mardi 12 janvier 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 8

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN 

DECULOTTE, EGALITE, FRATERNITE DEVANT LA FESSEE !


Clarisse vient d'arriver en trombe, martinet en main, chez Margaret. Elle pousse son fils Rodolphe devant elle. Il n'a échappé à personne que sa mère l'a fait sortir de la voiture et se déplacer jusque-là, déculotté, le slip en travers des cuisses, les fesses rouges d'une récente fessée. Gérôme qui continue à recevoir la sienne pendant ce temps-là, redouble de pleurs en voyant son cousin.... 

– Rodolphe! Ouaaaah... Rodolphe ! toi... toi aussi ! .... Oooh la fessée, qu'est-ce qu'elle tape dur ! 

Géraldine qui n'en espérait pas tant, est ravie de l'arrivée du jeune homme avec sa mère. 

– Ah, mais voilà le deuxième larron ! Et oui mon petit Gérôme ...lui aussi, Il n'y a pas de raison. C'est bien le cousin Rodolphe qui vient d'arriver. Ton complice des mauvais coups. Et à voir la couleur de ses fesses, il a l'air de s'en être déjà pris une bonne . 

– Oui... Mesdames, bonjour... ne vous interrompez pas, répond Clarisse. Effectivement je viens de lui mettre une fessée juste avant de partir, à ce petit chameau ! Mais j'ai pensé qu'il serait plus efficace de le punir en même temps que Gérôme, puisqu'ils se sont encore distingués ensemble. C'est Thérez qui m'a dit au téléphone qu'il était parti chez toi. 

Margaret entre deux claquées, lève les yeux du derrière de l'intéressé, en pleine exercice de gymnastique fessière . 

– Tu as bien fait Clarisse, c'est une excellente idée de les corriger ensemble . Les fessées en public sont toujours plus marquantes. Encore qu'avec eux... On peut se demander ! 

– Oui, j'ai pensé te téléphoner pour te prévenir, mais je voulais faire vite pour ne pas laisser refroidir les fesses de Rodolphe. 

– Tu as raison, installe-toi, on a déjà commencé. Les grosses fesses rouges que tu vois en train de claquer sur les genoux de Gladys, sont celles d'Andrew, notre étudiant anglais au pair qui vient d'arriver. Jusqu'ici, on s'est davantage familiarisé avec ses fesses que fait attention à sa tête. Il en est déjà à sa troisième fessée ! 

– Il faut dire que, côté postérieur, le jeune homme présente un slip plutôt bien garni, ironise encore Gladys ... On a du mal à se retenir. Elle rit entre deux claquées. 

Clarisse, concentrée sur la fessée qu'elle doit administrer à son fils, a jeté un coup d'œil sur le derrière du nouvel arrivant sans trop s'y attarder. Elle a juste remarqué son format imposant et sa bonne disposition à encaisser la fessée. Elle a saisi la chaise et se poste en face de Margaret et Gladys qui, continuent à corriger de concert, les deux garçons, positionnés de la même façon, tête près du sol et fesses en l’air, incandescentes, offertes à la cuisante fessée .... 

– Je vois que nous sommes sur la même ligne de punition, dit-elle en retroussant la manche droite de son chemisier pour bien dégager la main qui tient le martinet. 

– Moi je dirais sur la même raie des fesses, ajoute Patricia qui n'en rate pas une. 

Margaret ne relève pas et précise tout en fessant. 

– Ils en méritent même une sévère. Ils ont été tous les deux grossiers et insolents envers Géraldine. N'est-ce pas ma chérie ? Tu peux en témoigner ? 

– Tout à fait ! Ils m'ont suivi dans la rue pour me mater le derrière et m'ont raconté des bobards ensuite quand je leur ai demandé des comptes ! 

– Oui, mais aussi, proteste Rodolphe, elle nous les a montrés ses fesses... sur le trott ... 

Il n'a pas le temps de finir sa phrase que sa mère lui flanque une paire de gifle en aller et retour d'une joue à l'autre. 

– Ça suffit ! Tais-toi, vous êtes inexcusables tous les deux ! Les âneries ça suffit, amène-moi tes fesses, tu vas dérouiller mon petit bonhomme, comme ton cousin en ce moment ! 

Avant qu'il ait eu le temps de réagir, Clarisse a posé un pied sur la chaise à fessée et, en deux temps trois mouvements, le courbe sous son bras gauche, le derrière en l'air, sur sa cuisse relevée en pont à l'horizontale. La position à l'avantage d'obliger le puni à présenter ses fesses entièrement déployées, sans possibilité de les soustraire à la correction. 

– Mais au fait , demande Margaret, en ajustant le slip de son puni plus bas sur les cuisses. 

Comment as-tu appris ça ? 

La fessée est repartie de plus belle. Gérôme se remet à hurler. Andrew aussi, que Gladys, imperturbable, continue à fesser sans se préoccuper de ce qui se passe autour d'elle. 

– Comment je l'ai appris... c'est très simple, répond Clarisse. Elle a déjà commencé à manier le martinet sur les fesses de son fils qu'elle cingle à cadence régulière. J'ai entendu Rodolphe rigoler, dans le salon, avec son cousin au téléphone. 

– Ah parce qu'ils trouvaient ça drôle ! 

– Tu connais les oiseaux ! Ces deux imbéciles se racontaient l'épisode de l'après midi, avec des commentaires salaces, et en se vantant d'avoir pu voir vu les fesses toute rouge de ta fille... Elle admoneste son fils. Tends les tiennes mieux que ça Rodolphe ! Elle se met à cingler plus fort. Je veux qu'elles sentent bien les lanières sur toute la surface ! 

Dans un concert de cris et de supplications, les trois fessées retentissent en même temps, sans émouvoir pour autant ces dames qui corrigent, sans états d'âme, les gros derrières déculottés à leur disposition. Concentrée sur le celui de son fils, Clarisse n'a pas encore vraiment prêté attention à Andrew qui pourtant ne crie pas moins fort que ses deux partenaires de fessée. Elle a juste remarqué sur les genoux de Gladys, une imposante paire de fesses dont elle sait maintenant qu'elles appartiennent à un étudiant anglais au pair. Sa seule préoccupation c'est de faire monter les fesses de son rejeton au même niveau de cuisson que celui des deux autres, devenues pratiquement écarlates. Plié en deux sur sa cuisse, la tête en bas, les jambes pédalant dans le vide, il pleure en suppliant …mais c’est évidemment peine perdue. Il se livre à une danse des fesses sans espoir, en braillant et tortillant son gros postérieur que sa mère, impitoyable, maintient solidement en position, parfaitement exposé aux cinglées. 

– Attention Rodolphe, je te préviens, si tu me craques ton slip à force de gigoter, je double ta fessée ! 

La sévère maman ne semble pas décidée à s’arrêter. Elle lève et abat le martinet avec régularité, à bout de bras et à chaque fois les douze lanières s’étalent sur le fessier qui s'enlumine, au fur et à mesure, de superbes marques rouge vif . Quelques minutes se déroulent ainsi, puis elle le repose sur pieds, il sautille au milieu du salon, en se tenant le derrière à pleine mains et en chialant comme un gamin. 
– C'est déjà fini ! s'exclame Géraldine. Et bien ça n'a pas duré longtemps, il méritait une fessée beaucoup plus sévère ! Si ça ne tenait qu'à moi ! 

– C'est vrai, ajoute Patricia, il n'a pas les fesses assez rouges ! Il en faut lui en mettre davantage ! 

Clarisse sourit en reprenant sa victime par l'oreille. 

– Mais bien sûr les filles, attendez un peu, je n'en n'ai pas encore fini avec lui . 

Sans laisser à Rodolphe le temps de se ressaisir, elle s'assied cette fois sur la chaise en le couchant sur ses genoux pour enchaîner avec un nouvelle fessée. Il s'y écroule, en larmes, résigné à s'en prendre une autre. Dans un mouvement réflexe conditionné et malgré l'atroce cuisson de ses fesses, il creuse aussitôt les reins en poussant sur le derrière pour le lui présenter bien rebondi, prêt pour la suite de sa correction. 

– Voyez comme il est bien dressé ! Je vais lui remettre une fessée à la main pour effacer ces vilaines traces de lanières, dit-elle à l'attention des deux jeunes femmes. Vous allez voir, après celle-là, comment ses fesses vont reluire d'un beau rouge écarlate, bien réparti sur toute la surface . 

Elle lève la main très haut au-dessus du derrière flamboyant, pour prendre un maximum d'élan, et la fessée recommence toujours aussi sévère et encore plus cuisante. 

Pour le plus grand malheur des punis, les trois femmes semblent, alors, se livrer à une sorte de concours. Ni Gladys, très concentrée sur les fesses d'Andrew, ni Margaret sur celles de Gérôme, et encore moins Clarisse sur le derrière de son fils, ne veulent paraître moins sévère les unes que les autres, et claquer moins fort ou moins longtemps le fessier de leur puni. 

Andrew, soumis au feu roulant des claquées de Gladys, s'est remis à pleurer et ne cesse de supplier, dans une désastreuse macédoine de '' franglais ''. 

– Ooooww, Miss Gladys... plus... plus laaaaa spanking ! Trop haaaard la fessée ! Y am very puni ! So good fessé... bien puni !!! Please, madame,... plus la fessééééée ! 

Gérôme a renoncé à apitoyer Margaret, comme Rodolphe avec sa mère. Ils se contentent de pleurer en chœur avec Andrew qui a fini par cesser de supplier en français. Ils ne sont plus que trois punis, résignés à recevoir la correction qu'ils ont méritée. 

Géraldine et Patricia, au bord de la pâmoison dans le canapé, ne ratent pas un détail de ces fessées qu'elles ne se lassent pas de regarder. Elles paraissent interminables et c'est tant mieux. Si elles n'avaient pas leurs petites mains occupées par moment en dessous de la ceinture de leur porte jarretelles, elles applaudiraient. 

Géraldine se contentent de répéter entre deux soupirs. 

– Bien fait ! bien fait, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! 

– Bien fait aussi, pour Andrew, ça lui apprendra la politesse, murmure Patricia, le souffle court. 

Enfin, les trois femmes décident de mettre un terme à la raclée. Margaret conclut par un éclatant doublé en plein milieu du derrière cramoisi de Gérôme. Il se cabre en mugissant comme si elle venait de lui plaquer un fer à repasser brûlant sur les fesses. Elle le laisse s'écrouler au sol . 

– Et voilà ! s'exclame-t-elle. Rien de meilleur qu'une bonne fessée bien cuisante pour servir de leçon ! 

Clarisse au terme d'une fulgurante accélération libère enfin le derrière en fusion de son fils qui reste prostré sur ses genoux, bras et jambes ballants, bavant des larmes mêlées de morve dégoulinante. 

– Alors mon chéri … Qu'est-ce qu'on dit à sa maman qui encore si bien claqué ton gros derrière ? 

Gladys de son côté a fini par lâcher le postérieur en feu d' Andrew. A genoux en larmes, devant elle, il se tient les fesses à pleine main et se balance d'avant en arrière en se lamentant dans une langue inconnue. 

Margaret assure jusqu'au bout son rôle de maîtresse de cérémonie et clôture la séance sur une note un peu dubitative. 

– Voilà une excellente série de fessées qui devrait passer, à ces jeunes gens, l’envie de recommencer leurs pitreries. Mais on connaît les loustics ! Quant à Andrew, l'étendue des progrès qu'il a à faire nous promet de bonnes parties de plaisir... 

– Je ne te le fais pas dire maman, ajoute Géraldine. Ses fesses n'ont pas fini de chauffer ! 

Les trois punis remis debout, sont fermement invités à aller se mettre au coin où ils frictionnent leur derrière cramoisi en pleurant . Chacun redoute de devoir se reculotter trop rapidement, les fesses gonflées de claques, trop volumineuses pour entrer, sans forcer dans leur slips à fessée. Andrew, avec son caleçon flottant autour des cuisses, n'a pas encore à affronter cette épreuve . 

Margaret s'est approchée tout près de lui par derrière, et saisissant ses fesses brûlantes les soupèse à pleine main, pour en savourer la cuisson. Tandis qu'il les tortille en gémissant , elle lui murmure à l'oreille 

– Bravo Mister Andrew, pour l'excellente tenue vos fesses. Elles ont parfaitement réussi leur examen de passage, elle les tapote sèchement pour les faire rebondir dans sa main. Ça promet pour la suite, vous allez vite progresser ! 

Gladys de son côté ne regrette pas du tout d'être venue. 

– Voilà une fin de journée comme on en voudrait plus souvent, déclare-t -elle en rabattant sa jupe sur ses cuisses. Je ne pensais pas avoir le plaisir de claquer une aussi bonne paire de fesses, en plus de celles que j'ai à la maison. 

Patricia, les joues encore un peu roses d'émotions, soupire de contentement. 

– Quels culs à fessées ces Anglais... et la discipline... tout de même ... Par contre en ce qui concerne le Whisky, c'est plutôt les Ecossais. A propos, il en reste ? 

– Mais oui bien sûr, dit Margaret. Je propose un dernier toast en l'honneur d'Andrew... et surtout de sa formidable paire de fesses, qui nous a fait une si belle démonstration ! 

La proposition fait l'unanimité. Elle se tourne alors vers Gérôme qui sanglote encore dans son coin. 

– Gérôme, c'est bon, tu peux rentrer chez toi maintenant. Mais avant, qu'est-ce qu'on dit pour cette excellente fessée 

– Mer... merci Madame, pour cette... cette ex... excellente fessée ! 

– En attendant la prochaine. Embrasse aussi la paume de ma main pour la remercier d'avoir si bien claqué sur tes fesses... Aller ! 

Il s'exécute. Elle le regarde faire avec un sourire sarcastique. 

– Tu sens l' odeur sur mes doigts... Hein, tu la sens ? C'est l'odeur de tes fesses chaudes mon ami ! Elle rit. Tête basse, sans répondre, il saisit l'élastique de son slip pour se reculotter. Elle le reprend aussitôt. 

– Mais qu'est-ce que tu fais Gérôme ? Depuis quand on se reculotte sans autorisation. Ça mériterait une nouvelle fessée ça ! Tu vas rentrer chez toi, slip aux cuisses, les fesses à l'air, pour que tout le monde voit que tu as reçu une bonne déculottée. Et, bien sûr, tu montreras tes fesses à ta mère en arrivant. Je suis certaine que tu auras droit à un complément de service. 

– Oui... Oui Madame … 

– Bien, aller file, avant que ce soit moi qui je t'en mette une autre ! 

En riant, elle le propulse vers la porte, d'une claque retentissante en plein milieu des fesses. Il passe la porte de l'entrée en couinant et se les tenant à pleines mains. 

L'air radieux, un grand sourire aux lèvres, elle revient au salon en tortillant joyeusement des hanches. 

– J'adore ces séances de fessées plus ou moins improvisées ! Et quel plaisir d'avoir, sous la main, d'aussi belles paires de fesses à claquer ! Sacré Gérôme, c'est qu'il en a une solide le petit saligaud ! Et elles claquent bien en plus. On voit qu'elles sont entretenues à la maison. 

– Pour ça, dit Patricia en se frottant les mains. Elles vont encore dérouiller sévère pas plus tard que demain pendant son cours d'anglais ! 

Margaret, mains sur les hanches, est soudain pensive. 

– Ça m'étonne qu'Astrid ne se soit pas encore manifestée. Je connais ma sœur, et son habituel empressement à tester un postérieur qu'elle n'a encore jamais corrigé. Celui d'un Anglais en plus... pensez donc ! Excusez-moi Mesdames, il faut que je l'appelle. 

Astrid ne répond pas, elle est certainement occupée. 



Norbert a presque fini sa journée. Il éteint sa machine à coudre, débarrasse son plan de travail des petits déchets de cuir épars et saisit avec soin le martinet dont il vient de fixer, au bout du manche, la boucle tressée qui sert à l'accrocher. Il empoigne les lanières et les fait amoureusement glisser dans sa main sur toute la longueur pour apprécier la souplesse du cuir dont dépend le cinglant. Il esquisse une sourire satisfait. Il aime le travail bien fait. C'est une commande de madame De Blagnac la propriétaire de la boutique de lingerie. Comme toutes les adeptes d'une bonne discipline domestique, en recherche de corrections toujours plus sévères, elle fait fabriquer ses martinets aux mesures exactes des grosses fesses de son mari. Elle a fait rallonger les lanières de cinq centimètres par rapport aux précédents, pour mieux cingler toute la surface du fessier conjugal qui a tendance à prendre du volume sous la fréquence des corrections. 

Il est assis sur les cuisses, son pantalon aux chevilles, les fesses solidement reculottées, débordantes de son tabouret de travail, pour leur épargner le contact direct avec le bois dur du siège. Elles sont, encore rouges et cuisantes de la fessée qu'il a reçue en début d'après-midi. Madame fesse dur... et la cuisson, ça dure ! . 

Tout cela à cause de la réclamation d'une cliente qui avait ramené un battoir presque neuf, qu'elle avait fendu en deux sur le derrière de son mari. Il faut dire que celui-ci est doté d'une imposante paire de fesses, genre très ferme, et la plantureuse épouse a un penchant naturel pour les fessées musclées. Forcément ça fait des dégâts de part et d'autre, et ce n'était pas la première fois que ça arrivait. 

S'il y a bien une chose sur laquelle Norbert n'a aucun doute, c'est sur la qualité des instruments qu'il fabrique. A Astrid, qui le questionnait quant à la fiabilité des cuirs qu'il fait commander, il avait répondu, en s'enhardissant à manifester son mécontentement. 

– Enfin chérie, j'ai beau le répéter sans arrêt, le cuir neuf, il faut d'abord l'assouplir et le chauffer progressivement sur les fesses, avant d'obtenir du rendement. Pas taper tout de suite à tour de bras comme le fait ta cliente ! Ta gourde de nièce n'en informe pas les clientes ? 

Il s'était aussitôt rendu compte qu'il était allé un peu loin et, instinctivement, avait esquissé un geste de protection vers son derrière, par crainte d'une nouvelle fessée. Ce n'était pas encore pour tout de suite. 

Astrid, les mains sur les hanches, avait levé les yeux au ciel avec un soupir d'exaspération qui avait fait sauter l'ensemble de ses avantages pectoraux. 

– Alors, et d'une, Géraldine fait très bien ce qu'elle a à faire et ce n'est pas à toi d'en juger. Et de deux, c'est tout ce que tu trouves d'intelligent à dire ? Tu crois que c'est ça que je vais répondre à ma cliente... Qu'elle tape trop fort ! Et moi, quand je te fesse je tape trop fort aussi, peut-être ? 

Norbert avait eu tort de répondre. La suite n'avait pas traîné. Soulevé du sol comme le poids plume qu'il était, il s'était retrouvé les fesses en l'air, sous le bras de son épouse, calé contre sa hanche, pantalon aux chevilles, slip aux cuisses pour une brève mais magistrale fessée. On avait dû l'entendre claquer jusque dans le magasin, avec les habituels pleurs et supplications qui vont avec. En fait, ça avait fait une boucan d'enfer qui avait plutôt réjouit la plaignante. Tout le monde savait que Madame Delaniaires avait l'habitude de corriger sévèrement son mari, en cas de réclamation sur la qualité des instruments de discipline. Il en était le principal responsable et elle lui en faisait rendre compte sous les fessées. 

– Alors ...la fessée, tu la sens bien maintenant ? Avait-elle dit en le reposant sur le parquet de l'atelier, les fesses une nouvelle fois écarlates . Tu vois, ma main n'a pas besoin de chauffer progressivement pour bien claquer sur tes fesses. 

– Oooh oui... pardon Astride...Pardon ! Mais pourquoi tu tapes toujours aussi fort ? 

Fessée déculottée



Les lamentations de son mari confirment la sévérité de sa punition. C'est la réaction normale, et attendue, après chaque fessée. Elle savoure intérieurement l'exercice de cette stricte discipline qui satisfait son insatiable besoin de démonstration d'autorité sur lui . A le voir, en larmes, suppliant devant elle, les fesses en train de cuire dans son slip, elle éprouve l'exaltante sensation de pouvoir en disposer à sa guise chaque fois qu'elle estime nécessaire de le corriger. Elle le lui fait savoir avec jubilation. 

– Mais, Norbert, je tape toujours fort, tout simplement parce que j'adore te claquer les fesses ! Tu ne savais pas, depuis le temps ? Et, d'ailleurs, la prochaine fois que tu me répondras sur ce ton, ça sera le tarif, récidive : deux fessées aux lieu d'une … et je taperai encore plus fort ! 

Elle était sortie en claquant la porte, qu'elle avait rouverte aussitôt en passant la tête dans l'encoignure. 

– Tu peux te reculotter, mais le slip seulement. Tu gardes ton pantalon baissé en continuant à préparer tes fesses.... Ça nous fera gagner du temps pour la fessée suivante... Au train où vont les choses, ça ne m'étonnerait que je t'en remette pas encore une autre, d'ici la fin de la journée. 

Elle l'avait laissé en larmes à se frotter le derrière au milieu de son atelier, avant de reprendre son travail en maugréant sur la cuisante force de frappe de sa femme. 

Il alla poser le martinet qu'il venait de finir, sur la petite table recouverte de velours rouge, à côté d'un large battoir en cuir, commandé par d'Edwige pour la fessée d'anniversaire de son époux. C'est là qu'il alignait soigneusement les derniers modèles. Il devait attendre que son épouse vienne en vérifier la conformité par rapport aux exigences des clientes, avant d'avoir l'autorisation de quitter son atelier. 

Astrid, soucieuse de la réputation de la maison Delaniaires, prenait un soin particulier à vérifier la qualité des instruments de discipline, avant de les mettre en démonstration dans le magasin. Elle contrôlait ainsi le travail de son mari dont elle exigeait une qualité de production irréprochable. Le moindre petit défaut de fabrication était immédiatement sanctionné par une fessée déculottée. Elle commençait à lui chauffer le derrière dans son atelier et le traînait ensuite au milieu du magasin pour continuer à lui rougir les fesses à l'écarlate devant les clientes. En guise de ''geste commercial'', disait-elle, elle les invitait la plupart du temps à participer. Bien évidemment, ces dames ne se faisaient jamais prier pour profiter d'un service après-vente si gracieusement offert, et Norbert se ramassait dans foulée, une nouvelle déculottée pas moins sévère que les précédente. 



Il fallait bien reconnaître que sous l'inflexible autorité d'Astrid, le réputation d'excellence des productions Delaniaires ne faiblissait pas.



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 7

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

10 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Quel fesses-tival de la chanson ! Ca vocalise à tue-tête !!
    Mieux que le grand Caruso !!!! Les trois mousquetaires de la distribution (...de fessée ! ) inaugurent la soirée commerciale de la fessée ! Ces dames comme au concours Lépine proposent leur savoir-faire ! "Les martinets Delaniaires embellissent les punitions fessières ! ". Ces demoiselles roucoulent d'aise !!! Pensez donc !
    Joli spectacle ! Mais ils n'en ont pas terminé. En particulier Gérome et sa leçon d'anglais avec "Calamity Pat !". Ca va chauffeeeeer !
    Amicalement. Peter.

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    1. Bonjour Peter,

      Ah ah, bien vu! "Inter fessées" les trois mousquetaires de la distribution. Margaret, Gladys et "Calamity Pat"! J'aime bien tes diminutifs qui rendent les personnages familiers. Encore qu'il est assez périlleux de fréquenter ces dames de trop près. Une déculottée est vite arrivée.
      Petite pause pour les fesses de Gérôme avant la reprise de ses leçon d'anglais...sans Andrew, le pauvre, complètement débordé sur ses arrières.. train.
      Il en est d'autres chez les Delaniaires qui ne vont pas tarder à prendre le relais. Que voulez vous, ma Pô'v dame, les clientes sont de plus en plus exigeantes sur la qualité des martinets!
      Amicalement
      Ramina

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  2. Amis de la poésie et la fessée en duo qui se transforme en triplée ! Bonjour Ramina
    Dans ce texte, les fessées se multiplient comme les petits pains et les victimes boivent leur coupe jusqu'à la lie. Manger en tous, ceci est mon martinet, buvez en tous, ceci est votre calvaire.
    Les mères métronomes fessent à tour de bras et le craquage de slip n'est pas loin ! Comme on dit, une chance au fessage, une chance au craquage, le tout pour assurer une surface bien écarlate ( comme l'eau du même nom ).
    Les dialogues anglais me fond penser aux films de Louis de FUNES dans Fantomas : "Yes my lord, I am sure, but tout à fait sure que c'est un coup de Norbert".
    Et les Géraldine et Patricia qui me pâment devant un spectacle d'une si grande beauté ! Il manquerait plus qu'elle se laisse aller à se tripoter... Et ces trois pauvres créatures, laissées à leur misérable sort... C'est t'y pas malheureux, ma pauv' dame ! Un dernier toast, une claque sur le cul et au lit !
    Et pour couronner le tout, chez les DELANIAIRES, il y a le battoir fendu sur les fesses de Norbert ! Ou est donc passer le "made in France"... En ces temps de soldes, c'est deux fessées pour le prix d'une. Y'a pas, les promotions, sont toujours appréciées + le geste commerçant préférable au geste auguste !
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Elena, bonjour !

      L'évolution de vos commentaires, et la ténacité dont vous faites preuve dans l'exercice de ce style d'écriture, sont franchement spectaculaires! Les tournures drôlatiques, cascades de jeux de mots et expressions pittoresques deviennent aussi percutants qu'une main ferme sur une paire de fesses déculottées!
      Alors de grâce, chère amie, cessez de minimiser la qualité de recherche d'un style dont vous creusez progressivement la ligne rouge de la raie des f... Euuuh, je m'égare sur un terrain brûlant. Fichtre, manquait plus que ça!

      Votre crépitante écriture n'a rien à voir avec mes chevilles! Je me préoccupe même de savoir jusqu'où vous allez monter alors que vous êtes déjà en train d'escalader les genoux!
      Bref, la preuve en est de la pertinence de la fessée, déculottée à la main, au battoir, ou au martinet, et de sa capacité à stimuler les matières grises autant que les postérieurs.

      So Brexit, je me suis fourré tout seul dans un traquenard "De Funesques", avec des dialogues en anglais, une langue dont j'ignore tout pour ne l'avoir jamais apprise. Alors je me débrouille à faire illusion avec les "Good Spanking" ou "Hard Spanking" "Please Mrs". Toute la linguistique de la fessée... made in France, comme les martinets Delaniaires... qui ne s'usent que si l'on s'en sert !
      Amicalement.
      Ramina

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    2. Merci Ramina pour tant de compliments. Mes joues sont aussi rouges que les fesses de Gérôme... C'est pour dire !
      Amitiés.
      Elena.

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  3. Bonjour Elena,

    Je vous félicite pour votre mémoire de cinéphile.
    De Funès, toujours incontournable !
    Et d'ajouter :
    - Vous savez, Commissaire, je parle très bien Français. J'ai fait toutes mes études à Paris !
    - Oooh, very well, my Lord ! Et tous mes compliments ! En attendant, restez prudent. Quant je serais là, vous ne risquerez plus rien...
    (...) At tomorow, my lord ! At tomorow !
    (Tiens, en parlant d'Ecosse, ça me rappelle le village des Highlands de Gretna Green. La particularité de ce lieu, connu au monde, est que le forgeron du village, depuis le 18è. siècle, a le pouvoir de marier les jeunes gens qui le souhaitent, sans le consentement des parents respectifs. Cet anecdote est reprise dans le film intitulé "les grandes vacances" avec De Funès. Toutes une poursuite à cheval complètement folle. Hilarant. )
    Amicalement. Peter.

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    1. Félicitations pour la suites des dialogues, Peter. J'adore les films qu'à fait Louis. C'est tordant de rire à chaque fois, même si on connaît à l'avance le dénouement.
      Ma réplique préférée, mais c'est BOURVIL : Ah ben, elle va marcher moins bien, maintenant ! ! ! Un must !
      Hilarant...
      Amitiés.
      Elena.

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  4. Bonjour Elena,

    Je suis un passionné de cinéma, surtout la périodes avant les années 1990. Au-delà, je le suis beaucoup moins. C'est vrai que les gens de ma génération ont été "élevés" avec les "Pagnolades" de Fernandel, les gesticulations hilarantes de ce génial De Funès et autres grandes vedettes. Le confinement de Mars 2020 a permis au moins de remettre à l'honneur les succès bien connus de ce grand artiste qui est sûrement l'un des seuls acteurs qu'elle connaît.
    Le succès d'un film, c'est de pouvoir en réciter presque mot pour mot la moindre de ses répliques. Non ?
    Ma préférence va également aux "péplums" US des années 1950/1960 et autres films historiques. De bonnes soirées en perspectives...
    Amicalement. Peter.

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  5. Amis de la poésie et de la cinéphilie, ( pas confondre avec la syphilis!) Bonjour!

    Et "Les Tonton Flingueurs" ALors... ça pullule.

    "J'ai connu une polonaise qu'en buvait au petit déjeuner"

    " Mais moi les dingues, j'les soigne, j'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j'vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins d'Paris qu'on va l'retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle..."

    " "Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît"

    J'en passe et des plus pires!
    Amicalement
    Ramina

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  6. Bonjour Ramina,

    Mais bien sûr, ces bons "Tontons "! Où avais-je la tête ?
    -(Blier à Lefèbvre) "On partage les bénéfices cinquante-cinquante ? Alors va ouvrir !
    - (Ventura) Happpy-burthsday to youuuuuu !
    etc...
    Un rayon de soleil ce matin... Merci Amigo.
    Peter.

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