mardi 26 mai 2020

Ces dames aux mains fermes - saison 3 - chapitre 34

LES BIENFAITS D'UNE STRICTE DISCIPLINE DOMESTIQUE

LA FESSEE AU GINGEMBRE.

Bien qu’elle soit tout de même en pleurs après la cuisante fessée administrée par sa tante, Géraldine s’empressa d’obéir en s’agenouillant, genoux écartés sur la chaise à fessées placée au milieu du magasin. L'heure n'était plus aux provocations, ni aux petites répliques ironiques, mais à défaut d'une réelle soumission, à l'acceptation de sa punition.
Elle s'efforça de présenter au mieux son postérieur déjà totalement enflammé et d’une flamboyante couleur écarlate répartie sur toute sa surface. Les traces rouges, visibles, de la fessée débordaient largement sur le haut de ses cuisses non couvertes par ses bas nylon, que les jarretelles tiraient pourtant au maximum. Satisfaite de ce que qu'elle estimait, malgré sa sévérité, une simple séance d'échauffement préparatoire, Astrid revint, toute joyeuse, avec le tube de Dolpic, qu’elle avait ouvert, et une racine de gingembre non épluchée. Elle appela son mari pour lui demander d'apporter un couteau et ordonna à sa nièce :
– « Tu restes en position sur ta chaise à fessées et tu m'épluches ça, soigneusement, sans trop en enlever, pour que ça reste assez gros. Tu laisses un renflement au bout pour que ça te tienne bien dans le derrière pendant ta fessée ! »
Géraldine, saisit le rondin du bout des doigts, avec un petit sourire crispé, mélange de curiosité et d'appréhension.
– « Oh là là ma tante !.. La fessée avec … Avec tout ça dans le derrière ! 
– Oui ma chérie... Tout ça... et encore ce n'est qu'un premier essai... à transformer !  Il faut bien tester les nouvelles techniques...»

 A genoux sur sa chaise, docile et stoïque, le derrière en l’air, la croupe étalée et offerte au maximum, bien levée , bien arrondie, provocante à souhait, Géraldine se résout à obéir. Les coudes posé sur le dossier de la chaise, les reins creusés afin de mieux faire ressortir son généreux fessier déculotté, elle commence à tailler le morceau de Gingembre, maladroitement, car ses doigts tremblent et ses larmes la gênent. Astrid reste inflexible et répète son ordre.
– « Qu’est-ce que je t'ai dit Géraldine... Tu veux une autre fessée ? N'en enlève pas trop, ça doit rester assez épais pour que tu le sentes bien et que ça reste bien en place.
– J'ai compris ma tante, je fais pour le mieux... j'ai laissé un bout plus... »
Elle s'interrompt, en contemplant l'engin et ajoute sur un ton où se mêlent la crainte de la sensation forte et l'envie d'essayer.
– « Oh là là... Tantine... c'est vraiment gros ce truc... Il va falloir que ça rentre quand même... Mais je vais en avoir plein les fesses !  Avec la fessée en plus !  Oh là là !! »

Madame Delaniaires se moque éperdument des considérations de sa nièce et, sans état d'âme, la soulève sous son bras gauche pour lui frictionner les fesses au Dolpic, pendant qu'elle doit continuer à tailler son morceau de gingembre. Ce qui ne lui facilite pas la tâche, mais Astrid n'en a cure. Elle lui pommade abondamment le derrière, insensible aux   pleurs de la jeune femme, qui redoublent, alors que son fessier devient d’un rouge encore plus éclatant et luisant. Jugeant que la friction est suffisante mais que le gingembre n'est pas complètement épluché, elle lui ordonne de terminer en vitesse.

– « Dépêche-toi Géraldine, tu en mets du temps ! Tes fesses sont en train de refroidir. Tout ce que tu vas gagner c'est une nouvelle fessées à la main pour les remettre à la bonne température avant le martinet..
– Ah non ma tante, pas encore la fessée... Vous venez de m'en mettre une ! … Une sévère en plus !... Qui m'a déjà sacrément bien chauffé les fesses, celle-là !... Mais c'est bon, regardez... j'ai fini ! » 
Elle lui donne la racine approximativement taillée et épluchée.
– « Ne te fais aucune illusion, ma petite chérie...Tu vas l'avoir quand même ta deuxième fessée ! Mais avant... »
Madame Delaniaires fait durer le plaisir et joue la maîtresse de cérémonie en annonçant   d'un ton solennel.
  Et maintenant Géraldine, c'est le moment des nouvelles émotion ? Ecarte bien les fesses avec tes mains ! »  
Géraldine s'exécute avec un simulacre de trouille en forme de grimace clownesque.

Un rien perverse, la tante s'amuse d'abord à lui titiller l'anus du bout du rondin humide fraîchement épluché, puis tourne autour par petites pressions en faisant semblant de le faire pénétrer.
– « Alors... qu'est-ce qu’elle en dit ma petite vicieuse... Hum,? On dirait que ça lui plaît le gingembre...N'est-ce pas ? Finalement c'est pas si terrible que ça ! »
Pour le moment, ça émoustille plutôt le jeune femme qui tortille du derrière autour du rondin en couinant.
--- Roaaaah ma tante … oh la laaaaaa !! Qu'est-ce que vous faîiiiiiites !!!!.... Ça piiiique ! »
Elle n'a pas le temps de finir. Sa phrase se termine dans un râle gargouillant incompréhensible.  Lentement mais fermement, Astrid introduit le rondin de gingembre entre ses fesses écarlates qui se resserrent autour en frémissant. Un claque vigoureuse sur chacune d'elle la rappelle à l'ordre.
– « Je t'ai dit de ne pas serrer les fesses ! A moins que tu préfères mieux le sentir passer... »
 Centimètre par centimètre, elle le lui enfonce d'autorité dans l’anus, le retirant plusieurs fois à mi-course pour le lui ré-enfoncer, avec gourmandise, sur toute la longueur jusqu'au renflement. Cela déclenche chez Géraldine autant de gémissement de douleur que de petits soupirs d'étonnement et d'émotion.
– « Rooooaaaah, ma tante … Ça... Ça...Oh ça chauffe... Et... et ça pique ! Oh là là ! Je ne sais pas si ça fait mal ou si ça fait du bien... » 
– Avec la fessée qui va suivre, tu vas le savoir tout de suite ma petite chérie ! A mon avis ça va faire les deux en même temps ! »
Elle la fait redescendre de la chaise et la remet à plat ventre sur ses genoux, pour la suite des opérations. Et cette fois ci, c'est avec le derrière farci d'un solide rondin englouti entre les deux belles fesses enluminées de la première fessée. La suivante commence aussitôt. L’introduction du Gingembre que Géraldine a dû elle-même éplucher en lui donnant une forme qui le maintient bien en place pendant toute la durée de la fessée, provoque rapidement une danse des fesses plus frénétique que jamais,  ponctuée, au milieu des pleurs, de cris et de supplications.
– « Houuuu ! Ma tante, ça cuit ! Ça cuit !! Pas la peine de taper si fort!  ! Ohhh ça chauffe avec ce truc !!  ! Hou ça pique ! Ouaaaaaouuh ! ça brûle ! »


fessée déculottée


L'opulente paire de fesses déculottée qu’elle offre ainsi aux regards et à la main de sa tante, est déjà écarlate en totalité. On en devine la cuisson continue alors que ses fesses, légèrement écartées par cette position, enserrent le gros rondin de gingembre planté au centre du postérieur. Malgré ses efforts pour le garder en place, elle ne peut l'empêcher de de ressortir de quelques centimètre sous un aller et retour plus appuyé. La réaction d'Astrid est immédiate.  
– « Serre les fesses Géraldine ! Mieux que ça ! »
Ordonne-t-elle en le lui renfonçant dans le derrière d'une poussée du doigt,  entre deux volées de claques en plein milieu de la raie. Géraldine gémit de plus belle en tortillant son fessier en surchauffe, à intérieur comme à l'extérieur. 
– « Il va falloir t'y faire ma petite chérie !  La plupart des fessées de démonstration que tu vas recevoir à partir de maintenant, et elles risquent d'être nombreuses, vont se dérouler désormais de cette façon. Agrémentées, d'un martinet maison et du passage des fesses au Dolpic ! »
– « Ouiiiii ma tante... Ouaiiiiie qu'est-ce que ça chauffe. Oula la ! Le gingembre.. avec la fessée, ça pique fort, ça brûle !! J'ai l'impression d'avoir un tison ardent dans le derrière ! »
Géraldine n'est pas, à proprement parler, enchantée de l'expérience, mais pas non plus véritablement déçue, questions sensations. Elle est même bien obligée de constater l'efficacité du traitement qui se montre d’une efficacité redoublée et elle reconnaît volontiers, elle-même, qu’elle a intérêt à filer doux au magasin. Même si ça ne l’empêchera nullement de continuer à recevoir les fréquentes fessées qu'elle mérite ou qu'elle provoque par ailleurs.  
Les seuls mots qu'elle prononce maintenant, restent dans le domaine de la sensation de chaleur.
– « Oh !... Ooh ma tante, ça chauffe, hou ça brûle ! Ahrrr ça cuit partout… Dehors... dedans ! C'est comme si j'avais des charbons ardents enfoncés dans le derrière !»

Cela n'émeut pas pour autant la tante, bien décidée à profiter du solide fessier de sa nièce pour mener jusqu'au bout l'expérimentation de la fessée nouvelle formule.  Elle met fin à celle en cours, à la main, et lui ordonne de se remettre en position, à genoux sur la chaise à fessées, pour la suivante, au martinet. 
Elle alla en choisir un qu'elle décrocha des présentoirs derrière le comptoir et revint vers elle, le manche bien en main, les lanières dansant le long de ses jambes gainées de nylon.  
  «  Tes fesses, Géraldine ! Tends les mieux que ça ! Tu as compris ? Mieux que ça ! Fais les bien ressortir ! Mieux ! Encore !
–  Oh non, tantine s'il vous plaît... pas la fessée au martinet ! Pas en plus... Vous m'avez déjà bien corrigée... Et puis ce truc dans le cul… . Ça chauffe tellement ! Plus la fessée !...
  Comment cela, plus la fessée ? Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça  ? Mais la démonstration n'est pas terminée ma chère !
– Je vous demande pardon ma tante, pas le martinet... S’il vous plaît ....j'ai les fesses qui chauffent vraiment dur... Ouaaaah, avec le gingembre, je peux vous le dire, c'est carrément atroce …
– Et bien justement, c'est ce qu'il faut ! Une bonne fessée au martinet sur tes belles fesses rouges déculottées, frictionnées au Dolpic et le gingembre bien enfoncé entre les deux. Et cesse cette comédie, je te connais tu vas l'adorer cette petite gâterie !  Allez ! courbée sur le dossier de la chaise, le cul en l'air, bien présenté et écarte tes fesses ! »

Géraldine, faussement réticente, voir même, un peu excitée de relever le défi jusqu'au bout, obéit en se contentant de pleurnicher pour la forme. Elle est à peine positionnée, le slip descendu au milieu des cuisses pour offrir un maximum de surface, le postérieur bien déployé,  que sa tante, commence aussitôt à lui cingler les fesses en les balayant d'un côté à l'autre.

– « Alors, tu la sens bien ta fessée au martinet, après les deux autres à la main, hein  ?

Géraldine, cette fois en prend pour son grade, même si, par fierté, elle présente à sa tante, une fessier arrogant, toujours bien tendu, offert à la fessée, elle est incapable de répondre.  La bouche grande ouverte, elle hoquette en criant de douleur sous les cinglées qui font reluire ses fesses, rouges comme des braises incandescentes.

Astrid avait choisi un martinet adapté au format des opulentes rondeurs dont elle connaissait la belle l'endurance, à force de les corriger régulièrement. La différence de longueur des lanières de ce modèle faisait que, certaines lui enveloppaient le postérieur en entier, réparties sur toute sa plénitude bondissante, alors que le bout des autres se répartissait en plein centre des fesses trépidantes. Ça cinglait en alternance,  sur la raie ouverte, tenue écartée par la racine de gingembre qui poursuivait son rôle de tison de plus en plus ardent .

 Madame Delaniaires aimait fesser et claquait avec une même ardeur toutes les paires de fesses qui lui passaient entre les mains. Pour son plus grand plaisir il y en avait beaucoup à défiler dans le magasin.

 Ni les pleurs ni les gémissements de Géraldine, ne semblaient émouvoir Tante Astrid.   Elle profitait naturellement, sans états d'âme, du solide fessier bien rebondi que sa nièce mettait complaisamment à sa disposition. Elle avait beau le déculotter et claquer presque quotidiennement, et plusieurs fois par jour, elle ne se lassait pas du plaisir d'éprouver sa formidable capacité d'endurance aux fessées.  
– « Un vrai cul à fessées ! »
 Se plaisait elle parfois à ironiser, après lui avoir monté le derrière à l'écarlate, au cours d'une de ces fameuses séances exhibition de martinet, devant des clientes, ravies du spectacle. 

 Elle finit par s'arrêter, quand elle estima la correction suffisante et envoya la jeune dévergondée digérer ses fessées, courbée en deux sur le comptoir, le derrière en exposition.  Martinet toujours en main en cas de retouche à faire, elle recula un peu pour avoir une vue d'ensemble du vaste fessier. Le regard enveloppant, elle en évalua le niveau de cuisson à l'intensité du rouge cramoisi qui en faisait reluire toute la surface et salua la qualité de sa prestation d'une petite moue de satisfaction.

Géraldine continue à pleurer doucement,  le nez entre les présentoirs à martinets , le slip au milieu des cuisses, la croupe cramoisie bien tendue, farcie au gingembre, offerte à l'évaluation de sa fesseuse qui la félicite sans scrupule. 
– « Bravo ma chérie ! Tu viens de montrer une nouvelle fois, ta formidable disposition à encaisser les fessées... avec en prime, cette savoureuse petite gâterie dans le derrière ! 
 Elle lui appuie sur les reins pour lui faire ressortir la croupe et, d'un doigt tendu, exerce des petites pressions sur l'extrémité du gingembre qui émerge à peine d'entre ses fesses .
 – « Alors...  ça fait quel effet la fessée au gingembre ? Tu n'as pas l'air de détester …  … On dirait même que tu aimes ça, te faire claquer le derrière avec ce gros rondin planté entre les fesses... ça t'excite hein... petite vicieuse ? »
Géraldine couine un peu en tortillant du derrière.
– « Oooooh ma tante …. Qu'est-ce que vous faites encore … Arrêtez.... c'est dur ce machin, et ça chauffe... Vous ne pouvez pas savoir... »
Elle gémit. Difficile de savoir en effet si c'est véritablement de douleur ou d'émotion. Pour un peu, elle en mouillerait sa petite culotte si elle ne l'avait pas au milieu des cuisses. 

C'est à ce moment que Norbert sort de son atelier une carton de martinets dans les bras.  Il ne semble pas plus étonné que ça de la scène croustillante qui se déroule dans le magasin, heureusement ou malheureusement, fermé, ça dépend pour qui. Il s'adresse à sa femme d'un ton neutre en posant le carton sur le comptoir près de Géraldine .   
– « A ce que je vois ma chérie, on dirait que tu t'es encore bien amusée avec les fesses de ta nièce ?
– On ne s'amuse pas Norbert... On travaille ! Je viens de tester un de tes nouveaux martinet à lanières de longueurs différentes.  Rien à dire... Efficace mon ami !  D’ailleurs je compte bien en essayer un sur tes fesses à la première occasion. »
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Norbert fait semblant de ne pas avoir entendu. Il parcourt du regard les marques foncées des lanières, imprimées toute la surface du vaste fessier cramoisi de Géraldine qui continue à se tortiller, perchée sur ses talons aiguille. Il remarque évidemment le gros rondin planté au milieu. 
– « Tiens, c'est nouveau ça !...  Je comprends maintenant... C'était pour ça le gingembre ! Ça doit piquer non ?
– Vous ne pouvez pas savoir à quel point ! - Clame Géraldine par-dessus son épaule, toujours à plat ventre sur le comptoir, les fesses en l'air bien exposées – les fessées de tantine chauffent déjà fort, mais avec ça dans le derrière... c'est le feu de l'enfer... !  
– Oui, ça remplace avantageusement les manches de martinet ! Enchaîne Astrid la mine réjouie. D'ailleurs tu ne vas pas tarder à en savourer les performances... dès ce soir...
– Moi ? Oh... Astrid...
– Si mon ami... Tu as déjà oublié les deux fessées que je t'ai promises ce matin pour avoir laissé deux miettes de pain sur la table après ton petit déjeuner. Tu en as eu une, avant de partir... la deuxième, c'est pour ce soir en rentrant...Tes fesses vont inaugurer le gingembre mon chéri !
– Pour ça...Vous allez voir ! – s’en amuse presque Géraldine en s'écartant les fesses à deux mains pour s'aérer un peu la raie toujours occupée – ça fait un sacré feu d'artifice dans le derrière !
– Et tu peux la croire... Elle sait de quoi elle parle. Tu vois ce qui t'attend...»
Géraldine s'est redressée et saisit l'élastique de son slip.
– Je peux maintenant m'enlever ce machin du derrière pour me reculotter ?... S'il vous plaît... Ma tante. ».
La réponse lui fait sauter les fesses d'une grande claque sur chacune .
– « Mais qui t'a dit que tu pouvais te reculotter ?
– Ooooh, ma tante... 
– Ça veut dire quoi ça '' Oh ma tante ! ''... En guise de mise au coin, tu vas rester assise, déculottée, pendant un quart d'heure...
Géraldine ouvre des yeux grands comme des roues de tracteur.
– « Quoi ? Quoi ma tante !!  Assise !!! Les fesses en feu, avec ce machin là... dans le... dans le... derrière... Oh là là ! 
– Avec ce machin dans le derrière comme tu dis !... Et pas sur le tabouret rembourré... Sur la chaise à fessée... en bois ! 
– Roaaaaah non... Tantine... Pitié... Pas ça,  !
– C'est une autre fessée que tu veux avant ?...  Alors, arrête de faire ta mijaurée.... Je te connais petite dévergondée...  Pour un peu tu en redemanderais de la fessée avec du Gingembre dans le derrière !
– Ooooh...Oh là là... N... Non... Tantine... »


La semaine suivante, Edwige qui avait rencontré madame Delaniaires au salon de coiffure de Béatrice Klakerspank, ( voir saison 2) avait évidemment été informée de l'efficacité des martinets sur mesure et, surtout, de la grande nouveauté qui avait vite fait le tour du quartier, à savoir : les fameuses fessées au gingembre. L'initiative venant de Bettina, celle-ci avait retrouvé grâce auprès de ces Dames, et même de Régine Duplessy qui, par contre, n'avait toujours pas pardonné à son époux son écart de comportement .  C'est paradoxalement sa ''rivale'‘ qui allait lui fournir un moyen exemplaire de punir son mari fautif. 

C'est Clarisse, qui, sans grande difficulté,  finit par convaincre Edwige puis Régine d’emmener leur mari respectif chez les Delaniaires pour leur acheter un martinet comme celui qu'elle avait fait faire pour Rodolphe et son mari.  Elle était allée avec eux pour leur indiquer l’itinéraire jusqu’au magasin de « l'artisan du cuir » . Rodolphe était resté à la maison avec Douglas son beau-père, privé de sortie avec deux fessées à la clé pour avoir tenté de rejouer aux course.  Rodolphe, un peu traumatisé par les fessées qu'il avait reçues dans la magasin par madame Delaniaires devant sa nièce Géraldine,  ne tenait pas du tout à retourner là-bas. Partagé entre la curiosité et la crainte, il gardait un très mauvais souvenir de l’acquisition récente de son nouveau martinet, Un martinet que sa mère, d’ailleurs, avait déjà utilisé sans modération sur ses fesses déculottées.

Clarisse avait décidé d’accompagner seule Edwige et son mari. Quand ils étaient passés la chercher à la maison, Rodolphe avait tout de même eu droit au spectacle de Stephen dans un de ces pantalons très ajusté qui moulait outrageusement son derrière proéminent.  Edwige les lui faisait porter toujours extrêmement serrés pour faire ressortir les rondeurs excitantes de son fessier, qu'elle aimait avoir sous les yeux comme une invitation permanente à la fessée. En le voyant entrer d'un pas mal assuré, tortillant un peu du derrière, avec des yeux encore plein de larme, il était évident que la fessée administrée par son épouse avant de partir avait sans doute été très sévère... comme toute celles qu'elle administrait, sans exception.

Quand ils revinrent une heure après, le postérieur de Stephen semblait avoir encore pris du volume et dégageait une chaleur intense à travers son pantalon tendu à craquer. Edwige se plut à raconter, devant lui, qu'elle avait dû expérimenter plusieurs martinets avant de trouver celui qui lui convenait le mieux.
Ce fut du ''Edwige'' à la hauteur de sa réputation . Elle insista pour que chacun puisse vérifier l’intensité de la couleur de ses fesses en décidant, sans surprise, de faire une démonstration de la parfaite adaptation du martinet au derrière de son mari. Elle lui fit baisser son pantalon une nouvelle fois, le déculotta devant tout le monde et lui cingla encore le postérieur,  pendant cinq bonne minutes, à grande envolée de lanières toutes neuves. Cette troisième fessée de la journée reçue par Stephen, avec l’assurance d’en recevoir au moins une quatrième le soir même, fit qu’il repartit en pleurs de chez Clarisse . 

Pour l'humilier d'avantage et montrer comment elle corrigeait bien son mari, elle lui interdit de se reculotter et, lui ordonna de garder son slip en travers des cuisses pendant la durée du retour à la maison. Il dû faire le trajet en trottinant à côté d'elle, le pantalon à la main, les fesses flamboyantes exposées à la vue des passants.  
 A partir de ce jour, Stephen eut droit aussi, à recevoir ses fessées avec une grosse racine de gingembre, plantée dans le derrière. Bien stimulé par son épouse, par quelques bonnes séances de fessées, il apprit vite à les tailler lui-même pour une occupation efficace de son orifice anale. 

Le bouche à oreille faisant son effet, les fessées au gingembre se multiplièrent comme des traces de lanières sur un derrière déculotté. Cela devint désormais le cas, pour les fessées de Géraldine, qui avait eu le privilège d'en inaugurer la pratique, mais également pour celles de toute la gent masculine du quartier.
 L'essayer c'était l'adopter.  Régine, vite conquise par l'efficacité de la nouvelle méthode, la mit régulièrement en pratique pour corser les corrections de son mari.  Patricia, toujours curieuses des innovations en matière de discipline, décida d'en faire profiter les fesses de Gérôme pour accélérer son rythme de progression en Anglais. Jusqu'à Claridge, évidemment, la propriétaire de la boutique de lingerie( voir saison 2) à l'origine de la commercialisation des slips à fessée, qui finit par en farcir systématiquement le derrière de son cher et tendre, à chacune de ses punitions. 
 Les ventes de Gingembre montaient en flèche et le gérant de l'épicerie exotique, n'en finissait pas de s'interroger sur les raisons de ce soudain engouement pour un banal condiment. Il était loin d'imaginer l'usage que ces Dames en faisaient.

Tout cela n'empêcha pas, quelque temps après, Monsieur Duplessy, le mari de Régine,  d'entraîner Douglas, dans un coûteux achat de chaussures, sur mesure, parfaitement superflu.  Aristide Duplessy,  en homme distingué, un tantinet aristocrate, était un collectionneur convulsif de chaussures. C'était un client de la maison Delaniaires, Astrid et Norbert, artisans du cuir, lesquels ne se contentaient pas de vendre des instruments de discipline. Le prix de ces souliers de fabrication artisanale,  modèle unique sur mesure, était évidemment assez élevé. Ces messieurs, plutôt dispendieux, devaient, avant ce genre d’achats, obtenir la permission de leur épouse, qui l’accordait ou pas selon ce qu’elles jugeaient utile ou non. Par contre, en parfaites mauvaise foi assumée, elles ne se privaient pas de faire les boutiques comme bon leur semblait et du shopping à volonté.


Et hop, une nouvelle saison ! C'est déjà la troisième !

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance précédemment, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Que s'est-il passé dans le dernier épisode ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave voici là où a commencé la saison, le chapitre 1, et le précédent, c'est le chapitre 33
Pour ceux qui n'auraient pas lu le tout début de la série, la voici : le chapitre 1 de la saison 1
Il y a une suite, oui, mais il faudra attendre la semaine prochaine.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.


Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  Ramina

4 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,
    Voici une bien belle fessée, avec quelques raffinements qui me ravissent. Avec ce genre d'innovation, vous pourriez très bien être proviseur à Ste CROIX. Le poste vous tend les bras. Voudriez-vous un poste de proviseur adjoint à Ste CROIX, en attendant la promotion de Fabienne D. à l’académie ? vous pourriez prendre sa place, à l'issue...
    Notons que Géraldine est partagée entre douleur et plaisir, quoi que sur la fin, c'est tout de même la douleur qui l'emporte : Douleur 1, plaisir 0.
    Ces messieurs vont avoir droit à l'expérience. De cette façon, ils sauront la signification du mot discipline. Ces dames y mettront un point d'honneur à leur enseigner.
    Décidément, l'apprentissage de l'anglais reste bien compliqué chez nos jeunes. Gérôme a des difficultés, également. Un stage en Angleterre à St ANDREWS, peut-être ? Après les filles, les garçons, ce serait amusant. Après le "Hair shirt", il y a le "slip à fessée". Décidément, les trouvailles sont légions sur ce Blog.
    Amitiés
    Elena

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  2. Bonjour Ramina,

    "Il faut cultiver son jardin " comme disait Monsieur Voltaire. Voilà une punition très écologique, en accord avec l'environnement.
    Passés l' "essaim de glace", le jardinage et autres bouturages peut reprendre son cours. A défaut de tuteurs, il y a l'option... tutrices Rires. Et elles n'y vont pas avec des pincettes ! Mazette !
    Plantes potagères ou d'ornement, elles relèvent les entrées !!
    A taaaaaable !!!
    Amicalement. Peter.

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  3. Bonsoir Elena,

    Et bien il ne manquait plus que ça! Doux délire sur le blog... la chaleur des fessées monte à la tête et ça devient drôlatique à souhait.
    Après les personnages qui se croisent dans les récits, les auteurs sont invités à y prendre part aussi.
    je suis flatté de votre proposition, mais j'hésite à accepter le poste de proviseur à Ste Croix, qui me tendrait les bras... à défaut du derrière. Moi qui ai une "tendresse" particulière pour les fessées à la main, j'aurai quelques difficultés à faire respecter un cahier des charge prônant l'utilisation régulière du fouet, partout, partout sur le corps!

    Par contre je vous verrais bien, chère amie, conseillère technique de la maison Delaniaires pour tout ce qui concerne les instruments de discipline en cuir... Maison sérieuse, où Géraldine cache à peine ses émois à se faire généreusement claquer le derrière par sa tante, un légume bien placé là où il faut... Ah cette jeunesses insouciante et audacieuse!
    C'est fou ce qu'on s'amuse !
    Amicalement
    Ramina

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  4. Bonjour Peter,

    Tes commentaires s'enrichissent d'un humour de plus en plus elliptique avec des jeux de mots en escalier qui m'amusent beaucoup.
    Oui, Voltaire avait raison de penser comme toi(rire)... cultivons nos jardins... des délices et introduisons quelques légumes exotique dans l'accommodement de fessées potagères tout à fait dans l'ère du temps. Le poireau y aurait sa place comme martinet végétal! Quant aux asperges et autres carottes... elles finiraient bien par y creuser le sillon ... fessier! (rire sous cape)
    Amicalement
    Ramina

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