lundi 22 juin 2020

Les rebelles -chapitre 37

Depuis que Sun Y.S., le chef des triades chinoises en France, est venu au parloir du centre de détention pour femmes de NICE, rendre visite à sa petite amie Zhu W.L., trente et un ans, celle-ci est devenue ingérable. Condamnée à cinq ans de prison pour de gros détournements de fonds, elle avait commencé sa peine sous les meilleurs auspices mais ces derniers mois, elle multiplie les appels à la révolte et au désordre.
Il faut dire que le confinement n’a pas arrangé les choses. Depuis le onze Mai dernier, date à laquelle le déconfinement a été acté sur le territoire, les prisonnières de la maison de détention de NICE se plaignent que le régime d’éloignement social soit toujours actif pour elles. Aucun visiteur n’est accepté au parloir, même pas la famille proche.
Zhu W.L. devrait savoir que le désordre est sévèrement réprimé. Elle a déjà assisté à des flagellations intégrales suivies de mises au pilori pour les détenues qui ne respectent pas les règles de bonne conduite. Celle qui partage sa cellule, Lahna H., en a fait les frais il n’y a pas si longtemps que ça. Elle était à peine incarcérée qu’elle se mettait déjà à faire de l’esclandre avec le médecin Pierre B. et elle en était presque venue aux mains avec une autre détenue, Lamenca M. De ce fait, Lahna H. a reçu soixante coups de fouet, est restée entièrement nue durant un mois, et a été exposée au pilori une fois par jour. Après ça, Lahna H. s’est tenue tranquille. Elle est, à présent, parmi les détenues modèles du centre.
Zhu W.L. se croit plus résistante que tout le monde et elle en fait voir de toutes les couleurs aux gardiennes de son bloc, qui multiplient les avertissements et les rapports d’incidents à la directrice du centre, Isabelle M.
Lors de ses entrevues avec Isabelle M., Zhu W.L. lui dit qu’elle n’a peur de rien et surtout pas des châtiments corporels, qui ne la soumettront surement pas vis-à-vis d’elle. Elle l’avertit que son copain ne permettra pas qu’on s’en prenne à elle. Il saura remettre à sa place quiconque la touchera. Cette menace a le don d’exaspérer Isabelle M. qui ne veut pas s’en laisser compter et ce n’est pas une détenue qui va faire la loi dans le centre.
Isabelle M. condamne Zhu W.L. à être mise au pilori, entièrement nue, trois heures par jour durant sept jours. Isabelle M. juge que ce sera suffisant au vue des faits reprochés. L’humiliation devant les autres détenues devrait la calmer et la faire changer d’attitude.
Zhu W.L. est emmenée à l’infirmerie pour la validation du Dr. Pierre B. Celui-ci l’examine et tente de faire revenir la directrice sur la punition, car dit-il, elle pourrait être choquée par son humiliation ! En fait, la requête en grâce du médecin s’explique par le fait que Zhu W.L. se donne à lui lorsqu’il le souhaite. Zhu W.L. profite de la situation pour avoir une monnaie d’échange, voire de pression vis-à-vis du docteur. L’un des rares hommes du centre de détention, Dr. Pierre B. profite allégrement de sa situation pour avoir les faveurs des détenues en récompense de petits services qu’il leur rend. Zhu W.L. est une « bonne patiente » et le docteur le sait bien, Zhu W.L. se plie à la plupart des volontés du praticien, ce qui n’est pas forcément le cas des autres détenues qui accordent le minimum, d’où sa demande de clémence à la directrice.
Isabelle M. se montre ferme et refuse le recours en grâce. Elle confirme que Zhu W.L. sera exposée nue devant les autres prisonnières, à moins qu’elle présente une pathologie ! Le médecin est obligé de répondre que non, Zhu W.L. est en parfaite santé et il est contraint de valider et de signer le formulaire de punition.
Zhu W.L. fait une scène au praticien lorsqu’il lui dit qu’il n’a pas réussi à obtenir l’indulgence de la directrice et il a été obligé de signer la punition. Zhu W.L. lui dit qu’elle se vengera de lui en ne lui accordant plus tout ce qu’il veut. Elle fera comme les autres, quasiment rien, car rien ne l’y oblige.
Peu de temps après l’entretien de Zhu W.L. et du médecin, deux gardiennes viennent la chercher dans sa cellule pour l’emmener au centre de la cour où elle sera dénudée et attachée en public.
Les gardiennes, Helga A. et Athina D., emmènent Zhu W.L. et en passant devant les cellules. Les autres détenues se moquent d’elle, en disant qu’elle va servir de « perchoir à oiseaux » et qu’elles vont bien s’amuser en regardant son intimité. Elle, qui se montre si pudique, même durant la douche commune. Là, au moins, elle aura tout à l’air. Zhu W.L. les insulte en chinois.
Lorsqu’elles sont dans la cour, Helga A. et Athina D. déshabillent entièrement Zhu W.L. qui résiste tant elle peut, mais ne fait pas le poids face aux gardiennes plus costauds qu’elle et ce ne sont pas ses jérémiades ni ses contorsions qui y changent grand-chose. Zhu W.L. se retrouve nue assez rapidement, sous les huées des autres détenues, présentes dans la cour.
Pour le pilori, Helga A. et Athina D. lui écartent les cuisses, lui attachent les chevilles au sol et lui place une barre de fer dans laquelle se trouve des anneaux pour y attacher le cou et les poignets. Ainsi harnachée, elle ne peut ni cacher son intimité ni se défendre des détenues qui ne se gênent pas pour lui caresser l’entrecuisse, les seins, lui flanquer quelques bonnes claques sur l’arrière-train ou lui mettre un doigt dans le vagin. Zhu W.L. a beau leur dire qu’elles n’ont pas le droit de la tripoter, les gardiennes présentes lors les laissent faire. Les prisonnières lui disent qu’avec ses seins maigrichons, il n’y a aucune raison d’en faire tout un plat et puis elles sentent qu’à force de la caresser, Zhu W.L. mouille comme une jeune vierge et elles en concluent qu’elle doit aimer ça. Ces attouchements très intimes font également partie de la punition pour jeter l’opprobre sur la détenue et ainsi lui faire comprendre qu’elle doit rentrer dans le droit chemin. L’humiliation est très souvent une assurance pour soumettre les récalcitrantes pour un bon moment.
Zhu W.L. doit uriner sur place car on ne lui permet pas de la ramener en cellule pour faire ses besoins. Les autres détenues présentes rigolent de voir l’urine gicler et une flaque se former à ses pieds, on dirait une petite fille qui a un « accident », ne pouvant se retenir, ce qui vexe profondément Zhu W.L. qui se prend un surnom de plus « la pisseuse jaune ». Qu’une punie ne puisse pas se retenir durant une correction, passe encore, ça arrive très souvent avec la peur et la douleur engendrées, mais là, elle n’a même pas reçu une seule cinglée au martinet. Qu’est-ce que ça aurait été si elle s’était faite fouettée ?
Au terme des trois heures d’exhibition, Zhu W.L. est détachée et les gardiennes la ramène, nue et menottée, mains dans le dos, à sa cellule avec interdiction de se rhabiller pour la semaine à venir, ce qui veut dire que son humiliation va durer.
N’en menant pas large, Zhu W.L. se tient à carreaux durant la semaine, mais trois semaines plus tard, lorsque son fiancé Sun Y.S. se voit interdire une nouvelle fois l’accès au parloir, Zhu W.L. s’en prend verbalement à une gardienne, l’insultant de tous les noms. Dans sa colère, elle dit qu’elle s’en fou, car elle a la possibilité de le joindre par un autre moyen. Réalisant trop tard ce qu’elle vient de dire, elle tente de noyer le poisson. Mais les faits sont rapportés à la directrice qui ordonne une fouille complète de sa cellule. Celle-ci est fructueuse, puisqu’on y trouve un téléphone portable avec toujours le même numéro appelé, celui de Sun Y.S.
Zhu W.L. passe à nouveau en conseil de discipline et ne peut expliquer la présence du téléphone dans sa cellule. Sa codétenue, Lahna H., jure qu’elle n’était pas au courant de la présence du portable, mais le doute plane à présent sur les deux femmes.
Devant une telle découverte, Isabelle M. décide de les punir toutes les deux, Zhu W.L. pour avoir introduit en fraude un téléphone et Lahna H., car la directrice imagine mal qu’elle ne soit pas au courant de sa présence malgré les contestations de la détenue.
Pour les fautes commises :
·        Lahna H. est condamnée à trente coups de canne sur les fesses nues et quinze jours de nudité complète durant lesquels elle sera mise au pilori durant une heure.
·        Zhu W.L. est condamnée à soixante coups de fouet sur tout le corps, un mois de nudité complet durant lequel elle sera mise au pilori durant trois heures par jour et un an de prolongation de détention.
Avec ça, Isabelle M. espère que Lahna H. et Zhu W.L. réfléchiront et se tiendront tranquilles. De plus, ces deux exemples donneront matière à réfléchir pour les autres détenues.
Lahna H. et Zhu W.L. passent leur visite de contrôle chez le docteur Pierre B., tout heureux de les avoir en son pouvoir, car quoi qu’il fasse, elles n’oseront pas se rebeller, sous peine de voir un nouveau rapport atterrir sur le bureau de la directrice et qui ne serait pas en leur faveur.
Lahna H. passe la première à la visite et comme il le pressentait, Lahna H. accepte sans broncher, tous les attouchements et subit les assauts du praticien qui lui dit que de faire l’amour avant de se faire fesser la détendra pour mieux subir sa punition. Lahna H. espère, de son côté, que de s’être offerte sans résister lui procurera une clémence relative. Bien évidemment, elle se trompe lourdement, car le médecin n’intervient pas auprès des fesseuses pour qu’elles ne la fassent pas trop souffrir.
Son examen de routine terminé, Lahna H., entièrement nue, est menottée, mains dans le dos et emmenée au centre de la cour pour y recevoir sa punition. Attachée par les surveillantes, c’est Sœur Marie-Zénaïde qui va procéder à la fessée.
Sœur Marie-Zénaïde confesse Lahna H. et lui demande de se repentir devant elle. Bien que de croyance différente, elle accepte de se confesser, mais jure à la sœur de ne pas être au courant pour le téléphone et lui dit qu’elle va être punie pour rien. Devant ses déclarations touchantes, qui paraissent sincères et sa culpabilité non formellement prouvée, Sœur Marie-Zénaïde prend pitié d’elle et lui dit qu’elle va être indulgente de ne pas la faire trop souffrir, pour cette fois.
Munie d’une canne souple de punition, Sœur Marie-Zénaïde cingle les fesses et les cuisses de Lahna H. tout en mesurant l’intensité, ce qui n’empêche pas la punie de se cambrer, de faire des bonds et de crier. De belles marques zèbrent sa chair. Lahna H. tente de résister, mais la douleur rayonne dans tout son bassin et provoque une réaction de mouillure incontrôlée. Les gouttes de cyprine coulent à la plus grande joie des spectateurs présents qui encouragent la sœur à les fesser lus fort. Tous les dix coups de cannes, Pierre B. fait un petit examen des fesses et des cuisses brulantes de la punie. Il dit à la sœur qu’avec cette faible intensité dans les coups portés, la punie n’aura déjà plus de marques demain matin... Elle pourrait la fesser davantage, car ce n’est plus une petite fille, mais Sœur Marie-Zénaïde n’en tient pas compte.
Les trente cinglées appliquées, les gardiennes détachent Lahna H. et la fixent, sans ménagement, au pilori pour qu’elle serve d’exemple aux autres détenues. En pleurs et les fesses brulantes, Lahna H. remercie la sœur de sa clémence, car elle est consciente que ça aurait pu être bien pire. Sœur Marie-Zénaïde, perplexe sur la réelle culpabilité de Lahna H. lui dit que si elle apprend qu’elle lui a menti pour avoir sa mansuétude, elle saura lui faire passer le gout du mensonge.
Une plus tard, Lahna H. est détachée du pilori où elle a été tripotée par les autres prisonnières et amenée à l’infirmerie pour sa visite médicale de fin de punition. En l’examinant, Dr. Pierre B. dit qu’elle a dû à peine sentir sa fessée, car les marques sont juste rouges et il la renvoie en cellule sans même lui appliquer une lotion ou une crème.
Dans l’après-midi, Zhu W.L. est présentée au médecin pour sa visite. Elle est beaucoup plus virulente que sa codétenue et cette fois, ne se laisse pas abuser, ce qui ne plait pas du tout au Dr. Pierre B. qui décide de se venger et après son examen, autorise l’utilisation du long fouet de correction ( Fouet qui est utilisé pour les « fortes têtes » ). Zhu W.L. devrait passer un sale moment et revenir à la raison.
Dr. Pierre B. a la visite de Sœur Marie-Zénaïde à qui il autorise des mouvements de grandes amplitude, donc plus douloureux, en ce qui concerne la correction de Zhu W.L.
Désireuse d’en savoir plus, Sœur Marie-Zénaïde lui demande ce qui motive ces consignes, car d’habitude, elles sont plutôt dans le sens inverse et le docteur lui répond que Zhu W.L. est en parfaite santé et la faute étant importante, elle doit être corrigée à la hauteur du délit. Défiante, Zhu W.L. leur dit qu’elle saura résister à la punition et qu’ils n’auront pas le plaisir de l’entendre crier, ni même pleurer.
Les gardiennes menottent et emmènent Zhu W.L. vers la cour et la présentent aux autres détenues. Courageuse, Zhu W.L. se laissent mettre nue et ne bronche pas lorsque les gardiennes l’attachent solidement aux poteaux de punition, bras et jambes écartés, afin d’offrir son corps au fouet.
La directrice du centre, Isabelle M. vient vers Zhu W.L. et la félicite pour son courage, car d’habitude, les punies hurlent et résistent au maximum pour tenter d’échapper à leur correction, mais elle lui dit que tous vont voir comment elle va se comporter lorsque le fouet va lui cingler le corps. Isabelle M. recommande à la Sœur de la faire hurler pour qu’elle prenne conscience de sa faute.
Sœur Marie-Zénaïde demande à Zhu W.L. de se repentir et de prier, ce que Zhu W.L. refuse de faire. Sur un ton provocateur, elle envoie balader la Sœur avec ses prières et sa repentance, elle se pense au-dessus de ça.
Sœur Marie-Zénaïde se met en position, prend le long fouet de cuir et applique la punition. La lanière siffle dans l’air et claque sèchement sur la chair de la punie. Zhu W.L. esquisse une grimace et trésaille mais résiste bien aux premières fouettées sur les fesses. Voyant que Zhu W.L. résiste, Sœur Marie-Zénaïde s’applique à cingler ses parties les plus sensibles. Etant une femme elle-même, elle connait parfaitement les zones où la morsure du fouet va la pousser dans ses derniers retranchements. Même avec tout son courage, elle ne pourra pas résister comme ça jusqu’au bout.
La lanière claquant sur des zones déjà marquées, la douleur est d’autant plus grande et ça se voit à la façon dont Zhu W.L. grimace, s’agrippe à ses liens, se contorsionne et transpire.
Lorsque les fesses et le dos ont été cinglés, toujours sans vraies réactions de douleur, Sœur Marie-Zénaïde commence à douter de l’entendre hurler et ce serait une première, car elle a toujours réussi à soumettre une punie.
Avec de belles marques rouges et bouillantes sur l’arrière du corps, Dr. Pierre B. autorise une pause, pour la laisser souffler et boire. Un bref examen de la punie et Dr. Pierre B. lui dit que son courage impressionne tout le monde, lui en premier. Zhu W.L. lui fait son regard le plus noir.
Sœur Marie-Zénaïde se demande comment elle va pouvoir faire plier la punie, d’une haute résistance à la douleur. A présent, c’est le devant du corps qui va être la cible de la lanière et Sœur Marie-Zénaïde ne va pas lui faire de cadeaux. Isabelle M. demande à la religieuse de faire en sorte qu’elle hurle, car si ça se finissait sans un cri, l’exemple ne serait pas significatif pour les autres détenues, qui ne craindraient plus les punitions et remettraient en cause le pouvoir du fouet sur les détenues.
Pour la reprise et fin de la punition, Sœur Marie-Zénaïde débute par une dizaine de fouettées sur le ventre, dont certaines atteignent le pubis de la punie qui, étant cuisses écartées, ne peut rien pour se protéger. A bout de résistance, Zhu W.L. s’agite de plus en plus et finit par s’abandonner et hurler de douleur. Elle expulse toute sa rage et sa douleur jusque-là contenue. La directrice est heureuse de l’entendre enfin hurler et se débattre, car elle voit l’assistance changer d’attitude en voyant que même une femme courageuse peut plier sous une punition et ce que risque les prisonnières si elles fautent et même avec du courage, elles seront vaincues.
Pour finir, Sœur Marie-Zénaïde enchaine par une dizaine de cinglées sur la poitrine de la punie, qui réagit en hurlant de plus belle et de façon stridente.
Trempée de sueur par cette résistance acharnée et la douleur résiduelle, les gardiennes la détachent des poteaux de punition et la fixent au pilori pour l’exposition. Sanglée de la même manière que Lahna H., Zhu W.L. reprend son souffle devant les détenues qui viennent l’admirer de près. Certaines viennent même la toucher, la faisant souffrir et crier à nouveau. Elle a l’impression que son corps est en feu. Les trois heures d’exposition vont être assez pénibles...
Sur ordre de la directrice, Dr. Pierre B. rajoute une humiliation supplémentaire, après lui avoir lubrifié l’anus, il lui enfonce un plug muni de longs crins, faisant sursauter et crier Zhu W.L. Ainsi équipée, on dirait vraiment qu’elle a une queue.
Etant entravée, la punie tente vainement par des contractions des fesses et de l’anus d’expulser l’objet, mais sa forme conique empêche tout rejet. Dr. Pierre B. trouve que l’idée est bonne d’équiper les punies de plug pour qu’elles se sentent suffisamment mortifiées, en plus de leur nudité.
Durant l’exposition, certaines filles viennent se moquer d’elle en commentant sa queue, sa toute petite poitrine, ses tétons dressés, sa vulve trempée de cyprine et son corps zébré. Zhu W.L. pleure à chaudes larmes, résignée et docile.
Au bout de trois heures, lorsque les gardiennes la libèrent, Zhu W.L. est amenée à l’infirmerie pour son examen de contrôle. Allongée sur la table d’examen, Zhu W.L. n’ose pas protester lorsque le médecin la palpe de façon très intime.
Conscient de sa soumission, Dr. Pierre B. en profite pour abuser d’elle et affirme sa domination vis-à-vis de sa patiente. Zhu W.L. ne cherche pas à se défendre, acceptant les assauts du docteur. Après tout ce qu’elle vient d’endurer, faire l’amour est bien agréable.
En fin de soirée, lorsqu’elle est soignée, requinquée et douchée, Zhu W.L. réintègre sa cellule et demande pardon à sa codétenue pour l’avoir entrainée dans cette punition. Lahna H. lui en veut, mais préfère ne pas envenimer la situation qui ne leur apporterai que des ennuis.
Durant les autres périodes d’exposition, Zhu W.L. et Lahna H. sont attachées ensemble et restent à la vue de tout le monde et ça par tous les temps. Même s’il pleut lorsqu’elles sont dans le cour, les deux seules détenues dehors sont Zhu W.L. et Lahna H., trempées. Il en va de même lors de leur période de règles, Zhu W.L. et Lahna H. sont contraintes à être exposées, le plus souvent avec le cordon de leur tampon apparent, ce qui les ridiculise d’autant plus. Entre ça et le plug anal, les deux femmes se promettent de ne plus être prises en défaut, car la sanction est bien pénible.
Lorsqu’elles ne sont pas dehors, les deux femmes sont affectées à des tâches d’intérêt général, comme le service à la cuisine, où, nues, elles distribuent les repas aux autres détenues de leur bloc.
Quinze jours plus tard pour Lahna H. et un mois plus tard pour Zhu W.L., la directrice leur signifie la fin de leur punition et espère que ça les a fait réfléchir. Lahna H. et Zhu W.L. lui jurent de bien se comporter à l’avenir.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 36

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4 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Dans "Les Rebelles", plus on fait la forte tête et plus on s'expose à en subir les conséquences. Ces prisonnières en savent quelque chose qui vont garder un souvenir extrêmement cuisant et humiliant de ce qui leur est arrivé et du comportement de leurs codétenues à leur égard. On ne les ménage pas. Ah non alors! Le médecin non plus. Qui profite tant et plus de la situation. Quant à Lahna H. je suis convaincu qu'elle était parfaitement au courant de l'existence de ce portable et qu'elle l'a même, à l'occasion, utilisé. J'espère bien que son mensonge finira par être découvert.
    Amivalement.
    François.

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    Réponses
    1. Bonjour François,
      Cette nouvelle incursion en prison fait découvrir une facette supplémentaire de la vie carcérale où du matériel prohibé a été introduit. Suite à une bévue, le portable a été découvert et nos deux détenues en ont eu pour leur frais. Zhu en premier, et de fort belle manière, car ce portable lui appartient, mais Lahna en second, car il était peu probable qu'elle qu'en connaisse pas l'existence. La Soeur a eu tout de même un doute, d'où la relative clémence de sa part. En effet, en droit pénal, tout doute profite à l'accusé. Dans notre cas, la directrice s'est montrée assez à cheval sur le règlement, car n'ayant pas de preuve formelle, Lahna a tout de même été condamnée à la fessée. Je pense qu'elle a voulu faire un exemple pour les autres détenues.
      Et que dire de l'attitude du médecin. Heureux homme ! qui use et abuse de sa position vis-à-vis des détenues. SOus prétexte de rendre quelques menus services, il obtient tout ce qu'il veut des prisonnières. Peut-on leur en vouloir ? Je ne pense pas, avoir quelques moments de plaisir lorsqu'on est en détention leur procurer la force de tenir dans cet univers si particulier.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Encore un joli récit, merci Elena

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    1. Здравствуйте и спасибо большое, Каролин !
      Bonjour et merci beaucoup, Caroline !

      Encore un gentil mot de votre part. Ca me fait plaisir que ça vous plaise.
      Amitié
      Elena

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