QUI
AIME BIEN, FESSE BIEN
ANDREW
AUX PRISE AVEC GERALDINE, GEROME AVEC MARGARET.
Andrew n'est pas au bout
de ses peines. Sa fessée terminée, il doit rester à genoux, déculotté, le
derrière en exposition, largement
déployé, vers l'assistance. Le temps, pour ces Dames, d'apprécier l'efficacité
de la correction. L'intensité de la couleur et la qualité de cuisson des deux
fesses sont les critères d'évaluation. Le niveau de satisfaction, très élevé,
étant rarement atteint au premier service, malheur au propriétaire d'un fessier
recalé. Il est, gracieusement invité à retourner s'allonger sur les genoux
d'une des dames présentes, pour y recevoir une nouvelle fessée, dite,
d'ajustement. Selon l'humeur du moment, il fallait souvent plusieurs allers et retours
et deux ou trois fessées supplémentaires pour satisfaire aux exigences
disciplinaires des maîtresses femmes. Andrew, venant d'arriver, en fut informé,
mais dispensé, à titre provisoire.
A genoux aux pieds des
quatre femmes, il gémissait en se tenant les fesses à pleines mains .
Margaret les lui ayant particulièrement soignées et c'est elle qu'il implorait
prioritairement .
– Oooh... Madame...
please... trop hard, la Spanking... Euuh... La feé-ssée !
Elle se penche vers lui
avec un petit sourire narquois, et plonge son regard dans ses yeux brillants de
larmes
– Ce n'est rien mon
ami... juste une petite fessée de rien du tout... un hors d'œuvre !
Maintenant c'est Géraldine qui va s'occuper du plat de résistance. Vous allez
voir comme elle cuisine bien les derrières. Le vôtre a aimé ma fessée n'est-ce
pas ?
Le pauvre garçon comprend à peine et ne sait
pas quoi répondre, encore moins en français.
Margaret continue avec cynisme.
– Alors, il va adorer
celle de Géraldine.
Elle interpelle sa fille
sans le quitter des yeux.
– Géraldine chérie,
c'est toi la victime de sa maladresse... C'est donc à toi de le punir. Tu sais ce qu'il te reste à faire.
– Bien sûr maman, je
sais !
Patricia la mine
réjouie, s'empresse de répondre à la suite.
– Ah oui... Moi aussi,
je sais ! Une bonne déculottée sur son gros cul !
– Patricia, enfin, qu'est-ce
que c'est que ce langage ! La reprend sa mère d'une nouvelle tape sur la
cuisse. Continue comme ça et c'est moi qui t'en mets une devant tout le
monde !
Pour ponctuer son
avertissement, elle se ressert un verre, d'autorité, et pioche dans l'assiette
de biscuits salés.
– Excellent ce Whisky,
on y prendrait goût... Je t'en sers un autre ma chérie, ça va peut- être calmer
tes ardeurs ? .
– Volontiers, répond
Patricia. Elle frétille du derrière en tendant son verre et ajoute avec ironie. A la bonne santé des
fesses du jeune homme au pair !
Elle rit, déguste une petite gorgée de Whisky
et manifeste sa satisfaction d'un claquement de langue.
Géraldine, s'est déjà
installée sur le tabouret à fessée. Elle a retroussé sa jupe en haut de ses
cuisses, jusqu'au renfort noir de ses bas nylon, encore humides du Whisky
qu'Andrew a renversé dessus. Motif amplement suffisant pour justifier une
nouvelle fessée, dans la continuité des deux précédentes. Margaret en flanque
souvent pour bien moins que ça. Elle estime que, pour être vraiment efficace,
on devrait administrer les fessées comme un traitement pour une angine, matin,
midi et soir. Pour le moment elle garde la main sur le diagnostic et le
traitement.
Sûre de sa force et de
son autorité, la maîtresse de maison a saisi le jeune homme par l'oreille, et
le traîne vers la suite de sa
punition avec à peu près autant
de considération que si elle déplaçait une chaise. A ce stade de la correction,
le pauvre garçon n'est plus rien d'autre qu'une paire de fesses à claquer,
qu'elle vient déjà de sévèrement corriger à deux reprises. Le pantalon aux
chevilles, caleçon sur les cuisses, elle le trimballe à bout de bras, claques
aux fesses direction les genoux de Géraldine pour lui faire administrer sa
troisième fessée de la journée.
Elle aussi a adopté la
règle de Bettina, une voisine amie de Clarisse. Comme quoi, l'effet d'une
fessée ne commence véritablement à se faire sentir que lorsque les fesses du
puni sont écarlates et lui, en larmes. Celles d'Andrew en sont à ce niveau de
préparation et c'est à Géraldine que revient maintenant le plaisir des
finitions.
– Veux-tu que je te le
reculotte ? lui demande sa mère aussi naturellement qu'elle proposerait
une deuxième tournée de Whisky … C'est toujours excitant de déculotter soi-même
le derrière qu'on va corriger, surtout quand il est déjà bien avancé en cuisson
!
Patricia se trémousse d'aise
sur le canapé.
– Moi, j'adoooore
ça ! s'exclame-t-elle avec une exubérance consécutive à sa
consommation de pur malt. Déculotter une
paire de fesses bien rouges d'une bonne fessée pour lui en flanquer une autre par-dessus ... J'en mouille mon slip rien que d'y
penser !
– Patricia !!! Enfin ! La houspille mollement sa mère
en faisant semblant d'être scandalisée. C'est pas une raison pour le crier sur
les toits, d'autant que c'est pareil pour nous toutes … Puis, elle rit, elle aussi, rendue joyeuse
par le douze ans d'âge. Elle s'en rend compte d'ailleurs et s'esclaffe à
nouveau.
– Ça doit être à cause
des glaçons...
Margaret, qui tient toujours son anglais au
pair par une oreille avant de le propulser sur les cuisses de Géraldine,
enchaîne sur le même ton de la dérision, sans qu'on sache si elle plaisante
vraiment.
– Sûrement à cause de
ça ! C'est mauvais les glaçons dans du Pur Malt, ça vous tourne la tête
quand on n'a pas l'habitude.
Les
trois femmes se trouvent très drôles et éclatent de rire en même temps.
Andrew ne fait pas le
poids sous la poigne de son imposante préceptrice. Suspendu à bout de bras
comme un vêtement sur un porte manteau, les pieds touchant à peine le sol, Il
attend docilement, la suite de sa punition. Par fierté, toute britannique, il
essaye de retenir ses sanglots et de reculer ainsi le signal fatidique de sa
capitulation. Il sait qu'il a déjà pratiquement perdu une bonne partie de sa
dignité, alors que la première journée dans sa famille d'accueil, et quel
accueil, n'est pas encore terminée.
Margaret est
parfaitement consciente de l'humiliation qu'elle lui inflige, mais regrette de
ne pas l'entendre gémir davantage. Elle le soulève un peu plus pour lui mettre
le derrière à la hauteur de sa main
libre, et lui fait rageusement sauter les fesses d'une claque retentissante en
plein milieu de chacune. Cette fois ci, il ne peut retentir un cri de douleur
suivi d'une longue plainte larmoyante et d'un bref pédalage dans le vide.
– A la bonne heure, je
savais bien qu'il allait finir par nous en pousser une petite ! S'exclame-t-elle, en secouant la main qui
vient de sévir. Elle a tapé vraiment fort. Elle ironise.
– Quel plaisir de claquer ces grosses fesses
bien fermes... On en a vraiment plein la main !
Puis s'adressant à Géraldine qui lorgne avec
convoitise vers le postérieur à la rougeur
ravivée par le dernier aller et retour.
– Tu ne m'as toujours
pas répondu chérie. Je te le reculotte, ou tu préfères lui en remettre une,
direct, comme ça ? Je te laisse décider, c'est toi qui fesses ! .
– Je te remercie maman,
mais franchement c'est pas la peine. Quand je vois son espèce de caleçon à pois
qui lui pendouille entre les jambes...Pas vraiment excitant. Va falloir
l'habituer à porter des slips à fessée !
Elle a pris le temps de
s'installer confortablement sur le tabouret de discipline, son plantureux
derrière, encore sensible des séances de fessées de l'après midi, débordant du
siège. Il lui faut une position stable pour bien fesser, fort et longtemps.
Avec un grand sourire de satisfaction, elle saisit Andrew par les cheveux et le
fait basculer sans ménagement sur ses cuisses, jambes en l'air, la tête en bas.
Il n'a opposé aucune résistance et s'est carrément écroulé en position pour
présenter docilement son postérieur tremblant, prêt à recevoir la fessée
suivante.
– Please
Miss...pas … pas trop hard... the
spank... la...la fesséééeéée !!
Supplie -t-il dans un
long soupir d'agonisant qui s'éteint progressivement au niveau du carrelage.
Géraldine se moque de
ses supplications comme de l'achat de son premier slip de nylon pour remplacer
ses culottes en coton de petite fille. Elle attend ce moment depuis qu'elle est
rentrée et aperçu la belle paire de fesses tressauter en cadence sur les genoux
de sa mère. Celle-ci d'ailleurs l'encourage.
– Allez ma chérie, mets-lui-en
une bonne. Il est ici pour se familiariser avec la langue et la culture
française. Autant lui donner tout de suite un échantillon de ce qu'est une
séance de fessées à la française !
Fais toi plaisir !
– Oui, fais nous plaisir
aussi ! reprennent en cœur Gladys et Patricia qui se trémoussent d'impatience dans leur fauteuil. Elles
croisent et décroisent nerveusement les jambes dans un bruissement de bas
nylon.
Gladys tend son verre
vide à Margaret.
– Séduisant l'Aberlour
douze ans de notre ami anglais. Parfait à déguster pour pendant les fessées.
– Est-ce bien
raisonnable ? Répond Margaret d'un ton faussement modérateur . Ce n'est
pas son genre. Elle rit, et fait tinter les glaçons dans les verres. Aller ma
chérie ! lance-t-elle à Géraldine, c'est le moment d'apprendre à notre ami
anglais les formules de politesse, en usage par ici. Fais-nous claquer bien fort cette belle paire
de fesses et tourne-les un peu plus vers nous pour qu'on les voit bien rougir...
Géraldine s'exécute et
fait pivoter le tabouret pour orienter le derrière de son puni vers les trois
femmes et l'exposer au mieux à leurs regards gourmands.
– Il vous les présente les bien comme ça, ou vous les voulez encore plus
tendues ?
– Oui, c'est pas mal, dit sa mère avec une
moue dubitative, mais il faudrait que tu les lui rehausse encore pour l'obliger
à les arrondir davantage. Tu n'as qu'à croiser les jambes, elles vont remonter
toute seules. Tu en penses quoi Gladys ?
– La même chose que
toi ! Une fessée déculottée est toujours plus retentissante sur des fesses
bien rebondies. Plus elles sont tendues, mieux elles claquent.
– Tout à fait ! Et puis, d'où on est
placées, on ne veut voir que ses fesses.... en panoramique !
Gladys surenchérit en se
calant dans son fauteuil pour assister confortablement au spectacle .
– Ses fesses et rien
d'autre !
– Le reste on s'en
fiche, murmure Patricia fascinée par les rondeurs rougeoyantes déployées sous
ses yeux. Aucune ne voit le reste de son corps penché de l'autre côté, au ras
du sol.
Margaret en maîtresse
des opérations, finit de donner ses consignes.
– Voilà c'est parfait
comme ça, on les a bien en vue. Gladys, Patricia, ça vous convient, la fessée
peut commencer ?
– C'est parfait, on n'en
perdra pas une miette.
– Tu peux y aller ma
chérie, mets-lui-en une sévère, comme tu sais le faire ! Il faut qu'il retienne
la leçon. C'est sa première, ça doit le marquer.
–
T'inquiète maman, il va s'en souvenir !
Géraldine,
n'a pas besoin d'encouragement. Elle cambre les reins pour donner un maximum
d'élan à sa main qu'elle lève bien haut au-dessus de sa tête, et, avec un plaisir manifeste, entame une magistrale
fessée. Déjà recuit de la récente petite dernière, venue s'ajouter à la
précédente, le postérieur pourtant endurant du jeune homme, se retrouve
rapidement en surchauffe. Serrant les dents sous les rafales de claques qui lui
mettent le fessier en fusion, il commence à se demander entre quelles mains il
est allé le mettre et regrette déjà de ne pas avoir suffisamment réfléchi avant
d'accepter ce séjour linguistique. Sa culture de la langue française se limite
pour le moment à celle de la fessée.
Au début, il a bien tenté de retrouver un peu de sa dignité en
résistant stoïquement à la correction, la troisième en peu de temps tout de
même, mais ses timides protestations se sont muées en une longue lamentation,
au fur et à mesure que la main de Géraldine s’abat sur ses fesses avec de plus
en plus de force,
– Vous entendez ça ? Notre ami commence à nous faire de
belles vocalises, s'exclame-t-elle en faisant voltiger les allers et retours
d'une fesse sur l'autre. Elles
rebondissent en cadence sur ses genoux. C'est qu'il se la prend bien sa
fessée ! Tu disais vrai maman, on en a plein la main !
Poussé aux limites de sa
capacité d'endurance, Andrew ne peut retenir ses larmes et se trouve alors
ravalé au rang de petit garçon puni et contrit. Il se rend compte avec effroi,
que Margaret comme sa fille, ne lui passeront aucune faute de langage ni même
de comportement. A chaque fois qu'il
sera pris en défaut, elles n'auront aucun scrupule à le corriger sévèrement
après l'avoir déculotté devant tout le monde. Il ressent déjà une forte honte à
la cuisante fessée que Géraldine lui claque au derrière, devant leurs amies qui
se régalent manifestement du spectacle à défaut de participer, pour le moment .
Il en est là de ses réflexions lorsque, malgré le formidable claquement de ses fesses,
il entend le carillon de l'entrée annonçant une nouvelle visite et la voix de
Margaret au-dessus du vacarme.
Elle se lève en lissant sa jupe serrée sur son plantureux fessier.
– Continue ta fessée ma chérie, tu as trouvé un bon rythme,
ça serait dommage de le perdre ... Je vais voir qui c'est. Ne bougez pas
mesdames, profitez du spectacle.
Les deux femmes qui
n'avaient nullement l'intention de bouger, répondent seulement par un signe de
tête. Elles restent, concentrées sur les fesses trépidantes d'Andrew, qui,
exécutent de spectaculaire figures libres sur les cuisses gainées de nylon de
sa correctrice. Son ventre et son sexe tendu, s'entrechoquent en cadence sur les boucles métalliques de ses jarretelles.
Dans la position où il se trouve, la tête ballottant au ras
du sol il ne voit, évidemment, rien de ce qu'il se passe derrière lui. Malgré le bruit des claquées qui lui
explosent le derrière, il perçoit seulement le claquement d'une paire de talons
aiguille qui se déplacent jusqu'au
vestibule. Puis, l'ouverture de la porte d'entrée et la voix grave de la
maîtresse de maison répondant au salut
d'une nouvel arrivant.
– Ah c'est toi Gérôme ! Qu'est-ce que tu viens faire ici à cette heure ?
–
Euuuh, c'est votre fille qui m'a dit de passer … On s'est croisés dans la rue,
cet après-midi, avec mon cousin Rodolphe.
– Ah bon, elle t'a demandé de venir, je ne suis pas au
courant, Elle ajoute avec un sourire
amusé, pour le mettre mal à l'aise. On n'a pas eu le temps de se parler,
j'étais en train de fesser Andrew, notre
étudiant au pair, quand elle est rentrée tout à l'heure. Et vois-tu, je n'aime pas être dérangée quand je
fesse, précise t- elle d'un ton très sérieux. Question de rythme, tu
comprends ?... Ta mère est au
courant que tu es là, au moins ?
Cueilli à froid, Gérôme, complètement déstabilisé devant
cette femme qui le domine de toute sa hauteur, reste planté sur le paillasson.
Il avale sa difficilement sa salive.
– Ah ?...
euuuh... oui,
Madame, oui,
bien sûr ! Je... je l'ai prévenue.
Géraldine, m'a dit que ça avait un rapport avec les cours d'Anglais que me donne
Patricia.
Margaret sourit , l'air songeur et lui jette un regard
lourd par dessous ses paupières.
– Puisqu'elle te l'a dit... aller entre ! Tu vas
profiter du spectacle, elle est justement en pleine représentation.
Gérôme hésite. Il vient de prendre conscience d'un bruit
qu'il connaît bien, auquel il n'a pas fait attention jusqu'ici. Le
claquement d'une main s'abattant en
cadence sur une paire de fesses. A la sonorité des claques, il croit deviner
qu'il s'agit d'une fessée déculottée, et une sacrée fessée parce que ça claque
très fort. Les gémissements et les
pleurs qui l'accompagnent en rythme, lui en donne une idée assez précise. Du coup, une sensation de malaise l'envahit.
Il sent ses propres fesses se serrer dans son slip, déjà très ajusté , mais qui
lui paraît soudain devenu trop étroit .
Le sourie un peu énigmatique de la maîtresse de maison, qui
attend, la main posée sur la poignée de la porte, n'est pas fait pour le
rassurer. Le physique avantageux de la plantureuse femme, son opulente poitrine, ses cuisses somptueuses, ses hanches
larges et sa croupe puissante, l'impressionnaient toujours quand il la croisait
dans la rue. Mais il ne l'avait jamais vue de si près. Sa haute stature et son
allure autoritaire, laissait paraître une forte personnalité. Elle inspirait
d'autant mieux la crainte et le respect qu'elle avait la réputation d'être très
stricte sur la discipline. Au point de vanter ouvertement la sévérité des
fessées qu'elle flanquait régulièrement à son mari et à son fils. Géraldine, sa
fille, en prenait aussi mais pas pour les mêmes raisons. Cet usage immodéré de
la fessée n'avait, somme toute, rien d'exceptionnel, puisque c'était une
méthode de discipline, que toutes les femmes et épouses du quartier avaient
adoptée depuis longtemps .
Planté sur le pas de la porte, Gérôme n'avait plus du tout
envie d'entrer. La prestance de la femme qu'il avait devant lui, le subjuguait,
et l'angoissait en même temps. Un frisson de trouille le parcouru lorsque son
regard tomba sur sa large main à la paume solide, aux longs doigts redoutables.
Il s'imagina, aussitôt, immobilisé sur ses genoux, ou coincé entre ses fortes
cuisses, en train de recevoir une de ces cuisantes fessées qu'elle devait
forcément aimer administrer. Il se mit à cauchemarder éveillé, imaginant
qu'elle serait certainement capable de
lui éclater son slip sur le derrière en cinq minutes chrono... Il avait l'impression de sentir sa main à
claquer sur ses fesses et se trouva soudain très seul, avec son derrière, face
à l'impressionnante créature. Même si cela n'aurait pas servi à grand-chose, il se mit à regretter que Rodolphe et
Robin ne soient pas avec lui, solidaires devant la fessée. Il sentit une goutte
de sueur descendre lentement le long de sa colonne vertébrale et s'insinuer
sournoisement entre ses fesses, alors que Margaret, le fixait avec un sourire
plein de sous-entendu. Mais qu'est-ce qu'il était venu faire là ?
Une voix... la voix de cette femme, le sortit brusquement
de sa torpeur. Elle était chaude et enveloppante mais lui sembla tonitruante,
presque inquiétante, alors qu'elle était tout à fait normale...
– Alors, Gérôme... tu te décides, oui ou non ?
Quelque chose ne va pas on dirait... Tu es bien pâle, tout d'un
coup ! Quelque chose que tu ne m'as
pas dit sur la raison de ta visite.
– Non, non, Madame... pas du tout ! Je vous
assure !
–
Allons , allons ne mens pas... je le vois bien à ta tête
Il ne pouvait évidemment pas lui raconter qu'il s'était
amusé à mater les fesses de sa fille, en la suivant dans la rue avec son
cousin. Ça le perturbait d'autant plus qu'il entendait nettement monter du
salon, le claquement sec et régulier de la
fessée, dont il était certain, maintenant, qu'elle était déculottée. Et
pour claquer, ça claquait sacrément fort, avec des cris de douleur et des
commentaires acerbes, lancés d'une voix qui ressemblait fortement à celle de
Géraldine. Il eut soudain l'impression que cette fessée se déroulait presque
devant lui.
Margaret le fascinait . Elle le dominait de toute sa
haute stature, et dégageait une telle impression de force et d'autorité, qu'il
avait l'impression de rétrécir devant elle. Sûr que cette femme, redoutable,
pouvait, si elle le voulait, le coller, sans difficulté, sous son bras, le
déculotter et lui flanquer une fessée, là dans l'entrée ! Ou le traîner de force dans le salon pour lui
en claquer une devant tout le monde...
Sans doute
traumatisé par les sévères fessées que lui administrait Patricia pendant ses
cours d'Anglais, et toutes celle de Ma'am Thérez, ses sœurs, et ses
cousines, il s'attendait au pire à
chaque fois qu'il se trouvait en présence d'une créature féminine à l'allure
autoritaire.
Il
essaya de reprendre ses esprits.
– Mon pauvre Gérôme, se dit il en lui-même, tu délires complètement ou tu deviens
parano !
Ça le rassurait de se tutoyer quand il se parlait dans son for intérieur. Il commença à battre en
retraite, au son de la retentissante fessée qui venait du salon et
sonorisait maintenant toute la maison,
jusque dehors, par la fenêtre ouverte. Effrayant ! Son instinct de survie lui murmurait qu'il
valait mieux éviter de laisser traîner ses fesses dans le coin. Impression qui
se transforma instantanément en certitude, lorsqu'il entendit la voix agacée de
Margaret, l'interpeller de nouveau.
– Alors Gérôme... qu'est-ce que tu attends ? Tu comptes rester planté là où il faut que je te prenne par la main, elle sourit... Ou en main ?
– Euh, non Madame, articula-t-il d'une voix blanche, la gorge sèche
après avoir avalé deux cents quarante-sept fois sa salive. Je crois que je vais
repasser demain... Votre fille à l'air très occupée... je ne voudrais, pas la
déranger... Je ne sais pas pourquoi elle voulait me voir mais... mais euuuh...
ça ne doit pas être si important que ça.
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 4 La suite, c'est très bientôt.
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Hello Ramina,
RépondreSupprimerAndrew, l'étudiant de la perfide Albion : Acte 2. Talaaaaam !
Petit cours particulier dans la langue de Molière ("Qu'allait-il faire dans cette galère ???"- Scapin). Serait-ce la Spanking dance ?
Et Gérome qui arrive comme un cheveu dans la soupe. Digne dans son ensemble de jeune homme de bonne famille.
Petite Fable remaniée : "Il alla crier "Géraldine" chez Mam'e Tapefort, sa voisine!/ Que faites vous là ? Dit-elle à cet importun / Votre fille m'a mandé de passer/ De passer ce matin ?
/ A votre aise ! Eh bien, ce sera la fessée de ma main !"
(La dame fesseuse et le jeune homme soumis: la cigale, etc Version 2020 )-
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et de la fessée ajustée, bonsoir,
RépondreSupprimerJe vois qu'il n'y a pas que le personnel de Ste CROIX qui mouille ses dessous en ayant assisté à une rouste maison sur des fesses bien fermes, tout en dégustant un bon whisky anglais... C'est comme les glaces durant un film, on en mangerait jusqu'à la fin de la séance.
Le séjour linguistique commence par une bonne prononciation du mot fessée, c'est important de tout retenir et avoir "l'épée de la dame au cleps" ( rire ) sur la tête met du coeur à l'ouvrage. Si ça ne rentre pas par le haut, et bien, ça rentrera pas le bas. Il faut bien que ça rentre quelque part.
On se réjouit que ce pauvre Andrew soit fessé devant tout un tas de femmes, ça rend la punition plus humiliante. Après ça, Andrew fera tout que qui est possible pour ne pas s'en reprendre une autre, mais ne dit-on pas chasser le naturel, celui-ci revient au galop et Andrew n'est pas franchement un excellent élève.
Et le Gérôme qui vient se mêler à la fête des claques, fasciné qu'il est sur Margaret avec qui il se verrait bien être lui-aussi fessé comme il se doit. Mater les fesses d'une jeune fille est tout à fait contraire aux bons moeurs et au fond de lui, Gérôme sait qu'il a fauté. Cela dit, il a l'air ni courageux ni téméraire, mais il a Ô combien raison de battre en retraite, pour le bien de son postérieur au cas où Géraldine lui réserverait un traitement digne de ce nom.
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEt bien mon cher ami, ce récit t'inspire, on dirait ! Désopilants petits délires, sur le thème! Quel feu d'artifice , de jeu de mots percutants , citations en cascade, comptines et fables détournées... En pleine forme le Peter! Comme les fessiers rougissant sous les mains expertes de ces Dames aux mains de plus en plus fermes!
Patricia et Géraldine jubilent, Andrew découvre les dessous de la discipline à la française, Gérôme, qui s'est imprudemment fourré dans la gueule des louves, a bien raison de se méfier. Mais ça risque d'être un peu tard. Le piège se referme... sur ses fesses !
Fichtre, palsambleu! Que va t il donc bien pouvoir se passer maintenant ? On se demande, et on en frémit d'horreur à l'avance !
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerMerci et bravo pour cet excellent commentaire. L'émulation entre auteurs joue à plein temps. Je pensais bien ,qu'un jour ou l'autre, vous alliez me tourner une petit résumé de lecture de derrière les fagots( à fesser!) aussi pertinent que celui là.
Et oui,chère amie, la fessée présente l'avantage de provoquer d'excitantes sensations, pour ceux et celles qui l'administrent, ceux qui la reçoivent, malgré la cuisson et les autres qui en contemplent le croustillant spectacle. Triple effet KISS COOL en dessous de la ceinture ! Il n'y a pas de mal à se faire du bien, là ou ça fait mal... comme à Ste CROIX !
Pour ce qui est de nos héros perturbés, difficile de garantir qu'Andrew ne se prenne pas une autre fessée, tout comme Gérôme qui a toutes les raisons de se méfier de l'impressionnante Margaret, aux mains comme des battoirs ... IL faut reconnaitre que le derrière du jeune homme, même solide et endurant, risque de ne pas faire le poids sous la cuisante force frappe de la plantureuse créature.
Oula,la...Comme dit Peter: "ça va chaufeeeeeer!!"
Amicalement.
Ramina