« On dirait qu’elle prend du plaisir, Léa. Regarde son petit sourire ! Le même que lors de la flagellation d’Olga et de Théo » fais-je remarquer à mes amies.
« Moi, j’suis curieuse de voir
la tête d’Alexia lorsque Léa va lui fesser son Thomas ? » dit Anaïs, une jeune fille
de première.
« Ouais, il va s’en prendre trente, il va morfler, l’Thomas ! A coup sûr, ça va le faire gicler » complète, Clémentine, la copine d’Anaïs
« Ah ! tu crois, Clémentine !
Alors, j’ai hâte de voir ça... c’est les 2 nanas de la Mairie du premier rang
qui sont s’régaler ! J’kifferais un max d’être à leur place »
Alicia est mise en position et
sanglée sur la table puis Léa et Sœur Weronika lui cinglent le bas du corps
comme ses camarades. Les vingt coups de canne sont très pénibles et Alicia
hurle, elle-aussi. Ses fessiers et ses cuisses sont zébrés de marques bien
rouges dont certaines virent sur le bleu. A force de se débattre comme une
damnée, Alicia transpire, car sa chaleur corporelle monte vite. Des gouttes de
sueur perlent, collant des mèches de cheveux sur son visage.
Dans l’assistance, des
quolibets et parfois des applaudissements retentissent lorsque des coups plus
douloureux que les précédents font se cabrer les punies. Les élèves, surtout
les garçons, remarquent que les fentes des punies sont luisantes de cyprine.
Leur situation d’humiliation, leurs contractions et la douleur ressentie font
l’effet d’une puissante excitation.
Au terme des vingt cinglées,
Fabienne D. demande à l’infirmière de procéder à l’introduction de la crème
pimentée dans les parties intimes d’Alicia.
Après une petite inspection
des traces sur les fesses et les cuisses de la punie, Laetitia F. prend sa
poire d’injection et tente d’introduire la canule dans l’anus de la punie, mais
Alicia est tellement contractée, que l’infirmière ne parvient pas à enfoncer la
canule.
«
Détendez-vous et laissez-vous faire, Mademoiselle, on ne va pas y passer la
journée ! »
Voyant que l’avertissement ne
provoque aucun effet, Léa et Sœur Weronika lui donne chacune un coup de canne
sur le dos, la faisant hurler à gorge déployée. La douleur la fait se détendre
d’un coup et l’infirmière en profite pour enfoncer la canule dans l’anus
d’Alicia qui ne peut que constater sa défaite en sentant la canule la pénétrer.
Laetitia F. lui injecte une
bonne dose de crème pimentée, puis malgré sa résistance, lui introduit plus
facilement la canule dans le vagin et lui en insère une bonne giclée, sans
aucune réaction de la part d’Alicia. Elle termine par lui enduire le clitoris.
«
Voilà Mademoiselle G. ! ça va faire effet dans quelques instants... Léa,
attachez-lui les mains dans le dos car elle ne va pas tarder à sentir un volcan
se mettre en éruption en elle »
Mains attachées dans le dos,
Alicia va s’agenouiller avec ses camarades en grimaçant, en gémissant et en se trémoussant,
car elle sent une chaleur qui monte rapidement en intensité, envahir ses
parties intimes.
« Messieurs
Yohan K., Lucas C. et Thomas P., venez ici. Monsieur Yohan K., en position sur
la table ! Pour les autres, enlevez vos mains de devant votre pénis.
L’humiliation fait partie de la punition, alors montrez-nous vos attributs
masculins » ordonne la proviseure.
Les trois pénis des jeunes
hommes ont des tailles et des formes bien différentes qui font beaucoup rire
les filles présentes, qui visiblement se régalent du spectacle. A peine ont-ils
retiré leurs mains que Yohan et Lucas ont une belle érection, dû à la vexation
d’être exposé en public, face à tant de monde. Seul Thomas reste stoïque, son
pénis rétracté, presque inexistant.
« Eh,
Alexia, c’est avec ça qu’il te fait jouir, ton Thomas ? C’est minuscule,
tu sens quelque chose ? » dit Paul.
Alexia lui lance un regard
noir, sans répondre, mais blessée qu’on s’en prenne à son Thomas.
« Par
contre, le Yohan, waouh, quel sexe il a, le mec. Lucas, c’est pas mal aussi,
mais Yohan, il est bien membré, un vrai étalon ! » dit
Samantha, impressionnée.
« Et
puis comme ils sont épilés, ça parait encore plus grand »
« Ah !
t’as raison »
Mélissa M. et Anne-Sophie C.
de V., aux anges, ont le sourire aux lèvres en contemplant les deux jeunes
hommes, le visage rouge de honte. Pour parachever le tout, Léa leur retrousse
le prépuce à tous les trois, mettant à l’air leur gland, pour assoir son
autorité sur eux. Leur intimité la plus profonde est à la vue de tous.
« Bonne
initiative, Léa » la félicite la proviseure.
Les trois garçons ne savent
plus où se mettre, tant ils ont honte. Les larmes leur viennent aux yeux. Yohan
K. est mis en position sur la table.
« Eh
Manon, regarde comme ses testicules pendouillent... »
« Ouais,
mais quelle belle paire, quand même ! »
Léa et Sœur Weronika le
fessent avec vigueur. Tout d’abord courageux, Yohan serre les dents, mais les
cinglées sont bouillantes et il abdique au bout d’une dizaine de cinglées et il
finit par crier puis hurler de douleur, se laissant aller à gigoter dans tous
les sens. Léa s’en donne à cœur joie pour lui arracher des hurlements.
Pendant ce temps, Alicia, qui
sanglote en se contorsionnant de plus en plus, n’y tient plus et pousse des
hurlements stridents, tant la cuisson est ardente dans ses voies naturelles.
« Waouh,
ça y est ! regarde, Fanny ! elle a les trous en feu, ta sœur » ricane
Quentin, un élève de seconde.
« Ça
l’a mise en chaleur ! la meuf » ajoute Valentin.
Sixtine et Chelsea sont livides
de peur de voir comment leur amie se débat de douleur. Elles voient à quoi
s’attendre. Elles en tremblent d’avance, mais savent qu’elles ne peuvent rien
faire pour y échapper.
Yohan est détaché puis
agenouillé et Lucas prend sa place. Les claquements sur les fesses de Lucas
commencent avec intensité, comme les quolibets des élèves à son égard. Les
traces laissées par les cannes rougissent et bleuissent l’épiderme lorsqu’à
force de se contracter, Yohan éjacule une première et une seconde fois à la
plus grande joie des deux adjointes à la mairie qui prennent du plaisir à
regarder ce spectacle, contrairement à leur mine lorsqu’elles regarder les
filles se faire corriger. On entend les jeunes filles glousser lorsque le
sperme gicle... Yohan tente de se reprendre, mais trop tard, il s’est ridiculisé
en public.
Thomas est le dernier garçon à
passer à la fessée. Comme ses camarades, il trépigne, gémis, puis crie et
hurle. Alexia, sa copine est en pleurs de le voir souffrir. Les coups
s’enchainent et semblent durer une éternité pour Alexia. De son côté, Thomas se
débat et a l’impression que son arrière-train a doublé de volume. Entre deux
cinglées, il implore le pardon.
« Non
mais, regardez-le, il geint comme un garçonnet. Et puis avec son petit bout
tout recroquevillé, il ressemble vraiment à rien, ce mec ! »
« Léa,
ma Sœur, dépêchez-vous de l’agenouiller avec les autres, il reste
Mesdemoiselles J. et C. à corriger. L’heure avance... »
demande Fabienne D.
« Mademoiselle
C., ne faites pas d’histoire, ne me forcez pas à vous fouetter le dos, avant de
vous fesser ! De toute façon, vous y passerez, tôt ou tard... » la
réprimande un professeur.
Chelsea se laisse emmener et
elle est fixée à la table de correction. A la moitié de la punition, Chelsea,
d’habitude si fière se laisse aller à uriner de peur et par la douleur qui lui
envahie le bas du corps. On l’entend s’égosiller.
Anne-Sophie C. de V. laisse
échapper son indignation en voyant Chelsea pisser devant elle :
« Mais
qu’elle est répugnante, cette fille ! incapable de se maitriser, elle
n’est pas très digne, c’est juste une sale gamine »
Pour ma part, je n’en peux
plus car à force de me caresser, ma culotte est maculée de cyprine et ça
comment à couler le long de mes cuisses. Mon clitoris devenu hyper sensible me
procure des sensations qui me submergent. Je pousse de petits cris de
jouissance, comme d’autres filles derrière moi. J’en ignore même les remarques
d’Adilson qui s’est lâché depuis un moment et me regarde me satisfaire. Je sens
mes jambes flageoler sous le plaisir que mes caresses me procurent.
« Eh
la ruskof, j’pensais qu’t’aimais pas que la souffrance des uns, procure du
plaisir aux autres, alors qu’est t’es en train de faire, espèce de greluche ! »
En rouvrant les yeux, je
constate que les trente cinglées ont été données à Chelsea et que l’infirmière
est en train de lui insérer la crème qui va lui chauffer les parties intimes.
Alicia est toujours en train de pleurer en sautant sur place et en tapant des
pieds. Vaines tentatives pour calmer les éruptions vaginales et rectales.
La dernière à passer est
Sixtine, une belle métisse martiniquaise, aux formes rebondies. Trois
professeurs ne sont pas de trop pour la forcer à se mettre en position sur la
table de discipline, tant elle se démène. Chelsea commence elle aussi à danser
sous la douleur qui l’assaille.
Sixtine, assez courageuse,
subit les trois-quarts de sa punition en gémissant, les dents serrées, mais
elle finit par abandonner sa résistance et se met à hurler comme ses camarades.
Vaincu par la douleur de la
fessée, Sixtine n’en peut plus lorsque l’infirmière la pénètre avec sa crème et
il ne lui faut pas longtemps pour brailler et faire des sauts de cabri et de
taper des pieds comme les autres filles. Ne sachant plus comment se mettre pour
calmer le feu, elle prend des positions très indécentes, se fichant éperdument
des gens qui la regardent, car seule sa souffrance accapare son attention.
Les deux femmes de la Mairie
prennent congés et remercie Fabienne D. pour ce « beau spectacle »,
laissant trois jeunes femmes les orifices en feu et les autres, à genoux, mains
sur la tête, les fesses striées de marques.
« Vous
savez tenir vos élèves, Madame D. Ceux-là vont regretter leurs actes. Je vous
en félicite » dit Anne-Sophie C. de V.
Dans un brouhaha, nous
finissons notre repas et les élèves commencent à partir pour les cours de
l’après-midi. Les élèves, encore excités par ce qu’ils viennent de voir ne
parlent que de ça.
Notre proviseure met fin à la
période de mise au piquet des neuf jeunes. Toujours en pleurs, Alicia, Chelsea
et Sixtine sont détachées.
Je me dirige vers Mélodie et
Lucas de ma section. Mélodie tremble encore et ses larmes n’en finissent pas de
couler. De près, ses fesses sont encore plus impressionnantes, bien que l’infirmière
leur ait assuré qu’il n’y avait rien de bien méchant. D’ici quelques jours, il
n’y paraitrait presque plus rien. Chacun leur tour, Laetitia F. leur étale un
peu de crème sur les fesses.
« Mesdemoiselles,
cesser de sautiller comme ça, je sais bien que vous avez le feu au cul, mais je
dois vous enduire les fesses avec ça. Le prochain coup, vous réfléchirez avant
de faire des bêtises »
« Ça
brule trop, Mademoiselle F. J’ai l’impression d’avoir une flamme qui brule mon
l’entrecuisse ! »
« Je
vous dis de vous tenir tranquille ou je vous en remets une dose » menace
Laetitia F.
« Non,
pas ça, s’il vous plait, pas ça ! »
Quelques minutes plus tard,
Alexia console Thomas, elle est dans ses bras et Fanny réconforte sa grande
sœur Alicia.
Les punis sont entourés de
leurs camarades de classe et tout le monde veut les voir de près, afin
d’admirer leurs marques et se rincer l’œil, par la même occasion.
« Eh
Léa, t’es sûre que t’y est pas allée un peu fort ? » lui
fais-je remarquer.
« Je
pense pas, ils sont bien marqués, mais c’est pas grave, t’as entendu
l’infirmière ? » me répond-elle.
« T’aurais
pu les épargner un peu, ce sont des étudiants comme toi »
« Surement
pas ! une punition, c’est une punition. Tu vas pas les plaindre, quand
même, t’as vu ce qu’ils ont écrit ? Et puis, dis pas que t’as pas
aimé les voir se faire fesser ! »
« Si,
j’ai aimé ça, bien sûr, mais ça veut dire que si je me faisais punir, tu me
ferais hurler aussi ? »
« Oh
oui ! je t’aime bien mais tu mérites d’être dressée, comme Olga et
Iourievna, d’ailleurs »
« Eh
bien, merci pour ta solidarité, Léa, ça fait plaisir à entendre,
ça ! Tu t’imagines que t’es au-dessus de tout le monde ? mais on
verra comment tu seras lorsque tu t’en prendras une » dis-je en ironisant.
« En
attendant, le Yohan, je l’ai tellement rendu docile qu’il a tout de suite
accepté mon rendez-vous, tu vois, ça sert de fesser les mecs, t’en fais ce que
tu veux après » se rengorge Léa, fière d’avoir soumis Yohan.
« Eh
ben profite-en, car ça ne durera peut-être pas longtemps ! » dit
Olga
Le bas du corps nu, Mélodie et
Lucas nous accompagnent en cours. Marchant comme sur des œufs, elles rejoignent
la salle de notre professeur de philo François F. qui accueille les deux punis
de façon assez sévère, car il a lu les commentaires peu flatteurs, sur ses
cours.
« J’espère
que durant le cours, vous serez aussi loquaces que tout à l’heure à la
cantine ? n’est-ce pas, jeunes gens ? Mettez-vous à part, car vous
sentez la transpiration, une douche vous sera profitable »
Durant tout le cours, nous
avons une belle vue sur les fesses zébrées des deux punis. Pour ma part, j’ai
du mal à me concentrer, car Lucas a des érections successives, se rendant
compte que toutes les filles de la classe, reluquent son membre viril. Le fait
que son gland soit découvert le rend encore plus excitant.
Comme pour les enfoncer un peu
plus, François F. les fait venir au tableau pour qu’ils proposent leur thèse
vis-à-vis du sujet en cours : « La nudité dans les espaces publiques
est-elle morale ? ». Sujet d’actualité compte tenu du contexte ! Le
sujet fait débat dans le cours et tout le monde y va de sa sensibilité et de
son expérience.
En sortant du cours de
François F., les étudiants sont assez agités avec le débat et toutes les
remarques des uns et des autres. Seuls Mélodie et Lucas sont éteints, enfermés
dans leur vexation.
François F. clôt le cours en
nous donnant le sujet de la prochaine séance : La fessée a-t-elle une
valeur éducative ?
« J’ai
hâte de rentrer à la maison, j’en peux plus d’avoir ma culotte toute souillée
de cyprine, c’est super désagréable » confis-je à mes amies.
« Moi,
j’l’ai carrément retiré, on se sent mieux comme ça... » me
répond Iourievna.
« Ouais,
t’as raison, j’aurais dû faire pareil » dit sa sœur.
En fin d’après-midi, Mélodie
et Lucas vont récupérer leurs vêtements chez la proviseure. Ils y rencontrent
les sept autres punis, pour certains, déjà rhabillés, pour d’autres, en train
de le faire, en prenant mille précautions, tant le contact des tissus sur leurs
fesses réveillent les brulures.
Avant de renvoyer les punis
chez eux, la proviseure dit :
« Jeunes
gens, j’espère que la correction a porté ses fruits. S’il devait y avoir une
prochaine fois, vous recevriez la même correction et vous passeriez quelques
jours en nudité totale dans l’enceinte de l’établissement »
En rentrant chez elles,
Iourievna et Olga trouvent Ekaterina en pleurs, avec Irina S., leur mère. En
demandant des explications, Ekaterina explique que son patron va la faire
punir, car son chiffre d’affaire au sein de l’entreprise PROMONT est désastreux
ces derniers mois. Son patron lui reproche de ne pas avoir suivi les consignes
stratégiques de vente, bien qu’Ekaterina ait tenté de lui expliquer avoir voulu
adapter la stratégie au problème du confinement actuel et durable. Ce qu’elle
trouve injuste, c’est que Jeanne B., la fille du patron, qui n’a pas de
meilleurs résultats qu’elle, ne sera pas sanctionnée.
Jean-Pierre B., le patron
d’Ekaterina, lui a dit qu’elle devait choisir la sanction : soit la fessée
devant ses collègues, soit être renvoyée de l’entreprise, pour faute grave. Iourievna
et Olga sont tristes pour leur grande sœur, car elle ne peut pas se permettre
d’être renvoyée, car la faute grave serait portée sur son attestation et elle
ne pourrait peut-être plus se réinsérer dans une autre entreprise.
Ekaterina, prise au piège,
était en train d’en discuter avec leur mère, lorsque les deux jumelles sont rentrées.
Durant le repas, Alexei S., le
père, conseille à son ainée de choisir la fessée :
« Tu
sais, ma chérie, la fessée sera vite oubliée, juste un mauvais moment à passer,
mais le renvoi serait néfaste pour ta carrière et pour toi. Et puis, nous vous
avons toujours appris à assumer vos actes à tes sœurs et à toi. Tu as voulu changer
la stratégie de l’entreprise, tu t’es bien plantée, tu dois payer pour ça et
c’est normal. Je suis d’accord avec ton patron »
« Je
sais, Papa, Je sais. Mais comme je suis responsable d’équipe, je vais devoir
recevoir la correction devant mes trois subalternes, ma responsable, mon patron
et je ne sais pas encore qui d’autre ! De quoi vais-je avoir
l’air ? »
« D’une
adulte qui sait prendre ses responsabilités ! » lui
répond son père.
« Bon...
d’accord... je vais choisir la fessée, vous avez raison et vous m’avez
convaincue »
« Je
suis fière de toi, ma Katiousha, tu es digne et courageuse » lui
dit sa mère.
Après le repas, durant lequel Iourievna
et Olga, encore toutes émoustillées, racontent les sévères fessées de leurs neufs
camarades à Ste CROIX, Ekaterina va se doucher puis se coucher, la boule au
ventre, car elle sait qu’elle sera corrigée dès le lendemain.
Une série écrite par Elena
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Bonjour Elena,
RépondreSupprimerEt bonjour à tous.
Un festival de fessées. On ne sait plus où donner de la tête. Ça tombe de partout et ceux et celles qui y échappent (peut-être pas pour bien longtemps) profitent pleinement de l'aubaine, ces demoiselles surtout, ravies de pouvoir multiplier les réflexions moqueuses sur les attributs des garçons. Il faut dire que ces punitions étaient amplement méritées. Comme celle que va prochainement recevoir Ekaterina devant ses subalternes. Quoi qu'il lui en coûte, elle choisit, sur les conseils avisés de son père, la fessée plutôt que le renvoi. On va attendre le prochain épisode avec impatience.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerMerci pour ce bon commentaires où la synthèse est fort bien restituée. Là, il s'agit de fichier de fichage d'élèves et de professeurs, la suite et fin de l'acte précédent. Nombre d'élèves se sont fait prendre. La proviseure a voulu faire un exemple et a réussi. Certains ne sont pas fiers, car il aurait très bien pu y passer également.
Quant à Ekaterina, elle s'est mise dans une belle embrouille avec son patron. La période de confinement exige de ne pas faire de zèle, alors lorsqu'une employée en fait, avec des répercussions négatives sur le chiffre d'affaire, ça tombe inévitablement. Elle va apprendre à obéir.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et du festival de cannes sur les fesses... Bonjour !
RépondreSupprimerAttention mesdames et messieurs, fesses sensibles s'abstenir!
A la fin de la lecture de ce 43è chapitre, rugissant, on se demande bien dans quel état d'exaltation a pu être notre amie Elena pour en arriver à nous gratifier d'un tel carnage à Ste Croix. Nouvelle guerre de religion, catholiques contre protestataires, avec une St Bartélemy des postérieurs.
Il se murmure, de source peu sûre, un moment de stress de l'auteure dû à un confinement trop confiné, angoisse d'étouffement sous le masque, crainte de croiser une covid vivante dans sa cuisine... Irrésistible besoin de se défouler dans l'écriture... déchaînement des passions!!! Le tricycle infernal. Elle serait resté coincée deux jours dans ses toilettes, en panne de PQ, au bord de la crise de nerfs. La légende dit que cet épisode aurait été écrit avec le manche de son balai à chiotte, parce qu'elle n'avait rien d'autre sous la main... A vérifier, les fausses nouvelles se multiplient en ce moment.
Résultat mes amis, quelles raclées pour une histoire de fichiers interdits!! Hystérie collective dans la cour de l'institut où filles et garçons se soulagent les hormones en regardant leurs copains et copines se faire étriller le derrière à coup de canne... On déculotte et on décalotte en série !
Et comme la punition n'est pas assez exemplaire, les demoiselles bénéficient d'une petite gâterie avec un mélange, deux temps trois piments, dans le devant/derrière! Double effet Kiss kool garanti.
On n'a même pas le temps de s'en remettre qu'au paragraphe suivant, les garçons, étrillés sous les fessées, montent les voilures et balancent l'écume par dessus bord, pendant que les filles à marées hautes dans les culottes, écopent avec les mains ! C'est pas pour dire, mais ça déménage.!!
Descriptions vigoureuses, récit rythmé, à coup de canne... Eléna nous offre un morceau de bravoure, qu'on se demande, comment que ça pourrait être encore plus pire au prochain épisode. Ekaterina a choisi la fessée... Fichtre!
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerJe suis rassise, car j'étais par terre en train de pouffer de rire en lisant votre commentaire.
C'est vrai que le festival de cannes était fort bien trouvé. Le confinement me monte à la tête, quoi que, pour écrire il vaut mieux être dedans. Mais écrire mes délires, c'est un régal. Je m'évade dans mon monde imaginaire de Ste CROIX et de ses alentours, bien que je n'en sois pas très loin.
Ca déménage, certes, pour le bien des protagonistes, ils m'en remercieront plus tard, ces vauriens.
La guerre de religion va arriver sous peu, vous ne croyez pas si bien dire et ça va encore chauffer. Au moins, je n'aurais pas de réflexions acerbes sur des épisodes où il n'y a pas d'action...
j'dis ça, j'dis rien !
Changement de décor avec Ekaterina qui va, une nouvelle fois, en faire qu'à sa tête, et Paf, son patron va l'attendre au tournant.
Amitiés.
Elena.