lundi 1 juin 2020

Les rebelles -chapitre 34

En ce Lundi matin de rentrée scolaire, Fabienne D., furieuse, nous convoque toutes les six dans son bureau, Coralie, Kirsten, Naia, Samantha, Yang et moi. Elle nous dit que nous étions allées dans une Academy anglaise réputée pour progresser et nous n’avons rien trouvé de mieux à faire que de ternir la réputation des françaises et de Ste CROIX. Nous pouvons nous attendre à être surveillées de près et le moindre écart de conduite nous vaudra une sévère punition.
Fabienne D. nous annonce qu’elle a commandé quelques vêtements de pénitence pour les élèves de notre espèce. Elle n’hésitera pas à en user et à en abuser et à en juger par le film, nous avons été dans tous nos états avec le port de ces vêtements de pénitence bourrés d’orties urticantes.
Pour enfoncer le clou, Fabienne D. confirme qu’avant la fin de la semaine, les deux films de nos punitions en Angleterre seront projetés à l’ensemble des élèves, histoire de nous humilier un peu plus et elle espère que nous allons enfin murir. A notre âge, il serait grand temps. Fabienne D. a rempli le formulaire dûment justifié puis elle a récupéré les films et les droits de diffusions auprès de l’annexe du ministère de la justice de notre région.
Après l’entrevue avec notre proviseure, mes copines Iourievna et Olga n’en finissent pas de nous questionner sur notre voyage en Angleterre, car Léa leur a dit qu’il y a eu du grabuge et qu’on s’est fait punir sévèrement ! Comme elles sont déjà au courant et qu’elles verront les deux films, nous leur racontons tout en détail. Ayant entendu le début de notre conversation, d’autres filles et garçons arrivent pour écouter et se régaler de nos malheurs.
Léa, jamais avare de scoops, dit à qui veut l’entendre que des films vont être projetés pour montrer nos corrections à l’ensemble de St CROIX. Olga et Iourievna viennent me réconforter, car elles voient bien que je suis au bord des larmes. C’est comme si nous allons recevoir nos corrections une autre fois, car les souvenirs sont très vivaces dans notre mémoire et nous revoir en si mauvaises postures va nous faire souffrir moralement. Cette fois-ci, notre perception sera tout autre, car n’étant plus absorbées par la douleur, nous allons clairement entendre tous les quolibets et remarques grossières, méchantes et obscènes des élèves qui regarderont le film en même temps que nous. Après ça, il nous faudra raser les murs pour se faire oublier un moment.
A peine fini, une étudiante que je ne connais pas me pose d’autres questions sur ce que j’ai vécu là-bas. J’y réponds et je comprends que cette fille est américaine, étant donné son accent prononcé. Elle nous dit s’appeler Susan et avoir dix-neuf ans. Elle est arrivée à Ste CROIX la semaine dernière. Avant, elle était en Alabama et son père a un poste de consul dans la région. Ste CROIX ayant été recommandé pour son enseignement et sa discipline renforcée, ses parents l’ont inscrite ici. Elle est ici, avec ses parents et la famille de sa sœur.
Susan, nous explique que dans son ancienne école, le régime américain est aussi presque aussi sévère qu’à Ste CROIX et que compte tenu de sa religion protestante baptiste, ils doivent strictement se conformer à la bible. Tout dérapage donne lieu à une punition corporelle, mais qu’elle les accepte volontiers, car les enfants doivent être physiquement châtiés, dans leur intérêt, pour les maintenir dans la bonne voie. Susan partage les convictions de ses parents. Elle considère qu’elle doit pleine et entière obéissance aux personnes détenteur de l’autorité ( parents, professeurs, gendarmes, ... ) et quelles que soient les circonstances.
Elle nous explique qu’aux USA, les châtiments corporels y sont monnaie courante. Les parents doivent y consentir et signer un document par lequel ils autorisent la direction de l’école à les pratiquer. Quant aux élèves, ils doivent signer un formulaire où ils reconnaissent avoir été avertis qu’ils seront châtiés en cas de faute et préciser que c’est quelque chose qu’ils acceptent en toute connaissance de cause, à l’identique de Ste CROIX, puisqu’elle a aussi signé un formulaire du même type la semaine passée.
Elle nous explique que dans son ancien lycée, chaque vendredi, tous les élèves qui ont commis des fautes de catégorie un ( délits mineurs tels que retards en classe, prise de parole sans autorisation, étourderies, bousculades dans les couloirs et les escaliers, etc. ) sont réunis par le directeur qui leur laisse le choix entre passer leur samedi en colle ou recevoir immédiatement cinq sévères coups de paddle sur les fesses à travers leurs vêtements. Pratiquement, neuf élèves sur dix choisissent d’être collés. Les parents de Susan exigent d’elle qu’elle choisisse obligatoirement le paddle, ce que fait Susan, sans discuter. En plus, ils la contraignent, à passer tout son samedi à la maison. Dans les cas les plus graves à leurs yeux, le Samedi, Susan doit être nue pour que sa gêne renforce la punition corporelle, reçue à l’école, après quoi, elle est pardonnée. En fin de journée, Susan récite quelques prières pour retrouver la paix intérieure.
Pour les fautes de catégorie deux ( mensonge, tricherie, vol, blasphème, vulgarité, bagarre, manque de respect, résultats insuffisants imputables à la paresse, comportement sexuel inadapté, etc. ) l’élève doit appeler ses parents et leur expliquer en quoi son attitude lui vaut une punition méritée. Ceux-ci peuvent alors décider soit de laisser le directeur exécuter lui-même la punition soit, s’ils préfèrent, venir eux-mêmes corriger leur enfant. Dans le premier cas, le directeur applique le nombre de coups de paddle que prévoit un barème précis en fonction de la gravité de la faute. Il le fait devant un témoin du même sexe que l’élève puni. Dans le second cas, la façon dont la punition se déroule devant le directeur et laissée à la discrétion des parents. L’élève gagne rarement au change car les parents se montrent souvent beaucoup plus sévères que le directeur. Pour les fautes de Susan en catégorie deux, c’est toujours Heather S., sa maman qui se déplace pour appliquer elle-même la fessée au paddle. Heather S. demande à ce que quelques filles de la classe de sa fille soient présente et devant public, elle retire elle-même la jupe et la clotte de sa fille, la fait mettre en position, courbée sur le bureau, et applique les coups de paddle requis, sans clémence pour le fait que ce soit sa « petite fille chérie ».
Susan nous dit que la concernant, à son lycée, des punitions lui ont déjà été administrées de temps en temps, sur les fesses nues, comme à la maison. Elle a constaté qu’à Ste CROIX, les punitions de catégories deux sont données devant toute l’école. Elle nous dit que l’élève doit être humilié pour un bon moment, mais que c’est un bien pour lui et que son esprit s’en trouve purifié. Je réplique qu’on voit bien qu’elle n’a jamais eu à subir ça devant toute l’école car elle ne parlerait pas comme ça et elle peut me croire, on se fiche qu’on soit purifiée, que ce soit notre esprit ou nos fesses.
Susan continue sur cette voie et dit que la bible doit être notre guide pour nous faire devenir de bonnes personnes, que la vie est semée d’embuches, mais ce sont des obstacles à franchir et qu’on en ressort toujours plus fort. Il n’y a pas à en douter. Avec ses préceptes de « Madame, je sais tout » et idées rétrogrades je l’envoie paitre. Si ça lui plait de se faire fouetter tant mieux, pas moi. Mes amies, Olga et Iourievna pensent comme moi. Iourievna insiste sur le fait que lorsqu’on reçoit des coups de fouet sur l’intégralité du corps, on s’en souvient et ça marque moins le corps que l’esprit. Parfois, on en fait même des cauchemars...
Au cours de la conversation, Olga dit que chez les orthodoxes, l’higoumène peut soumettre les fidèles à des fouettées lorsque les pêchers sont trop importants ou s’il y a abondance de petites fautes. Il n’est pas rare qu’on entende des cris qui viennent de la cour de l’église, lorsqu’on se présente au confessionnal. A ce moment, on comprend qu’un ou une fidèle se repent de ses fautes, sous les cinglées du fouet. A St-ARCHANGE, l’église orthodoxe que la famille d’Olga et de Iourievna fréquente, Mère Hypandia et Sœur Anna n’ont pas leurs pareilles pour que les pécheurs émettent des remords. Mais en grande majorité, l’higoumène impose des jeûnes et des prières, mais en plus, leurs parents exigent la nudité intégrale durant les prières, représentatives d’humilité et de sincérité. Lorsqu’il ne fait pas trop froid, les parents d’Olga et de Iourievna et d’Ekaterina, les expédient, nues, dans le jardin pour faire leurs prières.
Bien que les châtiments corporels soient similaires entre l’église orthodoxe et l’église baptiste, Olga, Iourievna et leur grande sœur ne sont pas « heureuses » de les recevoir, alors que Susan, elle, s’y soumet de son plein gré, afin d’être remise dans le droit chemin, sans y trouver à redire. Et c’est bien là toute la différence.
Susan surenchérie en disant qu’elle est largement convaincue des bienfaits des punitions corporelles et c’est bien que Ste CROIX y ait recours pour dresser les indisciplinés comme les jeunes d’ici.
En me moquant de ses convictions, je lui réponds qu’on verra lorsqu’elle sera en train de hurler en recevant le fouet, toute nue, devant tous les élèves de l’établissement. Sans perdre son sang-froid, Susan me répond qu’elle serrera les dents tout en priant et en remerciant qu’on la remettre sur la voie de la lumière. Elle nous cloue le bec en disant, avec une certaine ironie, que nous les russes, dont l’origine est slave, nous avons surement plus besoin que les autres d’être corrigés et ce sera avec plaisir qu’elle nous regardera nous faire punir et redevenir dociles, cependant, en nous regardant, elle priera pour la paix retrouvée de notre âme.
Pour argumenter ses propos, Susan nous dit que sa grande sœur Emily a été fouettée devant toute la famille, Dimanche passé, et elle a tout de suite accepté la punition, sans chercher à s’y soustraire. Olga, Léa et quelques autres copines, qui sont toujours à l’affut d’infos croustillantes demandent à Susan des précisions. Après s’être un peu fait priée, Susan consent finalement à raconter les circonstances de cette punition.
Il est de coutume que les parents de Susan, réunissent la famille complète pour le repas dominical. Instant privilégié pour que tous soient présents pour discuter, conseiller et ne pas perdre le contact entre les parents et les enfants. Il arrive trop souvent que les membres des familles s’éloignent et se perdent petit à petit de vue, rompant les liens sacrés de la famille.
Il y a quinze jours, sa grande sœur a appelé Heather S., sa mère, et a prétexté être souffrante. Fièvre et se sentant sans force. Emily A. a de ce fait dit qu’elle ne viendrait pas au repas de famille. Heather S. était très inquiète pour son ainée, car sa santé et primordiale pour elle. Bien évidemment, Emily A. est restée chez elle avec son mari et son fil Ian de quatre ans. Elle a pris de ses nouvelles quotidiennement pour s’enquérir de son état.
Les jours ont passé et Emily A. a confirmé qu’elle ne sera pas présente le Dimanche. Déçue, Heather S. a organisé le repas pour son mari et Susan, la cadette, encore chez ses parents. Le repas s’est passé en petit comité, ce qui n’est presque jamais arrivé, et il était bien sûr question de l’état de santé d’Emily A. Avec le COVID qui n’est pas totalement éradiqué dans la région, Heather S. craignait que sa fille n’ait attrapé la maladie ou qu’elle en porta les germes. Pour donner le change, Emily A. a dit à sa mère que bien sûr elle était allée voir le médecin et qu’à son avis, c’était une grosse fatigue avec le déménagement et l’arrivée en France plutôt autre chose, mais sa mère se faisait du souci.
Le Mercredi de la semaine passée, rongée par les remords d’avoir effrontément menti à ses parents, Emily A. est venue trouver ses parents et leur a avoué son mensonge et le fait qu’elle n’avait pas envie de venir, mais d’aller voir une amie rencontrée récemment. Stupéfaite par cette révélation, Heather S. a été déçue par l’insolence de sa fille qu’elle prenait pour une adulte respectable. Heather S. lui a dit qu’avec ses trente et un ans, elle ne pouvait pas se permettre de se comporter de cette façon, car c’est un affront à la famille et ça donne un mauvais exemple à son fils Ian. Par conséquent, puisqu’elle est immature à ce point, elle devra être corrigée comme une gamine. Emily A. lui a dit qu’elle acceptait volontiers la punition. Elle était tout à fait prête à se repentir pour la contrition. Heather S. lui a dit qu’elle ne faisait pas ça de gaité de cœur, mais son attitude de menteuse l’y obligeait. Elle lui a annoncé qu’elle recevra vingt coups de martinet sur les fesses et sur le dos, en présence de toute la famille. Elle devra venir vêtue d’une robe la plus simple possible, sans sous-vêtements, comme les pénitentes.
Dimanche, alors que toute la famille était réunie, le papa d’Emily A. lui a demandé d’aller chercher le martinet qui était accroché dans la cuisine. Presque comme un robot Emily A. a décroché l’instrument de punition et en touchant les grosses et longues lanières de cuir, elle a ressenti des frissons lui parcourir le corps, car ses « caresses » seront brulantes. Sous l’émotion, ses tétons se sont dressés et elle a ressenti une étrange impression dans son bas ventre. En revenant dans la salle, humblement, elle a remis le martinet à sa mère, qui l’a déshabillée entièrement. Nue devant la famille l’a gênée terriblement, ce qui l’a fait rougir. Elle a tenté de couvrir ses parties intimes, mais son père lui a ordonné de ne pas faire l’enfant et d’avoir une attitude plus courageuse. Résignée, elle a exhibé son corps. Heather S. la remercie de s’être intégralement épilée de façon à se présenter le plus humblement possible. Si ça n’avait pas été fait, elle aurait dû le faire devant tout le monde.
Heather S. lui a demandé de prendre la position de soumission. Sans rechigner, Emily A. a posé son torse sur la table en écartant les bras et les cuisses. Les spectateurs ont alors eu une vue directe sur sa fente entr’ouverte qui a découvert son vagin. Cette position très impudique devait aussi servir d’avertissement à Susan, afin qu’elle voit à quoi s’attendre si elle faute.
Heather S. lui a appliqué dix coups de martinet sur les fesses et dix autres sur le dos. Emily A. est passée par tous ses états, elle a gémi puis a crié de douleur. Sa mère l’a cinglée de façon très énergique et n’a pas épargné ses parties sensibles, comme ses flancs, ses hanches ou le haut de l’intérieur de ses cuisses. On a pu voir Emily A. serrer les poings, se crisper, se tortiller, taper des pieds, demander pardon tout en sachant très bien qu’aucune clémence ne viendra abréger la punition. De belles marques rouges zébraient sa chair.
A la vingtième cinglée reçue, Heather S. a posé le martinet et a déclaré que la punition était terminée et qu’Emily A. était pardonnée. Doucement, elle a relevé son ainée, le visage inondé de larmes et la pris dans ses bras pour la bercer comme lorsqu’elle était petite et qu’elle venait de se faire mal. Entre deux sanglots, Emily A. a remercié sa maman de l’avoir punie et de l’avoir remise dans le droit chemin. Elle était désolée et elle a promis de faire attention. Heather S. lui a répondu qu’elle y comptait bien, mais qu’elle était également habituée à ses promesses non tenues. Il y aura surement d’autres punitions de ce genre pour qu’elle devienne une femme respectable. Un par un, tous les membres de la famille sont venus la serrer dans leurs bras en l’embrassant tendrement, témoignant du pardon familial. Le dernier à la serrer dans ses bras a été son fils de quatre ans, qui ne comprenait pas pourquoi sa maman était nue et portait des marques rouges sur les fesses et sur le dos. N’ayant pas assisté à la correction, Emily A., en pleurs et surtout honteuse de se présenter comme ça devant son fils, lui a demandé pardon et lui a expliqué qu’elle avait fait menti et qu’il fallait qu’elle soit punie. Mais maintenant, tout allait bien et la vie allait pouvoir reprendre comme avant.
Emily A. a enfilé sa robe avec quelques grimaces et tout le monde est passé à table pour le repas dominical. Celui-ci a commencé par une prière de bénédiction de la table familiale. Emily A. a gigoté sur sa chaise d’une fesse sur l’autre, mais a essayé de faire bonne figure. Ni l’incident, ni la correction ne furent évoqués au cours du repas, dans la mesure où les compteurs avaient été remis à zéro.
Dans les jours qui suivent sa correction, Emily A. refuse les propositions de ses amies pour aller nager avec elles dans la mer, prétextant des petits ennuis de santé qui la tiennent couverte. En fait, elle a honte de devoir exhiber en public les zébrures rouges résiduelles de sa punition parentale. Pendant que ses amies s’amusent dans l’eau. Aigrie, Emily A. les regarde depuis la plage.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 33 acte 2

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2 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.

    À Sainte-Croix, les élèves font généralement contre mauvaise fortune bon cœur. Parce qu'ils n'ont pas le choix. Les punitions sont essentiellement destinées à rétablir la discipline, condition indispensable à la réussite scolaire. Avec Susan apparaît une dimension différente. Elle est, par conviction religieuse, partie prenante des fessées qu'elle reçoit. Elle est en communion avec elles parce qu'elles sont rédemption. Si sa sœur qui partage les mêmes convictions et qui est désormais mariée et mère de famille finit par avouer le mensonge qu'elle a commis, c'est que l'idée de l'avoir commis, de ne plus être en paix avec sa conscience, lui est mille fois plus insupportable que la punition qu'il va lui valoir. Et qu'elle accepte avec reconnaissance, voire jubilation, parce qu'elle la remet en paix avec elle-même et avec la communauté dont elle fait partie. Ce sont, à Sainte-Croix, deux conceptions qui vont s'affronter et qui n'ont certainement pas fini de provoquer toutes sortes de remous. Pour notre plus grand plaisir. Et pour notre plus grande... édification.
    Amicalement.
    François

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    Réponses
    1. Bonjour François,
      Vous avez raison de signaler la distinction de perception entre les fessées des étudiants et autres personnages et les principes religieux qui s'imposent comme une évidence pour ces américains convaincus. Toute transgression doit être punie et les membres de la famille s'y soumettent de plein gré. Cela s'impose à eux telle une évidence. La pureté de l'âme est primordiale pour eux. Se faire punir est un gage de rachat et de pardon.
      Susan qui fréquente, à présent, Ste CROIX n'aura de cesse de prêcher et de tenter de convertir ses amies. Par contre, qu'en sera t-il lorsque ce sera elle qui sera soumise à la punition devant tous les élèves de Ste CROIX ? Ses convictions seront-elles toujours aussi fortes ?
      Amitiés.
      Elena.

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