LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
EDOUARD MANIPULE, ROBIN SIMULE...
– « Quand on a le derrière solidement culotté dans ce
genre de slip, on sait que c'est pour s’en prendre une sévère ! » Avait-elle
argumenté en riant.
– « Excellente
idée, demande accordée ! Avait aussitôt déclaré Gladys qui présidait
la séance. Pour une meilleure efficacité de sa punition, il est important que
monsieur ressente en permanence la menace d'une fessée planer sur son gros
derrière. Il doit le tenir prêt à s'en prendre une à n'importe quel moment de
la journée, sans qu'elle soit nécessairement annoncée. En supplément, bien sûr,
de la périodicité prévue matin et soir, pendant une semaine.
Avec une telle
fréquence de corrections, on n'était pas loin des journées ''fesses rouges''
chères à l'amie Sylvie, une autre voisine particulièrement pointilleuse sur la
discipline conjugale avec son mari.
– Et on commence dès ce soir... N'est-ce pas
maman ? »
S'était exclamé Patricia en battant des mains.
– « On va d'abord dîner et on aura tout notre temps après
le repas. Un peu d'exercice après manger ne peut que faciliter la
digestion ! ».
Le repas terminé, Gladys se leva, contourna
vivement la table et sans laisser à son mari le temps de se lever complètement
l’attrapa par une oreille ! Ne se retenant plus de gémir et même de
pleurnicher, il supplia d’une voix implorante, de façon parfaitement inutile.
- « Non chérie s'il te plaît... Pas
la fessée ! pas la fessée ! »
. Mais en quelques secondes, Gladys lui avait
fait faire le tour de la table, toujours fermement tenu par une oreille,
l'avait traîné jusqu'à sa chaise et l’avait couché sur ses genoux. Elle le
sermonne comme un gamin pris la main dans le bocal à bonbons.
– « Bien sûr que si la fessée, et une
sévère encore! Parce que maintenant monsieur s'amuse à manipuler ses
petits camarades... les pousser à la faute ! Il faut payer tes mensonges
et tes petites manigances mon cher. Exactement comme ton ami Gilbert doit le
faire en ce moment sur les genoux de sa femme.
Et ce n'est que le début de votre punition.
– Oui, que le début ! Ajoute Patricia en
tournant sa chaise dans leur direction pour mieux profiter de la séance –
Première fessée ce soir, une autre demain matin et ainsi de suite pendant toute
la semaine... On va se régaler ! »
Dressé à bien présenter ses fesses, Edouard,
contraint et forcé, s'est mis aussitôt en bonne position afin de satisfaire au
rituel du déculottage imposé par son exigeante épouse. Une fois installé sur
ses cuisses il bombe au maximum son gros derrière pour faciliter le glissement
du slip, puis, pour bien montrer sa soumission, le tend, développé dans toute
sa double rondeur, présentant ainsi la meilleure cible possible à la fessée. Le
claquement sec de l'élastique sur ses cuisses en donne le signal et elle
démarre immédiatement à un rythme très rapide. Patricia ne boude pas son
plaisir. Elle se sert un nouveau verre de vin en encouragent sa mère qui n'en a
pas vraiment besoin.
– « Bravo maman ! J'adore quand les
fessées démarrent comme ça, sans préchauffage et bien cuisantes immédiatement.
Gladys ne répond pas et s'applique à bien tenir
le rythme. Les claques tombent drues
avec une sonorité éclatante, assourdissante presque, qui emplit la pièce et
sans doute les environs immédiats de la maison, la fenêtre étant grande ouverte
comme il était habituel dans ce cas …et justement dans ce but … A l'heure qu'il
est, tout le monde est chez soi, et peut profiter du concert en finissant tranquillement
de dîner !
Robin ne la ramène pas trop, mais suit le
déroulement de la correction en mettant un temps fou à éplucher son orange, l'œil
pétillant d'une joie un peu revancharde.
Incapable de se retenir, Edouard s’est mis à
crier et lâcher ses sanglots. Son fessier retrouve en totalité une belle
couleur rouge, de plus en plus vive. Gladys a l'expérience d'une pratique
régulière. Elle fesse de façon méthodique, la main haut levée s’abattant
vigoureusement et sans répit sur toutes la vaste surface du postérieur,
contraint de rester parfaitement tendu : fesse droite, fesse gauche, le haut,
le bas, les côtés. Efficace, elle n’épargne aucune parcelle du derrière
bondissant et s'applique à en faire systématiquement le tour, incluant
largement le haut des cuisses et redoublant de vigueur quand elle claque le
plein milieu des fesses, bien charnu, bien rond, rebondissant à souhait.
L'avantage de disposer d'une paire de fesses aussi généreusement développée.
Le malheureux, les mains appuyées sur le sol, a
les jambes qui battent désespérément l’air, sa croupe devenant progressivement
cramoisie, d’un pourpre resplendissant de plus en plus intense. Il n’essaye
même plus de demander pardon, se limitant à supplier entre les sanglots, comme
on l'entend faire régulièrement pendant ses corrections.
– « Pitié, chérie ! Pitié !
Arrête s'il te plaît... Plus la fessée ! »
Mais Il
connaît trop bien l'intransigeance de sa femme et sait qu’il ne peut pas
espérer atténuer la sévérité de sa fessée. Il lui faut l’endurer, les fesses
toujours tendues, présentées bien à sa main pendant toute sa durée, sous la
menace de l'inévitable fessée supplémentaire au moindre relâchement.
Il pleure seulement de plus en plus fort, les
larmes inondant ses joues. La tête relevée, il parcoure des yeux, la glace
devant laquelle elle le corrige, où se reflète la scène. Puis se tournant le
plus possible, il jette un regard désespéré à son derrière écarlate, sans
oublier, dans ce mouvement de tête semi-circulaire, de regarder aussi Patricia,
la mine réjouie et Robin, restés assis à table. Un peu comme s'il avait besoin
de constater, toute honte bue, que sa fessée était bien visible, publique,
administrée dans le cadre familial ! Une fessée des familles en quelque
sorte !
Robin, méfiant, s'efforce quant à lui de garder
un visage neutre, quasi indifférent, comme s'il n’approuvait ni ne
désapprouvait cette formidable fessée. Patricia souriante, n'a aucune raison de
masquer son plaisir et, quand elle ne fesse pas elle-même, se régale du
spectacle sans aucun scrupule.
L’idée lui traversa l’esprit qu’il y avait pas
mal de chances pour qu’à ce moment même, le beau Gilbert, lui aussi déculotté,
à plat ventre sur les genoux de sa femme, était en train de recevoir une fessée
aussi énergique que celle d'Edouard, pleurant comme un sale gosse en tortillant
ses fesses sans espoir. Elle se prit
même à espérer que la provocante Bettina- qui sait ? - était dans la même
position sur les genoux de son mari, dans une pièce de la maison voisine, les fenêtres grandes
ouvertes. Elle tendit l’oreille au maximum, mais le bruit éclatant des claques
sur le gros fessier déculotté d’Edouard et ses sanglots sonores,
l’empêchaient d’entendre aucun autre bruit qui aurait pu éventuellement
troubler l'atmosphère de la soirée.
Gladys arrêta soudain de donner la fessée
...mais ce n’était que pour remettre son mari en meilleure position. Le visage
décomposé, reprenant sa respiration difficilement, il dû encore faire preuve de
soumission et lui faciliter la tâche en lui offrant, à nouveau, son postérieur
flamboyant, parfaitement déployé pour la reprise de sa fessée. Sans aucun état
d'âme, et bien décidée à prolonger sa correction aussi longtemps qu'elle
l'estimait nécessaire, elle redémarra la fessée de plus belle, la cadence des
claques s’accélérant encore sur le derrière trépidant.
– « On va voir ça, si je n’arrive pas à te
faire passer l'envie de tes petits coups tordus et à te corriger pour de bon de
tes sales manies! » Cria l'épouse toujours en colère.
Enfin, les claques s’arrêtèrent... Edouard
glissa à genoux, pantelant, s’étouffant presque tellement il pleurait. Il
passait lentement une main sur ses fesses en feu, hoquetant, inclinant
timidement sa tête sur la cuisse de son épouse qui le toisa du regard, avec un
sourire condescendant, dégoulinant d'ironie.
– « Alors... Belle fessée non ? Tu l'as sentie passer sur tes fesses celle-là ! Elles te cuisent bien j'espère !... Et
qu'est-ce qu'on dit maintenant à sa petite femme chérie... Hum ? Je n'ai
encore rien entendu ?
– C'est vrai ça ! dit Patricia en
finissant son verre... Moi non plus je n'ai rien entendu ? Et toi Robin, tu as entendu quelque chose...
Des excuses... Une demande de pardon ? Même pas un remerciement ! Rien
que pour ça, moi je lui en remettrais une autre tout de suite ! »
Robin n'osa rien répondre et se contenta
de hausser des épaules en feignant ne pas avoir d'avis sur la question. Il n'en
pensait pas moins. Edouard leva son visage brillant de larmes vers son épouse
en se tenant les fesses à deux mains. Comme il était loin l'homme un peu
arrogant, sûr de lui et de sa capacité d’influence sur les autres.
– « Mer... Merci chérie... pour... pour …
– Oui, Edouard... je t'écoute... Merci...
pourquoi donc ?
– Merci... Merci pour... pour cette bonne fes...
fessée que... que j'ai bien... mé... méritée …je ne recommencerai plus...
Le visage de Gladys s'éclaira d'un sourire
moqueur.
– Ah là là...Mon pauvre ami !... J'ai déjà
entendu ça, maintes et mainnnntes fois !
C'est pour ça que moi, j'ai bien l'intention de recommencer ! Tu as
déjà oublié. La punition c'est, fessées matin et soir pendant une
semaine !
– Matin et soir… pendant une semaine !
Insista inutilement Patricia en lançant à sa mère un clin d'œil demandeur de
faveur. Je pourrais peut-être lui en mettre quelques-unes... moi aussi ?
Il y a, facile, de la place pour deux sur ses grosses fesses !
– Bien sûr ma chérie, je sais que tu en meurs
d'envie. Je te laisserai lui en flanquer deux ou trois... On verra ça.
Edouard, pantalon aux chevilles, le slip sur
les cuisses, gémissait aux pied de Gladys en massant doucement ses fesses
incandescentes pour essayer d'en atténuer la cuisson. L'épouse goguenarde, lui
laissa quelques secondes pour se ressaisir et au lieu de l'envoyer au coin, lui
commanda.
–
« Maintenant, prends ton martinet et files au lit préparer tes fesses pour
demain matin! »
Il ne se fit pas dire deux fois, tout en
continuant à pleurer, il rafla le martinet, resté sur la table et courut vers l’escalier en tenant
son pantalon d'une main et, de l'autre, son derrière écarlate. Le simple
contact de ses fesses l'une contre l'autre en montant les marches, le faisait
souffrir atrocement.
Gladys ordonna à Robin de débarrasser la table
qui n’était pas desservie et d'aller ensuite se coucher. Il obéit sans discuter
pensant qu’elle n’était pas d’humeur à être contrariée. Elle se rendit au
salon, bras dessus bras dessous avec Patricia, qui a sa demande, servi un
Brandy, pour trinquer avec enthousiasme aux bienfaits de la discipline
conjugale.
Arrivé sur le palier en haut de l’escalier,
Robin s'aperçut que Edouard, soit, volontairement à l’intention de sa mère,
soit troublé par l’émotion, avait laissé la porte de leur chambre grande
ouverte. Subrepticement, il risqua un œil… Leur chambre était éclairée par les
lampes de chevet. Son beau-père encore secoué de sanglots, la tête enfouie dans
le traversin sur lequel il avait disposé le martinet prêt à être utilisé,
s'était positionné sur la pile d’oreillers qu’il avait entassée au milieu de
leur lit. Il présentait ainsi son provocant postérieur, toujours déculotté,
comme une grosse sphère rouge qui semblait à elle seule être l’objet principal
– voir unique – de la chambre. Le reflet
des lampes de chevet, en partie braquées sur sa croupe incandescente, semblait
l’éclairer de l’intérieur, brillante comme une troisième lampe...aussi
brillante que les lampes de chevet et, de loin, la plus volumineuse. Sans faire
de bruit, le garçon s'enferma dans sa chambre et se coucha.
Pas tout à fait au même niveau de responsabilité, dans ce
qui était devenu '' l'affaire Bettina '' Edouard, par ses incitations
complices, allait devoir en assumer les mêmes conséquences que Gilbert, le
fautif. Intraitables, les deux épouses étaient bien décidées à leur en faire
baver. Régine trahie et Gladys abusée, appliquaient la sentence avec rigueur et
constance tant au niveau de la sévérité des corrections qu'à celui de leur
fréquence. Les fessées claquaient matin et soir avec la régularité d'un
métronome battant la mesure et la ponctualité d'une l'époque révolue où les
trains arrivaient toujours à l'heure.
Robin s'en régalait à chaque fois, essayant de ne rater
aucune des corrections de son beau-père. Pendant que sa mère lui claquait les
fesses, elle ne s'occupait pas des siennes qui en profitaient pour se reposer
un temps sur leurs deux hémisphères. Il
avait assisté aux tentatives prudentes d'Edouard, qui gardait son derrière
souvent cuisant et toujours douloureux depuis ce vendredi soir, pour essayer de
trouver une échappatoire ou l’espérance d’un terme rapide à cette punition,
mais cela était vain.
Loin de là, les journées de samedi et de dimanche, avaient
commencé et fini par une éclatante fessée matin et soir avec l’énergie que
Gladys mettait toujours à claquer le rutilant fessier si bien rebondi de son
chéri. Pour un oui ou pour un non, un faux prétexte une futilité quelconque,
cela était ponctué sans préavis tout au long de la journée. Quelques claques vigoureuses sous son bras ou
dans toute autre position, les fesses disponibles, obéissantes, toujours bien
présentées comme elle l'avait dressé à le faire. Elle exécutait ainsi, sans états
d'âme, les strictes mesures disciplinaires annoncées, en le maintenant, en
permanence, sous la menace d'une fessée qu'elle pouvait décider de faire
claquer à n'importe quel moment, selon son humeur.
Comme le faisait Rodolphe qui le lui avait raconté, Robin,
dès qu'il le pouvait, assistait discrètement aux fessées du haut de l’escalier.
Se régalant de voir la belle paire de fesses du beau-père, devenues écarlates,
véritablement danser matin et soir, sous la main infatigable de sa mère. Il le
plaignait un peu, en connaisseur du douloureux effet des fessées, mais d’un
autre côté, il lui fallait bien le reconnaître, il éprouvait un certain plaisir
à le voir recevoir la fessée à son tour. Car, si Edouard avait interdiction de
le corriger lui-même, il ne se privait jamais de s'arranger pour que sa mère
lui en flanque des mémorables. Les petites dénonciations perfides étaient
monnaie-courante. Alors... le voir subir le même châtiment – mais proportionné à son âge et au volume
conséquent de son derrière – l’entendre
supplier et pleurer comme le ferait un gamin puni, aller au coin déculotté,
demander pardon tout repentant, devenir obéissant et docile aux commandements
de Gladys, tout cela l’emplissait d’une satisfaction qui primait largement sur
ses fugaces élans de compassion.
Mais ce
dimanche, Robin se réveilla avec un léger mal de gorge qu'il attribua aux
courants d’air subis alors qu’en pyjama il était sur le palier à regarder
avec plaisir les fessées de son beau-père. Cela s’atténua rapidement dans la
journée, mais lui donna l'idée, en trafiquant un peu le thermomètre, d'une
soudaine mais opportune montée de température. Il avait donc de la température
et Gladys, pour une fois sans chercher plus loin, décida que, bien que les
vacances étaient terminées, il ne rentrerait pas à l’école le lundi comme il était prévu. En
dépit du soit disant mal de gorge, cela évidemment ne le chagrina pas du tout.
Ce dimanche soir,
couché de bonne heure, il entendit le bruit éclatant des claques sur le fessier
d'Edouard rythmées par les cris et les pleurs consécutifs. La fessée du soir
n’avait pas été oubliée mais il se contenta de l’écouter, blotti sous ses
couvertures et imaginant la scène qu'il aurait pu contempler s'il s'était levé
et posté sur le palier.
Le lundi
matin, réveillé à l’heure habituelle, mais se portant volontiers encore malade,
il ne décida de se lever qu’à l’heure du départ de son beau-père pour le
bureau. Peu de temps après son réveil, il entendit, sans surprise, que sa mère
mettait à exécution la sentence prévue et qu’elle lui flanquait une vigoureuse
fessée “pour la journée ''. C’était de nouveau le bruit caractéristique de
fortes claques sur des fesses déculottées qui emplissait la maison, accompagné
des promesses habituelles de circonstance.
– « Arr... Arrête
Gladys ! Je t'en prie... Je ne
recommencerai pluuuus ! Paaardoooon !” plus la fesssséeee ! »
Gladys s'en moquait éperdument. Bien au contraire les cris
et supplications du mari puni indiquaient que la fessée était bien administrée,
ce qui l'incitait à la rendre encore plus sévère.
– « Edouard, mon chéri, fais un effort, articule! Tes
fesses claquent tellement fort que j'ai du mal à comprendre ce que tu
dis ! »
Et de redoubler d’intensité sur les belles fesses écarlates
qui en sautaient frénétiquement encore plus haut sur ses cuisses.
Patricia, était descendue un peu plus tôt que d'habitude,
pour assister au cérémonial de la fessée en prenant son petit déjeuner.
Commencer la journée au son d'une magistrale déculottée administrée sur un
aussi magnifique postérieur, la rendait pleine d'entrain pour la matinée. Elle dégusta tranquillement ses toasts, en
chantonnant, tandis que, encore amplifié par la résonance sur le carrelage, le
claquement du gros fessier tressautant au bout de la table, emplissait tout
l'espace de la cuisine. Elle remarqua avec un sourire amusé que le derrière
enluminé du beau-père prenait peu à peu la même couleur que la confiture de
fraise qu'elle étalait sur ses tartines de pain de mie. De temps en temps une
série de claquées plus appuyées provoquait une ruade réflexe du puni qui
heurtait un pied de la table en faisant sauter les couverts sur la nappe. Un
couteau rebondit par terre avec un joli bruit métallique. Entre le niveau
sonore élevé de la fessée, les hurlements d'Edouard et les vociférations de
Gladys, le vacarme avait beau être assourdissant, il n'en était pas moins
plaisant aux oreilles de Patricia. Ce régime de punitions, amplement
justifiées, était quand même l'événement majeur qui allait occuper l'attention
et les conversations du quartier pendant toute la semaine.
Robin descendit à son tour en s'efforçant de tousser un
peu, regrettant finalement d'avoir trop attendu et d'arriver au moment où la
fessée était finie. Edouard, à genoux déculotté au milieu de la cuisine, les
fesses fumantes, embrassait la main de Gladys en reniflant ses larmes, pour la
remercier de la cuisante fessée qu'elle venait de lui administrer. Sa première
de la journée suffisamment longue et appuyée pour lui tenir les fesses
sensibles jusqu'à celle du soir.
– « Et tu as vivement intérêt de rentrer directement à
la maison après le bureau. »
Lui dit la charmante épouse, en agitant sa main d’un geste
menaçant, d’autant plus significatif que la paume était encore brûlante. Tout
en se reculottant avec d'énormes difficultés pour faire rentrer son gros
derrière dans son slip trop serré, il promit, jura, de venir à l'heure lui présenter ses fesses
à déculotter pour recevoir sa fessée du soir.
– Tu peux jurer
tout ce que tu veux, de toute manière tu sais ce qui t'attend !
– Croix
de bois, croix de fer... s'il ment, fessée d'enfer ! »
Avait commenté,
Patricia d'un ton badin en se levant de table. Gladys rit en se frottant les
mains. Elle avait encore tapé fort, mais c'était sa manière habituelle de
fesser. Elle regarda son mari finir de
se démener avec son slip et remonter lentement son pantalon en se tortillant
comme un beau diable.
– « Dépêche-toi
de te reculotter et file au bureau... Tu vas être en retard et obligé
d'expliquer pourquoi à ta chef de service. Elle est au courant de tes fessées,
et tout à fait prête à prendre le relais en cas de nécessité... ça l'amuserait
beaucoup. »
Elle interpelle
Robin qui finissait son bol de café au lait sans dire un mot. Il voyait
bien que ce n'était pas le moment de trop se manifester.
– « Et toi
Robin... ton mal de gorge ?
– Euuuuh... je
n'ai presque plus mal maman... C'était pas grave... mais je sens encore...
Elle le fixe
alors d'un air soupçonneux
– « Pas
grave... pas grave... Qu'est-ce que tu me fais là ? Tu as vraiment mal ou pas
du tout ? »
Il sent qu'il
vaut mieux ne pas insister et commence à rétrograder au point mort. Ce n'était
pas une bonne idée.
– Pas grave
maman... Je te jure,
j'avais mal hier, mais... c'est presque passé... »
Patricia
toujours à mettre les pieds sur la soupe et des cheveux dans le plat pour
éclabousser partout, enchaîne aussitôt.
– « Tu parles
oui ... C'était pour ne pas aller en cours aujourd'hui ! Ça mérite
une fessée ça !
Gladys, qui a
vite compris, réagit aussitôt sans demander d'explication. Elle regarde son
fils d'un air sévère.
– « Baisse
ton pantalon et amène-moi tes fesses ! J'ai la main encore chaude de la
fessée de ton beau-père, je vais leur en faire profiter tout de
suite ! »
Robin garçon
sursaute et manque renverser par terre son bol heureusement vide.
– « Mais si maman... je t'assure que... S'il te plaît,
pas la fessée !
– Mieux vaut prévenir que guérir ! Je suis sûre que
quand tu auras les fesses en feu après une bonne fessée, tu ne sentiras plus du
tout ton mal de gorge et tu seras prêt à aller en cours. Viens ici !
Ironise Patricia qui n'en espérait pas tant. Cette
journée s'annonçait décidément passionnante en commençant dès le matin par deux
fessées consécutives. Elle ne faisait pour le moment que d'y assister, mais
étant donné l'atmosphère disciplinaire ambiante, elle se doutait bien que
l'occasion se présenterait de passer à l'action, à un moment ou un autre.
Robin avait peur du martinet, mais alors qu'il s'approchait
en pleurnichant et baissant son pantalon, sa mère l'attrapa par le cou, le
courba sous son bras, et, au lieu de le déculotter complètement lui remonta au
maximum son slip, en le faisant ainsi disparaître entre ses fesses bien rebondies.
Elle passa la main sous son ventre pour les relever encore, bien déployées,
tendues au maximum. En cinq minutes
d'une fessée expresse, elle lui monta le derrière à l'écarlate et le reposa par
terre en accompagnant le mouvement d'une vigoureuse claquée sur chaque fesse.
D'un indexe autoritaire, elle lui ressorti le slip de la raie et, dans un
bruissement d'élastique, le lui réajusta sans ménagement, bien serré sur le derrière.
– « Voilà... ça va beaucoup mieux comme ça, n'est-ce
pas mon chéri ! Dit-elle, l'air satisfait d'avoir trouvé le traitement adapté à
la situation – Maman trouve toujours les bons remèdes. Je suis sûre que tu n'as
plus du tout mal à la gorge, et si tu as encore de la température, maintenant
c'est uniquement sur les fesses ! – Elle rit – Elle n'est pas belle la
vie? Ça t'apprendra à simuler !
Aller... dépêche-toi... File en cours ! Et estimes toi
heureux que je ne t'y envoie pas les fesses à l'air pour que tout le monde voit
que tu t'en as déjà pris une bonne dès le matin ! ».
– C'est
vraiment dommage ! Dit Patricia
songeuse, en reluquant, avec gourmandise, la volumineuse paire de fesses qui
gonflait le fond de son pantalon. Limite si on n'en percevait pas la cuisson au
tissu tendu dessus à craquer -- Elles ont pris une si belle couleur... ».
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 14
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimer"C'est de la fessée homéopathique " Dixit Patricia.
La médecine naturelle fait ses preuves. Et avec les plantes, pas d'accoutumance, ni effets secondaires. Et renouvelable à volonté.
En matière de fessées, le Docteure Tapefort prescrit un remède... de cheval. Ordonnance en auto-médication.
"Bien mal acquis ne profite jamais". Et Robin en fait les frais.
Lui qui se réjouissait intérieurement de ne pas être pour une fois le centre de toutes les punitions énoncées. Mais sa stratégie échoue.
Echec au Roi par la Reine et Pat pour les Rois.
Amicalement. Peter.