Mais qu'est-ce que c'est que cette façon de se comporter ? Depuis quand te permets-tu d'être aussi impoli avec les voisins que tu croises dans le hall de notre immeuble ? Tu ne pouvais tout simplement pas faire le tour de Madame Simon ? Il y avait largement de la place à passer à côté. Tu étais si pressé que ça ?
A moins que ce ne soit parce que je viens de te gronder et de t'annoncer une punition dès que nous rentrons à la maison ?
Tu n'es pas très futé, mon garçon. Si tu voulais passer tes nerfs sur quelqu'un, tu aurais dû vérifier que je n'étais pas à portée d'oreille et que ton accès de mauvaise humeur ne me soit pas rapporté.
Combien de fois dois-je te répéter que je tiens absolument à ce que toi, mon compagnon , tu sois poli avec toutes les personnes que tu rencontres ? Ne te rappelles-tu pas que je l'ai exigé de ta part avec la plus grande fermeté ? Les nombreuses fois où je t'ai déjà puni à ce sujet n'ont pas suffit ?
J'ai sans doute eu le tort, les fois précédentes, de différer ma réaction et d'attendre notre retour dans l'intimité pour te faire comprendre que ces comportements sont totalement inadmissibles. Tu comprends, je ne voudrais pas que les voisins, et encore moins les voisines, pensent que je te laisse la bride sur le cou et que tu peux faire ce que tu veux quand tu es chez moi. Ce n'est pas la réputation que j'ai, tu le sais bien.
Puisque les corrections que je t'ai données, jusqu'à maintenant, ne t'ont pas permis de prendre conscience que tu devais changer d'attitude, je vais te l'expliquer encore plus clairement. Et sans attendre !
Une bonne fessée déculottée en présence de Madame Simon devrait te mettre du plomb dans la tête. Eh oui, il est possible que d'autres personnes arrivent et voient comment je te punis. Et alors ? Crois-tu qu'il soit nécessaire de garder le secret sur la manière dont je te corriges quand tu fais une bêtise ? Je n'en ai nullement l'intention.
A moins que ce ne soit parce que je viens de te gronder et de t'annoncer une punition dès que nous rentrons à la maison ?
Tu n'es pas très futé, mon garçon. Si tu voulais passer tes nerfs sur quelqu'un, tu aurais dû vérifier que je n'étais pas à portée d'oreille et que ton accès de mauvaise humeur ne me soit pas rapporté.
Combien de fois dois-je te répéter que je tiens absolument à ce que toi, mon compagnon , tu sois poli avec toutes les personnes que tu rencontres ? Ne te rappelles-tu pas que je l'ai exigé de ta part avec la plus grande fermeté ? Les nombreuses fois où je t'ai déjà puni à ce sujet n'ont pas suffit ?
J'ai sans doute eu le tort, les fois précédentes, de différer ma réaction et d'attendre notre retour dans l'intimité pour te faire comprendre que ces comportements sont totalement inadmissibles. Tu comprends, je ne voudrais pas que les voisins, et encore moins les voisines, pensent que je te laisse la bride sur le cou et que tu peux faire ce que tu veux quand tu es chez moi. Ce n'est pas la réputation que j'ai, tu le sais bien.
Puisque les corrections que je t'ai données, jusqu'à maintenant, ne t'ont pas permis de prendre conscience que tu devais changer d'attitude, je vais te l'expliquer encore plus clairement. Et sans attendre !
Une bonne fessée déculottée en présence de Madame Simon devrait te mettre du plomb dans la tête. Eh oui, il est possible que d'autres personnes arrivent et voient comment je te punis. Et alors ? Crois-tu qu'il soit nécessaire de garder le secret sur la manière dont je te corriges quand tu fais une bêtise ? Je n'en ai nullement l'intention.
Et encore as-tu de la chance que je n'ai pas ma brosse sous la main. Madame Simon pourrait voir comment je sais te faire chanter en appliquant ma brosse sur tes fesses. Pour l'instant, je ne vais utiliser que de ma main, il faudra bien que tu t'en contentes, mais si cela ne suffit pas, je peut toujours aller chercher de quoi te faire regretter encore plus vite tes sautes d'humeur.
Avec des fesses bien rouges et bien brûlantes, suite à la fessée en public que je te donne, j'ai bon espoir que la prochaine fois tu réfléchiras à ton attitude quand tu croiseras une voisine. N'aie pas peur, ta mésaventure sera bientôt connue dans tout l'immeuble. Je compte sur Madame Simon pour le faire savoir.
Je vais d'ailleurs lui proposer de finir elle-même cette fessée. de sentir sa main claquer tes fesses devrait t'apprendre ta leçon encore plus rapidement. A ce propos, je vais lui proposer, la prochaine fois de ne pas attendre que j'arrive pour te punir. Je l'autorise, dorénavant, à te baisser le pantalon et la culotte et à te fesser dès qu'elle le jugera utile, et pas seulement quand tu seras impoli.
J'espère bien qu'elle n'hésitera pas quel que soit le lieu dans lequel vous serez à ce moment-là et quelles que soient les personnes présentes. Si tu sais que tu risques une fessée devant tout le monde à chaque écart que tu fais, cela devrait avoir un certain effet dissuasif.
Bien, cela étant décidé, dès que j'en aurai fini avec toi, tu vas aller te mettre au coin, ici dans le hall, la culotte baissée. A cette heure où tout le monde rentre du travail, ta mise en pénitence ne passera pas inaperçue. C'est ce qu'il faut. Tu y restera jusqu'à ce que je vienne te chercher.
Avec des fesses bien rouges et bien brûlantes, suite à la fessée en public que je te donne, j'ai bon espoir que la prochaine fois tu réfléchiras à ton attitude quand tu croiseras une voisine. N'aie pas peur, ta mésaventure sera bientôt connue dans tout l'immeuble. Je compte sur Madame Simon pour le faire savoir.
Je vais d'ailleurs lui proposer de finir elle-même cette fessée. de sentir sa main claquer tes fesses devrait t'apprendre ta leçon encore plus rapidement. A ce propos, je vais lui proposer, la prochaine fois de ne pas attendre que j'arrive pour te punir. Je l'autorise, dorénavant, à te baisser le pantalon et la culotte et à te fesser dès qu'elle le jugera utile, et pas seulement quand tu seras impoli.
J'espère bien qu'elle n'hésitera pas quel que soit le lieu dans lequel vous serez à ce moment-là et quelles que soient les personnes présentes. Si tu sais que tu risques une fessée devant tout le monde à chaque écart que tu fais, cela devrait avoir un certain effet dissuasif.
Bien, cela étant décidé, dès que j'en aurai fini avec toi, tu vas aller te mettre au coin, ici dans le hall, la culotte baissée. A cette heure où tout le monde rentre du travail, ta mise en pénitence ne passera pas inaperçue. C'est ce qu'il faut. Tu y restera jusqu'à ce que je vienne te chercher.
Merci à Peter Pan qui est l'auteur de ce dessin.
Faute de trouver suffisamment de dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog, nous avons décidé, Peter Pan et moi, de les produire nous-mêmes. Il se charge des illustrations sur une esquisse de scénario que je lui fournis et je rédige le texte qui l'accompagne.
Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.
Si vous souhaitez me proposer un dessin à commenter qui n'a pas déjà été publié sur ce blog et qui corresponde à l'esprit du blog, n'hésitez pas ! Envoyez-le moi par courriel.
Il faut parfois administrer les corrections en public
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Amis de la poésie et des cours de chant sous la brosse à reluire... Bonjour!
RépondreSupprimerLa paire JLG/Peter fonctionne comme une bonne paire de claques sur les fesses! Percutante et efficace. Chaque détail compte. Le soin apporté à imaginer ces petites histoires de fessées, aussi courtes que crépitantes, comme le souci de précision des illustrations...La subtile légèreté des couleurs pastel, contraste avec le rouge écarlate des derrières régulièrement pilonnés au cours de petites leçons d'éducation, récréatives. C'est la fessée utile.
Et encore, il a de la chance le garçon, maman n'a pas sa brosse double usage sous la main. D'un côté ça coiffe, de l'autre ça décoiffe... sur les fesses! On comprend l'aspect pratique de l'instrument multifonction. Moins cher qu'un martinet, aussi efficace qu'une planche à découper!
Voilà, voilà, ça t'apprendra à ne pas faire le tour de madame Simon qui va se faire un plaisir de t'en coller une à son tour. En ce moment sur le blog, la tendance est aux immeubles, lieux propices à d'enrichissantes rencontres. Quand ce ne sont pas les escaliers, ce sont les halls d'entrée où les fessées résonnent mieux. Pas assez de recul dans les ascenseurs pour fesser correctement. On ne peut pas tout avoir en même temps! Le beurre et le rendement de la fessée ...
( Heuuu, j'ai dû déraper un peu là )
Amicalement
Ramina
Ramina,
SupprimerQue seraient vos commentaires sans leurs dérapages que je pressens contrôlés ?
Cela dit, l'une de vos remarques m'interroge : pas assez de place pour une fessée dans un ascenseur ? A moins qu'il ne s'agisse d'un modèle à une place, il y a suffisamment d'espace pour y déculotter un puni, le courber sous son bras et lui administrer une sérieuse fessée. Le risque encouru est un arrêt imprévu à un étage, à la demande d'une tierce personne, alors que la punition est en cours. Est-ce vraiment un risque ? A chacun de voir.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG,
SupprimerA propos de dérapage... hors période hivernale, vous pressentez juste.
Et, à défaut de postérieur sous la main, cher ami, votre interrogation est frappée au coin du bon sens. Peut on fesser à l'aise dans un ascenseur? Voilà un débat intéressant dont l'intérêt risque de monter et descendre selon les avis!
Certes, si on prend un ascenseur d'hôpital dans lequel on enfourne un lit à roulette avec le support de vase communicant et le personnel qui va avec... On peut y fesser une colonie de vacances! Mais dans le cas d'un ascenseur normal, je me demandais si le geste auguste du fesseur ou de la fesseuse pouvait disposer d'assez d'élan en hauteur comme en largeur... Si on voit ce que je veux dire...
Par contre en cas de panne de courant, cabine bloquée... la durée de la fessée peut augmenter mais, sans lumière, il y a gros risque de taper à côté! Non ?
Une petite image Peter ? Pour rire!
Amicalement,
Ramina