mercredi 10 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 49

Tatie Claudie mit quelques temps à trouver la solution. C’est une scène à laquelle elle assista dans un magasin qui lui ouvrit les yeux.
Elle faisait la queue dans la petite épicerie du quartier quand un garçon et une femme arrivèrent. La tenue de la femme ne semblait pas adaptée à son âge, mais cela pouvait paraître pour une mode un peu décalée. Sa jupe grise plissée semblait sortir tout droit d’un film des années cinquante et sous son blazer, le pull bleu avec un col en V d’où pointait le col blanc d’un corsage renforçait le côté suranné de la tenue. Elle portait des chaussettes blanches qui lui montait jusqu’aux genoux.
Tatie Claudie dut regarder à deux fois pour estimer l’âge de la femme. Il ne s’agissait pas d’une écolière sortant d’une quelconque école privée à l’uniforme stricte. Elle était bien trop âgée pour cela. Il était impossible de lui donner moins de quarante ans, en regardant les traits de son visage qui révélaient une femme d’âge mûr.
Le contraste était encore plus troublant en regardant le garçon. Il portait des vêtements de la même couleur que sa partenaire féminine. Chaussettes, chemise, pull et blazer étaient strictement semblables à ceux de sa voisine. Il n’avait pas de jupe, bien sûr, mais un pantalon court dont les jambes ne descendaient pas plus bas que le milieu de ses cuisses.
Tatie Claudie les regarda l’un après l’autre. Ils semblaient surgir d’un passé lointain ou venir d’un pays étranger. Tous les regards convergèrent vers eux quand ils prirent leur place dans la queue. Ils discutaient entre eux, à voix basse. Leurs yeux lançaient des éclairs quand firent le tour de l’assemblée et il y avait du défi dans leur attitude.
La queue avançait lentement. Il y avait devant eux, deux dames, assez fortes qui papotaient et restaient sur place. En voulant avancer, le garçon et la fille les heurtèrent.
« Dites-moi, tous les deux, vous ne pouvez pas faire attention et attendre votre tour. »
La femme se préparait à répondre, mais son compagnon la retint par le bras. Elle se contint. Ce n’était que partie remise. Les choses s’envenimèrent quelques minutes plus tard. Constatant que les deux femmes n’avançaient toujours pas alors qu’un trou s’était fait devant elles, ils contournèrent l’obstacle et passèrent devant.
« Où vous croyez-vous ? Retournez à votre place dans la fille d’attente !
– T’avais qu’à avancer ! Je ne serais pas passé devant.
– Quelle insolence ! On se doit d’être un peu plus polie, d’autant plus quand on porte l’uniforme que vous avez sur le dos ! »
Cette remarque provoqua des mimiques d’incompréhension. Mais la femme ainsi interpellée se troubla aussitôt.
« Quel rapport avec sa tenue, se dit Tatie Claudie ? »
La réponse arriva de suite.
« Puisque votre tutrice a décidé de vous habiller ainsi, c’est que nous sommes autorisés à vous donner la fessée quand vous en avez besoin. Votre insolence doit être sanctionnée !
– Non, pardon, je n’ai pas fait exprès ! »
Le changement d’attitude des deux personnes habillées de la tenue grise, était spectaculaire. Les deux femmes n’en tinrent pas compte.
« Je me charge de celui-là, dit-elle à sa voisine, vous prenez l’autre, dit-elle en attrapant le garçon ? »
Elle le courba sous son coude et l’homme qui n’était plus si jeune que cela la laissa faire. Il se contenta de faibles supplications que sa compagne accompagna quand elle se retrouva dans la même position que lui, sous le bras de l’autre femme/
« Pardon… je n’ai pas fait exprès… non attendez… je ne le referai plus... »
Relever la jupe ne présentait aucune difficulté et il suffit de tirer sur le pantalon pour qu’il descendît et qu’il tombât sur les chaussures. Il était tenu à la taille par un élastique ce qui facilitait grandement le déculottage. C’était la nouveauté sur le dernier modèle qui était arrivé dans la boutique de prêt-à-porter, chez Madame Schneider, là où on se procurait facilement des vêtements pour les pupilles.
Les deux femmes ne se contentèrent pas d’avoir dévoilé les deux culottes blanches de ces deux adultes. Elles les baissèrent sans autre forme de procès. Ni l’homme ni la femme n’eut un geste de révolte quand leurs fesses furent mises à nu. A l’évidence, ils n’en étaient pas à leur premier déculottage et ils avaient dû se préparer plus d’une fois à recevoir une fessée déculottée. Ils savaient l’obéissance qu’on attendait d’eux dans ces moments-là et les conséquences qu’il y aurait à tenter de se soustraire à la correction qu’ils avaient méritée.
Les deux femmes non plus ne devaient pas en être à leur coup d’essai. Leurs gestes étaient sûrs et d’avoir des adultes courbés sous leur bras ne les troublait pas du tout. Elles n’avaient pas hésité à baisser la culotte, en un geste banal qui ne demandait aucune réflexion avant de l’accomplir.
La fessée fut à l’avenant. Les deux correctrices insistèrent jusqu’à obtenir des plaintes et des fesses copieusement rougies. Les deux punis se trémoussaient, mais ils ne tentaient pas de se libérer de la position dans laquelle ils avaient été placés.
Tatie Claudie appréciait en connaisseuse la technique dont faisait preuve les deux femmes. En une, peut-être deux minutes mais pas plus, elles eurent administré une correction respectable, ce que les deux punis confirmaient par leur attitude. Leurs fesses les cuisaient, ils en montraient tous les signes. La punition ne s’arrêta pas là.
« Cela vous dérange-t-il de garder ces deux mal-élevés au piquet pendant quelques temps, demanda l’une des fesseuses à l’épicière ? Ils y apprendront à être plus patient.
– Aucun souci, répondit l’interpellée. Je crois que cela leur fera du bien. »
Les deux punis furent mis le nez contre le mur et les mains sur la tête. La dame qui avait rougi les fesses, trouva que la position de la jupe retombée sur les cuisses n’était pas satisfaisante. Elle la retroussa et la coinça au niveau de la ceinture.
« Vous avez fait du bon travail, commenta l’épicière. N’ayez crainte, ils vont rester là un bon moment. Je crois que je connais leur tutrice. Elle habite deux rues plus loin, par là-bas. Je vais lui téléphoner pour qu’elle vienne les chercher. »
La dame qui faisait la queue derrière Tatie Claudie approuva. Elle loua le port de vêtements qui permettait de reconnaître, sans risque de se tromper, les pupilles à qui la fessée pouvait être donnée en tous lieux et toutes circonstances.
« Cela devrait être obligatoire, conclut-elle ! »
Le monsieur qui était au bout de la file, ne disait rien. Il ne devait pas être loin de la cinquantaine et il semblait mal à l’aise. Il regardait furtivement les deux personnes qui exposaient leurs fesses nues qui portaient encore les traces de la fessée.
« Celui-là, se dit Tatie Claudie, il pense qu’il pourrait être prochainement à leur place. »
Il ne portait pourtant pas la même tenue grise que les deux punis, ce qui laissait place à un certain doute.
« Cette dame a raison, pensa Tatie Claudie. Si tous les pupilles étaient habillés de la même façon, cela faciliterait grandement leur surveillance. Mes deux voisins, par exemple. »
La boite de sel fin et le paquet de pâtes rangés dans son sac, Tatie Claudie regarda les deux adultes qui n’avaient pas bougé du piquet, malgré l’arrivée de nouveaux clients.
« C’est décidé. J’adopte cette solution. »

Le lendemain soir, Audrey et son mari portaient l’uniforme gris des pupilles. Cela n’avait pas été sans mal pour Audrey. Son mari s’y était résigné plus facilement. Tout juste s’il avait fallu lui donner deux bonnes claques sur le haut de la cuisse pour qu’il se tienne tranquille pendant que la vendeuse prenait ses mesures, quand il s’était retrouvé en culotte dans le milieu du magasin. Il se l’était tenu pour dit et il avait attendu qu’on le revête de ses nouveaux vêtements en cherchant à devancer les désirs de la jeune vendeuse qui l’avait habillé elle-même, comme le voulaient les habitudes de la maison.
La comédie d’Audrey avait commencé dès que Madame Schneider avait voulu lui ôter sa jupe.
« Je vais le faire moi-même, mais pas ici. Dans une cabine d’essayage.
L’espace dédié aux vêtement pour les pupilles n’en comportait pas. C’était inutile. Madame Schneider avait jugé qu’il n’y avait aucun inconvénient à déshabiller ceux et celles qu’on lui amenait pour les vêtir de l’uniforme que tout un chacun aurait l’autorisation d’écarter pour administrer la fessée déculottée. Il fallait une certaine cohérence.
« Pas de caprice, Audrey. Ne nous fais pas perdre notre temps ! »
Madame Schneider avança sa main qui fut une nouvelle fois écartée.
« Audrey, je vais te donner une fessée !
– Vous permettez, intervint Madame Schneider ? Je crois que c’est à moi de régler cette désobéissance. »
Elle fourra Audrey sous son bras, releva la jupe, intercepta la main qui tentait de l’empêcher de baisser la culotte, elle plia le bras d’Audrey dans son dos tout en se laissant tomber sur une chaise. Fermement tenue par Madame Schneider et n’osant pas se débattre trop violemment, Audrey dut laisser sa culotte descendre le long de ses cuisses.
La fessée fut énergique. Madame Schneider avait une longue expérience en la matière et elle n’entendait pas qu’on lui résistât. Elle poursuivit la correction, sous l’œil approbateur de Tatie Claudie, bien après que les demandes de pardon et les promesses de sagesse d’Audrey eurent cédé la place à des cris inarticulés.
Ensuite, il n’y eut plus de difficulté. Remise sur ses pieds, Audrey laissa Madame Schneider lui ôter sa jupe, bien que cela mît, à la vue de toutes les autres personnes, les fesses d’Audrey et son triangle pubien. L’heure n’était plus à la pudeur outragée, mais à l’obéissance scrupuleuse.
« Cette culotte est un peu trop transparente, ne trouvez-vous pas ? Nous devrions profiter de cet essayage pour revoir également les sous-vêtements.
– Vous avez raison. Tant qu’à faire, autant aller au bout de la démarche.
– Voyons voir quel soutien-gorge porte cette péronnelle. »
Madame Schneider déboutonna le chemisier. Audrey eut un petit un petit geste de défense quand le tissu qui recouvrait sa poitrine fut écarté, mais elle se maîtrisa face au regard noir que lui jeta Madame Schneider.
« J’en étais sûre. Le soutien-gorge est de même facture que la culotte. Nous changeons tout cela ? »
Elle s’adressait à Tatie Claudie. Audrey, malgré son âge, ne pouvait avoir voix au chapitre.
« C’est préférable. Tant qu’à faire… »
Madame Schneider ôta le chemisier, puis le soutien-gorge, laissant Audrey la poitrine nue. La culotte suivit. Audrey était aussi nue que le jour de sa naissance, si on excepte les chaussettes auxquelles Madame Schneider n’avait pas prêté attention.
« Voyons ce que nous allons pouvoir lui mettre. »
Porter un soutien-gorge fut écarté. Madame Schneider convainquit Tatie Claudie que c’était inutile. Cette opinion était, en effet, de plus en plus répandue. Une culotte, un chemisier blanc et une jupe plissée qui arrivait à mi-cuisse, Audrey fut habillée de l’uniforme des pupilles, bien contente de pouvoir couvrir sa nudité. Une veste, de la même couleur que la jupe compléta la tenue.
« Nous avons là la tenue d’hiver, mais il y a également une tenue d’été. Elle est en tout point semblable, sauf qu’elle est confectionnée dans un tissu bien plus léger. Tenez, regardez, la dernière innovation. J’ai demandé à ce que soient rajoutés ces deux rubans. »
Madame Schneider reprit Audrey sous son coude et celle-ci crut qu’elle était bonne pour une autre fessée. Il n’en était rien.
« Voyez-vous, quand on retrousse la jupe, Madame Schneider joignait le geste à la parole, on trouve ces rubans qu’il suffit de passer dans ces boucles que j’ai faites placer au niveau de la ceinture et quand on serre, la jupe tient relevée toute seule, facilitant l’administration d’une fessée et laissant les fesses découvertes pour envoyer la punie en pénitence. Pratique, non ? »
Tatie Claudie en convint sans hésiter. Deux ou trois petites claques sur les fesses pour montrer combien elles étaient disponibles grâce à l’utilisation de ces rubans et Audrey put retrouver la position verticale. On rajouta quelques pulls, du même gris que le reste de la tenue. Audrey et son mari purent repartir munis chacun de quatre de ces tenues et d’un nombre plus conséquent de sous-vêtements afin de pouvoir en changer tous les jours. Madame Schneider approuva ces mesures d’hygiène indispensables.

Audrey et son mari durent se faire au port de cette nouvelle tenue. Cela changeait pas mal de choses. Audrey en fit les frais le premier jour où elle se rendit à son travail avec ce nouvel uniforme de pupille. Comme habituellement, elle traversa la rue au même endroit que d’habitude. Elle fut interceptée, sur le trottoir d’en face par une dame qui n’avait pas plus de son âge.
« Dis donc, toi, on ne t’a jamais appris à emprunter les passages pour piétons ? »
Au lieu de répondre vertement comme elle l’aurait fait habituellement, consciente que sa tenue lui imposait de faire profil bas, Audrey se contenta de hausser les épaules. Ce fut le geste de trop.
« Petite insolente, réagit la dame ! Je vais t’apprendre à faire preuve d’impolitesse quand on te fait une remarque parfaitement justifiée. »
Le dame la prit par l’oreille et elle la conduisit vers un banc public, opportunément disposé à proximité. Audrey se serait rebellée si elle n’avait constaté que plusieurs personnes s’étaient arrêtées et qu’elles encourageaient sa fesseuse à aller au bout de ses intentions.
« Je l’ai vu traverser également et elle ose vous répondre. Si vous avez besoin d’un coup de main, n’hésitez pas. Je vous rendrai bien volontiers ce service. »
Plusieurs des personnes qui l’entouraient maintenant proposèrent également leur aide, mais ce fut une phrase qui lui fit comprendre qu’il n’y avait pas d’autre solution que de se soumettre à la punition qui l’attendait, en espérant qu’elle ne soit pas trop cuisante.
« C’est Audrey, je connais sa tutrice. N’hésitez pas, elle reçoit la fessée déculottée aussi souvent qu’elle la mérite. Si elle n’est pas obéissante pendant sa punition, je préviendrai Tatie Claudie. »
Si Tatie Claudie entrait dans l’histoire, c’était autre chose et Audrey pouvait s’attendre à une punition magistrale. Son hésitation lui fut fatale. Elle était déjà allongée à plat ventre en travers des genoux de la dame avant de songer à résister. Le coude qui se plaqua sur son dos la maintenait en place.
« J’espère que tu ne vas pas me créer des problèmes pendant que je te donne ta fessée. Si c’est le cas, je demande à ces dames de te tenir, mais alors je préviendrai ta tutrice. »
Sans attendre la réponse, elle rabattit la jupe sur le dos d’Audrey et elle baissa la culotte. La vue des fesses nues fut accueillie par un murmure approbateur. C’était ce qu’il fallait pour punir cette donzelle. La main frappa une première fois la fesse gauche, puis aussitôt la droite.
« Cette fessée ne sera pas une partie de plaisir, se dit Audrey. »
Elle poussa son premier cri à la troisième claque. La dame ne se déclara satisfaire que quand elle sanglotât ouvertement. Ses fesses brûlantes, le public qui l’entourait, c’était trop.
« Voilà une bonne chose de faite. Occupons-nous du passage pour piétons. »
La dame la remit sur ses pieds et elle lui reprit l’oreille. Elle l’amena jusqu’à l’endroit où elle aurait dû traverser. Sa culotte baissée à hauteur de ses genoux ne facilitait pas son déplacement, mais si elle faisait mine de mettre de la mauvaise volonté à suivre la dame, elle savait ce qui lui arriverait.
« Tu retournes de l’autre côté, puis tu reviens, en marchant bien dans le passage et en faisant attention aux voitures. Je te surveille ! »
Audrey fit l’aller-retour au milieu des passants. Ceux qui n’avaient pas été témoin de la première partie de la scène mettaient un peu de temps à décrypter la situation. La culotte qui apparaissait largement sous la jupe, les larmes qui maculaient encore les joues, l’uniforme dont on commençait à connaître la signification et la dame qui surveillait sur le trottoir d’en face, les mettaient sur la voix. Tout était donc normal. Il s’agissait d’une pupille dont la punition était en cours.
Audrey fut accueillie par la dame qui considérait que la punition avait été salutaire.
« Seras-tu attentive désormais à l’endroit où tu traverseras ?
– Oh oui Madame, je le promets.
– C’est bien, mais fais attention, la prochaine fois ce ne sera pas une petite fessée comme aujourd’hui ! »
Audrey ne fit pas de commentaire. Elle avait une idée assez précise de ce que pouvait être une fessée plus sévère et elle ne tenait pas à ce que la dame lui fît, séance tenante, la démonstration de ses capacités à tenir ses promesses.
« Approche ! »
La dame avait sorti un mouchoir. Elle essuya les larmes qui restaient sur les joues d’Audrey et elle présenta le mouchoir devant son nez dont elle boucha une narine.
« Souffle ! »
Audrey obéit.
« L’autre ! »
Elle remonta alors la culotte d’Audrey non sans avoir jeté un œil à ses fesses, ce qui les exposa une nouvelle fois aux passants. Audrey se garda bien de montrer combien ce geste la gênait. Elle semblait être la seule à y trouver à redire.
« Bon, pas de gros dégâts ! Ce n’était qu’une petite fessée. »
Les personnes qui passaient jetaient rapidement un regard sur son anatomie exposée, mais pas un ne s’arrêta ni ne s’indigna qu’une femme d’âge mûr pût subir une tel traitement et exposer ses fesses publiquement. Cela donnait à Audrey une sensation de banalité et de normalité qui contrastait avec ce qu’elle ressentait.
« Vas-tu à ton travail ?
– Oui Madame.
– C’est bien, tu es polie, maintenant. Tu aurais dû commencer comme cela, ça t’aurait évité tous ces ennuis. »
Audrey dut se rendre à l’évidence. La dame avait raison.
« Risques-tu d’être en retard ? »
Audrey regarda sa montre. Elle avait tout juste le temps de faire les cent derniers mètres qui restaient.
« Non Madame, je ne crois pas.
– Où travailles-tu ? »
Audrey montra l’entrée de l’entreprise qui l’embauchait.
« Ah, je connais ! Tu as bien un chef, ou un responsable ?
– Oui Madame, la cheffe de service, Madame Talouet.
– Ah, très bien. Je vois qui c’est. Une femme fort capable. En arrivant à ton travail, dès que tu arriveras, tu lui expliqueras que tu as reçu une fessée et ce qui l’a justifiée. Tu lui diras que tu dois être mise en pénitence au coin au lieu de prendre une pause ce midi.
– Mais je…
– Oui ? Quelque chose ne va pas ? »
Audrey baissa la tête.
« Non Madame.
– Fort bien. Il est temps que tu y ailles si tu ne veux pas arriver en retard. N’oublie pas ce que je t’ai dit de faire. Je vérifierai ! »
Audrey se dirigea vers son travail. Elle n’avait plus du tout envie de s’y rendre. Elle se retourna. La dame la suivait des yeux. Elle accéléra un peu le pas. Il ne s’agissait pas de rajouter un retard à cette journée qui avait si mal commencé.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui, normal ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 48
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

3 commentaires:

  1. Amis de la poésie et des fessées en chaussettes blanches du dimanche et même de la semaine... bonjour!
    Bonjour JLG.

    Ah les bonnes fessées déculottées en public! Quoi de plus exemplaire et pédagogique que d'ajouter, ce zest d'humiliation, au geste déplacé dans une file d'attente, justifiant la punition. Nos deux adultes, uniformisés en gris, envoient le message qu'ainsi habillés, ils sont fessables en toutes circonstances.Ils y sont même habitués. Madame Schneider, main de fer, sans gant de velours, sait sévir quand il le faut. Offence à un passage piéton dans l'exercice de ses fonctions, même combat, c'est la fessée déculottée, et un aller et retour à traverser la rue sur les bandes jaunes, la culotte baissée. Tous ces petits gestes simples, du quotidien qui contribuent à entretenir les principes d'une bonne éducation.

    Au passage, intéressant, de souligner le diversité des fantasmes qu'alimente le sujet de la fessée, notamment à l'exemple des tenues vestimentaires.
    Dans les récits de JLG, et d'autres, tenues strictes, austères, fonctionnelles, à l’instar des uniformes des écoles anglaises ou australiennes. Jupe plissée, aisément retroussable, pratique pour la fessée, culotte courte avec élastique facile à baisser, chaussettes blanches montantes, sous vêtements sobres en coton... on infantilise l'adulte.
    Amusant contraste avec l'univers fantaisiste de CDAMF, en tailleurs moulants, décolletés plongeants, porte jarretelles, bas nylon, talons aiguille... Panoplie vestimentaire d'une image fantasmée de la femme sophistiquée, forte, autoritaire. Ce qui n'empêche pas de traiter les adultes punis comme des enfants ou adolescents attardés...

    Bref, petite réflexion sur la diversité de traitements des thématiques autour de la fessée, plus vastes et plus riches qu'il n'y paraît au premier abord. Voir, donc, le second rabord!
    Etoning, not ? Ah, ça y est, je parle couramment anglais!
    Amicalement
    Ramina

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  2. Messire Ramina, c'est okayyyyyyy ! Okayyyyy !

    "L'habit ne fait pas le moine " comme le dit souvent un vieux proverbe mais... il fait entrer à l'abbaye ! No ? Oncle Peter a donc raison de faire le kilt à son "héros-malgré-lui" Gérome Bellebourge 22 ans - 1m 72 - 56 kgs - Pointure 40 - Pensionnaire chez les Sœurs. J'ai trouvé un bon sous-titre à cet épisode : "La journée de la jupe". C'est kilt ou double ! (c'est l'occasion de la placer celle-là)
    Amicalement. Peter.

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  3. Yesss Peter!
    Sûr, ça fait pas un plis! Bien placée celle là! On est kilt...
    Ramina

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