QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LES FESSES DE GERÖME EN GRANDE DIFFICULTE.
– Et bien mon petit Gérôme, où vas-tu comme ça...Hein ? Tu ne vas pas tout de même pas partir maintenant, alors que tu viens juste d’arriver !
Habitué à se faire claquer le derrière, par sa mère, ses
sœurs, Isabelle et Bérénice, ses cousines, maintenant Patricia, et pas qu'un
peu, Gérôme, conditionné à la fessée, a
tendance à
serrer instinctivement les fesses dès qu'il se sent en défaut et s'attend à s'en
prendre une. Pas fier, il répond en se raclant la gorge avec un bruit de
gargouille .
– Euuuh, je... je
dois rennnntrer chez... chez moi...Teuh ! Teuh ! Maaaadame … Raaaah, vous... vous serrez...
trop fort ! Madame Mar... Maaaar... garet... Teuh ! …S'il
vous plaaaaiit !! Il faut que je
rentre... Euuuh, je dois donner à manger
à mon Haaaamster... J'ai... oublié de …
– Ton hamster ! Comment ça ton Hamster ?
S'exclame la maîtresse femme sans lâcher sa proie. Elle le secoue même. Tu as un
Hamster toi, maintenant. ? Sans blague !... A qui tu vas faire
croire ça, vilain
menteur !
Le malheureux, paniqué de son trop gros mensonge, manque
s'étrangler en essayant de de se dégager de la main ferme qui le retient par le
col de sa veste.
– Siiii, c'est ma cousine Béééé...rénice qui me l'a of...
offfff... fert … Raîîîîe...pour mon anni... anni...
versaaaaaire !!!
– Mais oui, bien sûr. Et la pauvre bête est en train de
mourir de faim dans sa cage, c'est ça ?
Margaret, pas dupe, le ramène de force à l'intérieur et
referme la porte d'un coup de talon aiguille. Elle consent alors à le lâcher,
le retourne face à elle, et, d'un geste qui pourrait paraître prévenant, passe les mains derrière son cou pour lui
remettre son col en place, Ce faisant elle le serre contre elle en lui enfonçant la
moitié du visage dans son décolleté. La chaire est douce et tiède, mais il a
trop de mal à respirer pour en apprécier le moelleux.
– Voyons mon petit Gérôme, le raisonne-t-elle en lui maintenant le nez entre ses
seins, et rajustant son col. Je connais ma fille, si Géraldine t'a demandé de
venir, c'est qu'elle a forcément une bonne raison. Comme tu l'as dis-toi même à ta maman, ça a un rapport avec
tes cours d'anglais. Et je vois très bien de quoi il s'agit.
Lui,
par contre, le visage englouti au milieu de l'opulente poitrine, ne voit plus
rien du tout. Elle le relâche enfin. Il reprend son souffle en se gardant bien
de faire allusion à ce qui s'est passé l'après-midi en ville avec son cousin
Rodolphe. Elle pose une main ferme sur son épaule et le fait avancer devant
elle vers le salon. Il obtempère, les fesses serrées au fond de son slip, à
l'idée des cuisantes déculottées qu'elle devait mettre. La voix grave de la
fesseuse le fait encore sursauter.
– C'est la fessée que tu entends qui t'impressionne. Tu as
pourtant l'habitude d'en voir et d'en recevoir des fessées... et des bonnes,
autant que je sache ! Alors...
détends toi jeune homme, tes fesses n'ont rien craindre... Elle a un sourire
troublant lorsqu'elle ajoute dans un soupir... Enfin... pour le moment... va
savoir !
D'une
claque puissante, parfaitement ajustée, elle propulse en avant le provocant
fessier qui gonfle avec bonheur le fond
de son pantalon court. Petit avant-goût de la fessée qu'il vient de mériter
pour ses mensonges éhontés.
La
première chose que voit Gérôme en pénétrant dans la pièce c'est une paire de fesses écarlates, en train
de rebondir sur les genoux de Géraldine sous des volées de claques
retentissantes. Il aurait préféré se tromper, mais c'est bien ce qu'il
entendait depuis l'entrée. Par contre, il ne voit pas du tout à qui peut
appartenir ce gros derrière déculotté, qui se tortille frénétiquement au rythme
de la retentissante fessée.
Et
il n'est pas au bout de ses surprises. Il n'a pas encore eu le temps de
regarder ailleurs que, par-dessus le claquement assourdissant du postérieur en
pénitence, la voix moqueuse de Patricia, le fait sursauter.
– Mais qui est ce qui nous arrive
là ? S'exclame la jeune femme d'un ton moqueur. C'est mon ami Gérôme, mon
grand fessé du lundi !
–
On dirait en effet, commente Gladys, comme si elle le connaissait à peine.
C'est bien le fils de Thérez que tu fesses régulièrement tous les lundis
!
Patricia,
s'amuse devant la mine défaite du garçon
qui ne s'attendait pas du tout à la voir là. Il est aussi à l'aise que s'il
portait des chaussures trop petites. Pour lui, maintenant, Patricia, c'est
surtout les cours d'anglais du lundi et les atroces fessées qui vont avec. Elle
vient d'ailleurs de le lui rappeler avec ironie et continue sur le même ton.
–
Bonsoir Gérôme, c'est gentil de passer nous voir.
Gladys,
plus intéressée par la fessée, que Géraldine continue à administrer à Andrew,
lâche une banalité en sirotant la fin de son Whisky.
–
Nous aussi, tu vois, on rend visite à Margaret et Géraldine...et au charmant
jeune homme qui est en train de s'en prendre une sévère sur ses genoux.
Gérôme,
troublé par la présence de ces sévères créatures , en perd tous ses moyens.
–
Bonsoir Mad... euh mad... mademoiselle
Patricia... et ...Mad... Euh, tante Gladys... Euuh, oui, c'est que... C'est Géraldine qui
m'a dit de...
Gladys,
agacée de l'entendre bafouiller n'importe quoi, l'interrompt d'un ton
sec .
–
Oui, mais comme tu vois, Géraldine est très occupée en ce moment. Profite en,
pour une fois que ce ne sont pas tes fesses qui assurent le spectacle.
Le
pauvre garçon gémit intérieurement. Mais qu'est-ce qu'il lui a pris de venir se
fourrer à portée de main de ces furieuses de la déculottée ? Un vrai nid
de fesseuses !
Andrew,
en larmes, commence à bramer tant les fesses lui cuisent. Indifférente à ce qui
se passe autour d'elle, Géraldine continue à le fesser avec un plaisir
manifeste. Elle est aux ange de découvrir un fessier aussi réceptif , C'est à peine si elle a remarqué l'arrivée de
Gérôme, poussé dans le salon, claques aux fesses, par sa mère
Patricia,
visiblement très amusée de voir le jeune homme aussi perturbé, croise haut les
jambes histoire de lui donner un aperçu de la couleur de ses jarretelles. Ça
leur fait monter la tension et tout le reste, à ces jeunes gens.
-
Qu'est ce qui nous vaut le plaisir de te voir ramener tes fesses ici... lui
lance-t-elle, avec morgue. Ça ne t'a
pas suffi
les cinq fessées que je t'ai flanquées lundi dernier ?
– Oh si ! Oh là, là... si !! J'en ai eu assez … Trop même ! Oula, la, qu'est-ce que vous m'avez mis ! Vous.... Vous savez, je n'ai pas pu m'asseoir
pendant trois jours…
– Mais j'espère bien. Avec tout le mal que je me donne pour
te faire progresser ! Les fessées c'est fait pour ça. Tu viens chercher une
avance sur ta prochaine leçon peut être ?
Le pauvre garçon, ne sait plus où se fourrer. Coincé entre
Margaret, derrière lui, Géraldine à côté en train de flanquer une fessée à
quelqu'un qu'il ne connaît pas, Gladys en face de lui avec Patricia qui le
tourmente avec son air petit vicieux et ses croisements de jambes, il a
l'impression de rétrécir. Au secours, Rodolphe, Robin ! Il réussit tout de
même à articuler pour s'entendre répondre complètement à côté.
--- Euh une avance... Comment ça une avance ? Une
avance de quoi ?
Patricia a un sourire navré.
– Enfin Gérôme... Ne fais pas semblant de ne pas
comprendre. Je te parle de fessées voyons ! Elle insiste lourdement en faisant siffler
les ''S'' entre ses dents. De fessssées...tu
comprends ?
– Ah ben oui... Euuuh, non, non... hein ? C'est pas ce
que je voulais dire...mais, pas une, pas
une avance...Ah ben non !
–
Ça te ferait pourtant du
bien mon ami, ne serait-ce que pour préparer tes fesses. On peut commencer dès
maintenant si tu veux... parce que
lundi, c'est demain. On va aborder les verbes irréguliers. C'est risque d'être
un peu compliqué pour toi.
– Ah bon ?
– Oui ! A mon avis, tu devrais améliorer ton score et
dépasser les cinq fessées... J'ai comme l'impression que tes cours d'anglais
vont te muscler le derrière mon cher. !
Gladys toujours sur le ton du sarcasme.
– Oui... telle que
je connais ma fesseuse de fille, j'en connais un qui, pendant une heure, risque
de passer plus de temps le slip sur les cuisses que les fesses dedans !
Le bruit des claques qui dégringolaient sans arrêt sur les
fesses d'Andrew, atteignait un tel niveau sonore, que le pauvre Gérôme, déjà
perturbé par sa situation délicate au milieu de cet environnement féminin
redoutable, avait du mal à entendre ce qu'on lui disait. Troublé surtout par la
présence de Patricia, il répondait n'importe quoi. C'est, contre toute attente,
que Géraldine le sortit de son embarras entre deux séries de claques sur les
fesses d'Andrew. .
– Gérôme est là parce que c'est moi qui lui ai dit de
venir ! Je voulais qu'il fasse
connaissance avec notre anglais au pair.
Patricia répond un brin ironique.
– Oui, mais en ce moment il est très pris, l'anglais au
pair...
–
Pris aux fesses , surtout ! Ajoute Gladys, laconique .
Elle
quitte des yeux le postérieur en feu d' Andrew et, agacée, se tourne vers sa
fille .
– Tu n'en as pas bientôt fini avec ton Gérôme
là ? Qu'est-ce qu'il te prend de lui demander son avis en lui tournant
comme ça autour du derrière ? Une fessée ça ne se propose pas, ça s'impose...on positionne, on
déculotte, et on la claque, sans discussion !
–
C'est bon maman, je sais ce que je fais. Je le fesserai quand je l'aurai
décidé.
Géraldine est intervenue dans la conversation, sans lever
la tête du postérieur qu'elle corrige. Sans doute par phénomène de compensation,
après sa journée passée au magasin à se
faire cingler le derrière au martinet par sa tante. Stimulée par la sensation
de cuisson persistante de ses propres fesses, elle tape fort... très fort.
D'abord parce qu'elle aime ça et aussi, sans doute, par petite vengeance
personnelle sur les fesses d'un inconnu qui n'a strictement rien à voir avec
les déculottées qu'elle a reçues.
Andrew, continue à recevoir sa fessée en pleurant bruyamment à
chaudes larmes. Définitivement mâté, il se conte d'obéir aux injonctions de sa
fesseuse qui l'oblige à améliorer sans cesse l’exposition de son derrière pour
qu'il le lui présente toujours
parfaitement orienté vers sa main. Elle
le fait ainsi participer à sa propre fessée en le contraignant à en faciliter
l'administration. Il n'a d'autre choix que de se soumettre et, oublieux de sa
dignité, se répand en lamentations de plus en plus bruyantes, mouillant
abondamment ne carrelage de ses larmes.
Gérôme, les jambes molles, la bouche en carton,
fortement impressionné par la force de frappe de Géraldine, restait figé à la
regarder claquer le derrière de l'inconnu. Il ne se doutait pas qu'elle pouvait
administrer d'aussi magistrales fessées . S'il connaît bien maintenant
celles de Patricia, déjà sacrément cuisantes, heureusement, ses fesses n'ont
pas encore eu à faire à la main de Géraldine. Et elles ne sont pas pressées de
faire connaissance.
Il
en est là de ses petites angoisses, quand Margaret le poussa d'autorité vers le
canapé.
–
Aller mon garçon, en attendant que Géraldine en ait terminé, va t'asseoir
auprès de ta prof d'anglais ! Si
j'ai bien compris ce qu'elle vient de dire, ça pourrait bien être ton tour après !
Un
frisson nerveux parcourt son derrière qui frémit d'horreur au fond de son slip.
Patricia se rapproche de sa mère pour lui faire de la
place.
– Aller viens poser tes fesses ici, tout près de moi, dit-elle en tapotant le coussin à côté d'elle.
J'aime bien les savoir à portée de main, en cas de nécessité.
Ça l'amusait de lui mettre la pression en faisant
allusion aux fessées qu'elle lui administrait chaque lundi, et lui montrer
qu'elle pouvait lui en mettre autant qu'elle le voulait, en dehors des heures
de cours. Comme en ce moment par exemple.
La gorge nouée, il s'exécute en rougissant, et s'assied
timidement près d'elle. Il sent à
travers le tissu léger de sa jupe, la fermeté de sa cuisse et la jarretelle
tendue qui tient son bas nylon. En d'autres circonstances, ça l'aurait peut-être un peu émoustillé, mais vu le contexte, il
n'a pas vraiment la tête à ça. Juste en face de lui, un jeune homme,
apparemment de son âge et dont il ne voit que les fesses écarlates, se tortille
en pleurant sous l'interminable fessée administrée par Géraldine.
Celle-ci finit par se décider à y mettre fin et
l'envoie aussitôt au coin cuver sa punition. Le malheureux s'y précipite en retenant son caleçon à deux
mains pour l'empêcher de tomber sur ses mollets. Ses gros sanglots, qu'il ne
peut plus retenir, résonnent dans l'angle du mur, et secouent ses fesses
écarlates gonflées de claques.
–
Et interdiction de se frotter le derrière pour atténuer la cuisson, lui lance
Géraldine, impitoyable. On savoure pleinement sa fessée !
Elle
contemple d'un air satisfait le résultat de son cuisant travail manuel.
–
On garde les mains sur la tête, sinon, c'est retour sur mes genoux pour une
nouvelle danse des fesses encore plus sévère ! !
Elle
libère le tabouret à fessées et se tourne vers sa mère en rabattant sa jupe sur
ses cuisses.
–
Bravo Maman, tu l'as bien choisi celui-là. Avec une pareille paire de fesses
sous la main, on ne risque pas de s'ennuyer à lui apprendre le français
–
Et c'est vrai qu'elles claquent bien ! Dit Patricia en lorgnant le gros derrière déculotté en train de cuire
au piquet.
Gladys
toujours aussi laconique, re-pioche dans l'assiette de petits gâteaux salés.
Tant pis pour sa ligne, elle s'en fiche, les hommes préfèrent les rondes.
–
Pour ça, on s'en est carrément ravi les oreilles !
Gérôme,
de plus en plus mal à l'aise, ne sait pas trop qu'elle attitude adopter et se
dandine maladroitement d'un pied sur l'autre, beaucoup trop près, à son goût,
de la maîtresse de maison. Cambrée sur ses quinze centimètres de talons
aiguille, elle le domine de toute sa hauteur en lui donnant l'impression de
pouvoir fondre sur lui, à n'importe quel moment, pour le traîner de force
jusqu'au tabouret à fessées qui trône au milieu du salon. Il ne sait toujours
pas ce qu'il est venu faire dans cette galère, ni exactement pourquoi Géraldine
l'a convoqué. Si c'est pour la voir flanquer une correction à quelqu'un qu'il
ne connaît même pas, c'était pas la peine . Au rayon fessées, il a tout ce
qu'il faut à la maison, il en voit et en reçoit presque tous les jours. Il a
même du supplément gratuit avec Patricia toutes les semaines...Et apparemment
c'est mal engagé pour lui, elle a l'air d'avoir l'intention de lui en coller
une dès maintenant. Ça pourrait quand même attendre demain !
Patricia
le sort de sa torpeur en coupant court à ses interrogations.
–
Alors je te la mets cette fessée ?
–
Mais Patricia, vas-tu lui lâcher un peu le derrière, s'impatiente Gladys,
concentrée sur la paire de fesses écarlates qu'Andrew expose au coin en
pénitence. Tu vois tout de même bien que ce n'est
pas le moment ! Tu auras tout le temps demain pour lui en mettre autant
que tu veux !
– Enfin, maman... tu peux me laisser décider... S'il te
plaît !
Gérôme, pour une fois, remercie intérieurement l'intervention
de Gladys. Ses fesses aussi, soulagées,
se détendent, au fond de son slip. Par pour longtemps, Margaret intervient avec
autorité.
– Ta mère à raison Patricia ! D'ailleurs, c'est plutôt
à moi de le corriger ce petit vicieux .
Elle a déjà repris le malheureux par l'oreille et le
conduit vers le milieu de la pièce en le sermonnant.
– C'est moi qui vais m'occuper de ses fesses ! !
Déjà, rien que pour le gros mensonge
qu'il vient de me servir à propos de cette soi-disant bestiole à nourrir… pour se défiler en
douce.
Gérôme, tenu à bout de bras par sa tortionnaire, se
tortille en se tenant l'oreille pour essayer d'amortir la douleur. Il pousse
des cris exagérément forts comme si elle tentait de la lui arracher, alors
qu'elle se contente simplement de lui tordre.
– Aiiie ! Aiiie ! Ça fait mal Madame … Ouiiiile,
ouille ouillle ! !! Siiiii, C'est vrai !! Ma cousine a promis
de... de... m'offrir un Hamster…pour mon anniver-sssrraiiiie !!....
– Ah, tiens... elle t'a promis ! Ce n'est déjà plus la
même version ! C'était donc bien un gros mensonge !
– Non, madame...Aiiiie, pas un gros... Non, un petit
mensonge... tout petit ! Ouaiiie, mon oreille !!! Arrêtez !
– Petit ou pas, moi je dis qu'un menteur, ça mérite la
fessée ! Qu'en pensez-vous Mesdames ?
– Que du bien ! répond Gladys en posant bruyamment son
verre vide sur la table basse. Et tant qu'à faire, une grosse fessée !
Patricia n'insiste pas et se promet de se rattraper le
lendemain.
Margaret conduit triomphalement sa future victime vers le
tabouret à fessées. Elle le tient toujours fermement par l'oreille et le fait
trottiner en sautillant à côté d'elle.
– Aller mon petit Gérôme, c'est l'heure de la fessée !
Ça t'apprendra, à faire de vilains mensonges...et pour pas grand-chose en plus. C'est presque du vice ! Débrouille-toi comme tu veux, tu as le temps d'arriver
au tabouret, pour baisser ton pantalon. Sinon c'est deux fessées au lieu d'une.
Le malheureux gémit en essayant de défaire sa ceinture,
tout en avançant, tiré par l'oreille. Sa culotte courte, lui tombe sur les
chevilles. Heureusement le tabouret
n'est pas loin. Margaret s'y assied,
lourdement, en y écrasant son large fessier débordant du siège, entraînant avec elle un Gérôme terrorisé.
Dans un ample mouvement de bascule, il s'effondre en travers de ses fortes
cuisses, pour se retrouver, jambes en
l'air repliées, la tête au ras du sol, en excellente position pour recevoir la
fessée. Margaret lui tapote sèchement
les fesses à travers son slip. :
– Nous y sommes, mon petit Gérôme, confortablement
installés. Tes fesses bien à ma main, pour que je te flanque la bonne grosse
fessée que tu as méritée !
– Roooh non madame, pas la grosse fessée !! Non, s'il
vous plaît ! Pleurniche déjà le garçon Pas devant les Dames...
Pitié !
– Tu plaisantes mon garçon, quelle humour ! . Parce que tu n'as jamais montré tes fesses à
Patricia peut être, ni à Gladys !
Elle lui appuie sur le bas du dos pour lui faire cambrer
les reins et remonter davantage le derrière.
– Monsieur ne veut
pas montrer ses fesses mais ça ne le gêne pas de reluquer celles de ma fille dans
la rue ! Je suis au courant tu sais, elle m'a tout raconté... petit
voyeur !
Gérôme trépigne sur ses genoux comme s'il protestait de son
innocence .
– Ah oui … mais non !! Madame !! C'est pas
moi !! C'est Rodolphe, mon cousin ! C'est lui... C'est lui qui...
qui a eu l'idée...
– Et il accuse les autres maintenant !
Patricia, ravie, lui en remet une couche.
– Il fait pareil à chaque fois qu'il doit se prendre une
correction, m'a dit sa mère. On ne sait jamais si c'est lui ou son cousin le
fautif . C'est complètement idiot parce que, du coup, ils se prennent
chacun leur fessée...
– Normal... pas de jaloux ! Laisse tomber Gladys
toujours aussi expéditive.
Pendant la discussion, Margaret, n'a cessé de caresser, palper, tapoter les grosses
fesses de Gérôme pour bien en explorer la surface.
– Ah c'est comme ça, s'exclame-t-elle, ravie de trouver le bon prétexte
pour augmenter le tarif. Eh
bien, double fessée mon ami !
– Roaaaaah, non !! Pitié !! Pas... pas deux
fessées !!
– Je vais me gêner ! D'abord une fessée sur le slip
pour bien chauffer le derrière, et aussitôt, une deuxième, déculotté, sans
passer par la case au coin ! Ça t'apprendra à mentir et lorgner sur les
fesses des filles, la mienne notamment !
– Ooooh , Madaaaame... nooooon !!
Géraldine, se demande comment il peut mentir à ce point,
tout comme Gladys et Patricia qui s'amusent de ses pitoyables glapissements.
Margaret tire sur la ceinture élastique de son slip à fessée pour le lui
ajuster bien tendu sur le derrière. La couture au milieu rempli sa fonction et
s'enfonce au fond de la raie en sculptant les imposantes rondeurs serrées dans
le nylon. Elle aime sentir sous la main
des fesses bien fermes, pour y déployer, à volonté, sa puissante force de
frappe.
– Il paraît que tu as une solide paire de fesses, qui
claque formidablement bien... C'est l'occasion de vérifier ça tout de suite .
Elle se tourne vers Géraldine
– Ma chérie, puisque tu voulais que ces garçons fassent connaissance tu pourrais t'installer à côté de moi et
flanquer une nouvelle fessée à Andrew. Ils seraient tous les deux, tête à tête, l'un en face de
l'autre et pourraient échanger leurs impressions en anglais et en français,
pendant qu'on les fesse. Ça serait distrayant non ?
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Amis de la poésie et de la fessée en duo, bonjour.
RépondreSupprimerAprès s'être fourré dans la gueule du loup et avoir assisté à la fessée d'Andrew, c'est Gérôme qui vient donner matière à se faire rougir le postérieur à une bande de femmes habiles avec leurs mains. Complice, le hamster.
Les cours de langue ne parvenant pas à être imprimés dans le cerveau se retrouve imprimés à l'étage en dessous, car il faudra bien de ça rentre un jour ou l'autre. Andrew mauvais en français et Gérôme, mauvais en anglais. Décidément, les langues étrangères ne sont pas la spécialité des garçons, d'ailleurs, je me demande même s'ils ont une spécialité, tant les reprises en main ( et quelles mains ) sont nombreuses.
Ah, les verbes irréguliers ! Toute un panoplie de pièges où un élève médiocre peut tomber et ainsi donner l'occasion à sa perceptrice de le fesser à souhait. D'ailleurs, Patricia, sérial fesseuse, et je me demande si la maisonnée n'en est pas infestée, tant ça claque à tout vent ou à tout va, s'en donne à coeur joie de tendre des pièges à Gérôme, pour le voir fauter et ainsi donner matière à corriger.
Nous sommes dans un régime de femmes régnantes où il ne fait pas bon s'écarter du droit chemin. Dans cette maison, tout est fait pour le bonheur de ces dames, les unes fessent et les autres contemplent le résultat. On pourrait appeler ça, le chemin des Dames... Peu en réchappent !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour cette surprise inattendue ! Ca fait plaisir.
Gérome en vedette principale ! Mais c'est Noël !
J'ai bien ri pour le prétexte du hamster. Bien trouvé. Il s'est aventuré lui-même en terrain mouvant et a donné la main pour se faire claquer le joufflu !! Pas malin, le gars !!! L'occasion est trop belle pour ces mères Mac-Miche !!! Si Maman Térèze le voyait...
La compét' avec Andrew s'avère prometteuse ! Mazette !
Auf wiedersehen, mein Freund ! Ach !
Amicalement. Peter.
Chère Elena, merci et bravo.
RépondreSupprimerVous êtes étonnante ! A force de persister, vous réussissez un bel exercice de style, ajusté à chaque sortie, comme une réplique pertinente à mes propres commentaires dont je retrouve un peu du genre sous la plume de votre clavier! Jolis jeux de mots et expressions bien troussées, emplissent le catalogue de la Redoutable.
Mentions spéciale à l'expression très suggestive "Dames régnantes" pour les Reines de la fessée, ou encore le "chemin des Dames" pas loin du chemin de Croix pour les turbulents jeunes gens, aux fessiers bien rebondis... pour le plus grand "bonheur des dames!".
Effectivement ils ne sont pas très doués pour les langues ce qui donne de cuisants arguments fessées aux Dames à la main leste. Patricia en "sérial fesseuse" l'imagination au pouvoir,se passe volontiers d'arguments pour un déculottage en règle. Elle excelle à exploiter ou créer n'importe quelle situation susceptible de ( plus ou moins) justifier l'administration d'une fessée.
Quand on aime on ne compte pas !
Amicalement.
Ramina
Hello Peter
RépondreSupprimerEh oui, cela faisait un moment que j'avais envie de remettre en scène s Gérôme le "magnifique" sur les genoux d'une de ces Dames aux Mains Fermes. Courageux mais pas téméraire le jeune homme... sa confrontation avec Margaret, la plantureuses aux mains comme des battoirs, valait son pesant de claques aux fesses. Nouveau mensonge, Hamster jovial en prime pour la rigolade! Ma'am Thérez ignorait qu'elle avait un animal domestique à la maison.
Andrew,à peine arrivé, étant déjà sur les genoux... de Gladys, dans quelle position allons nous trouver le troisième personnage qui...
Ah mais yeuuuuh! Vous le saurez en lisant le prochain épisode de notre grand radio feuilleton : "Le retour de Frankenstein, contre le beau frère de Zorro" ! Je ne suis pas sûr du titre ...
Amicalement
Ramina