Madame Lepand fait son apparition une dizaine de
minutes plus tard. Elle ouvre les volets et la fenêtre en grand puis découvre
totalement son pupille.
- Allez direction les waters !
Jérôme ne se fait pas prier. Il file sans se faire
prier pour uriner.
- En voilà un gros pipi déclare Madame Lepand en lui
essuyant la verge.
Elle lui remonte la culotte de pyjama et direction la
cuisine pour prendre le petit déjeuner. Une bonne odeur de café flotte dans la
pièce. A son grand désespoir, c'est un chocolat chaud qui lui est servi.
- Ma tante s'il vous plait, pourrait-je avoir un bol
de café plutôt ?
- Tu plaisantes Jérôme ? Les petits garçons ne boivent
pas de café. C'est un excitant.
Il est contraint de se contenter de son lait chocolaté
et des deux tartines à la confiture d'abricot. Elle y ajoute un yaourt nature
et une orange. Tout se passe pour le mieux jusqu'à ce qu'arrive le moment de
manger son orange.
Jérôme n'est pas du tout frugivore. Au contraire il ne
supporte pas de manger des fruits. Tout le temps où il a vécu chez ses parents,
sa mère a dû souvent le punir quand il fallait manger des fruits. Pas de
caprices disait-elle. Hé bien Madame Lepand pense la même chose.
Jérôme s'en doute bien. Il tente de manger cette orange
que sa tutrice vient de lui éplucher. C'est compliqué et très vite apparaissent
les premiers haut-le-cœur.
- Pitié ma tante s'il vous plait. Laissez-moi ne pas
la manger
- Bon les caprices ça suffit ! Ici on mange de tout !
Je te le rappelle.
Elle l'attire contre elle, lui baisse son pantalon de
pyjama et le force à s'agenouiller. D'une main elle lui bouche le nez pour le
forcer à ouvrir la bouche et de l'autre elle lui fait manger de force ses
quartiers d'orange. Entre chaque bouchée pour chaque haut-le-cœur il reçoit une
série de claques sur les fesses et les cuisses à l'aide d'une cuillère en bois.
- Ouvre la bouche. Mâche ! Avale ! Arrête
ton cinéma ! Ce sont les mots qu'il entend.
Cette scène dure une bonne dizaine de minutes. Jérôme
est en larmes. Cela n'émeut guère Madame Lepand. après qu'il ait ingurgité son
fruit, elle cale Jérôme sous son bras et avec son pied elle bloque ceux de
Jérôme. Complètement immobilisé, il reçoit une grêle de coups avec la cuillère
en bois. Il hurle et pleure tandis que Martine Lepand agit avec force et sans
pitié. Elle est bien décidée à lui faire passer l'envie de faire caprices.
Le fessier en feu elle conduit Jérôme au coin
- A genoux et main sur la tête. Tiens-toi droit ! Je
t'interdis de bouger !
Elle coince la veste de pyjama à l'aide d'une pince à
linge et laisse le malheureux Jérôme à sa méditation.
Jérôme reste immobile. Il pleure et renifle. Les
larmes coulent le long de ses joues. Il lui faut un bon moment pour retrouver
ses esprits. Quand il reprend ses esprits, il a d'abord envie de fuir mais il se
dit bien vite qu'il est trop tard. Pourquoi n'y arrive-t-il jamais à manger ces
fruits ? Pourtant il en a pris des raclées à cause de ça. Il avait fini par s’habituer
à les manger mais chassez le naturel et il revient au galop. Son arrière -
train le brûle toujours. Il a mal aux genoux, il a mal aux bras. Cela doit bien
faire une demi-heure qu'il est en pénitence...
Cela ne fait, en fait, qu’une dizaine de minutes. ...
- Tu vas dans ta chambre. Tu refermes la fenêtre et
refais ton lit au carré ! Je te rejoins dans 5 minutes.
Rien à dire, Jérôme a réalisé les travaux qu'il lui
était demandé. Martine Lepand lui retire son pyjama.
- Tu le replies parfaitement et tu le mets sous ton
oreiller.
Une claque sèche sur la cuisse
- Je t'ai dit parfaitement, applique-toi !
Vient ensuite le moment de la douche matinale. Comme il
commence maintenant à en prendre l'habitude, une douche soignée mais vigoureuse
car tante Martine est toujours fâchée. Beaucoup moins patient. Quelques claques
sur les fesses et les cuisses tombent quand il ne réagit pas assez vite aux
injonctions ou s'il ne les anticipe pas, pour se lever, écarter les jambes.
Direction la chambre pour l'habillage et le coiffage.
Un slip, un marcel et une paire de chaussettes propres. Pour le reste ce sont
les mêmes que la veille. A une différence près. Elle lui enfile aussi sa blouse
vichy.
- Ma tante je suis un peu grand pour porter encore une
blouse s'il vous plaît
Jérôme aurait mieux fait de se taire ! Tante Martine
le gifle
- Je viens de t'acheter une nouvelle garde-robe, je ne
tiens pas à ce que tu abîmes tes vêtements. Regarde-moi-même je porte une
blouse à la maison. Estime-toi heureux que je ne t’oblige pas à en mettre pour
l'école. Cela risque d'arriver si tu fais ta mauvaise tête ou si tu n'en prends
pas soin.
Une fois coiffé, il est prêt. Après lui avoir enfilé
ses bottines, direction le studio pour le nettoyer. Muni de tout le matériel
adéquat il monte suivi de sa tutrice qui elle s'est dotée du martinet.
Madame Lepand a déjà bien avancé le travail. Elle a
débarrassé les lieux de tous les habits qu'elle a déjà jetés visiblement. Elle
a aussi redescendu les affaires scolaires.
- Tu jettes dans ces sacs poubelle tous les détritus.
Tu mets dans ce panier toutes les bouteilles et ensuite tu descends le tout au
local poubelles et pour les bouteilles au container situé en face l'immeuble.
Alors qu'il fait ses aller-retours avec ses nombreux
déchets, il découvre lorsqu' il remonte Martine Lepand en grande discussion
avec sa voisine Madame Chopin. Il a croisé plusieurs fois cette dame qui vit
avec sa fille.
Cette dernière félicite Madame Lepand pour son
dévouement à s'occuper de ce jeune voisin pas très estimable à la base. La
conversation tourne autour de l'éducation actuelle. Elles partagent la même
vision des choses.
- Dis bonjour à Madame Chopin et commences par me
récurer la salle de bain et fais-en sorte que cela soit impeccable.
- Bien ma tante. Bonjour Madame Chopin
- Bonjour mon garçon ! Quel changement ! s'exclame la
voisine.
Jérôme se rend directement à la salle de bain. Il
remplit le seau d'eau chaude, il y verse de la lessive Saint Marc, mais il ne démarre
pas son travail. Il tente de suivre la conversation des deux femmes.
Depuis le palier, Madame Lepand peut voir un peu la
salle de bain grâce au miroir placé dans l'entrée. Bien entendu elle remarque
le petit manège de son pupille. Elle s'approche rapidement et lui assène
sèchement trois cinglées de martinet sur les mollets. Elle l'attrape par
l'oreille et l'amène rapidement sur le palier. Jérôme n'a pas le temps de
comprendre ce qui lui arrive. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire,
elle lui déboutonne sa culotte courte, lui descend et le baisse son slip. Plaqué
contre le mur, Madame Lepand lui applique une bonne vingtaine de cinglées. Une
correction courte mais administrée avec dextérité et fermeté.
Jérôme subit sa correction sans contester. Il ne
cherche pas à se soustraire à cette déculottée même si elle est donnée devant
cette voisine. Sa seule réaction est de danser d'un pied sur l'autre à chaque coup,
de crier et déjà de pleurer.
Madame Lepand retourne maintenant Jérôme en le tirant
de nouveau par l'oreille.
- J'ose espérer que cette mise en garde sera
suffisante pour t'apprendre à ne pas écouter aux portes et obéir aux consignes dès
qu'elles te sont données.
La douleur lui arrache une grimace. Il s'aperçoit
qu'en plus de Madame Chopin, sa fille a assisté à son châtiment. Surement attirée
par ses cris. Une fois rhabillé par sa tante adoptive, il retourne à son
travail sans se faire prier.
Le studio est maintenant parfaitement propre. Cette
besogne lui aura pris toute la matinée. Retour chez Madame Lepand, dans ce
grand appartement, où il vit dorénavant. Martine Lepand lui retire ses bottines
et lui mets ses pantoufles puis le conduit aux toilettes. Jérôme fait la grosse
commission et sa tante l'essuie.
- Heureusement que j'avais préparé le déjeuner hier.
Surtout que Madame Chopin et sa fille viendront prendre le café cette après-midi.
Mets la table pendant que je mets à chauffer notre repas...
- Oui ma tante.
- Bon tu as terminé ? Viens que je te lave les mains
le repas va être prêt.
- Oui ma tante
Jérôme se montre très discipliné. Il ne tient pas à
déclencher la foudre et puis il est maintenant persuadé que Madame Lepand agit
pour son bien. De toute façon il n'a pas d'autre choix.
Le repas se déroule admirablement. Ce n'est pas facile
pour lui. Il lui faut déguster entièrement la langue de bœuf qui lui est
servie. Il y parvient au prix d'un gros effort. Heureusement cette dernière est
accompagnée de pommes de terre. il craint en revanche pour le dessert. Il
regarde du coin de l'œil la corbeille de fruits placée sur le buffet. A n'en
pas douter, sa tutrice va lui en présenter un pour conclure le repas. Il sait
que cela va lui couter de devoir en manger. Madame Lepand est inflexible il
doit manger de tout et tout manger. Ce n'est déjà pas évident avec cette
horrible langue qu'il se force d'avaler...
Fort heureusement, c'est une crème dessert au chocolat
qui lui est proposé en dessert. Il est ravi. Après avoir aidé au débarrassage
et remise en ordre de la cuisine, passage par les WC puis il doit se brosser
les dents. Madame Lepand lui passe un coup de gant de toilette sur le visage et
lui demande de réviser ses leçons dans la cuisine pendant qu'elle prépare un
gâteau pour la visite de l'après-midi.
Lorsque la sonnette retentie, Jérôme a une
appréhension. Il va devoir affronter le regard et en quelque sorte le jugement
de la voisine et de sa fille.
- Jérôme, viens-ici, tiens-toi droit et sois poli !
Martine Lepand ouvre la porte et reçoit ses invités.
- Ah ravie de vous accueillir Béatrice, bienvenue
mademoiselle. Entrez, venez dans le salon.
- Merci de votre invitation Martine.
- Merci Madame ajoute la jeune fille en lui faisant la
révérence.
Arrivées dans le salon Madame Lepand fait les
présentations
- Voici donc mon pupille Jérôme
- Bonjour jeune homme. Te voici dans une meilleure
posture que ce matin. Mais quel âge a-t-il au juste ?
- Bonjour Madame, répond honteusement Jérôme tandis
que tante Martine précise qu'il a 24 ans
- 24 ans ! On lui donne facilement 10 ans de moins.
c'est parfait vu son comportement qui est digne d'un gamin depuis qu'il habite
dans l'immeuble. Vraiment vous avez bien fait de prendre son éducation en main
Martine !
- Voici ma fille Marie-Camille. Elle à 17 ans bientôt
18 et passera son Baccalauréat en juin.
La jeune fille paraît elle aussi bien plus jeune. Elle
est vêtue d'une jupe plissée grise d'un chandail bleu marine et d'un chemisier
vert pomme. Elle porte elle aussi une blouse identique à celle de Jérôme sauf
que la sienne est rose. A ses pieds, des petites socquettes blanches et des
chaussures ballerines ouvertes noires. Sa coiffure est également très
enfantine. Sa maman lui a fait deux tresses de chaque côté de la tête.
Les deux jeunes se saluent timidement quand Madame Lepand
apparaît avec des raquettes de badminton et un volant.
- Allez jouer dans la cour les enfants pour profiter
de ce beau soleil ! Hors de question de rester à ne rien faire c'est compris ?
- Oui ma tante !
- Oui Madame !
Madame Lepand chausse son pupille de ses mocassins et
leur ouvre la porte.
Pendant que ces dames prennent le café, les 2 grands
enfants se retrouvent à jouer dans la cour de l'immeuble.
La première demi-heure se déroule de manière bon
enfant. Mais le temps faisant Marie-Camille ne peut s'empêcher de charrier
Jérôme sur sa fessée matinale.
- Tu faisais moins le malin ce matin avec tes fesses à
l'air. Il avait reçu une grosse fessée le vilain, etc.
Jérôme serre les poings et les dents. Il ne veut pas
se montrer désagréable ou agressif car si sa tutrice s'en aperçoit il passera
un mauvais quart d'heure. Ce manque de réaction donne de l'assurance à la
gamine qui se montre de plus en plus bavarde et bruyante. Alertée par le bruit,
sa mère et Madame Lepand arrivent dans la cour. Munie de son martinet, sa mère
se dirige vers sa fille d'un pas décidé.
- Petite peste, je vais t'apprendre à te moquer de tes
petits camarades.
Elle l'attrape par le bras et l'entraîne vers le banc
situé dans la cour. En lui appuyant sur le dos, elle la force à se courber et à
poser ses mains à plat sur le banc. Elle lui relève la jupe sur la tête et lui
baisse la culotte.
Jérôme à peur d'être lui aussi châtié. Quand Martine Lepand
s'approche il se protège en suppliant et en disant qu'il n'a rien fait.
- Je le sais bien mon grand. Mais Marie-Camille va se
repentir de t'avoir embêté. On doit toujours respecter ses camarades.
Visiblement Béatrice Chopin est une experte en
correction, elle aussi. La sanction est sévère. Les fesses et les cuisses sont
couvertes de zébrures. Marie-Camille sanglote, crie, suffoque. Les coups de
martinet s’enchaînent sans lui laisser le temps de souffler entre deux. Sa
maman alterne droite et gauche. Intérieur et extérieur des cuisses. Marie-Camille
connait les règles. Elle ne serre ni ses jambes ni ses fesses et se contente de
subir le châtiment qu'elle a mérité.
Outre Jérôme et Martine Lepand, quatre autres témoins
assistent à la scène. En effet la famille voisine de Madame Lepand, les
Parraud, rentre de promenade. Le père, la mère et les deux petites filles âgées
de 8 et 6 ans.
Leur maman en profite pour faire la morale à ses
filles en leurs disant « voici ce qui arrive aux petites filles méchantes
et qu'elles doivent donc être sages ».
Tout l'immeuble assiste à sa punition, ce qui ajoute l’humiliation
de la jeune fille, surtout quand sa maman l'envoie au piquet, dans un coin de
la cour. Nez collé au mur et la jupe relevée. Que tout le monde puisse
constater ce qui arrive aux petites chipies. Avant cela elle doit présenter ses
excuses à Jérôme.
Le reste des habitants eux se retrouve autour du
gâteau de Madame Lepand et d'un verre de jus de pomme. Jérôme lui n'est pas
invité à la table des adultes. Il doit prendre son goûter avec les deux gamines
sur le banc. Il se retrouve même à jouer à l'élastique avec elles. Le pire pour
lui, c'est qu'en son for intérieur, il avoue s'amuser.
A table on apprend que les Parraud ont vendu leur
appartement et qu'une nouvelle famille viendra bientôt rejoindre l'immeuble.
Au bout d'une heure tout le monde regagne son chez-soi.
- Allez sors de ton coin commande Madame Chopin et
remonte à la maison c'est l'heure du bain. Pas besoin de remonter ta culotte et
laisse ta jupe relevée. Ce soir c'est au lit sans dîner.
Tout le monde regagne son appartement. Jérôme passe
aux toilettes, la douche puis sa tutrice le met en pyjama. Après le repas il
est autorisé à regarder le journal télévisé, car il termine plutôt.
Il doit s'assoir par terre devant le canapé tandis que
Madame Lepand est assise dans le canapé.
A la fin de l'émission, pipi, brossage des dents puis au lit avec la
même tendresse que la veille.
- Il faut dormir maintenant. Demain il y' a école et
j'ai rendez-vous avec ta directrice
Jérôme a bien du mal à s'endormir en pensant à la honte
qui l'attend le lendemain.
Vous n'avez pas lu ce qui a précédé ?
Une suite à cet épisode ?
Elle va venir, la semaine prochaine.
Allons-y pour les commentaires
Alors ? Qu'en pensez-vous ? Les commentaires, les appréciations, les critiques, les propositions, les encouragements... sont tous bienvenus.
Vous voulez les lui adresser directement ? Pas de problème ! Voici son adresse courriel : Jonas
Dans tous les cas, il vous répondra.
La suite est attendue ou pas ?
RépondreSupprimeroui j'attends la suite de sa fessée
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