lundi 8 juin 2020

Les rebelles -chapitre 35

Comme évoqué par Fabienne D. lors de notre retour d’Angleterre, chaque délégué de classe relaie dans sa section l’information de la projection, le lendemain, des trois films de corrections de six étudiantes de BTS en échange linguistique en Angleterre.
Lorsque Léa annonce ça devant toute la classe, nous sentons de multiples regards nous dévisager, à la recherche de réactions de notre part. Nous sommes muettes, la tête basse, préférant fuir les regards inquisiteurs et ravis de nos camarades, dont certains s’en délectent d’avance. Adilson dit qu’ils vont se régaler, une fois encore, de regarder la façon dont nous avons été punies. Ulrich, un de nos camarades, ajoute même que lorsque l’on cherche les ennuis, on les trouve à tous les coups et que décidément, nous sommes des machines à attirer les embêtements, comme si nous aimions nous faire fouetter devant tout le monde. Je me contente de les fusiller du regard avant de baisser les yeux.
Dans ma tête, tout s’emmêle. Tout d’abord la colère contre Ulrich et ses remarques idiotes et d’autre part, les images de mes corrections me reviennent à l’esprit, mais si ça n’avait pas eu lieu, ma rencontre avec Brittany ne se serait peut-être pas faite et avec le recul, ça aurait été dommage, car j’ai adoré ces tendres moments de complicité avec elle, même si ça m’a couté énormément. Bien évidemment, j’ai raté Ethan, mais notre relation aurait été toute autre. Ce voyage n’aura pas été un long fleuve tranquille, loin s’en faut !
Ma soirée est morose et Maman se doute de cet état de fait, il ne lui faut pas longtemps pour me tirer les vers du nez. C’est dans ses bras réconfortants que je lui avoue ce qui va se passer le lendemain. Elle me dit que je devais m’y attendre et que plus vite ce sera fait, plus vite je tenterais d’oublier, même si ce genre d’humiliation ne s’oublie jamais. Nous allons encore être sur la sellette et être la risée de toute l’école. Elle ajoute que si ça pouvait me faire mûrir, ce serait bien. Je suis longue à trouver le sommeil, passant et repassant tous les scénarios possibles dans ma tête et la façon de me comporter lorsque je regarderai ces films.
Le lendemain matin, Maman me dit que j’ai une petite mine, mais ce soir, je me sentirai mieux, comme un poids en moins sur ma conscience. En attendant, je prends le bus où je retrouve mes deux amies Iourievna et Olga, qui tentent elles aussi de dédramatiser la situation, sans trop y parvenir, tant mon angoisse est prenante. Mes yeux sont larmoyants.
La journée passe beaucoup plus vite que prévu et la séance de cinéma approche. Vers dix-sept heures, avant que tout le monde s’en aille, notre proviseure nous rassemble dans un amphi et nous apercevant, elle nous appelle toutes les six pour nous placer au premier rang, car nous sommes les « héroïnes » des films. Fabienne D. nous fait monter sur l’estrade et demande que l’on se présente toutes les six, afin que tous sachent qui nous sommes et elle nous ordonne de demander pardon aux élèves, aux professeurs et à l’école.
D’une petite voix timide, en bafouillant ou en bégayant et rouges de honte avec des sanglots contenus, nous nous présentons face aux nombreux spectateurs qui s’esclaffent en vous voyant nous décomposer d’émotion :
·        Elena E. dix-huit ans, étudiante de seconde année de BTS,
·        Kirsten K. dix-huit ans, étudiante de seconde année de BTS,
·        Yang Z. dix-huit ans, étudiante de seconde année de BTS,
·        Naia M. dix-neuf ans, étudiante de seconde année de BTS,
·        Coralie H. dix-neuf ans, étudiante de seconde année de BTS,
·        Samantha D. vingt ans, étudiante de seconde année de BTS.
Nous énumérons nos fautes :
·        Nous avons été effrontées et aguicheuses vis-à-vis des garçons de St ANDREWS,
·        Nous avons été grossières avec les riverains en leur faisant des bras d’honneur et sales en urinant contre le mur d’enceinte de St ANDREWS.
Cette épreuve d’aveux est particulièrement pénible, car notre image est sacrément écornée et tous peuvent nous voir et entendre de notre bouche la mauvaise perception que nous avons donnée de nous, de Ste CROIX et de la France. Après avoir fait ces confessions, chacune notre tour, nous présentons nos excuses :
·        Nous reconnaissons que nos punitions étaient amplement justifiées et nous remercions les femmes qui nous ont punies.
La proviseure nous envoie nous assoir au premier rang, devant tout le monde. Les rumeurs enflent de plus en plus dans cet amphi. Devant l’écran géant, les trois films sont projetés à la suite, le premier où nous avons été punies avec une badine, le second où nous étions équipées de vêtements de pénitence bourrés d’orties et le troisième où nous avons été fouettées intégralement. N’étant plus absorbées par la douleur, nous nous rendons compte davantage de l’ambiance qui avait lieu et le réel plaisir des élèves à nous regarder souffrir. A l’évidence, les élèves de l’amphi ont la même délectation que les anglais. Sur certains plans des films, nous voyons que garçons comme filles se caressent avec entrain, d’autres nous insultent copieusement ou applaudissent lorsqu’une flagellatrice nous cingle les parties sensibles qui nous fait hurler et nous contorsionner de façon très impudique. Les deux cameramen captent et alternent parfaitement les gros plans de nos corps dénudés exhibant largement nos formes féminines, nos gesticulations et nos expressions de souffrance et les plans larges qui montrent notamment les spectateurs euphoriques d’assister à cet excitant spectacle. En revoyant ces moments poignants et douloureux, nos larmes inondent notre visage, car nous avons l’impression de vivre une seconde fois ces trois punitions.
A la fin du visionnage, Fabienne D. nous fait à nouveau venir sur l’estrade au-devant de la scène, ce que nous faisons, le regard dans le vague. Pour sortir, tous les élèves passent devant nous et nous dévisagent, rigolards ou moqueurs. Seules quelques amies ne nous accablent pas, car aucun élève n’est à l’abri de se retrouver un jour à notre place.
Vis-à-vis des élèves des secteurs de baccalauréat, donc plus jeunes que nous, nous nous sentons rabaissées, car notre attitude désinvolte n’est pas à la hauteur du niveau que nous devrions avoir et s’être fait corriger comme des gamines n’arrangent rien. En section mastère, à la rentrée prochaine, nous devrions être des référentes, des modèles à suivre, or ce n’est pas cette image que nous donnons.
A la sortie de l’amphi, Susan vient nous trouver et nous dit que nous avons été sacrément punies mais que nous l’avions bien cherché, mais se faire punir dénudées et en public doit être particulièrement pénible. Elle ajoute que ce spectacle a été bien excitant, elle en est encore toute chamboulée.
Susan nous confie que sa Maman s’est décidée à rejoindre le conseil des mères et que ça sera surement pour elle un moyen d’assister aux punitions des jeunes du quartier, car les familles veulent reprendre les choses en main.
La semaine suivante, en se trompant de téléphone portable, Myriame P., la mère de Thomas, un de nos camarades de classe, trouve des photos et films d’ébats amoureux entre son fils et Alexia, sa petite amie. Rouge écarlate de honte, Thomas tente de se justifier de façon mal ordonnée sur la présence de ces films. Sa mère lui fait la morale, lui dit que c’est tout à fait déplacé et lui dit qu’en cas de piratage, ces photos et films se retrouveraient sur Internet assez rapidement. Thomas n’avait pas vraiment pensé à ça et s’excuse. Il dit qu’il va les effacer et que son téléphone ne servira plus à ça.
Devant sa mère, il efface les images, les films et Myriame P. contrôle qu’en effet le téléphone est vide. Myriame P., furieuse lui dit que les choses ne vont pas s’en arrêter là. Tout d’abord elle va en parler à son père, puis va convoquer le conseil des mères pour statuer sur son cas. Pris de panique, Thomas supplie sa mère de ne pas faire ça, car la mère d’Alexia y est également et si elle l’apprend, Alexia aura des ennuis par sa faute. Myriame P. lui répond qu’il fallait y penser avant ou mieux protéger l’accès à ses données, car elle est tombée dessus par un concours de circonstances, son téléphone n’était même pas verrouillé. De nos jours, comment peut-on être tellement tête en l’air vis-à-vis des données privées ?
Aussitôt après l’altercation, Thomas se demande comment avouer à sa fiancée sa bêtise et avec un peu de réflexion, il prend son courage à deux mains et lui envoie un message pour la prévenir de ce qui risque d’arriver. A peine reçu, Alexia l’appelle et l’incendie copieusement, car sa mère, prévenue par la sienne a exigé de fouiller dans son téléphone et a trouvé les films que Thomas lui avait partagé et qu’elle n’avait pas effacé. Thomas réalise alors que ce qu’il voulait empêcher est arrivé. Sa copine et lui sont dans un beau pétrin et ce ne sont pas ses plates excuses qui calme Alexia, en pleurs au téléphone.
Au lycée le lendemain, l’atmosphère entre Alexia et Thomas n’est pas au beau fixe. Alexia est furieuse et n’est pas prête de lui pardonner ça. En aparté, Alexia nous confie que son idiot de petit copain s’est fait pincer par ses parents avec des films très intimes d’eux deux sur son téléphone. Alexia a cédé lorsque Thomas a insisté pour faire des films, mais à présent, elle se rend compte que ce n’était pas une bonne idée.
Myriame P. décide d’en référer au conseil des mères pour prendre une décision, car elle est partagée entre l’amour de son fils et sa fureur qu’il puisse faire ce genre de films qui pourraient avoir des répercussions sur la bonne réputation de la famille, si ça se diffusait. Myriame P. en parle à Angélique F., la maman d’Alexia pour que les deux jeunes soient jugés en même temps. Celle-ci est d’accord pour que sa fille paie pour ça. Alexia est également scandalisée par la conduite de sa fille.
Deux jours plus tard, lors de la réunion du conseil, les deux jeunes sont s’expliquent sur les faits. Thomas, blanc comme un linge, dit que dans l’action, il n’a pas réfléchi et il a fait le film, quant à Alexia, elle ne voulait pas, mais devant l’insistance de son petit ami, elle a finalement accepté de se laisser filmer en plein ébat. Toutes les mères de famille sont outrées par autant de légèreté dans leur attitude. Faire des films est surement « branché », mais ça ne convient pas à la morale des familles.
Le verdict est plus partagé, Alexia devra recevoir la palette à fessée sur les fesses nues, par contre, Thomas, ayant commis la plus grosse faute, sera fouetté sur les fesses et sur le dos, entièrement nu. Alexia souffle de soulagement, car elle s’en sort à moindre frais. Elle pense que vu le contexte, le conseil des mère a été juste dans l’attribution des punitions. Elle s’attendait à en prendre autant que Thomas, pour quelque chose qu’elle n’avait pas voulu au départ. Elle trouve que ça aurait été injuste qu’elle soit fouettée comme lui.
Sœur Marie-Zénaïde est désignée pour corriger les deux jeunes garnements et leurs mères lui disent de ne pas les ménager, afin qu’ils retiennent bien la leçon.
Les deux punis souhaitent se confesser avant leur punition. Sœur Marie-Zénaïde leur dit que si c’est une manœuvre pour retarder leur correction, ils ne perdent rien pour attendre, mais en bonne religieuse, elle accepte de les recevoir à tour de rôle pour écouter leur repentance. Par contre, elle les oblige à se mettre nus immédiatement pour qu’ils soient le plus humble et le plus pur possible. Thomas et Alexia se déshabillent entièrement et sont obligés d’exhiber leur intimité pour paraitre devant la sœur.
Sœur Marie-Zénaïde reçoit les deux jeunes et elle est particulièrement troublée par la vision des muscles bien dessinés du corps de Thomas, assidu d’une salle de fitness et dans une moindre mesure, le corps d’Alexia avec ses formes féminines bien galbées, qui tranchent par rapport au physique en « laisser-aller » de la sœur avec ses hanches larges, ses poignées d’amour et ses seins non soutenus qui ont une sérieuse tendance à s’affaisser.
Thomas voyant que son physique trouble la sœur, en joue, faisant jouer ses muscles tout en prenant des poses très suggestives. La sœur ne se lasse pas de le regarder et lui pose des questions pour faire durer le plaisir... De cette façon, Thomas espère avoir une certaine clémence de la sœur et ainsi souffrir au minimum. Quant à Alexia, elle se confesse humblement, n’ayant rien à monnayer.
En sortant de la salle qui a fait office de confessionnal, sœur Marie-Zénaïde se sent toute trempée et le rose lui est montée aux joues qu’elle explique par l’atmosphère renfermée de la pièce.
La première à passer à la punition est Alexia qui s’avance, la tête basse et s’installe, penchée en avant, les deux mains en appui sur la table. Sœur Marie-Zénaïde lui écarte les cuisses pour dévoiler son intimité et l’humilier en lui disant que puisqu’elle aime s’exhiber, là elle est servie puis elle prend le paddle et lui claque vigoureusement chaque fesse et chaque cuisse de façon à ce que celles-ci soient bien rouges et bouillantes.
Alexia hurle de douleur et met ses mains en protection lorsqu’elle n’en peut plus, ce qui lui vaut deux claques supplémentaires à chaque fois qu’elle se protège ou qu’elle se retourne pour tenter d’abréger la fessée. L’arrière-train en feu, entre deux cris, elle supplie, la voix criarde, plein de sanglots. Les mères constatent que la fente d’Alexia est gluante de cyprine, tant la douleur et sa gêne lui crée de l’émotion. Angélique F., la maman d’Alexia demande à la sœur de rajouter quelques claques, car a priori, à la vue de son vagin trempé, sa fille prend plaisir à se faire fesser, elle va être servie.
Alexia pousse des hurlements stridents pour extérioriser sa douleur intense. Au terme de sa dernière claquée, inondé de larmes, Alexia tombe à genoux en tremblant, tant la cuisson est vive, les deux mains se massant l’arrière-train. Angélique F. et une autre mère aident Alexia à se relever et l’agenouillent un peu plus loin afin qu’elle assiste à la correction de son petit ami, qui est rouge tomate d’avoir vu Alexia souffrir autant.
Thomas est attaché à la table, de façon à ce qu’il ne puisse pas bouger et sœur Marie-Zénaïde prend le long martinet de cuir, adapté aux rebelles de son genre. Elle va le punir sévèrement et en sera heureuse, car c’est le premier garçon qu’elle va fouetter. Elle est troublée de la toute-puissance qu’elle ressent, puis elle applique les fouettées sur les fesses du jeune homme qui trésaille en se disant que la clémence qu’il espérait ne viendra pas, car la lanière qui lui mord la chair rend la fessée très cuisante, mais devant Alexia, il veut prouver sa virilité.
La sœur met du cœur à l’ouvrage pour briser sa résistance en lui cinglant les cuisses et ses hanches. Ses trépignements et contraction de ses muscles ont pour effet de lui provoquer une magnifique érection, qui met la sœur dans tous ses états. Lorsque la fessée est terminée, elle lui cingle le dos avec autant d’ardeur. A bout et trempé de sueur d’avoir résisté, il cède, crie puis hurle à gorge déployée lorsque la lanière lui marque toute la surface du dos ainsi que ses flancs.
Un peu calmée, mais toujours avec l’impression d’être assise sur un poêle incandescent, Alexia a été impressionnée par le courage de son ami.
Lorsque Thomas est détaché, Alexia se lève péniblement et se jette dans ses bras. Leurs mères, Angélique F. et Myriame P. les enserrent elles-aussi en leur disant qu’à présent, ils sont pardonnés.
Sœur Marie-Zénaïde a le souffle court d’avoir manié le fouet et surtout d’avoir la sensation exaltante d’avoir finalement soumis Thomas.
La présidente du conseil des mères enverra le film qui a été enregistré aux différentes familles pour prouver que les règles de punition ont été respectées, en cas de plaintes de la part des punis.
Les deux jeunes se rhabillent tant bien que mal, sans sous-vêtements, car le port est trop douloureux et ils leur tardent de rentrer chez eux pour se reposer et passer sous l’eau fraîche d’une douche pour se rafraîchir.
Thomas qui pensait que son histoire avec Alexia était terminée, a l’heureuse surprise qu’Alexia veuille le voir dès le lendemain, car le fait de l’avoir vu souffrir à ce point a pris l’a émue. Son amour pour lui a finalement repris le dessus. Thomas sait qu’avec cette seconde chance, il va pouvoir continuer avec elle, mais il faudra qu’il se tienne mieux s’il ne veut pas la perdre.
Sœur Marie-Zénaïde rentre au couvent, encore sous l’émotion des punitions qu’elle a infligées aux jeunes, mais surtout celle de Thomas. Ses contorsions impudiques ont ravivé des sentiments qu’elle pensait de pas avoir, et elle sent bien que son entrecuisse est bien mouillé, et elle s’en veut d’avoir ce genre de pensée et de réaction.
Seule dans sa cellule au couvent, sœur Marie-Zénaïde se met nue, prend un fouet et se flagelle les fesses et le dos pour se punir et se repentir de s’être délectée de fouetter Thomas. Voyant l’érection du jeune homme, des images impures ont empli entièrement son esprit où elle se voyait profiter de la situation pour éprouver un plaisir encore plus grand, à la limite de la jouissance.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 34

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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5 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.

    Pour Elena et ses camarades, revivre la punition anglaise est une épreuve d'autant plus redoutable qu'il leur faut détailler leurs fautes et présenter leurs excuses. Quand elles se voient sur l'écran, elles sont à la fois à l'intérieur (puisqu'elles l'ont vécu) et à l'extérieur puisqu'elles se voient "objectivement" être punies. Toutes sortes de détails auxquels elles ne pouvaient pas, dans le feu de l'action, prêter attention leur sautent maintenant aux yeux et redonnent vigueur à la honte qu'elles ont éprouvée. Sans compter que les petits camarades ne se font pas faute d'en rajouter une couche.
    Quant à Thomas, se faire fouetter nu devant tout un parterre de mères de famille n'est pas une partie de plaisir. Son ego en prend un sacré coup. La sœur qui a exécuté la sentence en a éprouvé un certain plaisir. Gageons que nombre de mères de famille aussi. Et qu'aussitôt rentrées chez elles, elles ont voluptueusement revécu la scène, d'un doigt insistant. Et que nombre de maris, au lit, le soir ont dû se demander pourquoi diable leur femme avait autant d'appétit.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      En effet, l'obligation de filmer les punitions permet en plus de voir et revoir les scènes qui ont tant fait souffrir nos héroïnes. Le but est de bien marquer les esprits et qu'elles prennent conscience de leurs actes. Là, devant tout le monde, elles se rendent bien compte du plaisir éprouvé par le public et leur honte n'en est que plus intense.
      Pour le conseil des mères, là aussi, rétablir l'ordre dans le quartier est une priorité. Il s'agit de prendre la décision la plus juste possible et qu'elle soit profitable au puni. Le fait que ce soit la soeur qui oeuvre n'est pas un hasard, ça permet de mettre une dimension spirituelle dans la démarche de rédemption. La soeur est dans tous ses états en confessant et en corrigeant Thomas, puisqu'elle n'a jamais eu à faire ce genre de punition avant. Elle y prendra gout, à mon avis, même si elle doit s'auto-flageller après pour se repentir elle-même d'avoir eu tant de plaisir.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et de la fessée en cornette... bonjour!

    Comment une séance de cinéma et une prise d'image au portable tournent au vinaigre et finissent dans le stupre, la luxure et la flagellation!

    J'entends tout et je vois tout... Soeur Marie-Zénaïde, dites moi... c'est du joli! Alors comme ça, on mouille sa grosse culotte en laine, tricotée main, en corrigeant des exhibitionnistes filmés en train de faire des galipettes!! C'est du propre !
    Ah pardon seigneur... mais je vous jure, troublée par l'érection de St Thomas j'en ai pas cru ce que je voyais! Mon dieu, doux jésus, sainte Marie, mère de Dieu, fessez pour nous pauvres pécheresses... Promis, juré ( mince, faut pas jurer!) seigneur, ce soir je m'en flagellerai les fesses ! Mais ça fait quand même du mal, à se faire du bien.

    Mine de rien notre amie Eléna, qui n'a peur de rien, aborde à travers la fessée des thèmes et des problématiques, à caractère sociaux, moraux, éducatif, ou comme ici et dans le chapitre précédent, religieux. Il y a de quoi faire!
    La misère sexuelle imposée par des principes religieux catholiques, culpabilisants ont amené et amènent toujours des "serviteurs" de l'église à des dérives, elles même condamnées( ou pas... ou cachées ) par cette même église. Fais comme je te dis, mais pas comme je fais! Vous reprendrez bien un petit coup d'eau bénite pour la route vers le paradis, ma Soeur!
    Enfer et damnation, voilà-t-il pas que Soeur Marie-zélaîde, coincée entre le martinet et le goupillon, flagelle avec zèle et prend son pied en corrigeant des misérables pécheurs... Puis s'auto puni! Mon dieu, pardonnez leur ils ne savent pas qui ils fessent!
    Coïncidence ? L'ami Peter, dans son dernier dessin, aborde en riant la pratique de l'onanisme... On est cernés!
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,
      Alors, c'est vrai que mes thèmes abordés sont divers et variés et je tente d'en aborder un nouveau à chaque épisode. Je souhaite un peu d'originalité dans ce que je raconte. Un peu une marque de fabrique...
      Je suis rassurée que mon style un peu libre et débridée ait inspiré d'autres écrivains. Je me sens moins seule, du coup. Merci camarades ! S'il pouvait y en avoir d'autres, tant mieux ( message subliminal ou presque ).
      Pour les principes de la soeur, j'ai pris plaisir à rentrer dans sa peau et à imaginer en train de "con" "fesser" Thomas et le punir à la suite. Un esthète devant soi que l'on doit punir n'est jamais simple et si c'est une religieuse qui doit le faire, ça la trouble d'autant plus, d'où l'auto-punition qui s'en suit, car l'un des principes est que la pensée d'une religieuse doit être pure et chaste, ce qui ne l'est pas dans le cas présent.
      Amitiés.
      Elena.

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  3. La sœur est finalement aussi faible que tout le monde. Elle n'a pas pu empêcher ses pensées impures de faire surface. Je me demande ce qui se passerait si les mamans apprenait cela...

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