En levant la tête, malgré sa vision brouillée par les larmes, Clairanne voit Orlane F., qui n’a pas perdu de temps, dans les bras de son ex petit ami, Pierre G. Malgré la douleur, Clairanne ne peut s’empêcher de hurler :
« NON, PIERRE, TU PEUX PAS ME QUITTER ! PIERRE ! !
»
Insensible à la situation de son ex, Pierre G. embrasse Orlane F. pour prouver à Clairanne qu’elle n’est plus rien pour lui, tant elle l’a déçu.
Clairanne,
en train de supplier son ex, pousse un hurlement, car la vingt-sixième fouettée
vient de cingler sèchement son bas ventre.
Les deux
cadettes ne ménagent pas Clairanne et les marques zèbrent son ventre et le
devant de ses cuisses. Clairanne n’en peux plus de crier et de se débattre. Le
bas du devant de son corps est aussi brulant que l’arrière.
La
dernière partie et certainement la plus douloureuse est la flagellation des
seins de Clairanne. Les longues lanières des martinets font vibrer les masses
molles de sa poitrine, provoquant des hurlements à gorge déployée. Clairanne se
débat furieusement, car sa poitrine est en feu.
Les
traces des lanières sont bien visibles et les spectateurs en redemandent !
« Continuez de la fouetter, cette
voleuse ! Allez ! » dis-je
pour encourager les deux punisseuses.
« Waouh, elle vient de se prend deux cinglées
sur les tétines ! Ecoutez-la brailler, ça lui apprendra » me dit Olga.
« J’espère qu’elle va s’en prendre
d’autres ! » Ajoute Iourievna
A la fin
de sa punition, le Lieutenant Helga K. dit :
« Assez ! la correction est terminée.
Mademoiselle L. a reçu l’intégralité de sa peine. Détachez-la »
Alicia H.
et Lucie S. retirent les liens qui entravent Clairanne et celle-ci reprend son
souffle peu à peu.
« J’espère que la punition vous aura servi
de leçon, Mademoiselle ? »
« Ouu...Ouuui, Mon...Monsieur le
juge » bredouille Clairanne.
« Emmenez-la ! » Ordonne le juge
Clairanne
jette un dernier coup d’œil à Pierre G., qui ne fait plus cas d’elle et elle est
emmenée à l’infirmerie de la gendarmerie pour y prendre une douche et y
recevoir quelques examens de contrôle.
La
doctoresse Cindy B. ausculte intégralement sa patiente et lui dit :
« Bon, c’est terminé. Passez-vous de la
Biafine sur tout le corps et d’ici une semaine, il n’y paraitra plus rien, par
contre, mais la douleur devrait rester un peu plus longtemps »
« J’ai l’impression que mon corps est en
feu ! ça brule partout, même mon entrecuisse » se plaint Clairanne
« J’ai vu, Mademoiselle... vous marcherez
les cuisses écartées durant un moment ! Ne vous plaignez pas, ça
aurait pu être beaucoup plus embêtant pour vous, si vous aviez été en
prison ! Vos parents vous attendent dehors, vous êtes libre ! »
Ingrid
L., la mère de Clairanne dit en voyant sa fille :
« Ah, ma chérie, tu es toute rouge !
Viens, nous allons rentrer et nous allons prendre soin de toi. Ta cousine
Salomé vient avec nous, elle s’occupera de toi, également »
Mme L.
tente de mettre un drap de bain sur sa fille, pour couvrir sa nudité et pour ne
pas qu’elle prenne froid, mais le contact avec le tissu arrache des plaintes à
sa fille et Ingrid L. doit se résoudre à la laisser nue.
Lorsqu’ils
sont à la maison, Clairanne se repose et est choyée par sa famille, qui la
plaint mais qui pense qu’elle a été punie à bon escient, au vu de la faute
commise. Clairanne a de fréquentes crises de larmes dues à son humiliation et à
la douleur persistante.
Clairanne
tente de reprendre contact avec son petit ami pour expliquer et tenter de
d’arranger les choses, mais ses appels et SMS restent sans réponse, ce qui la
désole.
Le Lundi
suivant, Clairanne entame sa scolarité à Ste CROIX. Le niveau de son ancienne
faculté et Ste CROIX étant similaires, Clairanne n’aura pas de mal à s’insérer
en ce début d’année scolaire. Aussitôt arrivée dans l’établissement, elle est
convoquée par Fabienne D. :
« Bonjour Mademoiselle L. Vous avez
meilleure mine que la semaine passée ! Et je vois que vous n’êtes plus ni
arrogante ni provoquante ! C’est un bon début dans notre établissement, je
ne le supporte pas ! »
« Bonjour Madame ! » répond timidement Clairanne, la tête basse
« Pour vous apprendre le respect, Clairanne,
vous resterez nue durant toute votre première semaine, histoire de vous
apprendre les bonnes manières »
« Mais Madame ! Il y a plus de sept cents
élèves, ici, je ne peux pas me promenée toute nue, j’aurais trop honte et
puis je vais avoir froid ! »
« Ne protestez pas, Mademoiselle, ou je
vous fais fouetter en public ! »
« Pardon Madame ! C’est que je
suis super pudique... Je vous en prie »
« PLUS UN MOT, PETITE INSOLENTE ! » La coupe brutalement notre proviseure.
« Vous allez apprendre la discipline et
nous allons projeter le film de votre correction à tous les élèves, qu’ils
voient comment on a puni celle qui les a trahis. Vous pourrez leur demander
pardon. Cela dit, ça m’arrange bien, de cette façon, le SIE ne fera plus
d’ingérence dans mon établissement. Maintenant, jeune femme, mettez-vous
nue ! Chaque matin, vous passerez à mon bureau vous déshabiller et vous
reprendrez vos affaires le soir, avant de partir. Et puis, entièrement nue,
vous serez plus à l’aise et l’établissement est bien chauffé, ne craignez
rien » complète Fabienne D.
Clairanne
retire sa robe, unique vêtement qu’elle porte.
« Vos marques sont encore bien visibles,
vous allez faire sensation dans l’école ! Vous êtes bien épilée,
c’est parfait. J’appelle Léa, votre chef de classe, elle va vous mener en cours
» persifle Fabienne L.
Léa
arrive cinq minutes plus tard, toute joyeuse.
« Bonjour Madame D. Ah, voilà notre ex
syndicaliste ! Déjà toute nue ? Elle perd pas de temps, à ce que je
vois ! »
« Bonjour Léa. Clairanne devra rester la
semaine, entièrement nue. Veuillez à ce tous les élèves la voient et n’hésitez
pas à la fesser si elle tente de se cacher » annonce Fabienne D.
« C’est clair qu’elle va pas passer
inaperçue. J’ai la sangle toujours avec moi, si elle joue les effarouchées,
elle s’en prendra une, vous pouvez compter sur moi »
« Allez-y vite, vous allez arriver en
retard, bonne journée à vous deux »
« Bonne journée, Madame » répond Clairanne, qui est déjà toute rouge de honte.
Léa
accompagne Clairanne à l’autre bout de l’établissement dans l’amphi pour le
premier cours de la journée : La gestion des ressources d’une entreprise.
Dès
l’entrée de Clairanne dans l’amphi, les sifflets et les moqueries retentissent.
Le professeur Alain L. est obligé de s’y reprendre à plusieurs fois pour faire
revenir le calme, car il n’est pas aisé de faire taire une cinquantaine
d’étudiants.
Clairanne
est en pleurs, ne sachant plus où se mettre. Elle n’ose pas se couvrir, car
elle sait ce qui l’attend si elle le fait. La honte ressentie lui fait avoir la
chair de poule, ses tétons pointent et son entrecuisse se mouille... Elle
aimerait être des kilomètres de là où elle se trouve.
« Eh, regarde là, la Clairanne, elle en
mène pas large... Non mais regarde ses tétines comme elles sont
dressées ! » Dit le voisin d’Olga.
« Ouais, t’as raison, moi, j’la plains pas
c’te meuf, avec c’qu’elle a fait, c’est super dégueu d’avoir piquer dans la
caisse des étudiants. J’espère qu’elle va y rester longtemps, à poil ! »
lui répond Olga.
« Non, juste une semaine ! » complète sa voisine
« Ah, dommage, un mois m’aurait paru pas
mal, avec c’qu’elle a fait ! »
« Mais on aura le droit au visionnage de
sa punition à la gendarmerie » dit un
mec en face
« Moi, je m’en fou, j’étais sur place
lorsque cette godiche s’est fait corriger ! Une invitation spéciale,
avec mes sœurs. Elle en a bavé, la cocotte, ça faisait plaisir à voir ! » se vante Olga.
« T’en as du bol, Olga ! »
Clairanne
passe le cours, au premier rang, face au professeur, entendant des réflexions
peu flatteuses sur elle. A la fin du cours, Clairanne remballe ses affaires et
attend Léa qui doit la mener au prochain cours :
« Eh, la blondasse ! quel effet ça
fait de s’retrouver à poil ? » dit une
fille qui la croise en descendant des travées de l’amphi.
« Sale voleuse, on va te voir sur le film
en train de te trémousser, ça va être super excitant... » lui adresse un autre étudiant, en se moquant.
Durant la
pause déjeuner, Damian N., le responsable du réfectoire l’interpelle :
« Mademoiselle L., allez-vous servir et vous
viendrez manger sur l’estrade afin que tout le monde admire votre nudité ainsi
que ces belles traces que vous avez ! »
Clairanne,
toute rouge de confusion, vient manger devant tout le monde, baissant la tête pour
ne pas exploser en sanglot, en entendant les quolibets peu flatteurs des élèves,
sur son physique.
A la fin
de son repas, Damian N. vient la voir et lui annonce :
« Dans le cadre de vos travaux d’intérêt
général, vous viendrez au réfectoire le Samedi matin pour faire le grand ménage
et l’après-midi, vous serez avec Andréa pour le reste des bâtiments et c’est
nue, que je veux vous voir Samedi prochain ! »
« Eh, la boniche ! et qu’tout soit
propre, sinon ton p’tit cul s’ra encore tout rouge ! » lui lance, en riant, un jeune élève de seconde.
« C’est moi qui superviserai votre travail
et si ça devait ne pas être satisfaisant, je serais heureux de vous faire
fesser par Marie-Rose M., notre responsable de salle ! » lui promet sévèrement Damian N.
« Oui, Monsieur, je ferai de mon mieux » promet timidement Clairanne
« A présent, jeune écervelée, retournez en
cours ! »
Les jours
suivants se passent comme la première journée, Clairanne se rend chez Fabienne
D. pour se déshabiller et est prise en charge par Léa qui l’emmène dans les différents
endroits de l’établissement ( amphi, salle de classe, réfectoire, salle de
sport ). Léa prend soin de faire le plus de chemin possible pour bien faire
défiler Clairanne aux regards de tous.
Lorsque
Clairanne, n’en pouvant plus de recevoir des quolibets, se cache les parties
intimes, Léa prend sa sangle et fesse Clairanne à quelques reprises, de façon à
ce que la punie dévoile à nouveau ses charmes féminins. Les élèves alentour
s’attroupent pour assister à cette punition inopinée.
« Tu vas devoir t’y habituer à exhiber ton
abricot et ses nichons, ma cocotte ! » la rabroue Léa.
« AAIE ! oui, je retire mes
mains ! AAOOUH ! Assez ! AAAAEEII ! S’il te plait !
AAAIEEE ! »
« Bon, t’as compris, espèce de
greluche ? » demande Léa
« Oui, Léa, j’ai compris, je mettrai plus
mes mains ! » jure Clairanne en pleurs et
en se caressant les fesses et les cuisses, le visage rouge de honte et en
larmes.
Le
dernier cours de la journée est le cours de gym. Là encore, Clairanne va encore
être mise à rude épreuve. Jessica T. et Philippe M., les professeurs,
répartissent les équipes, certains, dehors sur le stade pour l’athlétisme et
les autres en salle, pour la gym.
« Clairanne, dehors avec l’équipe
d’athlétisme, je souhaite estimer vos performances, dans la mesure où vous êtes
nouvelle dans l’établissement » Annonce Jessica
T.
« Mais, Mademoiselle, il fait froid dehors,
je peux pas y aller toute nue ! » se
plaint Clairanne, pas fan du fait de courir.
« Discutez pas, Clairanne ! lorsque vous
aurez fait quelques tours de stade, vous serez réchauffée et ça vous stimulera
un peu » la reprend Jessica T.
« Oh noooon ! » se désole CLairanne
« Qu’ai-je entendu, Clairanne ? Vous
ronchonnez ? Voulez-vous quelques coups de sangle pour vous réchauffer
avant d’aller courir ? » la
menace Jessica T.
« Non, Mademoiselle ! s’il vous
plait, pas la sangle ! je vais aller dehors, courir toute nue ! » se presse d’affirmer Clairanne
Clairanne,
nue, et d’autres étudiants, vêtus d’un survêtement, sortent sur le stade et
s’élancent pour quatre kilomètres, soit dix tours de piste, le tout,
chronométré.
Au bout
de quelques tours, la professeure dit :
« Allez, jeunes gens, votre chrono n’est
pas terrible, pensez à bien respirer ! » encourage la professeure.
Clairanne,
qui perd ses moyens dû à sa nudité, a du mal à accélérer et sa poitrine qui
ballotte dans tous les sens ne l’arrange pas, car elle voit bien que tout le
monde la regarde, ce qui lui coupe son élan.
« Clairanne, vous êtes dans les dernières,
allongez vos foulées et un peu d’effort ! » la conseille Jessica T.
« J’ai ... un ... un point de cô...côté,
Mademoiselle ! »
Lorsqu’elle
passe à sa hauteur, Jessica T. lui décoche un vigoureux coup de sangle en
travers du dos.
« AAAAEEEEEIIIIIIIIIIII H ! » hurle Clairanne en se secouant de douleur, ce qui la fait
accélérer.
« Avancez, fainéante ! » la sermonne Jessica T.
Lorsque
les dix tours de pistes sont effectuées, les étudiants, essoufflés, se
rassemblent près de Jessica T. pour les résultats.
« La moyenne est bonne, à part quelques un
dont fait partie Clairanne ! Vous avez du plomb dans les
fesses ? C’est pour ça que vous avez du mal à avancer ? » reproche Jessica T.
Clairanne,
en sueur et toute rouge de l’effort qu’elle vient de fournir ne répond pas,
déjà assez humiliée comme ça.
« La semaine prochaine, ce sera le sprint.
Bon, OK pour aujourd’hui, à la douche tout le monde ! Clairanne, la semaine
prochaine, votre période de nudité sera terminée, j’espère que vous serez en meilleure
forme, car aujourd’hui, vous vous êtes ridiculisée devant tout le monde ! »
« Je vais essayer de faire mieux,
Mademoiselle ! »
« Je vous le conseille, sinon, je vous
refais courir complètement nue »
Clairanne
rejoint les autres dans le vestiaire des filles :
« Et ben, t’es pas top à la course,
toi ! »
« Elle t’a mis une sacrée cinglée !
La marque est toute rouge. Les autres marques ne sont même pas encore parties
que tu t’en reprends une »
« Tu devrais aller te plaindre au syndicat
des étudiants ! Ah non, c’est vrai, tu l’as torpillé le
syndicat ! » ironise une fille, pour
enfoncer un peu plus le clou.
« Je sais, j’ai merdé, mais vous n’allez
pas me faire la tête, tout le temps, quand même ? C’est déjà assez
dur d’être ici et à poil toute la journée. J’ai déjà bien payé pour ce que j’ai
fait ! Non ? » Demande Clairanne.
« On verra dans quelques temps,
Clairanne ! Pour le moment, fait profil bas. On est assez en colère
contre toi ! » lui dit Olga.
Lorsque
les filles sont lavées et séchées, elles se rhabillent sauf Clairanne qui se
dirige vers le bureau de Fabienne D. afin de récupérer ses vêtements déposés le
matin.
« Ah, Mademoiselle L., vos vêtements sont
chez Marie P. Allez les prendre, rhabillez-vous et rentrez chez vous » lui ordonne la proviseure.
« Merci Madame, bonsoir » répond poliment Clairanne.
Sans
demander son reste, Clairanne va s’habiller chez la secrétaire, qui lui donne
des encouragements, car elle sait que sa situation n’est pas enviable, elle est
passée par là.
« C’est un mauvais moment à passer,
Clairanne. Après ça, tu seras intégrée comme les autres. Pour le moment fait ce
que l’on te dit de faire et ça se passera bien » tente de la rassurer Marie P.
« Merci Madame P., vous êtes la seule
gentille avec moi »
« En fait, je pense que ta situation
arrange Madame la proviseure, car tu étais une redoutable adversaire et bien
des décisions en conseil de discipline ont été atténuées. Maintenant que tu
n’es plus à la tête du SIE, le conseil de discipline aura tout loisir de
prononcer des corrections exemplaires, c’est mon avis » dit, en confidence, Marie P.
A
suivre...
Une série écrite par Elena
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Amis de la poésie et de la course à pieds les fesses à l'air... Bonjour Bonjour Elena...
RépondreSupprimerOula,la, ça y est c'est l'escalade ! On a fermé le bagne de Toulon depuis longtemps, mais pour le grand malheur de Clairane l'institut Ste CROIX reste ouvert, même pendant le confinement.
Le petit Jésus, en personne, portant sa Ste CROIX ( l'institut à lui tout seul) n'avait pas eu droit à la flagellation des tétons... Clairane, si ! Mais, on respire, elle a échappé à la crucifixion au milieu de la cour !
Dès le début de l'épisode, on sent bien que ça ne va pas être de la tarte ( ou alors sur les fesses) pour la future Miss Nue. Car pourquoi tant de haine ? Pendant qu'elle se fait astiquer le derrière à grands coups de martinets, que voit elle dans un rideau de larmes amères? Hein? Qu'est ce qu'elle voit-elle donc ? On vous le donne en mille et une nuit... L'infâme Olane F, la fourbe, dans les bras perfides de son ex ami, Pierre G, le gougeât! Ah monde cruel!
Mais plutôt que d'aller se rhabiller, au contraire, Clairane, qui ne voit toujours rien venir, doit laisser sa culotte et tout le reste dans le bureau de Fabienne D. la diabolique, qui compte sans doute ouvrir une boutique de prêt à enlever... On ne sait pas, l'histoire ne révèle rien de ses projets.
Pour couronner le tout,cette fois sans épines,la pauvre fille doit faire dix tours de piste à coup de sangle sur les fesses, et faire le ménage dans le réfectoire en tenue d'Eve...Plus près du récurage du carrelage que de la cueillette des fleurs au jardin d'Eden!
Bref après les malheurs de Sophie, les déboires de Clairane, ou comment neutraliser une syndicaliste encombrante pour pouvoir continuer à claquer les fesses de jeunes gens indisciplinés... défilés, banderoles, slogans: "Clairane t'est foutue, la fessée sur ton cul nu !"
C'est pas drôle.
A force de se promener tout nu il y en a qui risque de s'enrhumer du derrière !
Amicalement
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerEncore un savoureux commentaire brodé en dentelles. Quelle merveille : A encadrer.
Eh oui, pour Clairanne, rien de va plus, faites vos jeux ! Il faut dire que la proviseure est particulièrement sévère, dans cette institut, mais bon, les élèves ne partent pas, c'est qu'ils doivent y trouver leur compte, tout compte fait... J'aime bien le prêt à enlever, car c'est vraiment ça. J'ai l'impression que certains sont assez voyeurs... Un brin vicieux, je trouve.
En cette fin d'année, il n'est pas aisé de sortir, mais avec quelques tour de cour en courant, ça réchauffe les sens, après s'être fait réchauffé le postérieur. Mais c'est pour qu'elle redevienne raisonnable et accepte la discipline.
Dans cet épisode, on voit les intérêts des uns et des autres, le petit copain, qui s'amourache de la nouvelle présidente du syndicat étudiant, les anciennes amies qui s'éloignent, etc.
Il y a un climat délétère qui pèse sur Ste CROIX et sur la ville et Clairanne n'est pas au bout de ses peines. Le syndicalisme n'est plus ce qu'il était !
Amitiés.
Elena.
Amis de la poés... re-bonjour!
RépondreSupprimerIl y a peu, Elena se désolait de laisser des fautes d'orthographe ou de frappe dans ses commentaires.
La solitude ça n'existe pas ! J'ai beau relire et re-re-relire les miens, deux millions sept cent cinquante trois mille six cent quarante deux fois... j'en trouve encore à la publication... Dans celle là il y en a trois, dont un sandwich jambon beurre.
J'offre un abonnement gratuit d'une semaine au journal "Pif le Chien", à celui ou celle qui les trouve.
Tiens, ça m'énerve !
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerCourse à pied, sans épine. Le reste me parait ok. Des fois, on a tellement le nez sur le texte, que l'on ne voit plus rien...
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerBeaucoup de monde est ravi de la punition infligée à Clairane. D'abord la directrice: cette jeune fille s'était élevée contre son autorité. Elle lui fait payer la note en multipliant tant et plus les humiliations. Ensuite la nouvelle petite amie de Pierre G. : règlement de comptes entre filles. Ensuite encore Léa, investie, pour son plus grand plaisir, d'une toute nouvelle autorité dont elle n'hésite pas à user tant et plus. Et, enfin, tous les élèves de Sainte-Croix qui avaient espéré, pour bon nombre d'entre eux, voir les revendications de Clairane aboutir et qui lui font payer leur déception.
Amicalement.
François