samedi 6 février 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 42

 Justine se relève péniblement.

- Non tu ne te passes pas la main sur tes fesses, tu les poses sur ta tête, allez plus vite que ça.

En parfaite fesseuse, elle a agrémenté sa remarque d’une bonne claque sur le fessier qui semble fumer, tandis que nous découvrons le visage ravagé de sa victime, le maquillage de ses yeux a coulé sur ses joues, elle renifle, n’ose pas se moucher, ni essuyer ses larmes, mâtée, elle ne bronche pas quand elle découvre la caméra que tient ma cousine qui immortalise le spectacle de sa déchéance, elle a compris qu’il ne fallait pas céder, il aurait fallu qu’elle se sauve, tant pis, ses parents auraient été informés de ses manquements, c’était un mauvais moment à passer, rien de plus, quelques sanctions peut-être, mais rien de comparable avec ce qui l’attend à présent. Non seulement, nous n’en avons pas fini avec ses fesses, mais les deux harpies et moi dans une moindre mesure, avons désormais définitivement barre sur elle avec cette vidéo que l’on pourra menacer de diffuser le plus largement possible.

Les filles ne l’ont pas laissé languir très longtemps au piquet, juste le temps qu’elle calme ses sanglots, je la contemplais avec ravissement, les mains croisées sur sa tête, sa culotte tombée sur ses chevilles graciles, ses jolies jambes légèrement écartées aux fins de se donner la fausse impression de calmer la chaleur de ses fesses, tu parles que je connaissais la musique, cette fois c’est moi qui la pris en photo, j’avais demandé à un pote de me prêter son appareil en prévision de cette après-midi que j’espérais fructueuse. Cela fit se marrer les filles.

- Attends, on va la faire mettre de face, ce sera tout de même plus savoureux.

Et c’est ce qu’elles ont fait, Justine, décidemment domptée et avec encore des larmes plein les yeux ne fit nulle difficulté pour se retourner et se prêter à mes entreprises photographiques.

- Allez, approche-toi, on n’a pas toute la nuit, tu vas avoir droit à une deuxième tournée, c’est Lucie qui va s’occuper de tes fesses, c’est l’offensée et tu peux t’attendre à du sérieux ma chérie.

-  Non, je ne veux pas, c’est terminé, vous êtes une bande de sadiques.

- C’est comme tu voudras ma jolie, tu as dû remarquer que Lucie t’a d’ores et déjà filmé dans une situation intéressante, sans compter les photos qu’a prises Fabien pour son album personnel, on peut envoyer l’ensemble à tes vieux ou les faire circuler à droite à gauche, tu pourras toujours aller raconter qu’on t’a forcée, mais ce n’est pas gagné d’avance, surtout que tu n’avais pas l’air de trop te défendre, c’est toi qui vois.

Justine hésite, elle a toujours les fesses à l’air et son slip sur les chevilles, j’en profite pour prendre quelques nouvelles photos, finalement elle cède.

- Bon d’accord, mais moins fort que tout à l’heure.

- Ça c’est moi qui décide, reprend Lucie qui vient remplacer sa copine sur sa chaise.

- Allez, bouge tes fesses petite garce, je vais te les arranger, crois-moi.

Ce n’était pas une promesse en l’air et Justine a payé au prix fort ses trahisons vraies ou fausses, Lucie était une des meilleures fesseuses que j’ai connues, hélas au grand détriment de mon fessier. Elle tapait fort, faisant prendre de l’élan à son bras, de sorte que quand sa main qu’elle arrondissait pour que l’impact sur la chair en soit plus significatif, tu prenais cher et elle poursuivait ne te laissant aucun répit, sans précipitation, même si c’était bien moins ordonné que chez Corinne, elle préférait te massacrer d’abord une fesse, pousser sa victime à bout, dès qu’elle percevait qu’elle avait atteint son but, c’est-à-dire que les premiers sanglots se pointaient, succédant aux gémissements et aux cris de douleur, elle s’attaquait à l’autre fesse avec non moins de vigueur. Quand elle avait pris à son tour la couleur de la tomate bien mûre, elle recommençait à tanner le premier hémisphère.

Justine n’en pouvait plus, ses fesses avait pris la couleur de la groseille écrasée, on ne l’entendait presque plus piauler, Fabien connaissait bien le phénomène, la donzelle se trouvait quasiment en état d’apnée, un truc qui ne trompait pas et démontrait qu’elle était désormais à bout, elle remuait les jambes de bas en haut, les décollant du sol alternativement.

Corinne en profitait pour filmer la scène consciencieusement, enregistrant au passage les cris et les supplications de la « parturiente ».

Enfin, alors qu’elle commence à avoir le front et le nez couverts de petites gouttes de transpiration tant elle s’est employée, ma cousine constate qu’elle est parvenue à ses fins, sa victime brisée, ne remue presque plus et ne crie pas davantage, se contentant de lourds gémissements accompagnés de gros sanglots qui font trembler ses épaules.

Elle en est arrivée au point où toute fessée bien menée doit te faire parvenir, ses fesses sont cuites à point et de nouvelles claques n’apporteront plus grand-chose de plus, sauf à utiliser un instrument, ce qui changera la donne et remettra les pendules à zéro.

Ce ne semble pas entrer dans les intentions de Lucie, qui se reprend quelques secondes, caresse l’intégralité du fessier cramoisi de sa main libre, fais écarter aux maximum les jambes de la pauvrette qui n’en peut mais et ne résiste pas, ouvrant au maximum le compas formé par ses gambettes et prenant bien son élan, abat sa main au cœur du sujet, c’est-à-dire sur ses deux ouvertures parfaitement dégagées, las, comme on le sait, elle ne s’est pas faite complètement épilée en dépit de mes demandes.

Justine ne s’y attendait pas et elle se cabre en hurlant retrouvant de nouvelles forces et la voix qui va avec.

- Tout doux ma jolie, tu te calmes et tu te remets en place pour que je finisse ma partition, sinon tu auras droit au martinet ou à la règle, je ne sais pas encore, tu vas voir que tu vas nous chanter une autre musique.

Justine se résigne à rester la plus immobile possible tandis que Lucie en remet une couche visant spécialement sa chatte et son anus, Justine ne peut pourtant tant ça doit lui faire mal, s’empêcher de se tordre sous les coups. Enfin, cela cesse, ma cousine s’est employée et comme sa copine transpire, elle c’est plutôt sous les aisselles que ça se manifeste, elle prend son temps pour relâcher sa proie, lui caressant les fesses en effectuant de petits ronds de ses doigts fins et pour finir les introduisant dans le vagin de la poulette. C’est devenu sa spécialité à cette chipie, je me souviens que lors d’une des dernières fessées qu’elle m’a administrées, elle s’était également intéressée à ma rondelle, sans parler des fois où elle s’était saisie de ma verge et de mes bourses, avec une fille c’est spécial, Lucie deviendrait-elle subitement bi-sexuelle ?

Je ne le crois pas une seconde, mais sait-on jamais, j’ai cru comprendre que les filles le sont toutes plus ou moins à des degrés divers. Elle est davantage dans le désir d’humilier le plus possible sa victime, qui une fois anéantie par la correction, doit se résigner à ce qu’aucune de ses ouvertures intimes ne puisse être pénétrée, j’allais écrire violée.

- Tu mouilles hein cochonne, ça te plait que je te tanne les fesses ou c’est juste quand je t’ai claqué la moule et le trouduc ? Réponds-moi chienne ou tu vas avoir droit à un supplément, je suis un peu fatiguée, mais pas suffisamment pour ne t’en recoller une, sans parler de ton fiancé Fabien qui attend son tour, c’est bien normal qu’il ait envie de te rôtir les fesses puisque tu t’es régalé à le faire avec les siennes.

Justine marmonne un truc inintelligible que sa correctrice veut bien prendre pour une approbation.

- Puisque tu aimes ça, je vais t’en remettre une louche.

- Non pardon Lucie, j’ai trop mal, c’est horrible, je t’en supplie.

- Tu vas bien en supporter autant que j’en ai pris de ta copine Anaïs.

Et c’est reparti pour une sarabande de claques sur le fessier incandescent, mais Comme déjà dit plus avant, Justine est au bout de ses souffrances et les dernières volées de ma cousine ne lui arrachent plus que quelques gémissements et des mouvements de jambes que j’estime parfaitement ridicules.

- Bien, ça ira pour moi, tu vas aller te mettre au piquet et ravaler tes larmes de morue, tu peux te préparer pour le final avec ton ex fiancé, mais d’abord tu vas me remercier pour avoir bien voulu m’occuper de tes fesses, allez, relève-toi, tu crois pas que tu vas passer la soirée à plat ventre sur mes cuisses, allez, à genoux, la tête baissée et tes mains croisées dans le dos et sans te caresser les fesses, sinon je te colle un supplément à la règle, je te garantis que tu vas voir la différence.

Justine s’exécute péniblement, elle n’est plus elle-même, sa pudeur est depuis longtemps évanouie et elle ne fait nulle difficulté quand Corinne lui ordonne de se mettre complètement nue, elle ôte ton tee-shirt et son joli soutien-gorge assorti à sa culotte, à croire qu’elle était venue à mon rencard pleine de bonnes intentions, prête à remettre notre liaison sur les bons rails, cela me donne quelques fugaces instants de regret, vite chassés, cette gonzesse n’est pas fiable et je n’aurais eu que des mécomptes avec elle, c’était en tout cas l’opinion de Lucie dès le départ.

- Comment tu peux espérer quelque chose d’une minette qui accepte de te filer une fessée devant ta cousine pour des conneries, c’est une garce, je te le garanti sur facture.

La suite et son attitude pour le moins équivoque lors de la fameuse soirée m’avait conforté dans cette opinion.

- Eh bien, elle ne s’emmerde pas la donzelle, n’est-ce-pas Lucie, c’est pour charmer Fabien que tu t’étais mise en frais ou c’est ta tenue de habituelle ? Je ne sais pas si ça ne justifierait pas un petit supplément, mais on verra après, en attendant, tu vas te refringuer entièrement et te dépoiler lentement, sans pour autant t’essayer à un strip-tease qui te rendrait encore plus ridicule, allez, bouge-toi, oui, je sais le jeans sur un fessier que l’on vient de peindre en rouge, c’est compliqué, je m’en fous, je te signale que je suis en train de te filmer.

Justine s’est bien entendu exécuté en grimaçant, reniflant et se mouchant, nous dévoilant une figure ravagée par le maquillage de ses yeux qui s’étalait sur ses joues, elle a réussi à passer son pantalon, que Lucie l’a autorisé à ne pas boutonner jusqu’en haut, tant cela la faisait souffrir, le reste a été plus facile, avant de nous refaire la partie à l’envers, je me régalais de la vision de ses petites doudounes que j’avais trouvées parfaitement à mon goût, fermes et haut-placés, juste un peu moins ronds et pleins que celles de ma cousine qui restait pour l’heure, mon maître étalon en la matière.

- Allez au piquet, accroupie, ton cul bien cambré, qu’on voit bien l’ampleur de la fessée que tu deviens de déguster.

C’était exactement la position que madame Leblanc avait fait prendre à Lucie après sa terrible correction juste avant de la frotter aux orties, c’était sans doute une façon de sublimer sa mortification en l’imposant à une autre victime.

 - Allez, mieux que ça, les cuisses écartées au maximum, montre-nous bien ta cramouille et ton trou de balle, voilà, c’est mieux et tu me remercie de t’avoir mis le feu aux fesses.

On a entendu, un tout petit merci.

- Mieux que ça « merci mademoiselle Lucie pour cette bonne fessée bien méritée », je t’écoute.

La pauvre Justine s’y est reprise à deux fois, mais a enfin réussi à satisfaire Lucie qui a chaque fois lui envoyait deux grandes claques sur ses fesses incendiées, qui la faisait hurler.

Là, elle nous en mettait véritablement plein la vue et je la plaignais presque, oublieux de ce qu’elle m’avait fait subir, ce fut un peu trop quand pour corser la chose, Lucie s’approchât un thermomètre rectal à la main et qu’elle entreprit de l’introduire dans le fondement de la punie. Elle lui introduit au préalable deux phalanges dans le vagin en exultant.

- Elle est trempée la morue, je savais bien que c’était une sale vicieuse, tiens prends-toi ça dans le troufignon, je ne suis pas sûre que Fabien ait inauguré cette ouverture, c’est un peu dur à entrer, mais ça va y aller, qui disait « où il y a la volonté, il y a le chemin » ?

Effectivement, question sexe, j’en étais encore au basique et je n’avais même jamais songé aux prétendus délices de la sodomie, Justine allait y goûter pas plus tard que maintenant, ce qui me confirmait que ma cousine était bien une sacrée coquine, bien plus délurée au final que je ne l’aurais supposée.

- Non, je ne veux pas, je me plaindrai, c’est trop dégoûtant, tu n’as pas le droit, aie !

- Je le prends ma chérie, quand on le feu au cul comme toi, il faut bien en mesurer la température précise. Tu as aimé quand je t’ai fessée, la preuve tu as la chatte trempée, allez- réponds petite peste.

- Je ne sais pas, je comprends pas, ça vient tout seul.

- Eh oui, ça vient tout seul pour les vicieuses dans ton genre.

- Aie, pas si profond, tu me fais trop mal, tu vas me blesser.

Lucie impitoyable a enfoncé le thermomètre jusqu’à la garde, je me souviens que j’y avais eu droit en son temps et cela avait été très désagréable.

- Je vais attendre dix minutes, il faut bien ça pour que la mesure soit fiable. Tu vas rester dans la même position, tourner la tête vers nous et nous faire un joli sourire, histoire que Corinne immortalise l’instant. A moins que tu ne préfères que je te tanne le cul à la ceinture, c’est toi qui choisis, sauf que si tu te rebiffes, tu auras les deux, le thermomètre dans le troufignon et la rouste, voilà c’est mieux, tu deviens raisonnable, allez encore une autre pour Fabien, voilà, finalement tu es une bonne petite.

Et ça dure, je regarde le cratère de Justine élargie par la pénétration qui se crispe.

- Ne t’avise pas de l’expulser, il t’en cuirait.

- Allez, arrête, ça suffit comme ça Lucie, elle a assez payé.

- Comme tu voudras cher cousin, tu es trop bon avec cette chipie, je lui mettrais bien une bougie à la place et tu pourrais la garder en souvenir, tu veux toujours lui en flanquer une dernière pour la route ?

- Oui, une bonne fessée, mais tes histoires de mettre des trucs dans les fesses, tu ne te rends pas compte, mais c’est une sorte de viol.

- Oh voilà qu’il fait sa chochotte à présent, je te rappelle cependant que c’est moi, la principale offensée.

- Il a raison, Lucie arrête tes conneries.

C’est Corinne qui est venue à mon secours, une fois n’est pas coutume, tu n’as pas eu droit à ça, non ?

- C’est juste, si vous vous mettez tous les deux contre moi, c’est bon, débrouillez-vous.

C’est moi qui ai été retiré le thermomètre de l’œillet de Justine qui étrangement très crispé me résiste quelques secondes.

- Tu vois, ça lui a plu, elle ne veut plus s’en séparer, fais-moi voir à combien il est monté, presque trente-huit tout de même, vous voyez bien qu’elle a le feu au derch, bon tu la finis Fabien, elle aurait mérité que je lui envoie le manche du martinet dans le cul, je suis sûre qu’elle aurait aimé cette petite vicieuse, il est temps qu’on puisse passer à autre chose, avec Corinne, nous avons d’autres projets.

Je me demandais si ces projets comportaient une fessée de cette morue de Corinne, comme il en avait, certes vaguement, été question dans mes conversations avec ma cousine, à moins que je ne prenne mes désirs avec la réalité. Pour l’heure, c’était de Justine que j’allais devoir m’occuper st spécialement de son joli petit popotin qu’elle nous exposait dans toute sa splendeur et en totale impudeur depuis une dizaine de minutes. C’était comme pour ses tétés, je préférais bêtement celui de Lucie, peut-être à cause de son épilation totale, il me semblait légèrement plus rebondi et puis pourvu de deux délicieuses petites fossettes.

J’ai été relever Justine de son honteuse position, elle a voulu m’embrasser mais je l’ai repoussée.

- On verra tout à l’heure ma belle si tu es aussi empressée quand je me serais à mon tour occupée de tes fesses.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 41

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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