« Jette tes habits dans ce sac et va le
jeter dans les poubelles du local. »
Léa se retrouve nue et attend devant Valerie
dans la position réglementaire. Julien que sa mère à remis à son travail ménagé
observe du coin de l'œil.
« Allez on monte mademoiselle, direction
la salle de bain. Il est temps de te rendre une allure plus convenable. »
Arrivée dans la salle de bain, Valérie attrape
Léa par le bras et la pousse vers les lavabos. Elle se saisit d'un coton
démaquillant sur lequel elle imbibe une lotion et démaquille sans ménagement
Léa
« Je vais t'apprendre à te prendre pour
ce que tu n'es pas, dit-elle, en frottant fortement le visage de la jeune
fille. »
Une fois le visage nettoyé, Léa doit se
positionner à genoux et Valérie demande à son fils de lui monter un des gros
bols en plastique rangé dans un des placards de la cuisine
Toujours sans ménagement, elle brosse
parfaitement les cheveux de la gamine.
« Tiens-toi bien droite, ordonne t'elle
en posant le bol sur son crâne. De sa main gauche elle maintient fermement le
bol et de la droite munie de grands ciseaux, elle coupe les cheveux qui
dépassent. Les cheveux dégringolent et tombent au sol ou se collent sur le
visage de Léa qui pleure de voir sa chevelure auquel elle tenait temps
disparaitre.
Une fois le tour de la tête fait, elle retire
le bol et se saisit de la tondeuse. Elle force Léa à pencher la tête contre sa
poitrine en lui appuyant sur le crâne. Elle lui rase la nuque. Elle remonte
sans scrupules la tondeuse sans sabot jusqu'à la ligne de coupe. Une fois la
nuque bien rasée, Valerie redresse la tête de la jeune fille, et armée de son
peigne, elle ordonne à nouveau les cheveux, en commençant par la frange qu’elle
égalise à petits coups de tondeuse sur le peigne, puis les côtés juste
au-dessus de l’oreille, rasant systématiquement tout ce qui dépassait du « bol
».
Satisfaite, Madame Lafitte fit ramasser ses
cheveux à Léa.
« Voilà tu as maintenant retrouvé une
allure convenable dit elle
- C'est horrible ose Léa. »
Elle aurait peut-être dû tourner sept fois sa
langue dans sa bouche... Sans qu'elle n'est le temps de réagir sa marraine la
courbe sous son bras et lui assène une courte mais intense fessée à l'aide la
brosse posée près de la vasque.
« Tu vas apprendre que ton avis m'est
totalement indifférent jeune fille ! Ici je commande, décide et toi tu exécutes
en silence. Tu fais ce que je dis comme je le dis et quand je le dis. C'est
clair ! Dépêche-toi de ramasser tous ces cheveux.
- Voilà j'ai terminé ma tante, prévient Léa 5
minutes plus tard.
- Parfait, allez zou, à la douche. Je pense
que tu sais ce que j'attends de toi n'est-ce pas ?
- Oui ma tante. »
Comme pour Julien Valerie Lafitte assure
maintenant la toilette de sa filleule. Mais cette dernière tente une nouvelle
rébellion.
« Je peux me laver toute seule, je ne
suis pas un bébé. »
Vlan, sa marraine se surprend à lui infliger
une forte claque à main nue sur la fesse droite. Tellement forte que sa main
reste imprimée sur le fessier de Léa et lui arrache un cri. Ça chauffe sec
direct.
« Ça suffit maintenant Léa. Tu as dépassé
les limites ! Elle l'attrape par l'oreille et la force à sortir de la
baignoire. Julien monte - moi la baguette de bambou s'il te plaît mon chéri !
Toi tu te mets ici main à plat contre le mur, penche-toi et écarte les jambes.
- Non pas la baguette. Je vais être sage, s'il
vous plaît ma tante.
- Oh que si tu vas la recevoir. Tu crois que
tu peux bafouer mon autorité sans conséquence. Tu vas pouvoir constater que je
suis et que je serai intransigeante avec toi comme je le suis avec Julien ma
petite. »
Madame Lafitte se saisit de la baguette que
lui tend son fils, le remercie. Elle pose sa main gauche sur le dos de Léa pour
être sure qu'elle ne bouge pas et applique directement le premier coup sur ses
fesses déjà meurtries par la cravache reçue précédemment. Sous le regard de Julien
qui n'en croit pas ses yeux de voir celle qui le corrigeait hier ainsi malmené,
la trique siffle dans l'air et s'abat à nouveau sur postérieur de la jeune
fille.
Léa quant à elle hurle et sanglote abondement
sans pour autant apitoyer madame Lafitte
« J'espère que cette sévère correction te
fera te repentir de ta conduite ma cocotte. »
Léa demande grâce et pardon, mais pour seule
réponse elle reçoit de sévère coups de triques.
La douleur est insoutenable, et augmente
encore d’intensité dans les secondes qui suivent… Léa braille et hoquette entre
chaque cinglé.
Elle reçoit une vingtaine de coups, au dernier
elle a l'impression que son fessier explose. Sa marraine l'oblige à se
retourner et à se mettre à genoux devant elle.
« Ici mademoiselle, quand on reçoit une
punition, On remercie et on demande pardon. »
En gros sanglots, Léa lui répond Merci ma
tante, je vous demande pardon mon comportement et mon insolence.
« A la bonne heure... On va rafraîchir
tout ça ! »
Elle relève sa filleule énergiquement et la
tire par le bras à la salle de bain pour enfin lui donner sa douche. C'est une
douche glacée que lui donne Valerie. Dans un premier temps l'eau froide la fait
suffoquer mais ensuite cela fait du bien à ses fesses et cuisses en feux. Mais
les bien faits sont de courte durée car quand Madame Lafitte lui savonne sans
précaution, elle ne peut retenir de petits couinements.
Après l'avoir séché, Valérie conduit Léa au
lavabo. Elle lui enfile une chemise de nuit rose à manches courtes avec un col Claudine
blanc. Elle lui brosse les dents puis les cheveux tout en lui séchant au sèche-cheveux.
Après les deux sérieuses corrections reçues Léa se comporte en petite fille
modèle. Sa nouvelle "tutrice" tire sans mesure avec la brosse sur ses
cheveux ce qui arrache un "aïe" de la bouche de Léa.
« Cesse tes plaintes. Je ne veux plus
t'entendre. Je t'ai assez entendue comme ça pour aujourd'hui. »
Léa serre les dents. Elle se tait comme Valérie
vient de lui demander.
Une fois prête, Valerie la conduit aux
toilettes.
« Tu fais tes besoins maintenant avant
que je ne te mette la couche pour aller au lit. Ce soir tu te coucheras sans
dîner. Je ne veux plus te voir jusqu'à demain. »
Quand elle termine, Madame Lafitte l'essuie et
la mène dans sa chambre. Elle lui demande de changer ses draps puis lui enfile
sa couche.
« Aller, au lit ! Tu recevras demain
matin la fessée que je t'ai promise pour ton travail mal fait. Pour ce soir tes
fesses et tes cuisses sont trop marquées. »
Léa doit dormir sur le ventre. Ses fesses et
ses cuisses la brûle. Elle s'endort en pleurant et en regrettant son
comportement et son attitude. Elle angoisse pour la journée du lendemain. Elle
sait sa tante va encore devoir la punir mais elle sait au fond d'elle qu'elle
le mérite.
Après avoir couché sa nouvelle protégée, Valerie
rejoint son fils en bas. Ce dernier ne tenant pas à partager les lourdes
corrections de son ex baby-sitter se tient tranquille avec son roman.
Julien se comporte comme un bon petit garçon.
Il met la table sans que sa maman ne lui demande et pendant le repas sa mère
n'a aucune remarque à lui faire. Il mange sa soupe sans difficulté idem avec
son yaourt nature et quand le repas est terminé, juste avant que sa mère ne lui
commande, il demande s’il peut se lever pour débarrasser et faire la vaisselle.
Une fois terminé, il se présente à sa mère qui
est devant la télévision. Dans la position réglementaire, main dans le dos et
se tenant droit, il l'informe qu'il a terminé
« C'est bien mon petit garçon. Nous allons
faire ta toilette maintenant. »
Sa mère lui lave les mains, le visage, les
aisselles, le sexe, les fesses et les pieds comme tous les soirs au lavabo.
« Tenez maman j'ai préparé ma couche
- Parfait c'est très bien. Je suis fière de
toi ce soir Julien lui répond-elle en lui faisant un bisou avant de lui enfiler
et lui mettre son pyjama. Il est encore un peu tôt pour te mettre au lit Julien.
Viens tu vas regarder un peu la télé avec maman. »
Blottis contre sa mère, il regarde la
télévision, Valérie lui caresse doucement les cheveux. Il se sent bien.
« Il va falloir bientôt tondre tout ça
constate sa mère. Ça repousse vite. Allez Julien au lit, il est 20 heures 15 déjà.
Je t'ai laissé 15 minutes de plus. N'oublie pas de passer aux toilettes avant.
- Oh maman s'il vous plaît. Encore un peu
- Non, non Julien n'abuse pas des bonnes
choses...
- Je ne suis pas fatigué maman s'il vous plaît
... Allez quoi
- Bon pour la dernière fois Julien pas de
caprices. Tu vas aux WC »
A contrecœur il se rend aux toilettes. Mais
après que sa mère l'ait essuyé, au lieu de monter vers sa chambre, il tente de
retourner devant la télévision
« Bon Julien je t'avais prévenu, c'est la
fessée maintenant !
- Non maman, pas la fessée je monte
- Trop tard Julien. Tu le sais. Je t'avais
prévenu. »
Madame Lafitte va se saisir de la règle en
plastique dure tandis que Julien cours se réfugier dans sa chambre.
Quand sa mère le rejoint Julien implore une
fois encore son pardon. Mais chez madame Lafitte quand une punition est
décidée, elle donnée et rien ne peut l'annuler. Julien le sait très bien. Valerie
s'assoit sur le lit et convoque son fils : Julien vient ici. Elle désigne comme
à son habitude de son index l'endroit ou Julien doit se fixer.
Elle lui baisse le short de pyjama et la
couche et l'allonge sur ses genoux. Julien se laisse faire. Il sait qu'il n'a
pas d'autre choix que de se soumettre à sa punition. Comme de coutume, la
fessée est sévère et c'est les fesses bien rouges que Madame Lafitte couche son
fils et l'embrasse sur le front
« La suite de ta punition sera pour
demain mon garçon en attendant bonne nuit
- Bonne nuit maman et merci encore de
t'occuper de moi ! »
Julien a les fesses en feux mais s'endort, rassuré
de savoir que sa maman s'occupera de lui aussi longtemps qu'il en aura besoin.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 6
Et bien, attendons la suite.
Ce sera le chapitre 8
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Bonjour Pierre.
RépondreSupprimerQuelle belle autorité chez l'intransigeante madame Lafitte. Aussi expéditive que radicale elle adapte le proverbe à son avantage :'' Qui aime bien fesse bien!'' A l'évidence, elle aime beaucoup, et fesse autant !
Après Léa, rhabillée pour l'hiver,avec coupe au bol, passage à la tondeuse et fessée à la brosse, madame Lafitte ne transige pas c'est au tour de Julien. Le garçon a beau se montrer docile, obéissant, débarrasser la table, faire la vaisselle,le ménage, préparer lui mème sa couche pour montrer sa bonne volonté,il n'échappe pas à la stricte discipline imposée par maman. Il suffit d'une simple tentative d'une petite dose de télévision supplémentaire... et c'est la fessée! Valérie, intraitable l'envoie au lit les fesses sévèrement rougies à la règle. Et on n'oublie pas de remercier, ça rassure... pas sûr! Car la fessée annoncée pour le lendemain matin risque d'être encore plus sévère.
On aime ce genre de femme à poigne qui sait administrer les fessées qu'il faut pour bien gérer son petit monde. Bel exercice de discipline domestique!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerEn effet, après avoir été le "sexe faible" durant des siècles, se retrouver avec la toute puissance en main est assez grisant ! Diriger son petit monde fait plaisir à lire.
Amitiés.
Elena.