mardi 2 juin 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 35

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LES FESSEES VONT PAR PAIRES COMME LES CHAUSSURES.

Régine Duplessy eut connaissance des circonstances de cet achat de chaussures au salon de coiffure de Béatrice Klakerspank. ( voir saison 2 chapitre 6). Les hommes discutent au bistrot, les élégantes,  plus sophistiquées, dans les salons de thé ou de coiffure. Celui de Béatrice était le lieu où ces Dames joignaient l'utile à l'agréable et profitaient de leurs rendez-vous pour échanger sur leur sujet de conversation favori, ou comment bien dresser son mari pour le rendre obéissant en toutes circonstances.

On y discutait, fessées, déculottées, corrections diverses et variées, positions, instruments, chacune vantant l'efficacité de ses méthodes pour bien claquer un derrière.  Tout cela le plus naturellement du monde comme s'il s'agissait d'une activité ordinaire. On papotait joyeusement en se régalant des dernières croustillantes anecdotes qui pimentent la stricte application d’une bonne discipline conjugale. Après la théorie, la propriétaire des lieux passait à la pratique. Elle y convoquait régulièrement son grand fils, Maxime, pour lui flanquer les corrections qu'il avait méritées ce jour-là, devant ces Dames, au spectacle, dans les fauteuils de coiffure.  Ces humiliantes démonstration faisaient l'unanimité quant à la merveilleuse efficacité des fessées déculottées administrées en public. De loin les meilleures selon la sévère maman.
C'est dans ces circonstances que Clarisse informa Régine Duplessy,  de l'histoire des chaussures sur mesure. Aristide Duplessy ayant entraîné Douglas son propre mari dans cet achat inutile et plutôt ruineux. Clarisse avait un talent fou pour savoir les choses avant tout le monde. En fait, elle n'avait pas de mérite, et se garda bien de dire que c'est Rodolphe son fils qui lui avait glissé la nouvelle en dénonçant son beau-père. Encore une histoire de petite vengeance personnelle. Elle se mêlait rarement de leur querelles et n'intervenait dans leurs différents que pour flanquer une bonne déculottée à chacun, pas de jaloux, comme à des gamins turbulents, lorsqu'ils deviennent insupportables.

.C‘était un vendredi soir, Régine rentrait de son salon de coiffure où elle venait, donc, d'être mise au courant de l'achat inconsidéré de son mari . Ce n'était d'ailleurs pas tant le montant de la dépense qui la contrariait, ils avaient les moyens, mais le fait qu' Aristide ne lui ait pas demandé l'autorisation. Elle lui en voulait encore, après son escapade avec Bettina, et cette nouvelle forme de désinvolture n'allait pas mettre du baume apaisant dans leur relation conjugale. L'avenir s'annonçait davantage pommadée au Dolpic.... Elle arriva donc de mauvaise humeur, plus ou moins contenue, par réflexe de bonne éducation. 

Aristide, lorsqu'il était rentré avant elle, venait toujours à sa rencontre quand elle franchissait le seuil de la maison, ils s’embrassaient, et il lui demandait si elle était contente de sa journée. C’était toujours un moment déterminant pour la soirée et, en particulier, pour la façon dont elle se passait entre eux deux … Ce soir-là, au claquement agressif de ses talons aiguille sur le carrelage de l'entrée, ça sentait déjà la fessée avant qu'elle n'apparaisse à la porte du salon. Aristide la complimenta sur sa nouvelle coiffure. Indifférente à la remarque qu'elle interpréta comme une vile flatterie qui aggravait son cas, elle posa tranquillement son sac sur la table basse et le fixa d'un air détaché.
Quand on la connaissait, cela ne présageait rien de rassurant. Elle faisait partie de ces femmes de caractère dont la distinction naturelle, toute en retenue, laissait deviner un bouillonnement intérieur qu'il valait mieux éviter lorsqu'il commençait à déborder. Ses colères froides et la féroce énergie qu'elle déployait à discipliner son mari chaque fois qu'elle l'estimait nécessaire, étaient impressionnantes et imposaient le respect. 

– « Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire de chaussures ? »
Aristide, pris au dépourvu, perdit immédiatement contenance et bredouilla.
 – « Quelle histoire ?...  De... De quelles chaussures veux-tu parler ?... Ma chérie ... »
Le ''Ma chérie'' était de trop. Il ne vit pas arriver la gifle, partie toute seule, qui lui expédia la tête sur le côté .
– Attention mon ami, n'essaye pas de me mentir  ! Clarisse m'a mise au courant figure toi ! On sait que ce que vous avez fait Douglas et toi ! La maison Delaniaires... ça ne te dit rien ? ; Chacun une paire de chaussures sur mesures...hors de prix...  Encore une idée à toi , n'est-ce pas ? »
Aristide, embarrassé répond timidement en se tenant la joue enflammée.
 ; – Euh non... oui... Enfin... Chérie... je vais t'expliquer...
– Tu peux toujours essayer !  Mais il n'y a rien à expliquer ! Baisse ton pantalon, tout de suite ! » 
Il s'exécute sans un mot et commence à déboucler sa ceinture en maugréant entre ses dents. Depuis quelque temps, à force d’être vigoureusement puni après son flirt avec Bettina,  il se tenait à carreaux. Du moins en apparence, seulement.

Sans lui permettre d’essayer de dire quoi que ce soit, elle l'entraîne vers le tabouret à fessées en le tenant, par l'oreille, comme un gamin. Après avoir pris le temps de retrousser sa jupe de tailleur pour ne pas la froisser,  elle le bascule sur ses cuisses en position de fessée.  Le pantalon baissé jusqu'aux chevilles, il s'exhibe dans un slip à fessées de nylon blanc transparent, qui ne laisse rien ignorer des plantureuses rotondités postérieures qu’il est censé protéger. Le formidable fessier de Monsieur Duplessy est si développé que son slip, tellement gonflé par le volumineux derrière qu’il enserre, semble prêt à craquer. Pour la plus grand satisfaction de Madame qui prend beaucoup de plaisir au spectacle de ces formes opulentes, qu'elle s'apprête à sévèrement corriger. 

L' idée lui traverse l’esprit qu'Aristide se trouve, comme Maxime récemment au salon de coiffure, sur les genoux de sa mère, tenu de porter le même genre de slip pour prendre ses fessées, trop serré et trop étroit, mais dans son cas avec le désavantage supplémentaire d'une totale transparence et d’une surface plus copieuse à corriger. Elle ne pousse pas plus loin la comparaison. Avec un discret sourire de satisfaction, elle se contente de regarder son mari se positionner, au mieux, sur ses cuisses gainées d'élégant nylons noirs, comme il sait qu'il doit le faire immédiatement à l'annonce d'une fessée. Il doit alors s'appliquer à respecter les figures imposées de présentation de son derrière pour que sa femme puisse lui mettre sa fessée dans les meilleures conditions.
 
 Les reins creusés, fessier développé au maximum possible, bien arrondi et bien tendu, le slip enfoncé dans la raie, il doit attendre docilement que Madame se décide à commencer.   Pendant qu'il positionne des fesses sur ses genoux, elle retrousse tranquillement la manche de son chemisier pour bien dégager son bras et surtout, la main qui va fesser. D'une voix professorale, elle annonce le programme des festivités.


 --« Alors, préparation du derrière... Deux fessées d'échauffement à travers le slip, pour avoir négligé de demander une autorisation avant un coûteux achat parfaitement inutile.
– Mais !... Mais Régine... pourquoi deux fessées ? Ce n'est pas...
– Voyons mon ami... Tu n'es pas en position de négocier quoi que ce soit... Tu ne l'es jamais d'ailleurs ! Les chaussures vont par paires... les fessées aussi !  Une fessée pour le pied droit et une fessée pour le gauche, après séjour au coin pendant cinq minutes. Puis dans la foulées, deux autres fessées, déculottées celles-là ! Avec Dolpic en surface et gingembre dans le derrière. Madame Delaniaires en dit énormément de bien, ça va-t’en faire énormément aussi ! . L'une à cause du prix exorbitant de l'addition, il est temps que tu arrêtes de jeter l'argent par les fenêtres... L'autre pour avoir essayé de me mentir.  Comme ça c'est clair !».

A la fin de la sentence, Aristide, horrifié, ne peut s'empêcher de protester en tortillant du derrière sur les cuisses de son épouse..
– « Mais ! … mais Régine... ça fait quatre fessées ça !! Tu es vraiment dure... C'est cher payé tout de même ! 
– Moi je ne trouve pas, au contraire... C'est à la hauteur du prix de tes jolis souliers justement, hors de prix !  Et puis ça suffit ! Continue à discuter...  et je te mets une fessée supplémentaire... C'est le tarif sur mesure pour protestations déplacées. »

Elle a à peine terminé sa phrase que la fessée commence à retentir sur le volumineux postérieur qu'elle fait sèchement claquer à travers son slip, moulant comme une seconde peau. Etroitement serrée dans le nylon, la belle paire de fesses offrent une vaste surface ferme et compacte, qui incite à taper fort. Ce que fait Régine, avec une ferveur démonstrative qui contraste avec l’élégante retenue qu'elle affiche habituellement. 
-        
Madame Duplessy, comme toutes ces femme autoritaires, convaincues des bienfaits d'une stricte discipline domestique, sait joindre l'utile à l'agréable et ne cache pas le plaisir qu’elles éprouvent à claquer un solide derrière bien présenté .
  Le respect et l'obéissance dus à l'épouse et l'emploi systématique de la fessée en cas de manquement du mari, étaient les petites retouches lourdes de conséquence que ces Dames prenaient soin d'apporter à leur contrat de mariage. Il n’était toléré aucune dérogation à ces principes de fonctionnement. '' Dura lex, sed lex''...  ''La loi est dure, mais c'est la loi ! '' Aristide, comme les autres conjoints, n'avait aucune possibilité de se soustraire à celle de la fessée.

Il était en train de recevoir la première d'une longue série, commodément installé sur les cuisses de sa femme. Elle le ceinturait de son bras gauche en lui soulevant l’arrière-train pour accentuer encore la position qu'il avait obligation de garder pendant toute la durée de sa correction, sous peine de devoir subir des prolongations.

Régine n'était plus tout à fait la même personne lorsqu'elle fessait. Abandonnant la retenue habituelle et les bonnes manières, héritage de son éducation bourgeoise, elle se lâchait complètement et mettait une énergie féroce à déployer sa cuisante de force de frappe.  Le séjour et toute la maison s'emplissaient progressivement du bruit retentissant de la grosse paire de fesses qui claquaient sèchement à travers le nylon.
 Aristide, commençait à gémir, puis pleurer sans bruit. Dans la grande glace du salon, il distinguait, à travers ses larmes, le visage sévère de sa femme et son regard toujours fixé sur son postérieur rougissant. Il apercevait surtout ses fesses,  bien rouges et bien rondes, qui bondissaient sous les claques qu’elle leur infligeait avec une application systématique. Il les voyait se contracter et se détendre au rythme accéléré de la fessée. Soucieuse de le corriger efficacement, Régine fessait avec application. Plus rien n’existait en ces moments, pour elle autant que pour lui, que son derrière bien rebondi et la fessée qu’il méritait et recevait ! Il entendait vaguement qu’elle lui parlait.
– « Alors mon ami, on la sent bien sa fessée ? Tu vois, c'est comme tes chaussures... du sur mesure... mais pour tes fesses ! Et une bonne séance de fessées, ça ne coûte rien au budget de la maison !
– Raaah oui, Régine... Mais je t'en prie, pas si fort !...
– Allons mon ami, ne fais pas ta petite mauviette, ta correction ne fait que commencer. Monsieur n'en fait un peu trop qu'à sa tête...  je vais t'apprendre moi à te montrer enfin res-pon-sable !' »

 Au bout d’une bonne dizaine de minutes, peut-être un quart d’heure, Régine interrompt la fessée. Elle laisse sa main sur le derrière brûlant, que son mari maintient en bonne position comme il sait qu’il doit le faire. Docile et stoïque, il reste à plat ventre sur les genoux de sa femme, le derrière en l’air offert au maximum, bien arrondi, les reins creusés et les genoux repliés, pour tenir les jambes levées afin de mieux faire ressortir son généreux fessier. La belle paire de fesses qu’il offre ainsi aux regards et à la main de son épouse est écarlate en totalité. Sage et résigné. Il attend manifestement le déclenchement d'une nouvelle fessée.

Régine prend son temps et lui ordonne d'une voix calme et posée, comme s'il ne s'était rien passé.
– « Maintenant , j'attends tes explications, avant la fessée suivante... je t'écoute... »
Entre deux reniflement, Aristide commence d'un voix mal assurée.
  Ben ...c’est Douglas qui... »
 Vlan ! Vlan! Un vigoureux aller-retour lui fait sauter les fesses en rappel à l’ordre.
– « Je ne te demande pas de parler de Douglas, mais de toi ! de TOI Aristide !
– Oui pardon, chérie ...c’est moi. C'est vrai, J'ai rencontré Douglas le jour où en passant devant la boutique des Delaniaires on a vu en vitrine à... à côté des... Euh, des martinets...  Parce qu'ils vendent aussi des marti…
– C'est bon, je suis au courant ! Il n'y a pas que les chaussure qu'ils font sur mesure, D'ailleurs on ne va pas tarder à y aller pour t'en faire faire un, de martinet. Continue... tes fesses sont en train de refroidir !
– Euuh oui... On a vu des superbes chaussures faites main. On est rentré, on en a essayé plusieurs paires ...et il y en avait une qui... Elles étaient vraiment...  Alors... On en a commandé chacun une paire
– « Tu sais pourtant bien que tu dois me demander la permission avant d’acheter quoi que ce soit !
– Oui , ma chérie...je te demande pardon ...je lui ai dit que je voulais pas ...mais il a tellement insisté … 
– Comment ça il a insisté... QUI a insisté ?
– Hein ? Qui ?...  Oui... mais c’était une affaire, tu sais ...elles étaient soldées.... »
Vlan ! Vlan ! Nouvel aller-retour qui claque rageusement d'une fesse à l'autre.
– Aristide ! Tu te fiches de moi là ! Des soldes ? Tu as commandé des soldes sur... Sur mesures !!!
  Ben oui, mais non... si...mais je me suis dit que je les porterais que si tu me le permettais... »
Vlan ! Vlan ! Vlan ! Les fesses tressautent encore sous une nouvelle claquée. Régine s'amuse presque de voir son mari s’emberlificoter dans des explications, complètement incohérentes.  Elle lui en remet une nouvelles tournée. Vlan ! Vlan ! Vlan ! Ses deux fesses toujours bien déployées sur ses genoux claquent de concert sous le nylon du slip dont la transparence montre qu'elles commencent à reprendre de la couleur .
– « Continue Aristide... Continue ! Tu m'intéresses... Ce que tu me racontes est passionnant ! Vlan ! Vlan ! Vlan ! Vlan !
– « Roaiiiie ! Je voulais les ranger dans le placard, le temps que je te demande la permission... »...
Vlan ! Vlan ! Vlan ! Ça continue à lui claquer au derrière .
– « Ranger tu dis....? Tu ne veux pas plutôt dire, cacher ? Me demander la permission !! Tu crois que je vais avaler ça ?
– Nooon !  Aïeeee ! Aiïïe !! Tu fais maaaaal !! Je n'ai pas voulu te déranger ....Ouuuillle !! Pardon ....Chérie... je te jure,  j’allais le faire ce week–end... Ouaouille !! Raiiiie ....Pardon, pardon ! Plus la fessée !  »
Indifférente à ses supplications, Régine a repris les claquées, en continu cette fois. En fait c'est une nouvelle fessée qui commence.
– « Comment cela , plus la fessée ? Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça  ?
– Noooon chéri ....Siiii ! Oui, la fessée si tu veux .....Aiiiiie !! Je te demande pardon ....J’ai déjà les fesses en feu ! Raah ça chauffe dur !  Plus la fessée !!
– Et ben si justement !!!! une bonne fessée sur ton gros cul nu ! Tu la mérites ou pas ?
– Ouiiii , chérie …je la mérite. Une bonne fessée sur mon gros cul déculotté. »

Monsieur est prêt à dire n'importe quoi pour obtenir un peu de clémence, mais Madame n'en a cure. Une bonne fessée, ça s'administre sans pitié. Avec même un supplément au programme .
– « Comme tu dis, une bonne fessée sur ton gros cul déculotté avec les fesses frictionnées au Dolpic et le gingembre dans le derrière !
  Le quoi ?...Dans le quoi ?... Dans le derrière !


fessée déculottée au programme


Aristide n'avait pas encore eu le loisir de savourer la dernière trouvaille de Bettina.  Toutes ces Dames fesseuses l'avaient déjà adoptée avec enthousiasme, sauf Régine, qui trouvait là l'occasion idéale de l'expérimenter. sans le lui dévoiler encore. Elle aimait le faire mariner.
 – Ah, tu verras ! Surprise, surprise !  C'est nouveau, ça vient de sortir... Enfin, tu vas voir ça rentre très bien aussi ! »

Elle pouffe de rire, en glissant ses doigt sous l'élastique de son slip et le lui descend au milieu des cuisses pour continuer sa correction d'une magistrale fessée déculottée qui lui monte le derrière à l'écarlate. Aristide en hulule de douleur pendant toute la durée, le postérieur en feu rebondissant sous les claques. Malgré ses pleurs, supplications et hurlements, elle ne s'arrêta que lorsque qu'elle estima la punition suffisante et l'envoya cuver sa fessée dans le coin du salon près de la glace. Il s'y précipita à petit pas ridicules,, les jambes entravées par son pantalon et son slip tendu au milieu des cuisses. Elle le regarda faire d'un air goguenard, satisfaite de sa docilité et de la cuisson de ses fesses.

– « Et je ne veux pas t'entendre pleurnicher ! Estime toi heureux de n'avoir reçu que deux fessées sur les quatre annoncées. Mais sois tranquille, tes fesses ne perdent rien pour attendre... On va régulariser ça demain... Et je te garantis qu'elles ne vont pas être déçues ! »

Au bout d’un bon moment , alors qu’il continuait à pleurer doucement, à genoux, les mains sur la tête et le nez collé dans l’angle du mur, la croupe cramoisie bien tendue et offerte aux regards, elle lui annonça ce que Clarisse et elle avaient décidé.

– « Demain, à midi, ton ami Douglas, et sa femme viendront. Tu prépareras le repas comme tu sais le faire. Quelque chose de simple, car nous aurons besoin d’assez de temps pour vous flanquer la bonne correction que vous avez méritée tous les deux. Tu auras intérêt à ce que tout soit prêt quand ils arriveront. Inutile de prévoir un dessert pour Douglas et toi bien sûr... Votre dessert ce sera la déculottée . Et pour pimenter un peu la séance et varier les plaisirs, nous avons décidé que toi, Aristide, tu recevras la fessée de Clarisse pendant que je m'occuperai des fesses de Douglas ? Ça fait un moment qu'on en avait envie, c'est l'occasion rêvée !
– Tu veux me faire fesser par Clarisse !! Mais enfin... Régine … la honte !
– Bien sûr la honte mon ami... C'est exactement l'effet recherché. Il est important que vos fesses fassent la connaissance d'une autre main que celle qui les claque habituellement ? Il faut éviter le train-train de l'habitude.
– Oh... Régine, s'il te plaît... pas ça !
– Mais si bien sûr, ça va être amusant de comparer... Et après la fessée ....vous retournerez tous les deux chez les Delaniaires et vous leur demanderez de vous reprendre les chaussures que vous avez achetées et de vous rembourser  !
– Mais voyons Régine comment veux-tu …
– Il n'y a pas de mais !... Vous direz à Astrid que vous n’aviez pas la permission de vos épouses et que vous venez de recevoir une bonne fessée ....et que vous en recevrez une autre encore plus sévère si vous revenez avec ! C’est compris ?
– Euuuh... Oh ....Ouiii chérie ....mais ....
– Mais quoi ? Quelque chose ne va pas ?
– Non... Rien ...
– Tu as bien compris  ?
– Oui, chérie … Oui !
 – Dis le !
  J’ai bien compris... Chérie ....
– Oui bon, ça suffit, tu commences à m'énerver avec tes ''chérie'' à répétition !
– Oui chér... Euuh...
 Aristide, parti sur sa lancée, parvient à se retenir, au dernier moment. D'une voix, rendue caverneuse par sa position dans l'angle du mur, il reprend quelques instants après,  avec les mêmes accents de soumission, mais sans trop d'espoir d'obtenir les bonnes grâces de son épouse.
– « Vous avez raison .... Il faut vraiment nous donner une très grosse fessée  ....à tous les deux ....on la mérite... qu’on ne recommence pas ! » 
Régine soupire en croisant haut les jambes qui crissent sur ses bas nylon. Encore une grotesque tentative de flatterie, elle déteste ça .  Elle soupèse d'un regard amusé les fesses écarlates de son mari. Sa main est encore brûlante d'avoir si bien claqué dessus. Mais le résultat est tout à fait satisfaisant.


Après avoir avalé son petit déjeuner et expédié sa toilette, Rodolphe, enfila ses vêtements et, moitié en marchant vite, moitié en courant, se rendit chez Gérôme, pour prendre de ses nouvelles. Il lui avait parlé au téléphone du nombre impressionnant de fessées que la sœur de Robin lui flanquait pendant les cours particuliers d'anglais qu'elle continuait à lui donner. Après chaque fessée, elle lui faisait apprendre ses leçons, assis déculotté, les fesses cramoisies, sur une chaise cannelée. Ou mieux encore,  à plat ventre sur ses cuisses, son livre ouvert parterre, les fesses déculottées prêtes à claquer à la moindre erreur.  C'était grâce à cette méthode qu'il progressait rapidement.
 Rodolphe était pressé d'annoncer à ses amis, que Douglas son beau-père allait recevoir une sacrée fessée, et Aristide aussi, pour une grotesque histoire de chaussures. Pour ne pas déroger à ses habitudes, c’était une nouvelle qu’il lui plaisait bien d’aller colporter !
Il fut accueilli avec surprise, dans l’entrée de la maison, par Thérez Bellebourge, sa mère. Gérôme était déjà parti. Il resta sur le seuil et, un peu gêné, puis, incapable de garder une nouvelle de ce genre, finit par lui parler de la correction que son beau-père et Aristide allaient recevoir .  Elle ne parut pas plus étonnée que ça et l’interrogea pour en savoir un peu plus.

« Ah bon ? Qu’est-ce qu’ils ont encore fait ces messieurs ?  De vrais gamins ! »”.

 Voulant marquer mon importance, Rodolphe, commença, d’un ton assuré et quelque peu impérieux à lui répondre.
« Ben, ma mère dit que mon beau père fait souvent n'importe quoi et gaspille l'argent par les fenêtres .
-- Rodolphe... On dit : '' Jette'' l'argent par les fenêtres !
– Euh oui madame....  Et alors , avec Aristide, le mari de Régine que vous connaissez, il n'a rien trouvé de mieux que d’aller s’acheter des nouvelles chaussures, très chères, sans demander à Clarisse !  Comme s'il en avait besoin ! Alors évidemment , je vous dis pas la fessée qu’il a déjà reçue hier soir. Et aujourd’hui, maman et Régine ont décidé de leur flanquer en même temps une grosse déculottée à tous les deux … c’est normal ! »

Thérez l’avait écouté débiter son petit discours de petit prétentieux et s’apprêtait à lui répondre vertement, lorsque, contre toute attente, Gérôme apparut en bas de l'escalier.
– « Ah ben... tu étais passé où toi? Je te croyais parti en cours !
Non-maman,  j'étais dans la salle de bain me pommader le derrière. Patricia m'a encore flanqué cinq fessées hier pendant mon cours d'anglais … faudrait que tu lui dises de taper moins fort... Qu'est-ce qu'elle fesse dur !
– Elle a raison ! Je lui ai donné carte blanche pour t'en mettre autant qu'elle le veut et bien sévères.  C'est comme ça que tu fais des progrès .

Gérôme ne répondit pas et partit avec Rodolphe qui commença aussitôt à lui raconter la nouvelle, avec de grands gestes, en trottinant sur le trottoir à côté de lui.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 34
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Ben, dites donc !
    Avec ces histoires de groles, ces messieurs se sont pris les pieds dans le tapis et ils vont faire des claquettes sur les genoux de ces dames. Un vrai concert de percussions. Tout en Allegro !
    Les garçons pour l'instant échappent à la colère maternelle. Quoique... Que vont nous mijoter comme plat gratiné les deux Castor et Pollux ??? La suite mardi prochain !
    Amicalement. Peter.

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  2. Bonjour Ramina

    Beau récit d'une épouse qui pratique la fessée domestique ,toutes les fautes commises mérite la fessée déculottée et faire les taches domestique en blouse et tablier

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  3. Bonjour Peter,
    Sûr, un numéro de claquettes illico, presto, rapido!
    Les garçons, pour le moment épargnés vont se régaler à regarder les ''adultes'' régler leurs compte entre eux... Petites vengeances personnelles et autres mesquineries... Ah, monde cruel!
    Quant à Castor et Pollux , Romulus et Rémus, Jacob et Delafon ( au choix ) on va réentendre parler d'eux quand sera revenue la paix dans les ménages... En attendant ça va déménager! (rire)
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Jojobonno

    Merci du compliment, ces dames en rougissent autant de plaisir, que les fesses de leur mari...
    Et alors quelle passion pour le tablier!
    Il faut reconnaître que le tablier boutonné par derrière c'est l'ouverture facile, qui favorise l'accès au postérieur pour l'administration des fessée nécessaires à la discipline. Juste deux boutons à défaire, on descend le slip, et hop... C'est parti pour une bonne déculottée!
    Qu'est ce qu'on dit ? Merci Jojobonno!
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina

      Bravo c'est ce que j'ai connu et il m'arrive de le revivre malgré mon âge et comme je peu être des deux cotés du martinet ,certaine de mes partenaire le vive aussi et au coin avec un bonnet d'âne c'est un beau
      spectacle ou faire copier des lignes déculottée les fesses en feu sur un tabouret recouvert d'un paillasson ,des que l'on bouge huuumm

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