« Damian, attachez-lui les mains dans le dos, nous allons l’emmener à la cantine où les élèves sont pressés de la voir être punie. Ne les faisons pas attendre » demande la proviseure
Marie-Rose
est attachée et suit docilement ses collègues, la tête basse, honteuse du
spectacle qu’elle va donner.
Le cortège défile dans les couloirs vides pour arriver dans le réfectoire où il y a de l’animation, car les élèves sont tous excités d’assister à cette punition. Ce n’est pas souvent qu’un membre du corps enseignant se fait punir.
Au moment
de pénétrer dans le réfectoire, voyant la foule, Marie-Rose M. refuse
d’avancer, incapable de faire un pas de plus. Damian N. est obligé de la
pousser pour qu’elle entre dans l’immense salle où les cris, les quolibets et
les sifflets commencent à retentir. Marie-Rose M. est en pleurs, humiliée.
« Ah, la voilà, cette grosse vache !
Regardez-la pleurnicher, elle pouvait nous en donner des leçons de courage,
comme quoi, il fallait assumer nos erreurs. On voit qu’elle applique pas la
moitié de ses grands principes » dit
Clairanne
« Ouais, ben, la ramène pas trop
Clairanne, tu l’as bien cherché, ce qui t’es arrivé ! » dis-je sur un ton sec à Clairanne, qui joue les donneuses de
leçon.
« Je sais, Elena, j’ai vachement merdé, je
sais ! Je l’ai chèrement payé, non ? Pas la peine de retourner
le fer dans la plaie. Et puis, je fais toujours des travaux d’intérêt général » me répond Clairanne
Fabienne
D., Damian N., Laetitia F. et Marie-Rose M. se fraient un chemin parmi les
élèves surexcités. Des insultes et quolibets en tout genre, fusent.
Fabienne
D. est obligée de faire la police pour avoir un semblant de calme :
« CALMEZ-VOUS ! ! SI CA
CONTINUE, MARIE-ROSE SERA PUNIE EN PRIVE ! » menace la proviseure, ce qui fait revenir un brin de silence.
Les élèves ne veulent pas être privés de ce spectacle si excitant.
Marie-Rose
M. est montée sur l’estrade et Fabienne D. annonce aux élèves ce qui lui est
reproché.
« Mère Jolanta, Sœur Weronika, c’est à
vous que revient le privilège de punir Marie-Rose et faire en sorte qu’elle se
repente de ses pêchés vis-à-vis de l’école »
Les deux
religieuses l’attachent, dos au public, pour la première partie de la punition.
Réalisant ce qui va se passer, Marie-Rose M. s’affole :
« NON ! ma Mère, ma Sœur, pitié, ne
me fouettez pas, j’ai compris, je me repends, je vous en prie, ma Mère, ma
Sœur ! Je ne recommencerai plus ! »
Les deux
religieuses prennent leur martinet de discipline et chacune leur tour, elles
cinglent le bas du corps de Marie-Rose M. qui gémit en tressaillant de douleur.
« Faites-la crier ! cette
pouliche ! » crie un des élèves
surexcités
« J’suis sûre que les religieuses ont eu
des consignes pour l’épargner ! Ça claque pas trop et elle remue pas !
Elle doit rien sentir ! »
confis-je à mes copines.
« Ouais, t’as raison, elle va bien s’en
tirer, c’te nana ! » me
répond Olga
« C’est pas avec nous qu’elles f’raient
ça, les deux religieuses ! On s’rait d’jà en train d’hurler, l’cul en
feu ! » Renchérie Iourievna.
Notre
professeur principal, François F., vient parler à Fabienne D. qui s’avance et
dit :
« Ma Mère, ma Sœur, plus d’énergie dans
vos cinglées, Marie-Rose ne sent rien ! »
« Ah, ben, ça y’ est, elle s’est enfin
rendu compte qu’elles faisaient semblant ! C’est pas trop
tôt ! »
« Ouais, enfin, on va l’entendre brailler,
cette fois » confirme Iourievna
Les deux
religieuses amplifient leurs gestes et en effet, les claquements sont plus secs
et Marie-Rose M. hurle dès la première vraie cinglée, en se secouant dans tous
les sens. Les marques sont maintenant plus rouges et boursoufflées qu’avant.
« PLUS FORT ! PLUS FORT ! » crient des garçons. D’ailleurs, les filles ne sont pas en reste,
pour encourager les religieuses à manier le martinet avec plus de conviction.
« Eh, regardez-la gigoter et écarter les
cuisses, cette pouf ! » dit une
des filles de première.
« Ça lui apprendra à celle-là ! Je me
rappelle encore lorsqu’elle m’a fessé, le mois dernier, devant tout le monde,
parce que j’avais chahuté dans le réfectoire » raconte un jeune élève de seconde.
« Eh, Maxime, tu l’avais bien mérité
celle-là, t’avais vachement abusé ! T’avais mis des petit-pois
partout ! » lui répond sa camarade de
classe.
« Peut-être, mais j’ai pas pu m’assoir
durant deux jours et les filles ont vu ma quéquette ! »
« Nous, on a bien aimé regarder ton petit
truc, pendant que tu trépignais ! Un vrai petit garçon, que t’étais !
»
« Y’a des mecs qui l’ont tout dressé, mais
c’était pas ton cas ! »
Princia
G., la remplaçante de Marie-Rose M. dans le rôle de second du réfectoire, dit à
Damian N. :
« Elle va apprendre à tenir sa place,
cette gourde ! Mais quelle idée elle a eu de poser pour ce calendrier ?
... Maintenant, rétrogradée en simple cuisinière et la diminution de salaire
qui va avec, elle est bien avancée... »
« Vous avez raison, Princia. La réputation
de Ste CROIX ne doit en aucune façon être tâchée et c’est la raison de toute
cette sévérité. Cela dit, c’est agréable d’assister à une correction, ne
trouvez-vous pas ? » lui
répond Damian N.
« Oh oui, j’adore ça. La voir s’agiter de
façon particulièrement impudique et l’entendre hurler est tout à fait excitant ! Y
a-t-il souvent des corrections comme celle-là ? »
« C’est régulier, nous avons des
spécialistes pour semer le chahut. Madame la proviseure les remet dans le droit
chemin, illico presto ! Pourtant en voyant les sévères corrections,
on pourrait croire que les élèves vont se tenir tranquille, mais non, ils
continuent de défier l’autorité »
« Alors, j’ai hâte de voir un garçon se
faire corriger, ça doit être très excitant ! J’ai cru comprendre
qu’assez souvent, les fessées les faisaient être en érection et que
quelquefois, ça les faisait même éjaculer ! » se régale déjà Princia G.
« Absolument, à force de contracter les
fesses par saccades, ça leur provoque une réaction comparable à un
orgasme » complète Damian N.
A mi-
punition, les deux religieuses détachent Marie-Rose M., la retournent pour
l’attacher face au public, afin de lui fouetter le devant du corps. Marie-Rose
M., déjà en sueur de s’être démenée comme une démente, tente de résister, mais
Mère supérieure Jolanta la maintient solidement pendant que Sœur Weronika lui
attache les poignets et les chevilles. Marie-Rose M., le dos et les fesses en
feu, sanglote en demandant pardon. Elle supplie qu’elle en a eu assez, qu’elle
regrette amèrement ses actes et qu’elle fera tout ce qu’il faut pour se faire
pardonner.
« Lorsque les religieuses en auront fini
avec elle, elle se montrera coopérative ! Nous la mettrons au service en
salle, de façon à ce qu’elle soit la plus exposée possible ! Après tout,
s’exhiber ne la dérange pas... Devant plus de sept cents élèves, on verra ce
que ça donne et si elle joue encore les délurées ! » ironise Princia G.
« Je vois que vous savez fort bien mener
votre personnel, montrez-vous ferme dès le départ, elles vous respecteront et
faites de même avec les élèves, certains n’ont pas leur place ici, mais nous
devons les mener au bout de leurs études. Leurs parents paient pour qu’ils
soient remis sur de bons rails et aient leurs diplômes et c’est ce que
nous faisons avec brio » l’informe Damian N.
La
punition a repris. Les lanières de cuir cinglent le devant de son corps, le
ventre, le bas ventre et les cuisses en premier puis elles terminent par la
flagellation des seins.
Marie-Rose
M. hurle de façon stridente en gesticulant dans tous les sens. Son visage est
inondé de larmes et de sueur. Les religieuses maniant le martinet avec
dextérité, cinglent les parties du corps de Marie-Rose les plus sensibles et
rendent la punition particulièrement pénible. Les cinglées sur les seins font
vibrer les globes mammaires, lui arrachant des hurlements déchirants.
« Waouh, comment ça ballote !
J’aimerais pas être à sa place à cette pauvre Marie-Rose ! Elle s’en
souviendra longtemps de cette correction, elle morfle ! » lance Margaret K., une des étudiantes adultes de l’école.
« En effet, je me souviens de ce que je me
suis pris ! et ce n’était qu’une fessée » lui répond Makary D.
« Ouais et tu t’étais pris la crème
pimentée dans les fesses ! » complète
Quon X.
« Ah, m’en parle pas... j’avais
l’impression que l’Etna était en éruption dans mon anus ! En tout
cas, après ça, ça va la calmer c’te gonzesse, c’est sûr ! » avoue Makary D.
Soudain,
les claquements cessent, la punition est finie. Nous entendons les plaintes de
Marie-Rose et les applaudissements des spectateurs qui ont pris beaucoup de
plaisir, au vu de leur pantalon. Certains garçons se soulagent, sans même se
cacher, n’en pouvant plus.
« Détachez la punie et emmenez-la se
laver mais dès que possible, remettez-la au travail » demande la proviseure à l’infirmière.
Les
religieuses détachent Marie-Rose, qui se caresse le corps, en tremblant, le
regard encore brouillé de larmes.
« Suivez-moi, Marie-Rose, on va s’occuper
de vous ! » lui dit l’infirmière.
Aidée par
les religieuses, Marie-Rose quitte la pièce sous les quolibets des élèves.
A
l’infirmerie, Laetitia F. fait prendre une douche à sa patiente :
« Ne vous inquiétez pas, dans quelques
jours, ce sera de l’histoire ancienne. Pour le moment, une bonne douche froide
devrait atténuer la sensation de brulure, ça ne durera pas longtemps, mais ça
vous calmera le temps que j’étale la crème sur les zébrures, car elles vous ont
bien arrangé »
« Merci de vos soins, Mademoiselle ! » dit craintivement Marie-Rose M.
« Pour les traces, ça devrait se résorber
assez vite, mais maintenant, vous allez devoir faire face aux élèves et ça,
croyez-moi, ça va durer plus longtemps, car durant le mois à venir, vous ferez
votre service toute nue. Ça devrait vous rabattre votre caquet et toute
dérive sera punie sur le champ, quel que soit l’endroit » lui dit Damian N.
« Oui, Monsieur » répond Marie-Rose, la tête basse.
Après sa
douche et quelques soins, Marie-Rose M. réintègre la salle du réfectoire
« Vous voilà quand même, Marie-Rose. Vous
avez meilleure allure que tout à l’heure ! Allez aider vos collègues pour débarrasser
les tables, la fin du service est proche » lui ordonne Princia G. en lui claquant la croupe, ce qui fait
crier Marie-Rose M.
Marie-Rose
M., même si elle a toujours le corps en feu, elle ne se le fait pas dire deux
fois, elle s’empresse de faire ce qu’on exige d’elle, avec un certain zèle.
Faisant attention de ne pas faire de mouvements brusques qui réveilleraient ses
douleurs, elle s’active en salle.
« Marie-Rose, aide-moi à sortir les
poubelles, on doit les mettre dans la cour, elles seront ramassées demain matin ! »
lui demande sur un ton autoritaire, Sabrina O.,
sa collègue, anciennement son employée.
« Je peux pas sortir comme ça et j’ai
vachement mal partout, ça me brule sur tout le corps ! » lui répond Marie-Rose.
« T’es plus ma cheffe, ma cocotte, alors
bouge tes fesses et vient dehors avec moi, t’as pas vraiment le
choix ! » lui assène Sabrina O.
Effectivement,
Marie-Rose M. n’a pas le choix et elle le sait. Elle accompagne Sabrina O. et
elles sortent les poubelles. Marie-Rose M. qui était habituée à donner des
ordres se retrouve à faire le larbin. Le fait qu’elle soit nue est dégradant
pour elle qui fréquente le gratin mondain.
En tout
début de soirée, il y a des passants qui se retournent sur cette scène peu
commune !
« Ah ben d’accord, y’en a une qui s’est
pris une sévère correction. Regarde ! Elle est marquée de partout. On lui
a même fouetté les nichons ! Décidément, ça arrive souvent dans cet
établissement » dit un passant à son
collègue.
« Et c’est pas une élève, ça doit être une
femme de service qui a fait un truc qui fallait pas ! Ste CROIX est
réputée pour être stricte ! »
« Au moins, elle recommencera plus,
celle-là ! Ils la laissent même à poil pour travailler, elle doit se
les geler, il doit faire aux environs de dix degrés... »
« Ça la fait surement travailler plus
vite et elle la ramène moins ! »
Lorsque
sa journée est terminée, Damian N. appelle Marie-Rose M. dans son bureau.
« J’espère que vous aurez compris
l’avertissement, Marie-Rose ? »
« Oui, Monsieur, j’ai compris »
« Vous avez gravement nui à la réputation
de l’établissement et la correction était justifiée. J’ai, moi-même, voté pour
cette alternative à votre exclusion »
« Merci, Monsieur N. Je ne vous décevrai
plus ! »
« Mais j’y compte bien, Marie-Rose. Avec
ce que vous venez de prendre et avec votre nudité, je suis sûr que vous allez
filer droit. A présent, puisque nous sommes seuls, retournez-vous et
penchez-vous sur le bureau »
« Mais, qu’allez-vous faire ? » s’interroge Marie-Rose M. en voyant son patron descendre son
pantalon.
« Ne faire pas l’étonnée, vous savez bien
que vous me plaisez beaucoup, je vais prendre soin de vous »
« Vous ne pouvez pas faire ça, c’est
contraire au règlement de l’établissement ! »
« Ne discutez pas, à moins que vous souhaitiez
que je trouve un détail qui ne va pas dans votre comportement et que je le
rapporte à madame la proviseure ? »
« Non, Monsieur, s’il vous plait ! Je
vais faire ce que vous voulez ! » promet
Marie-Rose M., se retournant et se penchant que le bureau, les cuisses
écartées.
Super
excité de la domination qu’il a sur son employée, Damian N. lui fait
vigoureusement l’amour, qui finalement ne se plaint pas trop de ce traitement
de faveur. Jouir ne lui déplait pas, ça lui permet d’oublier un temps le feu de
la correction qui irradie encore sur son corps.
Après
leurs ébats, Damian N. et Marie-Rose M. se présentent chez Fabienne D., la
proviseure.
« Marie-Rose ! Vos affaires sont là,
mais je doute que vous puissiez les enfiler ? »
« Non, Madame, je ne pourrais pas, ça fait
trop mal, ça brule trop »
« Ne vous inquiétez pas, Madame la
proviseure, je vais ramener Marie-Rose chez elle » la rassure Damian N.
« Marie-Rose, revenez la semaine prochaine
avec la ferme intention de vous améliorer, car la prochaine fois, ce sera la
porte ! » la menace la proviseure.
Damian N.
fait monter Marie-Rose M., toujours nue, dans sa voiture et la dépose en face
de son immeuble. Marie-Rose M. fait aussi vite que possible pour monter chez
elle, mais malgré tout, elle croise quelques personnes dans les escaliers qui
s’étonnent de voir leur voisine toute nue et couverte de marques rouges.
Marie-Rose
M., super honteuse, explique aux voisins qui viennent la voir la raison de ces
marques. Mais même avec les sincères explications, la réputation de Marie-Rose
M. est entachée, car elle passe pour une femme qui a commis de graves bêtises
et ils ne la considèrent plus de la même manière.
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Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
RépondreSupprimerUne correction longuement décrite pour le plus grand plaisir de ceux qui y assistent. Et pour celui des lecteurs. Les commentaires vont bon train et ils ne sont pas tendres à l'égard de celle qui disposait encore, peu de temps auparavant, d'un pouvoir sur les élèves et qui ne se privait pas de l'exercer. Il faudra à Marie-Rose boire le calice jusqu'à la lie, son supérieur direct étant bien décidé à profiter de la situation pour obtenir ses faveurs. Quant aux voisins, ils n'ont pas fini d'écarquiller les yeux sur son passage, de susciter des rencontres apparemment fortuites, de lui demander des précisions sur ce qui s'est passé, la façon dont ça s'est passé et d'épiloguer derrière son dos. C'est toute la ville qui sera bientôt au courant. Et au-delà.
Amicalement.
François
Bonjour François et bonjour à tous,
SupprimerJ'aime décrire les détails des scènes et les conditions qui mènent à le correction. Un peu comme si on était devant un film et que la caméra faisait des zooms sur des plans et recule pour embrasser le paysage global.
Pour en revenir à Marie-Rose, la rétrogradation au niveau de simple femme de service fait assez mal pour elle qui voulait évoluer dans le gratin mondain de la région.
Quant à Damian N., il ne perd pas le nord, celui-là et profite allégrement de la situation. Son ex-seconde va devenir son objet sexuel, et Marie-Rose n'aura rien à opposer à ça, si elle souhaite conserver sa place au sein du réfectoire de Ste CROIX.
Les voisins se doutent de quelque chose, mais de peur du "quand dira t-on", ne disent rien, ce qui laisse tout le champ libre à Damian N. et aux punitions de la proviseure de Ste CROIX. Un monde bien impitoyable. Un Janus à lui seul. Une face, favorable à tout le monde pour l'obtention des diplômes et du niveau d'excellence et de l'autre un cercle où les femmes à la tête de Ste CROIX n'ont qu'une idée en tête, se délecter des corrections qu'elles infligent à leurs élèves et leur personnel !
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la congrégation des soeurs fouettardes... Bonjour. Bonjour Elena...ie, aie, aie ! ça cuit!
RépondreSupprimerOn peut dire que Marie-Rose est loin de voir la vie de la même couleur. Marie-Rouge, comme ses fesses, voit son avenir s'assombrir de jour en jour, de fessées en fessées. Sa vie à Ste Croix n'est plus qu'un chemin du même nom, qui mène vers l'enfer, pavé de punitions flagellations, humiliations... mesures de rétorsion,.. l'avait qu'à faire attention!
Le duo de choc des Sœurs sadiques, Wéronika et Jolanta, mouillent bien plus que la chemise, à manier le martinet sur le corps, nu, du délit, de Marie-Rose, qui doit endurer son calvaire plus longtemps que vivent les roses... l'espace d'un chagrin.
Marie Rose, VIP ( Very Importante Punie) de la raclée, ficelée et retournée comme un rôti de porc, cuite sous le feu des Martinets. Mieux que la cuisine au gaz, la descente de croix aux enfers!
A Ste croix, c'est le retour du pilori médiéval ! Le spectacle est dans la cour, et les fessées, devant une foule en délire, font la joie des grands, comme des moins petits, dans une grande "fesse-partie" organisée par la direction. Ratatouille, tripatouille, plus ça claque et plus je mouille, c'est la fête aux zigounettes, bistouquettes et foufounettes!
Et la vérité nue de la repentance, sort du puits aux misères du réfectoire, pour mettre les poubelles dehors après avoir débarrassé les tables. Pour quelqu'un qui rêvait de vie mondaine la voilà pieds et cul nus dans le caniveau. C'est l'ascenseur social à l'envers.
Et pour couronner le tout, (sans épine ) il se trouve un certain "Damian N", comme N-ervé sessuel, cousin germain d'un incertain Docteur "J'Abuse" dans le Journal d'Olga, pour profiter de la situation, en passant Marie-Rose à la casserole alors qu'elle vient, à peine de sortir du four à martinets! Transformée en objet de cul...te, elle est pénétrée par la grâce en se faisant joyeusement tamponner le bouton( de rose)sur le bureau. Tout est bien, qui finit pas si mal.
On a craint le pire!
Amicalement
Ramina.
Bonjour Ramina,
SupprimerVous me laissez sur place avec vos commentaires trop intenses. Je suis pliée de rire à chaque fois que vous levez la plume ( pas dans le ... ). Heureusement que j'ai des commentaires tels que le votre. Ca fait chaud au coeur d'avoir de tels virtuoses en commentateurs. Je souhaiterais vous arriver à la cheville mais le chemin sera long...
Amitiés.
Elena.