« A toi,
Maeva, approche ! »
Un court instant
Maeva avait oublié que si la fessée de Marguerite était terminée, c’est que la
sienne était imminente. En l’interpellant, La voisine l’avait ramenée sur
terre, vers une réalité bien prosaïque : bientôt ses fesses auraient la
même couleur que celles de Marguerite et elle ressentirait une cuisson analogue
à celle que devait actuellement ressentir sa copine.
Maeva regarda sa
future correctrice, mais elle ne bougea pas. Comment éviter la correction qui
se préparait ? Voyant qu’elle ne mettait pas assez d’empressement à venir
se placer dans la position qu’elle avait choisie pour la fesser, la voisine
marcha résolument vers Maeva.
« Tu as
préféré que je me déplace ? Soit !
– Non, attendez,
je viens !
– C’est sûr que
tu vas venir, mais auparavant… »
Un bras encercla
la taille de Maeva, un coude appuya au milieu de son dos, sur sa colonne
vertébrale. Maeva se courba sous la pression. Elle se sentit plaquée contre le
flanc de la voisine et dans le même instant, sa jupe fut retroussée sur ses
reins. Elle connaissait l’effet de la main de la voisine sur ses fesses, mais
cela n’en adoucissait pas le feu qu’elle provoquait.
La voisine fut
satisfaite quand les couinements de Maeva se transformèrent en cris. Il avait
fallu plus de trente claques sur chaque fesse, mais elle y était arrivée. Elle
n’avait jamais douté de parvenir à ses fins. C’était une question de temps.
Elle releva Maeva
et, sans lui laisser le temps de souffler, elle l’emmena là où se déroulerait
la prochaine fessée. Elle la plaça à plat-ventre sur son genou, comme elle
l’avait fait pour Marguerite.
« Ne crois
pas que maintenant que tes fesses ont été chauffées par une première fessée, ce
sera plus facile de supporter la badine. Je vais veiller à ce qu’il n’en soit
rien ! »
La voisine passa
une main entre les jambes de Maeva, qu’elle plaqua sur le pubis de la jeune
femme. En la soulevant, elle la fit glisser plus avant sur son genou, la
plaçant en position instable. Les pieds de Maeva ne touchaient plus terre et
ses mais n’avaient aucun point sur lequel s’appuyer, hormis la jambe de la
voisine. Elle s’y agrippa. Son équilibre fut renforcé quand le bras de la
voisine vint la plaquer contre sa hanche et son coude se poser sur son dos.
Elle eut quelques secondes de répit, le temps que la voisine se munisse de la
badine.
« Voyons si
je sais te faire regretter ces gros mots et toutes tes autres désobéissances
avec ça ! »
Maeva en fut
persuadée dès que la baguette de bois vint cingler ses fesses. La douleur fut
fulgurante, elle monta à un niveau insupportable où elle resta plusieurs
secondes. Puis ce fut une cuisson sourde qui, peu à peu, la remplaça. La badine
vint alors raviver la douleur en traçant, d’un côté à l’autre des fesses de
Maeva, un nouveau sillon brûlant.
« Voilà,
vous y serez parfaitement bien à attendre l’heure où je vous ramènerai chez vous. »
La
voisine contemplait son travail. Parfaitement réussi ! Les deux filles se
tenaient chacune dans un coin, leurs bras croisés dans le dos relevaient leur
jupe au-dessus de leur taille. Leurs derrières nus étaient bien visibles et
chaque personne qui passerait, saurait que la punition avait été rude.
La
baguette de bois avait dessiné, sur leurs fesses rouges, un entrelacs de
marques brun foncé dont l’extrémité était plus marquée, là où la souplesse du
bois avait donné toute sa force en finissant sa course sur le côté droit du
postérieur. Par endroit, la peau y avait pris une couleur jaunâtre.
Marguerite
était parfaitement immobile alors que la poitrine de Maeva était encore
soulevée par des sanglots silencieux. Elle avait eu moins de temps pour récupérer
depuis la fin de la fessée et la voisine avait tenu sa promesse. La dernière
désobéissance de Maeva avait été sanctionnée par une plus grosse fessée que
celle qu’avait subie Marguerite. Un petit coup plus sec du poignet au moment où
la badine arrivait sur les fesses et sa vitesse en était suffisamment augmentée
pour faire une différence que Maeva apprécierait dans un jour ou deux, quand
les marques sur ses fesses seraient encore bien visibles, alors qu’elles
auraient quasiment disparues sur celles de Marguerite.
Cette
dernière protestait de façon véhémente… intérieurement et silencieusement. Elle
veillait à respecter toutes les règles de la station au coin, de sorte que son
indignation passait inaperçue, mais elle était pourtant bien réelle.
Quand
la voisine s’était déclarée satisfaite par la couleur qu’avaient prises les
fesses de Maeva, elle l’avait envoyée rejoindre Marguerite au coin. Cela
n’avait duré qu’une petite minute avant que la voisine ne revienne. Maeva
réussissait avec peine à contenir ses sanglots.
« Je
crois qu’il est préférable que votre fessée serve de leçon aux autres personnes
qui seraient tentées par les gros-mots. »
Elle
avait pris Maeva qui était la plus proche, par l’oreille et elles étaient
passées prendre Marguerite que la voisine attrapa de la même façon. Ce n’est
que quand elle les fit sortir sur le palier que Marguerite comprit ses
intentions. Elle tenta un pas en arrière, mais la tension sur son oreille était
trop forte. Il fallait avancer.
La
voisine les installa chacune dans l’un des deux coins du palier.
« Remontez
vos jupes plus haut, qu’on voie bien vos fesses et surtout les marques qu’elles
portent ! »
Maeva
n’avait pas dû exécuter cet ordre assez vite car elle prit deux claques sur les
fesses, ce qui relança ses pleurs pour un court instant.
« Il
reste une bonne demi-heure avant que je vous ramène chez vous. En attendant
vous allez montrer à tous ceux qui passent, ce qui arrive quand on emploie un
langage grossier. Ne vous inquiétez pas, la raison de votre présence ici va rapidement
se savoir. »
Marguerite
n’en doutait pas.
« Je
pense qu’à cette heure-ci, beaucoup des habitants de cet immeuble passeront
derrière vous. J’espère que cela donnera des idées à certaines et que cela
servira de leçon préventive à d’autres ! Ils verront de leurs yeux ce qui
leur pend au nez ! »
C’était
une des fonctions de la mise en pénitence quand elle se déroulait dans un lieu
public. Elle permettait, aux spectateurs, de prendre conscience de ce que
risquaient ceux qui tombaient dans les mêmes travers que ceux qui avaient
amenés les punis là où ils exposaient leurs fesses aux teintes rehaussées.
Elle
en rajoutait une autre à laquelle Marguerite n’avait pas pensé : suggérer
à d’autres personnes d’en venir à cette bonne vieille méthode aux résultats éprouvés
avec leur proches récalcitrants. A sa connaissance, Maeva et elle étaient les
seules, dans cet immeuble, à recevoir la fessée. Comment pouvait-elle le
savoir ? Y avait-il d’autres personnes qui étaient également corrigées par
l’une de leurs proches ? En mettant la fessée sur la place publique, cela
incitera-t-il d’autres personnes à y recourir ?
« De
toute façon, ça ne rendrait pas plus faciles à supporter celles que je reçois
ni les mises au coin en public. »
Cela
la ramena à des préoccupations plus immédiates : qui passerait sur le
palier, sans qu’elle puisse l’identifier, et verrait les conséquences de la
fessée que la voisine lui avait donnée ? Son ventre se noua à cette
perspective.
La
voisine contempla son œuvre. Deux jeunes femmes des plus sages, le nez dans le
coin. Elle était satisfaite du travail accompli.
« J’ai
été contrainte de mettre Maeva dans le coin à côté de la porte de ma voisine de
palier. J’espère que cela ne la dérangera pas ! »
Elle
réfléchit une seconde.
« Le
plus simple, c’est de le lui demander. »
Elle
sonna à la porte.
« Bonjour
Madame !
–
Bonjour ! Ah, c’est vous ! Bien que nous habitions sur le même
palier, nous ne nous voyons pas beaucoup.
–
Et oui, c’est malheureux. Chacun reste chez soi. »
Marguerite
reconnaissait la voix de la personne qu’elle avait entraperçue sortant de chez
elle. C’était une jeune femme qui avait probablement quelques années de moins
qu’elle, et qui vivait en couple avec un jeune homme de son âge. Son regard
était irrémédiablement attiré par les deux paires de fesses nues tournées vers
elle.
« Que
se passe-t-il ? »
D’un
geste du menton elle désignait les deux punies.
« Ce
sont les deux petites du troisième. Je leur ai donné une fessée pour avoir été
très vulgaires.
–
Oui, je les reconnais. Il paraît qu’on est obligé de fesser ces gamines très
souvent pour les faire tenir sage. Je ne suis pas étonnée que vous ayez dû les
corriger. Elles ont eu une fessée l’autre jour dans la cage d’escalier, ai-je
entendu dire. »
De
rage, Marguerite en aurait tapé du pied par terre. Elle s’en retint à temps.
« Ces
gamines, tempêta Marguerite mais seulement pour elle-même ? Je dois être
plus âgée que toi. Et puis, il n’y a que Maeva qui a eu la fessée. Pas
moi ! »
Cette
intervention virtuelle ne constituait pas une gêne pour que la conversation se
poursuive.
« J’ai
mis à profit l’autorisation de les fesser qu’ont donnée leurs tutrices si on
les prenait à faire une bêtise.
–
Oui, j’en ai entendu parler. Pour ma part je n’hésiterai pas si je les prends
en faute. C’est leur rendre un grand service que de les punir quand elles en
ont besoin. »
Marguerite
se voyait mal recevoir une fessée de la part d’une personne aussi jeune.
Aurait-elle le choix si cette voisine décidait de passer à l’acte ? Ni
Hélène ni Teva n’avaient parlé de restriction à certaines personnes en fonction
de leur âge.
« Je
me suis dit que je devais ensuite les mettre au coin sur le palier pour
qu’elles servent d’exemple à tous les personnes qui passeraient.
–
Je n’y aurais pas pensé. Excellent idée !
–
Le seul souci, c’est qu’elles sont deux. J’ai donc besoin de deux coins.
J’occupe donc celui qui est tout à côté de votre appartement. Je voulais
vérifier que vous n’en aurez pas usage d’ici que je les raccompagne chez elles,
vers dix-neuf heures.
–
Non, pas de problème. Je ne vois pas ce que j’en ferais. Quoique…
–
Ah ! Dites-moi ! S’il y a un souci, je ferai autrement.
–
Non, je ne l’utiliserai pas, même si cela pourrait être une bonne idée.
–
Une bonne idée ?
–
Oui, pour mon mari.
–
Il aurait besoin d’aller au coin ? Après une fessée ?
–
Si seulement cela pouvait être vrai ! Malheureusement, cela n’arrivera que
dans mes rêves !
–
Je ne comprends pas.
–
Je vous ennuie avec mes soucis personnels. Laissez, ce n’est pas grave.
–
Il n’est jamais bon de garder ses soucis pour soi. En parler, c’est souvent
trouver un début de solution. Que vous arrive-t-il ?
–
Vous croyez ?
–
J’en suis certaine !
–
Si vous insistez ! Voilà ! Cela fait plus d’un an, presque deux, que
nous avons emménagé ici. Nous avions décidé que je m’occupais de l’aménagement
intérieur pendant qu’il se chargeait de petits travaux : accrocher des
cadres, quelques raccords de peinture, des étagères dans un placard… des
petites choses comme celles-là.
–
Laissez-moi deviner : vous avez fini votre part depuis longtemps et lui
n’a pas commencé la sienne.
–
C’est exactement cela. Je vois que ma situation n’a rien d’exceptionnelle s’il
est si facile de l’imaginer. Il y a toujours quelque chose qui le détourne de
ce qu’il a à faire : il est fatigué, un match à regarder, il lui manque un
outil… bref, tous les prétextes sont bons.
–
Je vois très bien.
–
C’est donc si courant ? Oui, je m’en doute. J’ai l’impression d’avoir à la
maison un ado qui n’en rame pas une et qui utilise toute les vieilles
techniques d’évitement éculées. J’ai de plus en plus souvent envie de lui
administrer une bonne correction avant de le mettre au travail.
–
Lui en avez-vous parlé ?
–
De quoi ? De lui donner la fessée ? Oui, pas plus tard une la semaine
dernière. Je lui ai dit qu’il se comportait comme un gamin paresseux et qu’il mériterait
une sérieuse fessée. C’est la punition qu’a reçue l’une de ces deux-là, l’autre
jour, qui m’y a fait penser.
–
Et alors ?
–
Et alors, rien ! Il s’est mis à rire et il m’a dit que je n’étais pas près
d’y arriver. Il a continué à regarder la télévision sans plus s’occuper de moi.
Ce soir, il a recommencé. En s’asseyant dans son fauteuil, il s’est même permis
une provocation : alors, c’est aujourd’hui que tu me donnes la
fessée ? Il a ricané et depuis, il regarde la télé.
–
Voulez-vous que je vous donne un coup de main ?
–
Vous pensez y arriver ? Si c’est le cas, je vous en serai reconnaissante
pour tout le reste de ma vie ! Je n’ai pas envie de le quitter, mais si ça
continue…
–
C’est comment votre prénom ?
–
Audrey.
–
Audrey, voilà ce que nous allons faire…
« Tu
as fini de papoter, ma chérie ? Ferme la porte, les voisins n’ont pas
besoin de savoir ce que nous faisons. Dis-moi avec tous ces bavardages,
crois-tu que le dîner sera prêt à l’heure ?
–
Je suis certaine que le repas sera prêt quand toi tu le seras. Auparavant, tu
as une fessée à recevoir et un bon moment à passer au coin. Ça me laissera le
temps de faire la cuisine.
–
Encore cette lubie ! Je commence à en être fatigué. Cesse donc ces menaces
que tu ne peux pas tenir. Ça pourrait être toi qui en prendrais une si tu
continues à m’ennuyer avec ça.
–
Lève-toi ! Tu vas avoir une fessée !
–
Je t’aurais prévenue…
–
Jeune homme, je vous conseille d’obéir, intervint la voisine en s’encadrant
dans la porte de la pièce où avait lieu cet échange entre Audrey et son mari.
–
C’est qui celle-là ? De quoi se mêle-t-elle, la vioque ? Tu ne peux
pas aller t’occuper de tes affaires ? Aller, débarrasse le
plancher ! »
Ces
insolences n’impressionnèrent pas la voisine. Elle ne se laissa pas démonter.
« Je
suis la voisine d’en face et je suis venue pour aider Audrey à vous donner la
fessée. »
Cette
déclaration le laissa un instant sans voix. Audrey s’était assise sur une
chaise qu’elle avait tournée vers le centre de la pièce.
« Viens-ici !
Ton comportement mérite largement une fessée. »
La
surprise de son mari ne dura pas.
« Parce
que tu crois qu’à deux vous allez y arriver ? J’ai des doutes.
–
A deux, probablement pas. Mais je pense que si je les rameute, il y a dans cet
immeuble plus d’une dame qui sera ravie de rendre ce service à Audrey. A vous
de choisir : c’est Audrey qui vous fesse et vous lui obéissez tout de
suite ou je me charge de trouver assez de monde pour vous contraindre à la
subir, que vous le vouliez ou non.
–
Mais de quoi vous…
–
Je n’ai pas fini ! Si je dois aller chercher du monde, il y aura des
conséquences. A commencer par une deuxième fessée que je vous donnerai
moi-même, avec plaisir, dès ce soir. »
Il
y eut un instant de silence.
« Bon,
assez tergiversé. Tu viens ici ! »
Le
moment d’hésitation était passé. Ce fut cependant d’une voix moins assurée que
le mari d’Audrey reprit ses propos bravaches.
« Mets-la
dehors ! Ce qui se passe ici ne regarde que nous deux. On va en parler
raisonnablement quand nous serons seuls.
–
Il n’en est pas question ! Tu arrives ici tout de suite pour recevoir la
fessée dont tu as besoin !
–
Mais tu ne peux pas me parler comme ça, en plus devant une étrangère. Je ne
bougerai pas de là !
–
Jeune homme, Audrey vous a ordonné de faire quelque chose de tout à fait
raisonnable. Je vous conseille de lui obéir ou je vais chercher du monde.
Pensez-vous qu’à cinq ou six de plus, nous n’arriverons pas à vous déculotter
et à vous allonger sur les genoux d’Audrey ? Je suis prête à en prendre le
pari. Imaginez le nombre de personne qui assisteront alors à votre fessée. »
L’inquiétude
était maintenant audible dans sa voix.
« Audrey,
dis-lui de sortir. Nous allons discuter de tout cela tranquillement entre nous
deux.
–
Jeune homme, je vais compter jusqu’à trois. Après, je vais chercher du renfort
et il sera trop tard pour revenir en arrière. Un…
–
Audrey, réglons ça entre nous !
–
Deux…
–
Audrey, c’est d’accord, je vais les faire tes travaux.
–
Trois ! »
La
voisine fit demi-tour et elle se dirigea vers la porte de sortie.
« Non,
attendez ! J’y vais ! »
Il
se leva et marcha lentement vers sa femme. La voisine s’était arrêtée et elle
le regardait. Il fait encore un pas, puis il s’arrêta, à moins d’un mètre de sa
femme. La voisine fit deux pas vers la sortie.
« Arrêtez !
J’obéis, j’obéis ! »
Il
suffit d’un pas pour qu’Audrey l’attrapât et le plaçât entre ses jambes. Elle
porta aussitôt ses mains sur la ceinture du pantalon, mais elle fut arrêtée par
celles de son mari.
« Qu’est-ce
que tu fais, Audrey ? Non, non…
–
Je te baisse la culotte. C’est comme cela que se donne une fessée.
–
Mais… mais tu n’avais pas dit que… que…
–
Que je te déculotterai ? C’est pourtant comme cela que ça va se passer.
Crois-tu que je te demanderai l’autorisation avant de te fesser ? Maintenant,
c’est moi qui décide. Ce sera une fessée déculottée !
–
Mais non… je… je suis trop grand.
–
Trop grand ? Ce n’est pas ce qu’il m’a semblé depuis deux ans. Si tu n’es
pas assez grand pour tenir les promesses que tu m’as faites, c’est que tu n’es
pas trop grand pour avoir besoin d’une bonne fessée déculottée. Ôte tes mains
de là ou je demande à la voisine d’aller chercher d’autres personnes pour
m’aider ! »
La
menace fit son effet. Il écarta ses mains, laissant Audrey lui déboucler la
ceinture et déboutonner le pantalon. Quand elle voulut le baisser, il le retint
par la ceinture.
« Non,
s'il te plait, pas devant elle !
–
Il faudra bien t’y habituer, mon chéri. C’est la première fois que je te fesse,
mais ce ne sera pas la dernière. Il y a tant de chose qui doivent changer dans
ton comportement. La présence de la voisine ne me retiendra pas quand je devrai
te punir. Tes mains ! C’est la dernière fois que je te le
dis ! »
Elle
donna une forte claque sur les doigts de la main gauche qui lâchèrent la ceinture
du pantalon. Audrey tira un coup sec et le pantalon tomba sur les cuisses. Une
autre traction vers le bas et il passa en dessous des genoux. Ce fut plus un
réflexe qu’une décision quand ses mains recouvrirent celles d’Audrey qui avait
saisi l’élastique de la culotte.
« Tes
mains ? Encore ? »
Une
nouvelle claque sur les doigts et il les écarta toutes les deux. La culotte
glissa sans difficulté le long des cuisses. Les deux femmes regardèrent
l’intimité dévoilée de ce grand garçon, bien qu’elle n’ait rien de remarquable.
Il mit une ou deux secondes à placer ses deux mains en coupe devant son sexe.
Audrey négligea ce geste de pudeur un peu tardif.
En
le guidant par le bras, elle lui fit faire le tour de ses pieds pour l’amener à
sa droite. Un instant déséquilibré, il écarta ses mains, libérant la vue sur
son sexe qui avait entamé une érection partielle. Tiré par le bras, il bascula
à plat-ventre sur les genoux de sa femme, mettant ses fesses nues et
tremblantes à la vue des deux spectatrices.
Audrey
ne lui laissa pas le temps de réfléchir à ce qui lui arrivait. Sa main claqua
sur la fesse gauche, bien au centre. Un glapissement lui répondit et une marque
rosée apparut. La correction venait de commencer.
A
défaut de convenir aux souhaits de son mari, elle se déroula exactement comme
Audrey l’avait imaginée. Au début, il tenait ses lèvres serrées, sans laisser
passer un seul son. Puis, les gémissements étouffés se firent de plus en plus
audibles. Audrey redoubla d’énergie et ses efforts furent récompensés. Un premier
grognement sonore… puis un deuxième… et enfin une suite ininterrompue de cris
qui résonnaient en écho au bruit que faisait la main sur les fesses.
« Pardon,
aïe… je ne le, aïe… ferai plus, aïe… Je vais obéir, aïe… »
Inexorablement,
la fessée se poursuivait. Quand la cuisson devint insupportable, il couvrit ses
fesses de sa main droite, la seule encore disponible pour se protéger. Audrey
s’arrêta à peine, le temps de replier le bras dans le dos de son mari et la
fessée reprit. Audrey finit la fessée par une volée de claques dans lesquelles
elle mit toute la force qui lui restait. Les cris de son mari, en réponse, lui
indiquèrent que son message avait été reçu.
Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose
Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre 98, de sa sœur si sévère.Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé
Voici le début du récit : le chapitre 1
Mais, ce n'est pas fini
Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.
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