Dernier chapitre de la saison 1 : Les bienfaits de la
fessée.
Edwige, la voisine d'en face et amie,
rend visite à Gladys et Patricia qui en termine avec le recadrage de ces
messieurs.
Extrait :
« Sans attendre qu’on le lui
propose, Edwige pose son sac par terre près du fauteuil et s’y installe
en croisant haut les jambes. Ses bas nylon, bruissent sur ses cuisses qu‘elle
découvre davantage pour se mettre à l’aise en retroussant sa jupe jusqu’aux
boucles de ses jarretelles. La pétulante créature est sans aucun complexe, à
l’aise partout, en toutes circonstances, avec n’importe qui. La mine réjouie,
son regard passe successivement de Gladys à Patricia.
« Et bien mes chéries, on dirait
que j’arrive au bon moment ! »
Elle soulève son opulente poitrine
d‘un soupir de satisfaction. Son bustier en dentelle semble avoir des
difficultés à la contenir.
« Hummm,
ça sent la fessée ici ! »
–
Oui, et aussi les fesses chaudes ! Plaisante Patricia, qui
n’a rien à lui rendre en matière d’impertinence.
Gladys
est restée debout les bras croisés. Elle ne perd pas de vue la punition en
cours d’Edouard et Robin.
– C’est bon Edouard, tu vas te mettre au coin à
côté de Robin. Baisse ton slip plus bas sur les cuisses et tiens ta chemise
relevée pour bien dégager tes fesses. On doit les voir entièrement. Le premier
qui bouge, c’est la fessée ! Déculottée... devant Edwige !
– Bravo
ma chère, voilà comment on doit parler aux hommes désobéissants ou mal
élevés! J’adore ! Evidemment comme vous le savez, ça se passe comme ça
aussi à la maison. Je fais pareil avec le mien ! »
Elle se penche en avant dans un grand
éclat de rire puis ajoute sur le ton de la confidence.
– Il faut leur serrer la
visse pour se faire obéir. Les faire marcher à la fessée. Il n’y a rien de
meilleur. De bonnes fessées déculottées bien cuisantes. A la maison c’est
systématique, ça claque à la moindre incartade. J’adore leur rougir les fesses!
C’est stimulant et excellent pour la santé! Il paraît que ça fait circuler le
sang. Et bien pour circuler, le leur, je le fais circuler !
Gladys hochant la tête avec un sourire
d‘approbation.
– Justement ma chérie,
puisque nous sommes au cœur du sujet, qu’est-ce qu’il nous vaut le plaisir de
ta visite ?
– Et
bien figurez-vous que… On entend souvent dire, j’ai vu de la lumière alors je
suis rentrée. Moi c’est plutôt : J’ai entendu claquer une fessée au téléphone,
ça m’a donné envie de venir voir de plus près... et me voilà ! »
Les trois femmes éclatent de rire en
même temps.
–
Oui, répond Gladys, en essuyant du petit doigt une
larme de rire. Patricia tenait le portable au-dessus des fesses d’Edouard
pendant que je le corrigeais. J’ai eu cette idée pour ne pas interrompre la
fessée.
Patricia toujours pleine de bon sens.
– Tu le sais Edwige, on n’arrête
jamais une fessée en cours. Tu entendais bien au moins ?
– Parfaitement
bien ! Ça claquait sec. C’était vraiment amusant, mais un peu frustrant en même
temps. J’ai cru un moment que c’était les fesses de Robin, mais j’ai finalement
reconnu la sonorité de celles de ton beau-père que ta mère m’a donné plusieurs
fois l’occasion de corriger.
Gladys poursuit :
–
C’est vrai que chaque paire de fesses à sa sonorité
particulière. Je reconnaîtrais celle d’Edouard ou de Robin les yeux fermés.
Ceci dit, c’est toujours intéressant de claquer un autre derrière lorsque
l’occasion se présente.
– Si
j’ai bien compris dit Patricia, en regardant tour à tour Edwige et sa mère,
c’est ce que vous avez prévu samedi prochain... »
Vous voulez relire l'épisode en entier ?
Pas de souci, le voici : saison 1 chapitre 12
Prochaine illustration...
...et bien non ! Nous sommes au bout de la saison 1. Attendons la saison 3, elle ne devrait pas tarder.A vos commentaires !
Que pensez-vous de cette rediffusion ?
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerL'utilisation du martinet marque plus les chairs que la main nue. C'est beaucoup mieux pour discipliner ces messieurs... Beau dessin !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Helena,
RépondreSupprimerMerci pour l'appréciation sur les dessins. J'y passe beaucoup de temps pour, je l'espère le plaisir des amateurs.
Il en est ainsi des fantasmes... Chacun a sa projection sur l'art et la manière d'appréhender la fessée. L'échange est intéressant.
En ce qui nous concerne, la pratique est avant tout de nature disciplinaire. Vous y apportez, dans vos récits, les ingrédients de punitions radicales ( utilisation du martinet, fouet, cravaches etc...) humiliantes,voir avilissantes ( nudité totale, épilation, corrections en public,rapport à la sexualité )Les punis doivent subir des châtiments exemplaires proche du supplice pour expier leurs fautes. Les corps portent les traces des instruments de discipline employés avec une certaine férocité...pour bien marquer aussi les esprits.
J'ai cette inclinaison pour le caractère exemplaire de la fessée, sévère, marquante,impitoyablement administrée. J'y ajoute cependant, un décalage en clin d'oeil,( peut être pour dédramatiser ) et une enveloppe esthétique, dans un contexte paradoxalement assez "Glamour". les personnages féminins sont dominants, sensuels et provocants.
Cette vision "plastique" amène à rendre l'utilisation du martinet plus anecdotique. Le spectacle d'une belle paire de fesses uniformément rougie par une main bien ferme, me semble plus attrayant qu'un derrière étrillé ou abîmé par un instrument de discipline. Affaire de sensibilité à l'aspect visuel de la correction. De plus, la sensation de chaleur produite par un postérieur sous la fessée, le contact direct peau sur peau, procurent sans doutet des sensations er émotions plus charnelles, qu'avec l'utilisation d'instruments.
Question de choix... et de nature de ressenti. Chacun y trouve de quoi satisfaire ses fantasmes.
En tous cas, initiative fructueuse que la vôtre, d'entretenir l'activité du blog par vos récits, commentaires et réponses assidues au courrier.
Cordialement.
Ramina
Bonsoir Ramina,
SupprimerBien d'accord avec vous. Chacun a sa vision personnelle de la fessée.
Elle se nourrit d'un vécu en tant que témoin, ou en tant que récipiendaire de cette punition. Le tout imprégné de principes moraux et autres sermons.
Nous en avons, c'est juste, une vision complémentaire, évoluant dans un monde fantasmatique en décalé: sophistiqué pour Dame Gladys et plus simple pour Ma'ame Térèze. Et tout ce contexte enrichit le sujet. Pour le plus grand profit de notre cercle de passionné()s.
Amicalement. Peter.
Bonjour Ramina et Peter.
SupprimerDans mes textes, je m'efforce de démontrer que les chairs marquées par les instruments ne le restent pas très longtemps. Je pensais le répéter assez souvent dans certains paragraphes. A priori, je n'ai pas été comprise.
A destination des autres lecteurs => L'utilisation des instruments forcent le ou la punie à réfléchir davantage à ses fautes, car tel est le but. Que les fesses soient plus rouges à un endroit ou à un autre, n'a, selon moi, aucune importance. Je ne recherche pas l'esthétique des endroits rougies, mais la prise de conscience du fautif.
Je suis consciente que mes textes sont en décalage avec les autres récits, mais c'est ma vision de mes fictions.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Héléna,
RépondreSupprimerVotre point de vue sur la fessée et la manière de l'administrer sont tout aussi intéressants que n'importe quel autre. Peu importe le décalage, il exprime la diversité de traitement du sujet qui en constitue la richesse. Cette distorsion se retrouve comparativement dans beaucoup d'autres récits. Tous le monde n'a pas les mêmes fantasmes. Entre autres qualités, ce blog permet d'en exprimer un large échantillon.
Soyez rassurée, je pense que le lecteur aura bien compris que le contenu de votre propos repose essentiellement sur la valeur d'exemplarité de la punition qui n'a d'autre objectif que la prise de conscience de la faute commise.
Ma version, certes esthétisante, "fessées, porte jarretelles, bas nylon et talons aiguille" chère à certains,le côté "pipi au lit, couches culotte" pour d'autres, ou encore la tendance "infantile culottes en coton", sont tout aussi décalés les uns par rapport aux autres. Ils sont tous dignes d'intérêts car représentatifs des fantasmes de chacun.
Amicalement
Ramina