Le fait de passer des vacances dans une
caravane dénote avec le standing habituel de Madame Lafitte. Mais depuis que Julien
est enfant, Elle aime venir ici. Même si habituellement ils sont logés dans un bungalow
plus confortable.
La caravane est située dans un endroit un peu
en retrait dans le camping. Autour de la caravane, ils n'ont que très peu de
voisins. En face d'eux, il y a les
Pierron, un couple de professeurs à la retraite. Ces derniers sont des fidèles
du lieu. Ils connaissent Julien depuis très longtemps et sa mère depuis encore
plus longtemps. Ils venaient avec leurs enfants quand Valerie était, elle-même,
encore une gamine.
A côté d'eux, un camping-car grand luxe. Il
est occupé par Irina Protassov. Une femme d'origine russe en vacances avec son
fils de 16 ans Igor qui dort dans une toile de tente à côté du camping-car. A
côté de la caravane de Valérie et ses enfants, un groupe de cinq jeunes : trois
filles et deux garçons de dix-huit à vingt-deux ans qui logent eux aussi en
toile de tente.
Maintenant qu'ils sont bien installés, madame
Lafitte, décide que tout le monde doit prendre une douche avant le repas.
- Allez nous allons prendre une douche. Nous
avons beaucoup transpiré aujourd'hui. D'ailleurs pendant les vacances ce sera
douche matin et soir. Cela ne sera pas de trop entre la chaleur, le sable et la
mer. Venez ici que je vous prépare.
Sous le haut vent de la caravane elle commence
par déshabiller Léa et lui enfile son peignoir puis vient le tour de Julien.
Elle rentre ensuite dans la caravane et sort à son tour en peignoir et tongs.
Elle prend avec elle le nécessaire de toilette et les pyjamas des enfants.
- Allez en route pour les douches déclare
maman
- Vous n'allez pas nous laver devant tout le
monde aux sanitaires maman ? Se risque Julien.
- Et pourquoi je ne vous laverai pas Julien ? Je
crois que vous m'avez démontré tous les deux que vous n'étiez pas assez mature
pour le faire vous-même. Alors cesse tes enfantillages et avance. J'aimerais
éviter d'avoir à sévir.
Voilà les choses mises au point. Julien et Léa
n'ont guère envie de déclencher le courroux de Madame Lafitte et d'être puni au
grand jour devant tout le camping et se montre docile et obéissant.
Arrivés devant la cabine de douche, cette
dernière étant trop petite pour y rentrer à deux, Valerie lave ses enfants la
porte ouverte. Elle commence par son garçon avant de le faire patienter nu
pendant qu'elle s'occupe de sa filleule. Tout cela se fait devant les campeurs
nombreux à cette heure de retour de la plage. L'humiliation est totale pour les
deux jeunes qui voient le regard surpris mais aussi amusé des vacanciers. En
plus ils savent très bien qu'il en sera de même tous les matins et soirs de la
semaine.
Une fois les deux enfants douchés, Valérie les
mets en pyjama et chemise de nuit avant de prendre sa douche à son tour.
- Voilà mes deux amours sont tout propres et
sentent bon la fleur d'oranger. Attendez-moi là tant que je me lave à mon tour.
Viens ensuite le moment des retrouvailles avec
les voisins. Madame Lafitte qui est habituellement très élégante a troqué ses
robes et tailleurs pour un paréo. Monique et Jean Paul Pierron sont heureux de
retrouver Valerie et son fils. Ils sont ravis de faire la connaissance de Léa.
Il leur présente Irina et Igor dont ils ont fait la connaissance l'an dernier.
Irina est une jolie femme blonde avec les cheveux tirés en arrière et queue de
cheval. Elle est vêtue d'une robe noire. Son fils Igor a les cheveux rasés très
court. Encore plus ras que ceux de Julien. Cependant il est plus musclé que
lui. Il porte un short court et il est torse nu.
Tous les adultes se retrouvent autour de
l'apéritif. Les 3 enfants sont priés de se tenir tranquille un peu loin. Ils
jouent aux cartes. Très vite à l'initiative de madame Pierron la discussion
tourne autour de la discipline. Elle qui est très vieille France est choqué par
l'attitude et le comportement vulgaire des jeunes qui campent en face. Elle
explique à Irina que comme elle Valérie est très stricte dans l'éducation. Tout
le monde autour de la table est d'accord pour dire que l'exigence doit être
importante avec les enfants et que tout manquements doivent être sévèrement
châtié.
La mise en pratique des propos tenus arrive
vite quand Igor se montre insolent avec sa mère.
- Igor va passer un tee-shirt avant de le
repas lui ordonne sa mère
- Mais maman il fait trop chaud
- Obéis mon garçon !!!
- Elle me saoule celle-là marmonne Igor en
rentrant dans sa tente
Mais voilà... pas de chance. Sa mère l'a
entendu. Alors que les convives choqués sont abasourdis. Igor se rendant compte
qu'il vient de se mettre dans de beaux draps se confond en excuses mais sa mère
n'en a que faire et place sa chaise dans un endroit dégagé.
- Igor ! Comment oses-tu ? Je vais te faire
passer l'envie d'être insolent ! Tu vas être fouetté. Prépares toi le temps que
j'aille chercher de quoi te punir.
Igor retire alors son short qu'il replie
soigneusement sur sa chaise. Il en fait de même avec son slip et part se placer
à la chaise que sa mère a installée. Il agrippe avec ses mains les deux accoudoirs
et tend parfaitement ses fesses.
Tout le monde peut constater qu'il a
d'ailleurs déjà reçu une sévère correction dernièrement. Les quelques stigmates
que l'on devinait sur ses cuisses sont encore très présentes sur ses fesses. On
y voit des traces violettes et des zébrures.
Madame Protassov revient munie d'une cravache
bien décidée à laver l'affront que son fils lui a fait subir et à lui apprendre
le respect. Elle annonce à son garçon qu'il va recevoir trente coups de
cravache qu'il doit compter à haute voix et que s’il se trompe ou si ne
s'exprime pas clairement le coup ne compte pas.
Tous les yeux sont tournés vers l'insolent,
même ceux des jeunes voisins qui rigolent en buvant de la bière. Un 1er coup
violent cingle les fesses.
- Un ! Annonce Igor les dents serrées
- Je vais t'apprendre le respect dit sa
génitrice.
Après quinze coups le jeune homme n'émet que
quelques couinements. Il ne pleure pas. Il grimace à chaque coup mais énonce
clairement le nombre de coups. A vingt quelques larmes coulent sur ses joues
mais il reste digne. En revanche il craque pour les dix derniers et il hurle,
il crie, il demande pardon, il promet de ne plus recommencer.
A la fin de la correction, il va se placer de lui-même
à genoux les fesses face à la table et les mains sur la tête.
- Tu te passeras de dîner ce soir mon garçon
lui annonce sa mère.
Julien et Léa sont subjugués. Durant tout le
temps qu'a duré la punition, ils ont sursauté à chaque coup que leur camarade a
reçu. Bien qu'étant habitué à recevoir eux même ce genre de peine ils sont ébahis
par les stries qui marquent le derrière d'Igor.
Le lendemain matin après le petit déjeuner et
la douche, c'est l'heure est au travail scolaire. Madame Lafitte au grand
désarroi de ses petits protégés, ne les épargne pas de cette corvée quoiqu'ils
soient en vacances.
D'abord la dictée quotidienne. Sur la table de
camping, les deux jeunes gens sont assis l'un en face de l'autre, tandis que
madame Lafitte est assise entre les deux avec son livre et un café. Au moment
de la correction, Madame Lafitte commence par la copie de Léa
- Deux fautes seulement. Ce n'est pas mal.
Mais tu sais Léa que je ne tolère aucune faute. L'orthographe est très
importante. Lève-toi ! demande Valérie
La jeune fille s'exécute sans broncher. Elle
sait ce qu'elle doit faire. Elle s'approche de sa marraine et tend parfaitement
la paume de sa main gauche. Deux coups de règle sur la paume de la main puis
deux coups encore sur l'autre main et enfin deux coups sur chaque cuisse qui
sont bien dégagées puisqu'elle est en maillot de bain. Elle peut ensuite
s'occuper du reste de son travail qui lui a été préparé.
Viens ensuite le tour de Julien.
- Vingt-six fautes ! C'est inadmissible !
Elle attrape son fils par l'oreille et
l'oblige à se lever. Julien grimace et
ferme les yeux. Il sait que la sanction va tomber et qu'elle sera très dure.
Munie du la terrible règle elle lui ordonne en relâchant son étreinte :
- En position, dépêches toi. Allez, talons joints,
et tu te tiens droit. Tends ta main gauche pour commencer.
La peur au ventre, le jeune homme s'acquitte
de l'ordre qui lui est donné.
- Mieux que ça ! Bras à l'équerre et paume à
plat doigts tendus
Le premier coup tombe sèchement. Pas de cri de
la part de Julien. Il se crispe juste, le deuxième coup accentue déjà la
douleur. Les quinze coups suivants sont du même acabit. Il ne veut surtout pas
pleurer devant Igor qui il le sait observe la scène. Il continue de résister
ensuite. Il se dresse sur la pointe des pieds à chaque choc avant de se
cambrer. Sa main gonfle mais il ne pleure toujours pas. Au vingt-sixième coup
malgré la souffrance intense il se sent fier d'avoir résister. Mais ce n'est
pas terminé et sa mère le rappel vite à l'ordre.
- Julien l'autre main, vite ... Nous n'avons
pas encore terminé. Talons joints, donnes moi la main droite.
Le premier coup, alors qu'il souffre encore énormément
de sa main gauche, lui arrache un cri. Il tente de tenir encore le choc. Alors
que sa mère poursuit la sentence, Il résiste. Il ferme les yeux, grimace, se
crispe. Il est blême. Au dixième coup, il ne peut plus retenir ses larmes. Un
masque de douleur se fige sur son visage. Les coups s'enchainent lentement.
Madame Lafitte prend son temps pour lever la règle bien haute et l'abattre
rudement sur la main enflée et rougie. A la fin de la correction il sanglote et
ne peux s'empêcher de mettre la main entre ses cuisses pour essayer de calmer
la cuisson mais ce n'est pas encore terminé
- Julien mains sur la tête. La maman en colère
lui baisse son slip de bain et cale Julien sous son bras pour lui administrer
une cuisante fessée.
Ses fesses subissent à leur tour le même sort
que ses mains. Sur un rythme ferme et soutenu, Valérie applique la règle sans
intention de s'arrêter. Elle alterne fesse gauche et fesse droite. Depuis le
début Igor et les jeunes voisins admirent le spectacle. Les cinq jeunes
campeurs ont un sourire narquois. Ils sont surpris d'assister à une deuxième
correction dans ce camping mais cela les amuse beaucoup.
Julien quant à lui continue de recevoir sa
volée. Son fessier commence à cuire. Vingt-six coups de règle c'est vite passé
et comme il est déjà en pleurs... A la fin de la correction ses fesses sont dans
le même état que ses mains : rouges et brûlante.
Pendant encore une heure et demi Julien et Léa
sont coincés à la table de camping avec leurs devoirs. Quand vient le moment du
corrigé, c'est la peur au ventre qu'ils présentent leurs copies à Valerie. Cette
dernière inspecte minutieusement leur travail. Le travail de Julien est juste
correct.
- Mon garçon, je crois que les sœurs ont
raison. Tu seras bien mieux en classe de seconde vue ton niveau. Je te promets
que tu réussiras crois-moi. Contraint et forcé s'il le faut. Et au retour des
vacances nous redoubleront de travail pour que tu atteignes un meilleur niveau.
Quant à Léa. Son travail est encore moins
mirobolant.
- Léa, ton travail est truffé d'erreurs. Je ne
peux pas croire que tu es un si faible niveau. Surtout qu'il est vraiment
évident que certaines fautes sont des erreurs d'étourderie suite à un manque
incontestable de concentration. C'est intolérable ma chérie. Va me chercher le
martinet !
Elle ramène l'instrument et le donne tête
basse à sa tutrice. Valérie la fait se courber sur son fauteuil, les mains
agrippent les accoudoirs du fauteuil de jardin. Elle lui coince le maillot de
bain une pièce dans la raie des fesses. Sans ménagement elle commence à la
fouetter. Léa hoquette vite et se met à pleurer. Les épaisses lanières de cuir
s’abattent, cinglant les fesses, les cuisses ou les mollets couvrant la peau de
belles zébrures.
- Maintenant au piquet lui ordonne sa
marraine, face à la caravane. Et cet après-midi tu resteras ici au lieu d'aller
à la plage. Tu recommenceras ton travail !
La pauvre Léa n'a pas d'autre choix que
d'accepter sa condamnation. Ses vacances débutent mal.
Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !
Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 9
Et bien, attendons la suite.
C'est le chapitre 11
Que cela ne vous empêche pas de déposer un commentaire
Pierre se lance dans l'écriture, il a besoin de savoir ce que vous en pensez.
Vous pouvez également le contacter directement : Pierre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.