- tu es au courant que tu
as rdv demain avec le Dr Durupt
- oui, oui c'est à 10h, pas
de problème
- c'est bien, je suis libre,
je t'accompagnerai.
Monique marqua un moment d'hésitation.
- ce n'est pas la peine, tu
sais je peux très bien y aller toute seule.
Elodie la regarda avec cet
air sévère dont elle avait le secret depuis qu'elle s'occupait de Monique et qui
en général n'annonçait rien de bon pour ses fesses.
- pardon, j'ai mal entendu,
Madame fait un caprice.
- non, non, pardon momy, ce
n'est pas ce que je voulais dire.
Depuis une semaine qu'elle
était passée sous l'autorité d'Elodie, elle était devenue une petite fille modèle
et dès qu'elle sentait une menace planer sur ses rondeurs postérieures, elle essayait
de désamorcer la menace en utilisant le terme momy pour s'adresser à sa fille. Sans
grand succès la plupart du temps. Ce fut le cas encore cette fois-là. Elodie était
déjà à côté d'elle et sa main avait saisi son oreille.
- viens un peu là, je sais
comment traiter les capricieuses.
Tirée par l'oreille, Monique
n'avait pas d'autre solution que de suivre sa fille, elle prit au passage sa brosse
à cheveux qui ne quittait plus le salon, puis posant son pied sur le petit tabouret
qu'elle réservait à cet usage, elle bascula sa mère sur sa cuisse horizontale, celle-ci
commençait à connaître cette position très inconfortable et qui la ramenait inexorablement
à un statut de petite fille, ses pieds avaient quitté le sol, elle se cramponnait
au tabouret pour garder l'équilibre bien que ce ne soit pas la peine car Elodie
était musclée et elle la maintenait sans peine dans cette posture. La courte jupe
se relevait d'elle-même, Elodie la retroussa sur les reins pour bien dégager la
culotte qui dans cette position rentrait légèrement dans la raie fessière.
- décidément, tu n'as pas
encore compris qui décide ici. Et bien puisqu'il faut te le réexpliquer je vais
commencer par le début. Quand je te dis quelque chose la seule réponse que je veux
entendre, c'est oui momy.
Monique écoutait cette tirade,
la tête en bas et les fesses encore culottées bien tendues vers sa nouvelle maman,
celle-ci appliqua une dizaine de claques sur le fond de cette culotte puis elle
saisit l'élastique et la tira pour mettre à l'air les fesses de sa mère.
- et si tu as l'envie de dire
autre chose et bien c'est une fessée déculottée qui t'arrivera, c'est bien compris,
oui comme maintenant, la culotte baissée sur mon genoux, puisque tu ne veux pas
comprendre ce sont tes fesses qui vont te l'expliquer.
Et joignant le geste à la
parole, elle leva la brosse et se mit en devoir d'administrer une rapide fessée
à Monique. La brosse à cheveux est un redoutable instrument, en quelques instants
les deux fesses ne sont plus que deux belles tomates bien mûres, la position dite
"à l'écolière" libérant les jambes permet à la punie une très belle chorégraphie,
les fesses s'ouvrent et se referment dévoilant une intimité que toute dame préférerait
dissimuler. Dès qu'elle fut remise sur ses pieds, Monique rejoignit le coin qui
lui était désormais réservé. Elodie l'y laissa 1/4h puis elle la fit venir et se
retourner pour lui présenter ses fesses, elle lui enleva complètement la culotte
et lui en tendit une autre.
- mets cette culotte à fessée,
je l'ai achetée pour toi chez Madame Rose.
Une fois que Monique eut remonté
sa nouvelle culotte, elle tira sur les pressions qui maintenait le fond puis glissant
sa main entre les cuisses elle dégrafa la dernière pour enlever complètement l'arrière
du sous vêtement.
- voilà, comme ça je garde
un œil sur tes fesses, on va épingler ta jupe pour bien dégager ton petit derrière.
La prochaine fois que tu voudras faire un caprice tu réfléchiras, tu vas passer
tout l'après-midi cul nu. Allez, file !
Elle avait accompagné ces
dernières paroles d'une bonne claque sur la croupe écarlate.
Le lendemain matin, Monique
se préparait dans sa chambre quand Elodie entra
- qu'est-ce que c'est que
cette tenue tu ne comptes tout de même pas aller à ton rendez-vous habillée comme
ça.
Monique regarda Elodie avec
étonnement, elle s'était habillée comme quand elle allait au travail, un tailleur
avec jupe juste au-dessus du genou et elle avait remis une culotte un peu plus féminine
que celle qu'Elodie lui faisait porter depuis une semaine, mais ça Elodie ne le
savait pas encore.
- je t'ai déjà dit que cette
tenue c'était pour aller au travail, je ne pense pas que tu y vas ce matin, alors tu te déshabilles et tu mets ta tenue de
jeune fille et vite, j'attends.
Monique pâlit, elle pensa à
sa culotte, ce n'était pas celle prévue avec sa tenue de sage jeune fille. Elle
enleva son chemisier puis lentement elle dégrafa sa jupe et la fit tomber à ses
pieds, elle gardait la tête baissée, attendant la réaction d'Elodie, celle-ci ne
se fit pas attendre.
- qu'est-ce que c'est que
cette culotte, tu sais très bien que je t'ai interdit de porter autre chose que
les culottes en coton que je t'ai acheté, je vais t'apprendre à désobéir, viens
ici.
Monique avait rougi, elle
se comportait vraiment comme une gamine grondée par sa maman, elle approcha lentement,
Elodie s'était assise au bout du lit, elle prit sa mère par la main et la bascula
en travers de ses cuisses.
- non, non, pardon momy.
Monique protestait mais elle
savait que c'était peine perdue, elle pensa avec horreur qu'elle allait se présenter
à sa gynécologue avec une paire de fesses bien rouge, la honte était supérieure
à la douleur de la fessée, pourtant Elodie ne ménageait pas ses efforts pour rougir
la croupe de Monique, elle était furieuse de cette désobéissance. Elle cessa la
fessée.
- ah, je te promets que tu
vas le regretter, lèves toi et amène-moi ma brosse à cheveux, elle est sur la table
du salon.
La culotte descendue sous
les fesses déjà bien rouges, Monique se dirigea vers le salon et elle revint avec
l'instrument de sa correction, elle jeta un regard implorant à Elodie, mais celle-ci
fut inflexible.
- tu as peur que le Dr Durupt
voie tes fesses rouges et bien la punition n'en sera que plus profitable, elle verra
comment je traite les petites désobéissantes, allez en position.
Quelques instants plus tard
Monique pleurait sous la cuisson de la fessée à la brosse, quand elle eut fini les
deux hémisphères rebondis étaient uniformément rouges. Elodie les palpa pour en
apprécier la chaleur.
- je t'ai mis une très jolie
culotte rouge, tu désobéiras encore ?
- non, pardon, ça brûle, aie,
aie...
- c'est normal, c'est fait
pour ça la fessée ma chérie, nous avons un peu de temps, tu vas aller faire refroidir
ce vilain derrière au coin pendant que je me prépare.
Monique rejoignit le coin
de la chambre, il était nouveau pour elle habituellement elle exposait ses fesses
rougies au coin dans le salon, elle avait maintenant une grande habitude de ces
longs séjours passés le nez collé contre le mur, les mains sur la tête ou croisées
dans le dos avec cette cuisson qui embrasait les fesses, le sentiment d'humiliation
d'exposer ses fesses nues s'était un peu atténué avec la répétition de ces séances
de pénitence. Elle resta un bon quart d'heure au coin, puis Elodie entra dans la
chambre, elle sortit de la commode la tenue de Monique y compris la culotte blanche
petit bateau.
- tu t'habilles maintenant
et tu m'enlèves complètement cette culotte, je ne veux plus la voir sur tes fesses
et à la prochaine désobéissance, je te garantis que tu ne goûteras pas seulement
à ma brosse à cheveux.
Monique s'exécuta tête basse,
elle avait jeté un coup d'œil sur ses fesses dans la glace et leurs couleurs ne
laissaient aucun doute sur ce qui était arrivé à leur propriétaire.
- bien, tu es prête, alors
on y va.
Comme à son habitude, Elodie
avait accompagné, ces derniers mots d'une vigoureuse claque sur la croupe de sa
mère.
La secrétaire du Dr Durupt,
connaissait Monique, elle marqua un petit étonnement en voyant Madame Dumon habillée
comme une jeune fille, mais habituée à la discrétion et au secret médical, elle
n'en fit rien paraître et les invita à patienter. Heureusement pour Monique, la
salle d'attente était vide. Le Dr Durupt avait le même âge que Monique et elle se
connaissait bien, c'était une petite femme brune, énergique. Son penchant pour les
relations saphiques était connu dans le milieu médical.
Elle ouvrit la porte et reconnu
immédiatement sa consœur, Elodie se leva en même temps que sa mère et serra énergiquement
la main de la gynécologue
- bonjour, je suis Elodie,
la fille de Madame Dumon, je l'accompagne, ça ne vous dérange pas.
Un peu surprise, Laure Durupt
acquiesça et c'est à ce moment-là qu'elle découvrit la tenue de Monique. Elle sourit
légèrement et leur désigna la porte de son bureau. Une fois assise, elle osa une
question
- je te demande pardon, Monique,
mais que fais-tu habillée comme une gamine, tu veux rajeunir ?
Monique était toute rouge
et elle baissa la tête sans répondre, ce fut Elodie qui prit la parole.
- c'est moi qui lui ai demandé
de s'habiller comme cela, quand on a un comportement de gamine, il faut porter des
vêtements adapté à son âge.
Le Dr Durupt écoutait bouche
bée cette jeune femme décliner les principes éducatifs qu'elle appliquait à sa mère
et surtout leurs nécessités absolues en raison des graves manquements relevés dans
le comportement de celle-ci.
- bien, bien, si vous y trouvez
chacune votre compte.
En fait, Monique n'avait rien
dit, mais Laure Durupt considérait comme acquis son consentement. Elle commença
l'interrogatoire médical et elle demanda à Monique si elle lui avait amené les résultats
de sa prise de sang. Monique rougit et expliqua qu'elle n'avait pas eu le temps
de la faire.
- ce n'est pas bien, je devrais
te gronder.
Dit-elle en riant. Elodie
regarda sa mère d'un air sévère.
- moi, je ne vais pas me contenter
de la gronder.
Elle avait pris le bras de
sa mère et elle l'avait forcée à se lever puis continuant la traction elle l'avait
couchée sur ses genoux. La suite allait de soi, la jupe fut retroussée prestement,
la culotte descendit sur les cuisses. Laure Durupt eut le temps d'apercevoir la
couleur rouge des fesses de son amie avant que ne débute une courte mais vigoureuse
fessée.
- je t'ai pourtant prévenue
que je ne tolérerai plus tes oublis maintenant c'est terminé à chaque fois que tu
ne feras pas ce qu'on te demande tu recevras une fessée déculottée.
Le Dr Durupt regardait fascinée
le spectacle, une jeune femme administrant sans aucun état d'âme une fessée déculottée
en public à une dame d'une cinquantaine d'années et celle-ci acceptant sans protester
ce châtiment habituellement réservé à des gamines. Elle était subjuguée par l'autorité
naturelle que dégageait Elodie. Elle s'était essayée à la fessée sur la personne
de cette jeune patiente Valérie qui s'était présentée à elle un jour avec des traces
d'une vigoureuse fessée et un plug bien calé dans le derrière et il fallait reconnaître
qu'elle y avait pris un certain plaisir, d'ailleurs elle avait fait revenir cette
patiente et pour un motif futile elle l'avait à nouveau fessée. Mais elle n'avait
jamais assisté à l'administration d'une fessée et soudain elle se rendait compte
qu'elle y prenait du plaisir, s'imaginait elle donner la fessée ou la recevoir c'était
un peu un mystère pour elle. Pendant ce temps Elodie avait continué à administrer
de vigoureuses claques sur la croupe bien exposée puis jugeant la punition suffisante
elle remonta la culotte de sa "fille" et la fit se relever et se rasseoir
à sa place comme si de rien n'était.
- je m'excuse de vous avoir
imposé la fessée de Monique mais je pense qu'il faut que la sanction soit immédiate
pour être efficace, je l'emmènerai faire sa prise de sang demain matin et elle vous
la rapportera, n'hésitez pas à sévir si vous le jugez nécessaire, vous avez mon
autorisation pour donner la fessée à Monique.
Laure Durupt acquiesça avec
un petit sourire.
- j'espère ne pas être obligée
d'en arriver là, bien en attendant on va faire l'examen, comme d'habitude n'est-ce
pas, tu enlèves tout cette fois ci, pas seulement la culotte.
Elle avait fini sa phrase
avec un grand sourire. Monique se dirigea vers le lit d'examen et se déshabilla,
elle savait que le Dr Durupt exigeait une mise à nu complète, elle quitta donc sa
tenue de jeune fille, quand elle descendit sa culotte, elle sentit le regard de
sa consœur s'attarder sur son fessier écarlate. Au moment où elle s'installait pour
l'examen, elle sentit la main de Laure toucher ses fesses.
- c'est bien rouge, dis-moi,
ça doit cuire sérieusement?
Monique ne répondit pas et
elle commença à s'installer, Elodie l'arrêta
- quand on est polie, on répond,
le docteur t'a posé une question, tu as envie de revenir sur mes genoux ?
- non, non, pardon Madame,
oui ça brûle beaucoup.
Elle avait appelé Laure, Madame
ce qui la fit sourire, Monique était vraiment une jeune fille face à deux adultes,
elle s'était arrêtée au moment de prendre place sur le lit d'examen et dans cette
position elle présentait ses fesses aux deux spectatrices.
- c'est bien, allez, mets-toi
en place, tes fesses sont magnifiques, je pense que je n'ai pas fini de les voir.
Ce sous-entendu, perturba
un peu plus Monique, Laure prévoyait elle également de la fesser.
L'examen se déroula sans encombre,
à la fin, le Dr Durupt s'adressa à sa patiente
- il faudra faire une courbe
de température.
C'est Elodie qui répondit
- pour ce qui est des prescriptions,
vous vous adressez à moi, vous avez pu constater qu'on ne peut pas faire confiance
à Monique. Expliquez-moi la façon de procéder.
- c'est simple, il faut prendre
la température rectale au moins une fois par jour, le matin au réveil c'est mieux
et surtout utiliser un thermomètre traditionnel en verre, j'y tiens beaucoup, ils
sont plus fiables.
- je ne crois pas que l'on
ait ça à la maison, vous m'indiquerez ou je peux m'en procurer. Par ailleurs, je
n'ai jamais pris la température à une adulte, y a-t-il une technique particulière,
vous pourriez peut-être me montrer.
- pas de problème, vous pourrez
acheter un thermomètre à la pharmacie juste à côté, ils ont le modèle dont je me
sers, pour ce qui est de la mise en place du thermomètre, ce n'est pas très compliqué,
mais je vais vous montrer. Monique, mets-toi sur le ventre.
Pendant toute cette conversation,
Monique était restée silencieuse, écoutant un peu abasourdie ces deux dames parler
d'elle comme si elle n'était pas là. Instruite par la fessée reçue au début de la
consultation, elle obéit et se tourna comme lui avait demandé le Dr Durupt, ses
fesses étaient encore bien rouges, Laure avait sorti le thermomètre de son étui,
elle s'approcha de sa patiente et lui tapota les fesses.
- il va falloir un peu de
coopération ma chère, on se détend et on desserre un peu ces petites fesses. Voilà
c'est bien, donc c'est simple, vous voyez, j'ai mis un peu de vaseline sur le thermomètre,
on écarte les fesses et doucement on le fait pénétrer, non, non, tu ne resserre
pas les fesses.
Laure avait claqué les fesses
de sa patiente comme une maman agacée. Elodie intervint.
- Monique tu sais ce que j'ai
dit au docteur, elle est autorisée à te donner la fessée. Ne vous gênez pas, si
cette dame désobéir, je vous l'ai dit n'hésitez pas à sévir.
Sous la menace, instantanément,
les fesses de Madame Dumon se relâchèrent, le thermomètre continuait son chemin
sous la poussée des doigts expert.
- voyez, il faut l'introduire
profondément, non, non, ça ne fait pas mal, cesse ces gamineries.
A nouveau la main avait claqué
les fesses mais cette fois plusieurs fois et plus fortement, Monique ravala ses
plaintes, c'était désagréable mais pas douloureux, c'était surtout très humiliant.
Ça la ramenait encore une fois à l'enfance, une époque lointaine où sa mère était
très attentive à sa santé, au moindre signe, elle se retrouvait à plat ventre sur
son lit, déculottée et le thermomètre planté dans les fesses, elle détestait cela
mais sa mère bien que peu sévère ne transigeait pas et elle avait eu droit à cette
prise de température enfantine jusqu'à ses 16 ans, elle en gardait le souvenir d'une
humiliation, sa mère n'y prêtait aucune attention, loin d'elle l'idée de punition,
mais c'était un peu comme ça que Monique le ressentait. Aujourd'hui elle avait presque
50 ans et elle sentait le thermomètre violer son intimité qui plus est sous le regard
intéressé de sa fille. L'instrument avait presque disparu entre les fesses, Elodie
observait, elle n'aurait jamais pensé que l'on puisse l'introduire si profondément.
Le Dr Durupt maintenait toujours les deux fesses écartées.
- vous voyez ce n'est pas
sorcier, il ne faut surtout pas avoir peur de l'introduire complètement, voilà,
il est en place, je relâche les fesses, il ne doit dépasser de la raie fessière
que de à peine un demi-centimètre, de cette façon vous pouvez cesser de le maintenir, il ne risque
pas de sortir et vous lui laissez environ 10 minutes, oui, oui, ça peut paraître
long mais j'ai constaté que la prise de température est plus fiable si on dépasse
largement les 5 minutes.
Elle tapota à nouveau les
fesses de Monique.
- c'est bien, tu as été sage,
tu te détends et surtout tu ne me fais pas ressortir ce thermomètre, sinon gare.
Allons nous asseoir, je vais vous faire les prescriptions.
Elle avait dit tout cela d'un
air enjoué, comme s’il était normal de laisser Monique allongée fesses à l'air avec
un thermomètre planté profondément au milieu et d'aller discuter avec sa nouvelle
maman.
- ça fait longtemps que vous
avez pris en charge Monique ?
- depuis 3 semaines, il y
avait du travail, mais je crois que nous sommes sur la bonne voie.
- c'est ce que je vois, remarquez,
je connais Monique depuis longtemps et c'est vrai que son comportement parfois pouvait
être un peu puéril, je ne pensais pas que la fessée pouvait avoir un tel impact.
Et son âge, ça ne vous pose pas de problème ?
Elodie sentait un intérêt
évident pour le pan-pan-cucul chez le Dr Durupt, elle la regarda droit dans les
yeux avec ce regard sévère qui impressionnait tant.
- oh, vous savez je me suis
rendu compte qu'il n'y a pas d'âge pour la fessée, au contraire je pense qu'elle
est d'autant plus utile que la dame ou le monsieur qui la reçoit est plus âgé, à
la douleur s'ajoute l'humiliation de présenter ses fesses dénudées c'est donc beaucoup
plus efficace.
Pendant toute cette phrase,
elle n'avait pas quitté des yeux Laure Durupt. Celle-ci avait un peu rougi et avait
finalement baissé les yeux. Décidément cette petite était surprenante, elle s'était
presque sentie en faute, quand elle se leva pour aller retirer le thermomètre des
fesses de Monique, elle sentit le regard insistant d'Elodie centré sur sa croupe.
Elle était à la fois troublée et attirée par cette jeune femme sévère. Pendant que
Monique se rhabillait elle continua la conversation comme si de rien n'était.
- je trouve que Monique est
un peu ballonnée. Il faudrait peut-être lui donner un lavement, c'est un vieux traitement
mais je le trouve très efficace.
- si vous le pensez, mais
alors là, je n'y connais rien.
- la pharmacie que je vous
ai indiquée est très au point sur cette question, Madame Duriez la pharmacienne
est de l'ancienne génération, elle connaît toutes ces vieilles techniques, elle
vous donnera de très bon conseils.
Monique avait écouté la conversation,
elle se doutait que la suite ne serait pas à son avantage.
Dès qu'elles furent sorties, Elodie se dirigea vers la pharmacie, effectivement la pharmacienne était assez âgée, Elodie lui indiqua qu'elle venait de la part du Dr Durupt et qu'elle désirait un thermomètre traditionnel en verre et un bock à lavement.
Dès qu'elles furent sorties, Elodie se dirigea vers la pharmacie, effectivement la pharmacienne était assez âgée, Elodie lui indiqua qu'elle venait de la part du Dr Durupt et qu'elle désirait un thermomètre traditionnel en verre et un bock à lavement.
- ça ne m'étonne pas que le
Dr Durupt vous ait conseillé ce genre de thermomètre, il n'y a que ceux-là qui sont
fiables, elle vous a indiqué comment l'utiliser ? C'est pour vous ?
- oui, c'est à dire, que je
dois prendre régulièrement la température à Madame.
Madame Duriez jeta un œil
sur Monique, elle esquissa un sourire en voyant la tenue de celle-ci. Elle était
rouge de honte et baissait les yeux.
- bien, donc je vous rappelle
qu'on doit l'introduire profondément et qu'il faut le garder largement dix minutes, c'est
un minimum moi je dirais plutôt un bon un quart d'heure, ce n'est pas très agréable mais au
moins on a un résultat fiable, si je peux vous donner un conseil de maman, quand
vous prenez la température à une dame, il faut mettre un oreiller sous le ventre,
de cette façon les fesses sont bien surélevées et la patiente peut garder le thermomètre
longtemps sans aucun problème.
- merci pour vos conseils,
d'ailleurs il va falloir que vous m'indiquiez la façon de procéder pour un lavement,
le Dr Durupt m'a dit que vous pourriez me donner des conseils.
-c'est aussi pour Madame,
je suppose ? Je vais vous donner un petit livre explicatif sur toutes les techniques
et les positions, c'est très détaillé, c'est un peu ancien et si ça vous intéresse,
il y a même un chapitre sur les lavements punitifs.
Devant l'air interrogateur
d'Elodie, elle ajouta.
- oui, ça ne se pratique plus
de nos jours, mais à la fin du XIXème et jusque dans les années 30, c'était une pratique
assez répandue dans la bonne société pour corriger les grandes jeunes filles ou
les soubrettes négligentes, les maîtresses de maison utilisaient le lavement à visée
punitive, c'était quelques fois en public devant les domestiques et pour être plus
humiliant le lavement était administré par la gouvernante, je vous garantis qu'être
déculottée et soumise à un lavement devant tout le personnel était très efficace
pour faire revenir à la raison de grande jeune fille ou même des plus âgées.
- je vous remercie pour ce
rappel historique, c'est d'un lavement à visée médicale qu'à besoin Madame mais
je me souviendrai de cela en cas de besoin.
Vous vous doutez bien que
la pauvre Monique ne savait plus où se mettre pendant toute cette conversation.
La pharmacienne sortit tout le matériel sur le comptoir avec des canules de différentes
tailles.
- je vous conseille d'essayer
plusieurs canules, vous trouverez celle qui correspond le mieux à l'usage que vous
voulez en faire.
En disant ces mots elle avait
jeté un regard malicieux sur Monique et plus particulièrement sur son derrière.
Elodie sortit de la pharmacie ravie de ses achats, arrivée à la maison elle annonça le programme.
Elodie sortit de la pharmacie ravie de ses achats, arrivée à la maison elle annonça le programme.
- bien demain matin, tu restes
au lit que je vienne te prendre la température ensuite tu auras un lavement comme
le Dr Durupt l'a demandé. Pour ce soir prise de température après le repas.
Monique fit la moue et malheureusement
pour elle Elodie le remarqua. Sans un mot elle sortit son martinet de voyage puis
courba sa mère sous son bras, la jupette fut prestement retroussée, la culotte descendue
sous les fesses et le martinet entra en action.
- je t'ai déjà prévenue plusieurs
fois, je ne supporte pas que tu fasses la tête quand tu cesseras ces gamineries,
j'arrêterai de te déculotter.
Le martinet cinglait les fesses
tendues par la position et Monique trépignait sur place.
- voilà tu as encore gagné
un petit séjour au coin, allez, file et que je ne t'entende plus jusqu'à l'heure
du repas, oui c'est ça, tu tiens bien ta jupe retroussée que je surveille tes fesses
!
Depuis le temps que Monique
avait fait quelques séjours chez Madame Rose et Madame Costa, elle savait ce qu'être
punie au coin voulait dire, il fallait mettre son nez bien contre le mur, ne pas
bouger et bien présenter ses fesses rouges. Depuis ce matin comme ça lui arrivait
souvent depuis qu'Elodie s'occupait de son éducation elle avait passé plus de temps
les fesses à l'air que couverte d'une culotte.
L'après-midi fut plus calme
pour la partie la plus charnue de son anatomie, elle consultait à son cabinet et
sa secrétaire n'était pas au courant du moins pour le moment de ses déculottées
fréquentes. A la fin de la journée sa secrétaire lui annonça que le Dr Durupt souhaitait
lui parler, elle décrocha un peu gênée, se remémorant la matinée où Laure l'avait
vu dans sa condition peu enviable de jeune fille soumise à une stricte discipline
par une maman sévère.
- re bonjour ma chérie, comment
vas-tu ? Je voulais te dire que j'ai trouvé ta fille formidable et dynamique, tu
as de la chance d'avoir trouvé quelqu'un qui s'occupe de toi, je ne te le disais
pas mais c'est vrai que tu te laissais un peu aller, mais dis-moi ce n'est pas trop
dur de se faire déculotter et fesser par sa propre fille ?
Laure parlait sans laisser
à Monique le temps de répondre, de toute façon celle-ci ne savait quoi dire.
- dis-moi, ça c'est bien passé
à la pharmacie, vous avez trouvé le thermomètre et le bock à lavement ?
- oui, oui tout va bien, je
te remercie.
Monique était pressée d'abréger
la conversation mais apparemment Laure y trouvait un plaisir un peu pervers.
- mais dis-moi, tu n'as quand
même pas reçu une autre fessée depuis ce matin ?
- euh, non, non...
Monique n'avait pas trop envie
de raconter l'épisode de la fessée au martinet, mais son hésitation à répondre entraîna
un rire de son amie.
- oh, le gros mensonge, c'est
du joli si je racontais ça à Elodie, je ne pense pas que tu garderais longtemps
ta culotte ma chérie.
- non, s'il te plaît, non,
ne dit rien à Elodie.
- comme tu veux, mais j'aimerais
bien que tu me racontes quand même.
De plus en plus gênée, Monique
commença à raconter sa punition de la fin de matinée, heureusement pour elle, c'était
quand même plus facile au téléphone qu’en face à face.
- une fessée au martinet ?
Mais ça doit faire mal, non ? Et ensuite elle t'a mis au coin je suppose ?
- euh, oui....
- cul nu et les mains sur
la tête ?
- euh, non...
- comment ça, tu n'étais pas
cul nu au coin ?
- si, si mais je n'avais pas
les mains sur la tête, je devais tenir ma jupe retroussée.
Monique se rendit compte tout
à coup du ridicule de la situation, elle décrivait au téléphone et par le menu sa
pénitence et ça lui paraissait normal. Satisfaite Laure lui souhaita une bonne soirée.
- allez, bisous, mais sois
sage ma chérie, sinon pan-pan-cucul...
Elle avait terminé sa phrase
en riant. Monique savait par expérience que sage ou pas, elle avait de grandes chances
d'avoir à présenter ses fesses à Elodie.
Dès son arrivée, elle s'était
rendue dans sa chambre pour quitter sa tenue de dame et mettre sa jupette et ses
socquettes de jeune fille. Après le repas, Elodie se rendit à la salle de bain et
elle revint avec le thermomètre et le tube de vaseline, Monique regardait la télévision.
- bien, on va profiter de
la soirée pour essayer ce thermomètre, j'ai une idée, tu vas venir sur mes genoux,
ce sera beaucoup plus pratique, j'aurai tes fesses bien à portée et puis je pourrai
bien le surveiller en regardant la télé, allez, mademoiselle en place et vite.
Depuis quelques temps, elle
utilisait ce terme de mademoiselle pour appeler sa mère, ça rendait mieux compte
de la situation pensait elle. Monique, résignée, s'installa sur les cuisses d'Elodie,
son buste et ses jambes reposaient sur le canapé, comme si elle allait lui donner
une fessée, Elodie retroussa la jupe sur les reins et baissa la culotte à mi-cuisse,
elle mit une noisette de vaseline sur l'embout en verre et de sa main gauche, elle
écarta les deux fesses serrées, une claque rapide sur chacune des fesses eurent
vite fait de les détendre, le petit trou secret apparu à la grande honte de Monique,
c'était déjà très humiliant à 15 ans mais à près de 50...
Soudain, elle se remémora
un épisode qui avait eu lieu quand elle était en vacances chez sa grand-mère, un
jour qu'elle se plaignait d'avoir de la fièvre pour éviter de l'aider, celle-ci
avait été cherché un thermomètre, l'avait couchée sur ses genoux et déculottée et
elle lui avait annoncé calmement
- on va voir si tu as de la
fièvre ma chérie, si c'est vrai tu es en bonne position pour le suppo et si tu m'as
menti, tu es également en place pour une bonne fessée,
Elle redoutait sa grande mère
et elle n'avait pas osé protester, et elle avait reçu ce jour-là sa dernière fessée
d'adolescente, ensuite ses fesses étaient restées vierges de fessée jusqu'à ce qu'elle
découvre l'institut de Madame Rose.
Elodie tenait les fesses de
sa mère largement écartées comme l'aurait fait une maman, elle mit une noisette
de vaseline sur le petit trou bien mis en évidence puis elle posa l'embout du thermomètre
et doucement poussa l'instrument qui commença à pénétrer dans l'intimité de Monique,
celle-ci se mit à gémir, lâchant les deux fesses qu'elle tenait écartées, Elodie
distribua quelques claques sur la croupe tendue devant elle.
- ah, non, tu cesses ces gamineries,
je sais très bien que cela ne te fait pas mal, mais si tu préfères une fessée, ma
main est à ta disposition.
Immédiatement, Monique relâcha
ses muscles fessiers et se laissa faire sans dire un mot. Le thermomètre était maintenant
en place, il ne dépassait quasiment plus quand Elodie relâcha les globes jumeaux.
Elle les tapota.
- c'est bien, tu as été sage,
tu vas me le garder un moment puisque tu es confortablement installée, disons jusqu'à
la fin de l'émission.
C'est ainsi que Monique inaugura
une nouvelle forme de pénitence, le thermomètre planté dans les fesses allongée
sur les genoux de sa fille, celle-ci trouvant la chose amusante allait souvent remplacer
le coin par cet autre forme de punition humiliante. Après environ quarante minutes où Monique
n'avait pas pu bouger, exposant largement ses fesses à sa fille, celle-ci retira
doucement le thermomètre, tenant à nouveau les fesses bien écartées.
- c'est fini, maintenant tu
vas te mettre en pyjama et au lit, demain matin je viendrai te prendre la température
au lit, tu ne te lèves pas avant.
Monique trouvait que l'heure
du coucher était bien précoce, mais ravie de se mettre au lit sans avoir les fesses
rouges et cuisantes, elle ne dit rien.
Le lendemain matin, dès qu'Elodie
pénétra dans la pièce, elle tira largement les draps.
- allez, vite, mets-toi sur
le ventre, que je te prenne la température.
Comme Monique faisait un peu
la moue, la réplique fusa.
- je te conseille de faire
meilleur figure, je te rappelle que pour te prendre la température je vais te déculotter,
tes fesses seront bien disponibles.
Elle prit un oreiller et le
cala sous le ventre de sa mère pour bien surélever le fessier, la culotte du pyjama
descendue à mi-cuisse, Monique exposait parfaitement ses fesses blanches. La suite
fut classique c'était déjà la troisième fois depuis hier que Monique se faisait
prendre la température comme une gamine, par crainte d'une nouvelle fessée, ses
fesses étant si bien disposées elle essaya de les desserrer au maximum et n'émit
aucun son. Une fois le thermomètre profondément enfoncé, Elodie lui claqua légèrement
les fesses pour lui signifier sa satisfaction.
- bien, tu ne bouges pas,
je vais préparer le petit déjeuner, tu sais que tu as de très jolies fesses, ce
sont peut-être les fessées....
Elle prit tout son temps et
ce n'est qu'au bout d'un quart d'heure qu'elle revint délivrer Monique.
Dès la fin du petit déjeuner,
elle annonça à sa mère que c'était l'heure du lavement, Monique n'avait jamais eu
à subir un tel traitement, elle montra une mine soucieuse, ce qui eut pour effet
de faire rire Elodie.
- tu en fais une tête, ce
n'est pas bien terrible, surtout que maintenant tu as l'habitude que je te prenne
la température, ce n'est pas bien différent.
Elodie avait étudié le petit
livret que lui avait donné la pharmacienne, il y avait de nombreuses positions pour
administrer un lavement, elle décida d'utiliser une position assez simple qui était
recommandée pour les débutantes. Elle amena Monique dans la salle de bain, elle
avait disposé un tabouret sur lequel elle avait posé une serviette épaisse, elle
fit coucher Monique sur la serviette et lui baissa le pantalon du pyjama jusqu'aux
chevilles et elle lui enleva complètement.
- tu vas écarter les jambes
que je voie bien ton petit trou du cul.
Elle avait employé cette expression
pour finir de convaincre Monique qu'elle était vraiment à sa merci. Et c'était vraiment
le cas, la position était très impudique, les fesses rondes bien ouvertes découvraient
la raie fessière et plus bas les lèvres bien épilées. Comme c'était indiqué elle
posa une bonne noisette de vaseline sur l'anus et prit le bock qu'elle avait rempli
d'eau tiède, elle avait choisi une canule de taille moyenne mais qui était beaucoup
plus grosse que le thermomètre.
- bon, j'espère que tu vas
être sage et me laisser faire, si jamais tu bouges ou que tu serres les fesses je
te promets une bonne fessée c'est bien compris.
Elle posa la canule et commença
à la pousser pour la faire pénétrer, Monique poussa un petit cri et resserra ses
fesses, calmement sans dire un mot, Elodie retira la canule puis elle saisit Monique
par l'oreille pour la faire se relever, elle prit sa place sur le tabouret et toujours
en tirant sur cette oreille elle la força à se coucher sur ses genoux.
- tu étais pourtant prévenue,
décidément je crois qu'il te faut avoir les fesses rouges pour bien comprendre.
Et les fesses rouges, Monique
les eut rapidement, Elodie avait pris un de ses instruments favoris, la brosse à
cheveux et celle-ci claquait vertement la croupe de Madame Dumon. Jugeant la punition
suffisante elle cessa la fessée.
- bon, j'espère que tu as
compris, tu te remets en position et vite, on ne va tout de même pas y passer la
matinée.
Monique les yeux rougis se
recoucha sur la serviette et tendit à nouveau ses fesses à la canule. Celle-ci pénétra
facilement sous les gémissements de la patiente, quand elle eut disparu complètement,
Elodie ouvrit le robinet du bock et l'eau s'écoula avec un petit gargouillis. Monique
se tortillait mais n'osait pas bouger, elle était au comble de l'humiliation et
ses fesses la brûlaient énormément. Quand le liquide eut complètement disparu dans
le fondement de sa mère, Elodie se recula pour apprécier le spectacle. Des fesses
écarlates bien écartées avec au milieu le tuyau dépassant de la raie fessière.
- tu vois que ce n'était pas
si terrible que ça, ils disent que pour plus d'efficacité tu dois garder le lavement
au moins cinq minutes, je sais ce n'est pas très agréable mais c'est ainsi, tu peux resserrer
les fesses.
- oh, non s'il te plaît, ça
fait trop mal, pardon, pitié....
- mais ma chérie, ce n'est
pas une punition, du moins pas aujourd'hui, la punition c'était la fessée que je
t'ai administrée tout à l'heure, là c'est un traitement, donc tu cesses de pleurnicher.
Monique dut rester avec la
canule plantée au milieu de sa croupe pendant les 5 minutes requises, puis Elodie
lui retira lentement l'instrument. Dès que ce fut fini, elle resserra les fesses
de sa mère.
- tu vas aller aux toilettes,
mais tu me serres bien ces fesses si tu as une petite fuite, tu reviendras faire
un tour sur mes genoux après.
Monique obéit, marchant à
petit pas, les fesses bien serrées sous le regard moqueur d'Elodie.
Heureusement pour son derrière
il n'y eut pas d'accident et Monique put se rendre au travail habillée en dame avec
sous sa jupe une paire de fesses encore cuisantes de la fessée à la brosse.
Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.
Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invitésEt celui-ci comporte un épisode précédent
Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 13
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1
Et il y a une suite...
... la semaine prochaine, c'est assez probable.
Et toujours les commentaires
Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.
Très beau récit, merci
RépondreSupprimerToujours une belle histoire claquante mais avec des variantes et de nouveaux personnages...
RépondreSupprimerMerci gladys, je suis toujours ravie d'avoir des commentaires féminins.
SupprimerSylvie
Oui, toujours de nouvelles découvertes
SupprimerEt ce n'est pas fini, d'autres dames, demoiselles et messieurs vont présenter leurs fesses déculottées pour de nouvelles aventures claquantes
RépondreSupprimerSylvie
Bravo Sylvie ,très beau récit ,fessée, thermomètre ,lavement à quand cette dame de cinquante ans vêtue d'une blouse d'écolière boutons dos plus pratique pour la fessée
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