mardi 8 décembre 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 3

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE JEUNE HOMME AU PAIR

Géraldine a fini sa journée au magasin de sa tante. Rude journée en vérité mais elle est habituée. Astrid l'a prise à son service, parce que, d'une part, c'est sa nièce et qu'elle fait donc partie de l'entreprise familiale, d'autre part, et surtout, pour les dispositions exceptionnelles de son plantureux derrière à encaisser les fessées. L'idée étant de proposer aux clientes, des démonstrations de fessées au martinet pour en prouver l'efficacité et la qualité de fabrication. La tantine, qui ne manque pas d'humour ni de cynisme, a trouvé très amusant d'appeler ça, des ''Crash- test-fessées''. On ne se refait pas chez les Delaniaires.

  Géraldine, est fière de son postérieur et de sa capacité d'endurance qui nourrissent son irrésistible inclinaison pour la fessée. Les fessées elle aime ça. Elle s'en est prise pas moins de trois aujourd'hui, avec, à la clé, autant de vente de plusieurs lots de martinets. Sans compter la fessée dont l'a gratifiée sa tante à cause de son retard ce matin. Elle rentre donc à la maison, satisfaite de ses performances et heureuse de contribuer à la bonne réputation des productions Delaniaires. Elle est pressée d'arriver, impatiente de découvrir la surprise que sa mère lui a annoncée ce matin avant de partir. L'arrivée d'un jeune homme au pair... qui plus est, un  Anglais … ou peut être bien un écossais, elle ne sait plus trop, la fait un peu fantasmer. Les méthodes d'éducation en usage dans le quartier, n'ont rien à envier à celles pratiquées outre-manche. La fessée est la référence  naturelle en matière de discipline. 

 Elle marche vite, claquant du talon aiguille sur le trottoir. Sa courte jupe virevolte sur le haut de ses cuisses, révélant, par instant, l'éclair métallique de ses boucles de jarretelles  qui maintiennent ses bas nylon impeccablement tendus. Les coutures bien rectilignes soulignent avec élégance le galbe de ses longues jambes fuselées. Elle ressent, sous sa jupe, la cuisson de ses fesses, encore gonflées par les claques et les cinglées de martinet. Elle aime les sentir, bien serrées dans son slip de nylon, lourdement rebondissantes au rythme de ses pas, et en savoure la sensation persistante de chaleur, entretenue grâce au Dolpic.  Qui  pourrait imaginer, à son sourire angélique, qu'elle trimballe sous sa jupe, une paire de fesses encore cuisantes des fessées administrées par sa tante, au cours d'une  journée ordinaire de travail.

 Ça lui plaît à Géraldine, de se balader ainsi dans la rue, faussement innocente et court vêtue. Ça l'amuse, de  provoquer le regard concupiscent des hommes sur ses formes généreuses et celui des femmes, envieuses de son physique avantageux. Peu lui importe les mauvaises langues qui la jugent selon son apparence en lui prêtant des mœurs légères. Ça ne la préoccupe pas plus que le souvenir de sa première fessée déculottée en public. Aux regard réprobateurs des coincés du derrière, elle répond avec arrogance qu'elle fait ce qu'elle veut de ses fesses et que ça l'excite de se les faire rougir aussi souvent que possible. Et pour clouer définitivement le bec aux hypocrites et aux pudibonds de tout poil,  elle précise souvent par provocation.

– De préférence, avec un manche de martinet ou un beau rondin de gingembre, planté là où il n'y a pas de mal à se faire du bien. Avis aux amateurs !

 Clic, clac, clic clac ! Résonnent ses hauts talons, dont le claquement sur le trottoir fait tressauter, son volumineux derrière en même temps que son opulente poitrine. En arrivant   à proximité de chez elle et, au moment de s'engager dans sa rue, elle entend, derrière elle , des murmures accompagnés de petits rires étouffés. Elle s'arrête et se retourne brusquement pour apercevoir, à quelques mètres derrière elle, Gérôme et son cousin Rodolphe, qui se figent instantanément dès lors qu'ils se sentent découverts. Elle fait quelques pas vers eux, en fronçant les sourcils avec un air menaçant .

 – Tiens, tiens, tiens, qu'est-ce que je vois là ?... On dirait bien les infâmes cousins !  Vous ne seriez pas en train de me suivre par hasard ?

Rodolphe, pris de court, invente un de ces gros mensonges dont il a l'habitude. 

– Euh, non, mademoiselle Géraldine, on ne vous suit pas... On marche dans la même direction que vous... c'est tout.

– Oui, nous, on va à l'Olympic ! Ajoute aussitôt Gérôme qui, par mesure de précaution, a déjà  reculé d'un mètre. Le physique et la forte personnalité de Géraldine le mettent toujours mal à l'aise. .

 Rodolphe s'enfonce dans son mensonge.

– On... On  a rendez-vous avec notre copain Robin.

– Ah oui... Et c'est pour ça que je vous entends rigoler dans mon dos ?

– Non, mademoiselle, promis juré, c'est pas de vous qu'on rigole, poursuit Gérôme en rougissant. Pas autant que le bas des fesses qu'ils apercevaient par moment sous la jupe de la jeune femme, lorsqu'il marchait derrière elle.

 Géraldine qui, en réalité, se fiche complètement de savoir pourquoi ils la suivent en faisant  les marioles, prend un air suspicieux pour les impressionner. Et trouillards  comme ils sont derrière leur bravades, ce n'est pas difficile.

– Voilà, si je comprends bien, vous êtes joyeux, tout simplement.  Et peut-on savoir ce qui vous amuse tant alors... Hein ?

Rodolphe, qui lui aussi a enclenché une marche arrière stratégique, s'empresse de répondre en inventant un autre mensonge.

– Euuuh... C'est... C'est la grosse Dame là-bas, avec le chien minuscule, on trouvait ça drôle...

Gérôme, pas très inspiré sur ce coup-là,  s'enlise  bêtement.

– Oui ... la...la grosse Dame av... avec le petit chien. C'est marrant .

-        

Géraldine fait semblant d'accepter leurs explications et se rapproche en souriant. Persuadés qu'elle a cru à leurs bobards, ils se détendent, lui renvoient son sourire et se  statufient à nouveau lorsqu'elle change soudain de ton. 

– Mais oui, bien sûr... La grosse Dame au petit chien ! C'est curieux, je ne vois ni l'un ni l'autre !

– C'est parce qu'elle a tourné au bout de la rue... s'empresse de répondre Rodolphe.

– Vous croyez que je vais gober ça ? Espèce de petits voyeurs ! Menteurs ! Comme si je ne vous connaissais pas ! Vous me suivez pour me reluquer le derrière oui !!

 Les deux garçons reculent encore, au risque de se retrouver au milieu de la rue sans s'en apercevoir. Ils protestent mollement avec un bel ensemble. Et du coup l'appellent ''Madame''.

– Oh non M'dame Géraldine, on... on ne ferait pas ça ! Ça ne serait pas bien, même si vous avez un beau derrière. C'est vrai ! Il est beau votre derr...

– Et  bien voilà... on y arrive. Elles vous intéressent mes fesses ! Hein ? C'est ça ? Hypocrites !  Vous voulez les voir ? Petits vicieux, et bien tenez !

  Contre toute attente  Géraldine se retourne sur le trottoir, et, pas gênée le moins du monde, soulève sa courte jupe en cambrant les reins pour projeter son derrière bien arrondi en leur direction. Bouche bée, ils ouvrent des yeux grands comme des roues de tracteur. Géraldine goguenarde a beau jeu de se moquer d'eux.

– Alors mes petits messieurs, on ne dit plus rien ! Vous vouliez voir mes fesses et bien les voilà ! Elles vous plaisent comme ça, toutes rouges des bonnes fessées de ma tante ? Ça leur va bien non ? J'ai bien envie de tester les vôtres pour savoir si elles sont capables d'en encaisser autant !

 Rodolphe et Gérôme qui ne s'attendaient pas à ça, restent pétrifiés sur le trottoir. La bouche sèche, une boule au ventre, ils regardent impressionnés, l'imposante paire de fesses enluminées, que la jeune femme exhibe sans aucun complexe. Encerclées par le porte- jarretelles et le revers noir des bas nylon, débordant des élastiques du slip, elles apparaissent encore plus indécentes et provocantes. Un passant en se retournant, manque de rater la descente du trottoir en mettant le pied à côté.  Ce n'est pas tous les jours qu'on peut voir une jolie jeune femme exposer ainsi ses fesses en pleine rue. Ça vaut le coup de se tordre la cheville.

 Géraldine, s'en fiche complètement. Elle tortille du derrière en faisant claquer ses jarretelles sur ses cuisses, et rabat sa jupe d'un geste prompt.

– C'est bon, on s'est bien rincé l'œil ? Vous avez de la chance que je sois pressée, parce que, pour le coup, c'est moi qui vous aurais obligé à me montrer vos fesses.

 Ce disant elle fait le geste de se précipiter sur eux. Paniqués, ils font immédiatement volteface et battent en retraite. Courageux, mais pas téméraires. Géraldine éclate de rire en les voyant s'enfuir à toutes jambes, et les menace à haute voix pour leur faire la honte d'être entendue par tout le monde. 

 – La prochaine fois que je vous surprends à me mater le derrière, ça sera la fessée déculottée à chacun, en pleine rue. En attendant je vais mettre vos mères au courant de vos sales manières de petits vicelards et j'espère que ça va chauffer pour vos fesses !  

Elle tend vers Gérôme un index menaçant. Il recule encore d'un mètre, jusque dans le caniveau.

– Quant à toi, mon ami, je t'attends à la maison ce soir...Et tu as intérêt à venir, sinon... gare à ton cul ! dit-elle en agitant sa main droite. Il paraît que tu as des problèmes avec tes cours d'Anglais, je vais te présenter quelqu'un qui pourrait t'être utile.

 Elle a à peine fini sa phrase, que les deux garçons détalent en serrant les fesses, et disparaissent à l'angle de la rue.

 

Deux minutes après, Géraldine, toute émoustillée, arrive devant chez elle. Elle a maintenant l'esprit tourné vers le nouvel arrivant et piaffe d'impatience de faire sa connaissance. Encore une idée originale de sa mère qui doit déjà être en train d'accueillir le jeune homme à sa manière. C'est ce que laisse entendre le son familier d'une fessée, dont le claquement se répand jusque dans la rue à travers la fenêtre grande ouverte.  Maman est bien rentrée et tout le quartier doit savoir qu'elle a déjà commencé à initier son protégé aux méthodes disciplinaires de la maison.  Le bruit est encore plus fort à l'intérieur  et carrément assourdissant quand Géraldine pénètre dans le salon après s'être débarrassée de ses affaires dans l'entrée.

 Sans surprise, elle découvre sa mère sur le tabouret à fessées, en train de claquer, un superbe derrière déculotté rebondissant sur ses cuisses. Elle y va de bon cœur avec l'ardeur  habituelle qu'elle déploie à chaque fessée qu'elle administre.  On entend juste une voix,  implorante, résonner au niveau du carrelage, réclamant un cessez-le-feu dans un franglais très approximatif, tinté d'un fort accent .

 – Please, Ma'am, ooow s'il vous plaît !... My god...So hard spanking... !

 – En fran-çais An-drew, en fran-çais ! le reprend Margaret, en ponctuant chaque syllabe  de grandes claques sonores, en allers et retours d'une fesse à l'autre. Ici, mon-ami, on-parle- et- on- fesse- en-fran-çais ! Elle rit. D'ailleurs, on parle beaucoup et on fesse encore plus souvent.

 Elle avait soigneusement positionné Andrew sur ses genoux, le derrière déculotté,  exposé comme elle le voulait, pour l’avoir bien sous les yeux et surtout sous ...la main ! Le jeune homme, manifestement habitué à recevoir des fessées, lui avait docilement facilité la tâche. Sans saisir le sens réel des mots français, il avait déjà compris au ton et aux manières autoritaires de sa sévère préceptrice, que la moindre manifestation de mauvaise volonté lui coûterait cher en degré de cuisson de ses fesses! Sa position exagérément cambrée, l'obligeait à développer au maximum ses rotondités postérieures idéalement  rebondies.

 En entrant dans le salon, c'est ce qui avait immédiatement sauté aux yeux de Géraldine,  toute émoustillée, à la vue de cette volumineuse paire de fesses masculine, parfaitement ronde, exhibée, sur les genoux de sa mère, dans une position provocante.  Avant de s'intéresser à une tout autre partie de son corps et, à défaut d'apercevoir le visage du puni, penché au ras du sol à l'opposé de son champ de vision, elle ne voit ni n'entend que l'imposant fessier rebondissant sous des volées de claques retentissantes. 

 Elle s'assied sur l'accoudoir du fauteuil placé juste en face, pour mieux profiter du  spectacle.

– Et bien dis donc, maman, tu n'as pas perdu pas de temps, s'exclame- t-elle en suivant du regard le lourd fessier qui va et vient, au rythme des claques, sur les cuisses de sa mère. Et qui est donc l'heureux propriétaire de ce magnifique postérieur ?

 Margaret, déteste interrompre une fessée en cours. Elle jette un regard furtif vers sa fille et, à contre cœur, suspend les cuisantes rafales dont elle régale l’arrière-train du jeune homme .

– Ma chérie, je te présente ... Andrew !

Déclare- t-elle d'un ton solennel, en désignant d'un signe de tête les fesses rouges du malheureux. Pour parfaire la présentation elle les fait sauter sur ses genoux d'une claque magistrale en plein milieu. Un bref gémissement monte du sol. 

 – Notre jeune homme au pair... ajoute-t-elle,  un brin d'ironie dans la voix.

 Contemplé sur toutes ses rondeurs, le fessier d'Andrew, constitue, à ce moment, au regard des deux femmes, la seule partie de son anatomie digne d’intérêt...

  – Maman... Des surprises comme celle-là, j'en veux bien tous les jours ! s'exclame Géraldine toute pétillante. Tu as trouvé ça où, un Anglais au pair avec une pareille paire de fesses? Elle rit.

– Internet, ma chérie. Sur les conseils de Patricia la fille de Gladys. Elle a séjourné en Angleterre et a gardé des contacts là-bas . Maintenant elle donne des cours de fessées... Qu'est-ce que je raconte …  Des cours d'anglais, à Gérôme, le fils de Thérez Bellebourges. Tu connais ?

– Si je le connais celui-là ! Je l'ai croisé, en ville, tout à l'heure, avec son cousin Rodolphe. Je les ai surpris tous les deux en train de me suivre en me matant le derrière !   Mais, continue, je t'écoute.

Margaret ne relève pas tout de suite et poursuit.

– C'est un site qui propose des étudiants volontaires pour un séjour  linguistique dans des familles françaises. Tu connais les méthodes d'éducation dans les écoles anglaises ?

– Tu parles si je connais ! Les ''good Spanking '' comme ils disent là-bas ! La culture de la fessée, ça fait carrément partie de leur patrimoine .

– Tu ne crois pas si bien dire, enchaîne Margaret.

Elle se penche par-dessus le derrière brûlant de son ''protégé'' qu'elle caresse au passage, et murmure sur le ton de la confidence.

– Figure toi, que, non seulement, ils joignent aux lettres de motivation la photo des postulants, mais aussi... tiens-toi bien... celle de leurs fesses !

– Non !! J'y crois pas ! Jubile sur l'instant Géraldine, tout de même un peu sceptique.   Maman... tu plaisantes, là ?

– Pas du tout ! Tu n'auras qu'à vérifier par toi-même. Ils recommandent même, l'utilisation intensive de la fessée comme méthode pédagogique. Ça ne pouvait pas mieux tomber !

 Géraldine hoche la tête avec une moue admirative, hypnotisée par les grosses fesses rouges d'Andrew étalées sur les cuisses de sa mère .

– Ils n'avaient pas besoin de le recommander, sauf, qu'ici, c'est de la pédagogie à la française.

 

Elle s'est installée, les jambes haut croisées, sur le deuxième tabouret à fessées, juste derrière le puni pour mieux suivre les tressautements douloureux de sa magnifique paire de fesses.  La couleur déjà bien rouge qui l'enflamme entièrement, la rend encore plus attractive. Avant même de découvrir le visage de l'inconnu, c'est évidemment  son derrière qui l'intéresse. Elle en parcourt la vaste surface avec gourmandise, indifférente à l'humiliante posture  de son propriétaire qui attend avec anxiété la reprise de sa fessée.    

– Vraiment belle paire ! Dit-elle, avec envie. On voit que tu n'as pas perdu de temps à faire  connaissance.

– Pourquoi attendre quand vous arrive sous la main un si beau derrière ?  La moindre des choses c'est de lui donne, au plus vite, un  aperçu de la qualité des fessée  "Made in France"...  D'ailleurs, il faut que je reprenne, avant que ses fesses commencent à refroidir.

– Tout à fait d'accord...  Je suis curieuse de les entendre claquer en direct. Je n'en ai eu qu'un échantillon de loin en arrivant et j'ai trouvé qu'elles avaient déjà un belle sonorité. 

– Oh ce n'est qu'une petite fessée de bienvenue... Histoire de lui faire tâter de la main de sa préceptrice avant de goûter au martinet.

– En tous cas, tu as fait le bon choix ! Il a l'air bien obéissant... Tout mignon, à attendre sagement la suite de sa correction.

 Elle change de place pour s'installer sur le deuxième tabouret , plus proche du puni pour mieux en observer ses réactions à la fessée. Il essaye de rester digne, malgré son humiliante position, plié en deux sur les cuisses de sa préceptrice, les avant-bras plaqués au sol afin de mieux projeter son derrière à disposition de la main qui doit le corriger. C'est à peine s'il laisse échapper quelques gémissements étouffés, en réaction à la douloureuse cuisson de ses fesses.     

 – Avec une pareille paire, et les fessées qui vont avec, Dit Géraldine moqueuse, ça va grandement nous faciliter la tâche pour lui apprendre les subtilités de la langue française.

– Je ne te le fais pas dire, ma chérie !   Répond Margaret en se massant le poignet pour lui redonner vigueur et souplesse d'exécution.

 Andrew  pousse un petit gémissement craintif. Un  murmure larmoyant monte du sol, dans un mélange, très aléatoire, de français et d'anglais

 – Now...now, Miss, euuuh... Ma... Madame... Margaret, plus la spanking... Please … il vous plaît...

– En français, mon ami, en français ! Le reprend Magaret en même temps que sa fessée.  On ne dit  pas ''spanking'' Andrew...   En français, on dit ''fessée'' !'  Vous comprenez ? Par exemple... En ce moment, je vous mets quoi Andrew ?  Une... une... J'écoute !


leçàn de français avec une fessée



Le garçon explose littéralement  en modulation de fréquence .

– Une fessééééée  Ma'am !!! Yes, Yes !! Very very hard ... fesséééée !!

– Voilà ce que je voulais entendre Andrew, c'est bien ! Et vous avez raison, c'est une très grosse fessée ! Exactement ce qu'il faut pour bien vous corriger le derrière.

– Et ça fait le même effet que chez vous en Angleterre,  Ajoute perfidement Géraldine. Ici aussi, on les sert longues et cuisantes.

Margaret en envoyant des claques de plus en plus sèches.

– Il le sent en ce moment sur ses fesses ! N'est-ce pas mon ami ? Elles ne vont pas être déçues du voyage.

 La main ferme et claquante de la forte femme, virevolte d'une fesse à l'autre avec aisance  et efficacité. Désireuse de mettre le nouveau derrière à l'épreuve, elle s'applique à taper fort afin d'en tester la souplesse et la capacité d'endurance. Première fessée, d'autant plus agréable à administrer, que le jeune homme présente un postérieur particulièrement réceptif.

 Géraldine, pleine d'enthousiasme, se régale des mouvements frénétiques du gros fessier, que sa mère fait sauter sur ses genoux sous les rafales d'allers et retours, expédiés à toute volée. Elle ne perd pas une miette du spectacle qui lui ravit les yeux et les oreilles.

– Mais c'est qu'elles claquent sacrément bien les fesses de notre ami anglais !

 La fessée a pris son rythme de croisière et commence à donner sa pleine mesure, lorsque la jeune femme pousse soudain une exclamation en pointant du doigt les cuisses du puni.

  Aaaah, maman !... Mais qu'est-ce que c'est que cette horreur ?

– Quoi, quoi? Quelle horreur ? S'écrie à son tour Margaret. Surprise, elle ajuste mal sa dernière  claque  et compense aussitôt en doublant la suivante sur la même fesse.  Qu'est-ce qu'il y a ?

– Mais maman, c'est quoi ça ? Insiste Géraldine en pointant du doigt  le caleçon blanc à pois rouges qui flotte en accordéon sur les cuisses d'Andrew. Je n'avais pas encore remarqué !

 Margaret ne se laisse pas distraire et reprend un rythme régulier, stimulée par un derrière de plus en plus claquant au fur et à mesure qu'il monte en cuisson.

– Oui je sais !... C'est un affreux caleçon... C'est vrai, pas très excitant.  Je n'ai pas pris le temps de lui faire enfiler un slip à fessées. 

– Ah oui , il va falloir l'habituer à en porter, à la place de cet horrible sous vêtement  ! Ça tue le plaisir de déculotter. Il va falloir l'emmener faire un tour dans la boutique de lingerie de Claridge. Elle sera trop contente de claquer un derrière d'anglais pendant les essayages.

 – Je sais ma chérie, je sais, répond Margaret qui a retrouvé la bonne cadence. Le derrière d'Andrew rebondi de plus en plus haut  tandis que son sexe frotte douloureusement sur ses jarretelles. Je n'ai pas eu le temps. A peine arrivé, il a fallu que je le corrige .

– C'est vrai ça. D'ailleurs, qu'est-ce qu'il s'est passé pour qu'il mérite déjà une fessée aussi sévère ?



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 2

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

6 commentaires:

  1. Hello Ramina,

    Eh bien , voilà un séjour linguistique qui démarre très fort !! Un esprit sain dans un corps sain.
    Miss Géraldine fait comme le Chap'ron rouge: elle musarde ça et là... en se doutant que les deux Grands Méchants Look la talonnent...
    En plus, aucune discrétion et ridicules par leurs excuses, les deux Castor et Pollux ! Lamentaaaaables !!!! Si leurs imposantes Mamans l'apprennaient, ils risqueraient de chanter l'hymne britannique à trois voix !!!!
    En ce qui concerne le prénom de notre étudiant, ma clairvoyance s'est planté. Pour mémoire, Andrew (André, l'un des Douze Apôtres) est devenu le saint protecteur de l'Ecosse depuis le Moyen-Age (tout comme Georges, pour l'Angleterre depuis le 13è. siècle). Et ça me fait penser à la ville de St-Andrew, la capitale mondiale du golf.
    Pour les langues, rien ne vaut l'immersion dans le quotidien d'une famille. Parait-il... Buona fortuna, amici !
    Amicalement . Peter.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Peter,

    Joooli, l'allusion à Géraldine Chaperon rouge ( comme les fesses des futurs punis) et des deux grand méchants Look ! Sûr que le risque est grand pour eux de chanter le "God save the derrière!"

    Toujours intéressantes les références historiques de notre encyclopédiste préféré, qui finissent par donner de la crédibilité à une fiction plutôt délirante .
    Par contre , pas sûr que le St Andrew, protecteur de l'Ecosse suffise à protéger notre étudiant du même nom, de la terrible main claqueuse de Margaret, sa préceptrice.
    Tout dépendra de ses progrès dans la pratique de la langue de Molière !
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  3. Re-bonjour Ramina,

    Oui, l'allusion rajoute un côté poétique.
    Merci pour le compliment pour ma contribution "historique" (rires).
    Pour l'immersion dans le quotidien, ce serait plutôt "vingt mille cris sous les mères " !!! Rires. Je pensais déjà à une petite visite de Astrid chez Térèze pour lui présenter son "protégé". Et vous imaginez la suite... Je vais y réfléchir. Illustration réussie comme d'hab...
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  4. Amis de la poésie et de la fessée au pair de fesses... bonjour,
    Intéressant ce jeune british, surement habitué à la fessée. Il goutte à la raclée so frenchie. Une bien belle entrée en matière pour ce jeune britannique, un tour de chauffe, en quelques sorte. Géraldine a hâte d'entendre les fesses claquer et le bel anglais brailler.
    Il va apprendre le français quoi qu'il en coûte. Voilà une belle expression. Ca me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus quoi...
    Le pénis frottant sur le porte jarretelles va lui provoquer une belle irritation à moins que ça ne lui provoque autre chose. Nous verrons dans le prochain épisode. Quelque chose me dit que ce beau jeune homme n'en est pas à sa derrière fessée.
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Elena,

      L'arrivée tant attendue de cet étudiant au-pair augure quelques cuisants recadrages en perspective. Bientôt miss Géraldine pourra se spécialiser en leçons particulières à-domicile, tout comme miss Patricia avec l'incorrigible Gérome. Voilà une idée qu'elle est bonne. Aurais-je deviné la suite de la saga ? A suivre...
      Amicalement. Peter.

      Supprimer
  5. Hello Elena, Peter et les autres...

    Eh oui, Elena, fine mouche, a bien noté... Porte-Jarretelles et bas nylon restent de forts stimulants érotiques, surtout en position sur les cuisses des Dames pendant les fessées, où tout peut arriver! ( rire) Ne risque pas non plus de se tromper en prédisant que ce n'est pas la dernière fessée pour le beau jeune homme au pair!
    Quant au devin Peter, difficile de confirmer ce qui ne reste encore qu'une hypothèse de travail ! Peut être des cours en commun... Allez savoir... Mais l'incorrigible Gérôme pourrait bien se trouver en mauvaise posture chez Margaret !
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.