lundi 15 juin 2020

Les rebelles -chapitre 36

En cette période de fin d’année scolaire, les activités sociales ayant reprises, les groupes scouts sont de nouveau sur les routes.
Dans notre ville, se trouve le groupe de filles des compagnonnes scoutes Ste Thérèse, mouvement très actif dans la région, lorsqu’il s’agit d’aider les jeunes à s’épanouir et à aider les gens, à l’exception de quelques brebis égarées, les scoutes appliquent rigoureusement les principes pour lesquels elles se sont engagées.
Avec à leur tête, la cheffe Carole C., trente-cinq ans, les filles du groupe sont toujours disponibles et nous pouvons les voir dans la ville ou dans les environs, lorsque des structures les sollicitent pour telles ou telles missions, religieuses ou d’utilité publique. Reconnaissables avec leur chemise verte, leur short beige et leur foulard orange bordé d’un galon noir, les scoutes font parties de la vie de notre ville. La majorité sont élèves à Ste CROIX et les filles sont les relais des deux religieuses, Mère Jolanta O. et Sœur Weronika S., au sein de l’établissement. Elles ont aussi une mission de conseillères auprès des élèves.
Les scoutes forment la chorale de l’église St ROCH de notre ville. A ce titre, Carole C. réunit ses filles de temps en temps à l’église pour les répétitions vocales. Elle possède également les codes des cadenas pour les meubles de la sacristie, car elle assiste quelques fois le curé Christian F. pour ses offices. Dans la sacristie se trouve du matériel audio pour la chorale.

Deux scoutes, qui sont parmi les plus âgées du groupe, Cassandra dix-neuf ans et Flavie dix-huit ans, briguent depuis un moment les places de cheffes d’équipe au sein du groupe des compagnonnes Ste Thérèse commandé par Carole C., car celui-ci s’étoffe de plus en plus. Carole C. sait s’imposer et faire rayonner son groupe dans la vie publique de notre secteur.
Je connais bien Cassandra et Flavie, car les deux filles sont dans une section de BTS en parallèle de la nôtre. Elles viennent remonter le moral lorsqu’un élève vient de recevoir une correction humiliante et a besoin d’un peu de réconfort. Elles nous incitent à prier avec elles pour obtenir le pardon et pour nous apaiser moralement, lorsque Mère Jolanta O. et Sœur Weronika S. ne peuvent pas le faire elles-mêmes.
Quelques exemples de la compassion de la part de Cassandra et de Flavie envers leurs prochains :
·        Lorsque les films de nos corrections en Angleterre ont été projetés à l’ensemble des élèves, en sortant de l’amphi, les deux filles sont venues nous dire un petit mot réconfortant pour nous féliciter de notre courage, car nous avions été très sévèrement punies. Elles ont ajouté que notre pardon n’en a été que plus grand et que nous pouvons être fières d’avoir supporté tout ça et de ne pas nous être écroulées.
·   Juste après une punition, elles viennent, prennent l’élève puni dans leurs bras pour le consoler, le bercer, dédramatiser la situation et l’encourager à se reprendre et à mûrir ce qui vient de subir pour être meilleur et progresser dans sa vie d’adulte.
Un Samedi, lors d’une répétition, Cassandra prend Flavie à part et lui dit qu’elles vont faire une blague au père Christian F, le curé de St ROCH. Cassandra a repéré le code du cadenas d’une des armoires de la sacristie sur le petit carnet de la cheffe Carole C. et elles décident de le changer pour rigoler un peu. Ce n’est pas souvent qu’elles ont l’occasion de faire des plaisanteries. Flavie est tout à fait partante pour cette action qui devrait être des plus drôles en découvrant la tête du père Christian F. se rendant compte qu’il ne peut plus ouvrir une de ses armoires de la sacristie.
Après la répétition de la chorale, Cassandra et Flavie prétextent une envie pressante et se rendent au presbytère pour faire leurs besoins mais elles vont directement à la sacristie qui n’est pas encore fermée afin de réaliser leur méfait.
Flavie fait le guet à la porte tandis que Cassandra se dépêche de changer le code d’une grande armoire où se trouvent les habits sacerdotaux du père Christian F. Elles en rient déjà du tour qu’elles viennent de faire.
Les voyant rire à leur retour, Carole C. leur demande la raison de cette hilarité. Prise de court, elles inventent une histoire de porte de toilette coincée qui a failli les laisser là pour la journée... Carole C. ne trouve pas ça particulièrement drôle, mais si les deux filles rient avec ça, et bien, tant mieux pour elles ! Cassandra et Flavie en rajoutent un peu pour que ça ait l’air crédible.

Le Dimanche matin, lorsque père tente de se procurer ses habits pour l’office, le cadenas refuse de s’ouvrir. Pourtant le code est le bon, mais le cadenas refuse de déverrouiller la serrure. Carole C., arrivée avant tout le monde tente de son côté, revérifie les codes sur son carnet et confirme que le code est le bon mais que quelque chose le bloque.
Pris de panique de ne pouvoir assurer l’office devant tous les fidèles, le père Christian F. téléphone d’urgence à un serrurier pour forcer le code, car trente minutes plus tard, la messe dominicale doit commencer.
Cassandra et Flavie rient sous cape, heureuses du tour qu’elles ont joué la veille, mais au moment où elles vont avouer leur crime, elles voient le serrurier sortir de la sacristie et le père vêtu de ses habits sacerdotaux. Ne comprenant pas totalement ce qui s’est passé, elles ont le fin mot de l’histoire lorsque le serrurier avec le cadenas déverrouillé. Le serrurier a réussi à trouver le code en manipulant les chiffres tout en sentant les variations de pression qu’il a exercé sur l’anse du cadenas. Sa dextérité ont fait le reste.
Le verdict est sans appel, le code a été changé par un tiers, car ce n’était pas celui que père Christian F. avait mis.
L’office religieux a lieu avec du retard et du stress car le curé n’a pas eu tout le temps de préparation qu’il aurait dû avoir pour une totale sérénité de recueillement avant l’office.
Pour Cassandra et Flavie, l’effet comique n’est pas celui escompté, car elles s’imaginaient que père Christian F. ait beaucoup plus de retard. Les deux scoutes en sont même à regretter leur plaisanterie complètement ratée.
Durant l’office, on sent tout de même la crispation du père, car il se demande constamment comment ce fichu cadenas a pu se bloquer ? Mais professionnel, il ne laisse paraitre que le minimum de son désarroi.
Après l’office, père Christian F. et Carole C. s’entretiennent et la discussion est animée, car le curé lui demande des explications à propos de ce code, car seuls, elle et lui l’avaient.
A force de réfléchir au problème, Carole C. se souvient que Cassandra et Flavie étaient hilares en revenant des toilettes et elle se demande si les deux filles ne seraient pas impliquées dans ce changement de code ?
En les interrogeant, Carole C. n’obtient pas d’aveux de leur part, mais lorsqu’elle exige qu’elles jurent qu’elles n’y sont pour rien, là, Cassandra et Flavie se décomposent et sont obligées d’avouer leur méfait et Flavie dénonce Cassandra comme instigatrice de la bêtise, ce que ne peut pas nier son amie.
Carole C. est déçues par l’attitude des deux scoutes et elle se doutait que cette histoire de porte de toilette soi-disant coincée était plus qu’étrange !

Dans le local des scoutes, Carole C. rassemble toutes les filles du groupe Ste Thérèse et annonce à toutes que c’est Cassandra et Flavie qui ont changé le code du cadenas. L’office a failli être gravement perturbé et c’est inacceptable. En bonne cheffe, Carole C. déclare vouloir punir ses deux subordonnées. Le règlement autorise les punitions corporelles en cas de fautes graves, ce qui est le cas. Carole C. ne pensait pas y avoir recours un jour, mais devant de tels faits, elle n’a pas le choix. Elle déclare que Cassandra et Flavie vont être fessées avec des verges et elle envoie des scoutes chercher des branches de bouleaux pour confectionner deux instruments de correction.
Cassandra et Flavie commencent à paniquer, car ce qui devait être qu’une simple plaisanterie va leur couter cher. Carole C. demande aux deux filles de retirer leur chemise verte des compagnonnes qu’elles ont souillées par leur attitude en totale contradiction avec leurs promesses scoutes. Cassandra et Flavie retirent leur foulard et leur chemise et se retrouvent en soutien-gorge.
Pour la fessée, Carole C. leur ordonne de retirer tout le reste, y compris leurs sous-vêtements. Cassandra et Flavie, toutes rouges de se dévêtir devant leurs copines vêtues, se dévêtissent et se cachent la poitrine et le pubis. Carole C. leur dit de ne pas faire tant de manière, car elles sont habituées à se baigner ou se doucher nues avec les autres scoutes lorsqu’elles sont en camp. Mais en fait, lors des toilettes, toutes les filles sont nues mais dans le cas présent, seules elles y sont et dans une fâcheuse situation. Sentant qu’elles vont passer un sale quart d’heure, Cassandra et Flavie demandent pardon à leur cheffe et se justifient par dire que ce n’était qu’une simple blague, elles n’avaient pas du tout l’intention de perturber l’office. Carole C. leur dit que pour les remords, c’est un peu tard, à présent, il fallait y penser avant.
Les jeunes scoutes ont confectionné les verges. Cassandra et Flavie sont effrayées à leur vue, car les branches ont l’air féroces. Carole C. demande à Justine et Maeva, deux grandes et solides filles malgré leurs seize ans de prendre les verges, car ce seront elles qui vont fesser Cassandra et Flavie. Justine et Maeva, ravies, ont un sourire entendu, car elles vont mater les deux responsables. Celles-ci la ramèneront moins après ça. L’humiliation est totale pour les deux filles, non seulement elles sont nues devant leurs amies, mais en plus elles vont se faire fesser comme des sales gamines par des plus jeunes qu’elles... Carole C. leur dit que si elles veulent devenir cheffes d’équipe, elles doivent assumer totalement leurs actes. C’est l’un des principes de base scout et elles le savent bien. Cassandra et Flavie ne peuvent rien opposer à ces arguments irréfutables. Elles se résignent à se faire corriger. Carole C. leur dit que la principale responsable, Cassandra, recevra cinquante cinglées tandis que Flavie n’en recevra que quarante, pour sa complicité.
Carole C. demande à quelques filles de filmer la scène. Ça fera des souvenirs pour les deux punies et la cheffe pourra repasser le film pour les avertir d’autres scoutes de ce qu’elles risquent en faisant des bêtises.

Flavie s’avance et se courbe, exhibant et offrant son arrière-train aux verges de Justine et Maeva. Des scoutes viennent fermement maintenir pour ne pas qu’elle puisse fuir et alternativement, Justine et Maeva lui donnent la fessée. Les claquées provoquent un son mat mais les traces apparaissent immédiatement. Contrairement aux martinets ou badines, les verges griffent la chair et les brulures sont intenses. Flavie pleure et crie dès la première fouettée. Les scoutes la voient se débattre, gesticuler, taper des pieds, se contorsionner pour tenter de s’extraire de là, mais en vain, les filles qui la maintiennent renforcent leur prise et Justine et Maeva s’en donnent à cœur joie pour lui faire regretter ses actes. Flavie hurle et pleure à chaudes larmes. Les quarante cinglées ont mis les fesses et les cuisses de Flavie en piteuse état. La peau est toute griffée et les traces rouges sont bien boursoufflées. Ce n’est que très superficiel, mais elle ne pourra plus s’assoir durant plusieurs jours, ce qui est l’effet recherché.
En ayant vu son amie se faire corriger, Cassandra prend peur d’être punie à son tour et cherche tous les prétextes pour échapper à sa punition. Les scoutes s’y mettent à plusieurs pour la mettre en position, tant Cassandra se débat, donne des coups de pied et se roule par terre pour se défaire des prises. Huit scoutes ne sont pas de trop pour la relever et l’installer sur la table. Solidement maintenue, Justine et Maeva la punissent sévèrement. Cassandra hurle de suite, tant les deux fesseuses appuient leurs coups, pour bien lui faire sentir que ça ne sert à rien de tenter de fuir, au contraire. Les brulures incandescentes ne tardent pas lui chauffer affreusement l’arrière-train. Les douleurs sont telles qu’elle en transpire et a l’impression que les verges lui arrachent la peau. Bien sûr, il n’en est rien, mais le ressenti est comparable, car les branches avec leurs nombreuses aspérités saillantes lui labourent la chair et c’est cette impression qui amplifie la douleur éprouvée. Bien qu’elle se débatte comme une damnée, elle doit endurée sa punition jusqu’à la dernière cinglée. Elle a l’impression que les cinquante fouettées durent une éternité, lorsque soudain, Justine et Maeva cessent de la tourmenter et elle sent que les autres filles la lâchent. Epuisée, elle glisse de la table pour terminer sur le sol, recroquevillée sur elle-même, en train de trembler et de pleurer toutes les larmes de son corps.
Flavie, calmée et ayant retrouvé son souffle, trouve les ressources pour venir au chevet de son amie et de l’aider à se relever. Cassandra et Flavie ont maintenant l’air de deux petites filles apeurées qui ne ressemblent vraiment plus à rien, car elles n’ont plus une once de dignité.
Les punitions terminées, Carole C. vient auprès de ses deux aides de camp pour leur dire qu’elles sont pardonnées et qu’il faudra qu’elles fassent attention la prochaine fois, en choisissant avec tact les blagues à faire. Des scoutes les emmaillotent dans des draps de bain pour les sécher, puis on les allonge à plat ventre pour leur enduire de crème les fesses et les cuisses, ce qui fait gémir et grimacer les deux punies.
Carole C. rend les chemises vertes à Cassandra et Flavie en leur disant qu’elles retrouvent leur place au sein du groupe des compagnonnes Ste Thérèse. Cassandra et Flavie remercient leur cheffe du pardon qu’elle leur octroie.
Incapable d’enfiler leur short, Cassandra et Flavie enfilent leur chemise et mettent leur serviette autour de la taille pour ne pas avoir à rentrer chez elles les fesses marquées à l’air. Les passants trouvent tout de même étrange l’accoutrement de ces deux jeunes femmes scoutes ainsi que leur mine défaite, les yeux rougis par les larmes.
Iourievna, Olga et moi sommes dans la rue au moment où Cassandra et Flavie rentrent chez elles. Leur état général nous fait pitié et nous allons à leur rencontre. C’est là que timidement et honteusement et à force de les questionner, elles nous racontent leur mésaventure. Au début, à les voir dans cet état, nous pensions qu’elles s’étaient fait agresser, mais lorsqu’elles nous disent ce qui s’est réellement passé, nous comprenons mieux leur apparence mortifiée. Cassandra consent même à nous faire voir l’état de ses fesses. Flavie nous dit que les siennes ne sont pas mieux. Nous les plaignons, car nous nous doutons qu’elles ont passé un sale moment. Nous tentons de les rassurer en leur disant qu’après quelques jours de repos et de soin, il n’y paraitra plus rien et elles pourront reprendre leur vie d’avant, mais pour le moment, si elles souhaitent s’assoir, la douleur les rappellera très vite à l’ordre.
Soudain, nous entendons Olga s’écrier que demain, nous avons un cours de natation et que leurs traces ne seront jamais parties en une seule nuit ! Nous voyons Cassandra et Flavie blêmir, la bouche ouverte, interloquées, car elles ne se rappelaient plus cette séance. Catastrophées, elles s’imaginent déjà déambuler sur le bassin, les cuisses et une partie des fesses visibles par tous. Elles pressentent que ça va être l’humiliation devant toute la classe et les garçons ne vont pas les rater.
Dès que Cassandra et Flavie rentrent chez elles, elles sont obligées d’avouer leur bêtise et tentent d’amadouer leurs parents pour qu’elles puissent avoir un mot d’excuse pour la séance de natation du lendemain. Les parents n’autorisent pas leurs filles à une dispense de séance. Cassandra et Flavie ont l’impression que le ciel leur tombe sur la tête avec ce que décident leurs parents. C’est en quelque sorte, une seconde punition, à laquelle elles ne pourront pas échapper. Leurs parents leur disent que leurs camarades verront à quel point il est impératif de réfléchir avant d’agir.
Le lendemain, à la piscine, le visage rouge de honte et en pleurs, elles se font copieusement moquées dans le vestiaire des filles mais c’est sur le bord du bassin, devant tout le monde que leur humiliation est à son comble, car les garçons y vont également de leurs remarques salaces.
Les deux coachs sportifs, Philippe M. et Jessica T. ont bien du mal à faire venir le calme parmi les étudiants. Finalement, c’est la maitre-nageuse Paula S. qui intervient énergiquement et menace d’une sévère fessée, entièrement nu, tout étudiant qui perturberait le cours, ce qui suffit à calmer tout le monde, au moins pour un temps, car les messes basses vont bon train entre étudiants ainsi que les sourires narquois, qui en disent long lorsque les étudiants regardent les traces encore très fraiches sur les croupes des deux étudiantes.

Après la séance, dès qu’elles sont rhabillées et sorties, les moqueries reprennent de plus belles, cinglant la fierté des deux ex-punies et même Fabienne D., notre proviseure ne se prive pas de faire des réflexions très vexantes vis-à-vis de l’attitude de Cassandra et Flavie. Carole C. s’est fait un malin plaisir d’avertir et de diffuser le film des deux fessées à la directrice de Ste CROIX, car Carole C. s’enorgueillit de tenir et d’éduquer ses scoutes comme le fait notre proviseure vis-à-vis de ses élèves.


Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 35

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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6 commentaires:

  1. Bravo Elena, je suis très fan de vos récits..

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    1. Merci beaucoup Caroline. Ca me touche beaucoup, ce compliment. Ce Blog regorge d'univers différents et tout le monde peut y trouver un intérêt.
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie, des chants scouts, du coucou hibou, et des coups de verge sur les fesses qu'on entend dans la forêt lointaine... (oui, c'est vrai, ça fait un peu long!)... Bonjour!
    Bonjour Elena.

    Pour rester en immersion dans l'eau bénite du charme discret des traditions et coutumes expiatoires de l'univers religieux, manquaient plus que les scoutes! (On appelait ça des jeannettes, pour les filles, au sens Baden Powelien du terme) Ah le bon vieux temps du patronage des mercredis après midi dans la nature accueillante... avec initiation para militaire en camp scout!

    Cassandra et Flavie, les pécheresses, n'ont rien trouvé de mieux que de s'amuser à trafiquer le cadenas de la porte du vestiaire du curé. Honte à lui, le malheureux, risque de devoir dire la messe tout nu , sans son déguisement de cérémonie. Mais Dieu est partout et voit tout! ... Grace à la miraculeuse intervention d'un serrurier au doigté béni du même Dieu...( encore lui!), les portes du paradis ré-ouvertes, le brave prêtre va pouvoir revêtir son habit de lumière pour célébrer l'office.
    Les foudres du seigneur vont s'abattre sur le derrière des insolentes. Comme d'hab' chez notre auteure, habile à associer la flagellation et le goupillon, le châtiment en public,( comme le pilori au moyen âge) filmé pour l'exemple, est impitoyable.
    Elena toujours à la pointe de la spiritualité punitive et rédemptrice, nous propose sa version de la solidarité scoute. Notamment celle qui consiste à maintenir en place une punie, pendant qu'elle se fait étriller les fesses à coup de branche d'arbre par deux Walkyries en short. On souffre avec elle ...

    Dieu est amour, il aime bien, et châtie au maximum. Les pénitentes sont condamnées à finir d'expier leur faute, dans la honte, en exhibant les traces de leur châtiment à la piscine, où, heureusement quand même, le port du maillot de bain est obligatoire... Une humiliation supplémentaire inattendue, mais l'enfer est pavé de marques sur les fesses ...
    Les voix du seigneur sont impénétrables, l'inspiration d'Elena inépuisable! Personne ne s'en plaint.
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina.
      Comme d'habitude, mes textes sont passés sous votre microscope et rien ne vous échappe. Synthèse et contexte retracé et dédramatisés.
      Les nouveaux personnages de cet épisode viennent enrichir l'environnement assez hétéroclite des situations que je peins. Vous aurez remarqué que chaque épisode prend un nouveau contexte pour y faire s'ébattre les rebelles que je prends plaisir à discipliner.
      Là, le domaine religieux et les punitions en public donne plus d'intensité et de piquant aux scènes. Après ça, les jeunes scoutes n'auront plus qu'à bien se tenir.
      Expier ses péchés par la souffrance est le meilleur moyen d'arriver au pardon. Et ces demoiselles en ont bien besoin, de pardon.
      Et la cerise sur les fesses est la séance de natation avec les copines de Ste CROIX. Tout un chemin, pour elles...
      Amitiés.
      Elena.

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  3. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.

    Un petit voyage du côté de la sacristie. Elles pensaient pouvoir rigoler à bon compte, ces jeunes filles. Eh bien, c'est raté. Ce sont les autres qui vont se réjouir à leurs dépens. La honte rédemptrice qu'elles en éprouvent sera d'autant plus durable que leurs fouetteuses ont été des gamines sue lesquelles elles seront sans doute amenées à exercer un jour leur autorité, que la séance sera filmée et qu'il leur faudra aller exhiber à la piscine bien malgré elles les zébrures qui tapissent leurs cuisses.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Oui, en effet, mauvaise idée que d'avoir changé le code du cadenas du curé. Un concourt de circonstance à fait qu'une "blagounette" qui se voulait innocente s'est transformée en situation dramatique, avec correction à la clé. Ca leur apprendra à mesurer leur actes et à évider ce genre de blague potache à l'église.
      Pour les cadettes, oui, nos deux jeunes compagnonnes seront amenées à les encadrer, car elles sont destinées à devenir chef de groupe, vu leur expérience et leur âge. Le fait de s'être fait corriger par des plus jeunes n'en a que plus de poids et a augmenté la vexation, d'ailleurs et que dire des suites à la séance de natation du lendemain... Leurs camarades à Ste CROIX peuvent admirer le résultat de leurs frasques. Assez humiliant, tout de même !
      Amitiés.
      Elena.

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