vendredi 15 novembre 2019

Mes premières fessées - chapitre 14


Affalé sur son lit, Philibert s’est tourné vers moi, appuyé sur un coude, la joue dans la main.
– Et donc, si je comprends bien, tu vas encore y avoir droit ce soir. À la planche à découper, cette fois.
– J’en ai bien peur, oui !
– Finalement, il y en a plus que pour toi, quoi !
– Comment ça ?
– Ben, tu te fais sans arrêt tanner le cul, mais moi, tu sais à quand elle remonte, moi, ma dernière fessée ? À la fois où j’étais allé retrouver Clarisse en douce. Ça fait un bail, avoue !
– Tu vas quand même pas t’en plaindre !
– Non ! Bien sûr que non ! C’est pas de ça que je me plains. Parce que toi, t’as ma sœur. Au moins, même si c’est pas tous les jours marrant, elle s’occupe de toi. Tandis que moi, ma mère, maintenant j’ai l’impression qu’elle s’en fout. Je peux bien faire ce que je veux, elle en a plus rien à battre. Il y a plus que le fils de cette madame Lotti qui l’intéresse. Ce qu’il a fait. Ce qu’il va faire. Ce qu’il pourrait faire. Ce qu’il aurait pu faire. Et merde ! Moi, je compte plus. J’existe plus. Tu peux pas savoir comment ça me déstabilise de me sentir, comme ça, d’un seul coup, livré à moi-même. Sans aucun garde-fou. Je me sens en danger. Surtout en ce moment…
– En ce moment ? Pourquoi en ce moment ?
– Parce que j’ai rencontré des types, là. Et que je vais me laisser entraîner, je sens !
– C’est moindre mal si t’en as conscience.
– Oui, mais ça fait pas tout. Ça empêche rien. Pour le moment, je résiste. Je résiste tant que je peux. Mais ça va pas durer. Parce que c’est toujours les mêmes ressorts qu’on active avec moi. Comme si on sentait, d’instinct, qu’ils vont forcément marcher. Dès qu’on a l’air de croire que je suis un dégonflé, je pars au quart de tour.
– Il s’agit de quoi au juste ?
– Vaut mieux que tu saches pas. Je veux pas te mouiller là-dedans, mais c’est aux limites de la légalité. Avec le risque que ça bascule du côté qu’il faudrait pas.
– Parle-lui en à ta mère. Joue franc jeu.
– Je pourrai jamais.
– Tu veux que je le fasse ?
– Surtout pas ! Je veux pas que t’aies quoi que ce soit à voir dans ce truc. Ni de près ni de loin.
– Et Amélie ?
– Oui, oh, elle !

On a déjeuné ensemble, elle et moi, côte à côte.
Elle m’a souri.
– Tiens, à propos, j’ai vu ta copine Clotilde, hier.
– Ah !
A reposé son bol.
– On a fait plus ample connaissance toutes les deux. Elle est très bien, cette fille. Vraiment très très bien. Non, parce qu’elle a beaucoup aimé ça, le jour où maman t’a flanqué une bonne fessée devant elle pour avoir menti. Ça l’a émoustillée. Et pas qu’un peu. Ce dont je m’étais d’ailleurs alors parfaitement rendu compte. C’est souvent qu’elle y repense et qu’en y repensant, elle… Enfin, bref, je vais pas te faire un dessin. Toujours est-il qu’elle pourrait parfaitement prétendre que tes études laissent à désirer pour avoir le plaisir de t’en coller une. Elle y trouverait largement son compte. Et personne n’y trouverait rien à redire. Eh bien, non ! Non. Elle met un point d’honneur à être juste. Et honnête. C’est pas tout le monde qui réagirait comme ça, avoue ! En tout cas, ce qu’il y a de sûr, c’est que, tant que tu donneras satisfaction de ce côté-là, tu n’auras rien à craindre de sa part. Par contre, pour tout ce qui concerne ton comportement par ailleurs, que ce soit la boisson, les mensonges ou le reste, c’est à moi que tu auras affaire. Et alors là, je serai intraitable. Tiens-le toi pour dit.
Elle s’est resservi un grand bol de café noir.
– J’ai eu aussi eu des échos de ton entrevue d’hier soir avec les jumelles. Elles étaient ravies. T’as assuré. Comme quoi, c’est pas mal du tout de te lâcher un peu de lest finalement. Et si je continue, pendant quelque temps, à être satisfaite de toi, tu auras droit à une récompense. Quelque chose qui te fera vraiment plaisir.
J’ai levé sur elle un long regard interrogateur.
Elle m’a lancé une petite pichenette sur le bout du nez.
– J’en dis pas plus. Tu verras bien. Mais ce sera un cadeau royal. À condition, bien évidemment, que tu l’aies mérité.

C’était la mère d’Estelle au téléphone.
– Tu te souviens de moi ?
Bien sûr que je me souvenais d’elle. Bien sûr ! Chaque fois que je passais chercher sa fille, quand nous étions au lycée, j’échangeais, par courtoisie, quelques mots avec elle.
– Il faut que je te voie. Impérativement. C’est important. Et confidentiel. Je peux compter sur ta discrétion la plus absolue ?
Elle pouvait. Sans problème. Une tombe.
Et on a déjeuné ensemble à midi. Dans un petit restaurant à un quart d’heure de la fac.
– Alors, voilà !
Elle a repoussé son assiette, posé les deux coudes sur la table.
– Voilà. Récemment, tu as revu Estelle. Et je ne te cacherai pas qu’il m’a semblé, à l’entendre évoquer votre rencontre, qu’elle éprouvait une certaine attirance pour toi.
J’ai feint la surprise.
– Ah, oui ?
Mais j’étais, tout au fond de moi, absolument ravi.
– Oui. Ce qui tombe on ne peut mieux parce que…
Elle a semblé hésiter, a marqué un long temps d’arrêt.
– Tu me jures que cette conversation restera strictement entre nous ? Tu me le jures ?
Et j’ai, une nouvelle fois, promis.
– Non, parce qu’elle est allée s’enticher du mari de sa sœur. T’imagines ? Laquelle sœur, tu t’en doutes bien, n’est absolument pas au courant. Si elle l’apprenait, ce serait une véritable catastrophe. Tu comprends donc qu’il faut impérativement que cette relation cesse. Le plus vite possible. Pour toutes sortes de raisons. Et dans l’intérêt de tout le monde. Moi, de mon côté, je fais ce que je peux. Je la sermonne. J’essaie de lui faire entendre raison. Je suis même allée, excédée, jusqu’à lui flanquer, à trois ou quatre reprises, de magistrales fessées. Eh, oui ! À vingt-deux ans ! Ça te surprend, hein ! Mais qu’est-ce que tu veux ! Quand il n’y a pas d’autre solution… C’est efficace. Parce que ça la vexe. Mais ça n’est efficace qu’un temps. Elle finit toujours par aller y remettre le nez. C’est plus fort qu’elle. D’autant que lui, il ne supporte pas qu’elle veuille mettre un terme. Il lui faut ses deux nanas à sa botte. Alors il sort le grand jeu. Et elle lui retombe dans les bras. C’est une situation absolument infernale, je t’assure ! Alors… Alors, j’ai pensé à toi.
Elle a cherché mes yeux.
– Je me suis dit que si quelque chose de sérieux prenait corps entre vous deux, si elle tombait vraiment amoureuse de toi, le problème se résoudrait très probablement de lui-même. Ça m’ennuie de te demander une chose pareille, de te demander de séduire ma fille en somme, mais tu es quelqu’un que j’ai toujours beaucoup apprécié. Je sais que tu n’abuseras pas de la situation. Et puis, de toute façon, je ne vois pas d’autre solution pour sortir d’un état de choses qui est devenu complètement ingérable. Voilà. Tu sais tout. La balle est dans ton camp.
Je l’ai saisie au bond.
– Estelle est quelqu’un que j’apprécie énormément. Alors vous pouvez compter sur moi. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour la sortir de ce guêpier.
Elle m’a souri, pressé la main par-dessus la table.
– Merci. Je n’en attendais pas moins de toi.

Je l’ai quittée sur un petit nuage. Estelle ! Estelle en pinçait pour moi. Au moins un peu. Alors si je m’y prenais bien, si je ne cherchais pas à brûler les étapes, si je jouais les bonnes cartes, si je tenais compte, sans bien évidemment lui en parler, de ce que je venais d’apprendre, peut-être qu’elle et moi… Sûrement même ! Certes il y avait ce type, là, le mari de sa sœur, sous la coupe duquel elle était malencontreusement tombée. Je l’en délivrerais. J’y arriverais. Ça ne faisait pas l’ombre d’un doute. Certes il y avait aussi Amélie qui ne me verrait sans doute pas de gaieté de cœur m’éprendre d’une autre, qui risquait de dresser toutes sortes d’obstacles sur ma route. Je les contournerais. Ou je la convaincrais. Je me sentais invulnérable.
Et puis… Et puis Estelle, elle aussi, recevait des fessées. Ce qui changeait complètement la donne. Plus nécessaire de me cacher. Au contraire. En jouant franc jeu, de ce côté-là, avec elle, je la pousserais très vraisemblablement aux confidences. Nous étions soumis au même régime. Cela ne pourrait qu’instaurer entre nous une complicité, une connivence à nulles autres pareilles.
L’avenir m’apparaissait désormais sous les couleurs les plus riantes et, bien décidé à le mordre sans plus attendre à belles dents, je l’ai dans la foulée appelée, Estelle.
– Oh, Raphaël, comment ça me fait plaisir de t’entendre. Tu vas bien ?
– Très bien, oui. Et j’étais en train de me dire que ce serait quand même dommage, maintenant qu’on s’est retrouvés, de rester à nouveau des années et des années sans se voir.
– Ah, ça, je suis bien de ton avis.
– On pourrait peut-être déjeuner ensemble du coup un de ces quatre, non ? Histoire de discuter un peu. Qu’est-ce t’en penses ?
– Oh, mais quand tu veux… Quand tu veux…
Et on est tombés d’accord pour le lendemain midi.

C’est donc le cœur léger, tout plein déjà des bons moments qui m’attendaient avec elle, que je me suis rendu chez les Lotti.
Amélie n’avait pas jugé bon, cette fois, de m’accompagner.
– Je te fais confiance. Je sais bien que tu iras.
Les jumelles n’étaient pas seules. Il y avait deux filles avec elles.
– Là, c’est Pauline. Et là, c’est Morgane.
Deux filles qui se sont enthousiasmées.
– Mais alors il existe vraiment !
– Évidemment qu’il existe !
– Non, mais on croyait que c’était du flan, nous ! Que vous nous en poussiez une grosse…
– Ben non, vous voyez !
Pauline était ravie.
– On va bien s’amuser, ce qu’il y a de sûr…
Mais Morgane, ça se voyait, avait tout de même encore beaucoup de mal à y croire.
– Alors comme ça, vous dites que vous allez lui en coller une…
– Une sévère. À la planche à découper. Et par-dessus celles d’avant, il va le sentir passer.
– Et il va se laisser faire ?
– Il a plutôt intérêt, oui ! Parce que sinon…
C’est Hortense qui a précisé.
– Il a fait des trucs pas bien jolis. Alors s’il veut pas que ça lui retombe sur le coin de la figure, il a pas trop le choix. Sans compter en plus que, si on voulait, s’il se laissait pas faire, on pourrait aller le raconter un peu partout qu’il s’en ramasse et il passerait pour un bouffon.
Pauline s’est impatientée.
– Bon, allez ! Vous commencez ?
Les jumelles ont éclaté de rire.
– Ah, t’as hâte, toi, hein !
– Ben, oui ! Oui !
– Tu veux le déculotter ?
Son visage s’est illuminé.
– Moi ?
Elle, oui !
Elle ne se l’est pas fait répéter deux fois. Elle s’est avancée vers moi, la mine gourmande, une lueur d’intense satisfaction dans les yeux. Des yeux qu’elle a plantés dans les miens, qu’elle y a laissés. Elle a débouclé lentement, très lentement, ma ceinture, a fait glisser, en prenant tout son temps, la fermeture Éclair de mon pantalon. Elle a frôlé au passage, s’est un peu attardée, est revenue en arrière, m’a délibérément tâté la queue, l’a fait gonfler, se dresser.
Elle a murmuré.
– Cochon !
Et elle m’a fait tomber le pantalon sur les chevilles. Le boxer a suivi le même chemin.
Pauline s’est approchée et s’est esclaffée.
– Eh, ben dis donc, tu lui fais de l’effet !
Gwenaëlle a proposé.
– Vous pouvez le décalotter, hein, si vous voulez !
C’est Pauline qui l’a fait. De deux doigts déterminés.
– Il est à fond, là ?
– On dirait bien.
– Attends, fais voir !
Et Morgane est venue à sa rescousse.
Elles ont sollicité, recouvert, redécouvert.
Hortense a mis un terme.
– Bon, le but, c’est pas non plus de le faire gicler. Si on passait aux choses sérieuses, plutôt ?
Les choses sérieuses, oui, oui, bien sûr.
On m’a empoigné par les bras, poussé dans le dos vers le frigo.
Il y a eu des exclamations stupéfaites.
– Oh, cette tatouée !
Hortense m’a relevé le tee-shirt.
– Tiens-moi ça en l’air !
Des mains m’ont palpé les fesses, les ont redessinées. Des ongles les ont agacées.
Je me suis crispé.
– Il a la peau à vif.
– Oui, ben ça, il l’a bien cherché, hein !
Et Hortense m’a posé la planche à découper sur le derrière.
– Allez, prêt ? À la une, à la deux et à la trois !
Elle m’en a lancé un grand coup à pleines fesses. J’ai hurlé.
– Oh, ben, si tu commences déjà à brailler, qu’est-ce que ce sera tout à l’heure ! Je t’ai à peine touché.
Un deuxième coup. Un troisième coup. Une douleur intense. Fulgurante. Je me suis protégé les fesses, comme j’ai pu, de mes mains.
– Oui, alors là, tu vois, tu devrais te dépêcher de les retirer. Parce que je vais pas avoir d’états d’âme, je vais taper. Et, si tu peux pas te servir de tes mains, pour tes études, ça risque de pas être très pratique. Pour des tas d’autres choses aussi, d’ailleurs !
Elles ont ri. Toutes. De bon cœur.
Je les ai précipitamment retirées.
Les rires ont redoublé.
– Mets-les sur la tête, tiens, plutôt ! Tu seras moins tenté.
Encore un coup, lancé avec une force inouïe, qui m’a plaqué contre le frigo, arraché des plaintes à fendre l’âme.
Deux autres. Qui m’ont fait sautiller d’un pied sur l’autre. Et crier. Crier à perdre haleine.
Ce qui a beaucoup amusé Pauline.
– J’adore quand il danse comme ça ! Et tu sais ce qui serait bien ? C’est qu’il saute encore plus haut.
– Oh, s’il y a que ça pour te faire plaisir !
Et, tout aussitôt, une rafale de cinq ou six coups qui m’ont effectivement obligé, sous l’effet de la douleur, à me donner le ridicule de gambader sur place, les jambes levées bien haut, en poussant tout un tas de petits cris larmoyants qui les ont mises en joie.
– Il est trop drôle ! Il est vraiment trop drôle.
Gwenaëlle a estimé que ça suffisait.
Et Pauline a protesté.
– Oh, non, pas déjà !
– Faudrait pas l’abîmer, ce serait dommage. Oh, mais on recommencera, vous inquiétez pas ! Un jour prochain. Dès qu’il aura un peu récupéré.
– Oui, hein ! C’est trop bien qu’ils soient punis, les types. Ils nous en font tellement voir à nous, les filles ! Un peu à leur tour…
Et Morgane a suggéré.
– Peut-être que ça pourrait être à nous de lui faire la prochaine fois.
– Oh, mais c’est une excellente idée, ça !
J’ai profité de ce qu’elles étaient occupées, toutes les quatre, à discuter entre elles pour commencer à me rhabiller.
Hortense m’a presque aussitôt interrompu.
– Qu’est-ce tu fais ?
– Ben, je…
– T’es si pressé que ça ? T’as bien cinq minutes ! Tu vas nous servir le café, tiens ! Et à poil ! Que je puisse contempler mon œuvre…


Pour les distraits qui auraient loupé ce qui s'est passé précédemment

Tout a commencé comme ça : chapitre 1
Et la semaine précédente, le chapitre 15
Et tous les autres chapitres sur la page "les auteurs invités"

Et la suite ?

Ce sera la semaine prochaine, comme d'habitude.

Les commentaires sont les bienvenus

François Fabien doit-il continuer dans cette direction ? Doit-il écrire un prochain épisode ?

11 commentaires:

  1. Excellent, comme depuis le début. Et les enjeux montent, comme les possibilités de fessées diverses. Une série originale, amusante et excitante. Surtout continuez dans cette direction !

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    1. Bonjour, inconnu. Et bonjour à tous.
      Merci d'avoir pris la peine de laisser un commentaire. C'est vrai qu'il commence à y avoir beaucoup de monde dans cette histoire. Et que les fessées risquent de se multiplier. Sans doute les filles vont-elles aussi y attraper. Ce ne serait que justice. Pas toujours les mêmes! ;)
      Amicalement.
      François

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  2. On ne peut pas dire que Raphael est épargné. Il s'en prend plein les mirettes, si on peut dire ça comme ça.
    Vivement la suite. On en raffole !
    Amitiés.
    Elena

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    1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
      C'est vrai que le derrière de Raphaël est en feu quasiment en permanence. Pour le plaisir des filles devant lesquelles il est copieusement fessé. Si les femmes adultes, dans ce récit, sont plutôt tournées vers les vertus éducatives et "réparatrices" de la fessée, les plus jeunes ne s'encombrent pas de prétextes: elles affirment haut et fort, par leurs propos et leurs attitudes, qu'elles éprouvent du plaisir à voir corriger Raphaël, un plaisir qui se nourrit de ce qu'elles sont quotidiennement amenées à subir, selon elles, de la part des garçons. Quant à Amélie, c'est le fait d'exercer un pouvoir qui lui apporte, je crois, les plus intenses satisfactions.
      Amicalement.
      François

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  3. Bonjour François-Fabien, surtout continuez, à mon sens, il convient de ne pas trop multiplier les personnages notamment féminins pour les creuser davantage, Amélie et ses copines les plus proches et bien sûr Clotilde qui va bien finir par s'occuper des fesses de Raphaël.

    Encore bravo. Cordialement .

    Serge

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    1. Serge,
      Je vous sens près à passer à l'acte. Ecrire votre propre récit, y avez-vous pensé ? C'est la meilleure façon de maîtriser ce qui sera lu.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Cher ami, vous avez tout compris, j'écris effectivement de mon côté, quand à passer à l'acte, j'y songe. il n'empêche que je me délecte de vos récits y compris sur votre blog perso dont vous avez eu la gentillesse de me confier l'adresse.
      Tout mes encouragements.
      Serge

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    3. Serge,
      Ravi d'apprendre que vous écrivez. Faites-nous partager vos textes ! Je serai ravi de le publier sur ce blog, pour peu qu'il corresponde à sa ligne éditoriale.
      Ah, encore une chose, le blog perso dont vous parlez est tenu par François Fabien, pas par moi. Rendons à César...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Chers amis,
    Sans doute effectivement convient-il de ne pas trop multiplier les personnages féminins, même si les femmes entre elles ont souvent tendance à partager leurs trouvailles et à communier ensemble sur les bons plans. Amélie et Clotilde vont rester les phares féminins du récit auxquelles va très certainement s'adjoindre Estelle, la vieille copine d'enfance.
    Quant à passer à l'acte, je ne peux, tout comme JLG, que vous encourager à le faire. Nous vous lirons avec plaisir.
    Amicalement.
    François

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  5. Désolé pour la confusion et félicitations pour vos propres récits dont je me régale. Quand à écrire, il faudra m'expliquer la procédure, pour la ligne éditoriale, cela devrait faire la maille.
    Bien cordialement .
    Serge

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  6. Serge,
    Rien de plus facile. Vous écrivez un récit. Il peut s'agir d'un texte court illustrant un dessin ou d'un texte plus long en un ou plusieurs épisodes qui devront faire chacun 2500 mots minimum. Ils seront alors publiés en feuilleton.
    Vous connaissez le thématique du blog et si vous souhaitez plus de précision sur la ligne éditoriale, lisez le contenu de la page "à propos".
    Vous m'envoyez le texte par courriel en cliquant sur le champ "pour me contacter..." en haut à droite de chaque page du blog, juste en-dessous du dessin. Je le lis, nous en discutons...
    Rien de bien compliqué.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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