mercredi 10 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 42

Maeva n’en pouvait plus. Cette dame savait donner la fessée comme peu de personnes. Sa main claquait sur les fesses. Maeva ne pouvait pas contenir ses réactions. Elle s’en était doutée dès qu’elle avait été prise en mains.
A peine Teva avait-elle avait-elle tourné le dos, donnant implicitement l’autorisation à la voisine de la fesser, que Maeva avait senti qu’on la prenait par le bras. Elle fut amenée au pied de la voisine qui la fit passer sous son bras d’un geste fluide, puis qui resserra son étreinte autour de la taille de Maeva. Elle n’avait pas hésité une seule seconde sur la position dans laquelle il fallait placer sa punie pour que ses fesses soient aisément accessibles.
D’un mouvement de son genou sur lequel était appuyé le bassin de Maeva, elle la repositionna, en l’éloignant un tout petit peu, la position serait plus commode pour elle. Cela sentait la personne qui n’en était pas à son coup d’essai.
Dès le début de la fessée, Maeva en eut confirmation. La main tombait, précise, sèche, laissant à chaque fois une marque rouge et douloureuse. La fessée était régulière, structurée comme si elle avait été planifiée : cinq claques d’un côté, exactement au même endroit, puis cinq de l’autre côté, symétriquement à la série qui venait de finir. Alors elle repassait de l’autre côté en décalant un peu la surface des fesses qui était l’objet de son attention.
Elle continua ainsi sans se lasser, bien après que Maeva eut signalé par ses pleurs et par ses cris que la punition avait une grande efficacité et que la leçon était intégrée. Elle se crut au bout de ses peines quand la voisine la releva et la planta devant elle.
« Cette punition est-elle suffisante ou faut-il que je continue encore pour que tu comprennes la nécessité d’être polie et respectueuse avec les personnes de ton voisinage ? »
Maeva ne prêta pas attention à la question, toute à la douleur qui lui embrasait les fesses. Mal lui en prit ! La voisine la replaça aussitôt dans la position qu’elle venait de quitter. La fessée reprit avec autant d’intensité qu’auparavant.
Ce n’est que quand elle ralentit un peu que Maeva put reprendre son souffle.
« Je vais t’apprendre à ignorer les questions que te posent les grandes personnes. »
Une nouvelle et courte fessée entretint la cuisson des fesses. Teva qui venait de refaire son apparition avec une chemise de nuit dans la main, approuvait sans réserve.
« Tu vas apprendre à répondre rapidement, respectueusement et de façon intelligible quand on t’interroge. »
La fessée reprit pour une dizaine de claques.
« Alors, j’attends ! Faut-il que je poursuive la fessée ou cela t’a-t-il suffi ?
– Aïe… non Madame… non ! Aïe… J’ai compris… aïe… je ne le ferai plus. »
Encore une dizaine de claques.
« Es-tu certaine, la prochaine fois que tu croiseras une grande personne dans l’escalier, tu la salueras poliment, quoique tu fasses à ce moment-là et quelle que soit ta tenue ? »
La voisine ponctua la question d’une brève fessée.
« Aïe… oui Madame, aïe… oui… aïe, je ferai attention, aïe…
– Bien ! Te voilà revenue à de meilleures intentions. Fais bien attention à ce que cela dure. Je n’hésiterai pas la prochaine fois qu’il faudra te l’expliquer et ça se terminera encore avec une paire de fesses écarlates. »
Quand l’étreinte sur sa taille se relâcha et que Maeva put se redresser, elle espéra en avoir fini avec cette terrible punition.
« Bravo Madame, dit Teva. C’est une fessée magistrale que vous avez donnée à ma petite sœur. Je vous en remercie, pour moi mais également pour elle. Je suis quasiment certaine que son niveau de politesse avec les voisins va désormais atteindre des sommets.
– C’était la moindre des choses. Je ne pouvais pas laisser passer une telle attitude. J’espère que je n’aurai pas à recommencer, du moins pas pour le même motif, n’est-ce pas ma chérie ?
– Oh non, Madame. Plus jamais, s’empressa de répondre Maeva !
– Plus jamais ? Peut-être y vas-tu un peu fort. Il en va des fessées comme du reste. Le souvenir s’estompe et il est nécessaire de faire une piqûre de rappel.
– Je pense, ironisa Teva, que vous n’aurez pas besoin d’y revenir ces jours-ci. Maeva, va faire un bisou à la voisine pour la remercier de s’être bien occupée de toi. »
Maeva regarda Teva, mais elle était des plus sérieuses. Il fallait obéir. Elle se dirigea vers la dame qui la prit dans ses bras.
« Sois sage et obéissante, dit-elle en lui caressant les fesses. Et que je ne te prenne plus à être aussi mal élevée.
– Oh non, Madame !
– Retourne chez Hélène. Je pense qu’elle doit commencer à se demander pourquoi tu mets autant de temps à aller chercher une chemise de nuit. »
Quand Hélène ouvrit la porte, il fallut lui fournir une explication. Teva exigea que ce soit Maeva qui expliquât pourquoi cela avait mis tant de temps.
« Si je comprends bien un temps au coin lui sera profitable pour toutes les bêtises de cet après-midi. Je m’en charge. Je la garde au coin jusqu’au dîner. »
Hélène prit la chemise de nuit.
« Lève tes bras ! »
Le vêtement passé, elle envoya Maeva au coin avec une petite claque sur la cuisse.

Maeva était maintenant dans les bras d’Hélène. Elle avait été très sage pendant qu’elle était au coin et Hélène l’avait autorisée à en sortir un peu plus tôt que ce qu’elle avait envisagé dans un premier temps. Elle avait couru se nicher dans les bras d’Hélène qui n’en attendait pas moins.
« Je te demande pardon, Hélène !
– Ma grande étourdie oubliera-t-elle encore sa chemise de nuit quand elle viendra prendre son bain ? »
La voix était sévère, mais les caresses d’Hélène disaient le contraire de ce que laissaient entendre ses paroles.
« Non, non, Hélène, plus jamais !
– Plus jamais ? C’est un engagement que tu ne sauras pas tenir. Tu as une tête de linotte. Tu oublieras bien encore plusieurs fois ta chemise de nuit ou autre chose. »
La main d’Hélène frappait sèchement mais pas fortement, les fesses de Maeva.
« Je ne manquerai pas de te fesser à chaque fois que tu seras tête-en-l’air. Sois-en sûre, je viendrai à bout de tes oublis, fait-moi confiance ! Et s’il faut de nombreuses fessées… »
La main d’Hélène claqua sèchement les fesses de la jeune femme.
« Aïe ! »
Le message était passé.

A compter de ce jour, les deux filles furent très attentives à la façon dont elles se comportaient dès qu’elles passaient la porte de leur appartement. Maeva avait raconté sa mésaventure à Marguerite qui en avait conclu, à juste titre, qu’elle serait soumise à la même punition si elle était prise à se comporter de la même façon.
Elles disaient bonjour, au revoir, s'il vous plait, merci… aussi souvent que nécessaire, voire plus, préférant se répéter plutôt que de recevoir une fessée. Apparemment, toutes les personnes qui habitaient dans un appartement de cette cage d’escalier étaient maintenant au courant que les deux demoiselles du troisième étage recevaient régulièrement la fessée, bien qu’elles soient âgées d’une trentaine d’année.
L’attitude envers elles était très claire. Tous leurs parlaient comme à des enfants, sans oublier, pour certaines, des menaces plus ou moins explicites de fessées. Elles se doutaient que plus d’une n’hésiterait pas à passer à l’acte si elles leur en donnaient l’occasion. Elles en eurent rapidement confirmation.

Maeva et Marguerite avaient été envoyées mettre une lettre à la poste du quartier. Elles étaient fières de la confiance que cela dénotait de la part de Teva, mais elles savouraient encore plus les dix minutes de liberté que ça leur donnait, sans être sous la surveillance d’un adulte. Elles papotaient toutes les deux à propos des garçons, risquant quelques expressions osées, ce qu’elles ne pouvaient que faire sur le trajet, loin des oreilles d’Hélène et de Teva.
Les expressions qu’elles utilisaient se firent de plus en plus vulgaires, voire crues pour certaines. Au début elles faisaient attention s’ils ne traînaient pas, à portée d’oreille, quelque personne de leur connaissance. Utiliser des mots comme « cul », « bordel », « bitte » ou « baiser » leur était strictement interdit. Pourtant, le plaisir de s’émanciper, même pour peu de temps d’une des règles qui leur était imposées, était réel.
L’une commença, peu importe laquelle, l’autre suivit, relança la première et le jeu s’emballa. Elles restaient prudentes, mais c’était difficile tout en s’efforçant de répondre au plus vite aux provocations de son amie et en poussant, à chaque répartie, le jeu un peu plus loin. Il n’était pas terminé quand elles poussèrent la porte du hall d’entrée de l’immeuble dans lequel elles habitaient. Il n’y avait personne. La conversation pouvait continuer.
« Je suis sûre que tu aimerais bien qu’il te baise !
– Putain ! Tu es complètement conne ! Moi, avec lui ?
  Je te connais, tu fais ta coincée du cul mais en fait… »
Une dame venait de faire son apparition. Elle sortait d’un recoin du hall, là où il y avait quelques boites aux lettres qu’on ne pouvait pas voir depuis la porte d’entrée de l’immeuble.
« Mais qu’est-ce que c’est que ce langage ? »
C’était la voisine qui habitait au premier étage. Elle avait l’air outrée.
« Mais je vous connais ! Vous êtes les deux demoiselles du troisième étage ! Celles à qui il est recommandé de donner la fessée si on les prend à faire une bêtise. »
Les choses s’engageaient mal.
« Excusez-nous, Madame, on ne savait pas que vous étiez là.
– Et si je n’avais pas été là, cela vous donnait-il l’autorisation d’utiliser des mots tels que ceux que j’ai entendus ? »
L’excuse était en effet très maladroite.
« Non Madame. 
– Que diraient vos… euh… enfin les personnes qui s’occupent de vous si elles apprenaient comme vous parlez quand elles ne sont pas là ? »
Les deux filles baissèrent la tête, conscientes qu’elles étaient entraînées sur un terrain glissant. La réponse à cette question pouvait être périlleuse.
« Que se passera-t-il si je sonne à leur porte et que je leur rapporte ce que j’ai entendu ?
– Oh non Madame, ne faites pas ça !
– C‘est d’accord, je ne vais pas faire cela tout de suite. Je crois que vos… enfin vos… vos tutrices ont demandé à ce que les personnes qui vous prennent à faire des bêtises vous corrigent elles-mêmes. C’est donc ce que je vais faire ! »
C’était Marguerite qui était la plus proche. La voisine lui attrapa le bras et elle la rapprocha fermement à ses pieds.
« Non Madame, attendez, ne faites pas ça !
– Je crois qu’au contraire je ne vais pas attendre et que tu as besoin de prendre une fessée. »
Tout en répondant à Marguerite, la voisine passa son bras autour de sa taille et elle la ramena sur son flanc si brusquement que les deux pieds de Marguerite décollèrent du sol. Elle se retrouva portée sous le bras de la voisine pendant quelques secondes.
Quand ses pieds retrouvèrent le sol, ce fut sa jupe qui fut retroussée dans son dos.
« Non s'il vous plait, pas la fessée !
– Oh que si ! Je suis certaine que ça te fera du bien : une bonne fessée déculottée !
– Pas la culotte, s'il vous plait ! »
Marguerite, de sa main, tenait sa culotte, ce qui gênait pour la baisser aisément. La voisine aurait pu passer outre, mais elle tenait à ce que Marguerite se soumette à la correction qui l’attendait. C’était à cette condition qu’on profitait pleinement d’une punition.
« Petite peste, tu vas me laisser te baiser la culotte. Enlève ta main tout de suite ou je te monte chez ta tutrice pour voir ce qu’elle va en penser ! »
La menace eut un effet immédiat. La main de Marguerite retourna là où elle aurait dû rester.
« Non, attendez, s'il vous plait ! »
La supplique n’eut aucun effet. La voisine se saisit de l’élastique de la culotte de Marguerite et elle la baissa à mi-cuisses.
« Quant à toi, fit-elle à Maeva, va mettre ton nez contre le mur. »
Elle attendit quelques instants, le temps que Maeva se rende là où on venait de lui ordonner d’aller.
« Les mains sur la tête ! »
Ce n’est qu’à ce moment-là que Marguerite prit conscience qu’elle se trouvait les fesses nues dans l’entrée de l’immeuble et qu’elle allait y prendre une fessée donnée par une dame qu’elle ne connaissait pas. Elle poussa un long gémissement accablé qui fut interrompu quand le commencement de la fessée l’obligea à pousser un cri strident.
Elle eut rapidement autre chose à penser que le lieu dans lequel elle se faisait corriger. Quand la correction est assez vigoureuse, elle créée une bulle au milieu de laquelle la personne corrigée n’a plus d’autre préoccupation et plus d’autre sensation que celle de la main qui lui échauffe les fesses, jusqu’à les transformer en une fournaise.
Marguerite lutta, dans un premier temps, pour ne pas montrer combien la fessée constituait une sévère punition. Dans un deuxième temps, après les premiers cris et les premières larmes, elle s’efforçait de rester là où la main trouvait ses fesses sans difficulté, afin de ne pas être taxée de désobéissance. Ensuite, il lui fallut faire un effort démesuré pour ne pas interposer sa main pour protéger ses fesses et mette fin à la correction.
Quand la voisine la laissa se redresser, elle ne savait plus trop où elle était. Elle mit quelques secondes à se rendre compte qu’elle se tenait toujours dans le hall de l’immeuble et que sa culotte était toujours tendue entre ses genoux.
« Tourne-toi ! »
La voisine releva la jupe et elle en coinça l’arrière dans la taille, laissant les fesses découvertes.
« Va prendre la place de ta copine, le nez contre le mur et les mains sur la tête ! C’est à ton tour, Maeva. Viens-ici ! »
Marguerite n’avait plus qu’une envie, c’était d’obéir et de se faire oublier de sa correctrice. Le piquet, les fesses nues dans le hall, était une situation des plus embarrassantes, mais c’était préférable à une deuxième fessée. Elle ferma les yeux mais cela ne l’empêchait pas d’entendre ce qui se passait derrière elle.
« Pardon… pardon… pardon… »
Maeva ne cessait de répéter ce mot, mais elle avançait sans s’arrêter, comme si ses pieds avaient une volonté propre. Cela n’avait rien à voir de se préparer à recevoir une fessée domestique ou au travail par une personne qu’elle connaissait bien, ce cercle qui comprenait Hélène tant celle-ci faisait maintenant partie des intimes, et celle qui s’annonçait dans un lieu public et par une personne qu’elle avait dû croiser une ou deux fois sans y prêter attention. Même si les fessées qu’elle avait pu recevoir avaient pu être bien plus rigoureuses que celle qui se préparait, l’usage d’un instrument punitif oblige, son angoisse et son envie de fuir était plus prégnante.
Cette fessée vers laquelle elle marchait préfigurait une nouvelle ère où se retrouver sous l’emprise d’une personne inconnue, la culotte baissée dans un lieu public, pourrait devenir habituel. Elle ne contestait pas la nécessité de la correction. C’était une grave bêtise de s’être laissé aller à ces débordements de langage. Recevoir une fessée en punition de cette inconvenance ne lui semblait pas injuste, mais elle aurait préféré que cela se déroulât dans le cadre domestique dont elle avait l’habitude.
Hélas, personne ne lui avait demandé son avis, ni à elle ni à Marguerite et l’autorisation donnée à tous les voisins, par Teva et Hélène, de les punir d’une bonne fessée déculottée s’appliquait sans aucune hésitation à cette situation. Elle ne pouvait que s’y soumettre, comme Marguerite l’avait fait.
Il n’y eut pas d’hésitation. La voisine la coinça sous son bras, plaçant ses fesses à la disposition de sa main. Le déculottage suivit sans délai. La première claque tomba. Elle résonna dans le hall et en écho le cri de Maeva. L’humiliation d’être déculottée là où pouvait survenir une autre personne à tout moment, s’estompa. Les effets de la main sur ses fesses suffisaient pour occuper l’attention de Maeva. Ce qui se passait autour ne la concernait plus.
Elle avait compris, en entendant les réactions de Marguerite, qu’elle ne pourrait pas contenir ses cris et ses larmes. Elle s’y laissa aller. Etonnement, la fessée s’arrêta alors que ses fesses avaient tout juste commencé à cuire.
« Bonjour Madame Brown, comment allez-vous ?
– Bien je vous remercie. Je vous que vous êtes très occupée. »
C’était la voisine qui habitait au cinquième étage. Elle parlait avec un petit accent anglais, pays dont elle était originaire. Maeva couvrit ses fesses de sa main, doigts écartés, comme si cela permettait de dissimuler ses formes. La voisine n’apprécia pas du tout.
« Veux-tu enlever cette main de là ! Ta punition n’est pas finie ! »
La fessée reprit sur les cuisses, encore plus vigoureuse qu’avant. Maeva dansait d’un pied sur l’autre, mais cela n’empêchait en rien le bon déroulement de la correction. La main enlevée, le châtiment se poursuivit un peu, puis il s’arrêta.
« Mais c’est la jeune fille du troisième, et là celle qui habite en face. Qu’ont-elles encore fait ? »
En quelques phrases, le dernier exploit des deux jeunes femmes fut exposé à Madame Brown.
« Apprendre à ces deux donzelles que l’utilisation des gros-mots est interdit, vous faites là un travail très utile. Si elles avaient eu quelques fessées pour cette raison quand elles étaient plus petites, nous n’en serions pas là. »
Il y eut quelques propos échangés sur le laxisme qui prévalait dans la jeunesse d’aujourd’hui et sur l’usage de la fessée qui, seule, pouvait guérir les mauvaises habitudes.
« Permettez que je finisse cette correction ? »
La fessée reprit. Bien que ce fût la deuxième qu’elle administrait, la voisine ne faiblissait pas. Elle n’en avait pas encore fini quand elle fut de nouveau interrompue.
« Tiens, mais ce sont les gamines du troisième ! »
Marguerite, qui n’osait pas bouger de la position qu’on lui avait imposée, sursauta. Encore une personne qu’elle ne connaissait pas, qui la contemplait dans une situation humiliante. Ses yeux fermés n’empêchaient rien.
« Comment s’appellent-elles déjà ? Ah oui, Marguerite c’est celle-là et Maeva, c’est celle que vous tenez sous votre coude. »
La faute des deux filles fut rapidement exposée. Chacune convenait que la punition était judicieuse pour éradiquer de tels comportements. La conversation prit alors un tour inattendu.
« Tu vois, Dimitri, ce qui arrive aux personnes qui disent des gros-mots ?
– Oui, ma chérie, je vois. Mais pourquoi me dis-tu cela ? »
C’était la voix d’un homme mature.
« Tout simplement parce que, comme je te l’ai promis, c’est ce qui t’arrivera la prochaine fois que tu te permettras de dire des insanités.
– Mais pourquoi dis-tu cela maintenant et… ici ? Cela ne nous concerne que nous deux et tu ne devrais pas…
– Que nous deux ? Dites-moi, Madame, j’ai cru comprendre que mon mari avait été vulgaire avec vous quand vous l’avez croisé dans l’escalier hier, esquissant même le geste de regarder sous votre jupe. Est-ce exact ?
– C’est exact et ce n’est pas la première fois et je sais qu’il se le permet avec d’autres personnes.
– Alors, Dimitri ? Ça ne concerne que nous ?
– Attend, ma chérie, je vais t’expliquer. Ce n’est pas ce que tu crois.
– Tu as raison. Nous allons avoir une explication. Pour cette fois, elle se déroulera chez nous, mais si j’entends encore des plaintes sur ton comportement, ce sera comme ces demoiselles. Je donnerai l’autorisation à ces dames de te déculotter et de te fesser là où tu le mériteras.
– Mais, ma chérie…
– Il n’y a pas de « mais » qui tienne. En route et tu peux préparer tes fesses ! »
Elle le prit par le bras et ils disparurent dans l’escalier.
« Formidable ! Encore un qui va devoir changer de comportement.
– Oui, c’est une bonne chose. Finissons cette fessée ! »
La correction reprit.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 41
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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