L’amitié entre les deux filles grandissait, alimentée par les nombreux moments qu’elles passaient ensemble. Elles dormaient souvent ensemble, l’une dans le lit de l’autre, alternant entre les deux appartements. Elles obtenaient sans difficulté l’autorisation de partager un temps de repas ou de détente, sauf, bien sûr quand l’une des deux était punie et devait passer la soirée au coin.
Chacune avait, en
fait, deux chez-soi, dans lesquels elles évoluaient aussi à l’aise dans l’un
que dans l’autre. La question de l’autorité ne se posait pas. Teva et Hélène
l’exerçaient autant l’une que l’autre sur les deux jeunes femmes auxquelles rien
n’était concédé. Elles n’hésitaient jamais à recourir à la fessée, qui était la
norme pour chaque comportement répréhensible.
Fara avait changé
de fonction à son travail. Cela l’amenait à être plus souvent absent. Il
prenait une part moins importante dans l’éducation des trois filles qui lui
faisaient la fête quand il revenait. C’était à qui aurait la chance de passer
la soirée sur ses genoux et plusieurs disputes à ce sujet entre les deux
grandes se finirent par de mémorables fessées que Fara savait toujours aussi
bien donner.
C’était, somme
toute, une vie paisible, bien réglée par les deux figures tutélaires de Teva et
d’Hélène qui faisaient régner l’harmonie dans ce petit monde. Les deux grandes
recevaient souvent la fessée, mais elles ne trouvaient rien à y redire. C’était
toujours justifié et proportionné à la faute qui avait amené la correction.
Cela faisait
partie de la norme familiale et les câlins, sur les genoux de l’une ou de
l’autre, étaient tout aussi nombreux que les punitions qu’elles y recevaient.
Maeva et Marguerite se sentaient en sécurité dans ce cocon, sans s’inquiéter du
décalage qu’il y avait entre leur âge et la façon dont elles étaient traitées.
Si ce n’était
leur corps qui laissait voir des formes, assez peu visibles au demeurant, de
femme et non de petites filles, nul n’aurait pu deviner qu’elles avaient toutes
les deux aux alentours de trente ans. Elles étaient considérées comme des
petites filles d’une dizaine d’années, voire moins et cela leur allait très
bien. Elles échappaient ainsi aux tracas et aux responsabilités de leur âge.
Recevoir la fessée faisait partie du paquet cadeau. Elles l’acceptaient avec
fatalisme, comme un inconvénient qui permettait d’avoir accès à tous les autres
avantages.
Avec une présence
plus grande d’Hélène, Teva ne souffrait pas trop de l’absence de son compagnon.
Beaucoup des temps de vie se faisaient maintenant en commun entre les deux
appartements. Cela se fit, au début, un peu au hasard, puis peu à peu cela
s’organisa.
Les fins
d’après-midi, en particulier, furent organisées de la façon la plus rationnelle
possible. Teva et Hélène alternaient. L’une préparait le dîner pour tout ce
petit monde, pendant que l’autre donnait le bain aux trois filles. La semaine
suivante, c’était dans l’autre sens.
Cette semaine-là,
le bain se prenait chez Hélène.
« Allons,
les filles, toutes les trois dans la salle de bain. C’est l’heure du bain ! »
Hélène déshabilla
les trois filles, l’une après l’autre et elle les mit dans le bain. Pendant
qu’elle en lavait une, les deux autres barbotaient tranquillement. C’était généralement
des moments de détente qui se passaient dans le calme.
Moana, la plus
petite avait le privilège de passer en premier. Comme chaque soir, elle fut
lavée, séchée et mise en chemise de nuit alors que les deux grandes
patientaient en jouant avec les canards et les bouteilles en plastique qui
avaient initialement été prévus pour la petite.
Maeva et Marguerite
s’arrosaient mutuellement, remplissant puis vidant les récipients sur les
épaules de l’autre. C’est quand Maeva eut l’idée de verser le contenu d’un
petit seau d’eau directement sur la tête de l’autre que Marguerite poussa un
cri perçant.
« La
prochaine fois, Marguerite, c’est une fessée ! »
Marguerite bouda,
mais face aux sourcils d’Hélène qui se fronçaient, elle y renonça très vite.
Elle prit le plus gros récipient qu’elle put trouver et elle jeta l’eau qu’il
contenait au visage de Maeva qui poussa un cri. Maeva répliqua aussitôt en
envoyant de l’eau sur Marguerite qui répondit de la même façon. Une bonne
partie de la vague ainsi provoquée passa par-dessus le bord de la baignoire et
trempa la descente de bain.
« Mais ce
n’est pas vrai ! Je ne peux pas vous laisser seules deux minutes sans que
cela se termine par une bêtise ! »
Ni Teva ni Hélène
ne pouvaient admettre qu’un bain soit l’occasion de débordements, dans tous les
sens du terme, ni sonores ni aqueux.
Les deux filles constataient
catastrophées les conséquences de leur jeu. Mais il était trop tard pour
revenir en arrière. Elles regardèrent Hélène qui s’emparait d’une grande serviette
de bain. Elle posa son pied sur le bord de la baignoire et recouvrit sa cuisse
avec la serviette.
« Par qui je
commence ? »
Les deux filles
se regardèrent. Il fallait y passer toutes les deux et elles faisaient
confiance à Hélène pour les punir exactement de la même façon. Marguerite
soupira. Elle se leva et alla se positionner, à plat-ventre sur la serviette,
en travers de la cuisse d’Hélène. La première claque laissa une marque rosée
qui avait vaguement la forme de la main qui venait de s’abattre sur les fesses
de Marguerite. Hélène rétablit la symétrie en lui claquant le postérieur de
l’autre côté.
« Ahhh,
réagit Marguerite ! »
Hélène prit un
rythme régulier, alternant ses claques d’un côté puis de l’autre. Les fesses de
Marguerite rougirent très vite et chaque claque en assombrissait un peu plus la
couleur. Au début, il y avait quelques gouttes d’eau qui giclaient sous la main
d’Hélène. Puis, la fessée se poursuivant, la peau des fesses fut bientôt sèche
alors que l’eau luisait encore sur tout le reste du corps de la jeune femme qui
accusait chaque contact de la main d’Hélène avec son postérieur par des cris
qui devenaient de plus en plus étranglés. Elle fut conduite très vite au bord
des larmes.
Maeva regardait
cela avec appréhension la scène qui se déroulait sous ses yeux, finalement,
c’était Marguerite qui avait pris la meilleure place. De toute façon, elle
recevrait la même fessée que celle qui se déroulait actuellement. Ce ne serait
pas la correction la plus sévère qu’elle aurait reçue, mais elle s’attendait à
finir avec les fesses cuisantes, probablement ce que ressentait Marguerite en ce
moment. Attendre et contempler aux premières loges ce qui allait lui arriver
d’ici quelques minutes, c’était bien pire que d’y passer tout de suite. Elle
aurait dû y songer.
Hélène prit la
brosse de bain. Elle était en bois lisse, avec un dos ovoïde et un long manche.
Dix coups sur chaque fesse et la fessée fut finie. Marguerite sanglotait. La
fessée finale avec la brosse avait achevé de venir à bout de sa retenue.
« Va te
mettre le nez contre le mur et les mains sur la tête ! »
Retenant les
sanglots qui soulevaient encore sa poitrine, Marguerite fit demi-tour dans la
baignoire et posa son nez contre le mur à l’endroit qu’Hélène pointait du
doigt. Elle croisa ses doigts sur le sommet de son crâne. La brosse avait
laissé des marques ovales du pourtour duquel émanaient des vagues de douleur.
Le plus difficile de la punition était passé. Il ne restait plus qu’à attendre.
« A ton
tour, Maeva ! »
L’interpellée se
leva et elle se plaça dans la même position qui avait été celle de Marguerite
auparavant. Une fessée à main nue achevée avec la brosse puis le piquet :
elle savait à quoi s’attendre. Cela ne faisait pas disparaître la boule qui
grossissait dans son ventre.
« Aïe ! »
La
fessée venait de commencer.
Hélène
hocha la tête.
« Régulièrement,
avec ces deux-là, il faut aller jusqu’au bout ! Quand donc
grandiront-elles ? »
Elle
contemplait les deux filles qui lui présentaient leurs fesses rouges dont la
couleur était parsemée de marques ovales plus sombres.
« De
quoi les occuper pendant quelques dizaines de minutes ! »
Marguerite
et Maeva se tenaient les pieds dans l’eau. Elles étaient debout, côte à côte,
parfaitement immobiles, les mains sur la tête, regardant fixement devant elles,
le nez posé contre le mur le long duquel la baignoire était installée.
« Elles
sont bien là. Je vais les y laisser quelques minutes. »
Elle
étala une serpillère là où le jeu des deux jeunes femmes avait envoyé de l’eau
et elle finit de s’occuper de Moana qui attendait patiemment qu’Hélène veille
bien finir de la préparer en passant un coup de brosse dans ses cheveux que le
séchage avait ébouriffés.
« Va
jouer dans le salon en attendant les grandes ! »
La
claque sur les fesses qui donna le signal du départ à Moana était une caresse.
Moana partit en bondissant à chaque pas. Hélène acheva d’éponger l’eau répandue
sur le sol et elle étala la serpillère pour la mettre à sécher.
« Quelques
minutes au coin ne leur feront pas de mal. Au contraire ! »
Elle
sortit de la salle de bain, laissant les deux filles au piquet.
Quand
elle revint, rien n’avait bougé. Une petite claque sur les fesses de Marguerite.
« Viens-ici
que je te lave ! »
Marguerite
baissait la tête, mais elle vint se mettre à disposition de sa tutrice. Elle
faisait tous les efforts possibles pour lui faciliter la tâche, non pas par peur
d’une autre fessée, ce n’était pas l’habitude avec Hélène qu’elle corrige sans
raison valable, mais de honte de s’être, encore une fois, comportée comme une
petite fille qui avait eu besoin d’une fessée. Elle voulait montrer à Hélène
qu’elle regrettait son comportement en étant la plus sage et la plus obéissante
possible.
Hélène
remarqua bien l’attitude repentante de la jeune femme qu’elle avait devant
elle. Elle gardait difficilement un air sévère. La contrition de Marguerite et
sa volonté de la montrer la faisait sourire… intérieurement. Il ne fallait pas,
bien sûr, que sa pupille se rende compte que la situation amusait sa tutrice.
Tout le bénéfice de la punition en aurait été perdu.
« Lève
les bras… tourne-toi… écarte les jambes… pose ton pied là… l’autre… »
Marguerite
obéissait à la seconde. Elle regardait sa tutrice à la dérobée, cherchant à
savoir si elle était toujours fâchée. Hélène veillait à ce que ses gestes
soient le plus doux possible, surtout quand elle passait dans les endroits
fragiles : les fesses encore marquées par la brosse de bain, le pubis,
l’intérieur des cuisses. Elle voulait que ce moment où elle s’occupait de
l’intimité de sa pupille restât un moment de douceur, malgré la fessée qui
l’avait précédé.
Marguerite
n’eut la réponse qu’après avoir été séchée et qu’elle se soit retrouvée en
chemise de nuit. Hélène la prit dans ses bras, elle lui donna un long bisou sur
le front et elle la garda un petit moment contre elle. Marguerite se détendit.
Elle se savait pardonnée.
« File
dans ta chambre, dit-elle en lui donnant une petite tape sur les fesses ! Sois
sage ! Je t’envoie ta copine dès que j’en ai fini avec elle. »
Marguerite
était sereine. La fessée était derrière elle. La soirée s’annonçait sous les
meilleurs auspices. Peut-être pourrait-elle encore bénéficier d’un autre câlin
dans les bras d’Hélène ?
« A
ton tour, Maeva ! »
Maeva
vint se placer pour qu’Hélène puisse aisément faire sa toilette. Elle voulait,
elle aussi faire bonne impression auprès d’Hélène. Tout se déroula parfaitement
jusqu’au moment où Hélène voulut l’habiller. Hélène fouilla parmi les affaires
que Maeva avait abandonnées pour entrer dans le bain.
« Mais
où est ta chemise de nuit ? »
Maeva
prit un air consterné.
« Je
ne sais pas. Elle doit être là, non ? »
Maeva
retourna, à son tour, le tas de vêtements posé sur la chaise, mais elle fut
incapable d’en sortir la chemise de nuit.
« Es-tu
sûre de l’avoir apportée ? »
Maeva
était coutumière de ce genre d’étourderies. C’était la deuxième fois cette
semaine qu’elle omettait de prendre son vêtement de nuit avant de venir prendre
sa douche. Hélène avait été claire sur ce qui se passerait, s’il y avait une
prochaine fois.
« Oui,
je l’ai prise avec moi ! »
Elle
retourna de nouveau les vêtements, mais sans grande conviction cette fois-ci.
« Ne
l’aurais-tu pas plutôt oubliée ? »
Maeva
baissa les yeux.
« Si,
je crois.
–
Cinq fois en deux semaines. Je pense que cela fait beaucoup trop. Que
t’avais-je dit qu’il t’arriverait si tu l’oubliais encore une
fois ? »
Maeva
leva brièvement les yeux et croisa le regard d’Hélène. Il n’y avait aucun
doute, cet épisode irait jusqu’au bout. Une claque sur ses fesses vint
renforcer sa conviction.
« Alors ?
–
Une fessée ?
–
C’est bien cela ! »
Maeva
est nue comme un ver. Il n’y avait donc nul besoin de préparation pour passer à
une correction. Il suffisait de la courber sous le bras, position dans laquelle
elle se retrouva sans avoir tenté de résister, et c’était parti.
« Tu
vas apprendre, petite écervelée, à faire plus attention à ce que tu fais. Je
pense que des fesses rouges vont t’y aider ! »
Il
ne fallut qu’une grosse minute à Hélène pour augmenter la cuisson des fesses de
sa punie pour que celle-ci demandât grâce. En vain. La fessée se poursuivit une
autre bonne minute avant qu’Hélène n’estimât que la leçon eût porté.
« Tu
vas aller chercher ta chemise de nuit, mais tu vas revenir la mettre ici. Je
déciderai alors s’il te faut une autre fessée. »
Maeva
prit sa culotte dans le tas de vêtements.
« Que
fais-tu, l’arrêta Hélène ?
–
Je m’habille pour retourner chez moi.
–
T’ai-je dit de te rhabiller ? »
Maeva
comprenait maintenant quelle était l’intention d’Hélène.
« Oh
non, s'il te plait !
–
Tu vas aller chercher ta chemise de nuit dans cette tenue. Ce sera dorénavant
comme cela à chaque fois que tu l’oublieras. Je pense qu’à l’avenir, tu vas
être plus attentive. »
La
claque sur les fesses n’avait rien d’anecdotique. Maeva voulait éviter une
nouvelle fessée. Elle commençait à trouver que ses fesses avaient été
suffisamment mises à contribution pour ce soir. Elle fila dans le couloir
jusqu’à la porte qui donnait sur le palier. Là elle fit une pause et elle se
retourna. Un pas d’Hélène dans sa direction lui fit franchir le seuil sans
avoir vraiment réfléchi à ce qu’elle ferait une fois sur le palier en tenue
d’Eve. La porte se referma derrière elle. Il n’y avait plus d’autre solution
que d’aller de l’avant, ce qui signifiait franchir les quatre ou cinq mètres
qui la séparaient de son appartement. Elle y sonna.
Le
silence lui répondit. Elle savait, ou elle croyait savoir, ou elle se doutait
que Teva avait entendu. Pas question de sonner une nouvelle fois. Sa dernière
tentative de montrer ainsi son impatience s’était achevé par des fesses
cuisantes. Elle ne tenait pas à recommencer.
« Teva
a-t-elle vraiment entendu ? Je ne peux pas rester là. Si quelqu’un
arrive ?»
Elle
s’apprêtait à réappuyer sur la sonnette quand elle entendit qu’on montait
l’escalier. Une personne arrivait. Maeva regarda autour d’elle : nul
endroit où se cacher. Elle plaça une main sur son pubis et un bras en travers
de sa poitrine, elle serra les jambes et se recroquevilla légèrement, consciente
que cela ne dissimulait rien de sa nudité.
« Maeva ?
C’est bien Maeva, n’est-ce pas ?
–
Oh non ! »
C’était
une des voisines qu’elle avait croisée trois ou quatre fois depuis qu’elle
habitait chez Teva. Elle n’avait jamais eu l’occasion d’échanger réellement
avec elle. C’était, cependant, l’une de celles qui s’était engagées, si besoin,
à donner une correction aux deux filles.
« Que
fais-tu là, Maeva, dans cette tenue ?
–
Non, non, non, persistait cette dernière. »
Maeva
se tortillait dans tous les sens, ne sachant trop que faire de ses mains, sans
arriver à améliorer sa situation. La voisine ne semblait pas apprécier qu’elle
l’ignorât.
« La
moindre des politesses serait que tu me répondes. Regarde-moi ! »
Maeva
avait trop à faire pour cacher son intimité exposée, sans se soucier, en plus,
de ce que lui racontait cette dame.
« Vas-tu
cesser ta comédie ? »
Elle
prit Maeva par le bras et la rapprocha d’elle, malgré la résistance que
montrait la jeune femme.
« Mais
dis-moi… »
Le
rouge des fesses de Maeva avait attiré son regard. Elle fit pivoter la jeune
femme jusqu’à voir ses fesses de trois-quarts.
« C’est
bien cela, tu viens de prendre une fessée ! Qu’as-tu encore fait ?
–
Laissez-moi, laissez-moi tranquille !
–
Tu rajoutes de l’insolence à l’impolitesse. Je pense que tu dépasses les
bornes, ma fille ! »
La
porte s’ouvrit et Teva ouvrit des yeux ronds. Maeva tenta de s’engouffrer dans
l’espace libre que Teva laissait en s’encadrant dans la porte. Elle fut
cueillie au vol par sa sœur qui la ramena sur le palier.
« Pas
si vite, jeune fille, que fais-tu là ? Pourquoi es-tu
déshabillée ? »
Avec
Teva qui posait les questions, il n’était plus question de conserver un
quelconque mutisme.
« C’est
Hélène qui m’a dit d’aller chercher ma chemise de nuit
–
Tu l’avais encore oubliée ! »
Maeva
hocha la tête et baissa les yeux.
« C’est
à la sortie du bain qu’Hélène s’en est rendue compte ? Et elle t’a envoyé
comme tu étais, c'est-à-dire sans aucun vêtement ? »
Nouveau
hochement de tête.
« Montre
voir. »
Teva
fit pivoter Maeva pour mettre ses fesses face à la lumière.
« Et
tu as eu une fessée ?
–
Oui, répondit Maeva d’une toute petite voix.
–
Hélène te l’avait promise si tu oubliais encore une fois. Elle a donc tenu sa
promesse. Je pense qu’elle a eu raison. Tu as de la chance qu’elle t’ait déjà
corrigée. Autrement, c’est moi qui m’en serai chargée. Mais je ne te punirai
pas une deuxième fois pour la même chose, d’autant plus que de t’obliger à
venir chercher la chemise de nuit toute nuit prolonge judicieusement la fessée
que tu as reçue.
–
Pour l’oubli, sans doute, mais que faites-vous de l’impolitesse et de
l’insolence, demanda la voisine ?
–
De quoi parlez-vous ? »
Rapidement,
la voisine mit Teva au courant de ce qui venait de se passer quelques minutes
plus tôt sur le palier.
« Maeva,
tu vas voir la voisine qu’elle voie avec toi ce qui vient de se
passer ! »
Et
se tournant vers la voisine…
« Je
vous propose de régler vous-même avec Maeva les bêtises qu’elle a commises.
C’est à vous de décider. Personnellement je ne verrai pas d’inconvénient à ce
que vous lui donniez une bonne fessée, au contraire. J’ai toutes les raisons de
penser qu’elle en mérite une. Je vous laisse faire. Je vais chercher la chemise
de nuit de Maeva. »
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 40
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
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