LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE
CUISANT DIMANCHE CHEZ EDWIGE.
Edwige n'est pas
du genre à passer sur une occasion de sévir. Braver une interdiction formelle,
surtout lorsqu'il s'agit de paris d'argent, mérite une sévère correction. Stephen, comme son ami Douglas, a déjà pris cher.
Mêmes causes, même effet, même punition, trois fessées successives, dont deux
déculottées... C'est le tarif normal pour une grosse désobéissance. Mais elle tient à parler
à Clarisse pour discuter avec elle d'une sanction plus sévère afin de leur faire passer
l'envie de jouer aux courses. Surtout quand ils perdent régulièrement.
Elles tombent
naturellement d'accord en estimant que la correction de la veille, est loin
d'être suffisante. Il faut vraiment leur donner une bonne leçon et l'idée
de les corriger ensemble devant témoins est adoptée à l'unanimité des deux
épouses. Elles conviennent de régler ça avec les conjoints Dimanche chez
Edwige. Rodolphe sera présent, cette fois en spectateur et Bettina, invitée,
afin de rendre les fessées plus humiliantes devant un public averti.
Le
dimanche suivant, l'histoire des '' Aventuriers des paris perdus du PMU
" qui avait fait grand bruit dans le quartier, surtout sur les fesses des
deux joueurs, allait trouver sa cuisante conclusion. La punition qu'ils ont déjà reçue à la maison
n'était qu'un petit échantillon de ce qui les attend chez Edwige. Elle a demandé à ses ''invités'' d'arriver
vers midi et demi, le temps de prendre l'apéritif et, un peu comme pour une
compétition sportive, commencer par l'habituelle fessée d'échauffement,
histoire de se faire la main sur le derrière des punis.
Clarisse doit aller chercher un gâteau
qu'elle a commandé dans une pâtisserie du centre-ville. Elle a demandé à
Douglas d'emmener Rodolphe et de passer prendre Bettina chez elle, sa voiture
étant en panne. Walter, son mari, ne viendra pas. Pour une fois, il n'est pas
concerné par cette séance de recadrage et se tient volontiers en dehors de tout
cela. La proximité de ces Dames en ces circonstances peut se révéler nuisible à
la santé des postérieurs de l'entourage. Une fessée est vite arrivée lorsqu'un
derrière, même innocent, se trouve à portée de main d'aussi redoutables claqueuses.
Walter
est dans son garage. Douglas et Rodolphe encore à l'extérieur. Arrivés devant le
rideau de la porte relevée, ils l’entendent insulter sa voiture qui refuse de
démarrer. C'est fou que c'est énervant lorsque les choses inertes se mettent à
refuser d'obéir. Un pantalon qui résiste au déculottage, un élastique de slip
qui craque, un martinet qui vous échappe des mains, ces petits problèmes du
quotidien qui compliquent inutilement la vie peuvent être réglés par une bonne
fessée. Mais une voiture qui ne démarre pas....
Douglas demande à Walter où est sa femme. Il répond en sortant la tête de sous le capot.
–
« Elle est là-haut
en train de se préparer. Vous tombez bien. Dites-lui de se dépêcher sinon dans
une heure vous serez encore là... Si c'est moi qui lui dit... elle va mal le
prendre ! »
Douglas,
toujours un peu flemmard, n'a pas envie de monter les escaliers et demande à
Rodolphe d'aller la chercher. Celui-ci trouve effectivement Bettina devant son
miroir, virevoltant malgré la hauteur de ses talons aiguilles, se tournant et
se retournant sans cesse pour s'observer de tous côtés.
La satisfaction un peu perverse qu'elle prend
à assister à ses corrections, ne l'empêche pas de se montrer affectueuse avec
lui. Elle l'accueille chaleureusement. Son désir permanent de séduction n'y est
pas étranger. Pour ces femmes, ferventes adaptes de la fessée, Rodolphe n'a pas
que son derrière d'attirant, il est aussi beau garçon. Il réprime un petit
mouvement de recul lorsqu'elle l'embrasse sur la joue. Il se méfie de cette
sulfureuse créature, un peu retord, qui prend un malin plaisir à inciter sa
mère à le fesser toujours plus fort et plus souvent.
Bettina
aime provoquer et s'habille en conséquence. Elle porte un de ces petits
tailleurs ajustés très près du corps, dont la jupe ultra moulante met
particulièrement en valeur ses généreuses formes, notamment postérieures. Elle
a enfilé des bas nylon noirs retenus par un porte-jarretelles assorti,
nettement visible sous la jupe serrée. Son chemisier blanc échancré, quasi
transparent, laisse entrevoir un soutien-gorge bien" pigeonnant"
comme le veut la mode. Une ceinture noire presque aussi large que la moitié de
la hauteur de sa jupe complète sa tenue. Il faudrait être aveugle pour ne pas
remarquer son monumental fessier, rendu encore plus proéminent sous la cambrure
imposée par la hauteur de ses talons aiguilles.
Il faut dire que si elle adore administrer des
fessées, elle ne déteste pas, non plus, s'en faire mettre à l'occasion. Ce qui
entretient avec bonheur l'impressionnant format de son postérieur.
–
« Fesser ou être
fessée, dit-elle souvent avec son sens aigu de la provocation... la question ne
se pose pas... dans les deux cas, ça m'excite !
Walter,
le mari, soumis à ses caprices disciplinaires, en reçoit beaucoup plus qu'il
n'en donne. Elle lui abandonne ses fesses à claquer de temps en temps,
lorsqu'elle en a envie. Lui concédant à chaque fois l'illusion de prendre comme
une petite revanche sur les formidables raclées qu'elle lui flanque quand il désobéit.
Il faut dire que, si Madame lui met souvent le feu aux fesses, elle-même les a
aussi fréquemment dans le même état de chaleur... Et dans tous les sens du
terme. La fidélité conjugale n'est pas toujours à son ordre du jour.
Prudent, à défaut d'être bien élevé, et ce
n'est pas faute de se faire remettre le derrière d'équerre par sa mère,
Rodolphe se garde bien de faire une quelconque remarque sur cette partie de la
généreuse anatomie de Bettina. D'autant plus piégeant que la troublante créature
sait parfaitement se servir de ses avantages. Ce qu'il n'a guère loisir de
remarquer, lorsqu'elle assiste à ses punitions, et qu'il se trouve à plat
ventre sur les cuisses de sa mère, le nez au ras du sol, en train de tortiller
du derrière sous les fessées.
Encouragé
par son accueil chaleureux, il se permet de lui rappeler, très respectueusement...
l'hypocrite... qu'Edwige a demandé que tout le monde soit là pour midi et demi.
Il est le quart...
.
– « Oui, oui, je sais... En retard et c'est la fessée ! J'en ai déjà
pris une ce matin... Ce n'est pas pour dire, mais j'aime bien avoir chaud aux
fesses, ajoute-t-elle sans
complexe avec un petit rire enfantin, et puis ça me maintient le derrière en
forme ! »
Rodolphe
ne sait pas s'il doit rire ou garder son sérieux. Elle poursuit en enfilant ses gants.
– « Et puis comme ça, j'ai laissé à Walter l’impression qu'il se vengeait de la
double fessée que je lui ai flanquée hier soir... Il fallait bien que je le
punisse, il est encore rentré du bureau avec deux heures de retard... Tiens
c'est drôle... Encore une histoire de retard ! »
Dans
ses yeux brille une petite flamme malicieuse qui fait supposer qu'elle prépare
un petit coup de provocation. Sans prévenir, tortillant du derrière, elle
retrousse sa jupe au-dessus de ses hanches, et se déculotte, sans aucune gêne,
en bombant les fesses pour les contempler dans la glace par-dessus son épaule.
–
« Hou la la ! Les
fessées… qu'est-ce que ça chauffe ! Mais ça fait du bien ! J'en ai encore
le derrière tout rouge ! »
Les
pouces sous l'élastique, elle tient son slip tendu sous son éclatant fessier
qu'elle lui fait contempler avec un naturel désarmant.
– « Tu ne les trouves pas belles mes fesses
quand elles sont bien rouges comme ça? "
Rodolphe
a beau être troublé, il répond avec un petite pointe d'insolence. Après tout,
elle voit souvent mes siennes, dans une toute autre position et bien plus
rouges que ça.
–
« Oh si madame !
Et même quand elles ne sont pas rouges ! "
Avec
un air faussement scandalisé, démenti par ses yeux rieurs, elle l'apostrophe en
rabaissant sa jupe et en la lissant bien sur ses grosses fesses.
–
« Dis donc toi
!!! Tu n'as pas honte de parler comme ça à ta voisine? Quand même »
Il s'apprête à répliquer.
–
« Et vous ? Ça ne
vous gêne pas de me montrer votre derrière déculotté ? »
Mais il n'en a pas le temps, du rez-de-chaussée
Walter appelle sa femme.
–
« Alors
chérie qu'est-ce que tu fabriques, tu descends oui ou non ? »
Bettina
secoue sa main d'un air faussement craintif. Pas du tout impressionnée elle dit
en riant à moitié.
–
« Ouille ouille il
faut descendre. Je suis impressionnée ! Monsieur fait sa petite crise
d'autorité parce que vous êtes là ! Elle pouffe de rire, mais tout le
monde sait que c'est moi qui porte la culotte et qui descend la sienne, chaque
fois que c'est nécessaire... Et ça arrive souvent ! »
Elle
jette un dernier coup d'œil sur son derrière, retend une jarretelle, ajuste en
la lissant sa courte jupe, et prend son sac. Ils descendent l’escalier….
Arrivés
en bas, elle se tourne lentement, le dos vers son mari et, par provocation, lui
demande avec un clin d'œil.
– « Alors chéri, elles sont bien comme ça mes
fesses ? Cela va ? »
En même temps elle présente son postérieur en
se penchant un peu et en l'arrondissant au mieux, pour permettre à tout le
monde de bien jauger le format plus que convenable du splendide fessier
qu'elle offre aux regards. Cette fois ci elle ne retrousse quand même pas sa
jupe. Walter ne sait plus où se mettre. Ce n'est pas la première fois que sa
femme, très fière de son anatomie, se livre à ce genre d'exhibition, mais il
rougit jusqu'aux oreilles, honteux de la voir s'exposer ainsi devant le mari de
Clarisse et son fils.
Il
répond simplement.
–
« Vous feriez mieux d'y aller... On doit vous attendre. »
Bettina,
évidemment ravie d'avoir été conviée à participer à cette excitante journée,
est montée toute joyeuse dans la voiture. Sans y être invitée, elle s'est
installée à l'avant, près de Douglas qui conduit. Rodolphe à l'arrière, s'amuse
de l'entendre aussitôt ironiser sur les derniers exploits de son beau-père.
Elle lui fait la leçon comme une maman parlerait à un enfant coupable de
bêtises.
–
« Alors vilain Douglas, on a encore fait son intéressant ! On est allé
jouer aux courses, en douce, avec son ami Stephen. Non seulement sans
l'autorisation de son épouse chérie, mais en plus on a perdu plein
d'argent ! C'est pas bien ça
Douglas … Oh, ce n'est pas bien du tout ! »
Douglas
hésite à répondre. Il n'est pas en situation de répliquer. Ce serait facilement
interprété comme une attitude insolente que la charmante voisine se ferait un
plaisir de rapporter. Elle continue à le
provoquer sans se préoccuper de ses réactions.
–
« Vous savez ce que ça mérite ça Douglas... Hum ? La fessée mon ami, la
grosse fessée ! Et quand je dis la fessée, je devrais parler au pluriel ! C'est une bonne
correction qui vous attend, vous et votre ami Stephen... Vous n'avez pas honte
de gaspiller autant d'argent en pariant sur des canassons ?
–
« Des chevaux Bettina ! Ce sont des chevaux ! répond cette fois
Douglas une pointe d'agacement dans la voix. Des chevaux de course... pas des
canassons !
Elle
s'en moque la voisine. Comme de sa première paire de bas nylon.
–
« Oui, si vous voulez ! Chevaux ou canassons, ça ne va pas pour autant
changer la couleur de vos fesses à la fin de la journée ! »
Rodolphe
cache à peine son hilarité sur la banquette arrière. La voisine sans gêne, a beau se
mêler trop souvent de ce qui ne la regarde pas, elle ne manque cependant pas d'humour
et d'impertinence. Douglas
vient de se prendre une réplique, en revers croisé le long de la ligne, qui le
laisse silencieux jusque chez Edwige. Le trajet n'est pas très long, ils arrivent à destination
en quelques minutes.
Edwige
va leur ouvrir, une flûte de champagne à la main. Clarisse est déjà là, jambes
haut croisées dans un fauteuil, Stephen debout devant la table basse fait le
service, un plateau de petits fours entre les mains. Ces dames s'embrassent et
s'installent. Douglas est envoyé à la cuisine chercher des glaçons. Bettina,
comme Gladys, préfère le whisky, plus corsé, au champagne. Elle interpelle
aussitôt Stephen, en piochant dans les canapés au saumon.
–
« Alors ? On a
encore fait des siennes ! S'exclame-t-elle, comme si elle s'adressait à son
propre mari, puis en direction de Edwige et Clarisse. Mais qu'est-ce qu'ils ont
donc dans la tête? J’espère que vous les avez déjà bien corrigés ? Qu'ils
se sont ramassé les bonnes fessées qu'ils méritent ? »
Douglas et Stephen se hâtent de répondre avant
leur épouse. Ils font acte de contrition comme
pour atténuer l'ampleur de la punition à venir.
–
« Oh pour ça
oui ! Elles fessent fort ...
–
On a déjà été bien
corrigés...
–
On n'est pas près de
recommencer ! »
Edwige
loin d'être convaincue regarde ses amies et désignant les deux hommes d'un
mouvement de menton.
–
« De toutes façons,
il n'y en pas un des deux pour racheter l'autre ! Et à part de bonnes fessées,
il n'y a rien d'autre pour les calmer et leur mettre du plomb dans la tête
!"
–
« Le plomb c'est surtout sur les fesses qu'il faut leur mettre et pas qu'à
eux ! »
Ajoute Clarisse en lançant un regard appuyé
vers son fils. Tout
le monde rit plus ou moins…excepté l'intéressé qui préfère rester discret et
faire comme s'il n'avait rien entendu.
.
Les deux hommes, pris dans le tir croisé de leurs épouses
et Bettina, toujours prête à souffler sur les braises, ont bien compris que ce
n’est pas le moment de se manifester et de répondre quoique ce soit.
Machinalement, Douglas a carrément plaqué ses mains sur ses fesses, comme pour
anticiper sur la sévérité de la fessée à venir. Clarisse lui fait
porter des pantalons très serrés pour bien mettre en valeur ses volumineuses
rondeurs. Stephen n'en mène pas large non plus et lisse craintivement le sien,
tout aussi moulant, sur son postérieur, encore sensible des fessées reçues
récemment.
Ils ont bien essayé un moment de bafouiller quelques
excuses, mais avec leur maladresse habituelle, ils s’emberlificotent dans leurs
explications et sombrent dans le ridicule. Ils savent leur cause perdue.
Pour une fois qu'il ne s'agit pas de ses fesses, Rodolphe
n'est pas mécontent de voir son beau-père et son complice en si mauvaise posture.
Il constate intérieurement qu'ils sont aussi nuls l’un que l’autre
pour se défendre.
Edwige en a assez, en plus elle sent qu'il est temps de
passer à table. La durée de cuisson d'un rôti de bœuf est, de loin, inférieure à celle d'un
derrière à corriger.
–
« Bon, messieurs, cela
suffit ! Taisez-vous ! Vous n’avez plus qu’à préparer vos fesses et à attendre votre fessée ! Un point,
c’est tout ! “
Clarisse intervient aussi avec autorité.
–
« Vous
recevrez votre fessée tout de suite après le repas ! Ça vous facilitera la
digestion ! Douglas tu files au coin à genoux, fesses en l'air, tendues à
bloc, comme à la maison. Tu viendras à table quand on te le dira !
Edwige à son mari.
–
« Stephen, tu
as entendu ? Tu vas au coin immédiatement, à genoux à côté de Douglas,
mains sur la tête, tes fesses aussi, bien présentées, jusqu’au moment de passer
à table !.”
Les deux hommes s’exécutent. Ils s’agenouillent sur le
carrelage, le nez au mur,
mains sur la tête, le fessier bien tendu, arrondi au maximum, bien en vue de
ces Dames.
Le repas se passe bien, les “garçons” font le service. Les
conversations de trois femmes sont très vite orientées sur l'effet bénéfique
des fessées et les échanges sont animés sur les différentes manières de les
administrer. Stephen se tortille un peu sur sa chaise de temps en temps comme s’il avait déjà reçu sa fessée. De temps en
temps son regard file avec inquiétude vers les deux martinets accrochés ensembles au dossier de chacune des
chaises, disposées au milieu du salon pour la correction. Douglas remue
aussi un peu sur son siège, mais ne lève pas beaucoup les yeux sauf quand sa
femme l’exige en continuant à lui faire des reproches. Bettina comme à son habitude, en
rajoute un maximum et se moque joyeusement.
–
« Alors
Messieurs... on ne vous entend pas beaucoup ! Je suis sûre que vous percevez déjà le bruit des claques sur votre derrière
! Que vous sentez déjà la fessée vous cuire votre gros fessier ! Il faut attendre
encore un peu... je
suis certaine que vos épouses prendront tout le temps qu’il faut, il est de
bonne heure encore ! »
C’est le moment du dessert, Clarisse pose sur la table le gâteau
qu'elle est allée
chercher le matin et avant de se rasseoir, ordonne à son mari de se lever
et de baisser son pantalon.
–
« Toi, tu retournes au coin, comme ça, déculotté, pendant qu'on mange le dessert !
Edwige se concerte du regard avec elle ;
–
Toi aussi Stephen ! Tous
les deux à genoux, l’un à côté
de l’autre, qu’on puisse bien voir vos gros fessiers ensemble ! Bien exposés
avant qu'on s'en occupe comme il faut ! »
Les malheureux n'ont pas le choix et, le pantalon aux chevilles obéissent sans broncher.
Douglas retourne se positionner à l’endroit où il était,
Stephen s’agenouille à côté
de lui et, comme l'exigent les sévères épouses, tous les deux tendent leur
postérieur au maximum dans leur direction en essayant chacun de le faire encore
mieux que son voisin. Le concours de celui dont le fessier apparaîtra le plus
provocant, le plus tentant, offrant le volume le plus réceptif à la fessée pour
tenter d'obtenir les bonnes grâces de sa correctrice.
Rodolphe, cette fois, assis près de Bettina, profite
ouvertement de l’exposition des deux postérieurs offerts aux regards, sans
faire semblant de regarder ailleurs.
Chacun mange tranquillement son gâteau, Bettina faisant remarquer, sans scrupule, que les parts
sont plus grosses puisqu’il a été partagé en quatre au lieu de six!
–
« Et puis quoi encore ?... Ajoute Clarisse d'un faux air scandalisé. Il ne manquerait plus que çà qu'ils aient
droit au dessert ! »
Edwige ironise à son tour.
–
« Pour eux, le dessert, c'est la fessée ! Les fesses couleur rouge fraise
! »
Les deux punis encaissent les humiliants commentaires sans
broncher. Ils se gardent bien de dire quoique ce soit
et, bien dociles, s'efforcent d'encore mieux gonfler leur fessier !
Edwige va chercher le café, que chacune boit
tranquillement en reluquant ostensiblement les deux fessiers solidement
culottés. Les slips à fessée font leur effet. En cette fin de repas
dominical, on ne voit plus dans le salon que deux belles paires de
fesses rebondies comme en attente d’être maintenant portées à l’écarlate.
On boit le café en prenant tout son temps... surveillant les plantureux derrières présentés par les deux époux qui ont interdiction
de décoller leur nez du mur mais l’ordre de bien faire ressortir leur
postérieur qu’ils doivent arrondir le plus possible. Edwige et Clarisse
rivalisent d'exigence en leur commandant de temps en temps de bien garder leur position. Bettina,
muée en chef d'orchestre, s'amuse ouvertement du déroulement des opérations et,
comme d'habitude, ne se prive pas d’ajouter son grain de sel.
–
« Douglas, ressortez
encore vos fesses ! Mieux que ça ! Stephen, creusez bien les reins ! Mieux
que çà aussi ! »“ .....
Puis les deux épouses décident que la fessée va commencer !
Elles font lever leurs maris qui ne sont ni grands ni très lourds. Ce sont de fortes femmes et, chacune
enserrant le sien sous son bras, le traîne pour l'emmener sur “la chaise à
fessées “ pour Stephen et sur une autre chaise pour Douglas. Ils passent devant
Rodolphe ainsi transportés. Celui-ci constate que l’un comme l’autre ont les
yeux déjà plein de larmes et l’air plus terrorisé que guilleret. Il se fait si
souvent corriger devant témoins, qu'il a bien envie, à son tour, de profiter du
spectacle de cette double fessée. Administrée sur d’aussi beaux fessiers
masculins l’effet sonore et visuel, risque d'être
particulièrement réjouissant.
Sautant sur
l'occasion de renforcer, par sa présence, le caractère humiliant de la
punition, Clarisse lui propose de rester.
–
« C’est tout à fait normal à son âge qu'il assiste à une fessée
de son beau-père qui l’a bien
mérité.
–
Mais bien
sûr ! surenchérit Bettina, déjà installée devant les deux chaises pour ne
rien rater de la cérémonie. Il faut qu'il la reçoive devant tout le monde... Et
déculotté !! Qu’il ait bien honte de se faire claquer le derrière devant
son beau-fils … çà lui apprendra à faire toujours des bêtises !
Satisfaite de sa petite tirade, elle se rengorge sur sa
chaise en croisant si haut les jambes que sa courte jupe se retrousse jusqu'aux
jarretelles. Elle n'y prête aucune attention et continue sur sa lancée, jouant
le rôle de l'impitoyable.
–
« Et
Stephen pareil, une bonne fessée déculottée en public c’est tout ce qu’ils
méritent... Tous les deux! »
L 'enthousiasme souvent excessif de Bettina fait, pour
une fois l'unanimité. Mis à part, Stephen évidemment, et Douglas qui, sans trop
y croire tente une timide protestation.
–
« Oh quand
même Clarisse, j’ai trop honte ! Pas la fessée devant Rodolphe ! S’il te plaît chérie !... S’il vous
plaît ! »
Il s’adresse aussi à Edwige et Bettina, sachant que toutes
les trois ne vont pas se gêner pour se relayer, lorsque l'une d'entre elle aura
besoin de se détendre la main. Aucune ne
prête attention à ses supplications.
Stephen est déjà installé à plat ventre sur les genoux de
son épouse, fessier en l’air et tête en bas, la tête de côté pour regarder son postérieur, largement
développé par sa position. Il est à l’évidence plus préoccupé par la fessée qui
va lui claquer au derrière que par l'idée d'une quelconque demande de pitié,
par ailleurs parfaitement inutile.
Douglas est maintenant lui aussi couchée à plat ventre sur
les cuisses de sa femme. Elle l'a si bien dressé à présenter ses fesses qu'il
vient se mettre de lui-même en position réglementaire pour recevoir sa correction.
La tête près du sol, son fessier tout en l’air, les genoux pliés et les
pieds levés prêts à battre au rythme de la fessée. Et il a intérêt à
s'appliquer sinon il a droit aussitôt à la fessée supplémentaire prévue en cas
de relâchement.
Comme il est loin le parieur invétéré, hâbleur et sûr de
lui, réduit au statut de petit garçon qui attend docilement sa fessée sur les
genoux de son épouse. Son regard est maintenant suppliant et apeuré comme celui de son complice
de jeu. Chacun placé en face de l’autre
de façon à avoir son propre fessier bien en vue de son partenaire, et de
pouvoir aussi voir le sien dans la glace prévue à cet effet.
Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 5
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerWahou !! Les "Trois Grâces" ! Comme les divinités grecques.
Tierce gagnante ! Doug et Steph' sont mortifiés ! D'autant que Roro ne fait pas partie du trio. La honte, quoi !
Franchement, Messieurs , ce faire tanner le joufflu comme des lycées boutonneux !!! A votre âge !!! Est-ce digne d'hommes adultes ? Et se surcroît quadragénaires ? Et vous avez de la chance que Mame Bellebourge ne fasse pas partie... du jury d'excellence. Pensez donc.
Vous êtes indéfendables! Courage, les champions.
Mention spéciale pour les deux illustrations.
Amicalement. Peter.
Bonsoir Peter,
RépondreSupprimerRéponse tardive ( retour tardif de séjour loin de l'ordinateur)au commentateur assidu.
Bien vu les trois Grâces, comme les divinités de la fessée. Effectivement, on peut dire de ces pétroleuses de la déculottée, tiercé gagnant! Elles gagnent à tous les coups( sur les fesses!)
Merci pour le compliment concernant les illustrations. Tu es bien placé pour savoir que cela nécessite beaucoup de temps, mais ça vaut le coup... Au moins pour entretenir les fantasmes...
Amicalement
Ramina