samedi 16 janvier 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 39

 Elle a fait venir Lucie devant elle, elle connaissait sa partition et a conservé ses mains sur la tête, elle savait qu’elle allait prendre cher et ne tenait pas à aggraver son cas, notre logeuse l’a fixée quelques instants et l’a envoyé quérir la baguette qui restait suspendue dans la salle d’études avec le martinet, la ceinture et la règle plate, tous instruments chargés de l’aider à nous rôtir les fesses d’importance quand la faute commise dépassait le cadre d’une simple fessée à mains nues, même si on vient de voir qu’elle pouvait être extrêmement sévère.

Cela fait partie du raffinement un brin sadique du fesseur, obliger sa victime à aller elle-même récupérer l’accessoire qui va contribuer à la châtier, l’aller-retour de ma parente, tête baissée pour ne pas rencontrer les regards qui l’épient et se réjouissent de l’exhibition de sa plastique se voudrait rapide, mais elle a encore trop mal aux fesses et elle marche à pas comptés, un peu en canard. Ce n’était pas le cas de notre tutrice, elle était certes intraitable, mais ne mettait nulle méchanceté, ni plaisir malsain, à nous punir, je ne l’ai jamais prise en flagrant délit d’injustice ou de partialité.

Elle nous fessait plus ou moins lourdement pour notre bien prétendait-elle, elle exécutait la tâche dont elle était chargée sans état d’âme, en l’état, Lucie l’avait bravée, insultée et la sanction devait être à la hauteur de l’outrage, non seulement pour qu’elle puisse conserver sa crédibilité mais également pour le bonheur futur de l’insolente, il fallait qu’elle apprenne que ce sont des choses qui ne se font pas, j’étais certain que ma cousine se souviendrait de cette soirée et qu’à l’avenir elle ne se laisserait plus aller à ce genre de débordement.

Elle revient à petits pas, sa baguette à la main, se positionne devant l’exécutrice des hautes œuvres, voûtée, les yeux baissées, résignée à endurer une méga raclée, je dois dire qu’elle est pathétique, pitoyable, sa totale nudité ajoute à ma relative compassion, elle me fait penser à une esclave qui va entrer dans une arène dont elle ne sortira pas vivante.

Mais il suffit que je remémore tout ce qu’elle m’a fait subir pour chasser ce noble sentiment de compassion, au-delà des fessées toujours appuyées ou spécialement humiliantes car en présence de tierces personnes, qu’elle m’a infligées, je songe à mes atroces sorties dans la rue avec les cuisses marquées bien visibles, sans parler de ma nudité complète au retour de la plage, à mon épilation totale, à mes soi-disant prises de température, avec le thermomètre enfoncé au maximum dans le rectum, un truc qui durait des plombes devant tout le monde, aux lavements devant et avec Corinne, à son exigence que je sois décalotté pour chaque correction, se régalant de procéder elle-même à la chose en public, à mes douches spécialement mortifiantes avec ses doigts qui au prétexte d’hygiène s’introduisaient dans mon fondement , les orties il n’y avait pas très longtemps et d’autres souffrances encore que je préférais enfouir au fond de moi.  

Le « vae victis » ne tarde guère à s’exprimer et elle se retrouve penchée sur le bras du fauteuil qu’occupe habituellement sa bourrelle, il est juste à côté de la chaise à fessée et lui aussi fort bien éclairé.

Cette dernière prend le soin de bien la positionner, les bras croisés au fond du siège, elle lui fait écarter les jambes pour bien assurer sa stabilité, ce qui nous donne une nouvelle vision sympathique de son entre-cuisses.

J’observe que Béatrice et Sylvie qui ont légèrement déplacé leur siège pour mieux profiter de la fessée, se tiennent la main, sans doute pour calmer leur émotion. Kevin qui avait disparu quelques minutes refait son apparition, je suis quasi certain qu’il n’en pouvait plus et qu’il est allé se soulager dans les toilettes.

Son cul qui n’a pas eu le temps de se remettre de la terrible fessée qu’elle vient de se ramasser est encore cramoisi, l’application de la baguette va être dure à encaisser.

Je la connais bien, c’est toujours la même, en bois bien sûr, grosse comme mon doigt, souple et rigide à la fois, elle a dû être coupée dans les branches d’un arbre, un noisetier probable, elle porte encore de petits nœuds espacés régulièrement, un truc qui te fait très mal et laisse des marques pendant deux ou trois jours.

Madame Leblanc la fait vibrer dans l’air, les fesses de ma cousine se sont crispées et j’ai vu distinctement son anus se rétracter, tu parles qu’elle doit être terrorisée, le premier coup est terrible, elle hurle et se dresse sur ses orteils et ses bras, se raidissant au maximum.

Notre hôtesse en fesseuse avertie, prend son temps, remets sa victime dans la bonne position, c’est-à-dire les fesses bien offertes et les jambes formant un triangle presque parfait.

- Tout doux ma belle, tu sais que si bouges, tu auras droit à une ration supplémentaire. Alors, je ne t’ai pas entendue.

- Oui madame Leblanc, je serais sage, murmure Lucie dans un sanglot.

Et c’est reparti, elle fait le maximum pour ne pas trop remuer, chaque coup lui fait pousser un cri de bête blessée qui résonne dans le silence de la maisonnée. Seuls ceux qui ont eu droit à une volée de coups de baguette sur leur derrière déjà fracassé par une fessée d’anthologie, savent ce que cela peut représenter comme souffrance. J’avais déjà donné, puisqu’on se souvient peut-être que lors du retour chez ma mère après mon premier séjour chez ma logeuse, ma mère m’avait condamné à ce régime, je n’ai pas besoin de vous confier que cela fait un mal de chien, j’avais mis des jours à m’en remettre, à ne plus pouvoir m’assoir sur la cuvette des wc, mes fesses étaient passées du rouge vif au bleu, avant de prendre une vilaine couleur jaunasse. Les orties par-dessus, ma cousine allait déguster, elle n’oublierait probablement jamais cette terrifiante punition, c’était le but recherché !

- Tends bien tes fesses, voilà c’est mieux.

La position est à présent très indécente, les cuisses largement ouvertes et le dos bien cambré qui met en valeur le petit cul très contracté et encore très rouge, j’ai le sexe qui me fait mal à force d’être coincée par mon ceinturon.

La mère Leblanc s’est reprise, son légitime courroux a été dompté et elle envoie les premiers coups de baguette sans sa hargne précédente, mesurant ses coups, s’efforçant de ne pas blesser, les nœuds de la baguette peuvent à l’évidence occasionner des écorchures petites ou grandes. Elle commence à tracer ses sillons, je savais d’expérience que la douleur ressentie n’avait rien à voir avec la règle, cette dernière est massive, chaque coup s’écrase sur la chair et se diffuse alentour, alors que la baguette provoque une souffrance aigue, localisée à une ligne plus ou moins fine en fonction de sa grosseur, avec un sommet quand on extrémité touche la peau des fesses. C’est alors comme si on t’enfonçait une aiguille dans la peau, ajoutant à la douleur du sillon par une plus grande encore, tu te prenais une seconde couche alors que tu n’avais pas encore assimilé la première.

Elle hurle dès le cinquième coup, ne peut s’empêcher de se cabrer, de relever ses mollets en ouvrant encore un peu plus son compas intime, pour autant, même si elle se tord, elle prend bien garde de ne pas laisser penser qu’elle tente de se soustraire à la correction, elle connaît à présent fort bien le système, elle se prendrait une nouvelle rouste pour lui apprendre à se tenir tranquille quand on la punit et qu’on la fesse en particulier. Et véritablement, elle n’a pas besoin de ça, car pour chanter, elle chante, même si l’air est toujours le même, des hurlements de douleur, mêlés de pleurs, de gémissements et bientôt de supplications. Il faut dire qu’elle ramasse cher, tout son fessier est à présent barré de traces rouge foncé, sa bourrelle qui a retrouvé sa maîtrise habituelle s’applique à ce que la baguette ne frappe pas au même endroit, cependant petit à petit le sang affleure et les rougeurs se diffusent pratiquement sur tout le fessier affreusement meurtri et bientôt uniformément incarnat.

Nous avons droit à une courte pause, le temps pour la mère Leblanc de remettre sa victime en bonne position, les fesses bien tendues et les cuisses largement écartées qui ne cachent ainsi plus rien de son anatomie la plus intime, paradoxalement, il me semble que sa chatte brille d’humidité, ce n’est certainement pas une illusion, la violence de la correction a sans doute déclenché la production de cyprine, comme lors de la fessée chez Anaïs, ce n’est pas la première fois que j’assiste à cet étrange phénomène physiologique, c’est pareil pour les garçons qui peuvent éjaculer dans ce type de circonstances m’a t‘on dit, pour autant cela ne m’est jamais arrivé.

L’interruption ne dure guère, la fouetteuse en quasi professionnelle de la chose n’a nul besoin de reprendre son souffle, elle s’essuie juste un peu le front nimbé de transpiration et c’est reparti alors que Lucie, dressée sur ses orteils n’a pas cesser de geindre et de pleurer, on est entré dans la phase hoquet entre deux hurlements, elle supplie qu’on arrête de lui massacrer le derrière, promets tout ce qu’on voudra, ce sont d’ailleurs davantage des borborygmes que de véritable paroles, mais on pige bien qu’elle ne nous recite pas une poésie.

Elle a passé un cap, ses guibolles ne remuent plus, elle les tient ouvertes au maximum de ses possibilités, elle n’a cure désormais de ce qu’elle exhibe, seule la souffrance qui l’habite occupe son esprit et d’expérience je sais qu’inévitablement sous le coup d’une grosse fessée et à plus forte raison d’une fouettée, tu ouvres le compas de tes cuisses, cela te donne l’impression de t’aérer un brin et d’atténuer une douleur qui devient insupportable.

Son fessier est à présent uniformément écarlate, j’ai même l’impression qu’à quelques endroits, la peau a cédée et que des gouttes de sang apparaissent, sans doute causées par les nœuds de la baguette.

Notre logeuse, en spécialiste avisée, s’en rend compte et délaisse les fesses pour le haut des cuisses, là où cela fait le plus mal et effectivement, ma parente qui ne faisait plus que gémir et prononcer des paroles plus ou moins inaudibles reprend de la voix et du geste, elle se tend puis cabre tel un ressort et hurle à nouveau à plein poumons, encore heureux que nos voisins soient habitués à nous entendre beugler sous les coups et donc ne s’en émeuvent plus du tout, faute de quoi, on aurait rapidement vu débarquer la maréchaussée alertée par le tapage.

Le pire est que je suis très partagé, d’une part le spectacle m’excite un max, je ne sais pas si je ne vais pas finir par jouir dans mon slip, au-delà du plaisir de me voir un peu vengé de toutes les vicissitudes que m’a fait subir Lucie, je me régale sans honte de la vision de son très joli corps nu, rendu encore plus beau par la souffrance mais par ailleurs, trop, c’est trop, du sang, même s’il y en très peu, c’est une première et je me dis qu’emportée par sa vindicte la mère Leblanc exagère peut-être un brin.

Enfin, cela cesse, elle s’est démenée notre logeuse et elle s’essuie à nouveau le front de main gauche tandis que la droite parcourt les fesses et les cuisses terriblement maltraitées et qui ont pris une teinte rouge brique, je ne me souviens pas d’avoir vu un derrière aussi cramoisi, à se demander si je ne me brûlerais pas si je posais ma main dessus.

Mais je ravale mon sourire, Lucie est consciente que sa terrible rouste est enfin parvenue à son terme, en attendant les orties, car elle sait bien que la mère Leblanc ne revient jamais sur une punition annoncée, mais à chaque moment suffit sa peine et elle a beaucoup de mal à se redresser.

Sur un signe de leur logeuse, Julie et Sylvie viennent l’aider à se mettre sur pied, c’est laborieux, ma cousine a véritablement encaissé le maximum et elle est pour l’heure transformée en une sorte de pantin désarticulé. J’imagine qu’elle prend beaucoup sur elle pour ne pas sa masser, à tout le moins se caresser les cuisses et surtout les fesses qu’elle doit supposer sanguinolentes, même si ce n’est pas le cas, j’aperçois tout de même nombre de petites écorchures d’où le sang a légèrement coulé avant de se coaguler. Les deux filles la soulèvent chacune par une épaule, elle se tourne vers nous et fait véritablement pitié, son visage est décomposé par les larmes qui coulent encore d’ailleurs

- Vous me la mettez au piquet, accroupie, les fesses relevées vers nous, que tout le monde voit bien l’ampleur de la correction que je viens de lui administrer, qu’elle se remette un peu avant que je la passe aux orties. Que chacun voit bien ce qu’il attend, s’il lui venait l’envie de se révolter et de m’insulter et que cela serve d’exemple.

Elle a cent ans ma cousine, les filles la traîne tel un mannequin nu et la mettent non sans mal dans la position ordonnée. C’est une grande première, jusqu’alors, je n’avais assisté et hélas pratiqué que le piquet debout, avec les mains croisées sur la tête ou derrière le dos pour remonter la jupe ou la chemise de manière à bien exhiber ses fesses afin que nul n’ignore que le puni vient de se ramasser une fessée, quand on voulait que la sanction soit plus rude, on te mettait à genoux, ce qui était à la fois plus humiliant et plus dur à supporter, car sur la durée, ça faisait un mal de chien, te tirait sur les épaules et les muscles des bras, plus les douleurs aux genoux proprement dit, au-delà d’une vingtaine de minutes, c’était véritablement insupportable.

 - Mettez lui les fesses bien en l’air, bien cambrée,

Je comprends vite l’intérêt de cette nouvelle position, qui si elle doit être plus facile à maintenir est tout à fait indécente et donc très mortifiante. Je vois clairement le sexe de Lucie, elle expose l’ourlet fin de ses petites lèvres, le renflement sensuel de son pubis et la rosace sombre de son anus et à présent j’en suis certain, sa chatte brille et doit être trempée de son suc, quant à ses fesses, c’est un chantier abominable, des boursouflures rougeâtres apparaissent de ci de là, ne parlons pas de ses cuisses où elles se superposent sur une dizaine de centimètres, lui faisant comme un tapis de braises.

Je sais d’expérience que tout cela va virer au bleu, puis au jaune, elle va avoir des difficultés à s’asseoir durant plusieurs jours, y compris sur la lunette des toilettes, ce sera pire encore après la frottée aux orties à laquelle sa bourrelle n’a évidemment pas renoncé, même si les effets sont différents, on est davantage dans la brûlure continuelle, avant de passer aux insupportables démangeaisons.

Le spectacle est de grande qualité pour les voyeurs que nous sommes, ce n’est plus la lune en plein jour dont nous nous remplissons les yeux, mais un véritable soleil écarlate, le pourpre qu’il a quand il se couche, je distingue parfaitement les plis du sphincter et les grandes lèvres qui semblent comme suinter, c’est une véritable leçon d’anatomie féminine qu’elle nous offre à son corps défendant ma chère cousine.

Sûr que cette fois je suis bien vengé de tout ce qu’elle m’a fait subir, je veux croire que ça l’incitera à plus d’indulgence à l’avenir me concernant.

En attendant, elle continue de sangloter, sans que l’on sache si c’est de souffrance physique ou morale, tant sa position, celle des bêtes soumises, est profondément humiliante.

Sylvie et Julie, leur tâche d’assistantes accomplie sont revenues se poser sur leur chaise, elles sont toutes rouges d’émotion, je jette un œil à Kevin, qui a littéralement les yeux qui lui sortent de la tête et une bosse à l’emplacement de sa braguette, un premier soulagement dans les toilettes n’aura pas suffit à le calmer, il faut dire que c’est sans doute la première fois qu’il peut contempler à satiété l’intimité d’une fille, ce en dépit du fait que nous sommes plus dans une vision quasiment gynécologique que sexuelle. Béatrice qui est à mes côtés me serre la main très fort, j’imagine que c’est pour se calmer, son slip doit être à tordre, elle doit être partagée entre l’intensité de ce qui vient de se dérouler avec le tableau obscène qu’elle a pile en face d’elle et l’angoisse qui doit également l’habiter en songeant que décidemment madame Leblanc est intraitable, impitoyable même et que ce qui arrive à Lucie pourrait bien lui être également infligé, de quoi en faire des cauchemars en effet.

- Lucie, je ne veux plus t’entendre, pas assez de la représentation de tes fesses et du reste que tu nous donnes en pleine lumière, tu as le culot de nous perturber par tes larmes un peu trop bruyantes à mon goût, nous avons déjà l’image, nous n’avons nul besoin du son, si tu ne veux pas que je te claque à nouveau le derrière, tu ferais bien de te faire oublier.

Elle se lève, s’approche de la quasi gisante, un mouchoir à la main, lui relève la tête et la fait se moucher une narine après l’autre à deux reprises, ce qui permet à sa victime de calmer ses sanglots, même si elle continue à renifler plus discrètement.

- Allez, remets-toi en position, il fallait bien que le feu que j’ai mis à tes fesses et à tes cuisses se dissipe un peu pour que tu ressentes celui que je vais te mettre avec les orties.

Elle va donc sans surprise aller au bout de son terrible programme, cette confirmation arrache de nouvelles larmes à Lucie qui s’accroupit à nouveau comme elle peut. Cette fois c’est notre logeuse qui la positionne avec une certaine douceur je dois dire, elle se rend bien compte que la gamine est au bout du rouleau, véritablement en morceaux, prête à consentir à tout ce que l’on voudra lui imposer et c’est presque d’elle-même qu’elle pose sa tête sur ses bras croisés à même le sol, se cambrant au maximum et écartant ses cuisses de même, allant même au-devant des desideratas de madame Leblanc.

En y réfléchissant je songe que si je connais fort bien les fesses de ma parente, c’est la première fois qu’il la voit entièrement nue et je dois convenir qu’elle est extrêmement bandante, plus encore marquée par les coups, même si son visage est complètement ravagé, dévasté, c’est que doivent aussi se dire les autres spectateurs de sa déchéance, Kevin bien sûr qui doit avoir envie de se soulager à nouveau et les trois filles qui sans doute l’envient d’avoir pu le faire.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 38

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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