samedi 13 juin 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 17

Caroline était arrivée à huit heures à l'institut, c'était Aurélie qui l'avait accueillie.
- ah, voilà donc notre vilaine fille, c'est Sophie qui va s'occuper de vous, elle n'est pas encore arrivée, asseyez-vous et soyez sage.
Caroline était mortifiée d'être traitée comme une gamine par Aurélie qui avait le même âge qu'elle, mais avertie par Sylvie et sa mère des pratiques de l'institut elle se garda de répondre.
Elle était là depuis 5 minutes quant à sa grande surprise elle vit arriver Elodie, celle-ci avait perdu sa superbe, elle rougit et baissa la tête quand Aurélie s'adressa à elle en souriant.
- mademoiselle Elodie, vous voilà enfin, vous n'êtes pas trop pressée de venir nous voir à ce que je vois. Mais quand on a fait une grosse bêtise il faut en payer le prix.
Elle s'était levée et comme c'était courant, elle avait saisi Elodie par l'oreille pour la conduire au milieu de la pièce où trônait un petit tabouret, elle posa son pied dessus et sans laisser à Elodie le temps de protester, elle la bascula sur sa cuisse horizontale. La fière jeune femme qui déculottait et fessait sa mère se retrouva dans une position délicate, ses pieds avaient quitté le sol, elle se raccrocha au tabouret, ses fesses étaient maintenant bien tendues sous sa jupe légèrement relevée par la position. Aurélie la retroussa largement sur les reins, découvrant une adorable culotte en dentelle rose. Si elle imposait des dessous de fillette à sa mère, Elodie aimait porter de la lingerie sexy. Elle le regretta rapidement d'ailleurs car la position tendait les fesses et le fin tissu de la lingerie rentrait dans la raie fessière et découvrait assez largement la croupe large et bien ronde d'Elodie.
- joli dessous mademoiselle, ils ne vont pas bien vous protéger de la fessée.
Aurélie avait levé la main et elle claquait vigoureusement la croupe tendue d'Elodie. Sous les trémoussements de la punie la culotte finissait de rentrer dans le sillon inter fessier et la peau découverte commençait à rougir.  Aurélie appréciait toujours le spectacle d'une première fessée, elle introduisit deux doigts sous l'élastique de la culotte et commença à baisser le dernier rempart de la pudeur de la jeune femme.
- comme vous le savez mademoiselle, une fessée c'est toujours cul nu, n'est-ce pas ? Donc je vous déculotte. Oui mademoiselle une bonne fessée déculottée voilà ce qui vous attend !
A l'institut on ne se contentait pas de claquer les fesses, une punition pour être efficace devait s'accompagner de l'humiliation de la patiente et Aurélie n'était pas la dernière à ce petit jeu. C'était encore plus savoureux quand la personne qui recevait la fessée était au départ une fesseuse, se retrouver dans la position humiliante qu'habituellement elles imposaient à leur puni, étaient pour elle une punition supplémentaire. Aurélie se rappelait avec délice la fessée qu'elle avait administrée à Sylvie, redevenue à 60 ans une gamine implorant la clémence avec ses fesses écarlates.
La culotte d'Elodie avait rejoint ses genoux et la magnifique paire de fesses s'étalait maintenant devant Aurélie et Caroline qui n'avait rien perdu du spectacle. Cette dernière était ravie de voir enfin cette chipie d'Elodie recevoir le juste châtiment de sa perversité. Elle se remémorait la fessée qu'Elodie lui avait administrée chez madame Costa, elle en ressentait encore la cuisson et l'humiliation.
La main d'Aurélie repris son œuvre sur le fessier si bien présenté. Maintenant la sévère jeune femme qui troussait et fessait à qui mieux mieux n'était plus qu'une gamine implorant le pardon, ses jambes battaient l'air frénétiquement au rythme de la fessée, Aurélie habituée à ces mouvements incontrôlés la maintenait solidement par la taille, seul le bas du corps était mobile, les fesses s'ouvraient largement laissant voir aux deux spectatrices l'intimité de la punie. Elodie, toute à la cuisson qui embrasait son derrière, n'en avait cure. Maintenant les deux hémisphères jumeaux n'étaient plus que deux boules écarlates, la rougeur s'étalait du bas du dos jusqu'en haut des cuisses, Aurélie n'avait pas épargné cette zone de peau très sensible.
Jugeant cette prise en main suffisante, elle remit Elodie sur ses pieds et sans lui laisser le temps de réagir, la saisissant par l'oreille, elle la conduisit au coin.
- nez au mur et mains sur la tête, vite !
Elodie en pleurs s'exécuta. Caroline était ravie, assister à l'administration d'une fessée était toujours un plaisir mais que ce soit Elodie qui l'ait reçue était encore plus jouissif. Elle n'eut pas le loisir de se réjouir longtemps, Sophie était arrivée juste au moment de la mise au coin d'Elodie et elle s'était dirigée vers elle. Comme il était d'usage à l'institut elle avait saisi Caroline par l'oreille.
- ah, voilà notre vilaine fille, vous allez voir comment je les soigne les chipies.
De sa main libre elle claqua les fesses de Caroline par-dessus la jupe pour la faire avancer plus vite.
Elodie sanglotait dans son coin, ses fesses se serraient convulsivement pour atténuer la cuisson. Elle se remémorait ce qui l'avait conduit dans cette position humiliante et douloureuse.

Depuis le jour où elle avait rendu sa fessée à Sophie, leurs rapports étaient devenus plus intimes et régulièrement elle se rendait chez la jeune assistante pour lui donner la fessée, cela se terminait en général dans le lit où Sophie les fesses écarlates lui donnait du plaisir. Cette relation avait rendu jalouse Aurélie et elle en avait fait part à Madame Rose, n'omettant pas bien sûr de lui raconter comment Sophie avait autorisé Elodie à fesser un client.
La sanction pour la jeune assistante avait été exemplaire. Une journée pluguée complétée par trois journées fesses rouges, la vengeance d'Aurélie avait été complète car c'est elle qui s'était chargée du lavement préparatoire à la mise en place du plug et c'est également elle qui s'était assurée que les fesses de Sophie restent rouges pendant trois journées consécutives. Elle n'avait pas ménagé sa peine. Dès son arrivée au salon, Sophie devait retirer sa culotte et la suspendre à son crochet, ensuite elle revêtait une culotte à fessée. Aurélie lui administrait la première fessée avant l'arrivée des premiers clients, puis elle retirait le fond de la culotte et Sophie restait toute la journée fesses à l'air sous sa jupe. Aurélie comme c'était la règle pour une journée fesses rouges lui administrait 4 fessées pendant la première heure puis régulièrement une par heure jusqu'à la fin de la journée vers 19 h. Madame Rose venait régulièrement trousser Sophie pour vérifier la couleur de ses fesses. Bien sûr pour parfaire l'efficacité de la punition, la plupart des fessées étaient publiques, administrées devant des clients qui se régalaient de voir leur punitrice recevoir elle aussi le châtiment enfantin.
Pour Elodie, madame Rose avait utilisé sa technique habituelle, lors de son premier passage à l'institut quand elle avait reçu la fessée par Sophie, les caméras de l'institut avaient enregistré la scène, la menace de la diffusion sur les réseaux sociaux de cette vidéo avait convaincu Elodie et c'est pour cette raison qu'elle était au coin exposant ses fesses brûlantes.

Sophie avait entraîné Caroline tenue par l'oreille jusqu'à une petite salle. Sur une chaise était disposé un uniforme de collégienne. Jupe plissée bleu marine très courte, chemisier blanc, socquette blanche et la traditionnelle culotte petit bateau en coton blanc.
- déshabillez-vous, vite et vous me mettez cette tenue, vous avez 2 minutes.
Elle laissa Caroline médusée devant ce costume, celle-ci se ressaisi assez vite, elle se doutait bien que tout retard lui vaudrait une cuisante punition. Elle avait juste fini de s'habiller quand Sophie réapparut. Elle fit pivoter Caroline pour vérifier la tenue, il y avait une glace, la jeune femme put vérifier qu'elle avait changé de statut. La jupe courte cachait à peine ses fesses. Sophie ne lui laissa pas le temps de s'admirer plus longtemps et la tenant toujours par l'oreille elle la ramena dans le hall d'accueil.
- vous savez ce qui arrive aux vilaines filles mademoiselle ? Non ? Et bien je vais vous le dire elles reçoivent une bonne fessée déculottée.
Il y avait deux clients dans la salle d'attente, un monsieur et une dame, Caroline compris qu'elle allait cette fois-là recevoir une vraie fessée publique. Sophie s'était assise sur une chaise et Caroline se retrouva rapidement couchée en travers de ses cuisses. La courte jupette s'était relevée dès la mise en position découvrant à moitié le postérieur culotté. La jeune assistante retroussa haut sur les reins la jupe de collégienne. Les fesses de Caroline étaient bien tendues par la position qui mettait bien en valeur ce joufflu comme l'avait surnommé Elodie pour s'en moquer un peu. C'est vrai que Caroline était un peu complexée par ses fesses qu'elle trouvait un peu grosse mais ce n'était pas son problème à l'heure actuelle. Sophie avait glissé ses doigts sous l'élastique de la culotte et elle la faisait descendre lentement le long du fessier rebondi. Caroline ne put réprimer un cri.
- oh noon, mademoiselle, pas la culotte !
Ce qui eut le don de faire rire Sophie.
- mais mademoiselle pour les vilaines filles la fessée c'est toujours cul nu. Et oui vous voilà bien déculottée, il faudrait que votre maman vous achète des culottes à fessée avec la bonne paire de fesses que vous avez, ça lui faciliterait la mise à l'air de votre postérieur.
La culotte blanche était maintenant descendue à mi-cuisse, la fessée pouvait commencer. La main sévère de Sophie s'abattait régulièrement sur le derrière tendu, bientôt une rougeur intense recouvrit les deux fesses, Caroline était habituée aux fessées, mais chaque fois qu'elle se retrouvait allongée fesses à l'air le ressenti était différent, cette fois-ci encore, à la brûlure de son épiderme s'ajoutait l'humiliation du châtiment public, elle aurait voulu rester stoïque, ne pas offrir le spectacle de ses pleurs et de ses supplications mais c'était sans compter sur la technique redoutable de Sophie.
Rapidement elle ne put retenir ses larmes et la punition enfantine ajoutée à son costume de collégienne la firent instantanément revenir quelques années en arrière. Quand Sophie cessa la punition et la fit se relever, elle n'était plus une jeune femme mais une vilaine fille punie. Elle n'osait pas lever les yeux de peur de rencontrer le regard moqueur des deux spectateurs. Ceux-ci avaient regardé avec intérêt la correction de Caroline mais ils étaient restés de marbre, chacun d'eux savait qu'il pouvait rapidement se retrouver dans la même position et tenue que cette jeune femme et l'intérêt porté à la fessée était plutôt pour se renseigner sur la sévérité de la fesseuse.
La jupette coincée dans la ceinture, la culotte descendue à mi-cuisse, Caroline rejoignit le coin, pas loin d'Elodie.

Celle-ci fut appelée par madame Rose, elle se dirigea vers le bureau en gardant ses mains sur la tête et en exposant son fessier rougeoyant.
Aurélie s'adressa aux deux clients
- ah, bonjour Amélie, vous venez pour votre séance anti-cellulite, je vais m'occuper de vous, en attendant, pour gagner du temps, vous vous déshabillez, vous vous allongez sur la table d'examen et vous baissez votre culotte je vais venir vous mettre le thermomètre.
Amélie rougit à ces paroles, tout le monde allait savoir ce qui allait lui arriver... Une prise de température comme une gamine. Aurélie se tourna vers le monsieur.
- bonjour monsieur ? Ah mais c'est Hervé, votre dame est satisfaite de son achat, ne me dites pas que vous venez chercher un autre martinet, vous avez de bonnes fesses, mais ce n'est pas en 15 jours qu'on use les lanières.
Le monsieur était rouge jusqu'aux oreilles, tout le monde était au courant que sa femme était venue acheter un martinet destiné à son derrière.
Aurélie se faisait toujours le petit plaisir de poser des questions embarrassantes en parlant assez fort pour que tout le monde entende. Hervé se mit à bredouiller, ce qui fit rire Aurélie.
- je ne comprends rien jeune homme soyez plus explicite, à moins qu'il ne vous faille une fessée déculottée pour vous apprendre à articuler. Cette menace explicite finit de mettre mal à l'aise le monsieur, redevenu un gamin réprimandé.
- euh, c'est à dire, je viens acheter... des culottes à fessée....
Il avait dit cela rapidement comme si les mots lui brûlaient la langue.
- mais, c'est que nous n'avons que des culottes à fessée pour dame.
- euh, c'est à dire, ce n'est pas grave, Christine a dit qu'elle ferait très bien l'affaire.
Aurélie souriait, elle imaginait déjà le spectacle de ce monsieur dans sa culotte rose, le fond enlevé, exposant une paire de fesses bien rouge.
- il me faudrait votre taille monsieur. Mais j'y pense, les tailles femme et les tailles hommes ne correspondent pas. Il va falloir faire un essayage.
Hervé était de plus en plus rouge, mais il ne protesta pas. Son épouse l'avait habitué à une obéissance stricte et il avait gardé un souvenir cuisant de son dernier passage à l'institut.
- passez dans la cabine, je vous rejoins, commencez à vous déshabillez !

Aurélie se dirigea vers la salle d'examen où Amélie l'attendait fesses à l'air, elle eut vite fait de lui mettre en place bien profondément le thermomètre. Puis elle se dirigea vers le salon d'essayage.
Elodie mains sur la tête, culotte à mi-cuisse et jupe épinglée dans le dos faisait face à madame Rose.
- votre conduite est inqualifiable mademoiselle, mais croyez-moi, vous allez en payer le prix, tournez-vous que j'examine vos fesses.
Elodie les larmes aux yeux s'exécuta, ses fesses portaient les stigmates de la vigoureuse fessée d'Aurélie, madame Rose en experte passa les doigts sur la peau encore chaude.
- Aurélie a fait du bon travail, mais ce n'est qu'un apéritif.
Elle fit retourner Elodie mais ne lui permit pas d'enlever ses mains de sa tête et elle lui expliqua ce qu'elle avait prévu pour elle.
- vous allez avoir droit au forfait "grosse bêtise", en général après ça, on en fait plus des bêtises... Vous allez être pluguée toute la journée, vous allez donc avoir droit à un lavement, ensuite une bonne fessée et vous partez au travail, vous reviendrez à midi pour une petite pénitence avec évidement une autre fessée, ensuite ce soir on vous enlèvera le plug après une autre fessée. Vous irez passer la nuit chez Isabelle une de mes correspondantes, vous verrez elle s'occupera bien de vous.
Elodie avait écouté ce programme sans un mot, elle se doutait que sa journée allait être cuisante, elle émit juste un petit gémissement quand madame Rose lui annonça que ce programme se reproduirait trois jours de suite. Madame Rose souriante continua.
- ce n'est pas la peine de protester, il fallait réfléchir avant mademoiselle, maintenant vous allez voir Aurélie et vous lui demandez de vous faire un lavement.
C'était déjà humiliant ce qu'elle vivait mais madame Rose voulait marquer le coup et la demande de son lavement en faisait partie. En rougissant toujours fesses à l'air et mains sur la tête elle se présenta à la jeune assistante. Celle-ci l'interrogea du regard, Elodie bredouilla.
- euh, madame Rose... Euh a demandé....
- oui, j’attends.
- il faudrait... me faire un lavement.
- oh mais avec plaisir mademoiselle, suivez-moi.

Avant l'arrivée d'Elodie, Aurélie s'était occupée de Hervé. Celui-ci avait retiré son pantalon et attendait dans sa culotte féminine, celle que lui faisait porter Christine son épouse. Aurélie sourit au spectacle de ce monsieur en sous vêtement féminin.
- il va falloir me retirer cette culotte mon petit monsieur, à moins que vous vouliez que je m'en charge, mais je vous préviens quand je déculotte, en général c'est pour la fessée.
Hervé s'exécuta rapidement et il se retrouva nu devant cette jeune femme. Elle ne fit pas attention à son anatomie, elle avait tellement l'habitude de déculotter aussi bien des messieurs que des dames. Elle lui tendit une culotte.
- essayez celle-ci, c'est une taille 38, vu le volume de vos fesses, vous devriez y rentrer facilement.
Hervé se dépêcha d'enfiler la culotte à fessée, effectivement elle était à sa taille. Aurélie le fit pivoter pour voir son fessier.
- c'est parfait, on va finir l'essai.
Elle courba Hervé sous son bras afin de tendre les fesses puis d'un geste rapide elle dégrafa les pressions, le fond de la culotte tomba sur les cuisses découvrant la croupe blanche bien tendue. Devant ce spectacle la fessée devenait évidente, la main claqua rapidement les fesses bien exposées. Hervé trépignait sur place sous la brûlure mais il ne cherchait pas à éviter la correction. Quand Aurélie le relâcha son derrière était écarlate.
- vous allez me faire refroidir ces fesses au coin, vite, mains sur la tête !
Elle avait accompagné ces paroles d'une vigoureuse claque. Hervé se dirigea vers le coin de la salle d'attente, le fond de sa culotte pendant sur ses cuisses découvrant parfaitement sa croupe.

C'est à ce moment qu'Elodie arriva pour demander son lavement.
Caroline de son côté exposait toujours ses fesses écarlates au-dessus de sa petite culotte blanche descendue à mi-cuisse. Sophie lui saisit l'oreille et la conduisit sur la petite plate-forme rembourrée à côté de son bureau. Elle la fit se coucher pour que ses fesses soient bien tendues.
- pour les vilaines filles, il n'y a rien de mieux que le martinet...
Sophie avait pris un martinet numéro 2, elle se plaça de côté et administra la première cinglade, Caroline n'était pas habituée à cet instrument punitif, sous la brûlure des lanières, elle poussa un cri et fit mine de se relever.
- on ne bouge pas mademoiselle, vous avez été vilaine et je vais vous en faire passer l'envie.
Le martinet repris son œuvre et les fesses leur belle couleur rouge carmin. Caroline criait à chaque coup, elle trépignait sur place mais ne cherchait pas à éviter sa punition.
Celle-ci fut sévère, quand Caroline fut reconduite au coin ses fesses étaient cramoisies avec un entrelacs de lignes plus sombres, trace des lanières du martinet.
C'était finalement une journée normale à l'institut, des bruits de claques retentissant sur la peau nue, l'exposition de fessiers écarlates, des gémissements, une bonne ambiance de fessée déculottée.
Mais ni Elodie ni Caroline n’en avait fini avec leurs punition, Elodie y pensait en suivant Aurélie qui l’amenait à la salle de lavement et Caroline également sanglotant dans son coin en serrant convulsivement ses fesses brûlantes.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 16
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et des sérial fesseuses... Bonjour !
    Bonjour Sylvie.

    Oula la!! N'en jetez plus les caddies sont pleins, comme les culottes tendues à craquer sur les fessiers en feu! Parce que l'institut de Madame Rose c'est carrément la grande distribution de la fessée. Le carrefour de la déculottée pour grandes surfaces fessières! A une certaine époque " On trouvait tout à la Samaritaine'', (grands magasin parisien)... Maintenant, c'est Chez madame Rose, qui propose un véritable et redoutable catalogue de la Redoute, de la fessée en tous genres.
    "Bonne ambiance de fessées déculottées", dans toutes les positions, à tous les rayons. Personnel féminin qualifié,implacable, sévère à plaisir, et enthousiaste, pour claquer sans pitié, et à volonté, les paires de fesses en stage de perfectionnement punitif. (soit disant pour lutter contre la cellulite! La bonne blague...) On assiste à une véritable foire du trône de la claque aux fesses!

    Accessoires en tête de gondole, thermomètre, Plug, martinets évidemment, culottes à fessée, tout pour satisfaire les derrières les plus récalcitrants et le plaisir des fesseuses à les claquer à volonté. Du coup, ça déculotte et ça fesse à tour de bras!

    Savoureux, retour en force de la spécialité maison, les journées fesses rouges... Positions fesses en l'air bien humiliantes, essayage croustillant des culottes à fessées pour homme. L'auteure s'en donne à cour joie dans un hommage vibrant à une culture jouissive de la fessée. Le lecteur s'en régale à tous les paragraphes!
    Beaucoup moins les victimes qui, à l'instar de l'arroseur arrosé, passent indifféremment du statut de fesseuse, à celui de fessée... Personne n'échappe aux concerts de fessées de l'institut, avec madame Rose et son orchestre de percussions !
    Cordialement
    Ramina

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  2. Merci pour vos commentaires toujours aussi chaleureux. C'est un plaisir de continuer à écrire, rien que pour le plaisir de vos commentaires.
    Sylvie

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  3. Et réciproquement!
    C'est toujours très plaisant de commenter des récits aussi bien "troussés" ( c'est le cas de le dire !) où les fessées y est sont aussi généreusement et magistralement distribuées.
    Ramina

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