisa.
– « Tant qu'à avoir un bruit de
fond, j'aurais préféré entendre le claquement d'une bonne fessée en arrivant...
A ce propos, ton frère... Il est bien rentré à l'heure ? Je viens de voir
la lumière allumée dans sa chambre. ».
Patricia referma sa revue et la posa sur
la table basse. Elle se rassit et croisa les jambes à son tour, en soupirant
d'un air exagérément contrarié.
– « Pour ça oui...Il est bien rentré,
directement... Pour une fois sans passer par son Bar là... le fameux
Olympic....
– Quand même ! A force de lui
mettre des fessées, il a fini par comprendre. La preuve, s'il en était encore
besoin, de l'efficacité de la méthode.
– Oui, mais il n'empêche que j'ai tout
de même dû lui en flanquer une…Tu l'as ratée à un quart d'heure près. Là tu
aurais eu ton bruit de fond en rentrant parce que ça a claqué fort.
– Je pense que tu devais avoir une bonne
raison. Qu'est-ce qu'il a encore fait l'animal ? »
Patricia ne répond pas tout de
suite pour ménager son petit effet, puis avec un petit sourire en coin,
signifiant qu'elle était plutôt satisfaite d'avoir eu à sévir sur les fesses de
son frère.
– « Figure toi qu'il s'est fait
contrôler dans le bus, et s'est ramassé une amende parce qu’il voyageait sans
ticket... Je n'ai pas attendu que sois là, je lui ai mis une fessée tout de
suite...
– Ah le petit chameau !
Incorrigible ! Quand c'est pas l’arrivée à n'importe quelle heure, c'est
autre chose... Tu lui en a mis une bonne j'espère, une sévère ?
– Pour ça oui maman, je ne l'ai pas
raté, je l'ai envoyé dans sa chambre les fesses écarlates après dix
minutes de coin ! Il n'a pas protesté.
– Tu as bien fait ma chérie. Je sais que
je peux compter sur toi pour maintenir la discipline dans cette maison et
distribuer des fessées quand cela s'avère nécessaire. Et justement tiens...
Edouard... Qu'est-ce qu'il fabrique encore ? Dix-neuf heures trente, il
devrait être rentré depuis un moment. Il n'a pas téléphoné ?
Patricia d'une voix insistante, comme
pour envenimer la situation, histoire de jeter l'huile sur le feu pour mieux le
mettre aux fesses du désobéissant.
–
Non maman, pas de nouvelle du beau-père … Pas rentré, beau papa ! Puis
elle glisse perfidement... On dirait qu'il reprend ses mauvaises
habitudes...Chassez le naturel... »
Gladys a très bien compris l'allusion.
Elle s'en amuse plutôt, mais remet les choses en place. C'est elle qui prend
les décisions.
– Pas besoin de me faire un dessin
Patricia, je sais très bien ce que j'ai à faire. En attendant vas me chercher
ton frère, que je vérifie l'état de ses fesses. Elles vont avoir besoin d'un
petit supplément... Ne serait-ce que pour compenser l'amende que je vais devoir
payer à cause de sa bêtise ! »
Patricia
ne met pas longtemps à faire l'aller et retour et, claquant joyeusement du
talon aiguille, revient dans le salon, en tenant son frère par l'oreille. Elle
le traîne à côté d'elle alors qu'il avance, en marchant comme un pingouin, les
jambes empêtrées dans son pantalon resté en accordéon sur ses chevilles. Ses
fesses rouges débordent de son slip, tendu à craquer et témoignent de la fessée
qu'il a déjà reçue.
–
« Tu vois, je te l'avais dit que maman n'apprécierait pas ta dernière
fantaisie. Le sermonne-t-elle en le secouant sans ménagement. Il couine en se
tenant l'oreille pour atténuer la douleur.
–
La fessée que je viens de te mettre n'est qu'un hors-d’œuvre par rapport à
celle qu'elle va t'administrer maintenant. N'est-ce pas maman ?
Gladys
ne relève pas et se contente de décroiser les jambes en retroussant sa courte
jupe sur ses cuisses jusqu'en haut de ses bas nylon.
–
« Tu as encore fait l'imbécile Robin !... Maintenant tu prends le bus
sans ticket ! Ça t'amuses peut-être de jouer les adolescents
attardés... à vingt-deux ans ?
Le
garçon ne répond pas. La tête baissée, il regarde obstinément ses chaussures comme
s'il venait de découvrir qu'il en avait aux pieds. Il piétine sur place. Il a
mal aux fesses et sait que ce n'est qu'un début.
–
« Et regarde-moi quand je te parle Robin ! Tu sais ce que ça va
te coûter ta petite plaisanterie ? Beaucoup plus que l'amende que je vais
devoir payer ! Amène moi tes fesses !
–
Mais... Mais maman...C'est parce que je... je n’avais plus de monnaie...
J'ai... j'ai...
–
Bien sûr... Tu n'avais qu'à prévoir...Tu te comportes encore comme un gamin
irresponsable ! Je t'ai dit de m'amener tes fesses !
–
Oh maman... Patricia m'a déjà....
– T'as déjà quoi ?... Mis une
fessée ? Et alors, tu crois que je vais m'en contenter ? Que c'est
suffisant pour te punir de ta bêtise ?... C'est la dernière fois que je te
demande de venir me présenter tes fesses …la prochaine c'est double
tarif ! Je vais leur rappeler la différence entre les fessées de ta sœur
et les miennes. Même si elle fesse de mieux en mieux !
– Merci maman ! Minaude
l'intéressée en s'installant dans le fauteuil devant le canapé pour assister à
la nouvelle fessée de son frère. Robin a fini par s'allonger sur les genoux de
sa mère qui le pousse en avant pour bien positionner ses fesses à sa main. Il
pose les mains à plat sur le sol et instinctivement creuse les reins pour bien
arrondir ses fesses.
– « Patricia chérie, veux-tu bien
me servir un Whisky pendant que je déculotte ton frère... C'est un bon
carburant pour démarrer une fessée ! ...Prends en un pour toi aussi. Tu me
mets deux glaçons s'il te plaît !
– Tu mets encore des glaçons dans
ton Pur Malt maman ?
– Depuis toujours chérie
voyons ! J'aime le bruit des
glaçons dans un verre, tout comme celui des claques sur une belle paire de
fesses ! Il faut savoir entretenir
les petits choses qui font plaisir.
– Tu as raison maman... Aller, tiens...
Glaçons pour tout le monde ! »
Patricia se dirige vers le bar du salon
en tortillant du derrière et revient avec deux verres tintant de petits cubes
transparents, pendant que Gladys opère le déculottage de Robin.
– « Soulève ! Ordonne-t-elle
ci d'un ton sec en saisissant l'élastique de son slip. Dépêche-toi ! »
Robin s’exécute avec empressement et
décolle ses fesses des cuisses de sa mère pour faciliter son propre
déculottage.
– « Je ne t'ai pas tout dit
maman... déclare alors Patricia en posant les deux verres sur la table basse...
Mais Robin, ... Il n'était pas tout seul dans le bus. Il y avait aussi Gérôme et son cousin
Rodolphe... En fait ils avaient parié qu'ils arriveraient à faire un trajet en
car sans payer.
L'élastique du slip en claque d'autant
plus fort sur les cuisses du puni.
– « Et bien ça ne m'étonne pas !
S'exclame Gladys qui sent monter une colère irrépressible. Robin en tremble sur
ses genoux – Ah ces trois-là... ils font la paire !
– Un trio maman... Ils sont trois.
– Oui !... Bien sûr, un trio !
Ah je suis tellement en colère ! Mais... Mais Comment tu sais ça toi ?
– C'est la mère de Rodolphe, Clarisse,
qui a appelé tout à l'heure. Elle venait de flanquer une raclée à son fils et
voulait nous tenir au courant de leur dernière combine au cas où Robin n'aurait
rien dit... D'ailleurs elle va te rappeler au sujet d'Edouard. »
– Edouard ?... Qu'est-ce que c'est
encore que cette histoire ? C'est la totale ce soir ! D'ailleurs, à
propos, il est toujours dehors celui-là... ! »
De colère elle fait sauter le derrière
de Robin qu'elle a juste sous la main, d'un fulgurant aller et retour sur
chaque fesse, qui lui arrache évidemment deux cris de douleur. Un par fesse. Il
ne s'y attendait pas, mais c'était l'annonce de la terrible fessée à venir qui
éclata dans le salon avec la soudaineté de la montée de mousse d'une bière
pression mal servie.
La délicieuse Patricia ravie de son
petit effet, jubilait intérieurement après avoir distillé perfidement ces
dernières précieuse informations susceptibles d'envenimer une situation déjà
critique. L'enjeu d'une somptueuse fessée.
Elle dégusta, à petites gorgées, son Aberlour, triple distillation quant
à lui, pendant que Gladys, hors d'elle, administrait sous ses yeux, une des
plus magistrales fessées déculottées que son frère eu reçue de toute sa
carrière de frère.
Sous l'énergique impulsion de maman, ses
fesses bien sensibilisées par la fessée précédente ne mirent pas longtemps à
retrouver la belle couleur rouge écarlate qu'il senti progresser dans la
douleur, à défaut de pouvoir en contempler l'effet. Pour une fois, il ne
prenait pas sa correction devant la glace placée près de la fenêtre, restée
fermée, dans l’urgence. Un oubli sans
réelle incidence sur l'ampleur de la fessée, dont l 'éclat assurait le
spectacle. Il aurait tout loisir d'en mesurer les conséquences sur son
postérieur une fois réexpédié dans sa chambre.
Il cria, pleura, un flot de larmes
inondant le carrelage du salon qui n'avait pas besoin de ça pour reluire, à
l'inverse de ses fesses, que sa mère astiqua longuement avant de le relâcher.
Elle le regarda, avec un sourire ironique, se tortiller au sol comme un ver en se
tenant le derrière à pleines mains.
– « On dirait que les fesses te
cuisent mon pauvre chéri... C'est ce qu'il faut. Voilà une fessée qui va peut-être
te remettre les idées en place! Lança-t-elle triomphante en saisissant son
verre qu'elle n'avait pas encore touché, et pour cause. La main trop occupée.
La prochaine fois que tu prendras le bus avec tes petits copains, tu penseras à
acheter un ticket ! File dans ta chambre, je ne veux plus te voir. Tu
redescendras pour le dîner quand on t'appellera !
– Il peut se reculotter ? demanda
perfidement Patricia, sachant qu'après une aussi cuisante fessée, ce serait
très douloureux.
– C'est même vivement conseillé !
Répondit Gladys avec clin d'œil complice.
Sous le regard amusé des deux femmes,
qui trinquaient joyeusement à la santé de ses fesses, Robin se reculotta devant
elles. Non sans difficulté, tant la cuisson était intense, il tortillant
outrageusement des hanches pour essayer de faire rentre ses fesses gonflées de
claques, dans un slip trop serré. Sur ordre de sa mère, il grimpa dans sa
chambre en pleurant, sans demander son reste. Il ne lui restait d'ailleurs rien
d'autre, en ce début de soirée, qu'un fessier cramoisi qui avait bien mérité sa
belle couleur.
–
« Maman... C'est pour toi! »
Dit
Patricia en tendant à sa mère le téléphone fixe, Il y en avait encore dans certaines
maisons soucieuses de ne pas dépendre uniquement d'un portable.
–
« C'est qui ? ...
– C'est Clarisse... Elle voudrait te
parler... Au sujet d'Edouard...
Edouard était rentré vers huit heures et
demie.
Gladys saisit le combiné en jetant un
regard interrogatif à sa fille. Malgré un sermon en règle et une grosse fessée
avant le dîner que Patricia, sur sa demande, avait agrémentée d'une deuxième en
sortie de table, elles n'avaient toujours pas réussi à connaître la raison de
son arrivée si tardive à la maison. Reniflant ses larmes, comme un gamin puni
pour une faute grave, il avait fini par avouer, les fesses en feu après sa
dernière fessée, qu'il n'osait pas rentrer par crainte de représailles. Elles
avaient fini par en rire. C'était d'autant plus ridicule que, de toutes
manières, les représailles il venait déjà de les subir. Mais, malgré des fesses
écarlates et cuisantes après deux sévères déculottées et sous la menace d'une
troisième fessée au martinet, il ne se résignait toujours pas à expliquer les
raisons de son mutisme.
– Allo... Clarisse ? Oui... c'est moi...
Non... pas du tout... tu ne me déranges pas... Bien sûr... Non... attends, deux secondes...
Elle jeta un regard noir à son mari, à
genoux déculotté entre ses cuisses, les fesses en l'air, bien exposées, attendait
ses consignes en sanglotant. C'est à peine s'il avait décroché un mot depuis
qu'il était rentré.
– Toi, tu montes te coucher... On va
régler tout ça demain ! Et inutile de te dire que tu peux dès maintenant
préparer tes fesses ! Patricia, occupe-toi de lui et remonte le dans la
chambre ! – Elle remit le combiné à
son oreille... Oui Clarisse... je t'écoute... »
Patricia pris les choses en main avec
sérieux.
– « Aller beau papa... en
route ! »
S'exclama-t-elle en le propulsant
en avant d'une grande claque aux fesses.
Il sursauta et démarra en trombe.
Elle lui fit grimper l'escalier au pas de charge, le derrière enluminé
crépitant sous sa main ferme. Arrivée en haut, profitant qu'il ne s'y attendait
pas, elle le courba en deux, la tête coincée entre ses cuisses, sa position
préférée, et lui remis une brève mais rageuse fessée qui le fit trépigner de
douleur sur le palier.
--« Pitié Patricia, Pitié ! Hurla-t-il
d'une voix étouffée entre les cuisses serrées sur ses joues, plus la
fessée ! Plus la fessée ! »
–
« Ça, c'est le petit supplément gratuit, de la part de Patricia pour aider
beau papa à s'endormir, les fesses bien au chaud ! »
Dit-elle en le redressant et le poussant
à l'intérieur d'une nouvelle claque aux fesses. Elle referma doucement la porte
de la chambre, comme une maman soucieuse de l'endormissement de son petit
garçon. La main encore brûlante, elle redescendit les escaliers en riant.
Gladys terminait sa conversation au
téléphone avec Clarisse.
–
«... Tu en as parlé à ta sœur Thérez... ? Ah mais parce Gérôme aussi est dans le
coup... tu ne savais pas... Rodolphe n'a rien dit... Mais évidemment, ils se
tiennent les coudes... Il n'y a pas de raison qu'il y échappe, le Gérôme, comme
les autres ! ... Oui...On se tient au courant... Moi aussi... Je
t'embrasse »
Gladys n’avait jamais su ce que Régine
avait révélé au mari de Bettina ...mais, par l'intermédiaire de Clarisse, au téléphone,
elle avait donc fini par apprendre ce qu'Edouard n'osait pas lui avouer, et
pour cause...
Il avait été plus ou moins mêlé à cette
pathétique histoire et aurait même plus ou moins encouragé Gilbert à tenter
l'aventure avec Bettina pour le mettre en difficulté auprès de sa femme. Petite
vengeance mesquine pour une dette de Poker non acquittée. Gladys en apprenant
tout cela était entrée dans une colère noire. Edouard, outre son comportement
lamentable auprès de Gilbert, qui ne valait d'ailleurs pas mieux, mais ce
n'était pas une raison, lui avait une nouvelle fois désobéi. Elle apprenait, en
même temps, qu’il fréquentait un cercle de poker depuis déjà un moment. Ça
commençait à faire beaucoup pour un homme, soit disant repentant.
Après
les pertes importantes au PMU, la vente d'une partie des cadeaux de Noël pour,
encore, rembourser des dettes, elle lui avait fermement interdit les jeux
d'argent. Il avait déjà reçu maintes bonnes fessées pour cette raison et avait
évidemment promis de ne jamais recommencer. Mais solidement fessé, au moment
des corrections, il était coutumier de ce genre de promesse… vite oubliée.
Ce vendredi-là, lendemain des
révélations, non seulement Edouard se ramassa une magistrale déculottée le soir
même, mais la sentence tomba immédiatement, directement inspirée des mesures
disciplinaires que Régine avait mises à exécution pour punir son mari de ses
infidélités. Gladys les avait trouvées judicieuses et efficaces, tout à fait
appropriées à la capacité d'endurance des fesses d'Edouard et aussi à
l'importance des fautes commises, notamment la gravissime récidive en matière
de jeux d'argent.
– « Mon ami, tes frasques et tes
mensonges répétés ne méritent rien d'autre qu'une punition exemplaire. Ce sera
donc la fessée... Matin et soir pendant une semaine avec obligation de venir à
chaque fois la réclamer en me présentant toi-même tes fesses à déculotter !
Patricia, avec l'approbation de sa mère,
n'avait pu manquer de pimenter la sentence.
–
« Et s'il oublie de la demander, il aura droit à une fessée
supplémentaire que je me ferai un plaisir de lui administrer avec ma main
bien claquante que ses fesses commencent maintenant à connaître par cœur ! »
Gladys
avait acquiescé, confiante en les capacités de sa fille à claquer efficacement
un derrière.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 13
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerHo ho !!! Les étrennes sont généreuses avec les grands garnements cette année !!!! Les "Mères Noël" distribuent sans compter les récompenses à chacun ! Rires. Et chacun passe à la caisse !
Pour les Trois Mousquetaires de la claque, le duel s'annonce sans pitié. Excellente entrecroisement avec les personnages respectifs.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEh oui...les Etrennes sont généreuses, en espèces cuisantes et retentissantes. Les "trois Mousquetaires de la claque" n'ont pas fini de faire parler d'eux... Et les personnages s'entrecroisent et s'entre fessent tant que je dois faire attention à ne pas me mélanger les stylos... ou les touches du clavier! Comme tu dis dans un autre commentaire...
Entre les maris volages, les femmes autoritaires, les mères sévères mais justes, les garçons à faire les quatre cents coups...
On ne sait plus où donner de la fessée... Ces Dames, par contre, le savent très bien et trouvent toujours les bonnes trajectoires...
Amicalement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerIl reste encore à déguster la bonne galette de Rois et qui décrochera la fesse... euh, la fève cette année ? Puis ce sera la Chandeleur et la St-Valentin en Février... Et çà promet de chauffeeeeeeer !
Amicalement. Peter.