mercredi 3 juin 2020

Christelle, punie pour avoir triché

Un récit en un chapitre de la part de Wendy, une nouvelle auteure sur ce blog. Espérons qu'il y a d'autres récits en réserve !

Le cours de biologie allait bientôt toucher à sa fin, Christelle était pressée qu’il se termine vite.
Les copies de la dernière évaluation avaient été rendues. Elle avait eu une bonne note, 14 sur 20.
C’était une bonne note, malgré cela elle était mal à l’aise car elle avait triché en s’inspirant allègrement sur la copie de sa voisine. N’ayant pas assez révisé sa leçon elle avait été dans l’incapacité de répondre à de nombreuses questions.
Redoublant sa deuxième année de BTS, elle se devait de faire mieux que l’année précédente. Elle avait pris soin de fuir le regard de la prof, craignant que son méfait se voie sur son visage déjà qu’elle se sentait rouge comme une pivoine en permanence.
Au moment où le cours finissait et où tout le monde rangeait ses affaires et Christelle commençait à se détendre. Tout à coup le cœur de Christelle s’arrêta de battre quand elle entendit :
« Christelle voudrait tu m’accompagner à mon bureau, j’ai à te parler ».
La peur l’envahit, c’était sûr, elle avait été démasquée. Elle en était sûre il ne pouvait s’agir que de cela.

Elles rentrèrent dans bureau, Claire, la professeure, referma la porte derrière elle.
« Assied toi Christelle, je vois à ta mine déconfite que tu sais de quoi nous allons parler.
– Oui, répondit l’étudiante.
– Ne tournons pas autour du pot, comment as-tu pu faire ça ?!
– Je, je ne sais pas….euh…
– Ne fait pas l’enfant coupa-t-elle sèchement, assume un peu tes actes !
– Je ne voulais pas avoir de mauvaise note vous comprenez ?
– Oui je comprends très bien qu’en tant que redoublante tu te dois d’avoir de bonnes notes aux contrôles des cours que tu as eu deux fois et qui devraient être su.
– Euh….
– Seulement voilà, tu n’as toujours pas compris que ce redoublement est une chance qui t’es offerte de pouvoir finir ton diplôme. As-tu une petite idée de ce que j’ai pu faire pour que l’équipe pédagogique t’accepte une nouvelle année ? je me suis battue pour toi, et toi ? que fais-tu pour me remercier ? tu ne révises pas tes cours et triche aux contrôles comme une petite fille !!
– Je sais claire, je suis désolée.
– Pas autant que moi ! tu sais j’ai beaucoup d’affection pour toi, je me sens responsable de ta réussite, un peu comme tu mère l’aurait fait, mais j’ai n’ai pas en face de moi une jeune femme de 20 ans mais une petite fille. Alors maintenant que fait-on ? qu’elle attitude dois-je avoir ? celle de ta professeure ou celle d’une maman ? celle du prof impliquerait que je doive te sanctionner d’un avertissement, prévenir ta mère et ton employeur car malgré que tu sois en alternance, ce qui se passe à l’école regarde autant tes parents que ton patron.
Christelle, tète basse ne savait plus où se mettre tellement qu’elle avait honte. S’il vous plaît dit-elle d’une petite voix, n’en dite rien à mère et mon patron ce serait terrible. Donc si je laisse de côté le coté prof reste celui de la mère. Et que crois-tu qu’une maman devrait faire ?
– Euh….me punir ?
– Exactement ma chérie, te punir, et comment crois-tu que je devrais te punir ? »
Christelle restait silencieuse, commençant à réaliser ce qui était en train de se mettre en place.
« Comment sont punies les petites filles qui triche à l’école ? je crois que tu le sais, n’est-ce pas ma chérie.
– Oui je crois
– Alors dis-moi !
– Une …..une …. »
Christelle n’arrivait pas à prononcer les mots
« Je vais t’aider, les petites filles qui trichent reçoivent une fessée, une fessée déculottée. »
Les mots étaient dits. Ils résonnaient dans la tête de la jeune femme, tourbillonnants.
« Qu’en penses-tu ? Ne crois-tu pas que tu la mérites ?
– Oui , je pense que oui murmura-t-elle.
– Bien, c’est donc décidé, tu recevras une fessée déculottée pour ta bêtise, mais pas maintenant. Le bâtiment est encore plein de profs et d’élèves, et comme je tiens à toi je t’accorde la discrétion sur ton châtiment, tu viendras toi-même réclamer ta fessée ce soir, en fin de journée, quand tout le monde sera parti. Allez, file en cours ma chérie, à tout à l’heure. »

C’est la tête bouillonnante que Christelle rejoignit ses camarades et suivi du mieux qu’elle put le cours de math. A la pause de midi elle voulut s’isoler et réfléchir à ce qui allait lui arriver.
Elle alla aux toilettes, les plus éloignées, où elle ne serait pas dérangée. Elle rentra dans une cabine et s’assit.
«  Mon dieu, j’ai 20 ans et je vais recevoir une fessée comme une gamine quelle honte !! » Mais elle pensait que tout vaudrait mieux que sa bêtise soit diffusée à d’autres personnes. Tout en réfléchissant, elle se leva, défit la ceinture de son jean et fis glisser vers le bas entraînant par la même occasion sa culotte. Une fois assise,elle fit pipi et toujours pensive, elle réalisa soudain que son intimité serait exposée ainsi que sa culotte. Prise d’anxiété elle prit le tissu du fond de sa culotte et regarda si le tissu n’était pas trop taché. Bien qu’il soit normal que les femmes secrètent des fluides elle ne voulait pas que le fond de sa culotte en soit trop imprégné.
Rassurée elle réajusta son sous-vêtement et son jean.

A 18 heures, quand tous les élèves et la plupart des profs étaient partis, Christelle se présenta à la porte du bureau de Claire.
Toc, Toc, Toc
 « Entrez !
– Bonsoir Claire. »
Christelle pénétra dans le bureau, referma derrière elle la porte.
« Bien ma chérie, nous y voilà. Pour quelles raisons tu te trouves devant moi.
– Je suis là parce-que j’ai triché.
– C’est très grave ça Christelle !
– Oui
– Quelle est la punition des petites tricheuses ? »
Christelle restait immobile, silencieuse. Incapable de prononcer ces mots qui la faisaient frémir.
« Allons Christelle, soit un peu responsable, assume les actes et dis-moi ce que mérite les tricheuses. »
Vaincue, baissant la tête, honteuse, elle finit par dire :
« Une fessée déculottée.
– Parfaitement ! et tu vas la recevoir immédiatement. Approche ma chérie, allons ne fait pas cette tête, tu sais que tu l’as méritée. Sois digne et brave. Voilà. Mets tes mains sur la tête. »
Christelle se tenait devant Claire, les mains sur la tête, elle avait pris soin de nouer ses cheveux en chignon.
« Nous y voilà ! »
Claire saisi la boucle de la ceinture du jean de Christelle, elle l’ouvrit et entreprit de défaire un par un les boutons pression. L’ouverture grandissait de plus en plus, dévoilant peu à peu le petit liseré de dentelle qui décorait le haut de la culotte de Christelle.
Claire sentait toute l’émotion de sa jeune élève. Elle pouvait la sentir frémir. Bientôt, elle serait dans une position encore plus embarrassante.
Elle baissa délicatement le jean, de l’étudiante, jusqu’aux chevilles. Christelle se tenait maintenant devant sa professeure, mains sur la tête en petite culotte. Une culotte de coton blanc, de taille haute et assez épaisse très juvénile. Claire la guida vers le côté de ses genoux, et accompagna Christelle dans la position allongée en travers de ses genoux.
La position de son élève ravissait secrètement Claire qui avait une vue directe sur les fesses et sa petite culotte. Elle commença par masser doucement ce postérieur qui remplissait cette petite culotte, bientôt elle prendrait le chemin des chevilles dévoilant ainsi de jolies fesses qui allaient bientôt rougir. Vint la première claque. Puis la suivante, et encore et encore, les claques pleuvaient.
De son coté, Christelle, avait senti la douceur de caresses, et avait poussé un petit cri de surprise à la première claque. Mais à présent, que les claques s’abattaient avec force sur ses fesses, et elle ne retenait plus ses cris de douleur. Ses fesses lui chauffaient, lui brûlaient. Tout le bas de son corps irradiant de chaleur. Le contraste était marquant entre la blancheur de sa culotte et le rouge de ses fesses.
Bien malgré elle des larmes coulait sur ses joues, plus de honte que de douleur. Elle battait des jambes.
« Bien ma chérie, ta leçon commence à rentrer, mais nous n’avons pas fini pour autant. »

Claire réfléchi, comment devait-elle lui baisser la culotte, car c’est bien une fessée déculottée qui avait été promise. Devait-elle la faire lever et lui baisser la culotte debout, mains sur la tête ou la lui baisser allongée sur ses genoux ? Christelle avait vraiment besoin d’un bonne leçon.
« Lève-toi ma chérie et reprends ton souffle. Voilà, ça va mieux ? Bien, nous allons passer à la deuxième étape. »
A ces mots, claire se leva, prit les bras de l’étudiante et les guida jusqu’à ce qu'elles se croisent sur sa tête puis elle s’accroupi devant le bassin de Christelle.
Elle posa ses deux mains sur les hanches de Christelle et glissa ses deux pouces sous l’élastique de sa culotte. 
Par réflexe, Christelle plaqua ses mains sur celle de Claire pour stopper son geste.
« Non s’il vous plait, pas la culotte !
– C’est pourtant ce que tu mérites Christelle, une fessée déculottée.
– C’est affreux j’ai trop honte.
– Je comprends ta gêne ma chérie, exposer son intimité est très embarrassant pour ta pudeur de jeune femme mais tu dois vraiment comprendre la gravité de ta faute ; et je pense que rien que le souvenir de ta nudité offerte au regard de ta prof, que ce soit, ta toison pubienne, tes lèvres vaginales, ton clitoris, bientôt ton vagin et ton anus sera amplement suffisant pour calmer toute nouvelle volonté de triche.
Chaque mot, chaque partie de son anatomie cité la faisait frémir. Une excitation sexuelle irrépressible électrisa sa vulve, ses mamelons et ses tétons durcissaient, ses lèvres gonflèrent, son clitoris forma une bille dure et ultrasensible. En l’espace d’une seconde un flot de cyprine se répandit au fond de sa culotte, tapissant d’expression de plaisir visqueux la bande de coton.
Claire, toujours accroupie en face de l’entrejambe de la tricheuse, fit glisser peu à peu la large culotte vers le bas. Le tissu se retourna et ne resta plus que l’étroite bande de coton collé à la vulve. Claire tira vers le bas, la paroi visqueuse s’étira entraînant avec elle de longs filets de mouille. Elle entraîna le sous vêtement et le jean jusqu’aux chevilles. 
Elle avait devant elle, une adorable toison brune qui dégageait des effluves envoûtantes. Elle reconnue, le parfum fleuri du savon qu’elle avait utilisé ce matin pour sa toilette intime, ensuite vint le piquant fumet de l’urine, et la suave flagrance de sexe excité. Elle ferma les yeux et inspira à pleins poumons.
A regret elle se releva. Ses yeux plongèrent dans ceux de Christelle. Elle y lu, le désir, le vice, la soumission. Claire reprit sa place sur la chaise et Christelle se rallongea d’elle-même, elle se plaça très en avant, les bras touchaient le sol et ses fesses étaient maintenant à plat sur les genoux de claire au lieu d’être habituellement plus bas pendantes sur le côté.
Par cette position non conventionnelle Christelle offrait la partie la plus intime de son intimité.
Claire reprit les claques, fortes, très fortes ce qui provoqua des ruades de Christelle. Ses jambes bougeaient si fort que son jean se libéra d’une jambe. Libérés, ses jambes gesticulaient dans tous les sens. Son sexe aussi libre, s’ouvrait.

Voilà ma chérie c’est fini. J’espère que tu as compris.
« Oui, je ne recommencerais plus. Promis.
– Je te crois ma chérie, je te crois, rhabille-toi maintenant. Tiens, prends ce mouchoir et mouche-toi. »
D’un geste affectueux, claire essuya les larmes aux coins des yeux de biche de sa protégée.
Elle approcha son visage de celui de Christelle, s’arrêta et fini par lui faire une bise sur le front.
« Rentre dans ta chambre, repose-toi une demi-heure et va rejoindre les autres.
– Oui claire. »

Christelle rouvrit les yeux au bout d’une heure de sieste. Sa main était restée dans sa culotte, là où elle s’était procuré un plaisir intense. Elle se leva, se recoiffa. 
Christelle rejoignit ses copines s’excusant de son absence prétextant le besoin de se reposer.
Aucune de ses copines ne pouvait s’imaginer qu’elle avait joui d’avoir reçu une fessée déculottée. 


Et maintenant ?

Pas mal pour un premier essai, non ? Il n'est pas prévu de suite à ce récit, mais Wendy devrait peut-être se décider à en écrire d'autres ? Qu'en pensez-vous ?
Faites-le-lui savoir, les commentaires c'est fait pour ça.
Si vous voulez la joindre directement, adressez moi le courriel, je transmettrai.

7 commentaires:

  1. Bonjour, Wendy. et bonjour à tous.

    Que voilà une fessée délicieusement amenée. On prend son temps. On commence par faire honte avec des mots. On oblige a reconnaître que oui, elle est méritée, cette fessée. Amplement. Et on la diffère. Plus tard. Que la future punie ait tout le temps d'appréhender. De ruminer l'humiliation de devoir être punie comme une gamine. Et puis vient la fessée proprement dite qui n'est pas si désagréable que ça, tout compte fait. Les mots donnent envie. La honte, aussi mortifiante soit-elle, peut devenir voluptueuse. Et le plaisir s'ensuivre.
    Alors oui, Wendy, je crois que JLG a raison. Vous tenez là, avec Christelle, un personnage qui, maintenant qu'elle y a goûté, peut vouloir se mettre en situation de renouveler encore et encore l'expérience. Avec Anne. Ou avec d'autres. "Aucune de ses copines ne pouvait s'imaginer qu'elle avait joui d'avoir reçu une fessée déculottée" écrivez-vous. À moins que, dans la chambre voisine...
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour et merci pour vos encouragements, il est vrai que Christelle a vécu une expérience marquante qui, visiblement, l'a plus que troublée.
      Il est a noter que Claire non plus a plus qu'apprécier deculotter sa jeune élève. Son affection ne date pas d'hier..j'ai donc matière à écriture..

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  2. Bonjour Wendy,
    Pour un premier texte, c'est un coup maître. Un texte comme je les aime, sans faux-semblant et autre vague sous-entendu. Tout est limpide et "claire".
    Christelle aura à coeur de prouver à Claire qu'elle a eu raison de lui faire confiance et que cette tricherie était une exception, mais aura t-elle les capacités, le courage et le sérieux pour ne plus avoir besoin de tricher ?
    To be continue...
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bravo !!
    Le deculottage est un morceau d'anthologie. Très troublant, recit punitif et sensuel à la fois. Coup d'essai, coup de maître !

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  4. Très joli récit, très suggestif, il y a certainement un peu de vécu, même si les fantasmes sont toujours présents dans nos récits. Continuez Wendy.
    Sylvie

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    1. Merci Sylvie pour vos encouragements, cela fait toujours plaisir

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  5. Merci Elena, en effet nous espérons tous que le message est passé et que dorénavant Christelle va prendre son travail au sérieux.
    Amitiés

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