mardi 15 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 4

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LES FESSES D' ANDREW A L'EPREUVE DU FEU ;

 Margaret, ne répond pas tout de suite. Elle s'arrête pour remettre à sa main, le postérieur qu'elle fait sauter sur ses genoux dans tous les sens, puis reprend la correction de plus belle. Cette fois ci Andrew ne peut s'empêcher de sangloter bruyamment en lançant des appels de détresse .

 – Please Madame... please... pas... pas si... si  hard la spanking ! … Euuh noooow... sory...la fessée !

 Margaret s'en moque et continue à fesser sans ralentir la cadence.

 – En français Andrew ! J'ai dit en français ! Elle lève les yeux vers Géraldine. Que veux-tu ma chérie, il lui a fallu cinq minutes avant d'être capable de dire ''bonjour Madame '' correctement, en français !

 Impitoyable, elle s'acharne sur une fesse, puis passe à l'autre pour lui faire subir le même temps de cuisson. Andrew, cette fois, hurle sa douleur et se met à pédaler dans le vide malgré l'entrave de son hideux caleçon flottant entre ses cuisses. On doit entendre claquer ses fesses, jusque dans la rue, par la fenêtre grande ouverte. Tout le quartier doit savoir que le jeune Anglais, qui vient d'arriver chez les Delaniaires, est déjà sous le feu de sa  première fessée.

 –  Et encore j'ai dû insister pour obtenir un  bonjour... '' Madame,  Margaret'... poursuit la maîtresse de maison. C'est pourtant pas compliqué !  Alors tu comprends, je ne pouvais pas laisser passer ça . A peine arrivé il avait déjà mérité une fessée ! 

  Géraldine sourit. Un derrière de plus à corriger, pense-t-elle.

 – Et voilà ! s'exclame sa mère en ponctuant d'un cuisant doublé bien appuyé sur chaque fesse. Bienvenue à la maison, Mister Andrew ! ... qui vient de s'en prendre une bonne dès son arrivée !

 

Géraldine, toute excitée, se trémousse sur son tabouret et  commence à sentir son slip, s'humidifier à l'entre cuisses. Elle est très sensible de ce côté-là et ces séances de fessées la mettent toujours dans tous ses états. Elle aurait bien voulu, elle aussi, faire connaissance avec le derrière du petit nouveau, mais elle sait que les occasions ne manqueront pas. Elle se contente d'un trait d'humour cynique.

 – Maintenant il sait ce qui attend ses fesses ! Elle se lève pour aller se pencher vers le malheureux en train de baver ses larmes sur le carrelage et lui redresse la tête en lui soulevant le menton de son index tendu.

  Alors... Qu'est-ce qu'on en dit de la fessée label France ?

 Elle rit de sa plaisanterie, au moment sonne son portable. Elle répond aussitôt pendant que Margaret, maintient  son puni sur ses genoux dans l'humiliante position de soumission. Elle parcourt ses fesses écarlates, d'une main insistante, afin d'en évaluer le degré de cuisson.

– Maman, c'est Gladys ! Dit joyeusement Géraldine en éloignant son portable de son oreille. Elle demande si elle peut venir avec Patricia, souhaiter la bienvenue à l' Anglais au pair.

– Mais bien sûr. Ça m'aurait étonné qu'elles ne sautent pas sur l'occasion. D'ailleurs, on ne devrait pas tarder non plus, à avoir des nouvelles de ta tante. Je connais Astrid, un nouveau derrière chez les Delaniaires, c'est une vente de martinets en perspective.

 Gladys et Patricia sont, toutes les deux, impatientes de faire la connaissance d'Andrew. Qu'il soit anglais,  écossais ou irlandais, peu importe, elles s'en fichent , du moment que le garçon présente un slip bien rempli à l'arrière. Elles sont comme ça, à afficher sans complexe, leur goût immodéré pour les beaux fessiers, de préférence bien fermes, et les fessées qui vont avec, si affinité. Le nouveau venu suscite ainsi la curiosité de toutes les ferventes fesseuses du quartier. Pour des irréductibles de la ''Good Spanking'', la présence d'un ressortissant britannique est un quasi, événement.

 Géraldine, referme son portable d'un air pensif.

– Patricia a l'air excitée comme une puce à l'idée de le rencontrer ! D'autant plus qu'elle-même donne des cours d'anglais... à Gérôme Bellebouges.

– Oui, je sais, le fils de Thérez,  répond Margaret. Mais Il ne faut pas exagérer, ajoute -t-elle sur un ton inhabituel de modération.  Andrew n'est tout de même pas un animal de foire ! Je reconnais bien la fougue de Patricia quand elle a une paire de fesses en ligne de mire.

 Elle parcourt du regard celle qu'elle vient de corriger. Aucune marque disgracieuse, pas une trace de doigt, elle resplendit d'un rouge velouté parfaitement réparti sur toute la surface et dégage la chaleur intense caractéristique d'un fessier bien corrigé.

– Maintenant... Elle n'a pas tort, quand on en a un comme ça sous la main, on a beau être habituée à en claquer presque tous les jours, ça donne envie. 

Elle ne semble pas encore décidée à libérer son puni qui attend, sans broncher,   l'autorisation de se relever.

 Margaret caresse nerveusement les belles fesses rouges déployées sur ses genoux. E Elle en savoure la surface brûlante d'une paume enveloppante. C'est toujours une découverte exaltante que la prise en main d'un nouveau postérieur. Bien autre chose que de l'avoir choisi en photo sur internet. Elle en savoure la  ferme élasticité et l'excellente réceptivité aux claques qui ont rendu si savoureuse la première fessée qu'elle vient de lui administrer. De toute évidence, c'est un solide fessier, bien entraîné, à l'anglaise, habitué à s'en prendre des sévères. Apte à subir le  programme d'apprentissage, cours, leçons de français, dictées, fessées, humiliations, qu'elle projette de mettre en place tout spécialement pour lui.

 Pour la maîtresse de maison, consciente de sa mission éducative, c'est un postérieur qui ouvre de bonnes perspectives.  Au moins autant que ceux de Sébastien son fils et de Gilbert son troisième mari. Elle en a déjà épuisé deux qui en avaient assez de se prendre fessées sur fessées pour la moindre peccadille et de passer plus de temps le slip en travers des cuisses que les fesses dedans. L'un s'est enfuit, un soir, les fesses en feu à peine reculottées, après plusieurs tournées particulièrement cuisantes. L'autre au bout de trois journées fesses rouges consécutives, selon la méthode de Sylvie une voisine, à cause d'une récidive d'infidélité.

 Elle sort de sa réflexion contemplative, lâche enfin les fesses d'Andrew et reprend un air sévère pour lui ordonner de se relever.

– Allez mon ami,  on arrête de pleurnicher et on va se mettre gentiment au coin, déculotté, pour que tout le monde voit bien l'effet de votre fessée. D'ailleurs, vos fesses vont avoir de la visite et pas de n'importe qui !

Géraldine ne peut s'empêcher d'en rajouter.

– Oui !  Et pas impossible qu'elles reprennent du service s'il n'a pas enregistré les formules élémentaires de politesses.

 – Yes, yes Madame ! Yes Madame !! 

 

De plus en plus inquiet, le malheureux, obéit immédiatement. Même s'il n'a pas tout compris, l'index autoritaire de sa préceptrice, orienté vers l'angle du mur, lui indique la direction à prendre. Il s'y précipite, en se dandinant, gêné par son caleçon que l'élastique détendue l'oblige à tenir à deux mains en travers de ses cuisses.

 – Il va vraiment falloir l'obliger à porter des slips à fessées, murmure Géraldine, l'air navré,  devant l'affligeant spectacle. Une si belle paire de fesses !  Ça mérite autre chose que ce sous-vêtement ridicule.

Le pauvre garçon, est prêt à dire yes, ou plutôt oui,  à n'importe quoi, même s'il ne comprend pas tout ce qu'on lui dit.  .

 – Ohhh yes... panties... oui.. oui, sory... Ca-le- çon... Dé-solé Miss Gé-raldine !

 Ses fesses, gonflées de claques, resplendissent du même rouge vif que celui du drapeau anglais, les rayures en moins, il n'a pas encore goûté au martinet.

 Margaret se lève à son tour et lisse sa courte jupe sur ses fesses pour éliminer les faux plis. Elle déteste les faux plis, et particulièrement sur des slips mal ajustés qu'elle prend toujours soin de bien étirer sur les postérieurs qu'elle corrige. Un beau fessier ça se respecte et ça claque beaucoup mieux dans du nylon tendu. 

 – Géraldine, ma chérie veux-tu bien aller chercher des verres et des petits gâteaux à apéritif. Nos amies ne vont pas tarder à arriver. Tu trouveras sur le bar la bouteille de Whisky qu'Andrew nous a apportée. Un douze ans d'âge tout de même !

– C'est pour le remercier que tu lui flanquer une fessée dès son arrivée, répond la jeune femme en riant.

– Justement, c'est l'occasion de fêter la première ''french fessée'' d'Andrew ! Et ça tombe bien, je sais que Gladys et Patricia adorent les Pur Malt. 

– Qu'est-ce qu'il en dit notre jeune homme au pair ? Dit Géraldine en tortillant joyeusement du derrière vers le bar         

Andrew a compris qu'on l'interpellait en entendant prononcer son nom. Il a à peine le temps de se retourner, qu'il est aussitôt repris de volée d'une grande claque sur les fesses par Géraldine qui passe à côté de lui en allant chercher des glaçons dans la cuisine.

 – Attention Andrew, interdiction de bouger quand on est puni sinon c'est la fessée supplémentaire. Prévient-elle en revenant avec un bol de glaçons.  Au passage elle lui refait sauter le derrière d'une deuxième claque en plein milieu.  C'est fou ce que ces  fesses sonnent bien, on ne se lasse pas de les entendre claquer ! 

 Margaret a suivi la scène, installée dans le canapé.

– C'est bien ma chérie! Il ne faut pas hésiter à le recadrer dès maintenant  Tu aurais même dû taper plus fort ! Sa prochaine fessée, c'est toi qui lui donneras.

– Avec plaisir mam...

 

Le jeune femme n'a pas le temps de finir sa phrase, qu'elle est interrompue par l'arrivée soudaine de Gladys et Patricia. Elles sont entrées, directement après avoir sonné.  Ces femmes n'aiment pas attendre. Notamment derrière une porte, qu’on vienne leur ouvrir.

 – Mesdames, bonjour ! Lance joyeusement Galdys à la ronde, en balançant son sac sur l'accoudoir du fauteuil où elle se laisse tomber avant qu'on lui propose. Elle croise les jambes, en faisant crisser ses bas nylon sur ses cuisses et jette aussitôt un œil intéressé sur le volumineux postérieur enluminé  d'Andrew. Le nez collé dans l'angle du mur, il cuve sa fessée en exhibant son reluisant fessier à l'appréciation des deux arrivantes .

Elles soupèsent du regard les volumineuses rondeurs en train de cuire comme on évalue la qualité d'un morceau de choix.

 – Alors, c'est lui le petit nouveau ? Dit Gladys d'un ton désinvolte en croisant les jambes dans l'autre sens. Tu l'as bien choisi dis donc... Solide fessier le garçon, ça promet !


au coin culotte baissée



– Comme tu vois ! Répond  Margaret, les bras en arrière, nonchalamment posés sur le dossier du canapé. Je me doutais bien que vous n'alliez pas résister à l'envie de venir voir  notre petit stagiaire .

Patricia, debout derrière sa mère, les mains appuyées sur le dossier du fauteuil où elle est assise, enveloppe d'un regard concupiscent le derrière en exposition. .

 – On ne voit pas sa tête pour le moment, mais rien que ses fesses... ça vaut déjà le déplacement. 

 Gladys, opine de la tête avec un petite moue admirative. 

– On voit qu’elles n’ont pas mis longtemps à faire connaissance avec ta main. Monsieur s'en est déjà pris une bonne !

– Oh ce n'était pas encore la grosse fessée, mais je peux vous dire que ses fesses claquent à merveille. N'est-ce pas Géraldine ?

– Pour ça oui, ajoute l'intéressée en posant les verres et la bouteille d'Aberlour  sur la table basse. Pour une première leçon de français, il nous a fait un joli récital. .

– Et il n'a pas fini de claquer du derrière, ajoute Margaret avec un soupir faussement navré. Sa lourde poitrine en profite pour tenter de s'émanciper de son décolleté. Il est pratiquement incapable de faire une phrase dans un français correct.

– Tu vois Patricia ! Dit Gladys en se retournant vers sa fille. Prends exemple sur Margaret, toi qui donnes des cours d'anglais à Gérôme.

  Comme si j'avais besoin de ça, répond la jeune femme . Je sais très bien comment faire avec lui. Je te garantis que ses fesses ne chôment pas  !

 Andrew, immobile au coin, ne comprenait pas grand-chose de ce qu'il entendait dans son dos, mais il se rendait bien compte qu'il était tombé dans un environnement qui, du point de vue de la discipline, n'allait pas différer de celui qu'il connaissait en Angleterre.  Il avait beau y être habitué, le mieux pour lui était de se montrer le plus docile possible et d'obéir aux consignes, voire de les anticiper pour prouver sa bonne volonté.

Taille cambrée, reins creusés, dans une attitude de soumission, il s'oblige à exhiber les rondeurs proéminentes de son volumineux fessier, le rendant aussi provocant que possible,  disponible pour toute nouvelle fessée qu’il plairait à l'une de ces femmes de lui administrer. 

 Géraldine, qui lorgne en sa direction depuis un moment, remarque sa manière de se positionner au coin.

– On dirait que notre ami anglais est habitué aux corrections. Apparemment, il connaît les règles et les usages à respecter après une bonne fessée ...

– J'ai remarqué aussi, ajoute Patricia. Il suffit de voir comment il expose son derrière.

– Déjà bien dressé le garçon !

 Les conversations autour du jeune homme, devenu la curiosité du moment, vont bon train. Ces dames s'amusent, pérorent, et commentent abondamment  son maintien, sa raideur à l'anglaise et surtout les rondeurs écarlates et cuisantes de son magnifique fessier qui attire les regards de convoitise. Chacune se donne pour mission de venger Jeanne d'Arc en claquant le derrière du représentant de sa Majesté britannique. Après le feu au bûcher, le feu aux fesses !

 – God save l'honneur de la France ! S'exclame Patricia au milieu de l'enthousiasme général.

Andrew, dans son coin, saisit l'ambiance électrique et serre les fesses discrètement en s'attendant à ce que ça lui retombe dessus à n'importe quel moment.  Les plaisanteries un peu salaces et les éclats de rires fusent à travers la pièce lorsque Margaret se lève et tape dans ses mains pour réclamer un peu d'attention.   

 – Mesdames, s'il vous plaît ! … Je crois qu'on est toutes un peu excitées...

– C'est sûr,  je crois que j'en ai trempé mon slip... Glisse discrètement Géraldine, à l'oreille de Patricia qui manque s'étrangler de rire .

– Moi aussi, figure-toi... et pas seulement à cause de la rigolade ...Elle pouffe entre ses mains.

 La maîtresse de  maison jette un œil courroucé à sa fille et poursuit.

 – Je propose de porter un toast au derrière de notre invité et à ses futurs progrès dans l'apprentissage de notre belle langue. Géraldine, au lieu de dire n'importe quoi, veux tu t'occuper de l'apéritif, s'il te plaît ? Elle se ravise aussitôt . Ou plutôt non. Comme c'est Whisky pour tout le monde...Andrew va faire le service. Après tout, c'est à lui que revient l'honneur de nous faire déguster ce pur Malt qu'il a si aimablement apporté.

Intenables, ces Dames, debout au milieu du salon, applaudissent à grand cris.

 – Andrew  la fessée! Andrew la fessée ! Andrew la fessée !

 Le visage rouge de confusion autant que ses fesses, l'interpellé se retourne et saisissant l'élastique de son caleçon fait le geste de se reculotter afin de pouvoir se déplacer plus facilement. Margaret intervient immédiatement.

 – Mais qu'est-ce que vous faites , mon ami ! Depuis quand on se reculotte sans autorisation. On ne vous apprend pas ça chez vous en Angleterre ?

 Géraldine remet une couche au mille feuilles.

– On fait le service, déculotté, pour régaler tout le monde de ses belles fesses rouges.

– Pour moi, ça mérite une autre fessée... Ajoute Patricia... je suis partante.

– Voyons Patricia, la reprend sa mère d'une tape sur la cuisse. Ce n'est pas à toi de décider, sauf si on te le propose. .

– Raaah, mamaaan,  mais euuuuh !

Margaret les ignore et d'un coup de menton autoritaire invite son stagiaire à les rejoindre.

– Andrew... Mon ami, bougez-vous un peu, on vous attend pour le service !

– Yes Ma'am ! Yes !

– En français Andrew ! En français ! Ou c'est la fessée ! Il va falloir vous habituer... Elle se tourne vers sa fille. Géraldine, les glaçons s'il te plaît ?

– Mais maman, on ne met pas de glaçons dans du douze ans !

– Et alors, douze ans ou pas, je m'en fiche, je fais ce que je veux ! Tu le sais très bien d'ailleurs, je ne vois pas pourquoi tu discutes. J'aime entendre le bruit des glaçons dans mon verre.

– Moi aussi dit Gladys, en décroisant les jambes, le nylon crisse à nouveau. Comme le bruit de bonnes claques sur des fesses !

 Le pantalon sur les chevilles, le caleçon en travers des cuisses, Andrew se sent ridicule, obligé de se déplacer en traînant les pieds comme s'il avançait sur des patins. Ses fesses, encore toutes rouges et cuisantes, tressautent en cadence au rythme de sa marche chaotique. Quatre paires d'yeux les soupèsent avec gourmandise.

 Tenant son pantalon d'une main pour se mouvoir avec moins de difficulté, il sert de l'autre  sous les regard attentifs de l'assistance féminine qui l'observe en silence. La pression est terrible. Pas facile de se prêter à l'exercice dans ces conditions. Il a beau s'appliquer à servir dans chaque verre sans en mettre à côté, la bouteille lui échappe des mains alors que, gêné par son affreux caleçon qui lui entrave les cuisses, il trébuche en voulant faire le tour de la table.

 – Oh my god ! My god ! Sory...Sory... the bootle...

 Il réussit à la rattraper avant qu'elle ne tombe mais ne peux éviter de renverser du précieux liquide sur les cuisses de Géraldine qui soupire en levant les yeux au ciel .  Aucune assistance de ce côté-là. 

– Enfin... Andrew, vous ne pouvez pas faire attention !  Une paire de bas tous neufs ! Des ''Gio'' à couture en plus, on n'en trouve pratiquement plus que sur commande...

– Oww... Sory miss Géraldine...pardon please... Y'am véry désolé ...  

 Andrew consciencieux, finit de la servir, d'une main tremblante, et forcément met quelques gouttes à côté.

 Silence autour de la table. Chacune sait ce qu'il va se passer. C'est la fessée... inévitable  et attendue. Margaret, prend son temps pour laisser monter la pression.  Impassible elle pose son verre et s'adosse au canapé. Andrew, dans ses petits souliers, pose lentement la bouteille sur la table, avec mille précautions pour amortir le bruit. Comme pour réparer sa maladresse, il tamponne les gouttes de whisky avec une des serviettes en papier sorties pour l'occasion. Il pleurniche un peu.

– Please madame Margaret... S'il vous plaît... pas la spanking !

– En français, Andrew ! En français ! Gronde sa sévère préceptrice qui savoure sa soumission. Vous êtes là pour apprendre, mon ami, et vous avez tout à apprendre !

– Yes... oui, Ma'am... Please, pas la fessée...S'il vous plaît ! No fessée please !

– Oh que si  la fessée, et une belle fessée encore...une sévère ! 

Elle se lève d'un bond, le saisit par l'oreille pour le courber devant elle, puis le caler sous son bras. Le buste coincé contre sa hanche elle le soulève pour lui faire tendre les fesses    vers les trois spectatrices qui se régalent d'avance. Pas besoin de le déculotter c'est déjà fait. Elle lui claque aussitôt une rageuse fessée, rythmée d'une sévère la leçon dont elle ponctue chaque mot d'une fesses sur l'autre. 

– Vous-êtes-ici-mon-ami-pour-apprendre- le-Fran-çais ! Si vous n'arrivez pas à vous mettre ça dans le crâne, je vais vous l'imprimer sur les fesses !

– Bravo ! Ça c'est parlé...et en rouge, sur les fesses !  S'exclame Patricia en piaffant sur ses talons aiguille. Il n'y rien de mieux pour aiguiser la mémoire !

Sa mère approuve.

– Cette fois tu as raison ma chérie ! Il n'y a rien de plus efficace.

La tension est montée d'un cran. Gladys, Patricia et Géraldine savourent leur Whisky à petites gorgées, en même temps que le spectacle des fesses d'Andrew, qui se tortillent en cadence sous la main ferme de la maîtresse de maison. Correctement assoupli par la précédente fessée, le derrière donne un bon claquant sous les allers et retours nerveux qui le font retentir dans toute la pièce. Brève mais intense, la fessée crépite  sur un rythme rapide, impulsée à l'énergie par Margaret qui l'administre avec brio, sans ralentir la cadence un seul instant.

Elle y met fin au bout d'une dizaine de minutes et relâche, sans ménagement, son puni qui s'écroule à ses pieds en pleurnichant, comme un gamin que sa mère vient de corriger. Ses fesses, gonflées de claques, resplendissent à nouveau, d'un magnifique rouge écarlate uniformément réparti sur toute la surface.

 – Aaaah mesdames, ce n'est pas nouveau, mais que ça fait du bien de claquer une belle paire de fesses !   dit posément Margaret en contemplant avec satisfaction, le résultat de la cuisante correction. ! Il n'y a pas à dire, c'est sur de solides fessiers comme celui-là qu'on réussit les meilleures fessées ! 

  Chacune se dit que le jeune homme au pair n'est pas au bout de ses peines.



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 3

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

2 commentaires:

  1. Good morning Ramina, euh, sorry, it's a mistake, I would say bonjour Ramina.
    Je vois que Géraldine est comme mes élèves de Ste CROIX, elle a des réactions en voyant ce cher Andrew se prendre une fessée sous ses yeux, quoi de plus normal, en somme ? Je pense que Géraldine est déjà tout excitée de donner sa prochaine fessée à Andrew et la moindre occasion sera la bonne.
    On peut dire qu'Andrew à d'excellent professeurs. Avec la perspective de s'en prendre une, il va faire des progrès en un rien de temps. La pression fait faire des prouesse.
    Renverser du pure malt, quel sacrilège, comme dirait quelqu'un que je connais. Une bonne fessée pour corriger ça me parait être une bonne idée. Avec ce qu'il a pris en si peu de temps, Andrew va devenir un parfait garçon au pair ou un(e) soubrette, les fesses et le reste à l'air. Je retiens la très bonne idée.
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour " morning" Elena,
    Ces précieux commentaires sont aussi stimulants que les fessées pour entretenir l'envie de l'écriture ...

    Eh oui, Géraldine, comme les élèves de St Croix, s'humidifie du sous-sol au spectacle d'une fessée. L'expression des sens émoustillés, est, "quoi de plus normale" comme vous dites fort justement.
    Les héroïnes de nos récits, nourrissent la même préoccupation de la transmission des savoirs qui passe tout autant par des fesses rouges que par la matière grise de la mémoire .
    Andrew est dans un environnement favorable, sous la pressions constante des fessées nécessaires à son apprentissage. Ces Dames, aux mains fermes ne vont pas se priver d'en faire un usage sans modération. Avec ou sans Pur malt!
    Amicalement.
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.