mardi 1 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 2

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

AVANT L'HEURE C'EST PAS L'HEURE, APRES L'HEURE C'EST LA FESSEE!

 Après ce court instant de réflexion, Géraldine se décida à entrer dans le magasin et d'affronter sa tante. Elle allait, évidemment, estimer que son retard inacceptable justifiait une sévère punition. Elle connaissait par cœur, l'intransigeance d'Astrid sur la ponctualité, et sa promptitude à sévir en cas de manquement à la règle ou pour n'importe quelle autre raison. Ce n'était donc pas la première fois qu'elle allait se prendre une fessée dès le matin et commencer sa journée le derrière cuisant au fond de son slip. Elle avait d'ailleurs commencé à préparer mentalement ses fesses en sortant de chez elle. 

Déterminée à assumer la situation, elle entre en ouvrant grande la porte qui déclenche un signal sonore, comme il en existe dans la plupart des magasins, pour avertir de l'arrivée d'un client. A la différence près, que celui-ci était pour le moins original. Au lieu des quelques notes de musique habituelles, Astrid, avait fait enregistrer le claquement d’une fessée déculottée qui retentissait joyeusement à chaque fois que quelqu'un entrait dans sa boutique. Ça créait tout de suite une ambiance de discipline si émoustillante que Claridge De Blagnac, voulait faire installer le même système dans sa boutique de lingerie.  Inutile de préciser... si quand même... que c'est les fesses de Géraldine qui régalaient les oreilles de la clientèle.

Une clientèle, d'ailleurs, presque exclusivement féminine. Les rares Messieurs qui s'aventuraient à franchir la porte du magasin, étaient ceux que leur femme envoyait chercher, soit une commande de martinets pour leur propres fesses, un nouveau modèle de slips à fessée ou se réapprovisionner en Dolpic. Très souvent, à la demande de l'épouse, un mari puni pour faute grave, devait se faisait mettre une sévère déculottée par la patronne, réputée pour l'efficacité de sa force de frappe. Au retour à la maison, les fesses rouges et cuisantes, Monsieur avait droit à  un deuxième service, assuré par madame qui se faisait un devoir de tester la qualité des nouveaux instruments de discipline.

 

Astrid, s'affaire autour de ses présentoirs. Elle accroche une assortiment de battoirs en cuir qui viennent de sortir de l'atelier de son mari. Sans prendre la peine de se retourner, elle interpelle Géraldine d'une voix posée, presque neutre.

– Ah ! Te voilà enfin Géraldine... Tu as vu l'heure ?

– Oui ma tante, neuf heures vingt !  Répond l'intéressée sans se démonter, Elle se dirige nonchalamment vers le comptoir pour y  poser son sac d'où dépasse le manche cannelé d'un martinet. Mais votre pendule avance de deux minutes.

Astrid lui fait volteface. Le ton monte aussitôt.

– C'est ça, commence à répondre ! Tu ne manques pas de culot ma petite, alors que tu arrives avec plus d'un quart d'heure de retard ! Tu sais pourtant que je suis très à cheval sur les horaires. 

– Oui tantine, c'est pas la peine de crier, je sais, mais c'est pas ma faute.

– Non bien sûr, ce n'est pas ta faute  !  Tu as eu un accident de talon aiguille ? Filé un bas ? Ta mère t'a mis une fessée avant de partir ?

-- Non, tantine, c'était pas loin, mais c'est elle qui...

– Je vois, c'est la faute de ta mère ! Tu commences bien ta journée tiens !  Tu sais ce qui attend tes fesses ?

– Oh oui ma tante, je connais le programme,  trois démonstrations de fessées au martinet,

– Oui, mais ça c'est  prévu ! Tu vas déjà t'en prendre une, pour sanctionner ton retard. 

 Géraldine ne discute pas, elle sait que négocier une fessée avec sa tante est aussi impossible que se déculotter sans les mains. Au fond d'elle-même, elle reconnaît l'avoir  méritée. Elle n'a rien fait pour l'éviter. Et puis, ça ne lui déplaît pas d'entamer sa journée par une bonne séance d'échauffement pour préparer son derrière ce qui l'attend . Alors, elle provoque, comme pour montrer qu'elle n'est pas soumise à sa situation.

 – Oui ma tante. Je me déculotte tout de suite ?

– Non ! Tu ne veux tout de même pas que je me prive du plaisir de le faire moi-même ? . Je vais d'abord te fesser à travers ton slip. Un derrière ça se prépare, et pour ça le nylon est parfait pour activer la cuisson. Le tien, c'est comme un diesel, il lui faut un bon préchauffage pour d'obtenir du rendement .

 Géraldine, même pas peur ! Sourire provocant aux lèvres, clin d'œil malin, elle passe les mains sous sa jupe, et se caresse le derrière en lissant  son slip dessus.

– Comme si je ne savais pas. C'est pas une première . Vous les voulez dans quelle position mes fesses tantine?

– C'est ça, fais ta maline... Profite en ma mignonne, parce que ça ne va pas durer. Tu vas commencer ta journée par une bonne fessée au tabouret... sur mes genoux ! Et comme c'est ta punition pour ton retard, ça sera en plus des autres.   

 

Géraldine proteste sans conviction en se dandinant sur ses talons aiguille.

– Oh ma tante...Quand même... je vais prendre cher, pour pas grand-chose ...

– Comment ça cher ? Fait semblant de s'indigner Astrid.  De quoi tu te plains ? Au contraire, tante Astrid  t'offre un supplément fessée gratuit ! C'est cadeau !

 Géraldine, prise à son propre jeu, fait une petite moue dubitative. Astrid, ravie de lui avoir, pour une fois, cloué le bec, coupe court à la conversation.

– .Maintenant assez discuté, amène-moi tes fesses !

 Forte de son autorité, Astrid, roulant de hanches, se dirige vers le tabouret à fessée qui trône au milieu du magasin. Les reins cambrées par la hauteur de ses talons aiguille, elle tortille sa croupe puissante, étroitement moulée dans une jupe de tailleur pleine à craquer. Elle la retrousse jusqu'au revers noir de ses bas nylon pour fesser à l'aise, et s'assied, en arrondissant son volumineux postérieur dans une attitude provocante. Le siège en bois, écrasé sous la lourde masse fessière, émet quelques craquements significatifs, comme des soupirs de protestation à devoir supporter un tel poids.   

 – Aller tourne toi d'abord et montre-moi comment sont tes fesses ce matin. Je pense que ta mère a dû te flanquer une déculottée hier soir. Fais-moi voir ça, avant que je t'en mette une à mon tour.

– Oui ma tante, mais... mais  pas trop forte s'il vous plaît !

– Ça ma petite, c'est moi qui décide... je fesse comme je veux, aussi fort que je veux !  Aller présente-moi ton derrière , et dépêche-toi.  A moins que tu préfères prendre ta fessée devant les premières clientes ? 

  Géraldine, hausse les épaules, et réplique avec aplomb.

– Oh vous savez tantine, j'ai l'habitude. La plupart des fessées que je reçois ici c'est devant des clientes.  

 Elle se plante, de dos, devant sa tante, retrousse sa courte jupe sur ses hanches, et creuse les reins pour bien faire ressortir son derrière. Puis, d'un geste naturel, elle passe un doigt  sous les élastiques et dégage son slip des profondeurs de sa raie pour le repositionner normalement sur ses fesses. Cela faisait un triangle de nylon noir lui séparant les fesses en diagonale mais n’en couvrant  qu’à peine la moitié. Ce slip étroit et très serré semblait insuffisant pour contenir les volumes rebondis débordant des élastiques, prêts à s’en échapper... Le temps passant depuis les fessées précédentes, les belles fesses rondes présentaient une peau lisse, de couleur rose pâle, un peu nacrée.   Seulement visibles par endroits,  subsistaient des petites traces rouges laissées par l’extrémité des lanières, pendant la fessée au martinet que sa mère lui avait flanqué la veille au soir.

 

Astrid, se sachant maîtresses de la situation, reste impassible devant l'attitude de sa nièce, décidément incorrigible, ou inconsciente, qui continue de la provoquer en tortillant du derrière devant elle. Pure bravade, car le souvenir des fessées administrées la veille  devait être normalement si cuisant, qu'une personne, normalement sensible du derrière, ne pouvait envisager sans crainte la perspective d’affronter une nouvelle séance le lendemain. 

  Pourquoi donc, ne pouvait-elle pas se maîtriser ? Pourquoi fallait-il toujours que son tempérament provocateur prenne le meilleur sur elle ? Il eût été tellement plus simple d’obtempérer à un reproche sur un retard inconsidéré ou une négligence dans son travail, et de répondre '' oui ma tante'' à l'annonce d'une fessée méritée. Eh bien, non, pas Géraldine, c'était plus fort qu'elle. Il fallait qu'elle affirme sa personnalité par des mouvements d'humeur ou de rébellion. Encouragée en cela par une endurance aux fessées hors norme et l'excitation à ressentir la cuisson de ses fesses. 

 Perchée sur ses haut talons, la jupe retroussée sur ses reins, Géraldine continue à se trémousser au milieu du magasin encore désert. A travers la porte de l'atelier on entend

le cliquetis de la machine à coudre le cuir. Norbert est déjà au travail, stimulé par la fessée  que lui administre sa femme chaque matin pour lui donner du cœur à l'ouvrage.

 – Alors tantine, ça vous va ? Je vous les présente bien mes fesses … Elles vous plaisent comme ça ? S'exclame Géraldine avec un petit rire mutin.

– Je vais te montrer comment elles me plaisent tes fesses !

Dit  Astrid d'un ton ferme et déterminé. Elle se lève, la saisit par le bras et la ramène vers le tabouret à fessée où elle se rassied lourdement.

Géraldine, comme d'habitude proteste pour la forme, par jeu, histoire d'agacer sa tante un peu plus.

– Non, tantine... pas maintenant la fessée... pas maintenant... s'il vous plaît !

  Continue, ma chérie, continue, tu ne me déçois jamais. A fesser sans résistance on corrige sans plaisir. Il est si excitant de ramener une jeune femme insolente sur le droit chemin. Ta mère et moi nous sommes d'accord, tu as besoin de sévères corrections, et souvent. Ce n'est certes pas moi qui t’en priverai.  Aller, allonge-toi sur les cuisses de tantine. Tu sais comme elles sont confortables.

 Elle tire par le bras Géraldine qui résiste en reculant.

– Ah ! Mademoiselle résiste, j'adore ça!  Et de toute façon c’est inutile, je suis plus forte que toi.  Là, te voilà bien en place, ni tes pieds ni tes mains ne touchent plus le sol.

– Raaah, ma tante ! Vos jarretelles, ça frotte sur le ventre !  Ça fait mal ...

– C'est une des raisons pour lesquelles j'en porte ma chérie. Et cesse de te plaindre, tu en as aussi quand tu fesses ! C'est pire pour les garçons, avec leur sexe au garde à vous;

– Ah oui, mais quand même... ça irrite.

– Allons,  tu es si touchante dans cette position, ta magnifique paire de fesses  à ma merci. Je regrette seulement de ne pas pouvoir voir ton visage qui doit être déjà bien rouge de colère. Mais je vais te faire reluire le derrière d'un rouge encore plus éclatant, pour faire bonne mesure.

– Mais je ne suis pas en colère ! Juste un peu énervée, c'est tout ! Vous m'avez programmé trois autres fessées aujourd'hui.

–. Chaque chose en son temps. Je vais justement te préparer le derrière avec celle-là.

Et puis, tu n'avais qu'à arriver à l'heure.  Quinze minutes de retard, c'est quinze minutes de fessée... Aller tend tes fesses... Mieux que ça !   .

 Géraldine obéit en grommelant. Elle prend appui sur ses mains posées à plat sur le  sol, et poussant sur les bras, cambre les reins au maximum, pour déployer son derrière en l'air, arrondi le plus haut possible. Astrid, qui lui claque pourtant les fesses tous les jours, et plusieurs fois par jour, ne se lasse pas de contempler le splendide postérieur étalé sur ses genoux. De vraies fesses à claques !

 – Tu vois ma chérie, j'ai bien fait de ne pas te déculotter pour cette première correction. Ce serait dommage de ne pas profiter d'un de ces superbes slips à fessées qui épouse si bien les formes de ton imposant derrière et le rend si excitant à regarder. Elle émet un petit rire nerveux. D'ailleurs je crois bien que je suis déjà en train de mouiller le mien de slip.

 La tête au ras du sol, Géraldine, pour une fois, se retient de commenter. Elle n'est pas vraiment pas en posture de le faire.  Astrid regarde l'heure à la pendule du magasin. Il est temps de commencer. Elle parle à voix haute pour augmenter la pression sur sa victime .

 – Alors, où vais-je placer ma première claque ? Sur la fesse droite ou la gauche ? Je ne voudrais pas faire de jalouse . Tu préfères laquelle ? Aller, commençons par la droite !  Puis la gauche ! Puis la droite ! Oh, je les sens bien tes fesses ce matin, ça va claquer  fort !

 Et la fessée commence, terriblement cuisante car Astrid a l'habitude de taper très fort immédiatement. Surtout quand le derrière étroitement serré dans le nylon présente une surface plus ferme et plus résistante sous la main. Géraldine encaisse, pour le moment sans broncher.  Astrid se régale et se félicite du retard de sa nièce qui lui donne l'excellent prétexte de cette crépitante fessée matinale.

 – Une bonne fessée dès le matin, c'est une journée qui commence bien ! '' A-t-elle l'habitude de déclarer en déculottant  son mari pour lui mettre la sienne, chaque jour, en arrivant au magasin. Et d'ajouter dix minutes après en le reculottant . Des fesses bien rouges, ça stimule ! Aller Norbert, au travail maintenant !»

 La fessée de Géraldine continue, sous les sarcasmes de sa tante qui prend un malin plaisir à accompagner, les vigoureuse claquées, de remarques acerbes. 

 – Hummmm...Ma chérie, ton derrière est vraiment en pleine forme ce matin. On voit que ta mère la bien corrigé hier soir. Entends-tu comme il crépite à travers ton slip, avec ce claquement de fesses bien sec et régulier, un peu comme celui de la machine à coudre de Norbert dans son atelier. Le sens de la régularité... c' est  important pour bien claquer un postérieur. Une bonne fessée ne se peut concevoir sans un bon sens du rythme . C’est lui qui permet ensuite d’improviser et de varier l’effet des claquées pour les rendre efficaces... plus cuisantes .

 Géraldine ne veut rien répondre au propos pervers de sa tante. Surtout ne montrer aucune faiblesse malgré l'atroce cuisson qu'elle inflige à ses fesses. Elle serre les dents, se mord les lèvres pour ne pas crier mais garde son arrogant derrière tendu à fond, comme pour provoquer les claques qui retentissent dessus en rafales. Car elle tape fort tantine, elle fesse dur, à pleine main, elle adore ça. Elle fesse toujours sans pitié, sans états d'âme, car  selon elle, une fessée, pour bien corriger, ça doit faire mal au derrière , très mal. Un coup d'œil à la pendule entre deux aller et retours,  les quinze minutes ne sont pas écoulées. Elle continue avec la même intensité. Les fesses enluminées de Géraldine rebondissent de plus en plus haut sur ses cuisses et retentissent si fort dans le magasin que les lanières des martinets en frémissent sur les présentoirs.

 Elle jubile Tantine. Encore une journée qui commence bien.

 – Alors, tu la sens bien ta fessée là, hein ? Je suis sûre que demain, tu seras là, pile à l'heure. Et la cadence, tu la suis la cadence ?  Comme cela par exemple : Fesse Droite– fesse gauche! Fesse gauche –fesse Droite – fesse droite – encore fesse droite –et re-fesse Gauche. Gardes les bien tendues s'il te plaît, tantine aime les fessées très claquantes.  Ça chauffe bien à travers le nylon hein? Et comme ça avec le slip tiré entre les fesses ? Presque autant qu'une fessée déculottée. Tu ne trouves pas ?


fessée déculottée par tantine



Géraldine enrage, les larmes aux yeux, elle résiste toujours à la douleur et se mord les doigts pour ne pas pleurer. Provocante, elle confirme, comme si elle appréciait.

– Rooaaaah !! Pour ça oui tantine... ça chauffe dur ! Vous fessez tellement fort !

 Crier, hurler, pleurer ça fait partie du rituel de la fessée, mais elle ne veut pas céder et donner ce plaisir à sa tante, qui n'attend que ça et continue à ponctuer les claquées de commentaires bien humiliants.

 – Ah Géraldine chérie, quel plaisir de voir ton gros derrière se tortiller comme ça sur mes cuisses et de le régaler d'une solide fessée comme celle-là. Je le sens frétiller sous ma main à chaque claque. C'est qu'Il aime ça les grosses fessées bien cuisantes de tante Astrid !  Bien sûr, qu'il les aime, longues et sévères. Et bien celle-là, c’est la fessée surprise, impossible de savoir sur quelle fesse je vais taper!  Tu attends la claque sur la fesse gauche...Vlaaaa!! Je te la mets sur la droite ! Tu l’attends cette fois fesse gauche, Elle chantonne. Perduuuu ! Je te la remets fesse droite! Ouillou-ouille, ça cuit hein !  Et celle-là... elle va tomber où ? Attention... ouiiii, en plein milieu, sur la raie !! Formidable comme ça résonne entre les deux fesses !  Le slip n'amortit même pas, il est complètement enfoncé dedans, c'est drôle, comme un string. C'est pratiquement une fessée déculottée, sans déculotter . Ça claque encore mieux évidemment.  Attentioooon, devinette, ça va repartir sur quelle fesse? Un doublé peut être...ou une série d'aller et retour sur chaque fesse... Surprise, surprise, j’adore l’effet de surprise ! Pas toi ?

 Géraldine, le souffle court, encaisse tout. Son fessier toujours tendu, en position, semble renvoyer les claques dont elle accompagne chaque retombée d'un petit  halètement.  Comme un sportif rythme sa respiration pendant l'effort pour tenir la distance. Elle a l'habitude des sarcasmes de sa tante qui soutien, aussi, qu'une fessée n'est pas vraiment efficace si on n'y ajoute pas une bonne dose d'humiliation.

 - «  Non mais tu entends ça ma chérie ! Je dois taper plus fort que d'habitude sans m'en rendre compte, ma main n'a jamais fait claquer tes fesses aussi fort  !   Aaaah comme c’est excitant de cuire et rougir une aussi belle paire!  Même tes jambes se mettent à battre en cadence. Une vraie fessée de meneuse de revue. Et on continue, en rythme : et un et deux, fesse droite- fesse gauche, et trois et quatre, claquante en plein milieu et cinq et six, cuisante sur les deux fesses en même temps ! »

 Ces derniers mots s’accompagnèrent de trois allers et retours successifs plus appuyés qui résonnèrent dans un claquement d'enfer sur les fesses écarlates de Géraldine. Son derrière, chauffé au rouge, avait atteint un tel niveau sonore qu'il couvrait le bruit de la machine à coudre de Norbert. Sans autorisation de sa sévère épouse,  il n'avait pas osé sortir de son atelier pour assister à la joyeuse raclée de sa nièce. Pas question de prendre ce risque , alors que ses fesses lui chauffaient encore de la déculottée qu'elle lui avait mise en arrivant pour le mettre au travail. Une belle fessée d'ailleurs, très spectaculaire, administrée slip aux cuisses, devant la vitrine du magasin, les fesses en l'air, tournées vers la rue. Les passants étaient ainsi informés que Madame Delaniaires procédait à l'ouverture du magasin.

 Astrid ordonna à Géraldine de se relever. Ce qu'elle fit péniblement, en reniflant tout de même quelques larmes qui lui avaient échappées, malgré sa détermination à les retenir.

Les fesses en feu, mais la tête haute elle défie sa tante d'un regard furieux.

– C'est malin ! S'exclama-t-elle, en se tenant le postérieur à pleine main. Mon maquillage est foutu, je suis sûre que mon rimmel a coulé.

Elle se précipite vers le  miroir, près des présentoirs et se penche en avant pour voir son visage, arrondissant du même coup son cuisant fessier qui déborde de dessous sa jupe.

Elle ne semble pas troublée outre mesure, malgré la magistrale fessée qu'elle vient de recevoir.

– Voilà, qu'est-ce que je disais ! Même mon rouge à lèvres a bavé.

 Astrid, se lève tranquillement du tabouret en savourant le résultat de sa brillante prestation. Les grosses fesses de sa nièce sont déjà écarlates dès le matin.

 – Et bien je peux te dire que le rouge que je t'ai mis aux fesses, lui, ne bave pas. Il est parfaitement réparti sur toute la surface. Elles sont magnifiques !

– Très drôle tantine... Très drôle ! Maintenant, il va falloir que je me remaquille si vous voulez que je sois présentable devant les clientes.

– De toute manière, ce sont  tes fesses que tu vas leur montrer. Maintenant que je te les ai bien rougies, elles sont tout à fait présentables.

– Oui bien sûr, mais vous n'étiez pas obligée de taper si fort.

– Ça ma petite, je te l'ai déjà dit. Tu serais arrivée à l'heure, je n'aurais pas été obligée de te punir!  Et ce n'est pas, pour toi, une découverte. Quand je fesse, je fesse toujours fort ! C'est la marque de fabrique de la famille ma mignonne.

 

Géraldine se regarde encore une fois dans la glace.

 – Oui, et bien en tous cas, tantine, vous avez vu la tête que j'ai ? J'ai du noir partout sur les joues... Par votre faute !

– Ce n'est pas grave, tu as les fesses rouges... ça compense ! ironise Astrid en rajustant ses jarretelles, détendues pendant la correction. Et je croyais que tu ne pleurais pas pendant les fessées. Aller, prends ce mouchoir et essuie ton visage tout barbouillé, tu as raison, il va falloir te remaquiller.

 Géraldine reste debout devant le miroir à se frotter le derrière qu'elle regarde par-dessus son épaule, sourcils froncés, une petite moue contrariée, sans plus. Elle vient pourtant, de s'en prendre une sévère. Sa somptueuse paire de fesses irradie d'un magnifique rouge écarlate, savamment réparti sur toute la surface que le petit triangle noir du slip, enfoncé dans la raie, met encore davantage en valeur. Elle l'en extirpe encore pour bien se reculotter.

– Oula la... tantine, vous me l'avez encore bien claquée celle-là ! Qu'est-ce que vous fessez dur !

– Manquerait plus que ça! Et justement tiens, maintenant répète après moi : Merci ma tante pour cette bonne fessée...

– C'est ça oui... en attendant la prochaine !

 


Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 1

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

9 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Astrid : le retour !!!!
    Epilogue : acte 1 : tendres retrouvailles : l'échoppe - Astrid - Géraldine...
    Ca démarre très fort sur les chapeaux... de fesses ! Voilà une belle introduction. Et si notre "étudiant au pair " entrait à la boutique, bagages en main, à quelle pittoresque ambiance "so French" il assisterait ! Ach !!! Ein kolossale Zuchtigung ! On trépigne d'impatience. Acte 2 : l'arrivée de l'étudiant...
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  2. Hello Peter,

    Ah ben non raté sur ce coup là ! Mais, ça aurait pu cependant...Il y a bien une arrivée de l'étudiant à l'acte 2 mais pas chez tante Astrid.... Voyons voyons... chez qui ça pourrait bien être ?
    Amusant ton langage cinématographique...
    Tendres retrouvailles. Ah ah,la trouvaille! je lui en ficherais moi de la tendresse. Va se faire attendrir les fesses oui, le garçon !
    Attendrisseur, attendrisseur! Est ce que j'ai une gueule d'attendrisseur?
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  3. Bonsoir Ramina,

    Laisses-moi deviner... euh... chez... chez Tante Gladys... qui étrennera avec un peu d'avance... un excellent Pur malt de 20 ans d'âge de chez Mac-Have. Rires. A moins que ce ne soit chez Mam'e Térèze ? J'en doute. Quoique...
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  4. Amis de la fessée Diéselisée... Bonjour Ramina,
    Rien de tel qu'un préchauffage pour préparer la vraie cuisson vapeur. C'est une dure à cuire, la Géraldine. Mais avec tantine, elle a trouvé à qui parler. Quant à Norbert, il doit oeuvrer pour satisfaire sa femme, car la fessée du matin pourrait être bien pire, s'il ne mettait pas du coeur à l'ouvrage, et oui, la réputation de la maison est à ce prix. Que dire des porte jarretelle qui rajoute un peu de piment à l'exercice. Ces jeunes gens doivent en prendre pour leur grade. Astrid serait une parfaite recrue à Ste CROIX pour fesser les étudiants qui ne suivent pas les consignes...
    Rien de telle qu'une bonne fessée pour bien commencer la journée et de procéder à la réouverture des commerces.
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Elena, bonjour;

      Et bienvenue dans le cercle des amis des poètes de la fessée, qui, non seulement n'a pas disparu mais, s'agrandit. Poésie toujours bien rythmée s'il en est.
      Un bon point pour la diéselisation,(joli trait d'humour!) ou le préchauffage indispensable pour un bon rendement des fessées déculottées.

      Eh oui Géraldine (avec Bettina qu'on devrait retrouver bientôt), dure à cuire du derrière, fait partie de celles qui ne cachent pas leur plaisir à se le faire chauffer. A "St Croix" ( Doux Jésus, Marie Joseph!)!) ce sont surtout les spectateurs ( trices) qui s'en régalent. La fessée comme thérapie disciplinaire à la morosité ambiante.

      Eh oui, on a la déculottée sophistiquées chez CDAMF, avec leur côté glamour, porte jarretelles et bas nylon, qui restent les éternels accessoires érotisant propre à esthétiser les séances de punition.
      Et puis... Si vous avez aimé Astrid, vous allez sans doute adorer sa soeur Margaret, et leur délicieux esprit de famille bien percutant!
      Allez savoir si elles feraient des prestations supplémentaires à Ste Croix...
      Amicalement
      Ramina

      Supprimer
    2. Amis de la poésie et de la bonne répartie, bonsoir,
      Je tente d'être à votre niveau, sans vraiment y arriver. L'ascension va être compliquée je sens, pour n'arriver qu'à votre cheville.. .
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer
  5. Bonjour Peter,

    M'enfin, la réponse est dans le premier chapitre, déjà oublié dès le deuxième ,fichtre, diantre, palsambleu! C'est qui, qui fait venir le jeune homme au pair ?
    Bon c'est vrai qu'il commence à y avoir une galerie de portraits assez fournie et parfois ça se bouscule au portillon... Moi même je suis obligé de prendre des notes pour m'y retrouver ! C'est qui dèjà, le mari de machine là? Et le nom du frère de la soeur...(rire)
    J'adore le 20 ans d'âge Mac-Have!
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  6. Bonjour Ramina,

    En effet, je crois que ça commence à étoffer la galerie et je vais prendre des notes moi aussi. Mais bon, laissons nous porter par cette intrigue passionnante et passionnée... Qui va chauffeeeeeeeer !
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  7. Bonsoir Elena,
    Ah non, vous n'allez pas commencer à vous péter un complexe !!! Surtout que vous ne connaissez pas la hauteur de ma cheville ! Alors pourquoi,présupposer ne pas arriver au même niveau; (rire)!
    Franchement j'adore vos petits traits d'humour et je vous suppose suffisamment tenace pour ne pas lâcher prise et persister en serrant les dents et la plume ... Enfin les touches du clavier...
    Si, si, j'insiste!
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.