mercredi 25 septembre 2019

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 14

« Allons coucher nos filles, elles dorment ou c’est tout comme. »
Marguerite songea à protester, bien sûr qu’elle ne dormait pas. Tout juste si elle somnolait. Mais elle se retint à temps. Elle n’avait pas envie d’une fessée maintenant.
« J’en ai une qui dort vraiment et l’autre … »
Il déposa un bisou sur la joue de Maeva.
« … elle y est presque. »
Maeva fit un gros soupir, suivi par un petit gémissement.
« Tu vois, je te le disais. Et la tienne ?
– Pareil. Encore dix minutes et elle dort. Mettons tout cela au lit. »
Marguerite ne voulait pas quitter les bras de Teva. Elle fut exaucée. Maeva se leva sans lui faire quitter la position qu’elle avait. Elle passa juste son bras sous les fesses de Marguerite pour soutenir son poids. Marguerite entrouvrit un œil pour voir Fara qui les suivait avec une fille sur chaque bras.
Teva déposa Marguerite d’un côté du lit dont elle avait écarté les draps. Fara faisait pareil avec Maeva de l’autre côté. Les draps remontés jusqu’au menton, puis bordés bien serrés, une caresse et un bisou de chacun, la lumière éteinte. C’était l’heure de dormir.
Marguerite attendit que la lumière soit éteinte dans le couloir.
« Maeva ?
– Oui ?
– Je suis contente de dormir avec toi !
– Moi aussi ! »
Il y eut un petit moment de silence.
« C’est comme ça tous les jours ?
– Quoi ?
– Les fessées !
– Ben oui. Si tu désobéis …
– Et toi, tu en as reçues souvent ?
– Bien sûr ! A peu près chaque jour au moins une. »
Cela donnait à penser.
« Et les câlins ?
– Ah oui, aussi !
– Qu’est-ce que c’est que ce bavardage ? »
Teva venait d’entrer dans la chambre.
« Je croyais qu’on vous avait mis au lit pour dormir ! Et ces deux demoiselles se croient autorisées à bavarder ! A cette heure-ci, normalement, les petites filles dorment. »
Marguerite et Maeva étaient tétanisées dans leur lit. Elles avaient toutes deux fermé les yeux, mais cela ne faisait pas disparaître Teva qui, les mains sur les hanches, les grondait depuis le seuil de leur chambre.
« Il y a deux façons d’endormir les petites filles : les câlins avant de dormir, mais visiblement ça ne fonctionne pas ce soir, ou la fessée. On va essayer la deuxième méthode ! »
Teva vint s’asseoir sur le bord du lit, du côté de Maeva.
« Venez-ici toutes les deux ! »
Marguerite qui devait contourner le lit, arriva en dernier.
« On va voir si une bonne fessée va réussir à vous endormir, puisque qu’avec un gros câlin, ça n’a pas marché. »
Aucune des jeunes femmes ne protesta. Elles avaient désobéi, il fallait en payer le prix avec des fesses rouges. Teva prit Maeva, la plus proche, par le bras et elle la guida vers le lieu de sa punition : en travers de ses genoux. Elle releva la chemise de nuit et la fessée commença.
Tout cela se déroulait dans la pénombre. Marguerite ne voyait pas les détails, mais l’effet de la main de Teva sur les fesses de Maeva se voyait et s’entendait. A chaque impact de la main, naissait une vague à la surface des fesses de Maeva, qui s’éloignait de l’endroit où Teva venait de laisser sa marque pour ne s'amortir qu’au bord des fesses. Alors Teva en faisait naître une deuxième sur l’autre fesse qui avait le même sort que la précédente.
Le changement de couleur de la peau n’était pas vraiment perceptible, compte tenu du manque de lumière. Marguerite l’imaginait en fonction des réactions de Maeva qui ne resta silencieuse que durant le tout début de la fessée. Très vite chaque claque fut assortie d’un « aïe » sonore et les pleurs ne tardèrent pas. Quand ils se furent transformés en sanglots, Teva mit fin à la fessée.
Marguerite remplaça Teva sans qu’une parole ne soit prononcée. Teva la prit par le bras et elle l’amena à son côté. Une main sous le ventre et l’autre entre les jambes et elle était en position, couchée en travers de genoux de Teva. Le peu que cachait la chemise de nuit fut découvert.
« Aïe, cria-t-elle au premier contact de la main de Teva sur ses fesses ! »
Elle n’eut pas le temps de s’en remettre avant de recevoir la deuxième claque. Ensuite, ce fut un déluge qui ne lui laissa pas le temps de reprendre son souffle. Comme Maeva, elle finit en pleurs et ses fesses la brûlaient horriblement, mais c’était l’effet de toutes les fessées qu’elle avait reçues, que ce soit de la part de Fara ou de Teva.
Quand elle se retrouva sur ses pieds, elle comprit que c’était fini pour cette fois. C’était un soulagement, même si ses fesses la cuisaient encore. Elle avait compris, qu’après avoir reçu une fessée à main nue, elle en avait pour quelques minutes à sentir la douleur sur ses fesses, puis qu’elle s’estompait rapidement.
« Avez-vous encore envie de poursuivre votre bavardage dans votre lit ? Je peux insister un peu sur vos fesses, voire revenir avec un martinet si c’est nécessaire. »
Il n’y eut pas besoin de longues dénégations. Teva était quasi certaine que le sommeil suivrait rapidement son intervention.
« Au lit ! Toutes les deux ! »
Teva remonta les couvertures, borda les deux filles. Elle s’assit auprès de chacune d’elle. Un bisou et une caresse consolatrice. Elles étaient enfin prêtes à dormir.

Maeva tendit la main vers Marguerite qui la prit. Elles entrecroisèrent leurs doigts. Puis Marguerite se rapprocha jusqu’à ce que leurs deux fronts se touchent. Lentement, en se rapprochant encore, leurs jambes se croisèrent. Marguerite posa la main sur les fesses de Maeva, là où la douleur de la fessée pointait encore. Maeva lui fit de même en retour.
C’est ainsi que Teva les retrouva le lendemain matin, cheveux emmêlés, dormant dans les bras l’une de l’autre.


Marguerite ne connaissait pas encore la séance de bisous collectifs qui précédait le petit déjeuner. Elle la passa assise sur le bras de Fara qui la portait sur un bras et Moana de l’autre. Sa chemise de nuit qui s’était relevée fut vite oubliée quand le plaisir du câlin collectif l’emporta, c'est-à-dire presque tout de suite.
Marguerite ne connaissait pas non plus la séance d’inspection de l’état de ses fesses qu’elle subit, juste après que Maeva en eut eu la primeur. Allongée sur les genoux de Teva, chemise de nuit relevée, en plein milieu de la cuisine alors que le petit-déjeuner venait tout juste de se terminer, elle sentait la main de Teva rechercher la moindre trace de dommage durable. N’ayant reçu que des fessées à main nue, rien n’était de nature à s’inquiéter.
Elle découvrit peu à peu le niveau de contrôle que Teva et Fara entendaient exercer sur tous les aspects de sa vie tant qu’elle serait chez eux. Elle trouva plus facile à accepter d’être débarbouillée le matin que d’être lavée lors du bain. Se faire habiller par Teva fut un peu plus difficile, d’autant plus que celle-ci décida qu’elle ne pouvait plus porter de soutien-gorge. La séance de coiffure fut bien agréable au début, mais elle en finit en couettes et Marguerite trouva cet aboutissement moins drôle. En faire la remarque à Maeva finit par une claque sur les fesses. Marguerite n’insista pas mais elle se demandait comment retrouver son apparence de grande personne.
Marguerite était très inquiète sur ce sujet. Elle avait vu la transformation que Teva avait imposée à Maeva. Elle ne voulait pas subir la même. Passe encore quand c’était dans le cadre familial, celui de sa nouvelle famille. Elle avait compris qu’elle ne couperait ni au bain donné par Teva, ni à la soirée en chemise de nuit. Cela se tenait dans un cadre restreint et il y avait des moments de compensation passés dans les bras de ses « parents » adoptifs. Par contre, elle ne tenait pas à porter ses tenues infantiles dans les lieux qu’elle fréquentait habituellement.
Elle n’y avait pas pensé, jusqu’à ce matin, que Teva avait l’intention de modifier radicalement sa garde-robe. Les conséquences ne l’en avaient pas effleurées. L’interdiction du port d’un soutien-gorge, les couettes pour remplacer sa coiffure habituelle lui révélaient l’ampleur du changement que Teva envisageait. La perspective d’achat de nouveaux vêtements en rajoutait à sa crainte.
Elle résolut de faire profil bas tant qu’elle serait en position d’être fessée si elle tentait de faire valoir son point de vue. L’espace privé que constituait l'appartement n’était pas le lieu adéquat. Teva y était maintenant trop légitime à donner la fessée. Il n’était plus possible de revenir en arrière. Dans un espace où seraient présents d’autres personnes, il en serait autrement. Marguerite attendait d’être à l’extérieur pour faire valoir son bon droit. Le magasin vers lequel Teva projetait d’aller serait un endroit approprié pour lancer son offensive.

Quand Teva voulu la mener vers le rayon « habillement enfant », Marguerite protesta. La réaction de Teva la suffoqua. La claque sur les fesses qu’elle reçut sonna comme un avertissement. Rapidement, Marguerite vérifia si les personnes à proximité avaient remarqué. Il semblait que non. Elle suivit Teva, mais elle était bien décidée, la prochaine fois à s’insurger contre de tels traitements.
Elle en eut l’occasion quelques minutes plus tard. Teva s’arrêta devant le rayon des jupes. Elle en choisit une, plissée, bleu marine. On ne pouvait pas faire plus ni plus classique, ni plus stricte.
« C’est justement ce modèle-là que j’ai acheté à Maeva. Il t’ira très bien. Moana a la même. Je pourrai vous habiller toutes les trois de la même façon. Ainsi, on vous prendra pour des sœurs, ce serait bien, non ? »
Marguerite n’avait rien contre le fait d’être prise ni pour la sœur de Maeva ni pour celle de Moana, mais pas au prix de porter une telle robe. Elle se croyait revenue vingt-cinq ans en arrière. Elle se rappelait le mal qu’elle avait eu à empêcher sa mère de lui acheter des vêtements aussi hors du temps. Ce n’était pas avant douze ou treize ans qu’elle avait réussi à suivre la mode de son âge.
Teva prit la jupe et elle la posa sur la taille de Marguerite, jugeant de son effet.
« Ça a l’air bien. Elle semble t’aller. On va l’essayer.
– Non, répondit Marguerite. Pas celle-là ! »
Teva souleva la robe et lui donna une sérieuse claque sur la culotte.
« Aïe ! Non ! Vous n’avez pas le droit ici ! Vous ne pouvez pas montrer ma culotte à n’importe qui !
– Mais où te crois-tu ? Pour qui te prends-tu ? Tu sais pourtant ce qui arrive aux petites filles qui répondent de façon insolente ! »
Avant qu’elle ait vraiment le temps de comprendre ce qui lui arrivait, Marguerite fut entraînée par une Teva furieuse jusqu’à un pouf, posé au bout du rayon. Dans le même mouvement, elle se retrouva allongée sur les genoux de sa nouvelle mère adoptive. Sa jupe fut relevée, exposant sa culotte à toutes les personnes qui passaient. Quand Teva se saisit du haut de la culotte, Marguerite sut qu’elle finirait las fesses nues devant tous ces gens. Elle ne put pas s’empêcher de retenir sa culotte d’une main.
« Petite peste, tu vas me laisser te déculotter, sinon, dès qu’on arrive à la maison, c’est le martinet. »
Il s’était formé une bulle de silence autour d’elles. Les spectateurs regardaient bouche bée cette scène très inhabituelle, d’autant plus que l’âge de la jeune fille n’était pas évident. Teva parlait suffisamment fort pour que chacun ait entendu qu’il était question de baisser la culotte et de martinet. Marguerite ne pouvait se résoudre à se laisser déculotter en public sans rien faire. Sa main tenait fermement sa culotte.
« Bon, tu l’auras voulu, ce sera le martinet ! En attendant … »
Marguerite ne pouvait rivaliser avec la poigne de Teva qui lui fit lâcher sa culotte, puis qui lui remonta le bras plié dans le dos. Enfin, Teva baissa la culotte en la faisant glisser de force entre ses genoux et le bassin de Maeva.
« Non, Teva, pardon, pas ici !
– Au contraire, jeune fille, ici ! Il me semble bien que c’est ici que tu as été insolente, c’est donc ici que tu seras punie ! »
Teva était furieuse de l’attitude de sa fille adoptive. Elle avait pensé, après les fessées de la veille, que son obéissance était acquise. Il n’en était rien. Cette fessée déculottée en public venait à point nommé. Il s’agissait de lui apprendre que son obéissance ne pouvait pas être à géométrie variable. Teva comptait bien que d’avoir la culotte baissée devant tout le monde, marquerait l’esprit de Marguerite pendant longtemps. Il fallait tout de même que cela soit complété par des fesses brûlantes.
Marguerite reconnaissait sa défaite, elle ne tenta plus de contrarier Teva pendant qu’elle était corrigée. Ses gesticulations ne relevaient plus que de réactions involontaires à l’incendie qui prenait naissance sur ses fesses.
Teva s’employait à l’entretenir avec la compétence qui était maintenant la sienne en matière de punition. Sa main claquait sur les fesses nues et Marguerite répondait par un cri de détresse dont elle ne maîtrisait pas la résonance. L’effet fut encore plus spectaculaire et plus bruyant quand vinrent les premiers sanglots. Tout ce bruit avait attiré une vingtaine de personnes qui assistaient à la scène sans piper mot.
La fessée n’avait pas été particulièrement longue, mais le message passé à Marguerite n’en était pas moins clair : la fessée sanctionnerait tout comportement inadéquat, quel que soit le lieu dans lequel elle se trouverait.
Elle savait déjà que sa nouvelle condition de petite fille, aux yeux de Teva et de son mari, la conduirait à être corrigée dans le cadre familial dès que l’un de ses parents l’estimerait nécessaire. Elle venait de subir ce que plus personne n’osait faire à un enfant : le déculotter et le fesser en public. La leçon était rude, mais elle était salutaire.
Les fesses de Marguerite étaient bien rouges depuis longtemps quand Teva estima que la leçon avait été apprise. Elle fit glisser la culotte de la jeune femme qu’elle tenait sur ses genoux jusqu’à la lui enlever totalement. Marguerite ne s’y opposa pas, elle s’en rendit à peine compte, toute à la douleur qui émanait de ses fesses.
« Tu n’as plus besoin de cette culotte. De toute façon, tu ne la mettras plus. »
Quand elle fut remise sur ses pieds, Marguerite ne savait pas où cacher sa honte. Elle se réfugia dans le seul endroit où elle pouvait trouver un peu de sécurité : les bras de Teva. Celle-ci la laissa s’y blottir quelques instants.
« Allons-y ! Si nous sommes là, c’est pour t’habiller correctement. »
Les chemisiers se trouvaient deux rayons plus loin. Teva en choisit un modèle blanc, tout simple avec un col Claudine.
« Essayons celui-là ! »
Ravalant sa protestation, Marguerite ne put faire qu’un pas vers les cabines d’essayage avant d’être rattrapée par le bras.
« Reste-là ! »
Teva lui enleva son manteau, puis elle déboutonna le gilet qu’il y avait en dessous. Marguerite commença à s’inquiéter quand Teva lui ôta la chemise fantaisie qu’elle portait en-dessous, celle qui avait fortement déplu à Teva quand elle l’avait habillée ce matin. Heureusement, elle portait un tee-shirt sur son buste nu. Teva prit, une main de chaque côté, le bas du seul vêtement que Marguerite portait encore pour cacher sa poitrine.
« Lève tes bras !
– Non Teva, non, pas ici !
– J’ai dit lève tes bras !
– Oui, je vais le faire, mais pas ici.
– Je crois que tu n’as pas encore bien compris ! »
Ployer Marguerite sous son coude ne présenta aucune difficulté, d’autant plus que Marguerite n’opposa aucune résistance. Une fois lui avait suffi. Le martinet lui avait été promis et Marguerite savait que Teva tiendrait ce à quoi elle s’était engagée. Marguerite n’avait jamais goûté à cet instrument, mais la peur qu’il inspirait à Maeva, était éloquente. Elle n’osait imaginer la punition qui résulterait d’une nouvelle révolte.
Teva souleva l’arrière de la jupe, dévoilant les fesses nues puisque la culotte de Marguerite lui avait été enlevée quelques instants auparavant. Il n’y eut pas besoin d’une longue fessée, ni pour rougir les fesses déjà préparées par la précédente fessée, ni pour faire comprendre à Marguerite que son intérêt était d’obéir au plus vite quand Teva lui ordonnait de faire quelque chose.
Tout se mélangeait dans la tête de Marguerite : la réprobation de Teva qui semblait réellement fâchée, la douleur de cette deuxième fessée et la honte d’être fesses nues en public pour recevoir une bonne punition. Par-dessus tous ces sentiments, dominait l’urgence d’obéir à Teva, autant pour éviter les corrections qu’elle donnait que pour mériter son approbation.
« Lève les bras ! »
Cette fois-ci, Teva n’eut aucun mal à se faire obéir. Le tee-shirt passa par-dessus la tête de Marguerite qui se trouva torse nu entre deux rayons. Sans tarder, mais sans se précipiter non plus, Teva lui passa un chemisier qui fort heureusement était à son goût.
Marguerite regardait autour d’elle avec appréhension. Autant la première fessée avait attiré des spectateurs, autant la deuxième s’était déroulée dans l’indifférence générale. Ben entendu, les personnes qui étaient passées au bout du rayon avait fait une courte halte pour contempler la punition, mais elles ne s’y étaient pas attardées. L’habillage de Marguerite ne semblait pas retenir l’attention des passants.
Cela ne consolait pas Marguerite, surtout quand Teva lui ôta sa jupe, la laissant fesses nues le temps de recouvrir ses fesses par un nouveau modèle. Cela fut encore plus difficile quand une vendeuse, requise pour conseiller Teva, se chargea de lui enfiler une culotte, puis un collant. Marguerite, malgré son irritation, la laissa faire, ce qui lui attira une remarque de Teva.
« J’ai bien l’impression que tu boudes ! Sais-tu comment je m’occupe des petites filles grincheuses ? »
Marguerite se hâta de modifier son expression. Elle n’arrivait pas à sourire mais la moue avait disparu de son visage. Teva approuva d’un signe de tête, puis elle prit Marguerite par la main et elle serra contre elle, le visage dans son chemisier.
« Je veux une petite fille sage maintenant. Cela ne t’épargnera pas le martinet quand nous rentrerons à la maison, mais tu éviteras une nouvelle fessée devant tous les clients du magasin. »
Marguerite s’accrocha à Teva, l’entourant de ses deux bras et se serrant contre elle.
« Il est temps d’y aller ! »
Marguerite ne bougeait toujours pas. Teva la regarda en souriant.
« Tu as raison. D’être une petite fille doit avoir des compensations. Dans mes bras ! »
Teva se baissa et elle souleva Marguerite. Elle la posa sur sa hanche, la soutenant d’un bras passé sous ses fesses. Marguerite cacha son visage dans le creux de l’épaule de Teva et elle mit son pouce dans sa bouche.
« Serre tes jambes autour de moi pour m’aider à te porter ! »
Marguerite avait bien le sentiment de se comporter comme une petite fille dans les bras de sa Maman, mais c’était exactement ce qu’elle avait l’impression d’être. Là, sentant la main de Teva qui lui caressait doucement les fesses à travers son collant, elle savait que Teva n’était plus fâchée de sa désobéissance. Il y aurait encore des moments difficiles puisque le martinet l’attendait à la maison, mais pour l’instant elle se sentait protégée.
« Un problème avec votre fille, questionna la caissière ?
– Non, pas vraiment. Je crois qu’elle a un peu honte d’avoir reçu la fessée dans le magasin. Cela lui a pourtant fait du bien. Je repars avec une petite fille sage et obéissante ! »
Teva ne la déposa qu’une fois arrivées à la voiture.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 13
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, sûr, c'est le chapitre 15.

Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Il y a comme ça des petites expressions qui passent souvent inaperçu lors d'une première lecture mais qui finissent par attirer l'attention au deuxième tour.
    Ces petites trouvailles en déclenche d'autres, Comme par exemple: c'est nouveau, ça vient de sortir, et c'est plutôt intéressant, l a notion d'obéissance "à géométrie variable" !! Fallait y penser. Du coup, cela amène à considérer la fessée comme "variable d'ajustement!". C'est tout ? Ben oui, pour le moment!

    Mis à part ces considérations, à trop rechigner sur le retour à la jupe plissée... ça ne fait pas un plis, c'est la fessée déculottée, et en public, s'il vous plaît! (les meilleures non ?) Encore une belle séquence. Si on administrait davantage de fessées dans les magasins il y aurait au moins autant de monde que pour les soldes!
    Teva, malgré les petits bisous et les petits câlins continue de ne pas rigoler sur la discipline! Une bonne fessée pour s'endormir c'est quand même mieux qu'un somnifère. Encore une trouvaille du boss!
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  2. Ramina,
    Davantage des fessées dans la grande distribution, idée intéressante pour remédier à la désaffection des grandes surfaces commerciales. Il y a quelque chose à creuser... mais il faut y réfléchir : quelles modalités pratiques...
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.