vendredi 12 juin 2020

Fini la liberté - chapitre 5

Le mercredi après-midi, il n’y a pas classe. Jérôme rentre donc à 12 H 15. Après avoir sonné à l’interphone, Madame Lepand l’attend sur le palier.
« Rentre, retire tes bottines et ton manteau et viens dans la chambre. »
Elle lui retire son pantalon, et lui fait passer sa culotte courte.
« Viens te laver les mains, on va passer à table. »
Après le repas, brossage des dents et ensuite Jérôme doit faire ses devoirs et réviser ses leçons. Pour ce faire, Madame Lepand lui a fait passer sa blouse.
Jérôme travaille dans le bureau de sa tutrice, au bureau qu’elle lui a préparé.  Pendant ce temps, elle travaille également à ses activités à son bureau. Elle surveille de près sa production.  Au bout d’une heure et demie, elle vient contrôler ce qu’il a fait et l’interroge.
« Je crois que tu auras un contrôle demain dans cette matière
– Oui ma tante
– On ne peut pas dire que tu connaisses ta leçon. Tu sais ce que cela mérite.
– Euh une fessée ma tante.
– Exactement ! Approche que je puisse te donner cette fessée
–Oh non, pitié s’il vous plait ! »
Elle lui attrape le poignet, et lui ordonne de mettre les mains sur la tête. Jérôme a déjà les larmes qui lui montent aux yeux. Elle le déculotte et le courbe sur son genou. Bien coincé la tête le buste sous le bras il reçoit une bonne correction avec la règle.
« Je te réinterrogerai en rentrant de ton cours de gymnastique. J’ose espérer que ce sera mieux. »
Madame Lepand l’accompagne au gymnase et le présente à la prof.
« Bonjour Jérôme et bienvenu. Va te changer dans le vestiaire. »
Jérôme interroge du regard sa tutrice qui lui donne son accord. Il peut donc y aller seul. Le voilà soulagé.
Il rentre dans le vestiaire, quel choc ! Etant débutant, il doit participer aux cours des débutants. Des enfants d’environs 10 ans.  Il enfile son short très court qui laisse apparaitre ses cuisses et les marques des cuisantes corrections reçues.
Les autres élèves se demandent qui peut bien être cet ado, l’un d’entre rigole et lui demande s’il n’a pas été sage. Rouge pivoine, Jérôme ne sait plus où se mettre. Il n’est pas au bout de ses peines.
Pendant la séance il a du mal à se concentrer et ne se montre pas très souple ni doué. Martine Lepand qui est dans les tribunes montre qu’elle n’est pas contente et sa coach également. Alors qu’il rate une nouvelle figure au sol une retentissante claque sur les cuisses vient lui montrer que cela suffit.

Les autres enfants rigolent en voyant ce grand garçon avec les larmes aux yeux et à la fin du cours, dans le petit bureau, Jérôme, Tante Martine et la professeure se retrouvent.
« Je crains que votre enfant Madame ne montre guère d’intérêt pour la gymnastique.
–En effet, je peux vous assurer qu’il sera puni pour cela et qu’il se montrera plus assidu à la prochaine séance. Cependant son attitude d’aujourd’hui envers vous et inacceptable et je vous invite à le punir pour cela.
–Vous croyez qu’une fessée serait salutaire, c’est cela ?
–Je ne le crois pas non. J’en suis certaine ! »
La jeune enseignante ne semble pas réfléchir trop longtemps
« Jérôme approche dépêche-toi ! »
Sous le regard de tante Martine, Jérôme hésite mais il sait pertinemment qu’il n’a pas d’autre choix que d’obéir.  Elle lui fait baisser lui-même short et slip puis elle l’attire contre elle, l’oblige à se courber, et l’enlace par la taille afin de bien le caler.
Sans hésitation, Elle lui claque les fesses et les cuisses. Même si elle n’est pas experte et que cette fessée n’est donnée qu’avec la main, elle ravive un peu la douleur de celle reçue avant de venir au sport et elle est surtout humiliante.
En effet, les ados du cours suivant ne peuvent ignorer ce qui passe dans le bureau.  On entend clairement le bruit des claques qui tombent sur Jérôme et ses couinements ne sont pas discret non plus.
Cette jeune gymnaste se montre d’ailleurs très habille pour administrer cette fessée qu’elle espère salutaire 
« J’ose espérer que cette fessée changera ton attitude pour la prochaine fois
– Oui Madame répond timidement Jérôme, les yeux embués de quelques débuts de larmes.
– Je l’espère également ajoute Martine Lepand en attrapant Jérôme par l’oreille. »

Elle remercie la coach et conduit son pupille jusqu’aux vestiaires.  Heureusement pour Jérôme il est vide. Tous les ados sont dans le gymnase ou le cours a commencé. Elle le déshabille le conduit dans les douches.
« Normalement je te doucherai après le sport à la maison.  Cependant comme tu as rendez-vous chez l’orthodontiste juste après, je ne peux décemment t’y conduire en sentant la transpiration. Cela ne t’empêchera de reprendre une douche ce soir. »

Bien que ce soient des douches collectives, Martine Lepand ne change rien à sa manière de procéder. Jérôme doit se mettre à genoux pour le shampoing et le savonnage du haut du corps puis se lever etc.
Alors que sa tutrice est en train de le lui savonner le sexe, un jeune garçon fait son entrée dans le vestiaire. Les yeux écarquillés il reste stupéfait devant le spectacle qui se déroule devant lui.
« Pardonnez-moi, bredouille-t-il
–Je t’en prie fais ce que tu as à faire lui répond Madame Lepand. »
Jérôme ne sait pas où se mettre, il aurait envie de s’enfoncer dans le sol. La honte totale !
Pendant que sa tutrice l’habille, il ne cesse de penser à cet incident.  C’est ensuite direction chez l’orthodontiste.  Les humiliations s’enchainent…  Sur le chemin il est tenu fermement par la main par tante Martine.  Dans la salle d’attente il est forcé de rester debout pour laisser les places assisses aux grandes personnes et dans le cabinet cela ne se passe pas aux mieux non plus.
Le médecin lui pose son appareil dentaire. Ce n’est pas très agréable. Jérôme à tendance à bouger. Le dentiste lui demande de rester tranquille mais il n’y parvient pas. Du coup Madame Lepand qui est présente dans le cabinet s’approche du fauteuil et lui administre quatre tonitruantes claques sur les cuisses.  Cela a le mérite de le calmer et lui arrache les larmes aux yeux.  Il y a certes la douleur mais aussi de l’humiliation que lui inflige une fois de plus sa tante adoptive.
Au retour à la maison, il est temps de régler les comptes et Madame Lepand est bien décidé à ne pas perdre de temps.   A peine rentré dans l’appartement elle saisit l’oreille de Jérôme et lui retire prestement ses souliers.  Direction la cuisine. Malgré son mal de dents suite à la pose de son appareil dentaire, Elle ne compte pas faire preuve de faiblesse.
« Mon garçon ton attitude cet après-midi a été une fois plus déplorable. Sans compter la honte dont tu m’affuble encore une fois.  Ne crois que je vais laisser passer cela. Tu sais que toute correction reçue par un tiers entraine une nouvelle correction à la maison par moi. Je vais aussi te corriger pour ton comportement inadmissible chez l’orthodontiste. »

Elle se saisit de la baguette, lui baisse sa culotte et son slip. Jérôme se montre docile. Il appréhende énormément la raclée qui l’attend. Il sait très bien qu’il ne pourra pas y échapper

« Malgré les nombreuses fessées que tu as déjà reçues, tu persiste à n’en faire qu’à ta tête.  Mais je me suis promis de faire de toi un bon garçon. Crois-moi je vais y parvenir. Ça prendra le temps qu’il faudra. S’il faut passer mon temps à te punir je le ferai tu peux me croire. »
Elle place son pupille face à la table. Elle l’oblige à se pencher sur la table. Elle lui fait placer ses mains sur les bords pour se tenir. Elle n’hésite pas à prendre un bon élan et vient frapper les fesses du jeune homme avec force et détermination. Une belle trace vient lui barrer le postérieur. Jérôme ne peut s’empêcher de pousser un cri et ne peux déjà retenir ses larmes. Il n’a pas le temps de réagir qu’un deuxième coup vient dessiner une nouvelle marque juste au-dessus de la première.  Un troisième puis un quatrième coup s’enchaine. Jérôme s’effondre. Martine le relève sans ménagement et lui fait reprendre sa position. Elle reprend son devoir en maintenant fermement son pupille. Son derrière est maintenant bien coloré du bas des reins au bas des cuisses. Jérôme fini suffoquant en pleure. Dispensé de piquet pour aller réciter ses leçons dans le bureau. Martine Lepand s’est bien entendu munie de son martinet.
Il révise assidument pendant 1 heure sous la surveillance de sa bienfaitrice qui travaille à son bureau à le regardant du coin de l’œil. Puis, vient le moment de réciter ses leçons et de faire des exercices d’application. Fort heureusement, Jérôme évite une nouvelle punition.  En effet, les leçons sont récitées par cœur comme l’exige sa tante adoptive et les exercices qu’elles lui donnent à faire son tous juste.
– Hé bien tu vois quand tu veux, tu es capable. S’il faut te rougir l’arrière-train tous les jours pour que tu travailles et que tu obéisses, sache que cela ne me pose aucun problème tu sais. »

Jérôme ne répond pas. Il baisse la tête, honteux de la situation mais aussi de son comportement. Il a envie de faire plaisir à Madame Lepand. Il sait qu’elle a raison. Bien sûr il souffre de cette terrible correction et des précédentes. Evidement il la trouve cruelle et sévère. Mais au fond de lui, il sait que c’est pour son bien.  Il lui en est même reconnaissant.

Direction la douche. Jérôme peut voir dans le miroir l’état de ses fesses et de ses cuisses. En le voyant le spectacle il comprend pourquoi il souffre autant. Comme toujours, sa tutrice lui donne une toilette minutieuse. Bien que ce soit la troisième douche de la journée, on peut dire que c’est un nouveau récurage en règle qu’effectue Madame Lepand.  Au moment de lui laver la verge, elle entreprend de lui décalotter mais se butte à une petite résistance. Jérôme lâche un « aie ». Du coup Madame Lepand fait quelque va et vient avec le pénis de son pupille. Tout semble rentrer dans l’ordre.  Un petit incident intervient quand même. L’opération effectuée entraine une érection reflexe chez Jérôme. Cela déplait forcément à Martine Lepand.
« Comment oses-tu ? Gronde-t-elle en donnant quelques claques sur les cuisses déjà meurtries de son pupille. »
Décidément ce n’est pas la journée Jérôme, mais ça a le mérite de calmer ses ardeurs. La toilette qui était déjà active est terminée sans ménagement et elle le rince à l’eau glacée ce qui coupe le souffle du jeune homme.
Parfaitement propre, coiffé et en pyjama, Jérôme se retrouve à genoux dans le salon face à Martine Lepand qui a pris place sur le canapé. Elle s’est munie de sa fameuse règle.
Une nouvelle correction s’annonce.
« Je ne peux plus te donner de fessée aujourd’hui. Toutefois mon garçon je ne peux pas non plus laisser passer ton comportement. Tu es incorrigible ! Mais crois je ferai de toi un bon garçon bien élevé et obéissant.  Si je ne peux pas te fesser maintenant, je vais te punir sur tes mains et tes doigts. Tends-moi ta main gauche bien à plat. »

Jérôme obéit bien aidé par sa tante Martine qui prend sa main avec fermeté.

Elle lui inflige dix coups de règle sur sa main puis ses doigts. Elle recommence l’opération sur l’autre main. Elle frappe fort et sans ménagement.  Jérôme termine encore en larmes. Pour ne pas changer. La suite n’est pas plus agréable. Il doit rester à genoux en soulevant au-dessus de sa tête un lourd dictionnaire que sa tutrice lui place dans les mains qui le font souffrir.

« Tu vas méditer sur ton comportement aujourd’hui. Tu vas comprendre ce que j’attends de toi. Tu vas comprendre ce qu’il en coute d’être un vilain garçon qui n’en fait qu’à sa tête. Décrète Madame Lepand. »
Il reste ainsi près de 40 minutes. Ses bras sont tétanisés et il est très fatigué. Cela tombe bien il est encore envoyé au lit le ventre vide. Après le brossage des dents, tante Martine le couche un simple baiser sur le front.

« Je suis très mécontente de ton comportement mon garçon. Tu as intérêt à t’améliorer car je n’hésiterai pas de fouetter encore et encore. Crois-moi je te dresserai ! Dès demain tu iras à l’école en culotte courte et en blouse. »
Jérôme s’endort vite, sur le ventre, malgré l’angoisse de ce qui l’attend le lendemain…


Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?

Eh bien voici le début : le chapitre 1
Et le chapitre 4 qui précède celui-ci

Une suite à cet épisode ?

Elle va venir, la semaine prochaine.

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2 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la gymnastique fessière... Bonjour.

    Pas doué pour la gymnastique le Jérôme! Du coup, sa prof s'applique à commencer par lui muscler les fessiers!

    C'est fou comme dans de nombreux récits, les tantes, tantines, tata et Cie ont vocation d'intransigeance et d'extrême sévérité. Parfois encore, plus pire, que les mamans ou même, les belles mères, pourtant souvent présentées comme de véritable harpies!!

    Tante Martine ne déroge pas à la règle, qu'elle utilise sur les mains du pauvre Jérôme quand son derrière à fait le plein de fessées...
    Pas à la noce le jeune homme, transformé en "bambino" en culotte très courte pour qu'on voit bien le résultat des fessées sur ses cuisses et le bas de ses fesses. Elles n'en voient pas de toutes les couleurs, mais d'une seule... Le rouge, écarlate de préférence.
    Tante Martine est impitoyable, mais c'est pour son bien... On n'en doute pas une seconde.
    Récit vif, alerte, dynamisé par l'emploi de phrases courtes qui donnent ce rythme enlevé à la narration.
    Cordialement
    Ramina

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