lundi 6 janvier 2020

Les rebelles - chapitre 23 - acte 2

Le lundi matin, à leur retour de weekend, Yohan et Fabien sont convoqués par la proviseure. Sont présents : la déléguée de classe Léa, le professeur principal François F., l’infirmière Laetitia F. et les deux religieuses Mère supérieure Jolanta O. et la Sœur Weronika S.
Fabienne D. voit à leur mine que leur weekend ne s’est pas très bien passé, car leurs parents se sont montrés très en colère contre les deux jeunes adultes, qui entre nous, se sont comportés comme des gamins.
Elle ajoute que la sévère punition à la gendarmerie lui a été relatée et elle s’en réjouit. Elle annonce fièrement que les deux « gamins » seront également punis au sein de l’établissement Ste CROIX, car un grave méfait a été commis en son sein. Leurs parents sont déjà au courant de la punition et ils l’ont acceptée, voire encouragée. Pour avoir « carte blanche », Fabienne D. déclare :
  •         La nudité complète durant un mois,
  •         La flagellation en public : Trente cinglées sur les fesses et vingt sur le dos,
  •         La privation du retour chez leurs parents le weekend, le mois durant,
  •         L’épilation intégrale, comme les petits garçons qu’ils continuent à être,
  •         Des tours de cours en courant, mains sur la tête, durant les pauses,
  • ·       La prise des repas, face aux autres élèves et étudiants.

Fabienne D. est consciente que les punitions et humiliations qu’elle inflige à ces deux étudiants vont être compliquées à supporter, mais la faute n’en reste pas moins grave et l’affront doit être lavé. Après ça, ce genre de pari stupide devrait disparaitre. De plus, ça donnera un exemple à ne pas suivre pour les autres élèves.
Yohan et Fabien, tête basse ne pipent pas mot, car ils savaient à quoi s’attendre. Leurs parents les avaient prévenus que la sévère punition reçue à la gendarmerie ne serait pas la seule. Fabienne D. demande à l’infirmière de leur baisser pantalon et slip pour admirer les traces restantes de la fessée reçue la semaine passée à la gendarmerie.
Comme des petits garçons ne sachant pas se déshabiller tout seul, Laetitia F. baisse leur jeans et leur slip, découvrant leur intimité, que les deux garçons cachent prestement. Fabienne D. les rabroue en disant qu’ils vont devoir apprendre à ne pas cacher leur sexe, car tout le monde devra pouvoir profiter de la vision de leurs attributs masculins. A regret, Yohan et Fabien retirent leurs mains, rougissant de plus en plus, par cette mise à nu faite par une femme. Yohan, le plus jeune, ose dire qu’il ne supportera pas d’être nu devant tout le monde, à quoi la proviseure répond qu’il fallait y songer avant de commettre un vol dans l’établissement. Fabienne D. regarde les marques résiduelles et demandent à l’infirmière s’ils seront aptes à être fouettés Vendredi prochain. L’infirmière dit qu’elle va devoir les ausculter avant de donner son jugement. Fabienne D. lui demande de terminer le déshabillage intégral et de les emmener à l’infirmerie avant qu’ils ne soient admis en cours. Fabienne D. demande enfin qu’ils soient soigneusement épilés, de sorte qu’ils ressemblent à de petits garçons.
Laetitia F., Léa et Yohan et Fabien vont à l’infirmerie. En passant dans la cours, la vue des deux garçons nus fait pouffer de rire toutes les jeunes femmes et jeunes filles présentent, ce qui humilient davantage les deux punis, leur procurant une puissante érection. Entendant les moqueries des élèves, Laetitia F. retroussent les deux prépuces des garçons, découvrant leur gland rougissant, augmentant les rires des élèves présents. Nos deux punis ne savent plus où se mettre, étant rabaisser plus bas que terre. Leurs larmes coulent déjà. Léa, qui est aux premières loges, est au comble de sa joie de reluquer les deux beaux membres virils et bien dressés devant elle. Elle sent que sa culotte est en train de se mouiller, tant elle est « aux anges ». Dès qu’elle le pourra, elle ira se soulager intensément, car elle n’en peut plus ! Léa est un peu jalouse de l’infirmière qui peut, de par sa fonction, les toucher, sans que nul n’y trouve à redire.
Lorsqu’ils sont à l’infirmerie, Laetitia F. ausculte les deux garçons, les obligeant à bien écarter les cuisses de sorte qu’elle puisse avoir accès à leur intimité. Après les premiers examens de routine, dont une prise de température rectale, qui fait écarquiller les yeux des garçons lorsqu’ils sentent le thermomètre les pénétrer, elle examine la chair des fesses, des cuisses et du dos des garçons et fièrement, elle leur annonce qu’elle donnera son accord pour la flagellation publique, Vendredi prochain, à midi devant tous les élèves et professeurs réunis, comme le veut la tradition, pour les fautes graves. Laetitia F. leur dit qu’ils sont « bien membrés » et que le spectacle qu’ils donneront durant le mois à venir sera de qualité, sans parler de leur gesticulation durant leur flagellation.
La dernière phase est l’épilation des deux garçons. L’infirmière demande à Léa de l’aider et celle-ci est ravie de l’aubaine. Les deux femmes leur posent des bandent de cire chaude sur le corps et arrachent les poils, ce qui fait crier les deux mâles. Léa épile Yohan et y met tout son cœur. Lorsqu’elle arrive aux organes génitaux, Léa s’applique pour bien étaler la cire et tire d’un grand coup sec et y revient à plusieurs reprises et ne se gêne pas pour bien tripoter le pénis en érection de Yohan. La peau toute rouge de haut en bas, les deux garçons descendent de la table et piétinent, car leur chair les cuit. Léa et Laetitia F. se moquent d’eux en disant qu’elles ne font pas tant de manières qu’eux et leur étalent sur tout le corps de l’eau de Cologne, qui augmente la chaleur et fait se contorsionner davantage Yohan et Fabien. Laetitia F. leur dit qu’après l’effet cuisson, ils se sentiront mieux, car après tout, c’est un peu comme un après-rasage, ça pique sur le moment et ça soulage après. Pendant que Léa termine d’enduire le corps des deux garçons, en insistant bien sur les parties génitales, Laetitia F. signe leur formulaire d’aptitude et demande à Léa de les amener en cours, car il est temps.
Léa, qui les mène en salle, se sent, de ce fait, investie d’une autorité, vis-à-vis des deux punis. D’ailleurs, Léa ne se privera pas de raconter à ses copines la séance d’épilation assez burlesque. Elle leur fait traverser la cour, même si d’autres chemins auraient pu être plus à l’abri des regards. Elle voit Yohan recouvrir le gland de son prépuce. Lorsqu’elle lui fait remarquer, Yohan lui dit que c’est très inconfortable et que ça le gêne. Léa hausse le ton et lui ordonne de se remette le gland à l’air, sinon, c’est elle qui s’en chargera. Sous la menace, Yohan exhibe à nouveau son gland, conscient que sa plus stricte intimité est à la vue de tout le monde.
L’arrivée en cours des deux punis, totalement imberbes, en érection et gland nu, est assez remarquée et raillée et notre professeur François F. les installe tous les deux au premier rang en les avertissant qu’à la moindre remarque, il les enverra chez la proviseure pour recevoir une punition sur le champ. Entre les acclamations des unes et les moqueries des autres, les deux punis ne sont pas vraiment à la fête. Mêmes celles qui ont connues l’humiliation de ces situations, ne peuvent que se réjouir de cet excitant spectacle, car ce ne sont pas elles qui en sont les victimes. François F. nous prévient quand même que le cours ne doit pas être perturbé, sous peine d’un rapport à la proviseure et que chacun sait ce que ça engendre. François F. n’hésite pas à les envoyer au tableau pour expliquer un texte de philosophie. C’est un bonheur de les voir devant nous, totalement démunis et bafouillant leurs explications entre deux remarques du professeur.
Lorsque la moitié de la matinée est achevée, alors que tout le monde plie bagages, Léa emmène Yohan et Fabien dans la cour et leur ordonne de mettre leurs mains sur la tête et de courir en petite foulée en rond, car en ce mois de Décembre, il ne fait que dix degrés. Regardant leurs pieds, les larmes coulant sur leur visage, les garçons courent en sentant leur pénis et leurs testicules balloter dans tous les sens, au rythme des foulées. Ils ne veulent surtout pas lever le regard pour voir toutes les filles rigoler de leur nudité totale et de leur érection sur leur passage, car certaines, plus hardies que les autres, viennent tout près d’eux pour admirer leurs attributs et leur dire ô combien elles seront ravies de les voir gigoter et pleurnicher lorsqu’ils se feront fouetter et qu’elles ont vraiment hâtent de voir ça. D’autres filles, plus jeunes qu’eux, leur disent qu’elles voudront les voir éjaculer, tant les cinglées vont leur cuire et elles applaudiront lorsque ça arrivera. A bout d’entendre tous ces persifflages, Fabien réplique qu’il ne leur donnera pas ce plaisir et les filles lui répondent qu’on verra bien... Pour se venger de l’insolence, une des jeunes filles lui dit que de toute façon, avec d’aussi petits testicules, il ne doit pas beaucoup éjaculer, ce qui fait taire Fabien, stupéfait de cette répartie cinglante. A la fin de la pause, les deux garçons passent aux toilettes pour se rincer, car avec la demi-heure de footing rapide, pour échapper aux sarcasmes des filles qui les suivent pour se moquer d’eux, ils ont transpiré.
A la cantine, Yohan et Fabien entrent dans les derniers, sous les huées des autres élèves et ils vont se servir sur leur plateau et s’installent au premier rang, face à tous, qui les dévisagent en rigolant. Leur repas n’a pas la même saveur, car ils sont pressés de le terminer pour pouvoir partir, sentant les regards inquisiteurs sur leur anatomie.
Leur premier jour de nudité est particulièrement humiliant et les 30 suivants ne seront sans doute pas mieux. Ils redoutent Vendredi prochain qui sera le sommet de leur punition, car ils seront fouettés, nus, devant tout l’établissement réuni.
Lorsque les cours sont terminés, les internes vont en salle d’étude pour revoir leurs cours de la journée et lorsqu’ils ont terminé, vont à la cantine pour le souper et regagnent leur chambre, sous la conduite des deux religieuses, Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S., qui vont avoir Yohan et Fabien particulièrement à l’œil, dans tous les sens du terme, d’ailleurs.
Fabienne D. passent voir les deux punis et leur donnent ses recommandations, à suivre à la lettre, sous peine d’amplifier leur correction de Vendredi prochain. Fabienne D. donne tout pouvoir à Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. pour administrer une fessée sur le champ en cas de dérive avérée, même mineure. Les deux étudiants rentreront dans le rang, qu’ils le veuillent ou non.
Sous le regard indiscret des deux religieuses, les deux garçons vont prendre leur douche et les deux religieuses vérifient que toutes les parties de leur corps sont bien nettoyées. Yohan et Fabien trouvent que les deux religieuses outrepassent leurs droits en assistant à leur douche. Ils ont droit à de l’intimité, ce à quoi les religieuses rétorquent qu’ils devraient faire attention à leurs propos, car Vendredi, ce seront elles qui tiendront les martinets rédempteurs lors de leur fessée et en cas de verbiages déplacés, elles leur rendront la monnaie de leur pièce à ce moment-là, qu’ils se le tiennent pour dit. La menace porte ses fruits car les deux garçons se laissent reluquer sans sourciller. Lorsque la toilette est terminée, Mère supérieure Jolanta O. les fait se pencher en avant, écarter les cuisses et vérifie leur propreté intime puis lorsqu’ils sont secs, elles les renvoient dans leur chambrée, avec une claque sur les fesses en guise de bonsoir. En rentrant dans leur bâtiment, les deux religieuses ont un regard entendu, car elles ont décidé de faire danser et crier ces deux vauriens lors de leur punition. Elles en savourent déjà tout le plaisir.
Le Vendredi matin, nous voyons les deux punis faire une de ces têtes... Nous savons que l’angoisse doit commencer à les étreindre, car ils savent qu’à midi, ils seront mis en spectacle publiquement. D’ailleurs leur attention n’est pas au mieux. Notre professeur d’informatique, Aline F., est obligée de les reprendre à plusieurs reprises, les menaçant d’une sanction, qu’elle finira par mettra à exécution sous la forme d’une fessée à main nue de cinq claques sonores sur chaque fesse à chacun d’eux. Elle leur dit qu’il que ce n’est qu’un apéritif par rapport à ce qu’ils vont prendre tout à l’heure. Elle fait terminer le cours aux deux punis, à genou, sur l’estrade, main sur la tête. Nous pouvons admirer les globes fessiers rougis.
A la fin du cours, Léa se précipite vers eux pour qu’ils se dépêchent de remballer, car elle doit les emmener à la cantine, là où aura lieu les flagellations, car le temps est un peu frais dehors et l’infirmière s’est opposée à la leur correction dans la cour, ne voulant pas leur faire prendre froid, car ils vont surement être en nage. Fabienne D. a dû appliquer les consignes de son assistante médicale.
Dans les couloirs, des élèves, déjà sortis de cours, pouffent de rire en voyant ces deux garçons, tête basse, le menton tremblant, tout proche des larmes. Léa est toute fière d’amener « ses garçons » vers le lieu de leur correction. Avant de rentrer dans la cantine déjà pleine, car chaque élève souhaite être le mieux placé pour ne rien perdre du spectacle, Léa leur fait mettre les mains sur la tête, ce que les deux garçons font, résignés et obéissants.
En entrant, des applaudissements et des clameurs se font entendre, ce qui rend l’instant très pesant et angoissant pour Yohan et Fabien. Ne pouvant réprimer un renforcement de leur début érection, les filles du premier rang rient à gorge déployée de les voir dans cet état de confusion et d’humiliation.
Avant de se faire punir, Yohan et Fabien se repentent, à genoux, devant la Mère supérieure, qui déclare que lorsqu’ils auront reçus leurs cinquante coups de martinet, leur pêché leur sera pardonné.
Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. se dirigent vers Yohan et laisse Fabien, à genou, de trois quart, de façon à ce qu’il ne perdre rien de la flagellation de son ami et qu’il soit le plus en vue des spectateurs.
Olga, Iourievna et moi, sommes dans les premiers rang, nous avons dû jouer des coudes pour nous frayer un chemin parmi les élèves et étudiants déjà présents. Bon nombre d’élèves sont sorties un peu plus tôt pour être les mieux placés. Ayant prévu le coup, pas mal de filles ont mis une serviette périodique permettant d’absorber la cyprine qui ne manquera pas de couler plus ou moins abondamment compte tenu de leur excitation ! C’est un des maigres avantages sur les garçons qui, s’ils ont une éjaculation, laisseront une jolie tâche sur le devant de leur pantalon.
Yohan a les poignets et les chevilles attachés, légèrement penché en avant, les bras au-dessus de la tête. Les deux religieuses lui promettent de le faire crier et de lui faire regretter ses actes.
A la vue des martinets équipés de sept longues et grosses lanières de cuir, les deux garçons trésaillent. Rien que la vue de ces instruments de correction fait froid dans le dos et lorsque qu’on en est victime, les larmes ne tardent pas à couler, j’en sais quelque chose. Je donnerais tout pour ne plus y être soumise. Les brulures sont intenses et ne s’estompent que lentement dans le temps. Les parties fouettées sont hyper sensibles et brûlent durant plusieurs jours.
Dès la première cinglée, Yohan donne des ruades en criant, mais les liens l’empêchent de se dégager de la trajectoire des puissantes lanières. Les religieuses prennent de l’élan pour que l’impact soit le plus douloureux possible et que la punition soit la mieux comprise. Le pauvre Yohan se débat tant et plus et pousse des cris de goret, mais peu importe qu’il soit ridicule, car seule la douleur ressentie est présente dans son esprit. Il fait abstraction de tout le reste. A leur visage crispé, nous voyons que les religieuses sont à la limite du plaisir, par leur dominance sur les deux jeunes hommes, un peu comme une revanche sur eux. Des marques rouges et boursoufflées apparaissent après chaque cinglée, preuve que les fouettées ne sont pas feintes. Dans l’assistance, les rires ont fait place à des clameurs et moqueries. Certaines filles bien placées voient nettement le membre dressé qui ballotte de haut en bas.
Ce qui devait arriver, arriva, à force de contractions des muscles et des sursauts, Yohan éjacule, ce qui fâche profondément les deux religieuses qui y voient un plaisir malsain au lieu d’un honnête repentir. Pour tenter de mettre fin à ces lamentables réactions de mâles, elles mettent plus d’intensité dans leur mouvement, ce qui fait rugir davantage Yohan et c’est l’infirmière qui est obligée d’intervenir pour calmer les deux bourrelles.
Au terme des trente cinglées sur les fesses de Yohan, l’infirmière fait un rapide examen de sa chair et s’aperçoit que celles-ci sont brûlantes, mais pas du tout abîmées, ce qui la rassure. Elle donne la permission pour la flagellation du dos du jeune homme, qui est en pleurs et crie de douleur. Ses jérémiades n’attendrissent personne et encore moins ses demandes de grâce. Certaines filles demandent qu’il soit fessé de nouveau, pour voir son sperme gicler à nouveau, ce qui les ravirait. Fabienne D. invective les toutes jeunes filles qui réclamaient la prolongation de la fessée et leur demande si elles souhaitent le remplacer pour voir si leur cyprine va gicler ? Ce sermon public a le don de les calmer illico presto.
Les deux religieuses reprennent chacune leur tour les cinglées sur le dos du jeune homme qui pousse des hurlements à gorge déployée en se secouant dans tous les sens. Nous voyons Fabien qui blêmi de voir son ami dans cet état. L’angoisse le prend et il est presque en panique.
Le dos zébré de belles marques rouges, couver de sueur, Yohan reprend peu à peu son souffle entrecoupé de sanglots. Les deux religieuses le détachent et l’agenouillent dos au public afin de ceux-ci soit conscient de ce qu’ils risquent, en n’appliquant pas les règles.
Fabien, tremblant de peur refuse d’aller de lui-même vers l’endroit de sa flagellation et plusieurs professeurs sont obligés de le ceinturer et de le trainer pour lui attacher pieds et poings.
Au moment où Mère supérieure Jolanta O. et Sœur Weronika S. se mettent en place pour le cingler alternativement, Fabienne D. leur demande de rajouter dix coups de martinet sur le dos, ce qui lui en fera soixante en tout, pour le punir de son refus. Fabien réalise trop tard que son attitude n’était ni courageuse, ni intelligente, car au lieu de ne recevoir que sa peine, il en recevra plus.
Les religieuses mettent de l’entrain à le faire hurler et les spectateurs les encouragent même à frapper plus fort. Bien qu’il se démène comme un beau diable, durant sa fessée, il décevra les jeunes femmes qui espéraient tant le voir, comme Yohan, lâcher une ou deux belles giclées de sperme. Son ridicule n’ira finalement pas jusque-là.
Fabien fini comme Yohan trempé de sueur de gesticuler dans tous les sens et à bout de souffle à force de hurler. Il est détaché et mis à genoux à côté de Yohan.
Comme les fois précédentes, nous sommes hilares devant les spectateurs qui ont eu des émotions, visibles sur le devant de leur pantalon en regardant le spectacle. Mais lorsque c’est une fille qui se fait fouetter, le nombre des garçons qui se laissent allés est plus important.
En aparté, je confie à Olga et Iourievna qu’heureusement que j’avais mis une protection, car je suis trempée. Iourievna me dit qu’elle s’en doute à la façon dont mes tétons pointent ! Avec mon chemisier assez léger, c’est vrai que tout se voit très bien, après quoi, toute rouge, car Iourievna et Olga ne doivent pas être les seules personnes à s’en être aperçues, je vais vite m’enfermer dans les toilettes pour changer ma protection souillée et bien malgré moi, je laisse aller mes doigts sur mon clitoris en repassant dans ma tête les magnifiques images que j’ai vu et qui m’ont sérieusement émoustillée. Le découvrant et le titillant de façon rapide, mon plaisir me submerge et malgré le fait que je serre les dents, je pousse un cri et c’est quand on tambourine à la porte que je reviens à la réalité pour m’excuser du temps passé. Rapidement changée, en sortant, je baisse la tête, car je sais que les filles m’ont entendue jouir et j’en ai honte, mais je sais qu’elles sont aussi là pour se soulager. Je vois Olga et Iourievna dans la queue et je me doute qu’elles sont dans le même état que moi.
Après avoir été tartinés de crème par l’infirmière, les garçons reprennent les cours de l’après-midi où ils ont les plus grandes difficultés à rester concentrés. On les voit grimacer et se tortiller de temps en temps. On en serait même presque à les plaindre.
Durant les trois semaines restantes, Yohan et Fabien se tiennent bien et nous sommes toujours aussi excitées de les voir déambuler tout nu ou courir autour de la cour, mains sur la tête, par tous les temps. Cependant, certaines filles, sous prétexte qu’ils ont été punis et doivent être humiliés, en profitent largement pour leur caresser les fesses ou le pénis, leur provoquant une bonne érection durable, lorsqu’ils sont dans les rangs ou lorsqu’elles les croisent et elles savent bien qu’ils ne sont pas en position pour se plaindre auprès de la proviseure et elles exploitent amplement leur faiblesse.
Le dernier Vendredi avant l’expiration de leur mois de réhabilitation, en fin de journée, Fabienne D. les reçoit dans son bureau et leur dit qu’ils se sont montrés raisonnables et à ce titre, elle lève la punition, leur rend leurs vêtements en leur souhaitant un bon weekend chez leurs parents qui seront sans doute ravis de les retrouver, dans un bien meilleur état d’esprit.
Après ce mois mortifiant, malgré leur réhabilitation et leur tenue, à présent, décente, les deux garçons n’en resteront pas moins rabaissés, car ils voient bien les regards en coin et les petits sourires narquois des élèves, tout particulièrement ceux des filles, ce qui leur rappellent à tout moment le fait de se comporter comme des adultes.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 23 acte 1
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5 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    La punition en elle-même, cette fois, se fait longuement attendre. Mais c'est pour la bonne cause: il s'agit de porter d'abord la honte à incandescence. Par tous les moyens possibles et imaginables. Et de faire en sorte qu'elle soit encore amplifiée par les réactions des spectatrices qui ne se font pas faute "d'entrer dans le jeu." Humiliations gratuites? Pas le moins du monde. Si l'on veut qu'une punition soit efficace, il faut qu'elle joue, séparément ou simultanément, sur deux registres: la honte et la douleur. Selon les circonstances, la personnalité de ceux qui sont punis on insistera plutôt sur l'une ou l'autre de ces deux facettes. C'est ce qui se passe ici.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Après ça, ils feront moins les malins. C'est la conclusion que nous pourrons en tirer. Plus tentés par se faire oublier que de réitérer leurs exploits dans l'établissement ou pour d'autres paris stupides pour épater les copains et les filles...
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Bonjour à tous,
    Je pense être comme Ramina, je lis et relis, mais lorsque le texte est publié, je retrouve des fautes. Ah la la, c'est terrible. Ca mérite une fessée publique...
    Amitiés.
    Elena

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  3. Bonjour Elena,

    Rassurez vous. C'est la même chose pour moi. Quant je finalise un dessin, je ne fais plus attention aux petits défauts dans l'ensemble. Sauf quant le dessin est publié... évidemment ! D'où parfois la nécessité d'avoir un œil extérieur pour relire.
    Amicalement. Peter Pan.

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