mardi 14 janvier 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 15

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

EDOUARD MANIPULE, ROBIN SIMULE...

 Le verdict avait été prononcé dans le salon, au cours d'une charmante réunion de famille, devant Gladys, Patricia et Robin, confortablement installés dans le canapé. Edouard avait sagement écouté, planté au garde à vous, tenant, à deux mains, son slip tendu sur ses cuisses, les fesses déjà rouges d'une fessée préventive pour annihiler toute tentative de contestation.
Si tant est qu'il en ait eu l'intention, ça lui en avait curieusement tout de suite ôté l'idée de la tête.  Il avait simplement émis un petit gémissement craintif à la fin de la sentence. Robin, ravi, pour une fois, de ne pas être impliqué, avait applaudit intérieurement lorsque sa sœur, pour corser une addition déjà salée, avait réclamé que le puni ne porte que des slips à fessée jusqu’à nouvel ordre.
– « Quand on a le derrière solidement culotté dans ce genre de slip, on sait que c'est pour s’en prendre une sévère ! » Avait-elle argumenté en riant.
 – « Excellente idée, demande accordée !  Avait aussitôt déclaré Gladys qui présidait la séance. Pour une meilleure efficacité de sa punition, il est important que monsieur ressente en permanence la menace d'une fessée planer sur son gros derrière. Il doit le tenir prêt à s'en prendre une à n'importe quel moment de la journée, sans qu'elle soit nécessairement annoncée. En supplément, bien sûr, de la périodicité prévue matin et soir, pendant une semaine.
 Avec une telle fréquence de corrections, on n'était pas loin des journées ''fesses rouges'' chères à l'amie Sylvie, une autre voisine particulièrement pointilleuse sur la discipline conjugale avec son mari.
– Et on commence dès ce soir... N'est-ce pas maman ? »
S'était exclamé Patricia en battant des mains. 
– « On va d'abord dîner et on aura tout notre temps après le repas. Un peu d'exercice après manger ne peut que faciliter la digestion ! ».

Le repas terminé, Gladys se leva, contourna vivement la table et sans laisser à son mari le temps de se lever complètement l’attrapa par une oreille ! Ne se retenant plus de gémir et même de pleurnicher, il supplia d’une voix implorante, de façon parfaitement inutile.
- « Non chérie s'il te plaît...­ Pas la fessée ! pas la fessée ! » 
. Mais en quelques secondes, Gladys lui avait fait faire le tour de la table, toujours fermement tenu par une oreille, l'avait traîné jusqu'à sa chaise et l’avait couché sur ses genoux. Elle le sermonne comme un gamin pris la main dans le bocal à bonbons.

– « Bien sûr que si la fessée, et une sévère encore!  Parce que maintenant monsieur s'amuse à manipuler ses petits camarades... les pousser à la faute ! Il faut payer tes mensonges et tes petites manigances mon cher. Exactement comme ton ami Gilbert doit le faire en ce moment sur les genoux de sa femme.  Et ce n'est que le début de votre punition.
– Oui, que le début ! Ajoute Patricia en tournant sa chaise dans leur direction pour mieux profiter de la séance – Première fessée ce soir, une autre demain matin et ainsi de suite pendant toute la semaine... On va se régaler ! »

Dressé à bien présenter ses fesses, Edouard, contraint et forcé, s'est mis aussitôt en bonne position afin de satisfaire au rituel du déculottage imposé par son exigeante épouse. Une fois installé sur ses cuisses il bombe au maximum son gros derrière pour faciliter le glissement du slip, puis, pour bien montrer sa soumission, le tend, développé dans toute sa double rondeur, présentant ainsi la meilleure cible possible à la fessée. Le claquement sec de l'élastique sur ses cuisses en donne le signal et elle démarre immédiatement à un rythme très rapide. Patricia ne boude pas son plaisir. Elle se sert un nouveau verre de vin en encouragent sa mère qui n'en a pas vraiment besoin.
– « Bravo maman ! J'adore quand les fessées démarrent comme ça, sans préchauffage et bien cuisantes immédiatement.

Gladys ne répond pas et s'applique à bien tenir le rythme.  Les claques tombent drues avec une sonorité éclatante, assourdissante presque, qui emplit la pièce et sans doute les environs immédiats de la maison, la fenêtre étant grande ouverte comme il était habituel dans ce cas …et justement dans ce but … A l'heure qu'il est, tout le monde est chez soi, et peut profiter du concert en finissant tranquillement de dîner !
Robin ne la ramène pas trop, mais suit le déroulement de la correction en mettant un temps fou à éplucher son orange, l'œil pétillant d'une joie un peu revancharde.

Incapable de se retenir, Edouard s’est mis à crier et lâcher ses sanglots. Son fessier retrouve en totalité une belle couleur rouge, de plus en plus vive. Gladys a l'expérience d'une pratique régulière. Elle fesse de façon méthodique, la main haut levée s’abattant vigoureusement et sans répit sur toutes la vaste surface du postérieur, contraint de rester parfaitement tendu : fesse droite, fesse gauche, le haut, le bas, les côtés. Efficace, elle n’épargne aucune parcelle du derrière bondissant et s'applique à en faire systématiquement le tour, incluant largement le haut des cuisses et redoublant de vigueur quand elle claque le plein milieu des fesses, bien charnu, bien rond, rebondissant à souhait. L'avantage de disposer d'une paire de fesses aussi généreusement développée.

Le malheureux, les mains appuyées sur le sol, a les jambes qui battent désespérément l’air, sa croupe devenant progressivement cramoisie, d’un pourpre resplendissant de plus en plus intense. Il n’essaye même plus de demander pardon, se limitant à supplier entre les sanglots, comme on l'entend faire régulièrement pendant ses corrections.
– « Pitié, chérie ! Pitié ! Arrête s'il te plaît... Plus la fessée ! » 

 Mais Il connaît trop bien l'intransigeance de sa femme et sait qu’il ne peut pas espérer atténuer la sévérité de sa fessée. Il lui faut l’endurer, les fesses toujours tendues, présentées bien à sa main pendant toute sa durée, sous la menace de l'inévitable fessée supplémentaire au moindre relâchement.
Il pleure seulement de plus en plus fort, les larmes inondant ses joues. La tête relevée, il parcoure des yeux, la glace devant laquelle elle le corrige, où se reflète la scène. Puis se tournant le plus possible, il jette un regard désespéré à son derrière écarlate, sans oublier, dans ce mouvement de tête semi-circulaire, de regarder aussi Patricia, la mine réjouie et Robin, restés assis à table. Un peu comme s'il avait besoin de constater, toute honte bue, que sa fessée était bien visible, publique, administrée dans le cadre familial ! Une fessée des familles en quelque sorte !

Robin, méfiant, s'efforce quant à lui de garder un visage neutre, quasi indifférent, comme s'il n’approuvait ni ne désapprouvait cette formidable fessée. Patricia souriante, n'a aucune raison de masquer son plaisir et, quand elle ne fesse pas elle-même, se régale du spectacle sans aucun scrupule.
L’idée lui traversa l’esprit qu’il y avait pas mal de chances pour qu’à ce moment même, le beau Gilbert, lui aussi déculotté, à plat ventre sur les genoux de sa femme, était en train de recevoir une fessée aussi énergique que celle d'Edouard, pleurant comme un sale gosse en tortillant ses fesses sans espoir.  Elle se prit même à espérer que la provocante Bettina- qui sait ? - était dans la même position sur les genoux de son mari, dans une pièce   de la maison voisine, les fenêtres grandes ouvertes. Elle tendit l’oreille au maximum, mais le bruit éclatant des claques sur le gros fessier déculotté d’Edouard et ses sanglots sonores, l’empêchaient d’entendre aucun autre bruit qui aurait pu éventuellement troubler l'atmosphère de la soirée.

Gladys arrêta soudain de donner la fessée ...mais ce n’était que pour remettre son mari en meilleure position. Le visage décomposé, reprenant sa respiration difficilement, il dû encore faire preuve de soumission et lui faciliter la tâche en lui offrant, à nouveau, son postérieur flamboyant, parfaitement déployé pour la reprise de sa fessée. Sans aucun état d'âme, et bien décidée à prolonger sa correction aussi longtemps qu'elle l'estimait nécessaire, elle redémarra la fessée de plus belle, la cadence des claques s’accélérant encore sur le derrière trépidant.
– « On va voir ça, si je n’arrive pas à te faire passer l'envie de tes petits coups tordus et à te corriger pour de bon de tes sales manies! » Cria l'épouse toujours en colère.
Enfin, les claques s’arrêtèrent... Edouard glissa à genoux, pantelant, s’étouffant presque tellement il pleurait. Il passait lentement une main sur ses fesses en feu, hoquetant, inclinant timidement sa tête sur la cuisse de son épouse qui le toisa du regard, avec un sourire condescendant, dégoulinant d'ironie. 
– « Alors... Belle fessée non ?  Tu l'as sentie passer sur tes fesses celle-là !  Elles te cuisent bien j'espère !... Et qu'est-ce qu'on dit maintenant à sa petite femme chérie... Hum ? Je n'ai encore rien entendu ?
– C'est vrai ça ! dit Patricia en finissant son verre... Moi non plus je n'ai rien entendu ?  Et toi Robin, tu as entendu quelque chose... Des excuses... Une demande de pardon ? Même pas un remerciement ! Rien que pour ça, moi je lui en remettrais une autre tout de suite ! »

Robin n'osa rien répondre et se contenta de hausser des épaules en feignant ne pas avoir d'avis sur la question. Il n'en pensait pas moins. Edouard leva son visage brillant de larmes vers son épouse en se tenant les fesses à deux mains. Comme il était loin l'homme un peu arrogant, sûr de lui et de sa capacité d’influence sur les autres.
– « Mer... Merci chérie... pour... pour …
– Oui, Edouard... je t'écoute... Merci... pourquoi donc ?
– Merci... Merci pour... pour cette bonne fes... fessée que... que j'ai bien... mé... méritée …je ne recommencerai plus...
Le visage de Gladys s'éclaira d'un sourire moqueur.
– Ah là là...Mon pauvre ami !... J'ai déjà entendu ça, maintes et mainnnntes fois !  C'est pour ça que moi, j'ai bien l'intention de recommencer ! Tu as déjà oublié. La punition c'est, fessées matin et soir pendant une semaine !
– Matin et soir… pendant une semaine ! Insista inutilement Patricia en lançant à sa mère un clin d'œil demandeur de faveur. Je pourrais peut-être lui en mettre quelques-unes... moi aussi ? Il y a, facile, de la place pour deux sur ses grosses fesses !
– Bien sûr ma chérie, je sais que tu en meurs d'envie. Je te laisserai lui en flanquer deux ou trois... On verra ça.
– Oh maman, tu es trop ! Merci ! Maman chérie ! »


la fessée déculottée sur les genoux


Edouard, pantalon aux chevilles, le slip sur les cuisses, gémissait aux pied de Gladys en massant doucement ses fesses incandescentes pour essayer d'en atténuer la cuisson. L'épouse goguenarde, lui laissa quelques secondes pour se ressaisir et au lieu de l'envoyer au coin, lui commanda.
 – « Maintenant, prends ton martinet et files au lit préparer tes fesses pour demain matin! » 
Il ne se fit pas dire deux fois, tout en continuant à pleurer, il rafla le martinet, resté sur la   table et courut vers l’escalier en tenant son pantalon d'une main et, de l'autre, son derrière écarlate. Le simple contact de ses fesses l'une contre l'autre en montant les marches, le faisait souffrir atrocement.


Gladys ordonna à Robin de débarrasser la table qui n’était pas desservie et d'aller ensuite se coucher. Il obéit sans discuter pensant qu’elle n’était pas d’humeur à être contrariée. Elle se rendit au salon, bras dessus bras dessous avec Patricia, qui a sa demande, servi un Brandy, pour trinquer avec enthousiasme aux bienfaits de la discipline conjugale.

Arrivé sur le palier en haut de l’escalier, Robin s'aperçut que Edouard, soit, volontairement à l’intention de sa mère, soit troublé par l’émotion, avait laissé la porte de leur chambre grande ouverte. Subrepticement, il risqua un œil… Leur chambre était éclairée par les lampes de chevet. Son beau-père encore secoué de sanglots, la tête enfouie dans le traversin sur lequel il avait disposé le martinet prêt à être utilisé, s'était positionné sur la pile d’oreillers qu’il avait entassée au milieu de leur lit. Il présentait ainsi son provocant postérieur, toujours déculotté, comme une grosse sphère rouge qui semblait à elle seule être l’objet principal – voir unique – de la chambre.  Le reflet des lampes de chevet, en partie braquées sur sa croupe incandescente, semblait l’éclairer de l’intérieur, brillante comme une troisième lampe...aussi brillante que les lampes de chevet et, de loin, la plus volumineuse. Sans faire de bruit, le garçon s'enferma dans sa chambre et se coucha.
   
Pas tout à fait au même niveau de responsabilité, dans ce qui était devenu '' l'affaire Bettina '' Edouard, par ses incitations complices, allait devoir en assumer les mêmes conséquences que Gilbert, le fautif. Intraitables, les deux épouses étaient bien décidées à leur en faire baver. Régine trahie et Gladys abusée, appliquaient la sentence avec rigueur et constance tant au niveau de la sévérité des corrections qu'à celui de leur fréquence. Les fessées claquaient matin et soir avec la régularité d'un métronome battant la mesure et la ponctualité d'une l'époque révolue où les trains arrivaient toujours à l'heure.

Robin s'en régalait à chaque fois, essayant de ne rater aucune des corrections de son beau-père. Pendant que sa mère lui claquait les fesses, elle ne s'occupait pas des siennes qui en profitaient pour se reposer un temps sur leurs deux hémisphères.  Il avait assisté aux tentatives prudentes d'Edouard, qui gardait son derrière souvent cuisant et toujours douloureux depuis ce vendredi soir, pour essayer de trouver une échappatoire ou l’espérance d’un terme rapide à cette punition, mais cela était vain.

Loin de là, les journées de samedi et de dimanche, avaient commencé et fini par une éclatante fessée matin et soir avec l’énergie que Gladys mettait toujours à claquer le rutilant fessier si bien rebondi de son chéri. Pour un oui ou pour un non, un faux prétexte une futilité quelconque, cela était ponctué sans préavis tout au long de la journée.  Quelques claques vigoureuses sous son bras ou dans toute autre position, les fesses disponibles, obéissantes, toujours bien présentées comme elle l'avait dressé à le faire. Elle exécutait ainsi, sans états d'âme, les strictes mesures disciplinaires annoncées, en le maintenant, en permanence, sous la menace d'une fessée qu'elle pouvait décider de faire claquer à n'importe quel moment, selon son humeur.

Comme le faisait Rodolphe qui le lui avait raconté, Robin, dès qu'il le pouvait, assistait discrètement aux fessées du haut de l’escalier. Se régalant de voir la belle paire de fesses du beau-père, devenues écarlates, véritablement danser matin et soir, sous la main infatigable de sa mère. Il le plaignait un peu, en connaisseur du douloureux effet des fessées, mais d’un autre côté, il lui fallait bien le reconnaître, il éprouvait un certain plaisir à le voir recevoir la fessée à son tour. Car, si Edouard avait interdiction de le corriger lui-même, il ne se privait jamais de s'arranger pour que sa mère lui en flanque des mémorables. Les petites dénonciations perfides étaient monnaie-courante. Alors... le voir subir le même châtiment –  mais proportionné à son âge et au volume conséquent de son derrière –  l’entendre supplier et pleurer comme le ferait un gamin puni, aller au coin déculotté, demander pardon tout repentant, devenir obéissant et docile aux commandements de Gladys, tout cela l’emplissait d’une satisfaction qui primait largement sur ses fugaces élans de compassion.

Mais ce dimanche, Robin se réveilla avec un léger mal de gorge qu'il attribua aux courants d’air subis alors qu’en pyjama il était sur le palier à regarder avec plaisir les fessées de son beau-père. Cela s’atténua rapidement dans la journée, mais lui donna l'idée, en trafiquant un peu le thermomètre, d'une soudaine mais opportune montée de température. Il avait donc de la température et Gladys, pour une fois sans chercher plus loin, décida que, bien que les vacances étaient terminées, il ne rentrerait pas à l’école le lundi comme il était prévu. En dépit du soit disant mal de gorge, cela évidemment ne le chagrina pas du tout.
Ce dimanche soir, couché de bonne heure, il entendit le bruit éclatant des claques sur le fessier d'Edouard rythmées par les cris et les pleurs consécutifs. La fessée du soir n’avait pas été oubliée mais il se contenta de l’écouter, blotti sous ses couvertures et imaginant la scène qu'il aurait pu contempler s'il s'était levé et posté sur le palier.

Le lundi matin, réveillé à l’heure habituelle, mais se portant volontiers encore malade, il ne décida de se lever qu’à l’heure du départ de son beau-père pour le bureau. Peu de temps après son réveil, il entendit, sans surprise, que sa mère mettait à exécution la sentence prévue et qu’elle lui flanquait une vigoureuse fessée “pour la journée ''. C’était de nouveau le bruit caractéristique de fortes claques sur des fesses déculottées qui emplissait la maison, accompagné des promesses habituelles de circonstance.
– « Arr...  Arrête Gladys !  Je t'en prie... Je ne recommencerai pluuuus ! Paaardoooon !” plus la fesssséeee ! »
Gladys s'en moquait éperdument. Bien au contraire les cris et supplications du mari puni indiquaient que la fessée était bien administrée, ce qui l'incitait à la rendre encore plus sévère.
– « Edouard, mon chéri, fais un effort, articule! Tes fesses claquent tellement fort que j'ai du mal à comprendre ce que tu dis ! »
Et de redoubler d’intensité sur les belles fesses écarlates qui en sautaient frénétiquement encore plus haut sur ses cuisses.

Patricia, était descendue un peu plus tôt que d'habitude, pour assister au cérémonial de la fessée en prenant son petit déjeuner. Commencer la journée au son d'une magistrale déculottée administrée sur un aussi magnifique postérieur, la rendait pleine d'entrain pour la matinée.  Elle dégusta tranquillement ses toasts, en chantonnant, tandis que, encore amplifié par la résonance sur le carrelage, le claquement du gros fessier tressautant au bout de la table, emplissait tout l'espace de la cuisine. Elle remarqua avec un sourire amusé que le derrière enluminé du beau-père prenait peu à peu la même couleur que la confiture de fraise qu'elle étalait sur ses tartines de pain de mie. De temps en temps une série de claquées plus appuyées provoquait une ruade réflexe du puni qui heurtait un pied de la table en faisant sauter les couverts sur la nappe. Un couteau rebondit par terre avec un joli bruit métallique. Entre le niveau sonore élevé de la fessée, les hurlements d'Edouard et les vociférations de Gladys, le vacarme avait beau être assourdissant, il n'en était pas moins plaisant aux oreilles de Patricia. Ce régime de punitions, amplement justifiées, était quand même l'événement majeur qui allait occuper l'attention et les conversations du quartier pendant toute la semaine.

Robin descendit à son tour en s'efforçant de tousser un peu, regrettant finalement d'avoir trop attendu et d'arriver au moment où la fessée était finie. Edouard, à genoux déculotté au milieu de la cuisine, les fesses fumantes, embrassait la main de Gladys en reniflant ses larmes, pour la remercier de la cuisante fessée qu'elle venait de lui administrer. Sa première de la journée suffisamment longue et appuyée pour lui tenir les fesses sensibles jusqu'à celle du soir.
– « Et tu as vivement intérêt de rentrer directement à la maison après le bureau. »
Lui dit la charmante épouse, en agitant sa main d’un geste menaçant, d’autant plus significatif que la paume était encore brûlante. Tout en se reculottant avec d'énormes difficultés pour faire rentrer son gros derrière dans son slip trop serré, il promit, jura, de venir à l'heure lui présenter ses fesses à déculotter pour recevoir sa fessée du soir.

– Tu peux jurer tout ce que tu veux, de toute manière tu sais ce qui t'attend !
–  Croix de bois, croix de fer... s'il ment, fessée d'enfer ! »
Avait commenté, Patricia d'un ton badin en se levant de table. Gladys rit en se frottant les mains. Elle avait encore tapé fort, mais c'était sa manière habituelle de fesser.  Elle regarda son mari finir de se démener avec son slip et remonter lentement son pantalon en se tortillant comme un beau diable.
– « Dépêche-toi de te reculotter et file au bureau... Tu vas être en retard et obligé d'expliquer pourquoi à ta chef de service. Elle est au courant de tes fessées, et tout à fait prête à prendre le relais en cas de nécessité... ça l'amuserait beaucoup. » 
Elle interpelle Robin qui finissait son bol de café au lait sans dire un mot. Il voyait bien que ce n'était pas le moment de trop se manifester.
– « Et toi Robin... ton mal de gorge ?
– Euuuuh... je n'ai presque plus mal maman... C'était pas grave... mais je sens encore...
Elle le fixe alors d'un air soupçonneux
– « Pas grave... pas grave... Qu'est-ce que tu me fais là ? Tu as vraiment mal ou pas du tout ? »
Il sent qu'il vaut mieux ne pas insister et commence à rétrograder au point mort. Ce n'était pas une bonne idée.
– Pas grave maman... Je te jure, j'avais mal hier, mais... c'est presque passé... »
Patricia toujours à mettre les pieds sur la soupe et des cheveux dans le plat pour éclabousser partout, enchaîne aussitôt.
– « Tu parles oui ... C'était pour ne pas aller en cours aujourd'hui ! Ça mérite une fessée ça !
Gladys, qui a vite compris, réagit aussitôt sans demander d'explication. Elle regarde son fils d'un air sévère.
– « Baisse ton pantalon et amène-moi tes fesses ! J'ai la main encore chaude de la fessée de ton beau-père, je vais leur en faire profiter tout de suite ! » 
Robin garçon sursaute et manque renverser par terre son bol heureusement vide.
– « Mais si maman... je t'assure que... S'il te plaît, pas la fessée !
– Mieux vaut prévenir que guérir ! Je suis sûre que quand tu auras les fesses en feu après une bonne fessée, tu ne sentiras plus du tout ton mal de gorge et tu seras prêt à aller en cours.  Viens ici !
– C'est de la fessée homéopathique…Soigner le mal par le mal ! »


une fessée déculottée en préparation


 Ironise Patricia qui n'en espérait pas tant. Cette journée s'annonçait décidément passionnante en commençant dès le matin par deux fessées consécutives. Elle ne faisait pour le moment que d'y assister, mais étant donné l'atmosphère disciplinaire ambiante, elle se doutait bien que l'occasion se présenterait de passer à l'action, à un moment ou un autre.

Robin avait peur du martinet, mais alors qu'il s'approchait en pleurnichant et baissant son pantalon, sa mère l'attrapa par le cou, le courba sous son bras, et, au lieu de le déculotter complètement lui remonta au maximum son slip, en le faisant ainsi disparaître entre ses fesses bien rebondies. Elle passa la main sous son ventre pour les relever encore, bien déployées, tendues au maximum.  En cinq minutes d'une fessée expresse, elle lui monta le derrière à l'écarlate et le reposa par terre en accompagnant le mouvement d'une vigoureuse claquée sur chaque fesse. D'un indexe autoritaire, elle lui ressorti le slip de la raie et, dans un bruissement d'élastique, le lui réajusta sans ménagement, bien serré sur le derrière.

– « Voilà... ça va beaucoup mieux comme ça, n'est-ce pas mon chéri ! Dit-elle, l'air satisfait d'avoir trouvé le traitement adapté à la situation – Maman trouve toujours les bons remèdes. Je suis sûre que tu n'as plus du tout mal à la gorge, et si tu as encore de la température, maintenant c'est uniquement sur les fesses ! – Elle rit – Elle n'est pas belle la vie? Ça t'apprendra à simuler !  Aller... dépêche-toi... File en cours !  Et estimes toi heureux que je ne t'y envoie pas les fesses à l'air pour que tout le monde voit que tu t'en as déjà pris une bonne dès le matin ! ».

– C'est vraiment dommage !  Dit Patricia songeuse, en reluquant, avec gourmandise, la volumineuse paire de fesses qui gonflait le fond de son pantalon. Limite si on n'en percevait pas la cuisson au tissu tendu dessus à craquer -- Elles ont pris une si belle couleur... ».


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 14
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, le chapitre 16.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

1 commentaire:

  1. Bonsoir Ramina,

    "C'est de la fessée homéopathique " Dixit Patricia.
    La médecine naturelle fait ses preuves. Et avec les plantes, pas d'accoutumance, ni effets secondaires. Et renouvelable à volonté.
    En matière de fessées, le Docteure Tapefort prescrit un remède... de cheval. Ordonnance en auto-médication.
    "Bien mal acquis ne profite jamais". Et Robin en fait les frais.
    Lui qui se réjouissait intérieurement de ne pas être pour une fois le centre de toutes les punitions énoncées. Mais sa stratégie échoue.
    Echec au Roi par la Reine et Pat pour les Rois.
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.