jeudi 12 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 33 acte 2

 On était à table. Tous les quatre. Maman servait la soupe. Je lui ai tendu mon assiette.

« Tu t’en étais pas vantée de ça, hein, Olga !

J’ai haussé un sourcil.

‒ Je me suis pas vantée de quoi ?

‒ Que vous vous en étiez pris une bonne hier, Théo et toi…

J’ai lancé un regard noir à Iourievna. Qui a aussitôt protesté.

‒ C’est pas moi ! J’ai rien dit.

Ce que maman a confirmé.

‒ Ta sœur ne m’a rien dit, non ! C’est Fabienne D., votre directrice. Qui a tenu à me mettre personnellement au courant de ce qui s’était passé. Et je n’ai pu qu’approuver. Vous vous êtes comportés, tous les deux, d’une façon absolument scandaleuse. Et elle a pris les mesures qui s’imposaient en la circonstance. C’est d’ailleurs, d’une façon générale, une excellente chose que vos délégués soient désormais habilités à vous punir lorsque vous l’avez mérité. Ce sont eux les mieux placés pour savoir comment vous vous conduisez en dehors des heures de cours, à quelles activités plus ou moins autorisées vous vous livrez. Ils sont donc à même d’intervenir avec d’autant plus d’efficacité que la leçon venant d’eux, qui restent malgré tous vos camarades de classe, a toutes les chances de s’avérer beaucoup plus mortifiante. Et donc beaucoup plus salutaire. Non ? Tu n’es pas de mon avis ?

‒ Si !

Tout bas. Du bout des lèvres.

‒ Ah, ben tu vois ! »

 

Dès que je l’ai pu, je me suis précipitée chez Théo. J’avais trop envie d’être dans ses bras, de me blottir contre lui, de le sentir se répandre en moi.

J’ai suivi, du bout du doigt, les boursouflures rougeâtres sur son dos, sur ses fesses, sur sa hanche.

« Mon pauvre amour ! Comment elle t’a arrangé, l’autre !

‒ Et toi donc !

On s’est embrassés.

‒ Quelle garce, n’empêche ! Quelle garce !

‒ On a été idiots. Complètement idiots. Avec le bureau de la directrice juste à côté, c’était couru. Tu l’avais dit en plus…

J’étais désolée.

‒ C’est de ma faute aussi ! Tout est de ma faute. Si j’arrivais à me contrôler un tant soit peu…

‒ Ce serait moins bon. Pour toi comme pour moi.

‒ Oui, mais là, quand même !

‒ Ce qui est fait est fait n’importe comment. On peut pas revenir dessus.

‒ En attendant elle était quand même pas obligée de taper si fort ! On est amies, non ? Ou on l’était.

Il a souri.

‒ Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu ris ?

‒ Parce que… elle adore ça, fouetter, en fait. Et fouetter fort. Comment elle était rouge, t’as pas vu ? Et comment ils brillaient, ses yeux !

Si ! Oui. Moi aussi, j’avais vu. Pour pas voir ! Mais n’empêche, ce qui m’étonnait…

‒ Elle était pas comme ça avant. Pas du tout.

‒ Elle est du côté du manche maintenant. On lui a confié tout un tas de responsabilités pendant le confinement. Ce qui lui est monté à la tête. Et puis c’est le genre de choses, fouetter, dont je suppose qu’on ne peut plus se passer une fois qu’on y a goûté et qu’on a apprécié…

J’ai voulu savoir.

‒ La fois où on s’était vus en cachette et où ta mère a voulu que ce soit elle qui te punisse, elle était excitée pareil ?

‒ Elle l’était pas mal, oui. Mais pas autant que là…

On s’est tus. Je me suis pelotonnée contre lui. Il m’a caressé la joue du bout du pouce. Les paupières. Les lèvres. Il s’est soulevé sur un coude, a plongé ses yeux dans les miens.

‒ Tu sais l’impression que j’ai ? Ben, c’est que c’est nous a rapprochés un peu plus encore tous les deux qu’elle nous ait punis comme ça. Ensemble.

Ah, oui, oui ! C’était bien qu’il le dise. Oui. Parce que je ressentais la même chose, moi aussi. Exactement la même chose. Mais je comprenais pas.

‒ Pourquoi ? Comment ça s’explique, tu crois ?

Il a haussé les épaules.

‒ Ça n’a pas d’importance pourquoi. Faut pas toujours chercher des explications à tout. Ce qui compte, c’est que ce soit comme ça, non ? »

Si ! Il avait raison. Si ! Évidemment qu’il avait raison.

Et on s’est fait l’amour. Passionnément. Et puis encore. On a recommencé. Tout doucement. Tout tendrement.

 

Dès qu’elle a été rentrée, le vendredi, on a appelé Elena. Qui, après plusieurs tentatives infructueuses, a fini par nous répondre. Ça allait, oui. Autant que ça pouvait…

« Parce qu’il s’est passé plein de trucs là-bas. Je sais plus trop où j’en suis en fait.

‒ Tu veux qu’on vienne ?

C’était gentil, mais non, elle préférait pas. Elle avait besoin d’être seule. De réfléchir. De faire le point.

‒ Vous m’en voulez pas ?

Non. Bien sûr que non. On comprenait.

‒ On se voit lundi à Sainte-Croix n’importe comment… »

 

Et le lundi matin, dans la cour, ça a été toute une effervescence. Il ne se parlait que d’elles. Des six filles qui revenaient d’Angleterre.

« Elles vont venir, vous croyez ?

Évidemment qu’elles allaient venir.

‒ Elles ont intérêt. Si elles veulent pas aggraver leur cas…

Il y en avait plein, ce qu’ils se demandaient, c’était si elles les avaient encore les marques.

‒ Parce que depuis ça a largement eu le temps de s’effacer.

Certains pensaient que oui. Les plus nombreux. Et d’autres que non. Qu’elles les avaient encore.

‒ Vu qu’apparemment elles s’en sont pris une qu’était pas piquée des vers, là.

Margaux qui avait eu Samantha au téléphone la veille au soir en a profité pour faire son intéressante.

‒ Ce qu’il y a de sûr en tout cas, c’est que c’est encore sacrément douloureux. Parce qu’à ce qu’elle m’a dit, la culotte, elles la supportent pas. Aucune d’entre elles.

Ce qui a tout de suite mis le feu à l’imagination des garçons.

‒ Elles vont pas en avoir mis alors !

‒ Faut absolument qu’on voie ça !

‒ Et comment ! Elles se sont pas gênées pour leur soulever les jupes, les Anglaises là-bas. La Lady Eloyce H. et compagnie. Alors pourquoi pas nous ? Il y a pas de raison.

Ils étaient tous d’accord. Il y avait pas de raison.

Et ils se sont mis à fantasmer tant et plus.

‒ On va leur mettre le matériel à l’air. À toutes ! Elles vont voir ce qu’elles vont voir.

Paul, c’était du cas de Kirsten qu’il voulait personnellement s’occuper.

‒ Elle a un de ces petits culs… On en mangerait.

Arnaud, lui, c’était à Yang qu’il comptait s’en prendre.

‒ Toute timide, toute rougissante comme elle est, elle va vraiment pas aimer. Ce qui me fera bander un max…

Quant à Adilson, il était bien décidé à jeter son dévolu sur Elena.

‒ Parce que j’en ai pas fini avec elle. Depuis le temps que je lui garde un chien de ma chienne, à celle-là…

Quand elles sont arrivées, juste avant que ça sonne, ils se sont précipités au portail. Ils les ont encerclées.

‒ Vous les avez encore tout rouges et tout zébrés, à ce qu’il paraît. C’est vrai ? Faites voir !

Et ils ont entrepris de leur relever leurs jupes.

Elles ont résisté.

‒ Non, mais ça va pas !

‒ Mais si ! Faites voir ! Allez, quoi ! Un bon mouvement !

Mais ils ne sont pas parvenus à leurs fins parce que la directrice a presque aussitôt surgi. En compagnie de François F. et de Léa.

‒ Dans mon bureau ! Tous les trois. Immédiatement !

Ils ont obéi, tête basse.

Bon, mais maintenant qu’ils étaient partis…

‒ Alors ? C’était comment ?

C’est Naja qui a répondu.

‒ Épouvantable. Surtout que nous, les Françaises, on est vraiment pas en odeur de sainteté là-bas. On nous laisse rien passer.

Pour elle, ça avait été les orties, le pire. Déjà, d’être fouettées avec. Mais alors quand on les leur avait enfournées dans la culotte…

‒ Une horreur ! Une véritable horreur !

Yang, elle, c’était la veille qu’elle avait le plus mal supporté.

‒ Quand les filles faisaient leur marché, choisissaient, la mine gourmande, celle qu’elles allaient fouetter. Comment c’était humiliant !

‒ Et toi, Elena ?

Elle a haussé les épaules.

‒ Oh, moi !

La fin de la récréation a sonné. On s’est dirigés vers le bâtiment principal.

‒ Quoi, toi ?

‒ On se verra. Je vous dirai… »

 

C’est pendant le cours d’économie qu’ils sont revenus, les garçons. Sous la conduite de Léa. Qui a dû batailler ferme pour réussir à leur faire passer la porte. Ils ne voulaient pas. Ils restaient cachés dans le couloir.

« Bon, alors, vous vous décidez, oui ? À moins que vous ne préfériez une petite rasade de coups de fouet supplémentaire…

Ils n’y tenaient pas, non ! Et ils ont finalement fait leur apparition, Adilson en tête.

Ça a été un éclat de rire général. Ils étaient en jupe. Tous les trois. Des petites jupes plissées bleu marine. Et en chemisier. Des chemisiers blancs à jabots de dentelle et à boutons nacrés. Les commentaires ont fusé de partout.

‒ Oh, qu’elles sont mignonnes !

‒ Vous sortez en boîte ?

‒ Mais quand même, les poils sur les jambes, c’est pas trop le top.

Il y a un garçon qui a envoyé des baisers dans leur direction et qui a crié.

‒ Oh, mais tu sais que tu me plais comme ça, Paulette ? T’es sacrément bandante. On se voit tout à l’heure ?

Et il a fallu que le professeur, Martial P., nous menace de nous faire distribuer des fessées à tout-va devant tout le monde pour que ça se calme enfin et qu’il puisse reprendre son cours.

Seulement après, pendant la récréation, dans la cour, ça a remis ça de plus belle. On les a entourées. À une vingtaine de filles. Une trentaine.

‒ Alors ? Elles se sont pris un joli petit pan-pan cul-cul, à ce qu’il paraît, les vilaines ! Vous faites voir ?

Ils voulaient pas.

‒ Ah, mais si ! Ah, mais si ! Allez ! Les fesses à l’air !

Et on s’est ruées sur eux. Pendant que les garçons regardaient en rigolant et que les surveillants laissaient faire sans rien dire.

Nous, Iourievna, Elena et moi, c’est d’Adilson dont on s’est occupées. Avec l’aide de Coralie et de Samantha qui nous ont presque aussitôt rejointes. Qui l’ont solidement maintenu pendant qu’on lui retroussait la jupe, qu’on la lui remontait bien haut sur les reins.

‒ Eh, mais c’est qu’elle a pas de culotte, cette petite cochonne !

‒ En tout cas, elle l’a bien rouge, son popotin !

‒ Et bien zébré ! On t’a pas loupé, dis donc ! Qui c’est qui t’a fait ça ? Léa ?

Il a voulu protester.

‒ Mais bien sûr que si que c’est elle !

On lui a pinçoté les fesses. On les lui a agacées, du bout de l’ongle là où c’était déjà bien tuméfié. Il s’est crispé. Il a gémi. Poussé de petits cris.

‒ Oh, la doudouille ! T’en verras d’autres, va !

Il a encore crié. Essayé de s’échapper. Mais on était cinq. Pas de risques qu’il y arrive. Et on a continué à s’amuser.

‒ Mais c’est quoi que t’as là, ma chérie ? Mais là ! Entre les cuisses. Ça devrait pas être là, ça !

Iourievna a confirmé.

‒ Oui ! T’as raison. Il y a comme une anomalie.

Une anomalie sur laquelle on s’est toutes penchées, les unes après les autres. En l’effleurant, en la soupesant ou en la prenant à pleines mains. Au choix.

N’empêche qu’on n’avait pas ça, nous !

‒ À ta place on s’inquiéterait.

‒ Oui. Tu devrais aller consulter un médecin, ma grande.

‒ D’autant que c’est rien du tout si ça tombe. Il te fera sauter ça d’un coup de bistouri. Et hop, on n’en parle plus !

‒ Ce qu’on en dit, nous, c’est pour ton bien, hein ! Parce que comment ça doit te gêner !

‒Surtout quand ça gonfle comme c’est en train de le faire, là. Vous avez vu, les filles ?

‒ Non, il y a pas à discuter. Faut vraiment qu’elle s’en débarrasse.

On ne s’est arrêtées que quand ça a sonné.

‒ Oh, mais on remettra ça, Adilson ! T’inquiète pas ! On remettra ça… »

 

Le soir, on est allées faire un tour, Iourievna et moi, chez Elena.

« On s’est bien défoulées, ce matin, n’empêche ! Sa tête à Adilson ! Non, mais sa tête !

Elle a soupiré.

‒ On a bien fait d’en profiter. Parce que maintenant ça va être une autre paire de manches. Vu l’entretien qu’on a eu tout à l’heure toutes les six avec la directrice !

‒ Ça s’est mal passé ?

‒ C’est rien de le dire. Elle était furieuse. Qu’on se soit fait remarquer là-bas comme c’était pas permis. Qu’on avait déshonoré Sainte-Croix. Mais qu’elle avait pas dit son dernier mot. Ah non, alors ! Et que, puisque c’était comme ça, elle allait projeter les films des punitions qu’on avait reçues là-bas devant toute l’école. Que tout le monde puisse juger de la façon dont on s’était comportées. Et que ça nous serve un peu plus de leçon encore…

‒ Ma pauvre !

‒ J’appréhende ! Vous pouvez pas savoir comme j’appréhende. Comment ça va être la honte !

Je lui ai pris la main.

‒ On sera avec toi. On te soutiendra. Ça fera pas tout, mais bon…

Elle s’est perdue dans ses pensées… Je lui ai doucement caressé le dos de la main. Le silence a duré. Un silence qu’elle a finalement rompu.

‒ En plus il y a eu des trucs…

‒ T’es pas obligée, mais si t’as envie d’en parler…

‒ C’est surtout que je me reconnais pas. Comme si d’un seul coup, c’était une étrangère qui s’était mise à habiter en moi.

Elle est allée jusqu’à la fenêtre, a longuement regardé dehors, est revenue.

‒ Je sais pas. Je sais plus. Non, parce qu’il y a une fille là-bas, Britanny elle s’appelle, une copine de Lady Eloyce H., qui est venue à l’infirmerie aider à nous passer une espèce de pommade après notre punition aux orties et qu’en a profité pour me tripoter tant et plus en me faisant tout un tas de réflexions humiliantes. Et qu’a clamé haut et fort, quand elle m’a enfin laissée partir, qu’elle en avait pas fini avec moi. « Sûrement pas ! » Et elle a tenu sa promesse parce que, le dernier jour, quand Lady Eloyce H. et ses copines ont été autorisées à nous punir, c’est moi qu’elle a choisie. Avec un grand sourire. « Comme on se retrouve ! » Et ça a tout de suite été un combat sans merci toutes les deux. Elle, bien décidée, je l’ai tout de suite vu, à me rendre toute docile, à me faire plier et moi, à ne pas lui faire ce plaisir. À rester digne. À ne pas crier. À ne pas supplier. À ne pas me donner en spectacle. Sauf que ça, c’est le genre de bonne résolution que tu peux tenir au début, mais après, dans le feu de l’action, ça devient complètement impossible. Surtout si elle sait y faire, celle qui manie le fouet. Et elle, elle sait, alors là ! Pour savoir, elle sait. Ce sale quart d’heure que j’ai passé ! J’ai hurlé. Je l’ai suppliée. J’ai été lamentable. Elle a triomphé. Elle en a encore rajouté une couche. Pour m’avoir complètement à sa main. Et elle m’a emportée à l’infirmerie comme un trophée. Pantelante. Vaincue. Soumise. Elle m’a entraînée sous la douche « Allez, amène-toi par-là ! » Elle a entrepris de m’y laver. Et, d’un coup, elle a changé du tout au tout. Le jour et la nuit. Elle m’a aspergée, frottée, rincée, essuyée tout en douceur qu’elle l’a fait. Avec mille précautions. Presque tendrement. Avec des mots et des regards qui me remuaient. Qui m’ont fait fondre. C’était complètement fou, ça ! J’aurais dû la haïr. J’aurais dû la détester de tout mon cœur, eh bien non ! Non. C’était tout le contraire. Je me sentais reconnaissante à son égard. Vous vous rendez compte ? Reconnaissante, oui. Reconnaissante de ce qu’elle m’ait punie. Parce que j’avais multiplié les idioties, pendant toute la durée de ce séjour. Et encore ! Tout n’avait pas été découvert. Si on avait su ! Alors oui, je l’avais mérité, oui. Et tandis que ses mains s’occupaient inlassablement de moi, tandis qu’elles s’aventuraient tout partout, j’étais heureuse. Heureuse, oui. Heureuse que ce soit elle qui m’ait fouettée. Et qu’elle ait pris du plaisir à le faire. À me dompter. À me briser. Pleinement heureuse que ce soit moi qui le lui ai offert, ce plaisir. Qu’elle me le doive. Aussi quand elle s’est penchée, que ses lèvres se sont tendues vers les miennes, je me suis complètement abandonnée à elle. Et c’était bon. Non, mais comment c’était bon ! Vous me trouvez folle, hein ?

On s’est récriées.

‒ Mais non pas du tout ! Non ! Et même, pour être tout à fait sincère…

Elle ne m’a pas laissé terminer.

‒ Et elle a recommencé. Juste avant que je parte. Un long, un très long baiser. Qui voulait me dire plein de choses. Que j’étais à elle. Que je lui appartenais. Et ce qu’on a décidé, c’est qu’elle allait venir me voir. Dès qu’elle pourrait.

‒ Ici ?

‒ Ici, oui »



Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 33 acte 1
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 29

Et la suite ?

François nous la prépare pour la semaine prochaine

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

11 commentaires:

  1. Bonjour,
    Pas la moindre fessée à l'horizon ! C'est l'austérité !
    Je crois pourtant avoir bien lu. Ne sommes-nous pas sur un site qui s'appelle "une bonne fessée" ? J'aurais dû m'en douter en lisant les mots clés. Un article aussi long mais qui tombe à côté du sujet principal ! La prochaine fois, prévenez, je n'ouvrirai pas l'article.
    Un lecteur dubitatif.

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    1. Bonjour,
      J'espère avoir avoir le plaisir de lire très prochainement un texte de vous sur le site.
      Bien cordialement.

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  2. Pour ne pas trouver de récits sur la fessée sur ce site il faut vraiment y mettre du sien...il y en a pour tous les goûts !

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    1. Bonjour Caroline,
      Bizarre cette propension à venir se plaindre, sur un site entièrement gratuit, qu'on n'en a pas pour son argent...
      À bientôt.
      Amicalement.
      François

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  3. Bonjour François,
    Pour moi, votre texte est intéressant, car il décrit les suites de l'épisode précédent et introduit avec justesse l'épisode suivant. Ce texte est utile pour bien se mettre dans l'ambiance qui règne à Ste CROIX. Il ne faut pas bâcler cette phase où on passerait à côté du contexte.
    Certains commentaires m'insupportent et je pense que certains ne comprennent pas la notion d'écriture et de mise en place des scénario. Un texte n'est pas juste une suite de mots, mais un fil conducteur qui même à l'action. Il y a un début, le coeur du sujet et le dénouement. Le tout formant un sujet. Je suis catastrophée de m'apercevoir que nos textes ne sont pas reconnus à leur juste valeur. Si certains voulait avoir du courage et écrire, ils comprendraient. Il n'en sont peut-être juste pas capables.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Je suis tout à fait d'accord Elena. C'est tellement plus simple de critiquer....

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    2. Bonjour et merci Caroline.
      Amitiés.
      Elena.

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    3. Bonjour Elena,
      Ceux qui ont l'habitude de nous lire auront bien évidemment compris qu'on ne peut pas détacher arbitrairement un 33ème chapitre de ceux qui le précèdent. Ils auront perçu que, même s'il n'y a pas de description explicite de fessée dans ce chapitre, il en est totalement imprégné. Ils savent bien qu'une fessée ne se ramène pas uniquement au moment où elle est effectivement administrée, mais qu'elle comporte un avant et un après. (de la même façon qu'une relation amoureuse ne se limite pas au seul coït). Ils ont également parfaitement assimilé l'idée que ce 33ème chapitre du journal d'Olga doit, pour être pleinement apprécié se lire avec le 33ème chapitre de vos "Rebelles" dont il est le prolongement. Si j'écris, c'est d'abord pour mon propre plaisir, mais c'est aussi pour ces lecteurs-là qui ne manquent pas de nous faire savoir, à l'occasion, d'une façon ou d'une autre, qu'ils y ont, eux aussi, pris du plaisir. Le reste n'a pas vraiment d'importance.
      Amicalement.
      François

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  4. Amis de la poésie et de la page sans fessée ... Bonjour.

    Mon dieu (s'il existe) quelle affaire !! L'a pas raté son coup l'ami "Anonyme" ! Voilà au moins un commentaire utile qui fait des vagues et pas que de protestations. C'est mieux que pas de commentaire du tout. N'est -il pas ? On en a tant besoin...

    Au moins il dit ce qu'il pense le garçon... Et comme ça, il est pas content... mais alors pas content... du tout, du tout ! Au bord de la nervouse-braiquedone, il a parcouru ce 33è épisode du "journal d'Olga", de long en large et en travers, comme les lanière d'un martinet sur un derrière...(Tiens ça fait des rimes) Et l'a rin vu! Mince alors !! Pas la moitié de l'ombre, d'un début de prémisse de la moindre petite claque aux fesses... du plus minusculet coup de martinet sur un postérieur, ni le dos, ni les cuisses, ni le ventre, ni la tête, alouette, je te fustigerai! Misèreux, misèreux ! C'était pourtant marqué, là... Blog "Une bonne fessée"! On nous aurait menti à l'insu d'une fessée de notre plein gré ! Que non point, l'ami, c'est une page d'écriture... différente, tout simplement, ça arrive aux meilleurs, comme un moment d'exigence.

    Alors, cher lecteur, ne faites pas l'enfant boudeur, privé de son dessert habituel, par ce qu'il a eu un joli petit gâteau à la place du délicieux chou à la crème qu'on lui sert chaque semaine. Il suffit de lire les épisodes précédents pour comprendre que les fessiers de ces jeunes gens, étrillés, re-en long, re-en large et re-en travers, ont bien mérité une petite journée de RTT...
    Et qu'est ce que ça veut dire? Comme ça, on est grognon ? Alors que depuis le début de ce blog, on doit bien en être à un million cinq cent milles deux cent soixante dix neuf fessées... dont neuf cent mille trois cent cinquante, déculottées!!! Et on ne compte pas les mises au coin le slip aux cuisses, les fesses à l'air, mains sur la tête, qu'il pleuve ou qu'il vente... quand même!
    Mais quelle est cette impatience, pourquoi tout, toujours tout de suite? L'attente n'est elle pas aussi excitante que la satisfaction du désir ? ( Que c'est bien dit ça, faut que je le note!)

    Alors, "Aminanonyme", choisissez vos témoins, je parie une fessée déculottée à l'aube, où vous voulez, que vous allez vous jeter, sans sommation, sur le prochain épisode du "journal d'Olga" ou des "Rebelles".
    Continuez d'envoyer vos commentaires, c'est la preuve que vous êtes toujours fidèle lecteur. Que demande le petit peuple...du blog ?
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,
      Vos commentaires sont, chaque fois, de véritables œuvres d'art qui font mouche à tous les coups. Et vous avez en outre un véritable talent de modérateur pour arrondir les angles et présenter les choses sous un jour qui puisse harmoniser les contraires.
      À moins qu'il n'ait suivi votre conseil et qu'il ne soit allé jeter un œil sur les chapitres précédents et sur "Les rebelles" d'Elena, je crains que notre commentateur anonyme ne soit encore déçu par ce chapitre 34 qui s'attache beaucoup plus à évoquer des contextes de fessées, à mettre l'accent sur les mécanismes qui font qu'on peut être amené à l'accepter, voire à la souhaiter qu'à décrire minutieusement une fessée proprement dite. Le chapitre 35 par contre devrait lui convenir davantage: on y fesse à tout-va.
      Amicalement.
      François

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  5. Re- bonjour François... (Tiens vous avez perdu le "Fabien" !)

    Grand merci de ce joli compliment qui me va droit au... but. Je vous en renvoie un peu, ( de compliment, pas de but !) pour saluer à mon tour la qualité de votre écriture fort bien structurée. Ben oui!
    Mention spéciale à l'élégante expression que j'aurais bien voulu trouver. "Arrondir les angles.." pour"... harmoniser les contraires" Beaucoup plus constructif que de "contrarier les harmonies".

    Sincèrement, que ça nous plaise ou non, parce que nous livrons nos histoires à la volée, sans savoir devant quels regards elles tombent, et par qui elles sont lues, je trouve normal que certains expriment leur frustration de ne pas y trouver ce qu'ils cherchent. Le traitement d'un tel sujet, porteur d'autant de fantasmes et de possibilités d'interprétations, peut à la lecture, alimenter quelques déceptions. Même sur un blog de bonne tenue, comme celui ci, qui offre une telle palette de variations sur le thème.

    On lira avec autant d'intérêt un chapitre 34 à tendance contextuelle en attendant les rafales de fessées du 35è... Comme dit notre ami Peter : ça va chauffeeeeeeer!
    Amicalement,
    Ramina

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