mardi 16 février 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 12

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

 PATRICIA ET LA LECON D'ANGLAIS DE GEROME

Les nombreuses séances de fessées qui rythmaient ses heures de cours du lundi, finissaient par avoir raison de la paresse naturelle de Gérôme avec une double conséquence. La nette amélioration de sa connaissance de la langue et une  meilleure capacité d'endurance de ses fesses. Patricia y trouvait la juste récompense de sa méthode pédagogique, et le meilleur des prétextes à rougir toujours plus sévèrement  les fesses de son élève en augmentant, la fréquence et la durée des fessées. La moindre petite erreur ou insignifiante faute de prononciation, était, immédiatement sanctionnée de la plus claquante manière, par une magistrale fessée déculottée, administrée sans prise en compte de la cuisson des précédentes.  Gérôme consommait chaque lundi, autant de nourritures intellectuelles que son derrière encaissait de fessées.

Patricia, lui avait rapidement fait intégrer qu'on mémorisait plus rapidement, à plat ventre, déculotté sur ses genoux, avec une fessée bien claquante au derrière. Ou encore, qu'une paire de fesses chauffées au rouge activait  la compréhension d'un texte, même en lisant à travers ses larmes. Pour ne pas perdre de temps à sévir, elle lui faisait apprendre et réciter ses leçons allongé en travers de ses cuisses, la tête en bas, livre ouvert, devant ses yeux, entre ses mains plaquées au sol. Ses fesses déculottées, bien exposées à sa main, claquaient instantanément,  à la moindre erreur. C'est la succession de fessées de plus en plus sévères, qui rendait la méthode efficace.

Toutes ces petites astuces, bien stimulantes, nées de l'esprit inventif de la pétulante préceptrice, rendaient les cours attrayants, mais, par contre, très bruyants. Les récitations à voix haute, les injonctions autoritaires de Patricia, entre-coupées du claquement des fessées, des cris, et des supplications, envahissaient tout l'espace sonore de la maison pendant une heure. Des fessées qui claquaient tellement fort  qu'on les entendait retentir  à travers la porte de la chambre, de là-haut, jusqu'en bas dans le salon. Ça la rassurait  Ma'am Thérez. Elle considérait que plus il en recevait, mieux il apprenait et que le coût de ses leçons particulières était largement compensé par les résultats obtenus.

 

Patricia, ponctuelle aux rendez-vous du lundi, porte documents à la main, venait d'appuyer deux fois sur la sonnette des Bellebourges . Elle avait retiré son doigt en prenant soin de ne pas abîmer son vernis à ongle, dont le rouge intense lui fit aussitôt penser à la couleur   des fesses de son élève, à l'issue de l'heure à venir. Elle sourit à cette idée,  la main déjà impatiente d'entrer en action. La leçon au programme du jour allait devoir s'accompagner d'une distribution de fessées, particulièrement sévères.

– Ah, voici notre lectrice d'anglais !   Entrez, Patricia, entrez ! , dit Ma'am Thérez en lui tenant la porte ouverte. Vous êtes toujours à l'heure, vous, c'est bien ! Ce n'est pas le cas d tout le monde.

– Très aimable à vous ! Répond l'intéressée, toute pimpante, perchée sur ses talons aiguille, sa courte jupe plissée ondulant en haut de ses cuisses gainées de nylon noir. Elle  poursuit sur le ton de la plaisanterie.

  C'est que je ne trouve pas convenable de laisser trop longtemps en attente les derrières  des jeunes gens dont j'ai la charge éducative. Elle piaffe sur ses hauts talons, et ajoute  d'un air malicieux. Surtout celui de Gérôme... si réceptif.

– Je ne le vous fais pas dire, dit Ma'am Thérez avec un presque soupçon de fierté dans la voix. Mon grand garçon est très bien  pourvu de ce côté-là...

– Je m'en régale tous les lundis...chère madame. Pour son plus grand bien et au bénéfice de ses études.

Thérez hoche la tête avec un sourire d'approbation.

 – C'est bien l'impression que j'ai, en constatant la rougeur de ses fesses après chaque leçon. Vous avez un solide tour de main. Montez, il est dans sa chambre, il vous attend... Enfin, quand je dis, il vous attend...C'est tout relatif...

 Patricia a un petit sourire en coin .

– Je m'en doute, si ma main se réjouit de retrouver ses fesses, l'inverse m'étonnerait !

Elle s’esclaffe d'un petit rire léger, s'engage dans l'escalier et s'arrête sur la première marche en se retournant.

 

– A propos de ses fesses, dit-elle, le sourcil levé en signe d'interrogation, j'espère qu'elles ont récupéré après la formidable séance de fessée d'hier chez Margaret Delaniaires.

– Oui, j'ai appris ça,  répond Thérez, il paraît que ça a chauffé dur et que Gérôme s'en est encore pris une sévère, avec son cousin comme d'habitude.

– Pour ça oui et ils l'avaient bien méritée, après leur comportement déplacé envers  Géraldine.

– Ça leur fait du bien, il ne faut pas hésiter à leur tanner les fesses à ces deux loustics ! Ils n'en ratent pas une, quand ils sont ensembles.

– Sauf qu'à l'origine, la petites sauterie c'était pour fêter l'arrivée d'Andrew l'Anglais au pair chez  les Delanaires. Et à propos de pair... Hummmm, il en a une bonne... de fesses,  lui aussi !   

– C'est ce que j'ai cru comprendre... ça promet. Margaret et Géraldine, avaient déjà de quoi s'occuper les mains avec Arnold le mari et le frère Sébastien... Quant à Gérôme ici, il faut croire qu'il a pris un abonnement …Elle a un petit rire malicieux.

Thérez  a bien compris que si Patricia s'interroge sur l'état du postérieur de son turbulent rejeton, c'est moins par compassion, que pour s'assurer de disposer d'un postérieur en pleine forme, qu'elle va pouvoir claquer à volonté pour le bon déroulement de sa leçon.

– Pas de souci avec ses fesses, Patricia, elles sont habituées, il fait tellement d'âneries. Comme vous le savez, ses sœurs et moi on les entretient. Elles récupèrent vite. Déjà, grâce au Dolpic d'ailleurs ! Vous allez pouvoir les corriger, autant que vous l'estimerez nécessaire. Plus j'entends claquer de fessées, plus je me dis que votre méthode a du bon et que j'ai eu raison de vous faire confiance.

Patricia, se dandine sur ses talons aiguille en opinant de la tête comme pour remercier du compliment. Elle s 'impatiente un peu en pensant au postérieur qui attend là-haut sur la chaise à fessées mais continue la conversation par politesse.

– Et  bien je vous garantis que vous allez en entendre des fessées !  Aujourd'hui on aborde des notions de vocabulaire, sur un sujet particulièrement d'actualité. Au vu de ses réticences à apprendre par cœur, il va certainement passer plus de temps, le slip sur les cuisses que les fesses dedans !

Thérez, la main levée en signe d'assentiment.

– Oh, pour ça, je ne fais aucun souci, j'approuve votre méthode sans réserve. Et j'en  constate les effets au niveau de cuisson de ses fesses après chaque leçon. Les résultats s'en suivent à l'institut, c'est le plus important. .

– Et bien si vous évaluez ses progrès à la couleur de son derrière, vous aurez de quoi vous réjouir tout à l'heure. Quand je sortirai votre Gérôme de sa chambre, les fesses écarlates et cuisantes, vous pourrez être certaine qu'il aura bien profité de son heure de cours.

Ondulant exagérément des hanches, le derrière mouvant sous les plis de sa courte jupe,  virevoltant au ras de ses jarretelles, elle reprend tranquillement la montée de l'escalier vers la chambre de son élève. Sous le regard satisfait de Thérez, ravie de la perspective de progrès de son poussin. 

 

Pour Gérôme, le claquement des talons aiguille de Patricia dans l'escalier, annonçait moins le début de son cours particulier, que l'arrivée des fessées.   Il savait que la main qui glissait avec nonchalance sur la rampe pendant cette lente montée des marches, n'avait rien à voir avec la montée des marches du festival de Cannes. Mais plutôt d'un festival de claques qu'il commençait à redouter dès la veille.  Impossible d'échapper aux cuisantes fessées de sa sévère préceptrice. Elle prenait, d'ailleurs,  un vicieux plaisir à multiplier les motifs de le déculotter et lui rougir les fesses, en exploitant la moindre de ses erreurs. Docile, et  soumis, il l'attendait , comme elle exigeait le trouver  lorsqu'elle entrait dans sa chambre. A genoux sur sa chaise à fessées, courbé en deux sur le dossier, le slip sur les cuisses, les fesses tournées vers elle. Il devait lui montrer son acceptation des séances de fessées en lui présentant son derrière déjà déculotté, prêt à claquer, sans qu'elle ait besoin de le demander. A côté de lui, sur le bureau, son livre ouvert à la page de la leçon du jour.

Le cours ne débutait réellement  qu'après une première fessée d'échauffement qui  commençait dès qu'elle avait refermé la porte. Cette fessée durait le temps qu'il fallait, pour que son postérieur monté à l'écarlate, soit en mesure de  bien ressentir l'intensité de cuisson des suivantes.  Ça ressemblait en tous points à la fameuse méthode Bettina, avec la petite touche personnelle de Patricia qui en avait élargi le principe à sa méthode d'enseignement.  Elle estimait qu'un fessier régulièrement pris en main par une généreuse distribution de fessées, permettait de stimuler considérablement le processus de mémorisation des leçons. A condition de ne pas lésiner sur la sévérité, la fréquence et la durée des fessées.

Patricia l'impressionnait tellement, que cela faisait déjà belle lurette qu'il n'opposait plus aucune contestation à recevoir ses punitions. Dès qu'elle lui annonçait une fessée, il se mettait à couiner d'angoisse et se précipitait à plat ventre sur ses cuisses pour lui mettre docilement ses fesses à sa main. Elle n'avait pas besoin de le lui demander. La voix autoritaire, le ton sec, péremptoire, suffisaient. 

– Gérôme... tes fesssses !

Disait-elle en faisant siffler à plaisir, les ''S'' entre ses dents pour rendre l'annonce plus impressionnante. Implacables, systématiques, les fessées se succédaient au rythme des fautes, des oublis, des erreurs. Elles étaient à chaque fois présentées comme inéluctables, une évidence, sans aucun espoir d'alternative. Elle l'avait si bien dressé qu'Il venait se positionner de lui-même, immédiatement. Les jambes repliées, cambrure de reins poussée au maximum, pour lui présenter son fessier, rebondi et parfaitement déployé. Elle attendait tranquillement qu'il ait fini de s'installer en le regardant se tortiller sur ses cuisses, et déculottait sans ménagement, une resplendissante paire de fesses encore cuisante de la fessée précédente.  Elle se régalait, alors, à lui en claquer une nouvelle, avec la satisfaction de l'avoir parfaitement conditionné à la recevoir. Le moindre relâchement était systématiquement sanctionné, après un passage au coin, par une fessée supplémentaire qu'il devait venir chercher en tenant son slip baissé sur ses cuisses. Il fallait bien souligner l'influence déterminante de la position sur l'efficacité de la correction.

 

 – Et bien Gérôme, on ne dit pas bonjour à sa maîtresse préférée ? Ironise Patricia en refermant la porte derrière elle. C'est pas bien ça... Surtout quand je vois tes fesses en si bonne position. J'espère que tu as retenu ta leçon de la semaine derrière, aussi bien que les consignes de présentation de ton derrière !  

– Euuuh oui , madame … Si oui...bonj... bonjour... s'empresse  de répondre l'intéressé en tournant la tête pardessus son épaule.

– Bonjour... c'est tout ?

 Il ajoute aussitôt.

– Non, non,  oui... Bonjour ma... Madame, Patricia.

– Ah quand même, c'est un peu tardif, mais bon... Une fessée de plus ou de moins, tes fesses ne sont plus à sa près...

Elle le contourne pour se diriger vers son bureau en lui soulevant le derrière, au passage, d'une grande claque retentissante en plein milieu.  

– Bonjour Gérôme. Humm, on dirait que ton petit séjour hier, sur les genoux de Margaret a été profitable. Il faut croire qu'elle t'a bien assoupli les fesses, à les entendre claquer aussi bien.

– Ah oui mais vous avez déjà tapé dur... Madame Patricia. Répond Gérôme en se frottant le postérieur, les larmes aux yeux. 

– Une petite claque aux fesses de rien du tout, et tu commences à pleurnicher. Qu'est-ce que ça va être dans cinq minutes.

– Ooh madame... non... s'il vous plaît ...

Gérôme, derrière en l'air, se tortille sur le dossier de sa chaise, pendant que Patricia, appuyée des deux mains sur le bord de son bureau examine son livre de vocabulaire.

– Tu l'as ouvert à la bonne page au moins ? 

– Oui, madame , oui … page 31,  Comme vous l'avez demandé au téléphone... ''La tradition des châtiments corporels dans les écoles anglaises''.

– C'est ça. On reste dans l'actualité. Voilà un futur bon sujet de conversation avec l'ami Andrew... Hier vous étiez trop occupé par autre chose.

– Oui, madame Patricia. Euuuh... Chapitre 1 : '' Introduction : La fessée déculottée '... Chapitre 2 '' La fessé à la main'' ... Chapitre 3 : la fessée au martinet... Chapitre 4 : La fess ...

– Oui c'est bon ! Tu ne vas pas m'énumérer tous les chapitres ! Et d'abord tu parles, en Anglais s'il te plaît.

– Yes Mistress Patricia !  The Spanking of...

– Et puis, ça suffit avec tes niaiseries, à donner du  ''madame Patricia'' par ci et du ''Mistress Patricia '' par-là !!  Tu m'énerves tiens !  Amène-moi tes fesses, que je te les chauffe un peu, hypocrite !

Elle le  saisit par l'oreille, le fait se relever de sa chaise, et sans le lâcher, s'assied à la place où il attendait à genoux. 

– Je vais te faire passer tes petites manière de faux jeton, tu vas voir ! Elle retrousse sa courte jupe jusqu'au revers noir de ses bas nylon et d'un doigt autoritaire montre l'emplacement sur ses cuisses où il doit venir lui présenter ses fesses. Aller, en position...dépêche-toi  !

– Yes, Madame Patricia... je vous obéis ... je vous obéis ...

– Tu as intérêt et c'est pas la peine de le répéter sans arrêt. En plus, ça ne suffit pas ! Qu'est-ce que je t'ai appris à dire à chaque fois, avant de te prendre une fessée ?

Gérôme s'est allongé sur les genoux de sa fesseuse, les mains posées à plat par terre. Il relève la tête par-dessus son épaule. L'air un peu ahuri. Il ne sait  visiblement pas quoi répondre et dit n'importe quoi.

– Euuhh... qu'est-ce que je dois dire... Euuuh... S'il...s'il  vous plaît... pas … pas trop fort la fessée... Mais, yeuuuh... je suis pas sûr...

Patricia, de rage, lui expédie une claque monumentale sur les fesses. 

– Mais non, imbécile ! C'est pas ça ! Tu te fiches de moi !  Je veux t'entendre demander si tes fesses sont bien présentées pour que je les voie bien et que la fessée que tu vas recevoir soit la plus claquante possible. C'est tout de même pas compliqué !

Il répète docilement  en s'efforçant de bien cambrer les reins pour arrondir son derrière, tendu au maximum… Mais à peine a-t-il fini qu’une première claque magistrale d’une  éclatante sonorité retentit sur ses fesses que Patricia cueille à la volée en pleine montée...

– Tu peux faire mieux fainéant ! Prends appui sur tes mains et pousse à fond sur le derrière  pour me le mettre bien arrondi à ma main, ordonne-t-elle en la relevant très haut  au-dessus de sa tête pour prendre un maximum d'élan.

Et aussitôt ce n’est pas une, mais des dizaines de claques qui tombent sur son fessier tressautant qui rougit à toute vitesse . Il pleure , supplie.

– Raaaaah !!! Vous tapez trop fort, ça cuit !! Pitié,  plus la fessée, s’il vous plait !

– Mais, qu'est-ce que c'est que ces pleurnicheries, on fait son petit douillet maintenant ? Ce n'est pourtant que le début. Une bonne fessée à travers le slip pour commencer. Le nylon, c'est excellent pour la cuisson.

– Oui madame... Pat...

– Alors évite de répondre n'importe quoi, quand je t'interroge !

Tout en fessant d'un main, de l'autre, elle ramasse le livre d'anglais sur le bureau et le lui colle entre les mains, devant ses yeux emplis de larmes.

– Tu l'ouvres à la bonne page et tu révises en lisant  à haute voix pendant que je prépare tes fesses. Et garde les bien en position ou je te les remets en place en tapant plus fort. Tu as cinq minutes, le temps de les rougir à point, et je t'interroge avec une fessée à la clé pour chaque erreur.

Le petit tour de chauffe ne dura pas bien longtemps, mais menée avec vigueur, il permit d' obtenir une cuisson suffisante du derrière pour bien le sensibiliser aux fessées qui n'allaient pas manquer de claquer en rafales. La leçon pouvait réellement commencer.

Penché au-dessus de son livre, la voix saccadée, par les claques qui lui faisaient  rebondir le derrière, Gérôme marmonnait le texte qu'il avait devant les yeux. Malgré son application à ne pas se tromper, il éprouvait les pires difficultés à lire à travers ses larmes, multipliant les risques  d'erreur et les inévitables fessées qui s'en suivrait.

 Fermement stimulé par la main ferme de Patricia, il franchit sans dégât  l'obstacle des trois premiers chapitres, pour se vautrer au suivant en confondant le nom d'instruments  de discipline sur les photos sans légende. ''Paddle'', ''Tawse'' , ''Strap''. Plusieurs fessées successives furent nécessaires avant qu'il réussisse à mettre les noms sous la bonne image. Patricia, annonçant à chaque fois la sentence,  comme  s'il s'agissait d'une récompense.

– Et voilà, tu es l'heureux gagnant d'une nouvelle fessée, pour avoir inversé ''Whip'' et Swift''... Aller en position !

– Oooh noooon... pitié madame Patricia...  ! Je savais, mais je révise ! Je révise !

la fessée pour encourager à travailler



Patricia impassible, se réjouit même intérieurement de tenir un bon prétexte à lui en remettre une.

– Tu savais...  bien sûr... Dommage pour toi que tu confondes cravache et martinet … C'est la fessée  mon ami ! Et estime toi heureux que je ne te fasse pas sentir la différence sur les fesses !

Patricia le reprit sur ses genoux, le déculotta, mais au lieu de commencer tout de suite, décida de le faire mariner un peu, en engageant la conversation sur les événements de la veille.

– Dis-moi Gérôme, j'y pense, c'est quoi cette histoire de Hamster que tu nous as racontée hier. Il est où, ce fameux Hamster ? Tu n'aurais pas inventé ce mensonge pour échapper à la fessée de Margaret, par hasard? 

– Hein ? Mais non... Euuuuh... Mais si, madame Patricia, j'en ai un ! Je vous jure , c'est vrai !

– Ah oui, vraiment ? Et il est où ce Hamster ? Je ne vois rien ici, qui ressemble à ce petit animal de compagnie. 

– Euuuh... Il... Il est... Il est...Euuuh... Dans la cabane à outils... oui...au fond du jardin.

Gérôme, de plus en plus inquiet par la tournure de la conversation, crispe un peu les fesses que Patricia tapote et caresse tout en continuant à lui poser des questions.

– Non ! La pauvre bête ! Quelle idée de l'enfermer là-dedans ?  Pourquoi ne pas le garder dans ta chambre  ?

– Ben... C'est... C'est parce que... Euuh, il fait trop de bruit à tourner tout le temps dans sa roue et... et  ça m'empêche de me concentrer l'après-midi quand je travaille.

– Ah parce que tu travailles dans la journée toi, maintenant ?

La main de Patricia se fait de plus en plus insistante sur ses fesses. Gérôme sent que les petites tapes faussement affectueuses vont se transformer à n'importe quel moment en véritable fessée. Il cherche une réponse plausible pour en retarder l'échéance.

– Euh... la nuit aussi...Ça me réveille tout le temps et je ne dors pas bien... le... le lendemain je suis fatigué.

– Oui bien sûr... et c'est pour ça que tu ne fiches rien en cours. Tu te moques de moi ?

Il sent la main de la jeune femme lâcher ses fesses pour prendre de la hauteur. 

– Non-madame Patricia ! Non ! Je vous jure !! je vous jure, c'est vr.... Raaaiiiiiiie !!!

La première claque lui fait sauter le derrière avec un bruit retentissant.

– Et bien, si tu as du mal à t'endormir ce soir, ça sera pas à cause du Hamster, mais de la cuisson de tes fesses, mon ami !

Et la nouvelle fessée repart, sous les cris, les pleurs et les supplications de l'imaginatif    propriétaire du Hamster fantôme.

Cinq fessées plus tard, Gérôme, tenu fermement par une oreille, ressortait de sa chambre en gémissant, le visage inondé de larmes, bavant sa morve, et remerciant sa préceptrice de lui avoir flanqué les bonnes fessées, grâce auxquelles il avait bien appris ses leçons. Elle se positionna en haut de l'escalier, le tenant courbé entre ses cuisses, le slip baissé, pour exhiber son imposant fessier cramoisi, gonflé de claques, sous les yeux admiratifs de Thérez et Anna sa sœur, venues contempler le résultat.  

Elle croisa ses mains sous son ventre, et le souleva pour l'obliger à exposer son gros derrière flamboyant devant de sa mère et sa sœur debout au pied de l'escalier. Elle le tient en l'air, comme un trophée, témoignant de l'efficacité de sa méthode d'enseignement.

– Mesdames, il faut rendre hommage à cette magnifique paire de fesses, qui vient de se prendre, pas moins de cinq fessées déculottées. Gérôme sait, maintenant, sa leçon par cœur !

Elle le repose alors, à genoux par terre, et ces Dames applaudissent le derrière écarlate et cuisant qu'il tient à pleines mains en gémissant. Campée au-dessus de lui sur ses talons aiguille, elle rajuste tranquillement ses jarretelles, détendues pendant les opérations. 

– Oh le vilain garçon ! Dit-elle en riant. Il mériterait encore une fessée ! A force de tortiller du derrière sur mes genoux, Il a trouvé le moyen de me filer un bas. Elle rabat  sa courte jupe plissée sur ses cuisses et le laisse en larmes sur le palier, pour s'offrir une triomphale descente d'escalier. 

– Plus ça va, plus j'adooore ces cours particuliers du lundi.

Elle se dirige vers la porte et en passant devant Thérez, lui murmure  à l'oreille.

 – Vous devriez aller voir dans la cabane de votre jardin. D'après Gérôme, iI y aurait un Hamster en train de pédaler dans une cage. 

– Un, un quoi vous dites ?.. De faire quoi ?



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 11

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

6 commentaires:

  1. dire que de telles femmes existent en angleterre en amérique et pas en france,c'est vraiment navrant pour les passionnés comme moi de cuisantes fessées maternelles.

    serge...

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  2. Amis de la poésie et de la pédagogie aux abonnés Dolpiciens, bonjour Ramina,
    Ca y est, la joyeuse bande de fesseuses so british est de retour.
    Ah, ce bon vieux fesses tival de claques, rien de tel pour faire entrer dans la tête des garçons la grammaire et le vocabulaire. Par contre, pour l'accent, en braillant, ce n'est pas des plus aisé de prononcer les th et autres sons.
    Je dois dire que pour de bons athlètes, il faut toujours une séance d'échauffement et la fessée d'arrivée est une bonne entrée en matière. Le fait que le puni l'accepte est d'autant plus propice à l'action.
    Le thème du jour fait écho à ce qui suit. On ne pouvait décidément pas faire mieux comme sujet d'étude.
    Le hamster dans la cabane au fond du jardin, une vraie chanson de Cabrel, ça, mais pour l'excuse, c'est raté et surtout pas crédible !
    Amitiés.
    Elena.

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  3. Bonjour Ramina,

    Merci pour ce petit privilège !
    Tout un épisode consacré à mon/notre héros gaffeur Gérome.
    Wahou ! Mais c'est Noël ! Dessin au top.
    Esta Professora Patricia aqui ? Aqui es !
    Calamity Pat', celle qui fesse plus vite que son ombre, a encore frappé ! La "Lucky Pat" de Synthol-s/Mer !!! Mais pas dans " la cabane... au fond du jardin ". Et le retour du h-Amster(Dan, que l'on surnomme "le Hollandais courant"), est pour bientôt ?
    Merci, amigo ! Franchement, ça nous manquait ! Bon retour (?).
    Amicalement. Peter.

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  4. Bonjour Peter,

    Yes my dear, bon retour du sud ouest hier... Bigre j'ai pris du retard, du coup! pas mécontent de retrouver notre petite communauté.
    Et ça fait plaisir de faire plaisir!
    Jolies tirades de mots mêlés, enchevêtrés, à tiroir polyglotte. le hamster jovial fait une belle carrière ... au fond du jardin!
    Oui c'est toujours tentant de remettre cycliquement en scène nos pieds nickelés gaffeurs, Gérôme, Robin, Rodolphe et compagnie,( bientôt Sébastien ), le frère de Géraldine. On peut être certain que leurs facéties et autres tours pendables finissent à chaque fois par attirer les cuisantes fessées des mères ou des soeurs, toujours prêtes à mettre la main à la pâte fessière.
    Amicalement
    Ramina

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  5. Bonjour Elena,

    A l'évidence vous commencez à performer sérieux sur les commentaires acérés...
    Et bien sûr, quid de mieux qu'une sévère préceptrice "so british", à la manœuvre, pour distribuer les "hard spanking" nécessaires à l'apprentissage de la langue anglaise. Par contre, effectivement, avec les cris, les pleurs et les supplications, bonjour les fautes d'accents, motifs de tours de fessées supplémentaires... Le cercle vicieux de la claque aux fesses!

    C'est vrai que ces séances de fessées en série, relèvent un peu de la performance sportive. Tant du point de vue de celui qui reçoit, que de celle qui administre . ( Que dire ses tournées de fessées au martinet à St Croix!) Dépense d'énergie, endurance, performance, durées de fessées ,effort physique soutenu.... Comme pour des athlètes de haut niveau, une longue période d'échauffement s'impose, afin de bien préparer le derrière à donner le meilleur de lui même... à répondre "présent" comme ne cessent de répéter les sportifs sans qu'on leur ai posé la question ! (hi, hi!)
    Patricia quant à elle, se montre toujours à la hauteur de l'enjeu...
    Enfin !!! la fessée, c'est une affaire sérieuse !
    Amicalement
    Ramina

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  6. Bonjour Serge,

    On le comprend , l'ami, dépité de ne pas trouver, main à ses fesses, comme chaussure à son pied ... Désolé de ne proposer que de la fiction à défaut de contact de belles femmes sévères administrant de cuisantes fessées ... maternelle ou pas ...
    Amicalement
    Ramina

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