« Oh, excusez-moi ! »
Camille dont les fesses étaient tournées vers la porte, ne
pouvait pas voir de qui il s’agissait. Madame Caroni leva la tête. Un jeune
homme se tenait devant elle. Son visage était tout rouge, ses yeux écarquillés
et il restait là à regarder le tableau qui se déroulait devant lui. Il avait dû
se persuader qu’il ne rêvait pas. C’était bien une fessée déculottée qu’il
avait interrompue.
Il avait du mal à identifier la jeune fille qui la recevait
et il ne connaissait pas la dame qui la donnait. La correction paraissait
douloureuse et elle accaparait toute l’énergie de celle qui était punie, au
point qu’elle ne se rendit compte que tardivement de sa présence. Il avait
naturellement cru qu’il s’agissait d’une jeune adolescente que sa mère
punissait, ce qui était déjà rare quand cela se déroulait en public, mais les
contorsions de la jeune fille punie lui permirent de reconnaître l’une de ses
voisines dont il ne connaissait pas le nom, mais qui avait à peu près le même
âge que lui.
Son trouble augmenta et il jugea qu’il n’était pas à sa
place. Il s’apprêtait à faire demi-tour quand la dame l’arrêta.
« Restez-là, jeune homme. Nous en avons fini dans une
minute et nous vous laissons la place. »
Elle avait arrêté la fessée et sa main s’était posée sur les
fesses copieusement rougies.
« Mais…
– Soyez un peu patient, à moins que vous ne soyez pris d’une
envie pressante ?
– Non, ce n’est pas cela, je peux attendre mais…
– Alors attendez en silence. Vous ne nous gênez pas, si vous
ne bougez pas et si vous faites silence. Est-ce bien compris ? »
Le ton était autoritaire et elle ne plaisantait pas. Il
sentait que ce n’était pas le moment de la contrarier.
« Oui Madame. »
La fessée reprit sous ses yeux. Le spectacle aurait pu être
impudique. La jeune fille montrait naturellement ses fesses puisque sa culotte
était à la hauteur de ses genoux. Mais, au gré des mouvements qu’elle faisait
sous l’impulsion de la main qui claquait ses fesses, elle écartait ses jambes
et son vagin apparaissait sous ses yeux ébahis.
Dès qu’elle s’était rendu compte de sa présence, elle avait
serré les jambes, mais peu de temps après que la fessée eut repris, elle ne
contrôlait plus du tout ce qu’elle faisait et ce qu’elle laissait voir de son
intimité ne semblait plus qu’une préoccupation de second ordre. C’était une
sévère punition qui se tenait sous ses yeux et l’exposition de la nudité
partielle de la jeune femme n’en était qu’une condition nécessaire. Il n’y
avait pas de doute, à tel point que le jeune homme compatissait avec la jeune
femme qui apprenait sous la main punitive.
La fessée cessa.
« Bon, est-ce que tu penses que cette fessée est
suffisante, ma chérie, pour t’apprendre à travailler plus assidûment ?
– Oh oui Madame ! »
La jeune fille ne cherchait pas à se libérer. Elle se tenait
le plus sagement possible, sanglotant doucement sous le bras de sa fesseuse.
« Habitez-vous ici, jeune homme ? »
Fasciné par la rougeur des fesses, il mit plusieurs secondes
à se rendre compte que c’était à lui qu’on parlait.
« Je vous parle, jeune homme ! »
La voix avait ce ton d’autorité qui faisait qu’on lui
prêtait attention. Elle lui rappelait celle qu’utilisaient certaines figures
d’autorité de son enfance quand il avait été en tort. De plus, la fessée à
laquelle il venait d’assister ne lui donnait pas envie de la défier.
« Oui, ici.
– Oui qui ? Parlez correctement, jeune homme !
– Oh, oui Madame ! J’habite ici, dans la chambre
là-bas, un peu plus loin, dit-il en faisait un vague geste du bras.
– Voilà qui est mieux. »
Le ton était donné. Elle avait instauré une relation
d’autorité en deux phrases.
« Avez-vous remarqué, jeune homme, que cette salle de
bain a été nettoyée ?
– Non Madame… euh si… je veux dire oui, je l’ai remarqué.
C’est propre !
– Exactement c’est propre et ce n’est pas grâce à vous.
Depuis combien de temps habitez-vous ici.
– Trois ans, Madame.
– Et en trois ans, combien de fois y avez-vous fait le
ménage ? »
Le jeune homme rougit. Il baissa la tête. L’absence de
réponse était éloquente.
« Comme Camille ! Cela fait tellement longtemps
que vous ne vous en souvenez pas. C’est une honte. Camille a reçu une fessée,
mais vous en mériteriez une également. »
Ennoncée dans ces conditions, cette hypothèse ne lui sembla
pas totalement absurde. Il s’imagina un court instant courbé sous le bras de
cette dame, son pantalon et sa culotte à la hauteur de ses genoux. Non, décidément, cela n’était pas impossible.
« Donnez-moi le numéro de votre chambre !
– La onze, Madame.
– Bien, je viendrai examiner la salle de bain après votre
passage. Si j’y trouve la moindre trace de salissure dont vous pourriez être
l’auteur, je viendrai vous chercher dans votre chambre et nous reparlerons de
cette fessée dont vous auriez le plus grand besoin. Est-ce compris ?
– Oui Madame.
– Camille, allons-y ! »
Elle remit la culotte de Camille à sa place initiale et elle
releva la jeune fille qui dut faire face à son voisin. Ils étaient rouge pivoine
tous les deux et leurs regards ne se croisèrent qu’un bref instant. Camille
crut qu’elle allait mourir de honte sur place. Elle eut un bref hoquet et ses
yeux se remplirent de larmes, mais ce fut tout. Madame Caroni prit Camille par
le haut du bras et elle la poussa vers la sortie.
Camille se tenait sagement assise dans le bus à côté de
Madame Caroni. A leurs pieds, il y avait deux sacs. Elles s’étaient
débarrassées de celui dans lequel Madame Caroni avait entassé ce qu’elle ne voulait
pas conserver. Le plus petit contenait les vêtements propres que Madame Caroni
avait sélectionné. Dans le plus gros, ceux qui devaient passer par un lavage
avant de trouver place chez Maïlis. Car c’était chez son amie que Madame Colas
avait décidé qu’elle demeurerait désormais.
« Vous pourrez bien habiter à deux dans cet
appartement. Comme cela je vous aurai toute les deux sous la main. »
C’était bien ce qui inquiétait Camille, qui l’inquiétait et
qui la rassurait. Elle savait où elle allait et Madame Caroni, d’une décision,
avait réalisé un rêve que Camille n’avait jamais su réalisé : vivre avec
Maïlis. Bien sûr, ce n’était pas exactement dans les conditions qu’elle avait
imaginées. La tutelle de Madame Caroni changeait bien des choses. Cette
perspective n’arrivait pas à assombrir la fin d’après-midi de Camille, malgré
la démangeaison qu’elle sentait encore sur ses fesses. Elle était contente de
quitter sa chambre, surtout pour aller chez Maïlis. Le reste n’était que
péripétie.
« Ah tiens, dit Madame Caroni en regardant sa montre,
il est l’heure de ta fessée. »
Camille regarda furtivement autour d’elle. Personne ne
semblait avoir noté la remarque de sa tutrice. Puis les implications de ce que
venait de dire Madame Caroni lui sautèrent au visage. L’heure de sa
fessée ? Madame Caroni n’avait tout de même pas l’intention de la lui
donner ici, dans le bus ? Camille blêmit. Recevoir la fessée devant autant
de gens qu’elle ne connaissait pas, elle ne s’en relèverait pas. Elle regarda
sa voisine avec angoisse.
« Ne fais pas cette tête ! Je n’ai pas l’intention
de te fesser ici. Je vais attendre d’être de retour à la maison. »
Camille laissa sa respiration reprendre son rythme normal.
Elle avait eu peur.
« Ne te fais pas d’illusion, ma chérie, ce n’est que
partie remise. Un de ces prochains jours, quand tu feras une bêtise en public,
je n’attendrai pas pour te baisser la culotte et te fesser. Te voilà
prévenue ! »
Une promesse que tiendrait Madame Caroni, elle n’en avait
aucun doute. Cela posait un nouveau regard sur son avenir. Elle ne se sentait
pas capable d’éviter durablement tous les écarts qui pourraient décider Madame
Caroni à la corriger. Ils étaient bien trop nombreux et elle se doutait qu’elle
ne les avait pas encore tous découvert. Une fessée en public, quelle humiliation.
A son âge, ce n’était pas normal. Il n’y avait qu’à elle qu’arrivait ce genre
de tuile.
« Mais je suis trop grande pour… »
Camille n’eut pas le temps de finir sa phrase. L’attention
de toute l’assistance fut alors attirée par une altercation dans le fond du
bus. C’était une dame d’âge mûr et un garçon qui ne pouvait pas être beaucoup
plus âgé que Camille.
« Lève-toi, Jérôme !
– Non, Maman, s'il te plait, je ne le ferai plus !
– Tu m’as déjà promis hier de ne plus dire de gros-mots. Je
vois que tu ne sais pas tenir tes promesses. Moi, je t’en avais fait une
également, au cas où tu recommencerais. Tu t’en rappelles ?
– Non, je ne sais plus…
– Jérôme, gronda sa mère !
– Oui, oui, je sais, mais j’ai compris. Je ne le ferai plus
je le jure.
– C’est exactement ce que tu m’as dit hier. Et moi je vais
tenir ma promesse. Debout ! C’est la dernière fois que je te le dis. Si tu
n’obéis pas immédiatement, tu sais ce qui t’attend ! »
Le jeune homme se leva. Il ne le faisait pas par plaisir,
mais il était apparemment contraint d’obéir. Camille se demanda à quelle menace
cette dame faisait référence. Si elle n’en eut pas la réponse précise, elle en
eut une idée qui lui fut apportée par la suite des événements.
Le jeune homme tournait le dos au reste des passagers.
Camille ne voyait pas exactement ce que la dame faisait, mais elle avait porté
ses mains à la hauteur de la ceinture de son fils.
« Maman, pardon, pas ici ! »
Il y avait du désespoir et de l’urgence dans le cri du jeune
homme.
« Et pourquoi pas ici ? Tu te permets bien un
langage déplacé en présence de tous ces gens. Il est normal qu’ils en voient
les conséquences, non ? »
Elle baissa le pantalon, mettant au jour une culotte bleu
ciel. Le garçon n’eut pas le temps de trouver une nouvelle raison qui aurait justifié
un report de sa punition avant que sa culotte ne rejoignît son pantalon. Il
regarda autour de lui. Il était au centre de l’attention générale. A part
quelques bébés et le chauffeur, tout le monde, enfants, adolescents et grandes
personnes, regardait dans sa direction.
Sa Maman l’allongea en travers de ses genoux. Si le haut de
son corps était maintenant dissimulé par le dos de la banquette devant eux, ses
fesses et ses jambes dépassaient dans l’allée, donnant une bonne vue sur la
blancheur de sa peau nue. Elle ne resta pas longtemps blanche.
Les fesses de Jérôme rougirent en un rien de temps. Sa Maman
mettait ce qu’il fallait comme force pour que la couleur de l’épiderme changeât
rapidement. Sa main claquait une bonne dizaine de fois au même endroit, faisant
croître les cris de Jérôme jusqu’à ce qu’ils s’étranglassent dans sa gorge.
Puis, elle changeait de côté et elle recommençait.
Ce n’était pas la première fessée que le jeune homme
recevait. Il en avait visiblement l’habitude. Il laissait sa Maman le punir
sans gêner le déroulement de la correction, bien qu’elle fût des plus sévères
et administrée en public. A vingt ans passés, cela démontrait une grande
autorité de la part de sa mère, autorité que le grand garçon ne contestait pas.
Le silence le plus complet régnait dans l’autobus. Camille
ne pouvait pas détourner son regard. Elle serait prochainement à la place du
jeune homme, elle n’en doutait pas. Il n’y avait autour d’elle que des
hochements de tête approbateurs des grandes personnes. Les autres, et ils
étaient au moins trois à être plus âgés que Camille, ne disaient pas un mot.
Ils restaient immobiles, fascinés par la correction à laquelle ils assistaient.
Ils avaient tous pâli. Camille également.
« J’ai bien l’impression que tu hésiteras à dire des
gros-mots, une prochaine fois, mais ne crois pas que ta punition est terminée.
Nous la finirons avec un morceau de savon pour nettoyer cette bouche dès que
nous serons à la maison. »
Le jeune homme ne protestait pas. Sa Maman l’avait mis
debout dans le couloir et il avait tourné son sexe vers la banquette,
n’arrivant à la dissimuler que partiellement. Il était totalement épilé, ce qui
lui donnait un air de petit garçon, démenti par la taille de l’organe.
« Vois-tu, là-bas, dans le milieu du bus, il y a un
endroit où tu vas pouvoir te mettre au coin. Tu vas y rester jusqu’à ce que
nous soyons arrivés. »
Le jeune homme avança vers le lieu qui lui était désigné.
Ses mains glissèrent insensiblement vers ses organes génitaux et elles se
placèrent devant.
« Tu oublies de remonter ta chemise pour qu’on puisse
voir les effets de la fessée, mon chéri ! »
Jérôme dut ramener ses mains en arrière, les croiser dans
son dos pour remonter sa chemise. De ce geste également, il avait l’habitude.
Il dégagea ses fesses adroitement et sans hésiter. Son pénis et ses testicules
se balançaient entre ses jambes au gré de son déplacement vers le milieu du
bus, qu’il accéléra autant que possible. Il cala son visage dans l’angle que
formait une petite cloison de verre transparent et le flanc du bus sur lequel
elle était fixée perpendiculairement. Il ferma les yeux et il s’immobilisa.
Camille reconnut la position que Madame Caroni lui faisait
adopter au coin. Si elle en jugeait par les réactions des passagers, Jérôme et
elle n’étaient pas les deux seules personnes à s’être retrouvés dans cette
position. Elle était donc loin d’être la seule et loin d’être la plus âgée.
« Tu avais commencé à me dire quelque chose sur ton âge
avant que nous soyons distraites par la fessée qu’a reçu ce jeune homme.
Qu’est-ce que c’était ?
– Non, rien Madame, je me suis trompée. »
Camille était de retour au coin dans le séjour de Madame
Caroni. Elle y avait rejoint ses deux compagnes d’infortune. Ses fesses la
brûlaient. Elle pleurait silencieusement. Bien qu’un peu décalée dans le temps,
elle avait reçu la fessée qui lui était due. Elle considérait qu’elle s’en
était bien tirée au regard de ce qui était arrivé à Jérôme.
En descendant du bus, elle était passée tout près de lui. Il
avait encore les fesses rosées et il enfonçait son visage aussi profondément
possible, sans doute pour ne pas voir le passage qu’il y avait autour de lui, à
défaut de pouvoir être invisible.
Madame Caroni lui avait confié le sac de linge sale.
« Tu lances une machine dans cette laverie, tu la
laisseras tourner et tu rentreras à la maison pour que je te donne une fessée. Tu
y retourneras après avoir été au coin. Je te donne cinq minutes. Ne traîne
pas ! Je serais obligée de sévir ! »
Cinq minutes, c’était juste et Camille fut obligée de monter
les escaliers quatre à quatre. Pas le temps d’attendre l’ascenseur. Elle était
essoufflée quand elle sonna à la porte, mais Madame Caroni n’eut rien à lui
reprocher. Elle aperçut Maïlis et Clémence qui étaient chacune dans leur coin.
L’arrivée de Camille ne les fit pas bouger, même si elles ne savaient pas qui
venait d’entrer.
Elle enleva ses chaussures et son manteau et elle se
présenta devant sa tutrice qui lisait un magazine, assise sur le canapé.
« Ah oui, la fessée, dit-elle, je n’y pensais plus. »
Elle baissa la culotte de Camille et elle l’installa en
travers de ses genoux. Il n’y avait plus besoin d’exercer aucune contrainte.
Cette fessée était promise à Camille, elle n’avait aucune raison de s’y
opposer.
Elle savait pourquoi elle était punie. Il était normal
qu’elle soit corrigée. Il n’y avait rien à dire, rien à faire, sauf accepter la
punition et être plus obéissante la prochaine fois. Cela ne faisait pas
vingt-quatre heures qu’elle avait reçu sa première fessée et elle considérait
déjà que cela faisait partie de la normalité chez Madame Caroni. Camille se
rappelait les quelques secondes passées dans les bras de sa tutrice et elle en
espérait d’autres. Elle voulait la rendre fière d’elle afin qu’elle puisse être
récompensée et consolée. Cela passait par une totale obéissance quand il était
question de la fesser.
C’était peut-être normal, mais toujours aussi humiliant
d’être déculottée et punie comme une petite fille, même si c’était de cette
façon que Camille commençait à envisager les relations avec sa tutrice. Elle
avait entrevu la possibilité de retrouver des sensations qu’elle n’avait pas
connues depuis son enfance, avant que ses velléités d’indépendance à
l’adolescence ne gâchent tout.
Etre une petite fille, sous l’attention vigilante de sa
mère, n’avait alors rien de désagréable. Elle avait un peu plus d’une dizaine
d’années et sa mère surveillait le moindre de ses gestes que ce soit son
comportement, la façon de s’habiller dont elle décidait sans vraiment consulter
Camille ou la toilette pour laquelle elle n’hésitait pas à prendre l’initiative
ce qui était souvent le cas.
Sa mère n’hésitait pas à la gronder quand elle en avait
besoin, ce qui remettait les choses dans l’ordre immédiatement. A cette époque,
elle était très proche de sa mère et passait de longs moments sur ses genoux à
se faire câliner. Ce qu’elle aimait le plus, c’était quand sa mère remontait sa
main le long de ses cuisses et quand, soulevant son tee-shirt, elle lui
caressait le dos.
Camille avait retrouvé beaucoup de similitude avec ce qui se
passait avec Madame Caroni. Certes, Madame Caroni grondait un peu, mais surtout
elle fessait beaucoup. Avec lucidité, Camille convenait que si elle n’avait
risqué que de se faire gronder, elle n’aurait pas beaucoup obéi. La fessée
était bien plus efficace, mais elle aboutissait au même résultat.
Elle avait retrouvé ces moments où sa mère avait accès à son
intimité, ce qu’elle faisait naturellement. Elle n’hésitait jamais à baisser la
culotte de sa fille pour prendre sa température ou examiner une rougeur
suspecte. Aujourd’hui, quand Madame Caroni baissait la culotte c’était pour
donner la fessée, mais Camille retrouvait les mêmes gestes que ceux
qu’utilisait sa mère.
Il lui manquait les moments passés sur les genoux. Les
quelques instants où sa tutrice l’avait serrée dans ses bras lui en avait donné
un avant-goût, mais c’était insuffisant. Arriverait-elle à ce que Madame Caroni
la réconforte comme sa mère savait si bien le faire ? Peut-être même à
passer du temps sur ses genoux ? C’était une récompense. Pour cela il
fallait être bien obéissante, surtout quand sa tutrice avait décidé de lui
donner une fessée.
La main de Madame Caroni frappa les fesses trois fois au
même endroit. Camille se mit à pleurer. Encore une fessée. Elle n’en pouvait
plus, mais il fallait attendre que Madame Caroni ait estimé que la leçon avait
porté. Ce n’était pas pour tout de suite.
Vous avez loupé le début de l'histoire ?
Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 29
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"
Il y aura une suite, bien sûr !
Le chapitre 31.
Les commentaires...
Ils sont les bienvenus, voire un peu plus. Lâchez-vous ! Laissez-vous aller ! Exprimez-vous ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez ! Bref, on attend vos contributions.
Amis de la poésie et de la fessée dans les transports en commun... Bonjour !
RépondreSupprimerCamille se résout à l'obéissance... la méthode d'éducation par la fessée chère à Madame Caroni fait ses preuves. Tout le monde doit pouvoir en profiter. Au train d'enfer où elle distribue les fessées, il n'est pas interdit de penser que le garçon, témoin accidentel dans les toilettes d'un numéro de claquettes sur les fesses de Camille, puisse aussi passer un moment sur les genoux de la maitresse femme. A voir dans un prochain épisode...(?)
Emporté par sa féconde imagination, JLG, inarrêtable, s'amuse à multiplier les lieux de prestation ! Rien ne peut faire obstacle à la mission éducative de l'intransigeante éducatrice. Une fessée doit pouvoir claquer n'importe où, du moment qu'il y a assez d'espace pour prendre de l'élan.
Non contente de sonoriser un immeuble entier au rythme des concerts de percussions sur les fesses des locataires, la "pasionaria" de la déculottée, projette d'élargir son public à celui des transports en commun.
La fessée dans le bus est d'autant plus probable, qu'une sévère maman inconnue, ne se gène pas pour en faire la démonstration en flanquant une déculottée à son fils entre les banquettes. Aux gros mots, les grosses fessées!
Mais jusqu'où le narrateur, va -t-il continuer à ne pas s'arrêter de nous étonner ?
Amicalement.
Ramina
Ramina,
SupprimerJe suis étonné que cela vous ait échappé, vous qui êtes un lecteur assidu du blog. Jérôme et sa Maman ne sont pas des inconnus. Même s'il ne s'agit pas du personnage en kilt que nous présente Peter Pan tous les dimanches, nous les avons déjà rencontrés.
Relisez donc le chapitre 101 d'"Axel au supermarché", je pense que cela rafraîchira votre mémoire. Je pense qu'en étant attentif, vous devriez croiser de temps en temps, des personnages que nous connaissons déjà.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerVotre remarque est fort juste. Elle me rappelle l'épisode de la fessée dans l'immeuble illustrée par mes soins. Rires.
Mais surtout la rencontre inopinée de Robin et de Gérome dans le bus et la narration à mi-voix de leurs mésaventures fessières. Sur un ton qui fit bondir les "Dames aux mains fermes" présentes sur ce trajet ! (voir saisons précédentes de CDAMF"....
Ah elle en fait couler de l'encre (et des couleurs !) ces fessées !!!
Amicalement. Peter.
Hello, pit!
RépondreSupprimerExact... Episode tragi-comique dans l'immeuble, source d'inspiration immobilière !
Et je revois d'ici l'image de l'inénarrable Gérôme... En kilt, à genoux mains jointes au milieu du Bus, suppliant une de ces dames de ne pas lui flanquer de fessée pendant que Robin s'en prend une carabinée sur la banquette! D'une saison à l'autre on est déjà dans les souvenirs!
Il en coule de l'encre sous les ponts... ( citation à vérifier !)
Amicalement
Ramina
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerEt voila , une faute d'inattention et la foudre de Jupiter vous tombe dessus sans sommation!
Bon Dieu, mais c'est bien sûr...maintenant que vous le dites... Le prénom de Jérôme ( avec un "j")aurait dû me mettre le prépuce à l'orteil ! Circonstance exténuante, étant donné le nombre de personnages qui, à longueurs d'épisodes, se multiplient comme les petits pains, marchent sur l'eau, et redonnent la vue aux paralytiques... J'ai fini par rater un croisement! je bas ma croupe...
Promis , juré, je ralentis au prochain carrefour.
Amicalement
Ramina