vendredi 5 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 41

La vie suivait son cours chez Teva et chez Hélène. Marguerite suivait, sur le tas, une formation accélérée de documentaliste pour seconder Hélène dans son travail. Elle exerçait ses fonctions le soir en rentrant du travail et le week-end. Maeva se joignait le plus souvent à elle. Elles apprirent vite à respecter la rigueur nécessaire. Hélène sanctionnait, chez l’une ou chez l’autre, chacune des étourderies ou des approximations par une bonne fessée. Au-delà du plaisir à entrer dans l’intimité d’Hélène, les punitions constituaient un sérieux moteur incitant à fournir un travail de qualité.
L’amitié entre les deux filles grandissait, alimentée par les nombreux moments qu’elles passaient ensemble. Elles dormaient souvent ensemble, l’une dans le lit de l’autre, alternant entre les deux appartements. Elles obtenaient sans difficulté l’autorisation de partager un temps de repas ou de détente, sauf, bien sûr quand l’une des deux était punie et devait passer la soirée au coin.
Chacune avait, en fait, deux chez-soi, dans lesquels elles évoluaient aussi à l’aise dans l’un que dans l’autre. La question de l’autorité ne se posait pas. Teva et Hélène l’exerçaient autant l’une que l’autre sur les deux jeunes femmes auxquelles rien n’était concédé. Elles n’hésitaient jamais à recourir à la fessée, qui était la norme pour chaque comportement répréhensible.
Fara avait changé de fonction à son travail. Cela l’amenait à être plus souvent absent. Il prenait une part moins importante dans l’éducation des trois filles qui lui faisaient la fête quand il revenait. C’était à qui aurait la chance de passer la soirée sur ses genoux et plusieurs disputes à ce sujet entre les deux grandes se finirent par de mémorables fessées que Fara savait toujours aussi bien donner.
C’était, somme toute, une vie paisible, bien réglée par les deux figures tutélaires de Teva et d’Hélène qui faisaient régner l’harmonie dans ce petit monde. Les deux grandes recevaient souvent la fessée, mais elles ne trouvaient rien à y redire. C’était toujours justifié et proportionné à la faute qui avait amené la correction.
Cela faisait partie de la norme familiale et les câlins, sur les genoux de l’une ou de l’autre, étaient tout aussi nombreux que les punitions qu’elles y recevaient. Maeva et Marguerite se sentaient en sécurité dans ce cocon, sans s’inquiéter du décalage qu’il y avait entre leur âge et la façon dont elles étaient traitées.
Si ce n’était leur corps qui laissait voir des formes, assez peu visibles au demeurant, de femme et non de petites filles, nul n’aurait pu deviner qu’elles avaient toutes les deux aux alentours de trente ans. Elles étaient considérées comme des petites filles d’une dizaine d’années, voire moins et cela leur allait très bien. Elles échappaient ainsi aux tracas et aux responsabilités de leur âge. Recevoir la fessée faisait partie du paquet cadeau. Elles l’acceptaient avec fatalisme, comme un inconvénient qui permettait d’avoir accès à tous les autres avantages.

Avec une présence plus grande d’Hélène, Teva ne souffrait pas trop de l’absence de son compagnon. Beaucoup des temps de vie se faisaient maintenant en commun entre les deux appartements. Cela se fit, au début, un peu au hasard, puis peu à peu cela s’organisa.
Les fins d’après-midi, en particulier, furent organisées de la façon la plus rationnelle possible. Teva et Hélène alternaient. L’une préparait le dîner pour tout ce petit monde, pendant que l’autre donnait le bain aux trois filles. La semaine suivante, c’était dans l’autre sens.
Cette semaine-là, le bain se prenait chez Hélène.
« Allons, les filles, toutes les trois dans la salle de bain. C’est l’heure du bain ! »
Hélène déshabilla les trois filles, l’une après l’autre et elle les mit dans le bain. Pendant qu’elle en lavait une, les deux autres barbotaient tranquillement. C’était généralement des moments de détente qui se passaient dans le calme.
Moana, la plus petite avait le privilège de passer en premier. Comme chaque soir, elle fut lavée, séchée et mise en chemise de nuit alors que les deux grandes patientaient en jouant avec les canards et les bouteilles en plastique qui avaient initialement été prévus pour la petite.
Maeva et Marguerite s’arrosaient mutuellement, remplissant puis vidant les récipients sur les épaules de l’autre. C’est quand Maeva eut l’idée de verser le contenu d’un petit seau d’eau directement sur la tête de l’autre que Marguerite poussa un cri perçant.
« La prochaine fois, Marguerite, c’est une fessée ! »
Marguerite bouda, mais face aux sourcils d’Hélène qui se fronçaient, elle y renonça très vite. Elle prit le plus gros récipient qu’elle put trouver et elle jeta l’eau qu’il contenait au visage de Maeva qui poussa un cri. Maeva répliqua aussitôt en envoyant de l’eau sur Marguerite qui répondit de la même façon. Une bonne partie de la vague ainsi provoquée passa par-dessus le bord de la baignoire et trempa la descente de bain.
« Mais ce n’est pas vrai ! Je ne peux pas vous laisser seules deux minutes sans que cela se termine par une bêtise ! »
Ni Teva ni Hélène ne pouvaient admettre qu’un bain soit l’occasion de débordements, dans tous les sens du terme, ni sonores ni aqueux.
Les deux filles constataient catastrophées les conséquences de leur jeu. Mais il était trop tard pour revenir en arrière. Elles regardèrent Hélène qui s’emparait d’une grande serviette de bain. Elle posa son pied sur le bord de la baignoire et recouvrit sa cuisse avec la serviette.
« Par qui je commence ? »
Les deux filles se regardèrent. Il fallait y passer toutes les deux et elles faisaient confiance à Hélène pour les punir exactement de la même façon. Marguerite soupira. Elle se leva et alla se positionner, à plat-ventre sur la serviette, en travers de la cuisse d’Hélène. La première claque laissa une marque rosée qui avait vaguement la forme de la main qui venait de s’abattre sur les fesses de Marguerite. Hélène rétablit la symétrie en lui claquant le postérieur de l’autre côté.
« Ahhh, réagit Marguerite ! »
Hélène prit un rythme régulier, alternant ses claques d’un côté puis de l’autre. Les fesses de Marguerite rougirent très vite et chaque claque en assombrissait un peu plus la couleur. Au début, il y avait quelques gouttes d’eau qui giclaient sous la main d’Hélène. Puis, la fessée se poursuivant, la peau des fesses fut bientôt sèche alors que l’eau luisait encore sur tout le reste du corps de la jeune femme qui accusait chaque contact de la main d’Hélène avec son postérieur par des cris qui devenaient de plus en plus étranglés. Elle fut conduite très vite au bord des larmes.
Maeva regardait cela avec appréhension la scène qui se déroulait sous ses yeux, finalement, c’était Marguerite qui avait pris la meilleure place. De toute façon, elle recevrait la même fessée que celle qui se déroulait actuellement. Ce ne serait pas la correction la plus sévère qu’elle aurait reçue, mais elle s’attendait à finir avec les fesses cuisantes, probablement ce que ressentait Marguerite en ce moment. Attendre et contempler aux premières loges ce qui allait lui arriver d’ici quelques minutes, c’était bien pire que d’y passer tout de suite. Elle aurait dû y songer.
Hélène prit la brosse de bain. Elle était en bois lisse, avec un dos ovoïde et un long manche. Dix coups sur chaque fesse et la fessée fut finie. Marguerite sanglotait. La fessée finale avec la brosse avait achevé de venir à bout de sa retenue.
« Va te mettre le nez contre le mur et les mains sur la tête ! »
Retenant les sanglots qui soulevaient encore sa poitrine, Marguerite fit demi-tour dans la baignoire et posa son nez contre le mur à l’endroit qu’Hélène pointait du doigt. Elle croisa ses doigts sur le sommet de son crâne. La brosse avait laissé des marques ovales du pourtour duquel émanaient des vagues de douleur. Le plus difficile de la punition était passé. Il ne restait plus qu’à attendre.
« A ton tour, Maeva ! »
L’interpellée se leva et elle se plaça dans la même position qui avait été celle de Marguerite auparavant. Une fessée à main nue achevée avec la brosse puis le piquet : elle savait à quoi s’attendre. Cela ne faisait pas disparaître la boule qui grossissait dans son ventre.
« Aïe ! »
La fessée venait de commencer.

Hélène hocha la tête.
« Régulièrement, avec ces deux-là, il faut aller jusqu’au bout ! Quand donc grandiront-elles ? »
Elle contemplait les deux filles qui lui présentaient leurs fesses rouges dont la couleur était parsemée de marques ovales plus sombres.
« De quoi les occuper pendant quelques dizaines de minutes ! »
Marguerite et Maeva se tenaient les pieds dans l’eau. Elles étaient debout, côte à côte, parfaitement immobiles, les mains sur la tête, regardant fixement devant elles, le nez posé contre le mur le long duquel la baignoire était installée.
« Elles sont bien là. Je vais les y laisser quelques minutes. »
Elle étala une serpillère là où le jeu des deux jeunes femmes avait envoyé de l’eau et elle finit de s’occuper de Moana qui attendait patiemment qu’Hélène veille bien finir de la préparer en passant un coup de brosse dans ses cheveux que le séchage avait ébouriffés.
« Va jouer dans le salon en attendant les grandes ! »
La claque sur les fesses qui donna le signal du départ à Moana était une caresse. Moana partit en bondissant à chaque pas. Hélène acheva d’éponger l’eau répandue sur le sol et elle étala la serpillère pour la mettre à sécher.
« Quelques minutes au coin ne leur feront pas de mal. Au contraire ! »
Elle sortit de la salle de bain, laissant les deux filles au piquet.

Quand elle revint, rien n’avait bougé. Une petite claque sur les fesses de Marguerite.
« Viens-ici que je te lave ! »
Marguerite baissait la tête, mais elle vint se mettre à disposition de sa tutrice. Elle faisait tous les efforts possibles pour lui faciliter la tâche, non pas par peur d’une autre fessée, ce n’était pas l’habitude avec Hélène qu’elle corrige sans raison valable, mais de honte de s’être, encore une fois, comportée comme une petite fille qui avait eu besoin d’une fessée. Elle voulait montrer à Hélène qu’elle regrettait son comportement en étant la plus sage et la plus obéissante possible.
Hélène remarqua bien l’attitude repentante de la jeune femme qu’elle avait devant elle. Elle gardait difficilement un air sévère. La contrition de Marguerite et sa volonté de la montrer la faisait sourire… intérieurement. Il ne fallait pas, bien sûr, que sa pupille se rende compte que la situation amusait sa tutrice. Tout le bénéfice de la punition en aurait été perdu.
« Lève les bras… tourne-toi… écarte les jambes… pose ton pied là… l’autre… »
Marguerite obéissait à la seconde. Elle regardait sa tutrice à la dérobée, cherchant à savoir si elle était toujours fâchée. Hélène veillait à ce que ses gestes soient le plus doux possible, surtout quand elle passait dans les endroits fragiles : les fesses encore marquées par la brosse de bain, le pubis, l’intérieur des cuisses. Elle voulait que ce moment où elle s’occupait de l’intimité de sa pupille restât un moment de douceur, malgré la fessée qui l’avait précédé.
Marguerite n’eut la réponse qu’après avoir été séchée et qu’elle se soit retrouvée en chemise de nuit. Hélène la prit dans ses bras, elle lui donna un long bisou sur le front et elle la garda un petit moment contre elle. Marguerite se détendit. Elle se savait pardonnée.
« File dans ta chambre, dit-elle en lui donnant une petite tape sur les fesses ! Sois sage ! Je t’envoie ta copine dès que j’en ai fini avec elle. »
Marguerite était sereine. La fessée était derrière elle. La soirée s’annonçait sous les meilleurs auspices. Peut-être pourrait-elle encore bénéficier d’un autre câlin dans les bras d’Hélène ?

« A ton tour, Maeva ! »
Maeva vint se placer pour qu’Hélène puisse aisément faire sa toilette. Elle voulait, elle aussi faire bonne impression auprès d’Hélène. Tout se déroula parfaitement jusqu’au moment où Hélène voulut l’habiller. Hélène fouilla parmi les affaires que Maeva avait abandonnées pour entrer dans le bain.
« Mais où est ta chemise de nuit ? »
Maeva prit un air consterné.
« Je ne sais pas. Elle doit être là, non ? »
Maeva retourna, à son tour, le tas de vêtements posé sur la chaise, mais elle fut incapable d’en sortir la chemise de nuit.
« Es-tu sûre de l’avoir apportée ? »
Maeva était coutumière de ce genre d’étourderies. C’était la deuxième fois cette semaine qu’elle omettait de prendre son vêtement de nuit avant de venir prendre sa douche. Hélène avait été claire sur ce qui se passerait, s’il y avait une prochaine fois.
« Oui, je l’ai prise avec moi ! »
Elle retourna de nouveau les vêtements, mais sans grande conviction cette fois-ci.
« Ne l’aurais-tu pas plutôt oubliée ? »
Maeva baissa les yeux.
« Si, je crois.
– Cinq fois en deux semaines. Je pense que cela fait beaucoup trop. Que t’avais-je dit qu’il t’arriverait si tu l’oubliais encore une fois ? »
Maeva leva brièvement les yeux et croisa le regard d’Hélène. Il n’y avait aucun doute, cet épisode irait jusqu’au bout. Une claque sur ses fesses vint renforcer sa conviction.
« Alors ?
– Une fessée ?
– C’est bien cela ! »
Maeva est nue comme un ver. Il n’y avait donc nul besoin de préparation pour passer à une correction. Il suffisait de la courber sous le bras, position dans laquelle elle se retrouva sans avoir tenté de résister, et c’était parti.
« Tu vas apprendre, petite écervelée, à faire plus attention à ce que tu fais. Je pense que des fesses rouges vont t’y aider ! »
Il ne fallut qu’une grosse minute à Hélène pour augmenter la cuisson des fesses de sa punie pour que celle-ci demandât grâce. En vain. La fessée se poursuivit une autre bonne minute avant qu’Hélène n’estimât que la leçon eût porté.
« Tu vas aller chercher ta chemise de nuit, mais tu vas revenir la mettre ici. Je déciderai alors s’il te faut une autre fessée. »
Maeva prit sa culotte dans le tas de vêtements.
« Que fais-tu, l’arrêta Hélène ?
– Je m’habille pour retourner chez moi.
– T’ai-je dit de te rhabiller ? »
Maeva comprenait maintenant quelle était l’intention d’Hélène.
« Oh non, s'il te plait !
– Tu vas aller chercher ta chemise de nuit dans cette tenue. Ce sera dorénavant comme cela à chaque fois que tu l’oublieras. Je pense qu’à l’avenir, tu vas être plus attentive. »
La claque sur les fesses n’avait rien d’anecdotique. Maeva voulait éviter une nouvelle fessée. Elle commençait à trouver que ses fesses avaient été suffisamment mises à contribution pour ce soir. Elle fila dans le couloir jusqu’à la porte qui donnait sur le palier. Là elle fit une pause et elle se retourna. Un pas d’Hélène dans sa direction lui fit franchir le seuil sans avoir vraiment réfléchi à ce qu’elle ferait une fois sur le palier en tenue d’Eve. La porte se referma derrière elle. Il n’y avait plus d’autre solution que d’aller de l’avant, ce qui signifiait franchir les quatre ou cinq mètres qui la séparaient de son appartement. Elle y sonna.
Le silence lui répondit. Elle savait, ou elle croyait savoir, ou elle se doutait que Teva avait entendu. Pas question de sonner une nouvelle fois. Sa dernière tentative de montrer ainsi son impatience s’était achevé par des fesses cuisantes. Elle ne tenait pas à recommencer.
« Teva a-t-elle vraiment entendu ?  Je ne peux pas rester là. Si quelqu’un arrive ?»
Elle s’apprêtait à réappuyer sur la sonnette quand elle entendit qu’on montait l’escalier. Une personne arrivait. Maeva regarda autour d’elle : nul endroit où se cacher. Elle plaça une main sur son pubis et un bras en travers de sa poitrine, elle serra les jambes et se recroquevilla légèrement, consciente que cela ne dissimulait rien de sa nudité.
« Maeva ? C’est bien Maeva, n’est-ce pas ?
– Oh non ! »
C’était une des voisines qu’elle avait croisée trois ou quatre fois depuis qu’elle habitait chez Teva. Elle n’avait jamais eu l’occasion d’échanger réellement avec elle. C’était, cependant, l’une de celles qui s’était engagées, si besoin, à donner une correction aux deux filles.
« Que fais-tu là, Maeva, dans cette tenue ?
– Non, non, non, persistait cette dernière. »
Maeva se tortillait dans tous les sens, ne sachant trop que faire de ses mains, sans arriver à améliorer sa situation. La voisine ne semblait pas apprécier qu’elle l’ignorât.
« La moindre des politesses serait que tu me répondes. Regarde-moi ! »
Maeva avait trop à faire pour cacher son intimité exposée, sans se soucier, en plus, de ce que lui racontait cette dame.
« Vas-tu cesser ta comédie ? »
Elle prit Maeva par le bras et la rapprocha d’elle, malgré la résistance que montrait la jeune femme.
« Mais dis-moi… »
Le rouge des fesses de Maeva avait attiré son regard. Elle fit pivoter la jeune femme jusqu’à voir ses fesses de trois-quarts.
« C’est bien cela, tu viens de prendre une fessée ! Qu’as-tu encore fait ?
– Laissez-moi, laissez-moi tranquille !
– Tu rajoutes de l’insolence à l’impolitesse. Je pense que tu dépasses les bornes, ma fille ! »
La porte s’ouvrit et Teva ouvrit des yeux ronds. Maeva tenta de s’engouffrer dans l’espace libre que Teva laissait en s’encadrant dans la porte. Elle fut cueillie au vol par sa sœur qui la ramena sur le palier.
« Pas si vite, jeune fille, que fais-tu là ? Pourquoi es-tu déshabillée ? »
Avec Teva qui posait les questions, il n’était plus question de conserver un quelconque mutisme.
« C’est Hélène qui m’a dit d’aller chercher ma chemise de nuit
– Tu l’avais encore oubliée ! »
Maeva hocha la tête et baissa les yeux.
« C’est à la sortie du bain qu’Hélène s’en est rendue compte ? Et elle t’a envoyé comme tu étais, c'est-à-dire sans aucun vêtement ? »
Nouveau hochement de tête.
« Montre voir. »
Teva fit pivoter Maeva pour mettre ses fesses face à la lumière.
« Et tu as eu une fessée ?
– Oui, répondit Maeva d’une toute petite voix.
– Hélène te l’avait promise si tu oubliais encore une fois. Elle a donc tenu sa promesse. Je pense qu’elle a eu raison. Tu as de la chance qu’elle t’ait déjà corrigée. Autrement, c’est moi qui m’en serai chargée. Mais je ne te punirai pas une deuxième fois pour la même chose, d’autant plus que de t’obliger à venir chercher la chemise de nuit toute nuit prolonge judicieusement la fessée que tu as reçue.
– Pour l’oubli, sans doute, mais que faites-vous de l’impolitesse et de l’insolence, demanda la voisine ?
– De quoi parlez-vous ? »
Rapidement, la voisine mit Teva au courant de ce qui venait de se passer quelques minutes plus tôt sur le palier.
« Maeva, tu vas voir la voisine qu’elle voie avec toi ce qui vient de se passer ! »
Et se tournant vers la voisine…
« Je vous propose de régler vous-même avec Maeva les bêtises qu’elle a commises. C’est à vous de décider. Personnellement je ne verrai pas d’inconvénient à ce que vous lui donniez une bonne fessée, au contraire. J’ai toutes les raisons de penser qu’elle en mérite une. Je vous laisse faire. Je vais chercher la chemise de nuit de Maeva. »


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 40
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.