mardi 16 juin 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 37

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

FESSEES EN DOUBLE MESSIEURS .

 Douglas, le premier éclata en pleurs presque aussitôt, trémoussant son postérieur en en sentant le gingembre faire rapidement effet.
– « Oohhh , c’est gros ! Et ça brûle ! »
Puis, de sa bouche grande ouverte, n’échappèrent plus que des cris et des pleurs de mari fessé comme une sale gamin.

– « Wouaaaahh ! C'est... C’est trop ! Çaaaaa... Chauffe dur !!! Aiiiiie... Pitié ! »
Il ne cherchait même pas à apitoyer Régine, qui, le bras haut levé, claquait de toutes ses forces le gros derrière déculotté et déjà tout rouge mis à sa disposition. Elle ne voulait certes pas faire preuve de moins de sévérité que la maîtresse de maison. D’ailleurs, Aristide avait suivi de très peu l’exemple de son partenaire de fessée. Il s’était mis, lui aussi, à sangloter bruyamment, après avoir d’abord brièvement tenté de répondre à Clarisse au sujet de la racine de gingembre.
– « Rooaaiiie ! Oh là là ! ça chauffe ! Houhou ça fait mal, oh mon cul ! »
Mais très vite comme son voisin, il n’émit plus que des cris ininterrompus d'homme adulte, bien corrigé comme un petit garçon désobéissant. Clarisse le tenait par les cheveux de sa main gauche pour l’obliger à garder la tête levée et lui demandait tout en le fessant vigoureusement.
– « Alors, tu les vois bien tes grosses fesses rouges dans la vitre ? Tu les vois ? Et celles de Douglas... Ton cher ami Douglas, avec qui tu manigances, tu les vois ? Tu vois comme il le tortille son gros fessier déculotté ? Ça vous chauffe bien la fessée hein ?
–  Oui Clarisse ! Oui !... Ça nous chauffe bien !
– Qu'est-ce qui vous chauffe bien ?
– La fessée Clarisse ! La fessée !!
– Alors dis le que c'est la fessée !! je veux te l'entendre dire !
– Ouiiiii ! Ça nous chauffe bien la fessée...
– A la bonne heure... J'espère que ça vous chauffe bien ! Et le gingembre dans le derrière, tu le sens... ça te fait du bien ça ?  Douglas aussi, il le sent, comme toi, tu vois ! »

Mais n’obtenant que des bredouillements mouillés de larmes en guise de réponse, elle préféra s’adresser à son amie.
– « N’hésite surtout pas Régine, claque-lui bien ses grosses fesses, je peux te garantir que c’est ce qui leur faut et ne te laisse surtout pas avoir par les pleurs. Leurs fesses, supportent très bien, ne t’en fais pas ...surtout celle de Douglas ! Mon mari, tu ne le fesseras jamais assez, crois moi …tape bien sur le bas des fesses ! »
Régine, concentrée sur les fesses de son puni, qu'elle fait sauter en cadence sur ses cuisses, sourit en entendant les conseils de son amie, dont elle n'a pas nécessairement besoin.
 – « Ne t'inquiète pas je sais … Le bas des fesses et le haut des cuisses... Pour qu’il s’en souvienne quand il s’assoira !
– C'est ça ! Regarde comment je fais-moi... Fais pareil ! Et dans la raie des fesses ! Ecarte les bien qu’il sente bien ta main claquer sur son cul ! Et t’en fais surtout pas pour le gingembre, si tu le fais remuer, ce n’est que mieux…Ça lui fera des souvenirs et il saura ce qui l’attend à la prochaine fessée. »

Tout en prodiguant conseils et recommandations, elle les mettait en application sur le derrière écarlate d'Aristide pour donner l’exemple ...Exemple que Régine, bien élevée, se faisait un plaisir de suivre en manipulant le fessier tout aussi cramoisi de Douglas qu'elle morigénait en le fessant avec autorité.
– « Alors mon cher Douglas, tu la sens bien la bonne fessée déculottée que je te mets ? Est-ce que je la claque aussi bien que ta femme ? Peut-être pas assez fort ?  Regarde le postérieur de ton ami comme il est bien rouge .... Le tien ne l’est peut-être pas encore autant …Alors tiens ! tiens ! Tiens ! »

La main plaquée sur ses reins pour lui maintenir le derrière en bonne position, Régine accélère la cadence des claques qu'elle distribue rageusement d'une fesse à l'autre.
Douglas trépigne de douleur, sans qu'elle s'en émeuve pour autant. Bien au contraire, ses plaintes déchirantes témoignent de l'efficacité de la fessée et l'incitent à continuer sans état d'âme avec la même énergie ;
– « Voilà je crois que ton derrière a repris l'avantage. Il est maintenant plus rouge que celui de ton partenaire... Maintenant il faut entretenir la couleur...
– Rooooh non Régine ! Pas... pas plus fort... Ouaiiiile ! S'il vous plaît !

Fessées déculottées de concert


– Mais si voyons !  Allez tends mieux tes grosses fesses que je te les corrige bien … Et le gingembre dans le derrière Tu le sens bien ?  Ça pique ou ça chauffe... Ou les deux ? » Elle rit en ajustant une série de claquées juste sur la raie des fesses.
– « Serre les dents mon ami, la fessée n’est pas près d’être finie, crois-moi ! Il parait d'après ta femme que c’est ce qu’il te faut ! Alors... Dis le ! ...Dis le : C’est ce qu’il me faut et que je mérite, une très-bon-ne-fes-sée-sur-mon-gros-derrière-dé-cu-lo-tté... Répète ! »

Mais comme Aristide, se tortillant frénétiquement sur les cuisses de Clarisse, Douglas est   incapable d’articuler autre chose qu’un bredouillement incompréhensible. Imitant son amie, Régine le forçait maintenant à tenir la tête levée en lui tirant les cheveux en arrière, pour l'obliger à profiter du spectacle de sa propre fessée et de celle de son voisin. Ils pleuraient tous les deux à chaudes larmes, s’efforçant de maintenir leur opulent fessier en bonne position, en croisant et décroisant leurs pieds qui battaient l’air, chacune ayant, à tour de rôle, perdu son pantalon, projeté sur le sol.


Heureusement pour eux, après avoir subi une nouvelle accélération de l’averse brûlante de claques qui leur enflammait le derrière, ils furent enfin une nouvelle fois délivrés par leurs épouses et purent se relever ...un peu difficilement, il est vrai.  Pendant quelques secondes, ils restèrent debout en pleurant à chaudes larmes en se tenant les fesses à deux mains, se balançant d’un pied sur l’autre, anxieux de ce qui allait leur arriver dans l’immédiat. Ils jetaient évidemment des coups d’œil inquiets à leurs deux martinets restés sur la table du salon, prêts à obéir aux ordres que leur femme leur donnerait.

 Les mains sur les hanches, le menton autoritaire levé, Clarisse manifeste sa satisfaction en contemplant la belle rougeur des deux fessiers.
– « -Ah ça fait plaisir de voir de belles paires de fesses aussi bien corrigée ! »  
Régine, se frottant les mains qui devaient être presque aussi cuisantes que le postérieur de son puni.
– « Oui...  ça fait du bien une bonne séance de fessées. A nous d'abord et à eux aussi !
– Sauf qu'évidemment, ça ne leur fait pas le même effet ! »
 Ajoute Clarisse en riant. Elle se lève et lisse sa jupe de tailleur sur ses fesses.
– Aller messieurs, au coin, à genoux, le nez au mur, mains sur la tête... en attendant la suite ! »
Douglas, se précipite aussitôt au coin, où son épouse l'envoie d'habitude après chaque fessée, et, selon les règles, s'y installe en s'appliquant à bomber au maximum son généreux fessier totalement cramoisi. Aristide suit docilement son exemple et, sans attendre qu'on lui ordonne, court s’agenouiller à côté de lui dans la même posture.
Clarisse se tourne vers Régine, la mine réjouie, et s'exclame avec un sourire triomphant.
– « Aaaah, ça obéit maintenant... Et sans discuter ! Comme quoi, une bonne fessée bien claquée au derrière, ça vous transforme un mari indiscipliné en un petit chéri doux comme un agneau ! »

Rodolphe, un peu en retrait pour ne pas trop se faire remarquer, se régalait du spectacle offert par les deux hommes.  Il ne put s’empêcher de constater que, dans cette position, leurs derrières étaient parfaitement identiques, aussi volumineux, aussi rebondis, aussi pleins et fermes. Pareillement enluminés d’un rouge si éclatant qu'ils semblaient dégager une intense chaleur, perceptible même à distance.
Pour avoir eu l'occasion, à maintes reprises, d'assister à des séances de fessées, il avait cru constater qu’un derrière sévèrement fessé paraissait plus gros après la correction. Y compris le sien, observé dans la grande glace, devant laquelle sa mère lui flanquait la plupart de ses raclées. Il pensait que cela résultait surtout de la couleur rouge vif qu’il prenait et que, par conséquent, l’explication de ce phénomène n'était due qu'à un simple effet d'optique.
Or il remarqua, cette fois-là, que les nombreuses marques laissées sur les fesses et les cuisses par les mains de sa mère et de Régine, avaient fini par se confondre en une seule.  De plus, la répétition et l’intensité des claques se superposant les unes aux autres finissait par provoquer un gonflement de la surface charnue. Il avait donc bien observé.
 Une “bonne” fessée, de longue durée, avait effectivement un effet immédiat sur le volume du derrière puni. La similitude des postérieurs de Douglas et Aristide était accentuée par le bout de gingembre planté au milieu de leur sphère fessière, comme une sorte de signal, qui en indiquait le centre. 

Clarisse du fond du canapé où elle s'est installée avec Régine pour savourer le spectacle, les interpelle d'un ton sarcastique.
– « “ Alors Messieurs ? Ça fait du bien de se faire dresser par son épouse ? Qu’est-ce que vous en pensez ? Est-ce que vos fesses sont de cet avis ? »
Douglas tournant la tête répond le premier, par-dessus son épaule :
– « Oooh pour ça oui, vous nous avez bien corrigé, on est bien fessé, vous tapez vraiment fort ! »
Aristide, qui avait du mal à tenir à genoux en gardant les mains sur la tête, semblait ne pas pouvoir répondre tellement il pleurait.  Régine s’en agaça :
– « “ Alors ? Et toi, tu n'as rien à dire ? Il te faut une nouvelle fessée pour que tu répondes ? »
Il esquissa un geste pour se frotter le derrière mais se retint aussitôt et hoqueta.
– « Ouiiiii , ché... Chérie …je suis bien fessasse…bien co...corrrrigé ...bien dressssé…bien puniiii , je ne recommencerai plus …je te promets ... »

 Sincère ou pas, il en rajoutait par rapport à Douglas. Sereines et détendues, les deux épouses échangeaient leurs idées sur un ton volontairement détaché, mais à voix suffisamment haute pour être bien entendue.
– « Une bonne fessée au martinet d’un quart d'heure, cela leur ferait du bien, qu’est-ce que tu en penses ? »
Interroge Clarisse en maîtresse de cérémonie qui reçoit chez elle. Régine, la jupe toujours en haut des cuisses, rajuste tranquillement ses jarretelles et, répond sans aucun état d'âme en vérifiant l'alignement de la couture de ses bas nylon d'un coup d'œil sur ses mollets. 
– « De toutes façons, à leur âge et vu leur conduite, pour que la punition soit complète, une seule fessée à la main ne suffit pas. Il leur en faut, au moins, une autre au martinet.  »
Clarisse réplique.
– « Oui, et une sévère, ils l’ont bien méritée ...Avec de bonnes paires de fesses comme les leurs, c’est sûr que rien ne vaut une bonne séance de martinet. On leur a acheté pour cela d’ailleurs ! »
Elles parlaient assez fort afin que leurs époux, agenouillées dans leur coin, ne perdent pas une miette de la conversation.

Après cet échange de vues, elles décidèrent de les envoyer rapporter leur fameuse paire de chaussures dans le magasin où ils les avaient achetées. Elles avaient convenu que les avantageux postérieurs, gonflés de claques, de ces Messieurs, seraient bien exposés s'ils tenaient leur pantalon baissé, pour que tout le monde en ville sache qu’ils venaient d’être magistralement fessés ! Le magasin des Delaniaires était situé en bordure du centre, qu'ils devaient donc traverser au vu et au su de tout le monde, à commencer par les habitants et commerçants du quartier qui les connaissaient bien. 
Ils devaient ensuite convaincre madame Delaniaires, et aussi sa nièce Géraldine,  de reprendre ce qu’ils avaient acheté sans permission en expliquant qu’ils avaient déjà reçu la fessée pour cela et que le martinet les attendait s'ils n’obtenaient pas satisfaction.

Rodolphe, spectateur comblé, toujours attentif au déroulement de la punition, les imaginait se hâtant dans les rues, les fesses en feu, tortillant leur derrière douloureux,  et d’autant plus honteux que le samedi était jour d’affluence dans le centre. Ils étaient prévenus qu’ils auraient, de toute façon, une fessée au martinet en rentrant, mais que ce serait double ration s'ils ne s’étaient pas fait rembourser les chaussures  !
Clarisse leur demanda s'ils avaient bien compris, et, cette fois, ce fut à l’unisson, au milieu des pleurs, qu’ils répondirent .
– « Oooh oui ! Ouiiii... On a compris !! »
Aristide, plus insistant, d'une voix étranglée, pensant qu’il convenait de faire preuve d’autant de soumission que Douglas pour ne pas sembler plus indocile, et risquer de se prendre une nouvelle fessée avant de partir. Ils furent donc priés de se relever et de se préparer immédiatement à sortir ! Les deux épouses, estimant que le gingembre maintiendrait son plein effet pendant au moins une demi-heure,  les autorisèrent à ôter la racine plantée dans leur derrière.
– « Bien sûr, ce n'est que temporaire ! »
Annonça Régine d'un ton badin.
Clarisse d'ajouter avec le sourire ;
– « C’est juste en attendant la prochaine fessée ! »
 Après l’avoir fait, avec une grimace de soulagement, ils se tortillent tous les deux, en pleurnichant, pour se reculotter. Leurs fesses écarlates et cuisantes débordent des élastiques des slips tendues dans la raie.

Douglas s’essuya les joues et conseilla charitablement à son compagnon de fessée, d’aller se passer un peu d’eau sur la figure pour en atténuer un peu la rougeur. Ce qu’il fit, non sans avoir au préalable jeté un coup d’œil à sa femme pour vérifier qu’elle ne s’y opposait pas.
 Alors qu’il se dirigeait vers la salle de bain, Rodolphe pu constater qu’effectivement, comme prévu, le rouge vif de son derrière était d’autant plus visible que le nylon transparent de son slip le moulait de si près, qu'il semblait sur le point de craquer !!!  L’augmentation du volume du postérieur n’était pas une illusion d’optique mais une réalité explicable. Il lui sembla aussi que les fesses paraissaient plus lourdes.
Peut-être dû au fait que les deux hommes, debout au milieu du salon, tenaient précautionneusement leur fessier à deux mains, comme s'ils craignaient qu’il tombe, parce que leur slip gonflé à bloc, avait du mal à les soutenir. Il avait déjà eu cette impression quand Douglas recevait une grosse fessée, mais cela semblait cette fois encore plus évident.

Ils s’apprêtaient à passer la porte, chacun portant sa boîte à chaussures sous le bras, retenant, d'une main, leur pantalon en haut des cuisses, quand Régine rappela son mari.

– « Aristide ! Si jamais tu reviens avec les chaussures, je veux que, dès que tu auras tourné le coin de la rue, juste avant la maison de Bettina, tu baisses ton slip pour arriver ici le derrière déculotté, prêt pour la fessée au martinet !
– Toi aussi Douglas! – Dit Clarisse – je veux te voir rentrer les fesses à l'air, prêtes à claquer !  Qu'est-ce qu'on dit ? »

Dans un ensemble parfait, et avec un même ridicule, ils répondent en chœur, au garde à vous, le petit doigt sur l'élastique du slip.
– « Oui chérie !! Bien chérie ! ... Les fesses prêtes à claquer !»

Rodolphe, qui décidément passait un bon moment, riait intérieurement. Il les regarda s'éloigner dans la rue, tenant leur pantalon d'une main, de l'autre leur boîte à chaussures, leur belle paire de fesses rouges et cuisantes roulant, bien serrées dans leur indécent slip à fessée. Un grand moment de discipline domestique.

Douglas et Aristide partis en se frottant le derrière, le jeune homme , persistant dans son rôle de petit voyeur, eut l’idée d’aller dans le jardin. Il avait pour cela deux raisons. Bien qu’elles ne lui aient fait aucune réflexion, il préférait, d'une part, laisser sa mère et Régine discuter entre elles, et ne pas donner l’impression de s’immiscer dans leur conversation. D'autre part, et surtout, il savait que, posté à un certain endroit, il pourrait, sans être repéré, assister au retour des deux hommes, le long du trajet qui séparait la maison de William et Bettina de la leur. Il était prêt à parier qu’ils ne pourraient obtenir la reprise de leur achat. Aristide n’y croyait manifestement pas, Douglas sans doute pas beaucoup non plus, mais ils avaient préféré faire semblant et gagner, ainsi, une demi-heure au moins de répit pour leur derrière avant les cinglades du martinet . Il ne pensait pas, non plus, que les épouses se faisaient beaucoup d’illusions, mais pour elles, cette démarche qu’elles avaient imposée, était évidemment un supplément de punition pour leur deux maris désobéissants.
Malin le garçon, il savait que, placé entre une cabane à outils qui le protégerait des regards curieux de Bettina et un massif de Bégonias qui le dissimulerait à la fois de la rue et de sa maison, il verrait parfaitement revenir les deux punis. Il ne doutait pas que, obligés de respecter les consignes de leurs épouses, ils devraient se déculotter, passé la maison de Paulette... Il ne pouvait rater ça à aucun prix !

Il sortit donc dans le jardin par la porte-fenêtre restée ouverte, en prenant un air distrait , laissant sa mère et Régine discuter de la façon dont elles projetaient de punir leurs époux quand ils allaient revenir. Après quelques détours et quelques moments de halte, et avoir vérifié que Bettina n'était pas sortie, elle aussi, pour profiter du spectacle, il se glissa, dans sa cachette et attendit.

Il commençait à trouver le temps long quand il entendit des bruits de pas qui approchaient. Il reconnut les voix d'Aristide et de son beau-père. Ils venaient de tourner à l’angle de la rue et de s’y engager. Avec un petit sourire satisfait, il repéra tout de suite qu'ils portaient toujours leur boîte à chaussures. Comme c'était prévisible, Madame Delaniaires n'avait pas pris en compte leurs doléances et leur démarche s’étaient soldées par un échec.  Aristide présentait un visage un peu défait ...mais Douglas pas vraiment. Depuis le temps que Clarisse le corrigeait, il avait fini, entre deux fessées, par acquérir la faculté de chasser de son esprit la dernière reçue et de pas trop redouter la suivante.

Ils s’étaient arrêtés tous les deux à peu près à la hauteur de la maison de Bettina et, obéissant aux consignes, se déculottaient en trémoussant leur derrière pour l’extraire de leur slip trop serré.

Comme s'il réalisait seulement ce qui l'attendait, Douglas se mit tout d'un coup à se plaindre en pleurnichant.
– « Oh la la ! Quelle fessée, on va se prendre encore ! Et elles tapent forts...  à chaque fois ! »
Aristide, presque stoïque complète sa phrase alors que l'élastique de son slip claque au milieu de ses cuisses.
– « Oui ! Et ce n'est pas encore fini... Maintenant, ça va être la fessée au martinet. Mais du coup, on a quand même de belles chaussures. ! »
Douglas, ne partage pas cet enthousiasme.
– « C’est tout ce que ça te fait ! On les paie drôlement cher nos chaussures ...sur les fesses ...et dedans, avec cette saleté de gingembre ! Encore une idée de Bettina, la voisine ! »
Une fois déculottés, ils dévoilaient deux paires de fesses exagérément rebondies et proéminentes qui débordaient généreusement des élastiques tendue en haut de cuisses et arboraient toujours une couleur incandescente soulignée par le nylon blanc des slips.

Rodolphe savourait le spectacle. C’est alors que Gérôme jaillit derrière lui. Captivé par la scène qu'il obervait, il ne l'avait pas entendu arriver. Il sursauta et son sang fit carrément demi-tour lorsqu'il entendit la voix de son ami l'interpeller joyeusement. Il n'avait pas encore vu les deux hommes au coin de la rue, en train de discuter les fesses à l'air sur le trottoir,
– « Ben alors mon gars ! Qu'est-ce que tu fabriques là, planqué derrière ta cabane ? »
Rodolphe se retourna d'un coup, l'air effrayé, en lui faisant signe de la main de parler moins fort. Il lui répond furieux, entre ses dents serrées pour ne pas être entendu.
– « Mais tais-toi imbécile ! Tu m'as fait peur. Et tu vas nous faire repérer ! Mais toi aussi, qu'est-ce que tu fous là ?
– Je reviens de l'Olympic. J'étais avec Robin, on croyait que tu passerais. On t'a attendu même... Il y avait Sébastien, avec sa sœur Géraldine... Un sacré canon ! Ils ont payé une tourn...
– Raaah mais tais-toi donc ! Tu ne vois pas qu'il se passe des trucs là !! Non d'un chien, regarde !! ,Le mari de Régine et mon beau père, le cul a l'air sur le trottoir !!  Ils reviennent justement de chez les Delaniaires ! »
Gérôme écarquilla les yeux lorsqu'il les aperçu et plaqua la main sur sa bouche pour étouffer une exclamation rigolarde.
- « Oauaaaah J'y crois pas !! Les fesses... la couleur !!! Ils... Ils s'en sont pris une bonne !!! Ouaww ! Mais qu'est-ce qu'ils... Qu'ils... foutent là décul...
– Chuuuut, tais-toi, !! Mais tais-toi donc !  Ils se sont pris une dérouillée par ma mère et sa copine Régine pour une histoire de godasse... Je te raconterai... ! »

C'est à ce moment-là que, pour compléter le tableau, ils virent Bettina sortir et interpeller Douglas et Aristide en les voyant devant chez elle, les fesses à l’air et encore bien rouges.

– « De mieux en mieux ! Murmure Rodolphe en étouffant un ricanement, Manquait plus que celle-là ! La rigolade ! »
 Gérôme qui s'était baissé à côté de lui, se relève.
– « Oui, ben moi je me tire... je suis déjà en retard... Thérez doit m'attendre, à tous les coups, ça risque de chauffer aussi pour mes fesses... Tu me raconteras hein !! »
Rodolphe se retourne furtivement ;
– « Oui, t'inquiète... ça va être grandiose... On se voit demain, avec Robin, à la baraque à frites !!
– Ouais, c'est bon ! J'y vais !! »
-        
Gérôme repart en marchant courbé pour ne pas se faire repérer. Il entend, derrière lui, Bettina demander aux deux hommes d'un ton goguenard.
– «   Et bien messieurs... qu’est-ce qui vous arrive ? Qu’est-ce que vous avez donc encore fabriqué pour recevoir la fessée ...et pour rentrer, maintenant, cul nu à la maison ? »


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 36
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

4 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,
    Avec le gingembre dans les fesses, le mot discipline prend tout son sens et en plus c'est écologique. Que demander de plus?
    Il est à noter que rentrer cul nu à la maison n'est pas banal. Pour dresser un vilain mari, il n'y a pas mieux. Au moins, les voisines peuvent se rincer les yeux ( les 2 en même temps... ).
    Pour "Dou glace", ça chauffe sec, tout de même. Ce monsieur ne porte pas très bien son prénom, je trouve.
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Bravo M RAMINA pour ce récit
    Elena se réjouis des mésaventures des maris soumis ,elle mériterais elle aussi de défiler déculottée ,garnie de gingembre les mains dans le dos avec bonnet d'âne
    Jojobonno

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    1. Merci jojobonno;

      Un peu dur avec notre amie Elena... je ne suis pas certain qu'elle mériterait un pareil traitement, qui plus est, avec un bonnet d'âne!!
      Même si dans ses récits les châtiments sont sans pitié!
      Cordialement
      Ramina

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  3. Bonjour Elena,

    "Doux-glace".. Eh Eh, Amusant, je n'avais pas pensé à ça...
    Le prochain épisode devrait confirmer que le terme "glace" est effectivement inapproprié quant à la température de ses fesses ...
    Sauf qu'à devoir rentrer cul nu, elles finissent bien par se refroidir! mais en général pas pour longtemps...
    Amicalement
    Ramina

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