samedi 2 mai 2020

Madame Caroni - chapitre 44

Quand la règle entra en action, Marlène se débattit assez fortement pour libérer sa main que Madame Farette tenait sous son ventre. Elle en protégea son postérieur, ce qui finit d’exaspérer sa cheffe d’atelier. Sa main fut replacée sous son ventre et Madame Farette referma plus fermement sa poigne sur le bras.
« Petite peste désobéissante ! Je t’avais interdit de mettre ta main en protection. Si je te donne une fessée, c’est que tu en as besoin ! Pour ta peine, tu vas passer le reste de l’après-midi au coin et tu auras une deuxième fessée ce soir avant de rentrer chez toi. Tu peux me croire, elle va être sérieuse. »
Cette désobéissance flagrante donna un nouvel élan à Madame Farette qui redoubla d’effort pour administrer une fessée magistrale à Marlène qui ruait sur le genou de sa correctrice, qui se débattait, qui remuait tant qu’elle pouvait, mais elle retombait toujours au même endroit, là où la règle l’attendait une nouvelle fois.
La fessée perdurant, elle se débattait beaucoup moins, mais elle ne pouvait maîtriser les mouvements brusques que déclenchait la règle quand elle marquait les fesses. Ce relatif assagissement contentait Madame Farette. Marlène acceptait enfin la correction bien qu’elle fut très rude.
Madame Farette savait bien qu’avec la conviction qu’elle mettait dans l’administration de la fessée, Marlène ne pouvait rester impassible sous l’avalanche de coups de règle qu’elle subissait. Au contraire, les gesticulations de la jeune femme montraient que la fessée atteignait les buts que Madame Farette lu avait fixés. C’était donc exactement ce qu’il fallait, du moment que Marlène n’essayât pas de s’échapper.
Madame Farette fit une pause. Ce n’était pas pour que la règle puisse se reposer.
« Vas-tu aller sagement te mettre au coin, là où Maïlis et Arthur ont passé du temps cet après-midi ?
– Laissez-moi, s'il vous plait, je ne peux plus…
– Je vois que cette fessée ne t’a pas encore appris à obéir sans discuter. C’est sans doute que tes fesses ne sont pas encore assez cuisantes ! Je vais rectifier cela !
– Non, cria Marlène, mais il était trop tard ! »
A l’interruption suivante, la cheffe d’atelier obtint la réponse qu’elle souhaitait entendre.
« Oui Madame, je vais y aller, tout de suite, tout de suite !
– Non, ce ne sera pas tout de suite. Seulement quand je te le dirai. »
Les fesses étaient totalement couvertes de marques rectangulaires rouges quand Madame Farette posa son instrument punitif. Elle en était très satisfaite. Il permettait d’infliger de formidables corrections, ce qui serait tout bénéfice pour les prochaines punitions. Marlène, à l’avenir, saurait quelles sont les conséquences d’un refus de recevoir la fessée. Il était assez probable que, vu le risque que cela représentait, elle préférerait se soumettre à la punition du premier coup. Cela épargnerait du temps et de l’énergie à tout le monde. Cette sévérité était donc bien utile.
Marlène restait allongée sur la cuisse de Madame Farette, bien que celle-ci ne la tenait plus. Ses deux jambes pendaient de chaque côté du genou de la cheffe d’atelier. Elle ne bougeait plus du tout depuis qu’elle avait caché son visage dans les plis de la robe de Madame Farette, qui absorbait ses larmes.
Malgré ses fesses nues qui étaient à la vue de tous ses collègues, malgré l’envie furieuse de les frotter, malgré la position qui permettait à Madame Farette de reprendre la fessée quand elle le souhaitait, Marlène attendait que sa cheffe prenne l’initiative de la suite.
Madame Farette n’était pas pressée. Là où elle était, Marlène avait tout le temps de prendre conscience du niveau d’obéissance qui lui était maintenant demandé. Uniquement en restant là, elle apprenait. Elle ne s’en rendait pas forcément compte, mais cela lui semblerait évident quand elle repasserait le film de la séquence dans sa tête.
Madame Farette savait que les témoins de la scène en tiraient aussi de grands bénéfices. Si la forte tête de l’atelier pouvait recevoir une aussi éclatante correction, nul n’était à l’abri. Et puis, personne n’était vraiment fâché que la langue de vipère de Marlène l’ait conduite allongée sur le genou de sa cheffe, la culotte baissée. C’était un retournement de situation où l’on pouvait voir une certaine justice, ce qui était assez satisfaisant.
Chacun cherchait dans sa mémoire les négligences qu’il avait commises ces derniers jours en comptant les fessées que cela lui aurait valu. Certains arrivaient à un décompte tellement important que leurs fesses chauffaient déjà à la perspective de ce qui leur pendait au nez dans les jours à venir. Il y eut de nombreuses grimaces, quelques soupirs, mais pas une protestation. Elle mènerait le récalcitrant à la place qu’occupait Marlène et personne ne tenait à l’expérimenter. Ce n’était pourtant qu’une question de temps mais chacun préférait retarder l’échéance.
Trois ou quatre petites tapes sur les fesses.
« Va te mettre au coin ! J’espère que tu as bien regardé comment ont fait tes camarades avant toi. Tu fais exactement comme eux ! »

Personne ne quitta son travail en avance. Pas même d’une minute. Madame Farette exigea de voir ce que chacun avait produit dans la journée avant qu’il soit autorisé à rentrer chez lui. Plusieurs d’entre eux se firent gronder et durent promettre de s’améliorer dès le lendemain. Deux garçons reçurent une claque sur les fesses. Madame Farette leur promit une fessée si, le lendemain, ils ne s’appliquaient pas mieux qu’aujourd’hui.
« Maïlis et Arthur, vous me suivez ! »
Ils passèrent tout près de Marlène qui n’avait pas quitté le coin depuis sa fessée. Elle était sur le chemin du bureau. Ses fesses avaient perdu leur couleur vive, mais elles étaient encore bien rouges. Chaque employé avait dû passer derrière elle, tableau vivant de ce qui leur arriverait quand Madame Farette ne serait pas satisfaite d’eux. C’était un rappel salutaire.
Madame Farette prit place sur la chaise qui n’avait pas bougé de place depuis que Maïlis avait été corrigée.
« Commençons par les fessées ! »
Tiré par la main, Arthur approcha. Il ouvrait de grands yeux affolés. Madame Farette défit son pantalon, sans se presser, sans tenir Arthur. Elle s’attendait à ce qu’il la laissât faire. Il n’esquissa pas un geste pour s’opposer à son déculottage. A défaut de lui paraître normal, c’était dans l’ordre des choses. Il avait compris qu’il n’y pouvait rien. Il fallait en passer par là. Il savait ce qui l’attendait et cela n’avait rien de réjouissant.
Arthur regarda autour de lui quand Madame Farette fit descendre sa culotte. Qui pouvait le voir en aussi délicate tenue ? Bien entendu, les yeux de Maïlis étaient fixés sur son entrejambe. C’était une sensation inconnue. Rien à voir avec ce à quoi il rêvait quand il se voyait nu en présence d’une jeune fille. Le sentiment de puissance qu’il aurait dû ressentir était totalement absent. Il éprouvait plutôt de la vulnérabilité à avoir ses organes génitaux exposés devant ces deux femmes. Il plaça ses deux mains devant son sexe. Ce n’était pas autorisé. Une claque sur les mains vint le lui signifier.
« Cessez cette comédie, Arthur ! Il faudra que vous vous habituiez à montrer vos fesses nues. Cela arrivera certainement d’autres fois. Je ne veux pas de réaction de pudeur outragée. Il fallait y penser avant de faire la bêtise qui vous vaut cette fessée ! »
Une deuxième claque sur les mains, plus sérieuse vint confirmer les dires de Madame Farette.
« Enlevez vos mains ! Que voulez-vous cacher que nous n’ayons déjà vu ? Votre zizi n’a rien de remarquable. Il est fait comme celui de tous les grands garçons à qui je donnerai la fessée. Inutile de le cacher. »
Une troisième claque sur les mains ne fut toujours pas suffisante pour mettre fin à cette manifestation de pudibonderie déplacée.
« Faut-il que je vous donne une autre fessée puisque vous refusez de m’obéir ? »
La promesse d’une prochaine correction, c’était du sérieux. Arthur ferma les yeux et il enleva ses mains, ne sachant plus trop quoi en faire.
Son pénis dont il était si fier, n’était plus l’objet de sa domination sur la gent féminine, comme quand il s’apprêtait à prendre une femme. Il en faisait alors le centre de l’attention. Là, seule Maïlis y accordait un peu d’importance, mais ce n’était qu’une curiosité anatomique qui n’avait pas de rapport avec un acte sexuel en préparation. Madame Farette était totalement indifférente bien que le sexe d’Arthur fût à la hauteur de ses yeux et à portée de sa main.
« Arthur, donnez-moi donc la règle qui est sur le bureau, nous allons en avoir usage. »
Tout était confus dans la tête d’Arthur. Il se tourna vers le bureau et put dissimuler, au moins pour quelques secondes ses attributs sexuels, mais c’était pour s’enquérir de la règle et il savait ce à quoi Madame Farette envisageait de l’utiliser et il fallut revenir dans sa position initiale où il exhibait son sexe toujours de la même façon.
Il avait honte. Honte d’avoir eu la culotte baissée, honte que son intimité soit dévoilée publiquement, honte d’être nu en présence de ses deux collègues habillées, honte que Madame Farette en soit arrivée à devoir lui donner une fessée, honte de l’avoir méritée. Des larmes lui remplirent les yeux.
Madame Farette ne prolongea pas plus longtemps ce moment d’attente qui avait paru interminable à Arthur. Elle écarta ses jambes pour ménager une large plateforme sur laquelle elle coucha son employé.
« Oh non, s'il vous plait ! Je… »
Le premier coup de règle interrompit sa phrase qu’il n’eut jamais le loisir de finir. La brûlure fut immédiate. Elle réveilla le souvenir de la précédente correction qu’il avait reçue avec une règle. Elle n’était pas bien ancienne, mais Arthur s’aperçut qu’il en avait oublié la rudesse ou alors c’était que cette deuxième était bien plus sévère, il n’en savait rien et ce n’était pas sa préoccupation. Jamais il ne pourrait subir plus longtemps quelque chose d’aussi douloureux. Personne n’en était capable.
La deuxième fois que Madame Farette frappa ses fesses avec la règle, déclencha sa réaction sans qu’il puisse la contrôler. Il prit appui sur les genoux de sa cheffe et commença à se relever. Il ne pouvait rester là.
Madame Farette fit glisser l’une des mains qui s’appuyait sur son genou et elle pesa de tout son poids sur le dos d’Arthur. Ayant perdu ses appui et déséquilibrée, Arthur retomba à plat ventre, mettant fin à sa tentative. Un coup de règle sur les fesses vint sanctionner ce début de fuite.
« C’est la dernière fois que tu fais cela, Arthur ! Je ne le redirai pas une autre fois. Quand je te donne une fessée, c’est parce que tu en as besoin. Tu dois donc me laisser faire, même si c’est douloureux. C’est parce que les élancements sur tes fesses seront intolérables que tu vas te souvenir de la bêtise que tu as faite et que tu seras moins tenté de recommencer. »
Elle prit le poignet d’Arthur et replia son bras dans son dos. Elle déclencha alors une grêle de coups de règle sur les fesses du malheureux qui hurla tout au long de l’avalanche qui tombait son postérieur.
« A chaque fois que tu contrarieras la bonne administration d’une fessée, tu en auras une deuxième, encore plus sévère. Pour ce que tu viens de faire, ce sera demain midi. Si tu recommences d’ici la fin de la correction, j’en rajouterai une autre et ainsi de suite. A toi de voir ! »
Madame Farette lâcha le poignet d’Arthur, elle ramena le bras de son subalterne devant lui, puis elle reprit la fessée avec la règle. Afin d’être bien sûre que sa démonstration soit convaincante, elle appuya ses coups aussi fort qu’elle le pouvait.
Arthur avait compris. Il concentrait sa volonté sur son bras pour éviter qu’il ne retourne là où son corps lui criait de faire tout ce qui était possible pour faire cesser la brûlure sur ses fesses. Mais celle-ci, augmentant sous l’action de la règle, requérait toute son attention.  Il en oubliait de contrôler son bras qu’il rattrapa de justesse une fois ou deux. Il plaça sa main dans sa bouche et mordit le gras du pouce, mais à chaque cri, ouvrant grand la bouche, il la relâchait. Il finit par s’agripper au barreau de la chaise et par placer son autre main sur la première, bloquant ainsi toute possibilité de mouvement.
Madame Farette constatait, avec satisfaction, l’effort que faisait Arthur pour respecter ses consignes.
« Voilà un garçon qui prendra en compte le risque de recevoir une fessée. Celle qu’il reçoit devrait lui rester un bon moment présente à l’esprit. Une fessée devant tous ses collègues demain midi, quelques corrections pour lui rafraîchir la mémoire de temps en temps et j’aurai un employé modèle. »
Elle voyait maintenant nettement les changements à mettre en place dans ses méthodes de conduite de son atelier. Cela faisait cinq de ses collaborateurs à qui elle donnait la fessée. Maïlis, ou plutôt sa tutrice, lui avait permis de franchir une nouvelle étape. Les fessées seraient désormais administrées publiquement. Aucune raison de rester discrète.
Elle pourrait désormais traquer toutes les petites négligences, les petits oublis, les manques de motivation, et les sanctionner efficacement. Quatre ou cinq noms vinrent à son esprit. Ceux-là seront sur la liste de ceux auquel elle accorderait son attention dès demain.
« Quel miracle que la fessée ! Je ne sais pas pourquoi j’étais si hésitante à l’employer ! »
Elle en attendait de grands progrès dans la qualité et la quantité de travail qui seraient désormais fournis sous ses ordres. La productivité augmenterait et tout ça au prix de quelques derrières déculottés et rougis. Ce n’était pas cher payé.
Elle examina la couleur des fesses et s’en trouva satisfaite. Elle n’aurait plus de problème pour donner une fessée à Arthur. Il fallait obtenir maintenant la même chose avec Marlène.
« Vas-tu sagement te mettre au coin pendant que je donne la fessée à Marlène ?
– Oh oui Madame !
– Alors dépêche-toi d’y aller ! »
Arthur se précipita vers le coin de la pièce que Madame Farette montrait d doigt. Son sexe qui se balançait entre ses jambes sous le regard de Maïlis était maintenant loin d’être sa principale préoccupation.

« Marlène, c’est à ton tour ! Je t’attends ! »
Marlène était toujours au coin dans l’un des angles de l’atelier, celui que Madame Farette pouvait surveiller depuis son bureau. Elle n’avait pas plus de quatre à cinq mettre à faire pour venir se placer sous la férule de sa cheffe, mais ce fut un long voyage.
Tout d’abord, elle ne réagit pas. Madame Farette dut intervenir.
« Marlène, faut-il que j’aille te chercher ? Mais ce sera avec une fessée ! »
La menace la décida à bouger. Elle fit demi-tour et se trouva face à deux paires d’yeux qui la contemplaient. Elle fit un pas en avant dont l’ampleur fut limitée par sa culotte qui retenait ses genoux. Elle la regarda et sembla prendre conscience de sa nudité. Elle laissa tomber sa robe qui recouvrit ses fesses.
« Non, gronda Madame Farette, il n’en est pas question ! Ta punition n’est pas achevée. Tu ne pourras baisser ta robe que quand je t’y autoriserai. Relève-là ! »
Marlène regardait sa cheffe. Elle paraissait ne pas comprendre ce qui lui était demandé.
« La robe ! Tout de suite ! »
Marlène fit non de la tête, mais quand Madame Farette se leva de sa chaise, elle releva sa robe précipitamment.
« Il était temps ! Que j’aie encore une remarque à te faire d’ici ce soir à propos de ton obéissance et ce sera une autre fessée demain ! Approche ! »
La réticence de Marlène à faire la dizaine de pas qui la séparait encore de sa prochaine fessée, était palpable. Cependant, elle avançait tout en secouant la tête de droite à gauche, comme si elle ne croyait pas ce qui se passait. Elle murmurait entre ses lèvres ;
« Non, non, je ne veux pas, non… non, non, pas ça, non… »
Mais elle continuait à avancer. Elle marqua un nouvel arrêt quand Arthur entra dans son champ de vision, une illustration concrète de ce qui allait lui arriver. Devant les yeux de Madame Farette qui se noircissaient, elle acheva son périple.
« Ce n’est pas trop tôt, commenta sa cheffe en la plaçant à plat ventre en travers de ses genoux. »
Un rapide ajustement de la robe qui était un peu retombée, s’emparer de la règle et tout était prêt.
« As-tu entendu ce que j’ai dit à Arthur à propos de ce que j’attendais quand je punissais un employé ? Pas d’interférence avec la fessée, pas de jeune femme qui essaye de se relever, pas de main pour protéger ses fesses. Tout cela est strictement interdit. Cela te ramènerait sur mes genoux demain. Te voilà prévenue ! »
Marlène n’eut pas vraiment le temps d’intégrer les consignes qui lui étaient données. La règle commença son ballet douloureux sur ses fesses. Marlène cria, vidant ses poumons dès le premier coup. Elle toussa pour reprendre son souffle. C’était laborieux tout en accompagnant la montée de la cuisson de braillements désespérés.
Ses jambes, sa tête, son bassin, ses bras, toutes les parties de son corps dont elle avait encore l’usage se mirent en mouvements, chacun à son rythme, chacun dans son sens. Cela devint frénétique quand Marlène se dit qu’elle n’en pouvait plus. Madame Farette dut intervenir.
« Vas-tu te tenir plus tranquille que ça ? Tu gênes le bon déroulement de la fessée. Je ne te le redirais pas ! »
La courte interruption avait permis à Marlène de reprendre un peu son souffle. Cela ne dura pas dès que la règle reprit son office. La cuisson qui avait paru diminuer retrouva toute son intensité en quelques coups de règle. Marlène tentait de se contenir, mais elle n’y arrivait pas. Ce fut d’abord sa tête qui recommença à remuer dans tous les sens, puis ses pieds. Elle tint aussi longtemps qu’elle le pouvait, au-delà du possible, croyait-elle.
Sa main vint couvrir ses fesses, ce qui suspendit la correction.
« Tu l’auras voulu ! »
Madame Farette prit le poignet de Marlène et elle le remonta dans le dos de la jeune femme. Elle appuya son coude entre les deux omoplates.
« Reprenons ! »
Marlène avait cru qu’elle ne pourrait supporter une fessée qui durerait plus longtemps. Elle se trompait. Ses fesses pouvaient encaisser une fessée bien plus longue. Madame Farette lui en fit la démonstration. Il n’y avait plus que sa tête et ses deux jambes qui pouvaient encore remuer. Marlène ne s’en privait pas, mais cela ne gênait plus le déroulement de la fessée.
Hurlements, sanglots, gémissements… tout se confondait en une toux spasmodique. Marlène peinait à respirer normalement. Les coups de règle sur ses fesses ne facilitaient rien. Madame Farette ne tenait pas compte des réactions de Marlène, il s’agissait de punir, elle s’y employait et le résultat était très satisfaisant, qu’on se place du côté de Madame Farette ou de celui de Marlène. Quant à Maïlis, impressionnée par la sévérité de sa cheffe de bureau, elle se jura de faire tout ce qu’il fallait pour ne jamais se trouver dans la situation de ses deux collègues.
« Vas-tu être sage maintenant pendant que je finis ta fessée ? »
Quelques coups de règles rappelèrent à Marlène que sa cheffe attendait une réponse.
« Oui Madame, je le promets.
– Je vais te libérer la main, puis je vais finir la fessée. Si tu essayes de m’en empêcher… »
Sur des fesses copieusement meurtries et chauffées par le début de la correction, c’était une promesse que Marlène eut plus de facilité à tenir. Cela aurait été encore plus simple si Madame Farette n’avait pas pris pour cible le haut des cuisses qui, jusque-là, n’avaient pas été visitées par la règle. Marlène tint cependant ses engagements. Elle avait fait un grand pas vers l’obéissance.

« Où vais-je te mettre au coin ? Cela manque d’espace approprié ! »
Ce fut l’angle que faisait une armoire avec le mur qui suppléa à l’encombrement des coins du bureau. Madame Farette regagna sa place à son bureau et elle contempla son œuvre.
« Voilà une bonne chose de faite. La fessée que je vous donnerai demain servira de leçon à tous vos collègues. Cela fera réfléchir ceux qui envisageraient de refuser une punition. »
C’était exactement ce que se disait Maïlis. Pour elle le choix était vite fait. Même si elle lui était donnée en public, une fessée à main nue était préférable à une telle correction avec la règle.
« Il est temps que je m’occupe de vous, Maïlis. Venez ici !
– Mais… mais Madame, je n’ai pas mérité de fessée ! »


Vous avez loupé le début de l'histoire ?

Pas de problème, voici comment tout cela a commencé : le chapitre 1
 ... et ce qui s'est passé juste avant : le chapitre 43
On peut tous les retrouver sur la page "mes récits"

Il y aura une suite, bien sûr !

C'est le chapitre 45

Les commentaires...

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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Toujours aussi sympas vos scénarios , Arthur va peut être être fessé par sa femme venue le chercher celle va aussi autoriser les femmes qu'il a harcelées a le fesser , la honte totale non
    Au plaisir de vous lire

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  2. Rebonjour,
    Marlène va avoir aussi une tutrice ?
    Au plaisir de vous lire

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