Affalé sur son lit, Philibert s’est tourné vers moi, appuyé
sur un coude, la joue dans la main.
– Et donc, si je comprends bien, tu vas encore y avoir
droit ce soir. À la planche à découper, cette fois.
– J’en ai bien peur, oui !
– Finalement, il y en a plus que pour toi, quoi !
– Comment ça ?
– Ben, tu te fais sans arrêt tanner le cul, mais moi, tu
sais à quand elle remonte, moi, ma dernière fessée ? À la fois où j’étais
allé retrouver Clarisse en douce. Ça fait un bail, avoue !
– Non ! Bien sûr que non ! C’est pas de ça que
je me plains. Parce que toi, t’as ma sœur. Au moins, même si c’est pas tous les
jours marrant, elle s’occupe de toi. Tandis que moi, ma mère, maintenant j’ai
l’impression qu’elle s’en fout. Je peux bien faire ce que je veux, elle en a
plus rien à battre. Il y a plus que le fils de cette madame Lotti qui
l’intéresse. Ce qu’il a fait. Ce qu’il va faire. Ce qu’il pourrait faire. Ce
qu’il aurait pu faire. Et merde ! Moi, je compte plus. J’existe plus. Tu
peux pas savoir comment ça me déstabilise de me sentir, comme ça, d’un seul
coup, livré à moi-même. Sans aucun garde-fou. Je me sens en danger. Surtout en
ce moment…
– En ce moment ? Pourquoi en ce moment ?
– Parce que j’ai rencontré des types, là. Et que je vais
me laisser entraîner, je sens !
– C’est moindre mal si t’en as conscience.
– Oui, mais ça fait pas tout. Ça empêche rien. Pour le
moment, je résiste. Je résiste tant que je peux. Mais ça va pas durer. Parce
que c’est toujours les mêmes ressorts qu’on active avec moi. Comme si on
sentait, d’instinct, qu’ils vont forcément marcher. Dès qu’on a l’air de croire
que je suis un dégonflé, je pars au quart de tour.
– Il s’agit de quoi au juste ?
– Vaut mieux que tu saches pas. Je veux pas te mouiller
là-dedans, mais c’est aux limites de la légalité. Avec le risque que ça bascule
du côté qu’il faudrait pas.
– Parle-lui en à ta mère. Joue franc jeu.
– Je pourrai jamais.
– Tu veux que je le fasse ?
– Surtout pas ! Je veux pas que t’aies quoi que ce
soit à voir dans ce truc. Ni de près ni de loin.
– Et Amélie ?
– Oui, oh, elle !
On a déjeuné ensemble, elle et moi, côte à côte.
Elle m’a souri.
– Tiens, à propos, j’ai vu ta copine Clotilde, hier.
– Ah !
A reposé son bol.
– On a fait plus ample connaissance toutes les deux.
Elle est très bien, cette fille. Vraiment très très bien. Non, parce qu’elle a
beaucoup aimé ça, le jour où maman t’a flanqué une bonne fessée devant elle
pour avoir menti. Ça l’a émoustillée. Et pas qu’un peu. Ce dont je m’étais
d’ailleurs alors parfaitement rendu compte. C’est souvent qu’elle y repense et
qu’en y repensant, elle… Enfin, bref, je vais pas te faire un dessin. Toujours
est-il qu’elle pourrait parfaitement prétendre que tes études laissent à
désirer pour avoir le plaisir de t’en coller une. Elle y trouverait largement
son compte. Et personne n’y trouverait rien à redire. Eh bien, non ! Non. Elle
met un point d’honneur à être juste. Et honnête. C’est pas tout le monde qui
réagirait comme ça, avoue ! En tout cas, ce qu’il y a de sûr, c’est que,
tant que tu donneras satisfaction de ce côté-là, tu n’auras rien à craindre de
sa part. Par contre, pour tout ce qui concerne ton comportement par ailleurs,
que ce soit la boisson, les mensonges ou le reste, c’est à moi que tu auras
affaire. Et alors là, je serai intraitable. Tiens-le toi pour dit.
Elle s’est resservi un grand bol de café noir.
– J’ai eu aussi eu des échos de ton entrevue d’hier soir
avec les jumelles. Elles étaient ravies. T’as assuré. Comme quoi, c’est pas mal
du tout de te lâcher un peu de lest finalement. Et si je continue, pendant
quelque temps, à être satisfaite de toi, tu auras droit à une récompense.
Quelque chose qui te fera vraiment plaisir.
J’ai levé sur elle un long regard interrogateur.
Elle m’a lancé une petite pichenette sur le bout du nez.
– J’en dis pas plus. Tu verras bien. Mais ce sera un
cadeau royal. À condition, bien évidemment, que tu l’aies mérité.
C’était la mère d’Estelle au téléphone.
– Tu te souviens de moi ?
Bien sûr que je me souvenais d’elle. Bien sûr ! Chaque
fois que je passais chercher sa fille, quand nous étions au lycée,
j’échangeais, par courtoisie, quelques mots avec elle.
– Il faut que je te voie. Impérativement. C’est
important. Et confidentiel. Je peux compter sur ta discrétion la plus
absolue ?
Elle pouvait. Sans problème. Une tombe.
Et on a déjeuné ensemble à midi. Dans un petit restaurant à
un quart d’heure de la fac.
– Alors, voilà !
Elle a repoussé son assiette, posé les deux coudes sur la
table.
– Voilà. Récemment, tu as revu Estelle. Et je ne te
cacherai pas qu’il m’a semblé, à l’entendre évoquer votre rencontre, qu’elle
éprouvait une certaine attirance pour toi.
J’ai feint la surprise.
– Ah, oui ?
Mais j’étais, tout au fond de moi, absolument ravi.
– Oui. Ce qui tombe on ne peut mieux parce que…
Elle a semblé hésiter, a marqué un long temps d’arrêt.
– Tu me jures que cette conversation restera strictement
entre nous ? Tu me le jures ?
Et j’ai, une nouvelle fois, promis.
– Non, parce qu’elle est allée s’enticher du mari de sa
sœur. T’imagines ? Laquelle sœur, tu t’en doutes bien, n’est absolument
pas au courant. Si elle l’apprenait, ce serait une véritable catastrophe. Tu
comprends donc qu’il faut impérativement que cette relation cesse. Le plus vite
possible. Pour toutes sortes de raisons. Et dans l’intérêt de tout le monde.
Moi, de mon côté, je fais ce que je peux. Je la sermonne. J’essaie de lui faire
entendre raison. Je suis même allée, excédée, jusqu’à lui flanquer, à trois ou
quatre reprises, de magistrales fessées. Eh, oui ! À vingt-deux ans !
Ça te surprend, hein ! Mais qu’est-ce que tu veux ! Quand il n’y a
pas d’autre solution… C’est efficace. Parce que ça la vexe. Mais ça n’est
efficace qu’un temps. Elle finit toujours par aller y remettre le nez. C’est
plus fort qu’elle. D’autant que lui, il ne supporte pas qu’elle veuille mettre
un terme. Il lui faut ses deux nanas à sa botte. Alors il sort le grand jeu. Et
elle lui retombe dans les bras. C’est une situation absolument infernale, je
t’assure ! Alors… Alors, j’ai pensé à toi.
Elle a cherché mes yeux.
– Je me suis dit que si quelque chose de sérieux prenait
corps entre vous deux, si elle tombait vraiment amoureuse de toi, le problème
se résoudrait très probablement de lui-même. Ça m’ennuie de te demander une
chose pareille, de te demander de séduire ma fille en somme, mais tu es
quelqu’un que j’ai toujours beaucoup apprécié. Je sais que tu n’abuseras pas de
la situation. Et puis, de toute façon, je ne vois pas d’autre solution pour
sortir d’un état de choses qui est devenu complètement ingérable. Voilà. Tu
sais tout. La balle est dans ton camp.
Je l’ai saisie au bond.
– Estelle est quelqu’un que j’apprécie énormément. Alors
vous pouvez compter sur moi. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la
sortir de ce guêpier.
Elle m’a souri, pressé la main par-dessus la table.
– Merci. Je n’en attendais pas moins de toi.
Je l’ai quittée sur un petit nuage. Estelle ! Estelle en
pinçait pour moi. Au moins un peu. Alors si je m’y prenais bien, si je ne
cherchais pas à brûler les étapes, si je jouais les bonnes cartes, si je tenais
compte, sans bien évidemment lui en parler, de ce que je venais d’apprendre,
peut-être qu’elle et moi… Sûrement même ! Certes il y avait ce type, là,
le mari de sa sœur, sous la coupe duquel elle était malencontreusement tombée.
Je l’en délivrerais. J’y arriverais. Ça ne faisait pas l’ombre d’un doute.
Certes il y avait aussi Amélie qui ne me verrait sans doute pas de gaieté de
cœur m’éprendre d’une autre, qui risquait de dresser toutes sortes d’obstacles
sur ma route. Je les contournerais. Ou je la convaincrais. Je me sentais
invulnérable.
Et puis… Et puis Estelle, elle aussi, recevait des fessées.
Ce qui changeait complètement la donne. Plus nécessaire de me cacher. Au
contraire. En jouant franc jeu, de ce côté-là, avec elle, je la pousserais très
vraisemblablement aux confidences. Nous étions soumis au même régime. Cela ne
pourrait qu’instaurer entre nous une complicité, une connivence à nulles autres
pareilles.
L’avenir m’apparaissait désormais sous les couleurs les plus
riantes et, bien décidé à le mordre sans plus attendre à belles dents, je l’ai
dans la foulée appelée, Estelle.
– Oh, Raphaël, comment ça me fait plaisir de t’entendre.
Tu vas bien ?
– Très bien, oui. Et j’étais en train de me dire que ce
serait quand même dommage, maintenant qu’on s’est retrouvés, de rester à
nouveau des années et des années sans se voir.
– Ah, ça, je suis bien de ton avis.
– On pourrait peut-être déjeuner ensemble du coup un de
ces quatre, non ? Histoire de discuter un peu. Qu’est-ce t’en
penses ?
– Oh, mais quand tu veux… Quand tu veux…
Et on est tombés d’accord pour le lendemain midi.
C’est donc le cœur léger, tout plein déjà des bons moments
qui m’attendaient avec elle, que je me suis rendu chez les Lotti.
Amélie n’avait pas jugé bon, cette fois, de m’accompagner.
– Je te fais confiance. Je sais bien que tu iras.
Les jumelles n’étaient pas seules. Il y avait deux filles
avec elles.
– Là, c’est Pauline. Et là, c’est Morgane.
Deux filles qui se sont enthousiasmées.
– Mais alors il existe vraiment !
– Évidemment qu’il existe !
– Non, mais on croyait que c’était du flan, nous !
Que vous nous en poussiez une grosse…
– Ben non, vous voyez !
Pauline était ravie.
– On va bien s’amuser, ce qu’il y a de sûr…
Mais Morgane, ça se voyait, avait tout de même encore
beaucoup de mal à y croire.
– Alors comme ça, vous dites que vous allez lui en
coller une…
– Une sévère. À la planche à découper. Et par-dessus celles
d’avant, il va le sentir passer.
– Et il va se laisser faire ?
– Il a plutôt intérêt, oui ! Parce que sinon…
C’est Hortense qui a précisé.
– Il a fait des trucs pas bien jolis. Alors s’il veut
pas que ça lui retombe sur le coin de la figure, il a pas trop le choix. Sans
compter en plus que, si on voulait, s’il se laissait pas faire, on pourrait
aller le raconter un peu partout qu’il s’en ramasse et il passerait pour un
bouffon.
Pauline s’est impatientée.
– Bon, allez ! Vous commencez ?
Les jumelles ont éclaté de rire.
– Ah, t’as hâte, toi, hein !
– Ben, oui ! Oui !
– Tu veux le déculotter ?
Son visage s’est illuminé.
– Moi ?
Elle, oui !
Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois. Elle s’est
avancée vers moi, la mine gourmande, une lueur d’intense satisfaction dans les
yeux. Des yeux qu’elle a plantés dans les miens, qu’elle y a laissés. Elle a
débouclé lentement, très lentement, ma ceinture, a fait glisser, en prenant
tout son temps, la fermeture Éclair de mon pantalon. Elle a frôlé au passage,
s’est un peu attardée, est revenue en arrière, m’a délibérément tâté la queue,
l’a fait gonfler, se dresser.
Elle a murmuré.
– Cochon !
Et elle m’a fait tomber le pantalon sur les chevilles. Le
boxer a suivi le même chemin.
Pauline s’est approchée et s’est esclaffée.
– Eh, ben dis donc, tu lui fais de l’effet !
Gwenaëlle a proposé.
– Vous pouvez le décalotter, hein, si vous voulez !
C’est Pauline qui l’a fait. De deux doigts déterminés.
– Il est à fond, là ?
– On dirait bien.
– Attends, fais voir !
Et Morgane est venue à sa rescousse.
Elles ont sollicité, recouvert, redécouvert.
Hortense a mis un terme.
– Bon, le but, c’est pas non plus de le faire gicler. Si
on passait aux choses sérieuses, plutôt ?
Les choses sérieuses, oui, oui, bien sûr.
On m’a empoigné par les bras, poussé dans le dos vers le
frigo.
Il y a eu des exclamations stupéfaites.
– Oh, cette tatouée !
Hortense m’a relevé le tee-shirt.
– Tiens-moi ça en l’air !
Des mains m’ont palpé les fesses, les ont redessinées. Des
ongles les ont agacées.
Je me suis crispé.
– Il a la peau à vif.
– Oui, ben ça, il l’a bien cherché, hein !
Et Hortense m’a posé la planche à découper sur le derrière.
– Allez, prêt ? À la une, à la deux et à la
trois !
Elle m’en a lancé un grand coup à pleines fesses. J’ai hurlé.
– Oh, ben, si tu commences déjà à brailler, qu’est-ce
que ce sera tout à l’heure ! Je t’ai à peine touché.
Un deuxième coup. Un troisième coup. Une douleur intense.
Fulgurante. Je me suis protégé les fesses, comme j’ai pu, de mes mains.
– Oui, alors là, tu vois, tu devrais te dépêcher de les
retirer. Parce que je vais pas avoir d’états d’âme, je vais taper. Et, si tu
peux pas te servir de tes mains, pour tes études, ça risque de pas être très
pratique. Pour des tas d’autres choses aussi, d’ailleurs !
Elles ont ri. Toutes. De bon cœur.
Je les ai précipitamment retirées.
Les rires ont redoublé.
– Mets-les sur la tête, tiens, plutôt ! Tu seras
moins tenté.
Encore un coup, lancé avec une force inouïe, qui m’a plaqué
contre le frigo, arraché des plaintes à fendre l’âme.
Deux autres. Qui m’ont fait sautiller d’un pied sur l’autre.
Et crier. Crier à perdre haleine.
Ce qui a beaucoup amusé Pauline.
– J’adore quand il danse comme ça ! Et tu sais ce
qui serait bien ? C’est qu’il saute encore plus haut.
– Oh, s’il y a que ça pour te faire plaisir !
Et, tout aussitôt, une rafale de cinq ou six coups qui m’ont
effectivement obligé, sous l’effet de la douleur, à me donner le ridicule de
gambader sur place, les jambes levées bien haut, en poussant tout un tas de
petits cris larmoyants qui les ont mises en joie.
– Il est trop drôle ! Il est vraiment trop drôle.
Gwenaëlle a estimé que ça suffisait.
Et Pauline a protesté.
– Oh, non, pas déjà !
– Faudrait pas l’abîmer, ce serait dommage. Oh, mais on
recommencera, vous inquiétez pas ! Un jour prochain. Dès qu’il aura un peu
récupéré.
– Oui, hein ! C’est trop bien qu’ils soient punis,
les types. Ils nous en font tellement voir à nous, les filles ! Un peu à
leur tour…
Et Morgane a suggéré.
– Peut-être que ça pourrait être à nous de lui faire la
prochaine fois.
– Oh, mais c’est une excellente idée, ça !
J’ai profité de ce qu’elles étaient occupées, toutes les
quatre, à discuter entre elles pour commencer à me rhabiller.
Hortense m’a presque aussitôt interrompu.
– Qu’est-ce tu fais ?
– Ben, je…
– T’es si pressé que ça ? T’as bien cinq
minutes ! Tu vas nous servir le café, tiens ! Et à poil ! Que je
puisse contempler mon œuvre…
Pour les distraits qui auraient loupé ce qui s'est passé précédemment
Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine précédente, le chapitre 15
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"
Et la suite ?
Ce sera la semaine prochaine, comme d'habitude.
Les commentaires sont les bienvenus
François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?
Excellent, comme depuis le début. Et les enjeux montent, comme les possibilités de fessées diverses. Une série originale, amusante et excitante. Surtout continuez dans cette direction !
RépondreSupprimerBonjour, inconnu. Et bonjour à tous.
SupprimerMerci d'avoir pris la peine de laisser un commentaire. C'est vrai qu'il commence à y avoir beaucoup de monde dans cette histoire. Et que les fessées risquent de se multiplier. Sans doute les filles vont-elles aussi y attraper. Ce ne serait que justice. Pas toujours les mêmes! ;)
Amicalement.
François
On ne peut pas dire que Raphael est épargné. Il s'en prend plein les mirettes, si on peut dire ça comme ça.
RépondreSupprimerVivement la suite. On en raffole !
Amitiés.
Elena
Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
SupprimerC'est vrai que le derrière de Raphaël est en feu quasiment en permanence. Pour le plaisir des filles devant lesquelles il est copieusement fessé. Si les femmes adultes, dans ce récit, sont plutôt tournées vers les vertus éducatives et "réparatrices" de la fessée, les plus jeunes ne s'encombrent pas de prétextes: elles affirment haut et fort, par leurs propos et leurs attitudes, qu'elles éprouvent du plaisir à voir corriger Raphaël, un plaisir qui se nourrit de ce qu'elles sont quotidiennement amenées à subir, selon elles, de la part des garçons. Quant à Amélie, c'est le fait d'exercer un pouvoir qui lui apporte, je crois, les plus intenses satisfactions.
Amicalement.
François
Bonjour François-Fabien, surtout continuez, à mon sens, il convient de ne pas trop multiplier les personnages notamment féminins pour les creuser davantage, Amélie et ses copines les plus proches et bien sûr Clotilde qui va bien finir par s'occuper des fesses de Raphaël.
RépondreSupprimerEncore bravo. Cordialement .
Serge
Serge,
SupprimerJe vous sens près à passer à l'acte. Ecrire votre propre récit, y avez-vous pensé ? C'est la meilleure façon de maîtriser ce qui sera lu.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Cher ami, vous avez tout compris, j'écris effectivement de mon côté, quand à passer à l'acte, j'y songe. il n'empêche que je me délecte de vos récits y compris sur votre blog perso dont vous avez eu la gentillesse de me confier l'adresse.
SupprimerTout mes encouragements.
Serge
Serge,
SupprimerRavi d'apprendre que vous écrivez. Faites-nous partager vos textes ! Je serai ravi de le publier sur ce blog, pour peu qu'il corresponde à sa ligne éditoriale.
Ah, encore une chose, le blog perso dont vous parlez est tenu par François Fabien, pas par moi. Rendons à César...
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Chers amis,
RépondreSupprimerSans doute effectivement convient-il de ne pas trop multiplier les personnages féminins, même si les femmes entre elles ont souvent tendance à partager leurs trouvailles et à communier ensemble sur les bons plans. Amélie et Clotilde vont rester les phares féminins du récit auxquelles va très certainement s'adjoindre Estelle, la vieille copine d'enfance.
Quant à passer à l'acte, je ne peux, tout comme JLG, que vous encourager à le faire. Nous vous lirons avec plaisir.
Amicalement.
François
Désolé pour la confusion et félicitations pour vos propres récits dont je me régale. Quand à écrire, il faudra m'expliquer la procédure, pour la ligne éditoriale, cela devrait faire la maille.
RépondreSupprimerBien cordialement .
Serge
Serge,
RépondreSupprimerRien de plus facile. Vous écrivez un récit. Il peut s'agir d'un texte court illustrant un dessin ou d'un texte plus long en un ou plusieurs épisodes qui devront faire chacun 2500 mots minimum. Ils seront alors publiés en feuilleton.
Vous connaissez le thématique du blog et si vous souhaitez plus de précision sur la ligne éditoriale, lisez le contenu de la page "à propos".
Vous m'envoyez le texte par courriel en cliquant sur le champ "pour me contacter..." en haut à droite de chaque page du blog, juste en-dessous du dessin. Je le lis, nous en discutons...
Rien de bien compliqué.
Au plaisir de vous lire,
JLG.