« SLASHHH ! »
« Gnnnn !
»
« CLASHHH ! »
« GNNnn ! mmmmh !
»
Les deux premiers coups de martinets viennent de cingler les fesses d’Andréa A., la faisant grimacer et gémir. Les deux suivants sont pour les miennes.
Lorsque
je les reçois, je serre mes liens et les dents puis soudain, la douleur est
foudroyante. Les lanières laissent des trainées brulantes, enflammant mon
épiderme, ce qui le fait rougir instantanément. Je pousse un gémissement.
Alternativement,
deux cinglées pour Andréa A. et deux pour moi, de part et d’autre de notre
corps, les deux religieuses nous cinglent le bas du corps. Les parties visées
sont les fesses et l’arrière des cuisses. Dans la mesure où les lanières
mesurent plus d’un mètre de longueur, elles nous enveloppent largement le corps
et le bout des lanières vient nous cingler avec plus de puissance. Les zones
touchées par le bout des lanières sont plus rouges qu’ailleurs et
boursoufflées.
Chaque
cinglée me fait tressaillir et gémir, les brulures se diffusent en moi. Les
deux religieuses ont à cœur de nous faire nous repentir et leurs fouettées sont
sans compassion pour nous deux. Habituées à punir les jeunes gens, elles savent
où nous fouetter pour nous provoquer des douleurs intenses.
Pour
le moment, aucun cri ni hurlement n’est sorti de ma gorge. Je me contracte et
je serre les dents le plus possible pour prouver mon courage. Les religieuses
souhaitent nous soumettre et visent les parties les plus sensibles de notre
corps. Lorsqu’une cinglée m’enflamme l’intérieur des cuisses, je lâche mon
premier hurlement, la bouche grande ouverte, je me secoue de douleur, mes
larmes coulent de plus belle. J’ai l’impression qu’elles ont posée sur mes
cuisses une barre chauffée au rouge. Voyant ma réaction, elles procèdent de
même avec Andreea A. et sa réaction est similaire. Elles ont brisé notre
résistance et notre courage vient de céder. Elles insistent sur les mêmes zones
sensibles ce qui nous fait réagir de la même façon, au plus grand plaisir des
spectateurs.
« Eh, les mecs ! Ecoutez les
brailler, ces nanas ! »
« Ouais, ça va les faire marcher en crabe ! »
« T’as raison et puis elles vont
moins faire les fières, maintenant. Celle de droite, c’est une Mastère. Ils se
prennent pas pour rien, les Mastères ! »
« C’est clair ! et à
gauche, c’est la roumaine, on pouvait rien lui dire, elle nous envoyait balader
tout de suite »
« Sûr ! On pourra la taquiner
maintenant, elle osera plus rien dire »
« Ah ouais, cool ! Ça lui
rabattra son caquet à c’te meuf, c’est bien fait pour elle... »
Les
cinglées s’enchainent et nous hurlons toujours autant en nous contorsionnant,
ce qui nous fait prendre des pauses très impudiques.
« Nathan, regarde, quand elles
écartent les cuisses, on voit bien leur minou ! »
« C’est clair et puis celle de
droite, elle a la fente complètement ouverte »
« Et pis l’ot avec son cordon qui se
balance ! Ah, la honte pour elle »
« Vise là, y’a des filles super
excitées, déjà »
« T’as raison, j’avais pas vu, Léane
et Eva, elles se caressent sévère »
« J’te raconte pas l’état de leur
culotte après ! »
« Ben moi, c’est pas mieux, j’en peux
plus de les voir s’trémousser les deux gonzesses »
Sœur
Weronika S. me décoche un coup qui me cingle le haut de l’intérieur de la
cuisse, à la jonction de mes grandes lèvres, ce qui me fait pousser des
hurlements stridents ininterrompus. La brulure est atroce. Je me secoue
violemment.
« Waouh, Eloise, regarde, elle lui a cinglé
le minou, j’le crois pas ! »
« Ouais, t’as raison. Ah, la
vache ! alors là, j’aimerais pas être à sa place, elle a morflé, la nana »
« T’as vu comment elle se secoue, ça
lui fait même balloter les nichons »
« Ouais, ben déjà que ça ballottait
avant... »
A la
trentième cinglée, Laetitia F. interrompt notre punition et vient nous
examiner. Elle m’examine le bas du corps puis l’entrecuisse :
« Pour votre arrière-train, ça va
aller mais vous vous en êtes pris un bon sur le haut de la cuisse, c’est très
rouge, mais vous inquiètes pas, ça n’a pas touché les grandes lèvres, vous
marcherez les cuisses écartées quelques jours, c’est tout »
« J’ai trop mal, Mademoiselle » dis-je en tremblant, entre deux sanglots
« Je sais, Mademoiselle E., mais c’est
pas fini. On ne va pas interrompre pour si peu, il y en a encore quatre-vingts
à venir. Ce n’est pas la première fois que vous êtes fouettée, vous savez
comment ça se passe ! »
« Oui, je sais. S’il vous plait, je
tiendrai jamais, ça brule trop »
« Tenez, buvez un peu, respirez bien
à fond et reposez-vous le temps que j’examine Andreea » me conseille Laetitia F.
S’adressant
à la proviseure, l’infirmière dit :
« Andreea s’est pris deux bonnes
cinglées sur les grandes lèvres, mais elle est solide et ça ira, Madame la
proviseure, nous pouvons passer à la seconde partie »
Après
les examens de l’infirmière, Fabienne D. annonce :
« Mère Jolanta, Sœur Weronika, à
présent, vous allez leur donner trente coups de fouet sur le dos »
Les
cinglées sonores reprennent et nous hurlons à nouveau comme deux hystériques,
gesticulant dans tous les sens, car les brulures sont intenses.
Mon
dos me fait affreusement mal et je sens ma transpiration couler, dû à la
douleur et à l’effort, ce qui fait luire mon corps et mettre en valeur mes
formes féminines, excitant du même coup les jeunes mâles qui me regardent.
Lorsque le bas de mon dos ou mes flancs sont cinglés, je pousse des hurlements
stridents, à gorge déployée.
« Eh, Olga, regarde Lena, elle est
trempée, moi j’ai pas très chaud... »
« Avec ce qu’elle se prend et vu
comment elle se secoue dans tous les sens, c’est pas étonnant »
« Ah, la pauvre, comment elle morfle !
tout ça à cause de cette garce de roumaine »
« T’as raison, Ioura ! moi
aussi, je la plains notre Lenoushka, elle va mettre plusieurs jours à s’en
remettre, c’est sûr »
« Heureusement que ce soir, c’est les
vacances de la Toussaint, elle pourra se reposer durant deux semaines »
« Ouais, on ira la voir tous les
jours, pour lui remonter le moral ! »
« Ouais, bonne idée, j’y pensais
aussi »
Mon
dos, zébré de traces rouges, se transforme en braise ardente. Chaque nouvelle fouettée
m’arrache un hurlement sauvage.
La
chaleur des cinglées m’envahit complètement et le fait que je sois vue nue, humiliée
et en situation délicate me fait l’effet d’une excitation sexuelle. Ma cyprine
coule sans que n’y puisse rien faire. Des gouttes perlent puis des filets de
cyprine dégoulinent de mon vagin ouvert.
« Eh, Enzo, mate la fille de droite,
ça coule ! »
« T’as raison, comment qu’elle doit
être excitée, cette poule... »
« Tu vas voir lorsqu’elle va se
prendre des coups de fouet sur les mamelles, ça l’existera encore
plus ! »
Nouvelle
pause où l’infirmière vient nous prendre le pouls, la tension et nous examine.
Nous tremblons de façon incontrôlée en sanglotant.
« Leur tension est bonne, le pouls
est un peu haut mais c’est correct. Leur épiderme est bien rouge mais tout va
bien pour ces demoiselles. Elles sont aptes pour la troisième partie »
« Merci Laetitia. Mère Jolanta, Sœur
Weronika, veuillez détacher puis retourner ces demoiselles. Elles vont recevoir
cinquante coups de fouet sur le ventre et les seins »
« NON ! S’IL VOUS PLAIT, PAS SUR
LES SEINS, CA FAIT TROP MAL ! PAS CA, NON, NON »
« TAISEZ-VOUS Mademoiselle E. ! où
je vous en fais donner davantage ! »
« Non ! Je me tais...je me tais... Pardon !
»
« Je vais vous apprendre à être de
bonnes filles »
« Oui, je vais être une bonne fille,
je vous promets »
« J’y compte bien, Mademoiselle
E. »
Nous
sommes empoignées par les deux religieuses qui nous retournent face au public.
Nous les voyons hilares. Certains garçons ont de belles auréoles sur le devant
de leur pantalon et on se doute de la raison et j’enrage que mon intense
souffrance serve pour le plaisir à ces jeunes mâles.
« Ma Mère, ma Sœur, allez-y, terminez
la punition ! Je n’en peux plus d’écouter leurs jérémiades »
Les
deux correctrices commencent pas nous cingler le ventre et le devant des
cuisses. Une douleur atroce m’embrase le pubis, je me secoue comme une damnée,
je hurle à perdre haleine. Peu précises dans leurs fouettées, nos zones
sensibles n’échappent pas aux lanières pour le plus grand bonheur des
spectateurs qui apprécient grandement le spectacle. Même les professeurs ont
l’air d’y prendre gout. Certains plaisantent entre eux. Les élèves sont
déchainés et encouragent les religieuses à nous faire danser. Nous tirons sur
nos liens, mais ils sont trop solides pour que nous puissions nous détacher
seules. Notre corps est offert aux lanières et nous ne pouvons qu’accepter.
« Plus fort ! plus fort !
plus fort ! »
« Allez-y, elles sentent rien !
»
« Fouettez-les sur les nichons ! »
« Ouais ! Les nichons, les
nichons ! »
A la
volée, les religieuses terminent par la flagellation de nos seins, nous faisant
hurler de façon hystérique, la bouche grande ouverte. Nos larmes coulent de
plus belle.
Ne
pouvant plus me retenir, j’urine de peur et de douleur.
« Vide un peu la meuf de droite,
Mathieu, j’avais raison, elle se pisse dessus, j’en était sûr »
« Je crois que la roumaine l’a fait
avant, on a vu un long jet »
Les
cinglées bouillantes sur nos seins nous fait nous secouer tout en hurlant avec
rage, tant la douleur nous étreint.
« Ouah ! Ça leur fait ballotter les
mamelles ! »
« Eh Léo ! j’suis sûr qu’elles
font leur douillette pour en recevoir moins »
« J’crois pas, elles ont vraiment l’air
de morfler, les deux gonzesses ! »
« Alors Adilson, satisfait, mon pote ? »
« C’est l’pied, mec ! De toute
façon, elle est bonne qu’à ça la ruskof, à se mettre à poil devant tout le
monde et à se faire fouetter... »
« Ouais, t’as raison, avec son caractère,
elle va s’en prendre d’autres, c’est sûr ! »
« Mais j’espère bien ! si j’étais
proviseur, j’la foutrai à poil et j’la fouetterai tous les jours, pour lui
apprendre ! »
Enfin
la punition se termine, Mère Jolanta annonce :
« Voilà,
Madame la proviseure, les punies ont reçu chacune leurs cent-dix coups de martinet »
« Très
bien, merci pour ces corrections exemplaires, ces jeunes femmes ont l’air de
regretter leurs actes et s’en rappelleront longtemps. Et vous Mesdemoiselles,
je ne vous félicite pas, vous avez donné une piètre image de votre courage !
... Détachez-les et emmenez-les vite à l’intérieur, elles sont trempées de
sueur, il ne faut pas qu’elles aient froid »
Mère
Jolanta complète en nous regardant :
« Votre repentir est accompli,
Mesdemoiselles. Vous pouvez aller en paix à présent, vous êtes pardonnées »
Mes
amies, Olga et Iourievna, se précipitent vers moi et aident les religieuses à
nous détacher.
« T’inquiète, ma Lenoushka, c’est
terminé, on va rentrer »
tente de me rassurer Olga. Je réalise à peine que c’est fini.
« T’as été courageuse, Lena » ment Iourievna
« Aaaaah, mmmmmmh, j’ai trop mal, ça
brule partout, j’en peux plus ! Aaaaaah »
Me
prenant chacune par un bras, Olga et Iourievna tentent de se frayer un chemin
parmi les élèves qui se pressent autour de nous, en rigolant, en se moquant
encore et en m’insultant. Leurs quolibets sur mon physique me blessent, c’est
comme si la punition durait encore. Certains garçons n’hésitent pas à me
toucher ou me claquer les fesses, les seins... Je crie de nouveau. Je tremble
de tous mes membres.
L’intérieur
de nos cuisses est bouillant, nous sommes cuisses écartées pour éviter tout
frottement douloureux et de ce fait, notre démarche est des plus ridicules.
« La touchez pas ! ! et
poussez-vous, bandes d’abrutis, vous voyez pas dans quel état elle
est ? Il faut qu’on rentre, elle va attraper froid »
Lorsque
nous sommes rentrées, nous nous dirigeons vers l’infirmerie pour que nous
puissions prendre une douche et avoir un examen post correction, avant la
reprise des cours.
Déambulant
dans les couloirs, nous sommes suivies par des élèves toujours désireux de se
rincer l’œil et d’en profiter au maximum. Mère Jolanta et l’infirmière les font
déguerpir, leur disant qu’ils en ont assez vu.
Laetitia
F. nous examine minutieusement et nous dit que la douleur est intense, mais que
d’ici quelques jours, tout sera rentré dans l’ordre :
« Mettez-les à la douche ensemble. Elles
ont besoin d’une bonne toilette ! Pour le moment, elles ne
ressemblent à rien... »
Les
jets d’eau sur notre corps devenu hyper sensible nous fait gémir et notre
savonnage est des plus douloureux. La douleur est comparable à de bons coups de
soleil ! Tout contact nous fait souffrir. A la sortie de la toilette,
l’infirmière nous dit :
« Mesdemoiselles, mettez-vous côte à
côte, je vais vous tartiner le corps de crème et écartez largement les cuisses.
Vous êtes bien marquées, mais c’est pas trop méchant »
Elle
étale la crème sur notre corps et elle enduit bien les parties les plus rouges,
plus une bonne dose sur les grandes lèvres qui ont été touchées à plusieurs
reprises. Elle va même jusqu’à nous titiller le clitoris et le vagin. Ces
attouchements intimes m’humilient, mais je n’ose rien dire, de peur d’être
encore punie. Ces touchés intimes ont pour but de réaffirmer son ascendant sur
nous.
« C’est bon, Mesdemoiselles, prenez votre
certificat et présentez-le à Madame la proviseure, elle le saisira sur PRONOTE
pour vous Elena, afin d’en informer vos parents. Je peux vous dire que vous avez
été en dessous de tout. On dit que les russes sont solides et fières, mais vous
avez été une vraie lavette ! et vous Andreea, ça n’a guère été
mieux ! »
« Ça faisait trop mal,
Mademoiselle... »
Laetitia
F. ajoute :
« Mère Jolanta, veuillez prendre
Andreea avec vous et remettez-la au travail. Elle sera exemptée de travaux en
extérieur durant quelques jours, le temps qu’elle puisse se rhabiller. Et vous
Andreea, tenez-vous enfin tranquille, nous vous avons à l’œil. Quant à vous, Elena,
retournez en cours, vous en avez tout juste le temps »
En
sortant de l’infirmerie, docilement, je suis mes amies en titubant, et nous
allons en cours d’économie et droit avec notre professeur Martial P., un des
professeurs qui étaient ravi de me voir être punie. En regardant mon corps
zébré, j’ai l’impression qu’il ne reste plus un centimètre carré qui n’a pas
été cinglé, même mes bras portent des marques...
« Vous voilà enfin, Mademoiselle E. Ne
faites pas la timide, entrez donc ! Vous allez vous mettre au premier
rang, vous avez droit au pupitre, afin que vos camarades et moi-même puissions
admirer vos belles marques ! »
Ayant
perdu toute fierté, rouge de honte et toute penaude devant mes trente camarades
de classe, je m’installe au pupitre. Des commentaires peu flatteurs fusent encore
derrière moi. Je tente de me ressaisir, mais des larmes de honte coulent. Mon
corps me fait mal de partout et à chaque mouvement, la douleur se réveille et
me rappelle à l’ordre.
Durant
le cours, Martial P. m’appelle :
« Mademoiselle E., veuillez venir sur
l’estrade et faire face à vos camarades pour nous exposer votre point de vue
sur le sujet suivant : Quels sont les enjeux pour une entreprise de
recourir à la certification à travers la norme ISO ? »
Lorsque
je suis sur l’estrade, devant tous les élèves gloussants ou riants de me voir
en si mauvaise posture, le visage inondé de larmes, écarlate de honte, je suis tétanisée
et je perds tous mes moyens. Je me sens trembler, mon cœur s’emballe et je sens
mon entrecuisse se mouiller et mes tétons se dresser et durcir à nouveau, me
perturbant davantage !
Le
professeur d’économie, conscient de son emprise, continue de me rabaisser
devant mes camarades de classe :
« Alors ? ... J’attends vos arguments,
Mademoiselle E. ! Vous faites moins la maligne, à présent ... Vous qui êtes
assez loquace d’habitude ! ... »
Au
bout de 5 minutes où je tente de construire un résonnement valable, mais où je
me rends compte que mes idées sont mélangées, je suis incapable d’avoir un plan
de pensées logiques pour avancer mes hypothèses de travail et proposer des
réponses qui se tiennent.
« Bon, vous nous faites perdre notre
temps, jeune femme, agenouillez-vous sur l’estrade, les mains sur la tête »
Telle
une petite fille punie et soumise, je me mets à genoux et je passe le reste du
cours dans cette position, la tête basse, n’osant plus regarder personne, mais
entendant tout de même quelques messes basses que les étudiants s’échangent
entre eux.
A
suivre...
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Une scène très forte. Merci pour ce récit au ton explicitement délicieux.
RépondreSupprimerGood evening dear unknown,
SupprimerMerci pour ce délicieux compliment. Je rougis, je pense....
J'aime mettre de l'érotisme dans mes textes. Je trouve que ça agrémente le tout... Une saveur toute particulière.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie, et des traînées brûlantes sur l'épiderme... Bonjour
RépondreSupprimerElena se rebiffe! Faut pas la chercher! Parce que, me trompé-je (?) j'ai comme un petit doute, louloutte. Cet épisode particulièrement gratiné, autant que le corps des suppliciées après leur traitement de choc aux lanières, ne serait il pas une réponse, un tantinet provoc, au commentaire de l'ami de Bernard la semaine dernière. ( d'ailleurs qu'il avait bien le droit de dire ce qu'il pensait le bougre!)...
Le sang de l'auteure a fait carrément demi tour. Piquée au vif. Ah on trouve que mes récits ne sont pas assez réalistes, que trop c'est trop, que c'est pas possible de s'en prendre autant, qu'on en "mourirait" sous les coups de martinets! Et ben tiens... n'en voilà du encore plus saignant! Les héroïnes de fiction ne meurent jamais, d'abord, même transformées en rosbif cuit à point sous les cinglées des soeurs de la charité chrétienne...Sans blague! Soeur Adèle passez moi le sel, les zébrures faut que ça dure !
Bon, en tout cas, à côté de cet épisode, de sang de sueur et de cyprine, les petits délires du divin marquis (de Sade, pour les intimes), c'est de la douce rigolade !
L'est comme ça, l'amie Elena, elle aime pas qu'on la contrarie! D'ailleurs elle va vite le refaire savoir ...N'est-il pas ?
(rires jaunes!)
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina.
SupprimerUn de mes fidèles lecteurs, avec son coup de plume ( pas sur les fesses ) sans pareil. Les mots virevoltent et fond un ensemble charmant et poétique.
Pour tout avouer, ce texte était déjà écrit et diffusé à notre ami Josip, lorsque Bernard a publié son commentaire. Mais je vois que vous avez remarqué la petite joute verbale, bien gentillette.
Mes textes sont de mon invention et j'en assume complètement la teneur. Ce que je disais, je le pensais. On n'est pas obligé de lire si on aime pas. Comme on dirait à des enfants : "On ne dit pas c'est pas bon, on dit, je n'aime pas". Ce qui est tout différent, dans le principe. Pour les conseils sur les aventures de mes héros, je m'en passe bien.
La comparaison avec le marquis de Sade parait vraisemblable, tant d'un côté on aime n'en faire qu'à sa tête que de l'autre, on prend un malin plaisir à punir, pour le plus grand bonheur des spectateurs et des lecteurs.
Je précise que je m'attache à bien expliquer dans mes textes que mes héros, bien que secoués et marqués, ne sont jamais blessés, ni même égratignés, d'ailleurs. Mes fidèles lectrices/lecteurs pourront en témoigner.
J'ai le sang qui s'agite un peu lorsqu'on touche à mes textes, c'est vrai, ce sont un peu mes enfants.
Amitiés.
Elena.
Bonsoir Elena, bonsoir Ramina et Mr Unknown,
RépondreSupprimerJ'ajouterais simplement : "Qui s'y frotte, s'y pique".
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
SupprimerC'est un de mes côtés sombres. Je suis à moitié russe...
Bonsoir Elena,
SupprimerC'est une constante de l'âme russe qui oscille entre mélancolie et excès, j'imagine ?
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter.
SupprimerOn pourrait dire ça, même s'il ne faut pas en faire une généralité... Mais surtout, nous sommes des femmes assez fières et il ne faut pas trop nous "titiller".
Amitiés.
Elena.
Bpnjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerElena tient la vedette. Pour une punition extrêmement "soignée" dont elle risque de se souvenir longtemps. L'alternance, dans le récit, entre les coups de fouet proprement dits et les réactions "parlées" des spectateurs et de ses amies ne fait que donner davantage de relief encore à cette correction. Notre héroïne passe ensuite par la case obligée de l'infirmerie et du pouvoir qui y est affirmé sur elle. On l'y veut entièrement docile. on y parvient. Et tout se termine, en humiliant point d'orgue, par une mise à genoux sur l'estrade, mains sur la tête. La boucle est bouclée. Et ce texte est vraiment très très abouti.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerMerci pour le compliment. Ca me touche beaucoup. Je suis sensible à ces attentions...
Par ailleurs, j'ai appris à établir des textes dans le style parlé en vous lisant, cher François. Vous êtes un de mes modèles sur ce point, qui relève mon style d'avant structuré qu'avec du descriptif ! J'alterne les styles et ça me plait bien.
Encore merci.
Amitiés.
Elena