vendredi 22 mai 2020

L'institut de Madame Rose - chapitre 14

Elodie désormais gérait l'agenda de sa mère, elle s'aperçut que celle-ci avait rendez-vous chez sa gynécologue le lendemain.
- tu es au courant que tu as rdv demain avec le Dr Durupt
- oui, oui c'est à 10h, pas de problème
- c'est bien, je suis libre, je t'accompagnerai.
Monique marqua un moment d'hésitation.
- ce n'est pas la peine, tu sais je peux très bien y aller toute seule.
Elodie la regarda avec cet air sévère dont elle avait le secret depuis qu'elle s'occupait de Monique et qui en général n'annonçait rien de bon pour ses fesses.

- pardon, j'ai mal entendu, Madame fait un caprice.
- non, non, pardon momy, ce n'est pas ce que je voulais dire.
Depuis une semaine qu'elle était passée sous l'autorité d'Elodie, elle était devenue une petite fille modèle et dès qu'elle sentait une menace planer sur ses rondeurs postérieures, elle essayait de désamorcer la menace en utilisant le terme momy pour s'adresser à sa fille. Sans grand succès la plupart du temps. Ce fut le cas encore cette fois-là. Elodie était déjà à côté d'elle et sa main avait saisi son oreille.
- viens un peu là, je sais comment traiter les capricieuses.
Tirée par l'oreille, Monique n'avait pas d'autre solution que de suivre sa fille, elle prit au passage sa brosse à cheveux qui ne quittait plus le salon, puis posant son pied sur le petit tabouret qu'elle réservait à cet usage, elle bascula sa mère sur sa cuisse horizontale, celle-ci commençait à connaître cette position très inconfortable et qui la ramenait inexorablement à un statut de petite fille, ses pieds avaient quitté le sol, elle se cramponnait au tabouret pour garder l'équilibre bien que ce ne soit pas la peine car Elodie était musclée et elle la maintenait sans peine dans cette posture. La courte jupe se relevait d'elle-même, Elodie la retroussa sur les reins pour bien dégager la culotte qui dans cette position rentrait légèrement dans la raie fessière.
- décidément, tu n'as pas encore compris qui décide ici. Et bien puisqu'il faut te le réexpliquer je vais commencer par le début. Quand je te dis quelque chose la seule réponse que je veux entendre, c'est oui momy.
Monique écoutait cette tirade, la tête en bas et les fesses encore culottées bien tendues vers sa nouvelle maman, celle-ci appliqua une dizaine de claques sur le fond de cette culotte puis elle saisit l'élastique et la tira pour mettre à l'air les fesses de sa mère.
- et si tu as l'envie de dire autre chose et bien c'est une fessée déculottée qui t'arrivera, c'est bien compris, oui comme maintenant, la culotte baissée sur mon genoux, puisque tu ne veux pas comprendre ce sont tes fesses qui vont te l'expliquer.
Et joignant le geste à la parole, elle leva la brosse et se mit en devoir d'administrer une rapide fessée à Monique. La brosse à cheveux est un redoutable instrument, en quelques instants les deux fesses ne sont plus que deux belles tomates bien mûres, la position dite "à l'écolière" libérant les jambes permet à la punie une très belle chorégraphie, les fesses s'ouvrent et se referment dévoilant une intimité que toute dame préférerait dissimuler. Dès qu'elle fut remise sur ses pieds, Monique rejoignit le coin qui lui était désormais réservé. Elodie l'y laissa 1/4h puis elle la fit venir et se retourner pour lui présenter ses fesses, elle lui enleva complètement la culotte et lui en tendit une autre.
- mets cette culotte à fessée, je l'ai achetée pour toi chez Madame Rose.
Une fois que Monique eut remonté sa nouvelle culotte, elle tira sur les pressions qui maintenait le fond puis glissant sa main entre les cuisses elle dégrafa la dernière pour enlever complètement l'arrière du sous vêtement.
- voilà, comme ça je garde un œil sur tes fesses, on va épingler ta jupe pour bien dégager ton petit derrière. La prochaine fois que tu voudras faire un caprice tu réfléchiras, tu vas passer tout l'après-midi cul nu. Allez, file !
Elle avait accompagné ces dernières paroles d'une bonne claque sur la croupe écarlate.

Le lendemain matin, Monique se préparait dans sa chambre quand Elodie entra
- qu'est-ce que c'est que cette tenue tu ne comptes tout de même pas aller à ton rendez-vous habillée comme ça.
Monique regarda Elodie avec étonnement, elle s'était habillée comme quand elle allait au travail, un tailleur avec jupe juste au-dessus du genou et elle avait remis une culotte un peu plus féminine que celle qu'Elodie lui faisait porter depuis une semaine, mais ça Elodie ne le savait pas encore.
- je t'ai déjà dit que cette tenue c'était pour aller au travail, je ne pense pas que tu y vas ce matin,  alors tu te déshabilles et tu mets ta tenue de jeune fille et vite, j'attends.
Monique pâlit, elle pensa à sa culotte, ce n'était pas celle prévue avec sa tenue de sage jeune fille. Elle enleva son chemisier puis lentement elle dégrafa sa jupe et la fit tomber à ses pieds, elle gardait la tête baissée, attendant la réaction d'Elodie, celle-ci ne se fit pas attendre.
- qu'est-ce que c'est que cette culotte, tu sais très bien que je t'ai interdit de porter autre chose que les culottes en coton que je t'ai acheté, je vais t'apprendre à désobéir, viens ici.
Monique avait rougi, elle se comportait vraiment comme une gamine grondée par sa maman, elle approcha lentement, Elodie s'était assise au bout du lit, elle prit sa mère par la main et la bascula en travers de ses cuisses.
- non, non, pardon momy.
Monique protestait mais elle savait que c'était peine perdue, elle pensa avec horreur qu'elle allait se présenter à sa gynécologue avec une paire de fesses bien rouge, la honte était supérieure à la douleur de la fessée, pourtant Elodie ne ménageait pas ses efforts pour rougir la croupe de Monique, elle était furieuse de cette désobéissance. Elle cessa la fessée.
- ah, je te promets que tu vas le regretter, lèves toi et amène-moi ma brosse à cheveux, elle est sur la table du salon.
La culotte descendue sous les fesses déjà bien rouges, Monique se dirigea vers le salon et elle revint avec l'instrument de sa correction, elle jeta un regard implorant à Elodie, mais celle-ci fut inflexible.
- tu as peur que le Dr Durupt voie tes fesses rouges et bien la punition n'en sera que plus profitable, elle verra comment je traite les petites désobéissantes, allez en position.
Quelques instants plus tard Monique pleurait sous la cuisson de la fessée à la brosse, quand elle eut fini les deux hémisphères rebondis étaient uniformément rouges. Elodie les palpa pour en apprécier la chaleur.
- je t'ai mis une très jolie culotte rouge, tu désobéiras encore ?
- non, pardon, ça brûle, aie, aie...
- c'est normal, c'est fait pour ça la fessée ma chérie, nous avons un peu de temps, tu vas aller faire refroidir ce vilain derrière au coin pendant que je me prépare.
Monique rejoignit le coin de la chambre, il était nouveau pour elle habituellement elle exposait ses fesses rougies au coin dans le salon, elle avait maintenant une grande habitude de ces longs séjours passés le nez collé contre le mur, les mains sur la tête ou croisées dans le dos avec cette cuisson qui embrasait les fesses, le sentiment d'humiliation d'exposer ses fesses nues s'était un peu atténué avec la répétition de ces séances de pénitence. Elle resta un bon quart d'heure au coin, puis Elodie entra dans la chambre, elle sortit de la commode la tenue de Monique y compris la culotte blanche petit bateau.
- tu t'habilles maintenant et tu m'enlèves complètement cette culotte, je ne veux plus la voir sur tes fesses et à la prochaine désobéissance, je te garantis que tu ne goûteras pas seulement à ma brosse à cheveux.
Monique s'exécuta tête basse, elle avait jeté un coup d'œil sur ses fesses dans la glace et leurs couleurs ne laissaient aucun doute sur ce qui était arrivé à leur propriétaire.
- bien, tu es prête, alors on y va.
Comme à son habitude, Elodie avait accompagné, ces derniers mots d'une vigoureuse claque sur la croupe de sa mère.

La secrétaire du Dr Durupt, connaissait Monique, elle marqua un petit étonnement en voyant Madame Dumon habillée comme une jeune fille, mais habituée à la discrétion et au secret médical, elle n'en fit rien paraître et les invita à patienter. Heureusement pour Monique, la salle d'attente était vide. Le Dr Durupt avait le même âge que Monique et elle se connaissait bien, c'était une petite femme brune, énergique. Son penchant pour les relations saphiques était connu dans le milieu médical.
Elle ouvrit la porte et reconnu immédiatement sa consœur, Elodie se leva en même temps que sa mère et serra énergiquement la main de la gynécologue
- bonjour, je suis Elodie, la fille de Madame Dumon, je l'accompagne, ça ne vous dérange pas.
Un peu surprise, Laure Durupt acquiesça et c'est à ce moment-là qu'elle découvrit la tenue de Monique. Elle sourit légèrement et leur désigna la porte de son bureau. Une fois assise, elle osa une question
- je te demande pardon, Monique, mais que fais-tu habillée comme une gamine, tu veux rajeunir ?
Monique était toute rouge et elle baissa la tête sans répondre, ce fut Elodie qui prit la parole.
- c'est moi qui lui ai demandé de s'habiller comme cela, quand on a un comportement de gamine, il faut porter des vêtements adapté à son âge.
Le Dr Durupt écoutait bouche bée cette jeune femme décliner les principes éducatifs qu'elle appliquait à sa mère et surtout leurs nécessités absolues en raison des graves manquements relevés dans le comportement de celle-ci.
- bien, bien, si vous y trouvez chacune votre compte.
En fait, Monique n'avait rien dit, mais Laure Durupt considérait comme acquis son consentement. Elle commença l'interrogatoire médical et elle demanda à Monique si elle lui avait amené les résultats de sa prise de sang. Monique rougit et expliqua qu'elle n'avait pas eu le temps de la faire.
- ce n'est pas bien, je devrais te gronder.
Dit-elle en riant. Elodie regarda sa mère d'un air sévère.
- moi, je ne vais pas me contenter de la gronder.
Elle avait pris le bras de sa mère et elle l'avait forcée à se lever puis continuant la traction elle l'avait couchée sur ses genoux. La suite allait de soi, la jupe fut retroussée prestement, la culotte descendit sur les cuisses. Laure Durupt eut le temps d'apercevoir la couleur rouge des fesses de son amie avant que ne débute une courte mais vigoureuse fessée.
- je t'ai pourtant prévenue que je ne tolérerai plus tes oublis maintenant c'est terminé à chaque fois que tu ne feras pas ce qu'on te demande tu recevras une fessée déculottée.
Le Dr Durupt regardait fascinée le spectacle, une jeune femme administrant sans aucun état d'âme une fessée déculottée en public à une dame d'une cinquantaine d'années et celle-ci acceptant sans protester ce châtiment habituellement réservé à des gamines. Elle était subjuguée par l'autorité naturelle que dégageait Elodie. Elle s'était essayée à la fessée sur la personne de cette jeune patiente Valérie qui s'était présentée à elle un jour avec des traces d'une vigoureuse fessée et un plug bien calé dans le derrière et il fallait reconnaître qu'elle y avait pris un certain plaisir, d'ailleurs elle avait fait revenir cette patiente et pour un motif futile elle l'avait à nouveau fessée. Mais elle n'avait jamais assisté à l'administration d'une fessée et soudain elle se rendait compte qu'elle y prenait du plaisir, s'imaginait elle donner la fessée ou la recevoir c'était un peu un mystère pour elle. Pendant ce temps Elodie avait continué à administrer de vigoureuses claques sur la croupe bien exposée puis jugeant la punition suffisante elle remonta la culotte de sa "fille" et la fit se relever et se rasseoir à sa place comme si de rien n'était.
- je m'excuse de vous avoir imposé la fessée de Monique mais je pense qu'il faut que la sanction soit immédiate pour être efficace, je l'emmènerai faire sa prise de sang demain matin et elle vous la rapportera, n'hésitez pas à sévir si vous le jugez nécessaire, vous avez mon autorisation pour donner la fessée à Monique.
Laure Durupt acquiesça avec un petit sourire.
- j'espère ne pas être obligée d'en arriver là, bien en attendant on va faire l'examen, comme d'habitude n'est-ce pas, tu enlèves tout cette fois ci, pas seulement la culotte.
Elle avait fini sa phrase avec un grand sourire. Monique se dirigea vers le lit d'examen et se déshabilla, elle savait que le Dr Durupt exigeait une mise à nu complète, elle quitta donc sa tenue de jeune fille, quand elle descendit sa culotte, elle sentit le regard de sa consœur s'attarder sur son fessier écarlate. Au moment où elle s'installait pour l'examen, elle sentit la main de Laure toucher ses fesses.
- c'est bien rouge, dis-moi, ça doit cuire sérieusement?
Monique ne répondit pas et elle commença à s'installer, Elodie l'arrêta
- quand on est polie, on répond, le docteur t'a posé une question, tu as envie de revenir sur mes genoux ?
- non, non, pardon Madame, oui ça brûle beaucoup.
Elle avait appelé Laure, Madame ce qui la fit sourire, Monique était vraiment une jeune fille face à deux adultes, elle s'était arrêtée au moment de prendre place sur le lit d'examen et dans cette position elle présentait ses fesses aux deux spectatrices.
- c'est bien, allez, mets-toi en place, tes fesses sont magnifiques, je pense que je n'ai pas fini de les voir.
Ce sous-entendu, perturba un peu plus Monique, Laure prévoyait elle également de la fesser.
L'examen se déroula sans encombre, à la fin, le Dr Durupt s'adressa à sa patiente
- il faudra faire une courbe de température.
C'est Elodie qui répondit
- pour ce qui est des prescriptions, vous vous adressez à moi, vous avez pu constater qu'on ne peut pas faire confiance à Monique. Expliquez-moi la façon de procéder.
- c'est simple, il faut prendre la température rectale au moins une fois par jour, le matin au réveil c'est mieux et surtout utiliser un thermomètre traditionnel en verre, j'y tiens beaucoup, ils sont plus fiables.
- je ne crois pas que l'on ait ça à la maison, vous m'indiquerez ou je peux m'en procurer. Par ailleurs, je n'ai jamais pris la température à une adulte, y a-t-il une technique particulière, vous pourriez peut-être me montrer.
- pas de problème, vous pourrez acheter un thermomètre à la pharmacie juste à côté, ils ont le modèle dont je me sers, pour ce qui est de la mise en place du thermomètre, ce n'est pas très compliqué, mais je vais vous montrer. Monique, mets-toi sur le ventre.
Pendant toute cette conversation, Monique était restée silencieuse, écoutant un peu abasourdie ces deux dames parler d'elle comme si elle n'était pas là. Instruite par la fessée reçue au début de la consultation, elle obéit et se tourna comme lui avait demandé le Dr Durupt, ses fesses étaient encore bien rouges, Laure avait sorti le thermomètre de son étui, elle s'approcha de sa patiente et lui tapota les fesses.
- il va falloir un peu de coopération ma chère, on se détend et on desserre un peu ces petites fesses. Voilà c'est bien, donc c'est simple, vous voyez, j'ai mis un peu de vaseline sur le thermomètre, on écarte les fesses et doucement on le fait pénétrer, non, non, tu ne resserre pas les fesses.
Laure avait claqué les fesses de sa patiente comme une maman agacée. Elodie intervint.
- Monique tu sais ce que j'ai dit au docteur, elle est autorisée à te donner la fessée. Ne vous gênez pas, si cette dame désobéir, je vous l'ai dit n'hésitez pas à sévir.
Sous la menace, instantanément, les fesses de Madame Dumon se relâchèrent, le thermomètre continuait son chemin sous la poussée des doigts expert.
- voyez, il faut l'introduire profondément, non, non, ça ne fait pas mal, cesse ces gamineries.
A nouveau la main avait claqué les fesses mais cette fois plusieurs fois et plus fortement, Monique ravala ses plaintes, c'était désagréable mais pas douloureux, c'était surtout très humiliant. Ça la ramenait encore une fois à l'enfance, une époque lointaine où sa mère était très attentive à sa santé, au moindre signe, elle se retrouvait à plat ventre sur son lit, déculottée et le thermomètre planté dans les fesses, elle détestait cela mais sa mère bien que peu sévère ne transigeait pas et elle avait eu droit à cette prise de température enfantine jusqu'à ses 16 ans, elle en gardait le souvenir d'une humiliation, sa mère n'y prêtait aucune attention, loin d'elle l'idée de punition, mais c'était un peu comme ça que Monique le ressentait. Aujourd'hui elle avait presque 50 ans et elle sentait le thermomètre violer son intimité qui plus est sous le regard intéressé de sa fille. L'instrument avait presque disparu entre les fesses, Elodie observait, elle n'aurait jamais pensé que l'on puisse l'introduire si profondément. Le Dr Durupt maintenait toujours les deux fesses écartées.
- vous voyez ce n'est pas sorcier, il ne faut surtout pas avoir peur de l'introduire complètement, voilà, il est en place, je relâche les fesses, il ne doit dépasser de la raie fessière que de à peine un demi-centimètre, de cette façon vous pouvez cesser de le maintenir, il ne risque pas de sortir et vous lui laissez environ 10 minutes, oui, oui, ça peut paraître long mais j'ai constaté que la prise de température est plus fiable si on dépasse largement les 5 minutes.
Elle tapota à nouveau les fesses de Monique.
- c'est bien, tu as été sage, tu te détends et surtout tu ne me fais pas ressortir ce thermomètre, sinon gare. Allons nous asseoir, je vais vous faire les prescriptions.
Elle avait dit tout cela d'un air enjoué, comme s’il était normal de laisser Monique allongée fesses à l'air avec un thermomètre planté profondément au milieu et d'aller discuter avec sa nouvelle maman.
- ça fait longtemps que vous avez pris en charge Monique ?
- depuis 3 semaines, il y avait du travail, mais je crois que nous sommes sur la bonne voie.
- c'est ce que je vois, remarquez, je connais Monique depuis longtemps et c'est vrai que son comportement parfois pouvait être un peu puéril, je ne pensais pas que la fessée pouvait avoir un tel impact. Et son âge, ça ne vous pose pas de problème ?
Elodie sentait un intérêt évident pour le pan-pan-cucul chez le Dr Durupt, elle la regarda droit dans les yeux avec ce regard sévère qui impressionnait tant.
- oh, vous savez je me suis rendu compte qu'il n'y a pas d'âge pour la fessée, au contraire je pense qu'elle est d'autant plus utile que la dame ou le monsieur qui la reçoit est plus âgé, à la douleur s'ajoute l'humiliation de présenter ses fesses dénudées c'est donc beaucoup plus efficace.
Pendant toute cette phrase, elle n'avait pas quitté des yeux Laure Durupt. Celle-ci avait un peu rougi et avait finalement baissé les yeux. Décidément cette petite était surprenante, elle s'était presque sentie en faute, quand elle se leva pour aller retirer le thermomètre des fesses de Monique, elle sentit le regard insistant d'Elodie centré sur sa croupe. Elle était à la fois troublée et attirée par cette jeune femme sévère. Pendant que Monique se rhabillait elle continua la conversation comme si de rien n'était.
- je trouve que Monique est un peu ballonnée. Il faudrait peut-être lui donner un lavement, c'est un vieux traitement mais je le trouve très efficace.
- si vous le pensez, mais alors là, je n'y connais rien.
- la pharmacie que je vous ai indiquée est très au point sur cette question, Madame Duriez la pharmacienne est de l'ancienne génération, elle connaît toutes ces vieilles techniques, elle vous donnera de très bon conseils.
Monique avait écouté la conversation, elle se doutait que la suite ne serait pas à son avantage.

Dès qu'elles furent sorties, Elodie se dirigea vers la pharmacie, effectivement la pharmacienne était assez âgée, Elodie lui indiqua qu'elle venait de la part du Dr Durupt et qu'elle désirait un thermomètre traditionnel en verre et un bock à lavement.
- ça ne m'étonne pas que le Dr Durupt vous ait conseillé ce genre de thermomètre, il n'y a que ceux-là qui sont fiables, elle vous a indiqué comment l'utiliser ? C'est pour vous ?
- oui, c'est à dire, que je dois prendre régulièrement la température à Madame.
Madame Duriez jeta un œil sur Monique, elle esquissa un sourire en voyant la tenue de celle-ci. Elle était rouge de honte et baissait les yeux.
- bien, donc je vous rappelle qu'on doit l'introduire profondément et qu'il faut le garder largement dix minutes, c'est un minimum moi je dirais plutôt un bon un quart d'heure, ce n'est pas très agréable mais au moins on a un résultat fiable, si je peux vous donner un conseil de maman, quand vous prenez la température à une dame, il faut mettre un oreiller sous le ventre, de cette façon les fesses sont bien surélevées et la patiente peut garder le thermomètre longtemps sans aucun problème.
- merci pour vos conseils, d'ailleurs il va falloir que vous m'indiquiez la façon de procéder pour un lavement, le Dr Durupt m'a dit que vous pourriez me donner des conseils.
-c'est aussi pour Madame, je suppose ? Je vais vous donner un petit livre explicatif sur toutes les techniques et les positions, c'est très détaillé, c'est un peu ancien et si ça vous intéresse, il y a même un chapitre sur les lavements punitifs.
Devant l'air interrogateur d'Elodie, elle ajouta.
- oui, ça ne se pratique plus de nos jours, mais à la fin du XIXème et jusque dans les années 30, c'était une pratique assez répandue dans la bonne société pour corriger les grandes jeunes filles ou les soubrettes négligentes, les maîtresses de maison utilisaient le lavement à visée punitive, c'était quelques fois en public devant les domestiques et pour être plus humiliant le lavement était administré par la gouvernante, je vous garantis qu'être déculottée et soumise à un lavement devant tout le personnel était très efficace pour faire revenir à la raison de grande jeune fille ou même des plus âgées.
- je vous remercie pour ce rappel historique, c'est d'un lavement à visée médicale qu'à besoin Madame mais je me souviendrai de cela en cas de besoin.
Vous vous doutez bien que la pauvre Monique ne savait plus où se mettre pendant toute cette conversation. La pharmacienne sortit tout le matériel sur le comptoir avec des canules de différentes tailles.
- je vous conseille d'essayer plusieurs canules, vous trouverez celle qui correspond le mieux à l'usage que vous voulez en faire.
En disant ces mots elle avait jeté un regard malicieux sur Monique et plus particulièrement sur son derrière.

Elodie sortit de la pharmacie ravie de ses achats, arrivée à la maison elle annonça le programme.
- bien demain matin, tu restes au lit que je vienne te prendre la température ensuite tu auras un lavement comme le Dr Durupt l'a demandé. Pour ce soir prise de température après le repas.
Monique fit la moue et malheureusement pour elle Elodie le remarqua. Sans un mot elle sortit son martinet de voyage puis courba sa mère sous son bras, la jupette fut prestement retroussée, la culotte descendue sous les fesses et le martinet entra en action.
- je t'ai déjà prévenue plusieurs fois, je ne supporte pas que tu fasses la tête quand tu cesseras ces gamineries, j'arrêterai de te déculotter.
Le martinet cinglait les fesses tendues par la position et Monique trépignait sur place.
- voilà tu as encore gagné un petit séjour au coin, allez, file et que je ne t'entende plus jusqu'à l'heure du repas, oui c'est ça, tu tiens bien ta jupe retroussée que je surveille tes fesses !
Depuis le temps que Monique avait fait quelques séjours chez Madame Rose et Madame Costa, elle savait ce qu'être punie au coin voulait dire, il fallait mettre son nez bien contre le mur, ne pas bouger et bien présenter ses fesses rouges. Depuis ce matin comme ça lui arrivait souvent depuis qu'Elodie s'occupait de son éducation elle avait passé plus de temps les fesses à l'air que couverte d'une culotte.

L'après-midi fut plus calme pour la partie la plus charnue de son anatomie, elle consultait à son cabinet et sa secrétaire n'était pas au courant du moins pour le moment de ses déculottées fréquentes. A la fin de la journée sa secrétaire lui annonça que le Dr Durupt souhaitait lui parler, elle décrocha un peu gênée, se remémorant la matinée où Laure l'avait vu dans sa condition peu enviable de jeune fille soumise à une stricte discipline par une maman sévère.
- re bonjour ma chérie, comment vas-tu ? Je voulais te dire que j'ai trouvé ta fille formidable et dynamique, tu as de la chance d'avoir trouvé quelqu'un qui s'occupe de toi, je ne te le disais pas mais c'est vrai que tu te laissais un peu aller, mais dis-moi ce n'est pas trop dur de se faire déculotter et fesser par sa propre fille ?
Laure parlait sans laisser à Monique le temps de répondre, de toute façon celle-ci ne savait quoi dire.
- dis-moi, ça c'est bien passé à la pharmacie, vous avez trouvé le thermomètre et le bock à lavement ?
- oui, oui tout va bien, je te remercie.
Monique était pressée d'abréger la conversation mais apparemment Laure y trouvait un plaisir un peu pervers.
- mais dis-moi, tu n'as quand même pas reçu une autre fessée depuis ce matin ?
- euh, non, non...
Monique n'avait pas trop envie de raconter l'épisode de la fessée au martinet, mais son hésitation à répondre entraîna un rire de son amie.
- oh, le gros mensonge, c'est du joli si je racontais ça à Elodie, je ne pense pas que tu garderais longtemps ta culotte ma chérie.
- non, s'il te plaît, non, ne dit rien à Elodie.
- comme tu veux, mais j'aimerais bien que tu me racontes quand même.
De plus en plus gênée, Monique commença à raconter sa punition de la fin de matinée, heureusement pour elle, c'était quand même plus facile au téléphone qu’en face à face.
- une fessée au martinet ? Mais ça doit faire mal, non ? Et ensuite elle t'a mis au coin je suppose ?
- euh, oui....
- cul nu et les mains sur la tête ?
- euh, non...
- comment ça, tu n'étais pas cul nu au coin ?
- si, si mais je n'avais pas les mains sur la tête, je devais tenir ma jupe retroussée.
Monique se rendit compte tout à coup du ridicule de la situation, elle décrivait au téléphone et par le menu sa pénitence et ça lui paraissait normal. Satisfaite Laure lui souhaita une bonne soirée.
- allez, bisous, mais sois sage ma chérie, sinon pan-pan-cucul...
Elle avait terminé sa phrase en riant. Monique savait par expérience que sage ou pas, elle avait de grandes chances d'avoir à présenter ses fesses à Elodie.

Dès son arrivée, elle s'était rendue dans sa chambre pour quitter sa tenue de dame et mettre sa jupette et ses socquettes de jeune fille. Après le repas, Elodie se rendit à la salle de bain et elle revint avec le thermomètre et le tube de vaseline, Monique regardait la télévision.
- bien, on va profiter de la soirée pour essayer ce thermomètre, j'ai une idée, tu vas venir sur mes genoux, ce sera beaucoup plus pratique, j'aurai tes fesses bien à portée et puis je pourrai bien le surveiller en regardant la télé, allez, mademoiselle en place et vite.
Depuis quelques temps, elle utilisait ce terme de mademoiselle pour appeler sa mère, ça rendait mieux compte de la situation pensait elle. Monique, résignée, s'installa sur les cuisses d'Elodie, son buste et ses jambes reposaient  sur le canapé, comme si elle allait lui donner une fessée, Elodie retroussa la jupe sur les reins et baissa la culotte à mi-cuisse, elle mit une noisette de vaseline sur l'embout en verre et de sa main gauche, elle écarta les deux fesses serrées, une claque rapide sur chacune des fesses eurent vite fait de les détendre, le petit trou secret apparu à la grande honte de Monique, c'était déjà très humiliant à 15 ans mais à près de 50...
Soudain, elle se remémora un épisode qui avait eu lieu quand elle était en vacances chez sa grand-mère, un jour qu'elle se plaignait d'avoir de la fièvre pour éviter de l'aider, celle-ci avait été cherché un thermomètre, l'avait couchée sur ses genoux et déculottée et elle lui avait annoncé calmement
- on va voir si tu as de la fièvre ma chérie, si c'est vrai tu es en bonne position pour le suppo et si tu m'as menti, tu es également en place pour une bonne fessée,
Elle redoutait sa grande mère et elle n'avait pas osé protester, et elle avait reçu ce jour-là sa dernière fessée d'adolescente, ensuite ses fesses étaient restées vierges de fessée jusqu'à ce qu'elle découvre l'institut de Madame Rose.
Elodie tenait les fesses de sa mère largement écartées comme l'aurait fait une maman, elle mit une noisette de vaseline sur le petit trou bien mis en évidence puis elle posa l'embout du thermomètre et doucement poussa l'instrument qui commença à pénétrer dans l'intimité de Monique, celle-ci se mit à gémir, lâchant les deux fesses qu'elle tenait écartées, Elodie distribua quelques claques sur la croupe tendue devant elle.
- ah, non, tu cesses ces gamineries, je sais très bien que cela ne te fait pas mal, mais si tu préfères une fessée, ma main est à ta disposition.
Immédiatement, Monique relâcha ses muscles fessiers et se laissa faire sans dire un mot. Le thermomètre était maintenant en place, il ne dépassait quasiment plus quand Elodie relâcha les globes jumeaux. Elle les tapota.
- c'est bien, tu as été sage, tu vas me le garder un moment puisque tu es confortablement installée, disons jusqu'à la fin de l'émission.
C'est ainsi que Monique inaugura une nouvelle forme de pénitence, le thermomètre planté dans les fesses allongée sur les genoux de sa fille, celle-ci trouvant la chose amusante allait souvent remplacer le coin par cet autre forme de punition humiliante. Après environ quarante minutes où Monique n'avait pas pu bouger, exposant largement ses fesses à sa fille, celle-ci retira doucement le thermomètre, tenant à nouveau les fesses bien écartées.
- c'est fini, maintenant tu vas te mettre en pyjama et au lit, demain matin je viendrai te prendre la température au lit, tu ne te lèves pas avant.
Monique trouvait que l'heure du coucher était bien précoce, mais ravie de se mettre au lit sans avoir les fesses rouges et cuisantes, elle ne dit rien.

Le lendemain matin, dès qu'Elodie pénétra dans la pièce, elle tira largement les draps.
- allez, vite, mets-toi sur le ventre, que je te prenne la température.
Comme Monique faisait un peu la moue, la réplique fusa.
- je te conseille de faire meilleur figure, je te rappelle que pour te prendre la température je vais te déculotter, tes fesses seront bien disponibles.
Elle prit un oreiller et le cala sous le ventre de sa mère pour bien surélever le fessier, la culotte du pyjama descendue à mi-cuisse, Monique exposait parfaitement ses fesses blanches. La suite fut classique c'était déjà la troisième fois depuis hier que Monique se faisait prendre la température comme une gamine, par crainte d'une nouvelle fessée, ses fesses étant si bien disposées elle essaya de les desserrer au maximum et n'émit aucun son. Une fois le thermomètre profondément enfoncé, Elodie lui claqua légèrement les fesses pour lui signifier sa satisfaction.
- bien, tu ne bouges pas, je vais préparer le petit déjeuner, tu sais que tu as de très jolies fesses, ce sont peut-être les fessées....
Elle prit tout son temps et ce n'est qu'au bout d'un quart d'heure qu'elle revint délivrer Monique.
Dès la fin du petit déjeuner, elle annonça à sa mère que c'était l'heure du lavement, Monique n'avait jamais eu à subir un tel traitement, elle montra une mine soucieuse, ce qui eut pour effet de faire rire Elodie.
- tu en fais une tête, ce n'est pas bien terrible, surtout que maintenant tu as l'habitude que je te prenne la température, ce n'est pas bien différent.
Elodie avait étudié le petit livret que lui avait donné la pharmacienne, il y avait de nombreuses positions pour administrer un lavement, elle décida d'utiliser une position assez simple qui était recommandée pour les débutantes. Elle amena Monique dans la salle de bain, elle avait disposé un tabouret sur lequel elle avait posé une serviette épaisse, elle fit coucher Monique sur la serviette et lui baissa le pantalon du pyjama jusqu'aux chevilles et elle lui enleva complètement.
- tu vas écarter les jambes que je voie bien ton petit trou du cul.
Elle avait employé cette expression pour finir de convaincre Monique qu'elle était vraiment à sa merci. Et c'était vraiment le cas, la position était très impudique, les fesses rondes bien ouvertes découvraient la raie fessière et plus bas les lèvres bien épilées. Comme c'était indiqué elle posa une bonne noisette de vaseline sur l'anus et prit le bock qu'elle avait rempli d'eau tiède, elle avait choisi une canule de taille moyenne mais qui était beaucoup plus grosse que le thermomètre.
- bon, j'espère que tu vas être sage et me laisser faire, si jamais tu bouges ou que tu serres les fesses je te promets une bonne fessée c'est bien compris.
Elle posa la canule et commença à la pousser pour la faire pénétrer, Monique poussa un petit cri et resserra ses fesses, calmement sans dire un mot, Elodie retira la canule puis elle saisit Monique par l'oreille pour la faire se relever, elle prit sa place sur le tabouret et toujours en tirant sur cette oreille elle la força à se coucher sur ses genoux.
- tu étais pourtant prévenue, décidément je crois qu'il te faut avoir les fesses rouges pour bien comprendre.
Et les fesses rouges, Monique les eut rapidement, Elodie avait pris un de ses instruments favoris, la brosse à cheveux et celle-ci claquait vertement la croupe de Madame Dumon. Jugeant la punition suffisante elle cessa la fessée.
- bon, j'espère que tu as compris, tu te remets en position et vite, on ne va tout de même pas y passer la matinée.
Monique les yeux rougis se recoucha sur la serviette et tendit à nouveau ses fesses à la canule. Celle-ci pénétra facilement sous les gémissements de la patiente, quand elle eut disparu complètement, Elodie ouvrit le robinet du bock et l'eau s'écoula avec un petit gargouillis. Monique se tortillait mais n'osait pas bouger, elle était au comble de l'humiliation et ses fesses la brûlaient énormément. Quand le liquide eut complètement disparu dans le fondement de sa mère, Elodie se recula pour apprécier le spectacle. Des fesses écarlates bien écartées avec au milieu le tuyau dépassant de la raie fessière.
- tu vois que ce n'était pas si terrible que ça, ils disent que pour plus d'efficacité tu dois garder le lavement au moins cinq minutes, je sais ce n'est pas très agréable mais c'est ainsi, tu peux resserrer les fesses.
- oh, non s'il te plaît, ça fait trop mal, pardon, pitié....
- mais ma chérie, ce n'est pas une punition, du moins pas aujourd'hui, la punition c'était la fessée que je t'ai administrée tout à l'heure, là c'est un traitement, donc tu cesses de pleurnicher.
Monique dut rester avec la canule plantée au milieu de sa croupe pendant les 5 minutes requises, puis Elodie lui retira lentement l'instrument. Dès que ce fut fini, elle resserra les fesses de sa mère.
- tu vas aller aux toilettes, mais tu me serres bien ces fesses si tu as une petite fuite, tu reviendras faire un tour sur mes genoux après.
Monique obéit, marchant à petit pas, les fesses bien serrées sous le regard moqueur d'Elodie.
Heureusement pour son derrière il n'y eut pas d'accident et Monique put se rendre au travail habillée en dame avec sous sa jupe une paire de fesses encore cuisantes de la fessée à la brosse.


Sylvie nous a déjà gratifiés de plusieurs récits.

Vous trouverez le premier ici et l'ensemble de ceux-ci sur la page des auteurs invités

Et celui-ci comporte un épisode précédent

Vous pouvez le lire pour savoir ce qui s'est passé auparavant dans l'institut de Madame Rose : chapitre 13
Ou bien tout reprendre au début : Chapitre 1

Et il y a une suite...

... la semaine prochaine, c'est assez probable.

Et toujours les commentaires

Une nouvelle série qui commence, un nouvel épisode publié, cela mérite bien quelques mots d'encouragement... ou le contraire.

6 commentaires:

  1. Toujours une belle histoire claquante mais avec des variantes et de nouveaux personnages...

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    1. Merci gladys, je suis toujours ravie d'avoir des commentaires féminins.
      Sylvie

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    2. Oui, toujours de nouvelles découvertes

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  2. Et ce n'est pas fini, d'autres dames, demoiselles et messieurs vont présenter leurs fesses déculottées pour de nouvelles aventures claquantes
    Sylvie

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  3. Bravo Sylvie ,très beau récit ,fessée, thermomètre ,lavement à quand cette dame de cinquante ans vêtue d'une blouse d'écolière boutons dos plus pratique pour la fessée

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