QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LE JEUNE HOMME AU PAIR
Géraldine a fini sa journée au magasin de sa tante. Rude journée en vérité mais elle est habituée. Astrid l'a prise à son service, parce que, d'une part, c'est sa nièce et qu'elle fait donc partie de l'entreprise familiale, d'autre part, et surtout, pour les dispositions exceptionnelles de son plantureux derrière à encaisser les fessées. L'idée étant de proposer aux clientes, des démonstrations de fessées au martinet pour en prouver l'efficacité et la qualité de fabrication. La tantine, qui ne manque pas d'humour ni de cynisme, a trouvé très amusant d'appeler ça, des ''Crash- test-fessées''. On ne se refait pas chez les Delaniaires.
–
De préférence, avec un manche de martinet ou un beau rondin de gingembre,
planté là où il n'y a pas de mal à se faire du bien. Avis aux amateurs !
Rodolphe,
pris de court, invente un de ces gros mensonges dont il a l'habitude.
–
Euh, non, mademoiselle Géraldine, on ne vous suit pas... On marche dans la même
direction que vous... c'est tout.
–
Oui, nous, on va à l'Olympic ! Ajoute aussitôt Gérôme qui, par mesure de
précaution, a déjà reculé d'un mètre. Le
physique et la forte personnalité de Géraldine le mettent toujours mal à
l'aise. .
–
On... On a rendez-vous avec notre copain Robin.
–
Ah oui... Et c'est pour ça que je vous entends rigoler dans mon dos ?
–
Non, mademoiselle,
promis juré, c'est pas de vous qu'on rigole, poursuit Gérôme en rougissant. Pas
autant que le bas des fesses qu'ils apercevaient par moment sous la jupe de la
jeune femme, lorsqu'il marchait derrière elle.
–
Voilà, si je comprends bien, vous êtes joyeux, tout simplement. Et peut-on savoir ce qui vous amuse tant alors... Hein ?
Rodolphe,
qui lui aussi a enclenché une
marche arrière stratégique, s'empresse de répondre en inventant un autre
mensonge.
–
Euuuh... C'est... C'est la grosse Dame là-bas, avec le chien minuscule, on trouvait ça drôle...
Gérôme,
pas très inspiré sur ce coup-là, s'enlise
bêtement.
–
Oui ... la...la grosse Dame av... avec le petit chien. C'est marrant .
-
Géraldine
fait semblant d'accepter leurs explications et se rapproche en souriant.
Persuadés qu'elle a cru à leurs
bobards, ils se détendent, lui renvoient son sourire et se statufient à nouveau lorsqu'elle change soudain
de ton.
–
Mais oui, bien sûr... La grosse Dame au petit chien ! C'est curieux, je ne
vois ni l'un ni l'autre !
–
C'est parce qu'elle a tourné au bout de la rue... s'empresse de répondre
Rodolphe.
–
Vous croyez que je vais gober ça ? Espèce de petits voyeurs !
Menteurs ! Comme si je ne vous connaissais pas ! Vous me suivez pour
me reluquer le derrière oui !!
–
Oh non M'dame Géraldine, on... on ne ferait pas ça ! Ça ne serait pas
bien, même si vous avez un beau derrière. C'est vrai ! Il est beau votre
derr...
–
Et bien voilà... on y arrive. Elles vous
intéressent mes fesses ! Hein ? C'est ça ?
Hypocrites ! Vous voulez les
voir ? Petits vicieux, et bien tenez !
–
Alors mes petits messieurs, on ne dit plus rien ! Vous vouliez voir
mes fesses et bien les voilà ! Elles vous plaisent comme ça, toutes
rouges des bonnes fessées de ma tante ? Ça leur va bien non ? J'ai
bien envie de tester les vôtres pour savoir si elles sont capables d'en
encaisser autant !
–
C'est bon, on s'est bien rincé l'œil ? Vous avez de la chance que je sois pressée,
parce que, pour le coup, c'est moi qui vous aurais obligé à me montrer vos
fesses.
Elle
tend vers Gérôme un index menaçant. Il recule encore d'un mètre, jusque dans le
caniveau.
–
Quant à toi, mon ami, je t'attends à la maison ce soir...Et tu as intérêt à
venir, sinon... gare à ton
cul ! dit-elle en agitant sa
main droite. Il paraît que tu as des problèmes avec tes cours d'Anglais, je vais
te présenter quelqu'un qui pourrait t'être utile.
Deux
minutes après, Géraldine, toute émoustillée, arrive devant chez elle. Elle a
maintenant l'esprit tourné vers le nouvel arrivant et piaffe d'impatience de
faire sa connaissance. Encore une idée originale de sa mère qui doit déjà être
en train d'accueillir le jeune homme à sa manière. C'est ce que laisse entendre
le son familier d'une fessée, dont le claquement se répand jusque dans la rue à
travers la fenêtre grande ouverte. Maman
est bien rentrée et tout le quartier doit savoir qu'elle a déjà commencé à
initier son protégé aux méthodes disciplinaires de la maison. Le bruit est encore plus fort à
l'intérieur et carrément assourdissant
quand Géraldine pénètre dans le salon après s'être débarrassée de ses affaires
dans l'entrée.
En entrant dans le salon, c'est ce qui avait immédiatement sauté aux yeux de Géraldine, toute émoustillée, à la vue de cette volumineuse paire de fesses masculine, parfaitement ronde, exhibée, sur les genoux de sa mère, dans une position provocante. Avant de s'intéresser à une tout autre partie de son corps et, à défaut d'apercevoir le visage du puni, penché au ras du sol à l'opposé de son champ de vision, elle ne voit ni n'entend que l'imposant fessier rebondissant sous des volées de claques retentissantes.
– Et bien dis donc,
maman, tu n'as pas perdu pas de temps, s'exclame- t-elle en suivant du regard
le lourd fessier qui va et vient, au rythme des claques, sur les cuisses de sa
mère. Et qui est donc l'heureux propriétaire de ce magnifique postérieur ?
– Ma chérie, je te
présente ... Andrew !
Déclare- t-elle d'un ton
solennel, en désignant d'un signe de tête les fesses rouges du malheureux. Pour
parfaire la présentation elle les fait sauter sur ses genoux d'une claque
magistrale en plein milieu. Un bref gémissement monte du sol.
Contemplé sur toutes ses rondeurs, le fessier d'Andrew, constitue, à ce moment, au regard des deux femmes, la seule partie de son anatomie digne d’intérêt...
– Internet, ma chérie.
Sur les conseils de Patricia la fille de Gladys. Elle a séjourné en Angleterre
et a gardé des contacts là-bas . Maintenant elle donne des cours de fessées...
Qu'est-ce que je raconte … Des
cours d'anglais, à Gérôme, le fils de Thérez Bellebourges. Tu connais ?
– Si je le connais celui-là !
Je l'ai croisé, en ville, tout à l'heure, avec son cousin Rodolphe. Je les ai
surpris tous les deux en train de me suivre en me matant le
derrière ! Mais, continue, je
t'écoute.
Margaret ne relève pas
tout de suite et poursuit.
– C'est un site qui
propose des étudiants volontaires pour un séjour linguistique dans des familles françaises. Tu
connais les méthodes d'éducation dans les écoles anglaises ?
– Tu parles si je
connais ! Les ''good Spanking '' comme ils disent là-bas ! La
culture de la fessée, ça fait carrément partie de leur patrimoine .
– Tu ne crois pas si
bien dire, enchaîne Margaret.
Elle se penche par-dessus
le derrière brûlant de son ''protégé'' qu'elle caresse au passage, et murmure
sur le ton de la confidence.
– Figure toi, que, non
seulement, ils joignent aux lettres de motivation la photo des postulants, mais
aussi... tiens-toi bien... celle de leurs fesses !
– Non !! J'y crois
pas ! Jubile sur l'instant Géraldine, tout de même un peu sceptique. Maman... tu plaisantes, là ?
– Pas du tout ! Tu
n'auras qu'à vérifier par toi-même. Ils recommandent même, l'utilisation
intensive de la fessée comme méthode pédagogique. Ça ne pouvait pas mieux
tomber !
– Ils n'avaient pas besoin de le recommander, sauf, qu'ici, c'est
de la pédagogie à la française.
Elle s'est installée, les jambes haut croisées, sur le deuxième
tabouret à fessées, juste derrière le puni pour mieux suivre les tressautements
douloureux de sa magnifique paire de fesses.
La couleur déjà bien rouge qui l'enflamme entièrement, la rend encore
plus attractive. Avant même de découvrir le visage de l'inconnu, c'est
évidemment son derrière qui l'intéresse.
Elle en parcourt la vaste surface avec gourmandise, indifférente à l'humiliante posture de son propriétaire qui attend avec anxiété
la reprise de sa fessée.
– Vraiment belle paire ! Dit-elle, avec envie. On voit que tu
n'as pas perdu de temps à faire
connaissance.
– Pourquoi attendre quand vous arrive sous la main un si beau
derrière ? La moindre des choses c'est de lui donne, au plus vite,
un aperçu de la qualité des fessée "Made in France"... D'ailleurs, il faut que je reprenne, avant
que ses fesses commencent à refroidir.
– Tout à fait d'accord...
Je suis curieuse de les entendre claquer en direct. Je n'en ai eu qu'un
échantillon de loin en arrivant et j'ai trouvé qu'elles avaient déjà un belle
sonorité.
–
Oh ce n'est qu'une petite fessée de bienvenue... Histoire de lui faire tâter de
la main de sa préceptrice avant de goûter au martinet.
– En tous cas, tu as
fait le bon choix ! Il a l'air bien obéissant... Tout mignon, à attendre
sagement la suite de sa correction.
– Je ne te le fais pas
dire, ma chérie ! Répond Margaret
en se massant le poignet pour lui redonner vigueur et souplesse d'exécution.
– En français, mon ami,
en français ! Le reprend Magaret en même temps que sa fessée. On ne dit
pas ''spanking'' Andrew... En
français, on dit ''fessée'' !' Vous
comprenez ? Par exemple... En ce moment, je vous mets quoi
Andrew ? Une... une...
J'écoute !
Le garçon explose
littéralement en modulation de fréquence
.
– Une fessééééée
Ma'am !!! Yes, Yes !! Very very hard ... fesséééée !!
– Voilà ce que je
voulais entendre Andrew, c'est bien ! Et vous avez raison, c'est une très
grosse fessée ! Exactement ce qu'il faut pour bien vous corriger le
derrière.
– Et ça fait le même
effet que chez vous en Angleterre,
Ajoute perfidement Géraldine. Ici aussi, on les sert longues et
cuisantes.
Margaret en envoyant des
claques de plus en plus sèches.
– Il le sent en ce
moment sur ses fesses ! N'est-ce pas mon ami ? Elles ne vont pas être
déçues du voyage.
–
Mais c'est qu'elles claquent sacrément bien les fesses de notre ami
anglais !
La fessée a pris son rythme de croisière et commence à donner sa pleine mesure, lorsque la jeune femme pousse soudain une exclamation en pointant du doigt les cuisses du puni.
– Aaaah, maman !... Mais qu'est-ce que
c'est que cette horreur ?
– Quoi, quoi? Quelle
horreur ? S'écrie à son tour Margaret. Surprise, elle ajuste mal sa
dernière claque et compense aussitôt en doublant la suivante
sur la même fesse. Qu'est-ce qu'il y
a ?
– Mais maman, c'est quoi
ça ? Insiste Géraldine en pointant du doigt le caleçon blanc à pois rouges qui flotte en
accordéon sur les cuisses d'Andrew. Je n'avais pas encore remarqué !
– Oui je sais !...
C'est un affreux caleçon... C'est vrai, pas très excitant. Je n'ai pas pris le temps de lui faire
enfiler un slip à fessées.
– Ah oui , il va falloir
l'habituer à en porter, à la place de cet horrible sous vêtement ! Ça tue
le plaisir de déculotter. Il va falloir l'emmener faire un tour dans la
boutique de lingerie de Claridge. Elle sera trop contente de claquer un
derrière d'anglais pendant les essayages.
– Je sais ma chérie, je sais, répond Margaret
qui a retrouvé la bonne cadence. Le derrière d'Andrew rebondi de plus en plus
haut tandis que son sexe frotte douloureusement sur ses jarretelles. Je
n'ai pas eu le temps. A peine arrivé, il a fallu que je le corrige .
– C'est vrai ça.
D'ailleurs, qu'est-ce qu'il s'est passé pour qu'il mérite déjà une fessée aussi
sévère ?
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Hello Ramina,
RépondreSupprimerEh bien , voilà un séjour linguistique qui démarre très fort !! Un esprit sain dans un corps sain.
Miss Géraldine fait comme le Chap'ron rouge: elle musarde ça et là... en se doutant que les deux Grands Méchants Look la talonnent...
En plus, aucune discrétion et ridicules par leurs excuses, les deux Castor et Pollux ! Lamentaaaaables !!!! Si leurs imposantes Mamans l'apprennaient, ils risqueraient de chanter l'hymne britannique à trois voix !!!!
En ce qui concerne le prénom de notre étudiant, ma clairvoyance s'est planté. Pour mémoire, Andrew (André, l'un des Douze Apôtres) est devenu le saint protecteur de l'Ecosse depuis le Moyen-Age (tout comme Georges, pour l'Angleterre depuis le 13è. siècle). Et ça me fait penser à la ville de St-Andrew, la capitale mondiale du golf.
Pour les langues, rien ne vaut l'immersion dans le quotidien d'une famille. Parait-il... Buona fortuna, amici !
Amicalement . Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerJoooli, l'allusion à Géraldine Chaperon rouge ( comme les fesses des futurs punis) et des deux grand méchants Look ! Sûr que le risque est grand pour eux de chanter le "God save the derrière!"
Toujours intéressantes les références historiques de notre encyclopédiste préféré, qui finissent par donner de la crédibilité à une fiction plutôt délirante .
Par contre , pas sûr que le St Andrew, protecteur de l'Ecosse suffise à protéger notre étudiant du même nom, de la terrible main claqueuse de Margaret, sa préceptrice.
Tout dépendra de ses progrès dans la pratique de la langue de Molière !
Amicalement
Ramina
Re-bonjour Ramina,
RépondreSupprimerOui, l'allusion rajoute un côté poétique.
Merci pour le compliment pour ma contribution "historique" (rires).
Pour l'immersion dans le quotidien, ce serait plutôt "vingt mille cris sous les mères " !!! Rires. Je pensais déjà à une petite visite de Astrid chez Térèze pour lui présenter son "protégé". Et vous imaginez la suite... Je vais y réfléchir. Illustration réussie comme d'hab...
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée au pair de fesses... bonjour,
RépondreSupprimerIntéressant ce jeune british, surement habitué à la fessée. Il goutte à la raclée so frenchie. Une bien belle entrée en matière pour ce jeune britannique, un tour de chauffe, en quelques sorte. Géraldine a hâte d'entendre les fesses claquer et le bel anglais brailler.
Il va apprendre le français quoi qu'il en coûte. Voilà une belle expression. Ca me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus quoi...
Le pénis frottant sur le porte jarretelles va lui provoquer une belle irritation à moins que ça ne lui provoque autre chose. Nous verrons dans le prochain épisode. Quelque chose me dit que ce beau jeune homme n'en est pas à sa derrière fessée.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Elena,
SupprimerL'arrivée tant attendue de cet étudiant au-pair augure quelques cuisants recadrages en perspective. Bientôt miss Géraldine pourra se spécialiser en leçons particulières à-domicile, tout comme miss Patricia avec l'incorrigible Gérome. Voilà une idée qu'elle est bonne. Aurais-je deviné la suite de la saga ? A suivre...
Amicalement. Peter.
Hello Elena, Peter et les autres...
RépondreSupprimerEh oui, Elena, fine mouche, a bien noté... Porte-Jarretelles et bas nylon restent de forts stimulants érotiques, surtout en position sur les cuisses des Dames pendant les fessées, où tout peut arriver! ( rire) Ne risque pas non plus de se tromper en prédisant que ce n'est pas la dernière fessée pour le beau jeune homme au pair!
Quant au devin Peter, difficile de confirmer ce qui ne reste encore qu'une hypothèse de travail ! Peut être des cours en commun... Allez savoir... Mais l'incorrigible Gérôme pourrait bien se trouver en mauvaise posture chez Margaret !
Amicalement
Ramina