mercredi 2 décembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 26

 Jeudi 19 mars 2020 – 10 heures 40

On toqua à la porte de la salle de classe.

« Entrez, répondit la maîtresse ! »

Dans son coin, près du tableau, Philippe se raidit. Qui que ce soit qui entrait dans la pièce aurait une vue dégagée sur ses fesses dénudées. Après la fessée, il avait été envoyé au coin, sans possibilité de remonter sa culotte. Ses mains, croisées dans son dos maintenaient relevés l’arrière de sa blouse et les pans de sa chemise.

« Bonjour Annette, j’espère que je ne dérange pas ! »

C’était une voix inconnue, celle d’une femme. Philippe tressaillit.

« Toi, je te conseille de rester sage et immobile dans ton coin, gronda la maîtresse. A moins que tu ne veuilles une autre fessée tout de suite ? »

Philippe enfonça son nez dans l’angle des murs. Il n’avait réussi rien d’autre qu’à attirer l’attention sur lui. Si les visiteurs ne l’avaient pas remarqué avant, maintenant c’était fait et il ne pouvait rien faire d’autre que rester en pénitence, là où la maîtresse l’avait placé.

Cela faisait, à son estimation, une bonne dizaine de minutes qu’il avait été mis au coin et la leçon s’était poursuivie dans son dos. Il avait l’impression que la maîtresse l’avait oublié, mais pas au point où il pouvait prendre des libertés avec la position qui lui avait été ordonnée. Ses pensées en étaient venues naturellement à sa condition d’élève. Il s’était réjoui qu’il n’y avait dans la pièce que la maîtresse et sa compagne pour l’apercevoir dans cette position et cette tenue infantilisantes. C’était moindre mal.

Malheureusement, l’arrivée d’une visiteuse inconnue n’y changeait rien. La maîtresse disposait de l’autorité suffisante pour l’obliger à rester en pénitence et, le cas échéant, le fesser devant une inconnue. Oubliée la petite dizaine d’année de moins que lui que la maîtresse affichait au compteur de son état civil. Des larmes lui montèrent aux yeux. Il était justement puni et la punition irait à son terme quelles que soient les personnes qui pénétreraient dans la classe.

Il avait même plutôt intérêt à montrer son obéissance, certain qu’une deuxième fessée viendrait sanctionner toute excentricité de sa part.

 

« Non, non, je vous en prie, Colette, je suis au contraire ravie de vous voir. Nous allons faire une courte pause dans cette leçon de géographie. »

Puis se tournant vers Aurélie.

« Pendant que je discute avec Madame Dompierre, tu apprends les deux pages que nous allions d’étudier, ordonna la maîtresse. Je t’interrogerai dessus tout à l’heure. »

La visiteuse attrapa quelques chose derrière elle. Quand elle franchit la pas de la porte, elle tirait par l’oreille un Monsieur qui devait avoir approximativement son âge, une bonne quarantaine d’années et qui n’était visiblement pas ravi d’être là.

« Avance, Damien ! »

L’étrange équipage fit quelques pas à l’intérieur de la classe.

« Annette, je vous ai amené mon mari, avec l’espoir que vous l’accepterez dans votre cours. »

Une claque sur le fond du pantalon obligea ledit mari à faire encore un pas vers la maîtresse. Il n’était plus tenu par l’oreille, mais il ne tenta pas de partir. Il resta là, les bras ballants.

« Eh bien, pourquoi pas ? Dites m’en plus !

– Oh, c’est assez simple. Damien est au chômage partiel depuis avant-hier et moi je travaille toujours, à distance. Toute la journée hier, il a été dans mes pattes, désœuvré. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai dû m’interrompre pour m’occuper de lui, dont deux fois pour lui donner la fessée. »

Damien baissa la tête. Les propos de sa femme ne le mettaient pas vraiment en valeur. Il aurait bien protesté de ce dévoilement public de leur intimité conjugale, devant ces deux étrangers et cette gamine qui avait l’âge d’être sa fille, ou presque.

« Les seuls moments où j’ai eu la paix, c’est quand je l’ai mis au coin. Ce matin ça a recommencé. La première fessée à peine levé ! Je lui ai donné une punition à faire, histoire de l’occuper : une rédaction sur la manière dont il devait se comporter. Quelle catastrophe ! Le résultat en a été déprimant ! »

Madame Dompierre regardait son mari d’un air furieux.

« C’était à peine écrit en français. Des phrases qui ne voulaient rein dire et je ne parle pas de l’orthographe ! Quand on pense qu’il est encore plus mauvais en calcul, je me demande comment il a pu obtenir son DUT.

– Vous savez, intervint la maîtresse, beaucoup d’adultes perdent leur niveau scolaire de départ, faute de pratiquer.

– Justement, c’est là où j’ai pensé à vous. Bernadette m’avait parlé de votre idée de faire l’école aux adultes inoccupés. Je lui ai téléphoné ce matin pour savoir où vous en étiez de ce projet. C’est alors qu’elle m’a appris que vous aviez commencé à faire la classe à vos deux petits voisins ce matin. Je me suis dit que vous auriez peut-être une place pour Damien.

– Cela peut s’envisager, mais êtes-vous au courant des conditions ?

– Je ne sais pas de quoi vous voulez parler.

– Eh bien je tiens à n’avoir dans ma classe que des élèves qui viennent là pour travailler. Je ne fais fort, alors, de leur faire faire des progrès.

– Cela me va très bien.

– Parfait ! En conséquence, je suis très exigeante sur le travail et la discipline qui va avec. Comme vous pouvez le voir… »

La maîtresse montra de la main Philippe qui patientait au coin en laissant voir des fesses encore un peu rougies par la récente fessée qu’elle lui avait donnée.

« … je n’hésite pas à sévir quand je ne suis pas satisfaite que ce soit du travail fourni ou du comportement d’un de mes élèves. En général, c’est la fessée déculottée et elle est administrée devant toute la classe. Ainsi, les autres profitent également de la punition en sachant ce qui leur arrivera s’ils commettent les mêmes écarts.

– Vous savez, Annette, si je suis là, c’est bien parce que j’ai eu connaissance de vos méthodes. Votre mère, Bernadette, m’en a fait part et je les approuve à cent pour cent. D’ailleurs je ne pense pas que Damien puisse faire des progrès s’il n’est pas placé dans un système qui le contraigne et qui l’oblige, fermement si besoin, à faire des efforts. Quant à la fessée, y compris déculottée, vous avez dû comprendre, Annette, que j’y avais souvent recours. Damien en a l’habitude.

– J’avais cru comprendre, effectivement.

– J’ai dû lui en donner une, il y a quelques minutes avant de partir, pour qu’il accepte de me suivre jusqu’ici comme je l’avais décidé. Je ne lui passe aucun caprice.

– Fort bien !

– La seule nouveauté, pour lui, ce sera la main qu’il sentira sur ses fesses. Jusqu’à aujourd’hui, ce n’était que la mienne. Il faudra qu’il s’habitue à la vôtre. Mais vous pouvez compter sur mon entier soutien.

– Je tiens beaucoup à ce que les parents… enfin ceux qui détiennent l’autorité habituelle sur mes élèves, précisa-t-elle en souriant, soient pleinement impliqués dans le processus d’apprentissage. Il est nécessaire que les élèves sentent qu’ils ont en face d’eux des adultes cohérents et travaillant dans la même direction. Je n’accepterai pas un enfant… je veux dire un élève dont le tuteur ne soit pas pleinement convaincu de l’efficacité de la fessée dans l’arsenal éducatif.

– Pas de souci de mon côté. Au contraire ! Les fessées que Damien recevra à l’école seront doublées à la maison. J’espère bien que vous serez sévère et que cela permettra à Damien de faire de rapides progrès.

– Restera à régler la question de sa tenue. Un pantalon long, comme cela, ne me semble pas adapté pour ma classe. »

La maîtresse donna quelques explications sur la tenue qu’elle recommandait.

« Pantalon court de couleur bleu, bretelles, chemise blanche et cravate, blouse bleue, je crois que j’ai ce qu’il faut à la maison. Dès demain, c’est possible !

– Je vois que nous sommes sur la même ligne. Je ne vois donc pas de difficulté à admettre dans ma classe Monsieur Dom… je vais plutôt dire Damien puisqu’il doit devenir l’un de mes élèves, n’est-ce pas mon garçon ? »

Damien leva à peine la tête. Il ne répondit rien. Une claque sur les fesses vint sanctionner cette impolitesse.

« Annette t’a posé une question, faut-il que j’insiste encore pour que tu lui répondre ? »

Damien regarda furtivement sa femme. Elle irait jusqu’au bout. Il le savait, mais il n’y tenait pas.

« Oui… euh…

– Appelle-moi maîtresse, comme tous mes élèves !

– Oui maîtresse. »

Madame Dompierre approuva d’un hochement de tête. Elle avait le sentiment d’avoir pris une décision pertinente. Ici, Damien serait en de bonnes mains.

« Je vous propose donc d’admettre Damien dans ma classe, si mes conditions vous conviennent.

– J’en suis très heureuse, mais faut-il que je participe aux frais ? C’est possible, ce serait naturel.

– Voyez cela avec Madame Marianne. C’est elle qui a financé mon initiative, mais je ne crois pas qu’il y aura de difficulté. Me laissez-vous Damien dès maintenant ? Le plus tôt sera le mieux.

– C’est convenu. Je reviendrai le chercher à midi. Bon travail à tous ! »

 

Damien faillit protester, mais il se retint à temps.

« Va t’assoir là, Damien ! Tu vas commencer par remplir ton carnet de correspondance. »

Damien prit place, mais il se débrouillait pour montrer son désaccord en traînant des pieds. Tout son langage corporel indiquait sa mauvaise volonté à se retrouver, malgré lui, dans cette situation. Il prit le carnet que lui tendait la maîtresse, mais d’un geste brusque.

« Je te conseille de te calmer Damien ! Autrement, je vais m’en charger ! »

Il regarda la maîtresse dans les yeux et il y lut sa détermination qui n’était pas sans lui rappeler celle de sa compagne. Il décida de se montrer plus discret.

« Tu recopies exactement, avec les éléments qui te concernent, ce que Philippe a écrit sur son carnet. Tu me montreras cela quand tu auras fini. »

 

Elle revint vers Aurélie.

« Voyons ce que tu as retenu de ta lecture. »

La panique gagna Aurélie. Elle n’avait rien lu des pages qu’elle devait étudier. La scène qui s’était déroulé sous ses yeux avait accaparé toute son attention et elle avait oublié que la maîtresse lui avait donné du travail à faire. Elle jeta un œil désespéré sur son livre, tachant de glaner rapidement les quelques informations qui lui permettraient de répondre aux questions qui n’allaient pas manquer de venir. Le manuel disparut de sous ses yeux.

« Alors, cite-moi cinq affluents de la Loire ;

– Euh… de la Loire… eh bien… le Cher… et puis… la Saône… et… l’Eure… La Mayenne… et…la Dordogne ?

– Hum, je vois. Deux sur cinq ! Pas terrible. Une autre question pour te rattraper : où prend-elle sa source ?

– Sa source ?

– Oui, c’est bien la question que je t’ai posée.

– Dans la Massif central ? »

Elle se rappelait vaguement un carte où ce fleuve provenait du centre de la France. Cela ne pouvait être que dans ce massif montagneux.

« C’est bien dans le massif central, mais où plus exactement ? »

Aurélie chercha désespérément le nom d’un sommet dans cet ensemble montagneux.

« Le Puy de Dôme, cria-t-elle triomphalement ! »

C’était le seul nom qui lui était revenu. La maîtresse fit une grimace.

« Une dernière question pour être certaine : as-tu une idée de la longueur de ce fleuve ?

– La longueur ?

– Cesse de répéter mes questions et réponds-y !

– Oui, maîtresse ! Euh… trois cents kilomètres ? »

Cela lui sembla déjà bigrement long, pour un fleuve.

« C’est bien ce que je pensais. Tu n’as pas lu une ligne de ces deux pages ! »

La maîtresse prit Aurélie par le bras et elle l’amena au milieu de l’allée qui séparait les deux rangées de tables. Elle coinça la jeune femme sous son coude, puis elle retroussa la blouse et la jupe, mettant en évidence la culotte blanche que sa mère lui avait mise. D‘un geste ferme, elle la baissa et l’abandonna quand elle fut descendue sur les mollets de la jeune femme. Elle raffermit alors sa prise sur la taille d’Aurélie dont les fesses étaient maintenant tournées vers le pupitre de Damien.

« Tu vas me copier cinq fois ces deux pages sur la Loire. Puis tu souligneras les bonnes réponses aux questions que je t’ai posées. Demain, je t’interrogerai de nouveau sur cette leçon. Tu seras punie pour toute mauvaise réponse. Mais auparavant… »

La main de la maîtresse tomba sur les fesses nues. Une fois à gauche, puis la suivante à droite. Puis elle recommença. Cela résonnait dans la pièce et le léger écho laissait à penser qu’à chaque fois Aurélie recevait deux fessées. Ses cris devinrent désespérés, mais la maîtresse jugea que la correction n’avait pas encore fait son effet. Il fallait poursuivre.

 

Damien était positionné à moins de deux mètres des fesses d’Aurélie. Il avait ressenti une évidente excitation quand la maîtresse avait déculotté la jeune femme devant lui. Il avait bien pensé recevoir la fessée selon les informations que sa femme et la maîtresse avaient échangé, mais il n’avait pas imaginé que d’autres en recevraient devant lui. C’est pourtant ce qui se passait.

La première phase de surprise passée, il fut impressionné par l’énergie qui émanait de la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il reconnaissait, dans les plaintes et les gesticulations d’Aurélie, ses propres comportements quand Colette le fessait. La rigueur de la correction qui se déroulait sous son regard, n’avait rien à envier, semblait-il, à celle que qu’obtenait sa compagne.

Les fesses rougissaient à vue d’œil. Il n’avait pas vraiment eu le temps de s’imaginer ce que pourrait être une fessée donnée par la maîtresse, mais il savait maintenant que ce serait une punition à prendre en compte.

De plus, si ses deux condisciples, garçon comme fille, avaient été déculottés publiquement, il prenait conscience qu’il n’y avait aucune chance que cela lui fût épargné. C’était nouveau pour lui. Jusqu’alors, Colette ne l’avait corrigé qu’en privé. Le pire qui lui était arrivé, c’était quand il avait été corrigé dans la chambre alors que des invités se trouvaient dans le séjour. Un couloir et une porte fermée protégeaient son intimité. Quand il était revenu après avoir fait disparaître les traces de ses larmes, nul n’avait fait de remarque, ni ne lui avait jeté de regard interrogateur. Il en avait déduit qu’aucun de ses amis ne s’était douté de la nature du traitement qu’il venait de recevoir. A l’école, visiblement, il n’en serait pas de même.

Il se vit à la place de la jeune femme, persuadé que cela lui arriverait tôt ou tard s’il se laissait faire. C’était apparemment le cas d’Aurélie. Elle ne faisait aucun effort pour se libérer. Il n’en faisait pas plus quand c’était Colette qui sévissait, mais une aussi jeune fille… lui donner une fessée déculottée et devant les autres élèves… Oserait-il résister ? Que dirait sa compagne si la maîtresse se plaignait de son comportement ? Il connaissait sa réaction. Cela lui donnerait-il l’énergie nécessaire pour se soumettre à la punition de la maîtresse ?

Toute son trouble provoqué par la nudité des formes féminines sous ses yeux avait disparu. La fessée l’avait ramené à sa propre condition d’élève soumis à l’autorité de sa nouvelle institutrice. Il ressentait maintenant, presque physiquement, l’impact des claques sur la peau nue. Il se mettait à la place de sa camarade et cela n’avait rien d’amusant de recevoir une telle fessée.

 

Enfin, la fessée arriva à son terme. La maîtresse remonta la culotte sur des fesses écarlates, puis elle relâcha Aurélie qui ne prit pas la peine de rajuster sa tenue. Sa jupe et sa blouse n’avaient pas tout à fait repris leur position de départ, d’autant plus qu’Aurélie les soulevaient en frottant ses fesses à travers sa culotte qu’elle laissait voir sans sembler y accorder de l’importance, comme si elle était seule dans la pièce.

« Laisse tes fesses tranquilles et retourne à ta place ! Tu peux commencer à copier les pages que tu as à apprendre ! »

Aurélie se dépêcha d’obéir. Des larmes roulaient encore le long de sa joue.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 25


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

4 commentaires:

  1. Bravo pour le récit déculottage fessée en blouse dans salle de classe à l'ancienne comme j'ai connu l'humiliation d'être traiter comme un écolier d'autrefois
    Vivement la suite

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  2. Amis de la poésie et des fessées en cours de rattrapage scolaire pour mari au chômage partiel... Bonjour! Bonjour JLG.

    Ah Ah, il fallait la trouver celle là... C'est fait, et c'est drôle.
    Madame ne sait plus quoi faire de son mari désœuvré, qu'elle a "dans les pattes" toute la journée à la maison comme un gamin en manque d'activité. Alors après deux ou trois fessées, c'est retour à l'école pour révisions des connaissances et occuper le gamin adulte !
    Evidement, Annette, la maîtresse, pas encore en maillot de bain, à la main leste, et mème sa classe à la fessée. Normal!
    Amusant passage sur les affluents de la Loire... et sa source ...(au mont Gerbier des Joncs, sans blague!) On s'y croirait.
    JLG ne ferait il pas partager aux lecteurs, la nostalgie d'une certaine école aux méthode aujourd'hui un révolues , et notamment des fessées qui allaient avec ? Et ça sent encore, la craie, le tableau noir et les claques sur le derrière.. (sourire)
    Cordialement
    Ramina

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  3. Bonjour JLG,
    Je vois que Annette recrute pour sa classe , bientôt de nouveaux élèves filles et gars jeunes ou âgés
    Au plaisir de vous lire

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  4. Bonjour Messieurs,

    Je suis d'accord avec notre confrère Ramina, Toute cette situation rappelle des souvenirs de l'école républicaine où les problèmes étaient laissés à la porte. J'ai connu aussi les cartes murales Lablache et les tableaux historiques peints. "La Loire prend sa source au mont Gerbier des Joncs et la Seine sur le plateau de Langres...". J'ai connu vers 1972-1975 la TV scolaire à 14 h le Mardi, qu'on regardait à la cantine avant d'aller en classe où notre
    institutrice nous demandait de parler de ce que l'on avait vu. Prétexte parfois à une petite dictée autour du sujet projeté.
    Il y avait aussi les films en salles de "Connaissances du Monde" à la fin desquels le conférencier discutait du film à partir des questions qu'on lui posait. Et le "cinéma de Noël" : une séance payante en guise de "récompense " (Ce qui m'a permis de voir "Peau d'Âne" avec la sublime "Reine Catherine").Eh oui, tout cela ne nous rajeunit pas mais qu'importe... Comme dirait ce bon monsieur De La Fontaine...
    Amicalement. Peter.

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