lundi 2 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 2

 « SLASHHH ! »

« Gnnnn ! »

« CLASHHH ! »

« GNNnn ! mmmmh ! »

Les deux premiers coups de martinets viennent de cingler les fesses d’Andréa A., la faisant grimacer et gémir. Les deux suivants sont pour les miennes.

Lorsque je les reçois, je serre mes liens et les dents puis soudain, la douleur est foudroyante. Les lanières laissent des trainées brulantes, enflammant mon épiderme, ce qui le fait rougir instantanément. Je pousse un gémissement.

Alternativement, deux cinglées pour Andréa A. et deux pour moi, de part et d’autre de notre corps, les deux religieuses nous cinglent le bas du corps. Les parties visées sont les fesses et l’arrière des cuisses. Dans la mesure où les lanières mesurent plus d’un mètre de longueur, elles nous enveloppent largement le corps et le bout des lanières vient nous cingler avec plus de puissance. Les zones touchées par le bout des lanières sont plus rouges qu’ailleurs et boursoufflées.

Chaque cinglée me fait tressaillir et gémir, les brulures se diffusent en moi. Les deux religieuses ont à cœur de nous faire nous repentir et leurs fouettées sont sans compassion pour nous deux. Habituées à punir les jeunes gens, elles savent où nous fouetter pour nous provoquer des douleurs intenses.

Pour le moment, aucun cri ni hurlement n’est sorti de ma gorge. Je me contracte et je serre les dents le plus possible pour prouver mon courage. Les religieuses souhaitent nous soumettre et visent les parties les plus sensibles de notre corps. Lorsqu’une cinglée m’enflamme l’intérieur des cuisses, je lâche mon premier hurlement, la bouche grande ouverte, je me secoue de douleur, mes larmes coulent de plus belle. J’ai l’impression qu’elles ont posée sur mes cuisses une barre chauffée au rouge. Voyant ma réaction, elles procèdent de même avec Andreea A. et sa réaction est similaire. Elles ont brisé notre résistance et notre courage vient de céder. Elles insistent sur les mêmes zones sensibles ce qui nous fait réagir de la même façon, au plus grand plaisir des spectateurs.

« Eh, les mecs ! Ecoutez les brailler, ces nanas ! »

« Ouais, ça va les faire marcher en crabe ! »

« T’as raison et puis elles vont moins faire les fières, maintenant. Celle de droite, c’est une Mastère. Ils se prennent pas pour rien, les Mastères ! »

« C’est clair ! et à gauche, c’est la roumaine, on pouvait rien lui dire, elle nous envoyait balader tout de suite »

« Sûr ! On pourra la taquiner maintenant, elle osera plus rien dire »

« Ah ouais, cool ! Ça lui rabattra son caquet à c’te meuf, c’est bien fait pour elle... »

Les cinglées s’enchainent et nous hurlons toujours autant en nous contorsionnant, ce qui nous fait prendre des pauses très impudiques.

« Nathan, regarde, quand elles écartent les cuisses, on voit bien leur minou ! »

« C’est clair et puis celle de droite, elle a la fente complètement ouverte »

« Et pis l’ot avec son cordon qui se balance ! Ah, la honte pour elle »

« Vise là, y’a des filles super excitées, déjà »

« T’as raison, j’avais pas vu, Léane et Eva, elles se caressent sévère »

« J’te raconte pas l’état de leur culotte après ! »

« Ben moi, c’est pas mieux, j’en peux plus de les voir s’trémousser les deux gonzesses »

Sœur Weronika S. me décoche un coup qui me cingle le haut de l’intérieur de la cuisse, à la jonction de mes grandes lèvres, ce qui me fait pousser des hurlements stridents ininterrompus. La brulure est atroce. Je me secoue violemment.

« Waouh, Eloise, regarde, elle lui a cinglé le minou, j’le crois pas ! »

« Ouais, t’as raison. Ah, la vache ! alors là, j’aimerais pas être à sa place, elle a morflé, la nana »

« T’as vu comment elle se secoue, ça lui fait même balloter les nichons »

« Ouais, ben déjà que ça ballottait avant... »

A la trentième cinglée, Laetitia F. interrompt notre punition et vient nous examiner. Elle m’examine le bas du corps puis l’entrecuisse :

« Pour votre arrière-train, ça va aller mais vous vous en êtes pris un bon sur le haut de la cuisse, c’est très rouge, mais vous inquiètes pas, ça n’a pas touché les grandes lèvres, vous marcherez les cuisses écartées quelques jours, c’est tout »

« J’ai trop mal, Mademoiselle » dis-je en tremblant, entre deux sanglots

« Je sais, Mademoiselle E., mais c’est pas fini. On ne va pas interrompre pour si peu, il y en a encore quatre-vingts à venir. Ce n’est pas la première fois que vous êtes fouettée, vous savez comment ça se passe ! »

« Oui, je sais. S’il vous plait, je tiendrai jamais, ça brule trop »

« Tenez, buvez un peu, respirez bien à fond et reposez-vous le temps que j’examine Andreea » me conseille Laetitia F.

S’adressant à la proviseure, l’infirmière dit :

« Andreea s’est pris deux bonnes cinglées sur les grandes lèvres, mais elle est solide et ça ira, Madame la proviseure, nous pouvons passer à la seconde partie »

Après les examens de l’infirmière, Fabienne D. annonce :

« Mère Jolanta, Sœur Weronika, à présent, vous allez leur donner trente coups de fouet sur le dos »

Les cinglées sonores reprennent et nous hurlons à nouveau comme deux hystériques, gesticulant dans tous les sens, car les brulures sont intenses.

Mon dos me fait affreusement mal et je sens ma transpiration couler, dû à la douleur et à l’effort, ce qui fait luire mon corps et mettre en valeur mes formes féminines, excitant du même coup les jeunes mâles qui me regardent. Lorsque le bas de mon dos ou mes flancs sont cinglés, je pousse des hurlements stridents, à gorge déployée.

« Eh, Olga, regarde Lena, elle est trempée, moi j’ai pas très chaud... »

« Avec ce qu’elle se prend et vu comment elle se secoue dans tous les sens, c’est pas étonnant »

« Ah, la pauvre, comment elle morfle ! tout ça à cause de cette garce de roumaine »

« T’as raison, Ioura ! moi aussi, je la plains notre Lenoushka, elle va mettre plusieurs jours à s’en remettre, c’est sûr »

« Heureusement que ce soir, c’est les vacances de la Toussaint, elle pourra se reposer durant deux semaines »

« Ouais, on ira la voir tous les jours, pour lui remonter le moral ! »

« Ouais, bonne idée, j’y pensais aussi »

Mon dos, zébré de traces rouges, se transforme en braise ardente. Chaque nouvelle fouettée m’arrache un hurlement sauvage.

La chaleur des cinglées m’envahit complètement et le fait que je sois vue nue, humiliée et en situation délicate me fait l’effet d’une excitation sexuelle. Ma cyprine coule sans que n’y puisse rien faire. Des gouttes perlent puis des filets de cyprine dégoulinent de mon vagin ouvert.

« Eh, Enzo, mate la fille de droite, ça coule ! »

« T’as raison, comment qu’elle doit être excitée, cette poule... »

« Tu vas voir lorsqu’elle va se prendre des coups de fouet sur les mamelles, ça l’existera encore plus ! »

Nouvelle pause où l’infirmière vient nous prendre le pouls, la tension et nous examine. Nous tremblons de façon incontrôlée en sanglotant.

« Leur tension est bonne, le pouls est un peu haut mais c’est correct. Leur épiderme est bien rouge mais tout va bien pour ces demoiselles. Elles sont aptes pour la troisième partie »

« Merci Laetitia. Mère Jolanta, Sœur Weronika, veuillez détacher puis retourner ces demoiselles. Elles vont recevoir cinquante coups de fouet sur le ventre et les seins »

« NON ! S’IL VOUS PLAIT, PAS SUR LES SEINS, CA FAIT TROP MAL ! PAS CA, NON, NON »

« TAISEZ-VOUS Mademoiselle E. ! où je vous en fais donner davantage ! »

« Non ! Je me tais...je me tais... Pardon ! »

« Je vais vous apprendre à être de bonnes filles »

« Oui, je vais être une bonne fille, je vous promets »

« J’y compte bien, Mademoiselle E. »

Nous sommes empoignées par les deux religieuses qui nous retournent face au public. Nous les voyons hilares. Certains garçons ont de belles auréoles sur le devant de leur pantalon et on se doute de la raison et j’enrage que mon intense souffrance serve pour le plaisir à ces jeunes mâles.

« Ma Mère, ma Sœur, allez-y, terminez la punition ! Je n’en peux plus d’écouter leurs jérémiades »

Les deux correctrices commencent pas nous cingler le ventre et le devant des cuisses. Une douleur atroce m’embrase le pubis, je me secoue comme une damnée, je hurle à perdre haleine. Peu précises dans leurs fouettées, nos zones sensibles n’échappent pas aux lanières pour le plus grand bonheur des spectateurs qui apprécient grandement le spectacle. Même les professeurs ont l’air d’y prendre gout. Certains plaisantent entre eux. Les élèves sont déchainés et encouragent les religieuses à nous faire danser. Nous tirons sur nos liens, mais ils sont trop solides pour que nous puissions nous détacher seules. Notre corps est offert aux lanières et nous ne pouvons qu’accepter.

« Plus fort ! plus fort ! plus fort ! »

« Allez-y, elles sentent rien ! »

« Fouettez-les sur les nichons ! »

« Ouais ! Les nichons, les nichons ! »

A la volée, les religieuses terminent par la flagellation de nos seins, nous faisant hurler de façon hystérique, la bouche grande ouverte. Nos larmes coulent de plus belle.

Ne pouvant plus me retenir, j’urine de peur et de douleur.

« Vide un peu la meuf de droite, Mathieu, j’avais raison, elle se pisse dessus, j’en était sûr »

« Je crois que la roumaine l’a fait avant, on a vu un long jet »

Les cinglées bouillantes sur nos seins nous fait nous secouer tout en hurlant avec rage, tant la douleur nous étreint.

« Ouah ! Ça leur fait ballotter les mamelles ! »

« Eh Léo ! j’suis sûr qu’elles font leur douillette pour en recevoir moins »

« J’crois pas, elles ont vraiment l’air de morfler, les deux gonzesses ! »

« Alors Adilson, satisfait, mon pote ? »

« C’est l’pied, mec ! De toute façon, elle est bonne qu’à ça la ruskof, à se mettre à poil devant tout le monde et à se faire fouetter... »

« Ouais, t’as raison, avec son caractère, elle va s’en prendre d’autres, c’est sûr ! »

« Mais j’espère bien ! si j’étais proviseur, j’la foutrai à poil et j’la fouetterai tous les jours, pour lui apprendre ! »

Enfin la punition se termine, Mère Jolanta annonce :

 « Voilà, Madame la proviseure, les punies ont reçu chacune leurs cent-dix coups de martinet »

 « Très bien, merci pour ces corrections exemplaires, ces jeunes femmes ont l’air de regretter leurs actes et s’en rappelleront longtemps. Et vous Mesdemoiselles, je ne vous félicite pas, vous avez donné une piètre image de votre courage ! ... Détachez-les et emmenez-les vite à l’intérieur, elles sont trempées de sueur, il ne faut pas qu’elles aient froid »

Mère Jolanta complète en nous regardant :

« Votre repentir est accompli, Mesdemoiselles. Vous pouvez aller en paix à présent, vous êtes pardonnées »

Mes amies, Olga et Iourievna, se précipitent vers moi et aident les religieuses à nous détacher.

« T’inquiète, ma Lenoushka, c’est terminé, on va rentrer » tente de me rassurer Olga. Je réalise à peine que c’est fini.

« T’as été courageuse, Lena » ment Iourievna

« Aaaaah, mmmmmmh, j’ai trop mal, ça brule partout, j’en peux plus ! Aaaaaah »

Me prenant chacune par un bras, Olga et Iourievna tentent de se frayer un chemin parmi les élèves qui se pressent autour de nous, en rigolant, en se moquant encore et en m’insultant. Leurs quolibets sur mon physique me blessent, c’est comme si la punition durait encore. Certains garçons n’hésitent pas à me toucher ou me claquer les fesses, les seins... Je crie de nouveau. Je tremble de tous mes membres.

L’intérieur de nos cuisses est bouillant, nous sommes cuisses écartées pour éviter tout frottement douloureux et de ce fait, notre démarche est des plus ridicules.

« La touchez pas ! ! et poussez-vous, bandes d’abrutis, vous voyez pas dans quel état elle est ? Il faut qu’on rentre, elle va attraper froid »

Lorsque nous sommes rentrées, nous nous dirigeons vers l’infirmerie pour que nous puissions prendre une douche et avoir un examen post correction, avant la reprise des cours.

Déambulant dans les couloirs, nous sommes suivies par des élèves toujours désireux de se rincer l’œil et d’en profiter au maximum. Mère Jolanta et l’infirmière les font déguerpir, leur disant qu’ils en ont assez vu.

Laetitia F. nous examine minutieusement et nous dit que la douleur est intense, mais que d’ici quelques jours, tout sera rentré dans l’ordre :

« Mettez-les à la douche ensemble. Elles ont besoin d’une bonne toilette ! Pour le moment, elles ne ressemblent à rien... »

Les jets d’eau sur notre corps devenu hyper sensible nous fait gémir et notre savonnage est des plus douloureux. La douleur est comparable à de bons coups de soleil ! Tout contact nous fait souffrir. A la sortie de la toilette, l’infirmière nous dit :

« Mesdemoiselles, mettez-vous côte à côte, je vais vous tartiner le corps de crème et écartez largement les cuisses. Vous êtes bien marquées, mais c’est pas trop méchant »

Elle étale la crème sur notre corps et elle enduit bien les parties les plus rouges, plus une bonne dose sur les grandes lèvres qui ont été touchées à plusieurs reprises. Elle va même jusqu’à nous titiller le clitoris et le vagin. Ces attouchements intimes m’humilient, mais je n’ose rien dire, de peur d’être encore punie. Ces touchés intimes ont pour but de réaffirmer son ascendant sur nous.

« C’est bon, Mesdemoiselles, prenez votre certificat et présentez-le à Madame la proviseure, elle le saisira sur PRONOTE pour vous Elena, afin d’en informer vos parents. Je peux vous dire que vous avez été en dessous de tout. On dit que les russes sont solides et fières, mais vous avez été une vraie lavette ! et vous Andreea, ça n’a guère été mieux ! »

« Ça faisait trop mal, Mademoiselle... »

Laetitia F. ajoute :

« Mère Jolanta, veuillez prendre Andreea avec vous et remettez-la au travail. Elle sera exemptée de travaux en extérieur durant quelques jours, le temps qu’elle puisse se rhabiller. Et vous Andreea, tenez-vous enfin tranquille, nous vous avons à l’œil. Quant à vous, Elena, retournez en cours, vous en avez tout juste le temps »

En sortant de l’infirmerie, docilement, je suis mes amies en titubant, et nous allons en cours d’économie et droit avec notre professeur Martial P., un des professeurs qui étaient ravi de me voir être punie. En regardant mon corps zébré, j’ai l’impression qu’il ne reste plus un centimètre carré qui n’a pas été cinglé, même mes bras portent des marques...

« Vous voilà enfin, Mademoiselle E. Ne faites pas la timide, entrez donc ! Vous allez vous mettre au premier rang, vous avez droit au pupitre, afin que vos camarades et moi-même puissions admirer vos belles marques ! »

Ayant perdu toute fierté, rouge de honte et toute penaude devant mes trente camarades de classe, je m’installe au pupitre. Des commentaires peu flatteurs fusent encore derrière moi. Je tente de me ressaisir, mais des larmes de honte coulent. Mon corps me fait mal de partout et à chaque mouvement, la douleur se réveille et me rappelle à l’ordre.

Durant le cours, Martial P. m’appelle :

« Mademoiselle E., veuillez venir sur l’estrade et faire face à vos camarades pour nous exposer votre point de vue sur le sujet suivant : Quels sont les enjeux pour une entreprise de recourir à la certification à travers la norme ISO ? »

Lorsque je suis sur l’estrade, devant tous les élèves gloussants ou riants de me voir en si mauvaise posture, le visage inondé de larmes, écarlate de honte, je suis tétanisée et je perds tous mes moyens. Je me sens trembler, mon cœur s’emballe et je sens mon entrecuisse se mouiller et mes tétons se dresser et durcir à nouveau, me perturbant davantage !

Le professeur d’économie, conscient de son emprise, continue de me rabaisser devant mes camarades de classe :

« Alors ? ... J’attends vos arguments, Mademoiselle E. ! Vous faites moins la maligne, à présent ... Vous qui êtes assez loquace d’habitude ! ... »

Au bout de 5 minutes où je tente de construire un résonnement valable, mais où je me rends compte que mes idées sont mélangées, je suis incapable d’avoir un plan de pensées logiques pour avancer mes hypothèses de travail et proposer des réponses qui se tiennent.

« Bon, vous nous faites perdre notre temps, jeune femme, agenouillez-vous sur l’estrade, les mains sur la tête »

Telle une petite fille punie et soumise, je me mets à genoux et je passe le reste du cours dans cette position, la tête basse, n’osant plus regarder personne, mais entendant tout de même quelques messes basses que les étudiants s’échangent entre eux.

 

A suivre...



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 42 scène 1

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

Vous souhaitez réagir ?

Laissez un commentaire en bas de l'article, Elena vous répondra. Quelque chose de plus privé ? Adressez-moi-le, je transmettrai..

10 commentaires:

  1. Une scène très forte. Merci pour ce récit au ton explicitement délicieux.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Good evening dear unknown,
      Merci pour ce délicieux compliment. Je rougis, je pense....
      J'aime mettre de l'érotisme dans mes textes. Je trouve que ça agrémente le tout... Une saveur toute particulière.
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer
  2. Amis de la poésie, et des traînées brûlantes sur l'épiderme... Bonjour

    Elena se rebiffe! Faut pas la chercher! Parce que, me trompé-je (?) j'ai comme un petit doute, louloutte. Cet épisode particulièrement gratiné, autant que le corps des suppliciées après leur traitement de choc aux lanières, ne serait il pas une réponse, un tantinet provoc, au commentaire de l'ami de Bernard la semaine dernière. ( d'ailleurs qu'il avait bien le droit de dire ce qu'il pensait le bougre!)...

    Le sang de l'auteure a fait carrément demi tour. Piquée au vif. Ah on trouve que mes récits ne sont pas assez réalistes, que trop c'est trop, que c'est pas possible de s'en prendre autant, qu'on en "mourirait" sous les coups de martinets! Et ben tiens... n'en voilà du encore plus saignant! Les héroïnes de fiction ne meurent jamais, d'abord, même transformées en rosbif cuit à point sous les cinglées des soeurs de la charité chrétienne...Sans blague! Soeur Adèle passez moi le sel, les zébrures faut que ça dure !

    Bon, en tout cas, à côté de cet épisode, de sang de sueur et de cyprine, les petits délires du divin marquis (de Sade, pour les intimes), c'est de la douce rigolade !
    L'est comme ça, l'amie Elena, elle aime pas qu'on la contrarie! D'ailleurs elle va vite le refaire savoir ...N'est-il pas ?
    (rires jaunes!)
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Ramina.
      Un de mes fidèles lecteurs, avec son coup de plume ( pas sur les fesses ) sans pareil. Les mots virevoltent et fond un ensemble charmant et poétique.
      Pour tout avouer, ce texte était déjà écrit et diffusé à notre ami Josip, lorsque Bernard a publié son commentaire. Mais je vois que vous avez remarqué la petite joute verbale, bien gentillette.
      Mes textes sont de mon invention et j'en assume complètement la teneur. Ce que je disais, je le pensais. On n'est pas obligé de lire si on aime pas. Comme on dirait à des enfants : "On ne dit pas c'est pas bon, on dit, je n'aime pas". Ce qui est tout différent, dans le principe. Pour les conseils sur les aventures de mes héros, je m'en passe bien.
      La comparaison avec le marquis de Sade parait vraisemblable, tant d'un côté on aime n'en faire qu'à sa tête que de l'autre, on prend un malin plaisir à punir, pour le plus grand bonheur des spectateurs et des lecteurs.
      Je précise que je m'attache à bien expliquer dans mes textes que mes héros, bien que secoués et marqués, ne sont jamais blessés, ni même égratignés, d'ailleurs. Mes fidèles lectrices/lecteurs pourront en témoigner.
      J'ai le sang qui s'agite un peu lorsqu'on touche à mes textes, c'est vrai, ce sont un peu mes enfants.
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer
  3. Bonsoir Elena, bonsoir Ramina et Mr Unknown,

    J'ajouterais simplement : "Qui s'y frotte, s'y pique".
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Peter,
      C'est un de mes côtés sombres. Je suis à moitié russe...

      Supprimer
    2. Bonsoir Elena,

      C'est une constante de l'âme russe qui oscille entre mélancolie et excès, j'imagine ?
      Amicalement. Peter.

      Supprimer
    3. Bonjour Peter.
      On pourrait dire ça, même s'il ne faut pas en faire une généralité... Mais surtout, nous sommes des femmes assez fières et il ne faut pas trop nous "titiller".
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer
  4. Bpnjour Elena. Et bonjour à tous.
    Elena tient la vedette. Pour une punition extrêmement "soignée" dont elle risque de se souvenir longtemps. L'alternance, dans le récit, entre les coups de fouet proprement dits et les réactions "parlées" des spectateurs et de ses amies ne fait que donner davantage de relief encore à cette correction. Notre héroïne passe ensuite par la case obligée de l'infirmerie et du pouvoir qui y est affirmé sur elle. On l'y veut entièrement docile. on y parvient. Et tout se termine, en humiliant point d'orgue, par une mise à genoux sur l'estrade, mains sur la tête. La boucle est bouclée. Et ce texte est vraiment très très abouti.
    Amicalement.
    François

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour François,
      Merci pour le compliment. Ca me touche beaucoup. Je suis sensible à ces attentions...
      Par ailleurs, j'ai appris à établir des textes dans le style parlé en vous lisant, cher François. Vous êtes un de mes modèles sur ce point, qui relève mon style d'avant structuré qu'avec du descriptif ! J'alterne les styles et ça me plait bien.
      Encore merci.
      Amitiés.
      Elena

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.