vendredi 12 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 43

Maeva et Marguerite montaient l’escalier. La voisine les suivait. Elle ne les avait pas autorisées à remonter leur culotte, ce qui rendait l’ascension difficile.
« Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte. Votre punition n’est pas finie ! »
Ce qu’elles craignaient arriva. Les deux filles s’arrêtèrent au premier, l’étage auquel habitait la dame. Si la punition ne se prolongeait pas dans le hall de l’immeuble, cela devait être certainement au domicile de la dame.
« Continuez, je ne vous ai pas dit de vous arrêter ! »
Les deux filles se regardèrent. Si l’on ne s’arrêtait pas au premier, il ne pouvait y avoir qu’une seule autre destination : le troisième étage, avec une confrontation avec Hélène et Teva. Cela ne pouvait finir que par une nouvelle fessée.
C’était bien là que les conduisait la voisine.
« Tenez, il y a un coin pour chacune. Vous vous y mettez, comme vous le faites d’habitude. »
On avait dû raconter à la voisine comment Maeva avait passé un bon moment, le nez dans un angle que formaient deux des murs du palier, les fesses nues, attendant le retour de Teva. Elles se placèrent dans leur lieu de pénitence. Marguerite hésita, mais du coin de l’œil elle vit que Maeva remontait sa jupe, dévoilant ses fesses nues. Elle s’empressa de faire pareil.
« Parfait, commenta la voisine. Dommage que vous ayez décidé d’aller jusqu’au bout de la position que j’attendais. J’aurai volontiers mis une autre fessée à celle qui n’aurait pas remonté sa jupe d’elle-même. N’est-ce pas Marguerite ? Vous ne bougez plus de là ! »
Marguerite déglutit avec difficulté. Son hésitation avait été remarquée. Elle était passée à un cheveu d’une deuxième correction. Elle enfonça son nez au plus profond dans le coin. Ce n’était pas le moment de se livrer à une quelconque fantaisie. Ni l’une ni l’autre ne pouvait plus voir ce que faisait la voisine, mais leurs oreilles suffirent à les renseigner.
La porte de l’appartement de Teva s’ouvrit.
« Bonjour Madame.
– Bonjour. »
C’était la voix de Teva.
« Oh, je comprends. Elles ont eu une fessée. C’est vous qui la leur avez donnée ?
– En effet, j’ai dû me résoudre à les corriger. Elles l’avaient bien mérité !
– Hélène, viens voir ! Je sais maintenant pourquoi nos deux chipies mettaient autant de temps pour faire un aller-retour à la poste. »
Une nouvelle fois, la voisine expliqua pourquoi elle s’était résolue à punir les deux filles.
« Voilà, conclut-elle, je les ai donc mises au coin, le temps de décider avec vous de la suite.
– Je vous remercie de l’initiative que vous avez prise. Nous n’aurions pas fait mieux.
– Je pensais bien que vous approuveriez mon initiative.
– Sans aucune réserve. Cela nous rassure de savoir que les voisins ont également un œil sur ces deux gamines et qu’ils n’hésiteront pas à sévir si nécessaire.
– A ce propos, je me demandais si, dans un cas semblable, vous auriez considéré qu’une seule fessée suffisait ?
– Vous avez raison. La punition de ces deux-là est loin d’être finie. Il faut nettoyer leur bouche de tous les gros-mots qu’elles y ont emmagasinés. Rien de tel, pour ce faire qu’un bon savonnage de bouche qu’il faudra conclure par une fessée, sans doute avec le martinet et un long temps au coin pour réfléchir aux conséquences de leurs actes.
– Je vous remercie de nous les avoir ramenées, poursuivit Teva. Nous allons montrer à ces deux chipies ce qu’il en coûte de se comporter aussi mal. Leur soirée va être difficile.
– Mais j’y pense, peut-être voudriez-vous vous en charger ?
– C’est une bonne idée. Nos deux demoiselles comprendraient bien mieux que tout le monde réprouve leur comportement et nous souhaitons encourager toutes les grandes personnes à les punir quand elles l’ont mérité.
– Vous croyez ? Je ne sais pas si je peux…
– Nous ne voudrions pas abuser de votre temps, mais si le cœur vous en dit…
– Il est sans doute préférable que je finisse ce que j’ai commencé. Je peux bien leur rendre ce service. Vous avez dit un savonnage de leur bouche, une fessée au martinet et au coin ?
– C’est cela même.
– Il y a juste un problème. Je n’ai pas de martinet.
– Je peux vous prêter le mien, proposa Teva.
– Vous pouvez également utiliser autre chose, rajouta Hélène : le dos d’une brosse, une règle, une ceinture, une badine souple… vous avez le choix.
– Une badine, c’est une bonne idée ! Il y a un arbre dans la cour qui va nous fournir ce qu’il faut. Je vais aller en couper deux ou trois.
– Envoyez plutôt les filles. Après tout, c’est pour elle que vous allez en avoir usage.
– Très bonne idée ! Je les y envoie.
– Vous nous les renvoyez un peu avant le dîner, vers 19h, le temps de leur donner leur bain avant le repas.
– C’est d’accord. Allons-y, mesdemoiselles !
– Encore une seconde. Dis-moi Teva, ne trouves-tu pas que ces fesses sont un peu pâles pour des jeunes femmes qui se sont permis des écarts de langage ?
– Tu as raison. Nous devrions réchauffer tout cela. »
Elles sortirent chacune leur pupille du coin, mais ce fut pour les placer sous leur bras. Une courte mais énergique fessée et les deux filles furent prêtes à suivre la voisine.

Maeva et Marguerite, munies chacune d’un couteau, regardaient l’arbre dans lequel elles devaient couper deux baguettes de bois assez solides pour résister au contact répété avec leurs fesses et assez souples pour y laisser des marques brûlantes.
« Longues comme cela, avait dit la voisine en écartant ses mains, et grosses comme mon petit doigt ! »
Ni l’une ni l’autre n’avait envie d’aller au bout de cette tâche. Elles savaient à quoi ces badines devaient servir. Mais avaient-elles le choix ? La voisine était forte de l’autorité que lui avaient donnée Teva et Hélène. Elle avait une mission à accomplir et elle ne semblait pas du genre à renoncer facilement. Les fesses de Maeva et de Marguerite devaient payer, au prix fort, leur relâchement de quelques minutes. C’était décidé, il n’y avait pas à y revenir.
Maeva se dit qu’il y aurait avant le savon dans la bouche. Elle n’aimait pas cela. Elle faillit en rire. Evidemment qu’elle n’aimait pas cela ! C’était même fait pour. Elle se rappelait la dernière fois où ça lui était arrivé. Malgré un rinçage buccal soigneux et renouvelé, le goût lui était resté dans la bouche toute une journée. Ce jour-là, Teva lui avait également donné une fessée au martinet. La baguette serait-elle pire ?
« C’est le temps d’attente qui est le plus difficile, se dit-elle. On s’imagine tellement de choses ! »
Les envoyer cueillir les instruments de leur châtiment, c’était une façon de prolonger le moment d’appréhension de la fessée à venir. La voisine savait faire durer ce temps où elles devaient se préparer à recevoir la punition. Le pire moment de leur vie !
Elles oubliaient les quelques minutes qui suivaient la fin de la fessée où le postérieur était parcouru de longs élancements douloureux qui suivaient les traces que l’instrument punitif avait laissé. Elles avaient plus d’une fois eut l’impression que cela ne s’arrêterait pas et qu’il lui faudrait faire avec cette douleur tout le reste de sa vie.
Elles oubliaient également les longues minutes passées en pénitence à montrer ses fesses nues à qui passait par là en se demandant combien de temps encore il faudrait rester immobile alors que l’ankylose les gagnait, certaine de ne pas réussir à tenir la position et donc à recevoir une nouvelle fessée.
Finalement tout passait. Le goût du savon comme les marques sur les fesses. C’était un mauvais moment à passer, mais il n’y avait pas moyen de l’éviter.
« Je ne peux même pas dire que ce n‘est pas mérité ! »
Bien que, par expérience, elle sût à quoi s’en tenir, elle n’éprouvait pas de ressentiment ni après Teva, ni après la voisine. Elles jouaient le rôle qui leur était dévolu, sans en tirer d’autre satisfaction que celle d’avoir accompli leur devoir. Ni l’une ni l’autre ne se réjouissait de la fessée que les deux filles allaient subir, ni de la cuisson qu’elle provoquerait.
C’était dans l’ordre des choses, un mal nécessaire pour que les deux jeunes femmes retiennent la leçon. Maeva savait qu’elle se souviendrait de cette fessée et de ce qui l’avait provoquée. Sans doute de la cuisson et des marques que la baguette laissera sur ses fesses, mais plus sûrement encore de l’avoir subie de la main d’une personne qu’elle ne connaissait presque pas.
Même si la leçon serait mémorable, Maeva savait qu’elle ne pourrait s’empêcher de commettre, sous peu, une nouvelle bêtise. Maintenant qu’elle était placée en permanence sous la surveillance d’adultes auxquels elle devait obéir sans discuter et qui lui dictaient ses actes et ses comportements, cela laissait place à une certaine insouciance. Elle n’avait plus vraiment à se préoccuper de quoi demain serait fait. Si elle était sage, elle aurait le droit à un câlin, si elle commettait une bêtise, elle serait fessée. La vie était bien plus simple qu’avant. Elle ne regrettait en rien le temps d’avant, avant que Teva ne décidât de la prendre sous son aile.
« Ah, si, quand même, les fessées ! »
S’il n’avait pas fallu présenter régulièrement ses fesses à la rigueur d’un châtiment, tout aurait été pour le mieux. C’était un rêve hors de portée. Cela allait avec. Il fallait l’accepter comme on avale un médicament amer, mais dont on sait qu’il va nous aider à guérir.

« Autant en finir au plus vite, se dit-elle. »
Marguerite avait déjà coupé l’un des rameaux de l’arbre et elle en ôtait les feuilles. Elle ploya la badine entre ses mains.
« Bien souple ! Exactement ce que veut la voisine ! »
Elle serra les fesses à la pensée de l’usage qui en serait bientôt fait. Du regard elle chercha où elle devait prendre la deuxième.
Maeva se rapprocha de l’arbre. Pas simple avec la culotte baissée à hauteur des genoux. La voisine ne les avait pas autorisées à la remonter.
« Soyez heureuses que je me vous oblige pas à aller dans la cour de l’immeuble, la jupe relevée. Vous l’auriez mérité ! Je vous donne dix minutes. Allons, filez ! »
Cette indignité leur avait effectivement été évitée, mais il suffisait de voir le sous-vêtement apparaître sous le bas de la jupe pour comprendre qu’une punition était en cours et qu’elle impliquait que les deux jeunes femmes étaient soumises à la fessée déculottée. Ce n’était qu’une confirmation. Le bruit en avait circulé de porte en porte.
Y avait-il encore quelqu’un dans l’immeuble qui n’était pas au courant ? Maeva en doutait. Se balader la culotte baissée et choisir deux badines étaient deux activités qui ne laissaient peu de doute sur ce que serait la suite. Les personnes qui rentraient chez elles ou qui en sortaient, marquaient un petit temps d’arrêt en voyant les deux filles. Leurs commentaires ne permettaient aucun doute.
« Tiens, celle-là, ce sera parfait ! »
Une fois prête Maeva testa la badine en en fouettant l’air trois ou quatre fois.
« Trop parfaite, se dit Maeva avec inquiétude ! Qu’est-ce que ça va donner sur mes fesses ? »
Il n’y avait plus beaucoup de temps et une deuxième badine à trouver.
« Ah, voilà ce qu’il faut ! »
Elle attrapa la branche et entreprit d’y prélever un deuxième rameau.

« Montrez-moi ça ! »
Maeva et Marguerite posèrent les badines dans la main que la voisine leur tendait. Celle-ci les testa une par une et elle en eut l’air satisfaite.
« Nous les testerons tout à l’heure. Ouste ! Dans la salle de bain ! »
Son appartement était la copie conforme de celui de Teva ou d’Hélène. Apparemment un peu plus petit. Le chemin vers la salle de bain n’était donc pas une découverte. La voisine prit un savon qu’elle passa sous un jet d’eau. Puis elle s’assit sur le bord de la baignoire.
« Qui passe en premier ? »
Cette fois-ci, ce fut Maeva qui fut la plus prompte.
« Assied-toi-là ! »
Elle fit asseoir Maeva sur le sol, à ses pieds, le dos tourné vers elle. Elle lui renversa alors la tête sur sa cuisse et lui pinça le nez. Elle referma ses genoux sur les épaules de Maeva, restreignant encore un peu plus sa possibilité de mouvement.
« Ouvre la bouche ! Plus grand ! »
La punition devait suivre son cours. Maeva obéit.
Le savon fit tout de suite son effet. La voisine n’y allait pas avec modération. Elle commença par faire le tour de la bouche, puis elle força le passage pour enduire de savon le dessous de la langue de Maeva. Elle s’arrêta longuement, de l’avis de Maeva, sur les dents en prenant soin de ne pas oublier celles de fond. Enfin elle glissa le savon entre la joue et les gencives.
L’odeur et le goût saturait les sens de Maeva. Elle eut un haut-le-cœur.
« Fais attention, prévint la voisine ! Que je ne te vois pas recracher la moindre goutte de salive. Ce ne serait pas une, mais deux fessées que tu prendrais et je recommencerai demain : le savon et la fessée ! »
Maeva avala la salive savonnée qui remplissait sa bouche.
« A ton tour, Marguerite ! »
Marguerite prit la place que Maeva venait de libérer. Elle ferma les yeux, mais ouvrit sa bouche en grand.
« C’est bien comme cela, tu ne bouges plus ! »
Le savon entra en action. Maeva regardait Marguerite qui s’efforçait de rester passive, laissant le savonnage aller au bout sans recracher toute cette matière qui lui collait aux dents, à la langue et au palais. Maeva ruminait le savon qu’elle avait dans la bouche. C’était vraiment d’un goût insupportable.
« Pourquoi ai-je voulu y aller en premier ? J’ai le goût du savon dans la bouche bien plus longtemps qu’elle. »
Une bonne minute et la voisine libéra Marguerite qui grimaçait en gardant la bouche ouverte.
« C’est comme pour ta copine, si tu craches… »
Inutile d’aller plus loin. Chacun avait compris ce qui se passerait.

« Marguerite, viens-ici ! »
La voisine avait posé un pied sur un petit tabouret. Marguerite s’avança jusqu’à elle. La voisine la coucha sur sa cuisse puis elle releva la jupe dévoilant les fesses et les cuisses nues jusqu’à la culotte qui était retenue par les genoux. Marguerite mordait dans son index. Ses muscles fessiers se contractaient puis ils se relâchaient, pour recommencer aussitôt.
Maeva regardait sa copine dont les fesses feraient connaissance avec la badine dans quelques secondes. Sa gorge nouée l’empêchait de déglutir. Elle partageait l’angoisse de Marguerite bien qu’elle eût encore un peu de temps avant de connaître le même sort. La peur de Marguerite était palpable dans toute la pièce. Maeva la ressentait physiquement. A moins que ce ne soit la sienne qu’elle projetait sur la scène à laquelle elle assistait ?
« C’est encore moi qui passe la deuxième, c’est comme si je recevais la fessée deux fois ! »
Maeva forcissait peut-être un peu le trait, mais il y avait du vrai. Elle anticipait dans sa tête ce qu’elle éprouverait quand elle serait bientôt à la place de Marguerite. Assister à une fessée en sachant qu’on était la suivante, l’obligeait à en ressentir, par avance, les effets.
La voisine prit l’une des baguettes qu’elle avait posées sur la table à côté d’elle. La baguette siffla dans l’air quand elle en testa la souplesse dans le vide. Tout le corps de Marguerite se tétanisa. Ce n’était pas encore le moment.
C’est quand elle relâcha ses muscles que la badine traça son premier trait rouge d’un côté à l’autre de ses fesses. Marguerite cria sans se retenir et son hurlement prolongé se finit en un sanglot qui n’eut pas le temps de se déployer avant que la voisine n’ajoutât une deuxième marque brûlante juste en dessous de la première.
Les pieds de Marguerite décrivirent une arabesque qui les amena l’un après l’autre à la hauteur des deux lignes pourpres, sans que le haut du corps ne bougeât. Le bras de la voisine, posé sur le dos de Marguerite, restreignait à la portion congrue l’espace dans lequel il pouvait se mouvoir.
Les deux marques incandescentes commencèrent à colorer la peau des fesses dans leur proximité immédiate quand, d’un geste sec du poignet, la voisine abattit la badine une troisième fois. Elle laissa son empreinte tout en bas des fesses, là où commençaient à se dessiner le haut des jambes. Le coup avait porté. Les cris de Marguerite en attestaient.
La voisine accéléra alors le tempo qu’elle donnait à la baguette. A peine la signature de la baguette déposée sur les fesses, elle repartait, sans faire de pause, pour un nouveau tour qui la ramenait à son point de départ ou tout juste à côté pour y dessiner une nouvelle griffe cramoisie qui barrait le postérieur.
Quatorze… quinze… seize… dix-sept… Maeva perdit le compte lors d’une ruade plus brusque que l’avait été ses précédentes qui obligea la voisine à repositionner Marguerite sur son genou.
« Tiens-toi tranquille ! À moins que tu ne veuilles que je recommence demain ?
– Aïe, non, pardon… j’ai mal !
– A la bonne heure, nous sommes donc sur le bon chemin !
– Ahh… ahh ! Je ne le ferai, aïe… ferai plus, aïe… »
La fessée avait repris, tout aussi vigoureuse qu’avant, mais Marguerite prenait garde à garder ses gesticulations dans des proportions acceptables.
Ses réactions se faisaient moins vives quand la voisine reposa sa badine.
« Pour cette fois, cela suffira ! »
Elle fit basculer Marguerite sur ses pieds. Celle-ci, agrippée au bras de la voisine, mit un petit moment avant de retrouver son équilibre. Ses fesses étaient totalement rouge carmin interrompu par des traits encore plus foncés qui s’élargissaient petit à petit en perdant de l’intensité.
Marguerite dansait d’un pied sur l’autre, mais cela ne faisait pas diminuer la douleur. Elle avait oublié le goût de savon qui lui emplissait la bouche. Elle tenait ses mains écartées à quelques centimètres de ses fesses. Elle sentait la chaleur qui en émanait. Pour rien au monde elle n’aurait touché à la peau que la baguette avait si parfaitement meurtri. Elle frissonna, rien qu’en anticipant la douleur que cela provoquerait. De toute façon Hélène l’interdisait et cela était valable quelle que soit la personne qui avait donné la fessée.
« Va te mettre au coin, pendant que je donne la fessée à Maeva ! »
Au coin ! C’était encore là que Marguerite préférait être après une aussi sévère fessée. Elle y retrouvait un semblant d’intimité et la position imposée lui évitait de se poser des questions sur l’attitude à adopter.
Elle marcha vers l’angle de la pièce que désignait la voisine. Elle était délivrée de la crainte qu’elle ressentait. La fessée était derrière elle. Il n’y avait plus qu’à attendre que la cuisson aiguë laisse la place à une douleur sourde, bien plus supportable. Rien de mieux que le coin pour cela.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 42
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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