vendredi 27 septembre 2019

Un difficile retour à la maison - chapitre 10

Après une long un voyage en voiture, toute la famille débarque au camping. Après avoir pris possession de leur caravane, Madame Lafitte commande à ses enfants de faire les lits et de l'aider à ranger les affaires.
Le fait de passer des vacances dans une caravane dénote avec le standing habituel de Madame Lafitte. Mais depuis que Julien est enfant, Elle aime venir ici. Même si habituellement ils sont logés dans un bungalow plus confortable.
La caravane est située dans un endroit un peu en retrait dans le camping. Autour de la caravane, ils n'ont que très peu de voisins.  En face d'eux, il y a les Pierron, un couple de professeurs à la retraite. Ces derniers sont des fidèles du lieu. Ils connaissent Julien depuis très longtemps et sa mère depuis encore plus longtemps. Ils venaient avec leurs enfants quand Valerie était, elle-même, encore une gamine.
A côté d'eux, un camping-car grand luxe. Il est occupé par Irina Protassov. Une femme d'origine russe en vacances avec son fils de 16 ans Igor qui dort dans une toile de tente à côté du camping-car. A côté de la caravane de Valérie et ses enfants, un groupe de cinq jeunes : trois filles et deux garçons de dix-huit à vingt-deux ans qui logent eux aussi en toile de tente.
Maintenant qu'ils sont bien installés, madame Lafitte, décide que tout le monde doit prendre une douche avant le repas.
- Allez nous allons prendre une douche. Nous avons beaucoup transpiré aujourd'hui. D'ailleurs pendant les vacances ce sera douche matin et soir. Cela ne sera pas de trop entre la chaleur, le sable et la mer. Venez ici que je vous prépare.
Sous le haut vent de la caravane elle commence par déshabiller Léa et lui enfile son peignoir puis vient le tour de Julien. Elle rentre ensuite dans la caravane et sort à son tour en peignoir et tongs. Elle prend avec elle le nécessaire de toilette et les pyjamas des enfants.
- Allez en route pour les douches déclare maman
- Vous n'allez pas nous laver devant tout le monde aux sanitaires maman ? Se risque Julien.
- Et pourquoi je ne vous laverai pas Julien ? Je crois que vous m'avez démontré tous les deux que vous n'étiez pas assez mature pour le faire vous-même. Alors cesse tes enfantillages et avance. J'aimerais éviter d'avoir à sévir.
Voilà les choses mises au point. Julien et Léa n'ont guère envie de déclencher le courroux de Madame Lafitte et d'être puni au grand jour devant tout le camping et se montre docile et obéissant.
Arrivés devant la cabine de douche, cette dernière étant trop petite pour y rentrer à deux, Valerie lave ses enfants la porte ouverte. Elle commence par son garçon avant de le faire patienter nu pendant qu'elle s'occupe de sa filleule. Tout cela se fait devant les campeurs nombreux à cette heure de retour de la plage. L'humiliation est totale pour les deux jeunes qui voient le regard surpris mais aussi amusé des vacanciers. En plus ils savent très bien qu'il en sera de même tous les matins et soirs de la semaine.
Une fois les deux enfants douchés, Valérie les mets en pyjama et chemise de nuit avant de prendre sa douche à son tour.
- Voilà mes deux amours sont tout propres et sentent bon la fleur d'oranger. Attendez-moi là tant que je me lave à mon tour.
Viens ensuite le moment des retrouvailles avec les voisins. Madame Lafitte qui est habituellement très élégante a troqué ses robes et tailleurs pour un paréo. Monique et Jean Paul Pierron sont heureux de retrouver Valerie et son fils. Ils sont ravis de faire la connaissance de Léa. Il leur présente Irina et Igor dont ils ont fait la connaissance l'an dernier. Irina est une jolie femme blonde avec les cheveux tirés en arrière et queue de cheval. Elle est vêtue d'une robe noire. Son fils Igor a les cheveux rasés très court. Encore plus ras que ceux de Julien. Cependant il est plus musclé que lui. Il porte un short court et il est torse nu.
Tous les adultes se retrouvent autour de l'apéritif. Les 3 enfants sont priés de se tenir tranquille un peu loin. Ils jouent aux cartes. Très vite à l'initiative de madame Pierron la discussion tourne autour de la discipline. Elle qui est très vieille France est choqué par l'attitude et le comportement vulgaire des jeunes qui campent en face. Elle explique à Irina que comme elle Valérie est très stricte dans l'éducation. Tout le monde autour de la table est d'accord pour dire que l'exigence doit être importante avec les enfants et que tout manquements doivent être sévèrement châtié.
La mise en pratique des propos tenus arrive vite quand Igor se montre insolent avec sa mère.
- Igor va passer un tee-shirt avant de le repas lui ordonne sa mère
- Mais maman il fait trop chaud
- Obéis mon garçon !!!
- Elle me saoule celle-là marmonne Igor en rentrant dans sa tente
Mais voilà... pas de chance. Sa mère l'a entendu. Alors que les convives choqués sont abasourdis. Igor se rendant compte qu'il vient de se mettre dans de beaux draps se confond en excuses mais sa mère n'en a que faire et place sa chaise dans un endroit dégagé.
- Igor ! Comment oses-tu ? Je vais te faire passer l'envie d'être insolent ! Tu vas être fouetté. Prépares toi le temps que j'aille chercher de quoi te punir.
Igor retire alors son short qu'il replie soigneusement sur sa chaise. Il en fait de même avec son slip et part se placer à la chaise que sa mère a installée. Il agrippe avec ses mains les deux accoudoirs et tend parfaitement ses fesses.
Tout le monde peut constater qu'il a d'ailleurs déjà reçu une sévère correction dernièrement. Les quelques stigmates que l'on devinait sur ses cuisses sont encore très présentes sur ses fesses. On y voit des traces violettes et des zébrures.
Madame Protassov revient munie d'une cravache bien décidée à laver l'affront que son fils lui a fait subir et à lui apprendre le respect. Elle annonce à son garçon qu'il va recevoir trente coups de cravache qu'il doit compter à haute voix et que s’il se trompe ou si ne s'exprime pas clairement le coup ne compte pas.
Tous les yeux sont tournés vers l'insolent, même ceux des jeunes voisins qui rigolent en buvant de la bière. Un 1er coup violent cingle les fesses.
- Un ! Annonce Igor les dents serrées
- Je vais t'apprendre le respect dit sa génitrice.
Après quinze coups le jeune homme n'émet que quelques couinements. Il ne pleure pas. Il grimace à chaque coup mais énonce clairement le nombre de coups. A vingt quelques larmes coulent sur ses joues mais il reste digne. En revanche il craque pour les dix derniers et il hurle, il crie, il demande pardon, il promet de ne plus recommencer.
A la fin de la correction, il va se placer de lui-même à genoux les fesses face à la table et les mains sur la tête.
- Tu te passeras de dîner ce soir mon garçon lui annonce sa mère.
Julien et Léa sont subjugués. Durant tout le temps qu'a duré la punition, ils ont sursauté à chaque coup que leur camarade a reçu. Bien qu'étant habitué à recevoir eux même ce genre de peine ils sont ébahis par les stries qui marquent le derrière d'Igor.
Le lendemain matin après le petit déjeuner et la douche, c'est l'heure est au travail scolaire. Madame Lafitte au grand désarroi de ses petits protégés, ne les épargne pas de cette corvée quoiqu'ils soient en vacances.
D'abord la dictée quotidienne. Sur la table de camping, les deux jeunes gens sont assis l'un en face de l'autre, tandis que madame Lafitte est assise entre les deux avec son livre et un café. Au moment de la correction, Madame Lafitte commence par la copie de Léa
- Deux fautes seulement. Ce n'est pas mal. Mais tu sais Léa que je ne tolère aucune faute. L'orthographe est très importante.  Lève-toi ! demande Valérie
La jeune fille s'exécute sans broncher. Elle sait ce qu'elle doit faire. Elle s'approche de sa marraine et tend parfaitement la paume de sa main gauche. Deux coups de règle sur la paume de la main puis deux coups encore sur l'autre main et enfin deux coups sur chaque cuisse qui sont bien dégagées puisqu'elle est en maillot de bain. Elle peut ensuite s'occuper du reste de son travail qui lui a été préparé.
Viens ensuite le tour de Julien.
- Vingt-six fautes ! C'est inadmissible !
Elle attrape son fils par l'oreille et l'oblige à se lever.  Julien grimace et ferme les yeux. Il sait que la sanction va tomber et qu'elle sera très dure. Munie du la terrible règle elle lui ordonne en relâchant son étreinte :
- En position, dépêches toi. Allez, talons joints, et tu te tiens droit. Tends ta main gauche pour commencer.
La peur au ventre, le jeune homme s'acquitte de l'ordre qui lui est donné.
- Mieux que ça ! Bras à l'équerre et paume à plat doigts tendus
Le premier coup tombe sèchement. Pas de cri de la part de Julien. Il se crispe juste, le deuxième coup accentue déjà la douleur. Les quinze coups suivants sont du même acabit. Il ne veut surtout pas pleurer devant Igor qui il le sait observe la scène. Il continue de résister ensuite. Il se dresse sur la pointe des pieds à chaque choc avant de se cambrer. Sa main gonfle mais il ne pleure toujours pas. Au vingt-sixième coup malgré la souffrance intense il se sent fier d'avoir résister. Mais ce n'est pas terminé et sa mère le rappel vite à l'ordre.
- Julien l'autre main, vite ... Nous n'avons pas encore terminé. Talons joints, donnes moi la main droite.
Le premier coup, alors qu'il souffre encore énormément de sa main gauche, lui arrache un cri. Il tente de tenir encore le choc. Alors que sa mère poursuit la sentence, Il résiste. Il ferme les yeux, grimace, se crispe. Il est blême. Au dixième coup, il ne peut plus retenir ses larmes. Un masque de douleur se fige sur son visage. Les coups s'enchainent lentement. Madame Lafitte prend son temps pour lever la règle bien haute et l'abattre rudement sur la main enflée et rougie. A la fin de la correction il sanglote et ne peux s'empêcher de mettre la main entre ses cuisses pour essayer de calmer la cuisson mais ce n'est pas encore terminé
- Julien mains sur la tête. La maman en colère lui baisse son slip de bain et cale Julien sous son bras pour lui administrer une cuisante fessée.
Ses fesses subissent à leur tour le même sort que ses mains. Sur un rythme ferme et soutenu, Valérie applique la règle sans intention de s'arrêter. Elle alterne fesse gauche et fesse droite. Depuis le début Igor et les jeunes voisins admirent le spectacle. Les cinq jeunes campeurs ont un sourire narquois. Ils sont surpris d'assister à une deuxième correction dans ce camping mais cela les amuse beaucoup.
Julien quant à lui continue de recevoir sa volée. Son fessier commence à cuire. Vingt-six coups de règle c'est vite passé et comme il est déjà en pleurs... A la fin de la correction ses fesses sont dans le même état que ses mains : rouges et brûlante.
Pendant encore une heure et demi Julien et Léa sont coincés à la table de camping avec leurs devoirs. Quand vient le moment du corrigé, c'est la peur au ventre qu'ils présentent leurs copies à Valerie. Cette dernière inspecte minutieusement leur travail. Le travail de Julien est juste correct.
- Mon garçon, je crois que les sœurs ont raison. Tu seras bien mieux en classe de seconde vue ton niveau. Je te promets que tu réussiras crois-moi. Contraint et forcé s'il le faut. Et au retour des vacances nous redoubleront de travail pour que tu atteignes un meilleur niveau.
Quant à Léa. Son travail est encore moins mirobolant.
- Léa, ton travail est truffé d'erreurs. Je ne peux pas croire que tu es un si faible niveau. Surtout qu'il est vraiment évident que certaines fautes sont des erreurs d'étourderie suite à un manque incontestable de concentration. C'est intolérable ma chérie. Va me chercher le martinet !
Elle ramène l'instrument et le donne tête basse à sa tutrice. Valérie la fait se courber sur son fauteuil, les mains agrippent les accoudoirs du fauteuil de jardin. Elle lui coince le maillot de bain une pièce dans la raie des fesses. Sans ménagement elle commence à la fouetter. Léa hoquette vite et se met à pleurer. Les épaisses lanières de cuir s’abattent, cinglant les fesses, les cuisses ou les mollets couvrant la peau de belles zébrures.
- Maintenant au piquet lui ordonne sa marraine, face à la caravane. Et cet après-midi tu resteras ici au lieu d'aller à la plage. Tu recommenceras ton travail !
La pauvre Léa n'a pas d'autre choix que d'accepter sa condamnation. Ses vacances débutent mal.


Eh là, ne perdons pas le fil de l'histoire !

Le début : le chapitre 1
et l'épisode précédent : le chapitre 9

Et bien, attendons la suite.

C'est le chapitre 11


Et s'il vous manque un épisode,

Vous le trouverez sur la page "les auteurs invités"

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