mercredi 10 juin 2020

La convocation de Juliette

« Juliette ! Je viens de recevoir un appel de la directrice de ton stage, elle n'a pas voulu me dire pour quelles raisons.  Que se passe t il ? Qu'as-tu fait encore ? 
– Je ne sais pas Maman. »
Elle m'a parlé assez sèchement, elle doit être terriblement en colère. Oui, elle fait peur.

Le jour venu les deux femmes se préparèrent pour se rendre à l'entreprise ou Juliette faisait son stage. Une société événementielle dont Roxanne était la directrice. 
Elles furent installées dans le petit salon qui faisait office de salle d’attente. Ce n'est pas sans une certaine angoisse qu'elles prirent place. Amélie, se sentait mal à l'aise dans son tailleur noir, ses collants étaient trop lâches, elle devait sans arrêt les remonter. Juliette, elle, était vêtue en mode confort, un leggin blanc et un vaste pull en laine, très long.
Au bout d'une demi-heure d'attente une grande femme se présentant comme Roxane vint les chercher pour les conduire dans son bureau, sans même un sourire, le regard noir. Une boule d'angoisse se creusait dans le ventre d’Amélie. Mais comment Juliette peut être si détendue, est-elle si inconsciente que ça !  Cette femme est effrayante, intimidante. 

« Asseyez-vous dit-elle doucement mais fermement ! Je vous ai demandé de venir toutes les deux car j'en ai plus qu’assez du comportement de votre fille Madame. Elle est arrogante, insolente, toujours en retard et répond systématiquement quand on lui fait des remarques.
– Je suis désolée Madame, je sais que le comportement de ma fille laisse à désirer, croyez bien pourtant que je fais tout ce que je peux pour y remédier.
– Visiblement sans résultat coupa sèchement Roxane.
– Euh oui Madame, mais je ne baisse pas les bras pour autant. 
– J'ai donc pris la décision de renvoyer Juliette 
– Oh non, dit Juliette en se redressant d'un bond sur sa chaise, si je me fais virer je vais aussi l'être de mon école ! 
– Ça n’est pas mon problème jeune fille, je n'ai pas de temps à perdre avec des gamines de ton genre !
– Madame, dit fébrilement Amélie, il doit bien y avoir quelques choses que nous puissions faire pour arranger ça, cette décision radicale aura trop d'impact sur les études de ma fille, pourriez-vous considérer une dernière chance ? »
Roxane toisa longuement Amélie, puis Juliette et son regard revint sur Amélie qui attendait anxieuse sa réponse.
– Oui, il y a bien quelque chose que nous puissions faire. »
Tout en fixant son regard dans les yeux d’Amélie, Roxane dit doucement :
« Juliette, ta mère et moi avons à parler entre adultes, retourne à la salle d'attente et restes-y jusqu'au retour de ta mère. »
Inquiète, Juliette quitta le bureau en refermant la porte capitonnée derrière elle.

« Bien, repris Roxane, nous y voilà, que comptez-vous faire pour rendre Juliette plus agréable ?
– Je vais la priver d'argent de poche et lui interdire de sortir avec ses amis pour un bon mois.
– Je n'en reviens pas ! dit Roxane, vous pensez sérieusement que cela va avoir un effet sur elle ? Vous êtes bien naïve. Elle a besoin d'un traitement plus radical. 
– Que me suggérez-vous alors ? 
– Elle a besoin d'une bonne fessée déculottée, comme en reçoivent les gamines.
– Mais, balbutiait Amélie, je ne sais pas, je n’oserais pas.
– Il faudra bien, c'est la seule condition pour qu'elle puisse continuer son stage ici. Je veux qu'elle la reçoive sitôt retournée chez vous.
– Mais….
– Il n’y a pas de mais, vous allez faire exactement comme je vais vous le dire : vous allez prendre une chaise que vous placerez au centre de votre séjour. Vous inviterez Juliette à s'approcher de vous, vous lui demanderez d'ôter son long pull et vous lui ferez mettre les mains sur la tête. Là, vous la sermonnerez et vous lui ferez comprendre toute la chance qu'elle a de s'en tirer avec cette punition. Ensuite vous lui baisserez le leggin blanc et la coucherez en travers de vos genoux. Vous commencerez alors à claquer ses fesses par-dessus la culotte, assez fort. Vous lui direz que les petites filles insolentes reçoivent la fessée de leurs Maman et qu'elle elle doit s’attendre à ce que la fessée devienne plus humiliante pour elle. Vous lui direz, que pour corriger son comportement vous allez lui baisser la culotte, car c’est est ainsi qu’on puni les gamines comme elle, par une bonne fessée déculottée ! Après quoi, la culotte baissée jusqu'aux chevilles vous continuerez à la fesser jusqu’à ce qu'elle pleure de douleur et de honte à devoir s'exposer de la sorte, intimité offerte aux regards, même de sa mère. Une fois les fesses bien rouges, vous la mettrez au piquet et prendrez une photo de ses fesses que vous m’enverrez. C'est à ce moment que j'accepterai que Juliette revienne demain, vous m'avez bien compris Amélie ?
– Euh… »
Interloquée, Amélie toute rougissante en était bouche bée. 
« Euh, fit-elle encore, oui Madame, j’ai bien compris. Je vais le faire, je vais lui donner la fessée déculottée. Promis. »

Amélie, se penchait pour ramasser son sac pensant l'entretien terminé, fut arrêtée net dans son élan.
« Une minute Madame, nous n'avons pas fini toutes les deux. Ne pensez-vous pas que vous avez une responsabilité dans l'attitude de votre fille ? Que si elle en est arrivée là c'est en partie de votre faute, de votre laxisme ? »
Piteusement, Amélie baissant les yeux murmura :
« Oui je sais.
– Ne pensez-vous pas que vous avez besoin aussi de vous ressaisir ?
– Oui !
– Ne pensez-vous pas que vous avez aussi besoin d’aide ?
– Oui Madame, je l’avoue.
– Je pense Amélie que vous avez aussi besoin de recevoir une fessée déculottée, comme votre fille. »
La peur envahissait le visage honteux d'Amélie.
« Répondez moi Amélie, regardez-moi dans les yeux et dites-moi ce que vous méritez pour votre négligence.
– Je, je mérite une ...une fessée 
– Oui et comment méritez-vous cette fessée Amélie ?
– Je mérite, reprit-elle, une fessée déculottée.
– Bien, je suis d’accord avec vous et je vais vous rendre ce service moi-même ! »
Là, Amélie avait vraiment peur. Elle seule savait pour l'instant que ce n'était pas le bon jour du mois, une larme coula au coin de son œil. Elle ne supporterait pas cette humiliation, mentalement elle essayait de se souvenir quand elle avait changé sa serviette pour la dernière fois. Elle tenta malgré tout :
« e n'est pas possible aujourd'hui… dame nature vous comprenez ?
– Amélie, je suis une femme aussi, je sais ce que c'est et puis vous pourrez pleinement apprécier, si je puis dire, l'humiliation qui accompagne souvent les châtiments corporels. »
Elle ne savait plus quoi dire...vaincue, elle acquiesça de la tête.
« Bien, ne perdons pas de temps. Commençons ! Approchez ! Ne faites pas cette tête, vous survivrez à cette fessée et elle ne peut que vous faire du bien. Bien, Amélie, pour votre laxisme envers votre fille, votre naïveté, votre indulgence déplacée vous allez recevoir une fessée déculottée. Mettez les mains sur la tête ! »
Roxane entrepris de dézipper la jupe d’Amélie et la fit ôter complément. La mère de famille, à 45 ans, se retrouvait, les mains sur la tête, seulement vêtue de son haut et collant que laissait transparaître sa culotte rose bombée de l’imposante serviette hygiénique qui la mettait à l'abri de fuites.
« Allongez-vous sur mes genoux ! »
La claquée commença immédiatement. Amélie encaissait sa punition en serrant les dents, pleurant silencieusement. Les claques fuyaient sur ses fesses, parfois sur la serviette faisant un bruit sourd et mat.
Roxane saisi le collant par les côtés et le fis glisser à mi-cuisse.
« Amélie, pour cette punition vous soit pleinement bénéfique, je vais vous baisser la culotte, j'espère que cette gêne, cette humiliation sera assez marquante pour que vous vous souveniez que ce qu'il en coûte de baisser les bras face à votre capricieuse fille. »
Elle saisit l'élastique de la culotte et commença à la baisser, Amélie senti et entendis le bruit plastifié que faisait sa serviette en se décollant de sa vulve, jamais elle n'avait ressenti plus grande honte de sa vie. Jamais ! Maintenant ses larmes ruisselaient à torrent.
Roxane contemplait ce fessier si vulnérable, offert, si féminin. Si fragile en cette période de menstruations. Elle reprit le ballet de ses claques, appuyées, fortes. Amélie gigotait, ses jambes battant l'air laissant apparaitre ses chairs les plus intimes et ses orifices les plus secrets.

Quand Roxane estima que la punition était suffisante, elle fit agenouiller la mère de famille devant elle. D'une voix douce, elle dit :
« Allons, allons Madame, c'est fini. Calmez-vous. Pour finir, je vais vous demander de vous mettre à ce coin, les bras le long du corps et de reprendre vos esprits. Dans 10 minutes vous pourrez rejoindre votre petite peste de fille. »
Amélie, docile, se dirigea vers son piquet, marchant difficilement, ses chevilles étant entravée de ses collants et de sa culotte.
Roxane observait cette mère de famille immobile, elle était si vaincue qu’elle ne réagit même pas quand quelques gouttes de sang glissèrent le long de ses jambes. Au bout de 10 minutes. Amélie pu se réajuster, et pu enfin partir en saluant Roxane d'une voix douce.

En entrant dans la salle d’attente, elle trouva Juliette affalée sur son siège, jouant avec son portable. Redevenant d'un coup, Amélie, la femme, la mère de famille, réaffirmée par l'aide de Roxane lui dit sèchement :
« Juliette lève-toi, rentrons ! Nous avons à parler ! 


Sur le chemin du retour, un silence de cathédrale régnait dans la voiture, tout en conduisant, Amélie se remémorait les événements de cette fin de matinée. Répondant à la convocation de Roxane, la directrice de stage de Juliette, elle avait été loin de s'imaginer ce qu'il allait lui arriver.
Elle avait dû négocier la clémence de Roxane et ainsi éviter son renvoi. La condition sine qua non était la promesse qu'elle donnerait à sa fille une bonne fessée déculottée.  Mais ce n'était pas tout, elle aussi avait dû accepter un châtiment corporel. Elle aussi avait reçu une fessée déculottée. Elle avait dû s'allonger sur les genoux de la directrice qui lui avait baissé la culotte comme une petite fille.  Les pleurs et le fait qu’elle ait ses règles et portait une serviette hygiénique n'y avait rien changé, elle avait encaissé en silence et après un rapide passage au piquet avait pu se ressaisir et redescendre chercher Juliette.
Maintenant elles gravissaient l'escalier qui mène à leur appartement. Juliette allait payer l'humiliation qu'elle avait dû subir pour sauver sa place, oh oui ! Elle allait le payer !
« Juliette reste ici. Roxane à accepter de te garder à une condition.
– Oui Maman c’est cool. 
– Quand tu sauras la condition tu souriras moins.
– Ah ? Et pourquoi ?
– Oui, reprit Amélie, je lui ai promis que je sévirai, que je te punirai.
Juliette commença à blêmir.
« Je vois que tu commences à comprendre ma fille, je vais te coucher sur mes genoux, te baisser la culotte pour que tu reçoives une bonne fessée déculottée !
–Mais …. Juliette ne sut pas quoi répondre, estomaquée par ce qu’elle venait d’entendre. 
–Je ne, je peux pas… c'est impossible je suis trop grande. 
– Ma fille, au vu de ton attitude puérile, il me semble que de recevoir une fessée déculottée de sa Maman n’est pas inapproprié.  Bien au contraire. Mets cette chaise au milieu de la pièce 
– Mais …
– Tu le sais, ma chérie que tu l’as méritée, alors soit digne et fais ce que je dis. »
Vaincue, Juliette obéit docilement à sa mère. Amélie s'assit sur la chaise et demanda à Juliette de s’approcher.
– Bien, commence donc par enlever ce pull, il va nous gêner. »
Juliette, était très gênée de paraître en soutien, même devant sa mère.
– Bien, ma fille, il faut que tu comprennes que c'est une chance de ne pas se faire renvoyer. Ta situation aurait pu être bien pire ! Mets tes mains sur la tête. Approche ! Bien, ma fille pour que tu deviennes meilleure, que tu t’assagisses, tu vas recevoir une bonne fessée. Je vais commencer par baisser ce leggin. »
Joignant le geste à la parole, Amélie saisi les bords du vêtement et le fit coulisser sans difficulté jusqu'aux cheville de la jeune fille. Juliette avait comme dernier rempart de sa pudeur qu'une petite culotte de coton blanc, avec un petit liseré de dentelle et un petit nœud.
« Allonge toi sur mes genoux ! Voilà, c'est bien ! »
La fessée commença aussitôt. Des claques rapides, sèches viennent s'abattre sur les fesses de Juliette à un rythme régulier, rosissant les globes fessiers de sa fille.
– Ma fille, pour ton comportement inacceptable je vais te baisser ta culotte »
Au moment où elle passa ses pouces sous l'élastique de la culotte un grand « nooon ! » résonna dans pièce. 
« Tu peux crier tant que tu veux mais quand on a été aussi vilaine les mamans baissent la culotte de leur fille. Tu n’y échapperas pas. »
Amélie baissa la culotte de sa fille jusqu'aux chevilles rejoignant ainsi le leggin.
« Ma petite fille je comprends pourquoi tu ne voulais pas que Maman baisse ta culotte, elle est toute craspouille, tu devrais avoir honte ! »
La fessée repris de plus belle, Juliette se tortillait de douleur, plus aucune intimité, ses jambes s’ouvraient et se fermaient, mais à ce stade cela n'avait plus d'importance. Rien ne pouvait empêcher le regard d’Amélie de se poser sur le sexe et le petit trou des fesses de sa fille, Amélie pensant mentalement qu’elle aussi ce matin avait dû offrir le même spectacle à sa correctrice ...ce qui la troubla fortement.

Après de longues minutes, enfin la fessée cessa. Juliette entre deux sanglots reprenait son souffle. Elle se promit que jamais plus elle aurait un mauvais comportement, que jamais plus sa Maman n'aura de raison de lui baisser la culotte, jamais plus elle recevrait de fessée déculottée...
« Là, ma fille, c’est fini. -Va au coin pour réfléchir et te ressaisir. »
Amélie sorti son téléphone portable et pris en gros plan, le résultat de son travail.  Des fesses rouges et chaudes. Elle envoya immédiatement à Roxane qui répondis dans la foulée.
« Bravo ! Je vois que la fessée déculottée que vous avez reçue ce matin a porté ses fruits. Dites à Juliette de pas être en retard demain matin sinon, vous vous ferez de nouveau baisser la culotte ! »


Une nouvelle production de Wendy

Gageons qu'il y en aura d'autres.

Et maintenant ?

Pas mal, non ? Une suite à ce récit ? Wendy devrait peut-être se décider à l'écrire ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.

8 commentaires:

  1. Bravo Wendy
    Beau récit d'une bourgeoise BCBG qui fini déculottée les fesses en , après elle étais motivée pour déculottée et fessée sa fille
    Rien de mieux que de connaitre les deux cotés du martinet c'est les meilleur fesseurs ou fesseuses et je ne parle pas ou peu finir le manche du martinet
    Jojo bonno

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  2. Merci jojobonno, en effet les parents sont toujours responsables de leurs progénitures et que les manquements finissent toujours par se payer un jour ou l'autre.

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  3. Bonjour, Wendy,

    Votre récit "à étages" est très efficace. Et, dans un cas comme dans l'autre, l'humiliation est appelée à porter ses fruits. Il est bon qu'Amélie, qui est, au fond, la première responsable, par défaut d'éducation, du comportement de sa fille, soit la première à être punie. Même si, finalement, elle l'a ménagée. Après tout, elle aurait pu vouloir la punir devant sa fille. Mais peut-être Juliette qui se trouvait dans la salle d'attente, a-t-elle entendu ou soupçonné ce qui se passait.
    Amicalement.
    François

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    1. Oui effectivement, Roxane voulait vraiment préserver Amélie dans le but de la faire progresser.

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  4. Bravo Wendy pour ce récit très suggestif, continuez.
    Sylvie

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  5. bonjours j'ai adorais cette histoire parce que c'est une personne de 45 ans mère de famille qui a eu la fessée cul nul et elle la traiter comme une adulte elle la vouvoyer et elle la appelais madame care la punition corporelle les adulte aussi le mérite (moi je voudrait qu'il m’arrive une histoire comme celle la j'ai 60 ans et je mérite mais jamais en ne ma appeler dans son bureau pour m'enguirlander et me fessé et portent il a des jour.... (il faudrait une histoire ou un homme ou une femme mature se fais fessée en public devant ses copines ou copains) merci.

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  6. Merci pour vos compliments

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