lundi 23 septembre 2019

Les rebelles - chapitre 14

En ce beau et chaud week-end mois de Septembre, les « gilets jaunes » se réunissent autour des ronds-points et aux entrées de la ville. Mouvement qui se veut avant tout pacifique.
Par contre, comme dans tous mouvements de ce genre, des éléments extérieurs viennent s’y mêler, pour d’autres raisons ! Les groupes de gilets jaunes se rassemblent et prennent position sur des endroits stratégiques, tantôt interpellant les citoyens, tantôt interdisant aux voitures l’entrée dans la ville, provoquant de ce fait, des bouchons rapidement canalisés par la police municipale. Quelques marches à travers la ville se font également pour scander les messages et montrer les banderoles de leur mécontentement.
Ekaterina, Olga, Iourievna et moi sommes en ville pour nous promener et regarder les vitrines des magasins, comme toutes jeunes femmes qui se respectent ! Au cours de notre périple, nous entendons du bruit, des cris et nous voyons au loin les premiers manifestants arriver en centre-ville.
Aujourd’hui Samedi, jour de marché, si la manifestation déboule sur la place, ça risque de faire du tort aux commerçants qui vendent les produits de leur récolte, car les potentiels acheteurs vont déserter les lieux. Nos craintes s’avèrent fondées, car les manifestants arpentent les rues principales du centre-ville et les premiers acheteurs quittent le marché de peur des actes d’incivilités qui pourraient se produire et ce n’est pas les quelques policiers municipaux qui vont y changer grand-chose.
Ekaterina, Olga, Iourievna et moi, ne voulant pas nous retrouver prises au piège dans la foule, nous nous dirigeons vers une petite rue commerçante qui est en bordure du centre-ville où nous espérons trouver un peu plus de calme et surtout éviter les ennuis, si des débordements se produisaient. Nous nous installons dans un café pour suivre les événements de loin, avec une limonade ou un café.
Devant nous, nous assistons aux premiers heurs entre des éléments extérieurs à la manifestation et les policiers municipaux, qui sont obligés de répliquer avec des gaz lacrymogènes puis battre en retraite, car en sous effectifs, laissant la rue aux éléments les plus radicaux et pas sûr qu’ils soient avec l’esprit « gilet jaune ».
Voyant la tournure des événements, certains commerçants baissent leurs grilles, car ils craignent que leur vitrine et leur magasin ne soit saccagés. Les premiers pillages ont lieu dans la boutique de téléphonie mobile, puis les hommes masqués se dirigent vers d’autres magasins et continuent leurs exactions. Le cafetier a tout juste le temps de se barricader avant que les casseurs n’arrivent, nous emprisonnant, du même coup, dans le café. 
Apeurées, nous téléphonons à nos parents pour les prévenir de notre situation précaire. Ceux-ci nous demandent de ne pas bouger, le temps que ça se tasse et que la situation redevienne moins risquée pour rentrer à la maison.

Après le passage des casseurs, certaines personnes profitent que les vitrines soient cassées pour récupérer des objets laissés par les vandales. C’est comme ça qu’un de nos voisins, Jonathan, la trentaine, se laisse tenter à ramasser un iPhone dernière génération et du parfum de marque dans une autre boutique.
Furieuse de s’être fait casser sa vitrine, Audrey R. la gérante de la parfumerie intervient avec quelques autres commerçants et ensemble, ils s’en prennent à Jonathan, qui esseulé en fin de cortège, ne peut rien faire pour se sauver. Le cafetier s’invite dans la répression et maîtrise l’apprenti pilleur. Malgré les tentatives d’esquives de Jonathan, celui-ci est plaqué au sol. Mes amies et moi, voyons la scène comme une vengeance des commerçants face à un élément isolé. Nous reconnaissons immédiatement Jonathan car nous sommes adhérents dans le même club de sport.
Immobilisé, Jonathan cri qu’il est innocent et qu'il est seulement un gilet jaune, sans plus. Il se défend en disant qu’il comptait ramasser les objets pour les rendre aux commerçants, mais cet argument ne tient pas longtemps face à la rage des boutiquiers. Audrey R. qui s’était équipée de vidéo surveillance il y a six mois, montrent la vidéo et effectivement, on y voit clairement Jonathan ramasser une bouteille de parfum et la mettre dans sa poche, ce qui le discrédite complètement et prouve sa culpabilité. La découverte de l’iPhone dans sa veste termine de l’enfoncer.
Audrey R. s’apprête à appeler les gendarmes pour qu’ils l’arrêtent, lorsque Jonathan la supplie de ne pas faire ça, car dans la mesure où il travaille dans la fonction publique, avec une arrestation, il va perdre son travail et ne pourra plus subvenir aux besoins de ses parents âgés qu’il aide financièrement. Compatissante surtout vis-à-vis des parents de Jonathan, Audrey R. ne va pas au bout de son appel mais lui dit qu’il ne s’en tirera pas à si bon compte. Jonathan dit qu’il est prêt à faire ce qu’on lui dira de faire pour échapper aux forces de l’ordre.
Claire I., l’esthéticienne suggère aux autres commerçants de fesser sévèrement Jonathan de sorte qu’il ne recommence plus ces larcins. L’idée est favorablement accueillie et voyant la large approbation, Jonathan implore de ne pas faire ça, mais plutôt qu’il aide les commerçants dans autre chose. Il leur avoue n’avoir jamais reçu de fessées de la part de ses parents et qu’il ne veut pas en recevoir une à l’âge adulte, surtout en public, il ajoute qu’il ne le supportera pas physiquement et il aura trop honte. Audrey R. lui met le marché en main, c’est soit la gendarmerie avec vidéo à l’appui soit la fessée !
Jonathan commence à rougir car il se sent au pied du mur avec un choix cornélien qui quel qu’il soit le mortifiera toute sa vie. Sa gêne atteint son paroxysme lorsqu’il nous aperçoit. S’il accepte de se faire fesser, il devra se dénuder devant les commerçants dont des femmes et devant nous, qu’il croise assez souvent. Audrey R. le relance trois fois pour qu’il se décide à prendre une décision et c’est d’une voix faible qu’il répond qu’il choisit la fessée. Les femmes présentes en gloussent d’avance et exhortent Audrey R. de bien lui rougir les fesses pour qu’il s’en souvienne.

Ne voulant surtout rien rater du spectacle, Ekaterina, Olga, Iourievna et moi, nous nous avançons le plus près possible. Toutes les quatre, nous savons très bien ce que va vivre Jonathan le marquera pour de très longues années, mais l’excitation de ce spectacle est plus forte que tout et nous allons en déguster chaque moment. Ekaterina sort même son téléphone pour faire des photos.
Jonathan est dépouillé de ses vêtements assez rapidement, car tous les commerçants s’y mettent. Le jeune homme tente de masquer son pénis, car nu comme un ver, il est humilié par tous les regards qui converge vers lui et sur ses parties intimes. Deux commerçants le forcent à se pencher et le maintiennent fermement dans cette position. Les bras pris dans la poigne de deux hommes l’obligent à exhiber son intimité et nous pouvons enfin voir son pénis et ses testicules.
Sans pouvoir se retenir, les rires des femmes s’élèvent humiliant le fautif, qui s’empourpre davantage. Les commentaires des femmes sont les plus crus. Les unes s’esclaffent sur son fin long membre surmonté d’un gros gland (comme un champignon à longue tige), les autres se moquent de ses testicules bien pendants. Mais toute les femmes souhaitent que la fessée le fasse être en érection, afin de profiter de cette exhibition.

De toutes leurs forces, Audrey R. et Claire I. le fessent à mains nues sur chaque fesse et chaque cuisse, faisant sursauter Jonathan qui tente de résister à son envie de crier, mais voulant prouver son courage aux spectatrices, il serre les dents pour préserver le peu de dignité qui lui reste. Hormis les claques sonores, les rires et les remarques salaces, nous entendons les grognements et nous voyons les contorsions de Jonathan qui semble souffrir intensément au fur et à mesure que ses fesses deviennent cramoisies. Chaque sursaut fait ballotter son membre, à notre plus grande joie.
La fessée s’éternisant, Jonathan pousse des grognements de plus en plus rauques et il nous tarde de le voir gesticuler, implorer et hurler ! Nous voyons des gouttes de sueur commencer à perler sur son front, preuve que la souffrance est intense et fait effet. De leur côté, Audrey R. et Claire I. ont aussi la paume de la main rouge à force de le claquer et de ce fait, l’intensité et la cadence baissent.
Vouloir absolument soumettre Jonathan, Audrey R. et Claire I. propose aux autres femmes présentes de les remplacer pour continuer de lui rougir le bas du corps. Aussitôt, Ekaterina, Olga, Iourievna et moi, sautons sur l’occasion pour nous porter volontaires. Audrey R. et Claire I. nous cèdent leur place et à tour de rôle, une fois à droite et une fois à gauche, nous enchaînons les claques sur ses fessiers et sur ses cuisses déjà rouges. Avec toute notre fraîcheur, nous lui assénons de magistrales claques très sonores.
A sa façon de se raidir, de grogner, les autres spectateurs nous encouragent, car ils pressentent que ses hurlements ne vont pas tarder. Les premiers gémissements aigus sortent de sa gorge, signes que nous sommes sur la bonne voie. Lors d’une contorsion où Jonathan écarte les cuisses, j’en profite pour lui claquer l’intérieur en haut de la cuisse. La réaction est immédiate, un hurlement strident sort de la gorge de notre voleur, car n’en pouvant plus, il s’abandonne complètement et tant pis pour sa fierté.
Voyant les résultats, Ekaterina, Olga et Iourievna m’imitent et chacune de leur claque, mieux appliquée, est ponctuée par un hurlement et par des applaudissements des spectateurs. Jonathan tape des pieds par terre et gesticule de plus en plus. Je suis heureuse et fière de moi, d’avoir fait sauter le verrou de sa résistance. Je n’y suis pas allée de main morte et j’avoue que j’ai fait une transposition entre Jonathan et Adilson. Je fais payer à Jonathan, tout ce qu’Adilson m’a fait subir.
Ekaterina, Olga et Iourievna qui me connaissent si douce sont très étonnées de la puissance que je mets dans chaque claque que je donne. Je leur confesserai plus tard la raison de cette hargne libérée. Le fait du contact peau sur peau et la vision de ses contorsions ont provoqués chez moi une intense excitation qui se traduit par le fait que ma culotte soit trempée de cyprine. Je dois vraiment lutter contre une soudaine pulsion de me masturber.
Jonathan hurlant sous les claquées, implore le pardon, car il n’en peut plus et demande grâce, car le bas de son corps est en feu. Satisfaites du résultat, Audrey R. et Claire I. font cesser la fessée et les deux hommes qui le maintenaient le relâchent. Jonathan porte aussitôt les mains à ses fesses, car la douleur est intense et le feu irradie jusque dans son bassin. En se retournant, il ne pense même plus à masquer son pénis. Malgré la fessée magistrale, Jonathan n’a pas eu d’érection due à sa fessée, ce qui en désole plus d’une, qui aurait aimé le voir dans cette situation super gênante, mais tellement excitante pour elles.

Jonathan, tête basse demande ses vêtements pour partir. Il demande pardon aux commerçants et nous dit qu’il a compris la leçon et qu’il ne recommencera plus. En remettant son slip, Jonathan est obligée de l’enlever car avec le contact du tissu serré sur ses chairs brulantes, la douleur est intenable. De ce fait, il tente d’enfiler juste son jean et encore, avec bien du mal. La douleur se réveille à chaque pas qu’il fait, ce qui le fait grimacer.
En le voyant faire, nous sommes satisfaites de notre travail. Nous pensons qu’il sera plus raisonnable à l’avenir. Jonathan termine de se vêtir. Pour l’inciter à partir, Audrey R. lui remet une grande claque sur les fesses à travers son jean, ce qui lui arrache un cri rauque en déguerpissant.

Nous restons cloîtrées encore deux bonnes heures avant que les manifestants ne partent de là où nous sommes et que nous puissions rentrer chez nous. Le sujet durant le trajet du retour est la fessée donnée à Jonathan. Olga, Iourievna et moi qui n’avons pas eu beaucoup de petit ami, sommes très excitées de nous être rincé l’œil et surtout d’avoir été actrices dans cette fessée. Pourtant d’habitude assez sage, Olga se lâche un peu et se souvient de la fessée de Jan, où Tiphanie lui a mis le gland à l’air pour l’humilier davantage. Elle nous confie qu’elle a failli en faire de même avec Jonathan, mais n’a pas osé, pour le « qu’en dira-t-on ? ». Ça lui aurait tout de même plu de manipuler son « beau membre ».
N’ayant pas assisté à la fessée de Jan et de ses deux sœurs, Ekaterina, Olga et Iourievna me racontent avec pleins de détails croustillants les fessées dans la propriété d’Adélaïde de M. et que les trois enfants ont été obligés à être nus, lorsqu’ils sont revenus travailler après. A la fin de leur récit, je leur dis qu’elles ont eu de la chance d’assister à ce « spectacle » et que les fessées étaient méritées au regard de la faute commise, même si la fortune de la famille faisait que le larcin était insignifiant, mais pour le principe, elles ont eu raison de les fesser.
J’aurais bien voulu y être, mais ce sera peut-être pour une autre fois. On se dit que ce sera marrant lorsque nous le croiserons à nouveau à la salle de sport ou dans le quartier. Il ne devrait pas faire le fier en nous reconnaissant. Nous nous disons aussi qu’il a payé sa faute et qu’il ne faudra pas trop se moquer, mais intérieurement, on le verra, de toutes façons, sous un autre angle, dans le mesure où son intimité n’a plus de secret pour nous.
Ekaterina nous dit qu’elle a fait pleins de photos. Elle nous les enverra afin l’on ait la possibilité de se rappeler de ces moments palpitants, car bon nombre de photos sont assez excitantes. Nous nous en réjouissons toutes d’avance et en rougissant, nous nous avouons qu’après ça, notre culotte n’est pas intacte, ce qui nous fait rire comme des petites idiotes !

En rentrant à la maison, je rassure mes parents en leur racontant le vandalisme des boutiques, mais je passe sous silence la fessée de ce Jonathan, préférant m’enfermer seule dans ma chambre, retirer ma culotte encore trempée et me masturber intensément en me rappelant des moments troublants que je viens de vivre. Je dois serrer les dents pour ne pas crier sous le plaisir qui me submerge.
Abandonnée, je refais surface quelques instants plus tard en me rendant compte que Maman cogne à la porte pour me dire que le repas est prêt. Invoquant d’écouter de la musique pour expliquer mon absence de réponse aux différents appels.
Lorsque je rencontre mes amies, inlassablement, un sujet tourne autour de notre expérience commune. Nous gloussons et rigolons tant et plus d’avoir corriger ce jeune homme, en nous rappelant certains faits précis de cet après-midi.
Quelques semaines plus tard, lors d’une séance de fitness à la salle de sport, qui voyons nous débarquer ? Jonathan. Un large sourire bêta orne notre visage. La coach Dorothée D. nous voyant faire, nous dit de faire en plus quelques pompes pour nous ôter ce sourire niais, car nous sommes là pour travailler, pas pour reluquer les garçons. Reprenant notre sérieux et toutes penaudes de nous être fait prendre sur le fait, Ekaterina, Olga, Iourievna et moi, nous nous mettons en position et nous faisons dix pompes et en effet, notre sourire de godiches s’évapore.
Après avoir bien transpiré durant la séance, avant de rentrer aux vestiaires, nous risquons un œil à la salle de musculation, majoritairement fréquenté par les garçons. Nous voyons Jonathan sur une machine. Celui-ci nous apercevant rougit instantanément et change de machine pour nous tourner le dos. Avec des échanges de regards entendus entre filles, nous nous dirigeons enfin vers les vestiaires.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : chapitre 1, le début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 13 acte 2
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6 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Pour une toute première fessée, ce pauvre Jonathan a pris cher. Il faut reconnaître aussi que cette fessée il ne l'avait pas volée. C'est une expérience dont il se souviendra assurément. Il n'oubliera jamais toutes ces mains sur lui occupées à le dépouiller prestement de ses vêtements ni ces commerçantes le fessant avec une telle conviction qu'elles en attrapent mal aux mains et qu'elles laissent la place à nos quatre comparses qui, ayant été si souvent elles-mêmes, punies ou spectatrices, sont ravies d'être, cette fois-ci, exécutantes. Et Dieu sait qu'elles ne boudent pas leur plaisir et qu'elles font en sorte de taper là où ça fait le plus mal. Si, pour lui, ce sera un souvenir particulièrement cuisant et mortifiant, pour elles ça restera un souvenir jubilatoire qu'elles ne manqueront pas d'évoquer toutes les fois qu'elles en auront l'occasion.
    Cette expérience commune va certainement resserrer les liens entre elles et, ce que le lecteur ne peut manquer d'espérer, peut-être les pousser à oser davantage, à créer les elles-mêmes les conditions qui vont leur donner barre sur des garçons, leur permettre de les châtier et de les humilier à leur guise et donner l'occasion à Olga de faire ce qu'elle n'a pas osé faire. Pour leur plus grand plaisir à toutes.
    Amicalement.
    François
    Fran

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  2. Bonjour,
    Fesses rouges et gilets jaunes ! Pour les gilets jaunes qu'on a réussi à faire passer pour délinquants... (Mais chut, pas d'amalgame!) la fessée c'est tous les samedis !
    Sur la lancée des sanctions aux incivilités pourquoi pas une bonne déculottée aux vilains casseurs qui s'immiscent dans les manifs et en détournent le sens, par la violence...( Au fait ça profite à qui ?) Il en faudrait des bras et des mains pour corriger tout ce petit monde!
    En tout cas la gens féminine y met la main et y "prend aussi son pied" comme on dit familièrement. Notre narratrice a le mérite d'exprimer de manière explicite, les "sensations" côté fesseuses, que procurent la fessée et la vison d'une paire de fesses en train de rougir sous les claques. Les petites culottes de ces demoiselles en sont bonnes pour une lessive express!

    C'est l'effet "Kiss Cool" double peine / double plaisir, sanction /punition... excitation/ masturbation... Voilà qui a le mérite d'être clair! La fessée ça fait mal... mais pas à tout le monde.
    Cordialement
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,
    Fidèle à vos remarques pleines d'humour. Personnes ne viendra s'en plaindre, vous faites une parfaite analyse de cette fiction. C'était un clin d'oeil aux casseurs et autres malfrats qui viennent ternir la tristesse d'un peuple en recherche d'assistance. Chut, ne faisons pas de politique, sur ce site... Disons que je me mets à la place de ces dames et j'y trouverais un certain attrait !
    Amitiés.
    Elena

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  4. Bonsoir Héléna,
    Merci... Je partage votre point de vue sur le petit peuple des gilets jaunes. Claquer un derrière n'empêche pas de penser!!! Entre deux fessées, il n'est pas interdit d'exprimer une sensibilité et émettre quelques remarques sur une actualité brûlante qui, pour une fois, n'est pas celle d'une paire de fesses en pénitence!
    Amicalement
    Ramina

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  5. Bonjour,
    Malin ou un peu pervers notre ami Francois Fabien? Les deux, tour à tour ou en même temps, le résultat est le même...
    Voila une idée qu'elle est amusante!( enfin pas pour tout le monde.) Pour ces Dames et Demoiselles si ferventes de corrections et de revanche sur la gens masculine, provoquer elles même les occasions de sévir sur les garçons indisciplinés! On peut difficilement faire mieux comme emprise. Reste plus à ces Messieurs que de se "tenir à carreau" ou alors préparer ses fesses! Pas d'échappatoire au "Power Girl".
    On attend la suite avec impatience...
    Cordialement
    Ramina

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  6. Bonjour Elena, Bonjour, Ramina et bonjour à tous.
    Pervers, moi? Alors que je suis innocent comme le petit agneau qui vient de naître sur la branche! Mais non, voyons, ce sont ces demoiselles qui sont prêtes à tout pour arriver à leurs fins et pour se donner la satisfaction de voir un derrière masculin tambouriné sous leurs yeux. Elles ont si souvent été piégées par les belles parole de la gent masculine qu'elles estiment justifié de leur rendre la monnaie de leur pièce. À elles maintenant de mener le jeu et d'imposer à ces messieurs des humiliations qui vont mettre à mal leur amour-propre de petits mâles.
    Amicalement.
    François

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