mardi 2 mars 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 14

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LES FESSES D'ANDREW A L'HONNEUR CHEZ BETTINA.

Bettina arriva chez elle d'excellent humeur. Elle se débarrassa de son sac qu'elle posa sur la commode et jeta un coup d'œil à la pendule du vestibule. Walter n'était pas encore rentré. Il lui restait encore cinq minutes pour faire le trajet de son bureau à la maison, avec interdiction formelle de passer par le pub. Son temps était compté à la minute près. Au moindre retard, c'était la fessée, déculotté, directement sur la banquette. Walter étant loin d'un modèle d'exactitude et souvent oublieux des consignes, ces séances punitives arrivaient très régulièrement et pas toujours pour la raison indiquée ou même justifiée.

Quand bien même Monsieur arrivait à l'heure, elle trouvait toujours un malin prétexte pour lui flanquer une bonne déculottée. Claquer vigoureusement les fesses de son mari, était pour Bettina son sport favori. Un excellent exercice de remise en forme après un  harassant après-midi  à courir les magasins.  Walter était loin d'approuver la méthode mais elle ne lui demandait pas son avis. A l'annonce de sa fessée, il venait docilement  lui présenter ses fesses à déculotter et subir sa raclée, comme un gamin, puni par sa mère après avoir trop traîné à rentrer de l'école.

 

La conversation avec Patricia et la perspective de fesser Andrew l'avait tout émoustillée. A défaut, peut-être, d'avoir la raison habituelle de corriger son mari pour son manque de ponctualité, il lui venait soudain, la pressante envie de recevoir, elle-même, une fessée. Le besoin irrépressible  de sentir une main dure claquer sur ses fesses, à travers sa jupe moulante. Pas la fessée déculottée. Non, elle voulait simplement savourer l'échauffement  de ses fesses, serrées sous le nylon de son slip, qui les rendait encore plus fermes et claquantes.

Elle se planta devant la glace et se retourna en penchant la tête par-dessus son épaule pour apprécier l’arrondi de ses proéminentes courbes fessières. Elle les caressa voluptueusement à deux mains en creusant les reins, cambrées sur ses hauts talons,  pour mieux les faire ressortir. Son regard enveloppant lui apporta la confirmation qu'elles étaient bien faites pour recevoir de longues et magistrales fessées. Elles les craignaient ces fessées, mais néanmoins les sollicitait pour les sensations fortes que cela lui procurait. Ce que ne semblait pas toujours comprendre Walter, pas aussi souvent attentif qu'elle le souhaitait, à ses formidables avantages fessiers. C'était à peine s'il lui rendait la moitié des fessées qu'elle lui  administrait. Elle émit un petit soupir de dépit, se tapota  affectueusement  le derrière et alla s'installer dans le canapé du salon pour téléphoner.

 

Elle avait décidé de prévenir Géraldine du comportement d' Andrew et de l'accord qu'elle avait passé avec lui, pour le corriger sans en avertir Margaret. Elle invita la jeune femme à venir assister à la punition.  Après tout, le garçon au pair, était sous la responsabilité des Delaniaires, et il était, somme toute, normal qu'une représentante de la famille soit présente pendant l'application de la sanction, quitte même à y participer.

Géraldine ne se fit pas prier. Excitée par la saveur un peu perverse d'une séance de fessée organisée à l'insu de sa mère, elle décida d'accepter l'invitation sans lui en parler. Elle se rendrait chez Bettina le samedi en question, tout à fait par hasard, peu après l'arrivée du jeune homme.

 

La semaine passa très vite. Trop vite pour Andrew qui se présenta chez Bettina  le fameux samedi après-midi, à l'heure qu'elle lui avait indiquée par SMS. Elle lui avait vivement conseillé de venir solidement culotté, dans un de ces fameux slips à fessées, que les Delaniaires, mère et fille, lui faisaient maintenant porter à chacune de ses corrections. 

Pour une fois prudente, Bettina, soucieuse de discrétion, avait respecté sa parole de ne pas souffler mot à Margaret du scandaleux comportement en public de son étudiant au pair.  En échange de quoi, elle allait disposer de ses fesses comme bon lui semblerait. Pas sûr qu'il gagne au change. La présence de Géraldine apporterait la caution de la famille Delaniaires et pour lui un surcroît d'humiliation. 

Patricia s'était également abstenue de parler de ce qui se tramait à qui que ce soit, même pas à sa mère. Tout le monde se connaissait plus ou moins dans le quartier, véritable petite communauté oblique, d'adeptes inconditionnelles de la fessée. Les rumeurs y allaient bon train,  souvent répandues par Bettina, elle-même, qui ne risquait donc pas d'en subir les conséquences par cette voix. Elle tenait surtout à éviter que Walter apprenne, par hasard ou pas, que son épouse s'apprêtait à passer une partie de son samedi après-midi à claquer les fesses d'un inconnu, à son propre domicile.

– Ah te voilà Andrew ! S'exclama - t-elle, toute souriante, en le faisant entrer comme si elle accueillait un invité pour prendre le thé. Tu viens chercher ta fessée. Enfin... tes fessées, parce que je n'ai pas l'intention de me contenter d'une seule. Ton comportement au pub, avec tes petits copains anglais, mérite une punition exemplaire... tu le sais?

 Elle rit.  Et tu vas très vite te rendre compte à quel point j'adore corriger les jeunes gens mal élevés, comme toi. 

Ça commençait fort , mais il ne fallait pas en attendre autrement de la pétulante jeune femme qui comptait bien profiter de l'occasion pour se régaler d'une séance de fessées exemplaire.  Andrew, tête baissée, répondit en français, par un timide :

– Bonjour, Miss... Mad... euuh... Madame Bettina.

– C'est cela... Bonjour... elle commence par le sermonner. Ah, tu fais moins le malin maintenant ! On n'est plus au pub, à boire des bières et ficher la  pagaille avec ses petits copains anglais ! Dès qu'on est plus chez soi, on ne respecte plus rien !  

– Oooh no, miss... madame Bettina, je... pas  irppestec… irrestec... moi, irrespectueux , no, no !

– Non, penses-tu ! Tu sais ce qui tu as fait, et ce qui attend tes fesses... Alors, pas la peine de perdre du temps en discussion, la fessée c'est ici et maintenant !

– Yes Ma'am... The spank... Euuh, la fessée...

– La fessée !!... Oui, c'est comme ça qu'on dit en français. Tu as parfaitement compris .

Elle le saisit par l'oreille, et le conduit d'autorité au salon, au milieu duquel, trônait, un magnifique tabouret à fessée, à l'assise recouverte de velours rouge. Elle avait, sans aucun doute, choisi cette couleur, pour impressionner les punis en leur donnant un aperçu de celle de leurs fesses après y avoir été corrigés. Y compris les siennes, d'ailleurs, puisqu'elle aimait autant recevoir que donner.

– Au moins tu es à l'heure, c'est toujours ça ! Dit-elle en s'asseyant sans le lâcher. Il dû se courber en deux pour suivre le mouvement.  Il faut toujours être ponctuel quand on vient présenter son derrière pour recevoir une fessée.

– Yes Ma'am ...

– Yes Ma'am ! Yes Ma'am ! C'est tout ce que tu sais dire ! On ne peut pas dire que tu as encore beaucoup de vocabulaire à ta disposition !

– Yes, Ma'am... Bettina !

– C'est bien ce que je disais, peu de vocabulaire... Par contre, autant te mettre au courant tout de suite, si ce n'est déjà fait... en ce qui concerne les retards,  je ne connais pas les règles en vigueur en Angleterre, mais ici, c'est systématiquement : fessée double tarif. Ça   chauffe bien les fesses et ça incite à respecter l'heure des  rendez-vous.

Andrew n'en menait pas large. Cela ne faisait pas longtemps qu'il était arrivé, et son très attractif fessier avait déjà fait la cuisante connaissance avec quelques-unes des plus sévères fesseuses du quartier.  Au point de ne pas avoir retrouvé sa couleur initiale depuis deux jours. Il faisait donc profil bas et commençait à se demander s'il n'avait pas été imprudent de mettre son derrière entre les mains de cette Bettina, en pensant  échapper aux magistrales fessées de Margaret. Il était en si mauvaise posture, que l'instinct de conservation de son arrière-train lui suggérait d'éviter toute forme de contestation. C'était le moment de puiser dans les ressources du fameux flegme britannique, ce qui ne l'empêchait pas de s’inquiéter, quant à la durée de la correction et de la rigueur des fessées répétitives.

Bettina retroussa sa jupe, carrément jusqu'à la taille, afin de disposer d'une bonne liberté de mouvement des hanches et fesser à l'aise. Elle attira Andrew debout entre ses jambes, déboucla sa ceinture et le fit pivoter sur lui-même, pour apprécier, de plus près, la partie la plus excitante de son anatomie postérieure qui allait bénéficier de toute son attention. 

– Maintenant, voyons voir ce qui remplit si bien le fond de ce pantalon.  Penche-toi en avant et baisse-le, lentement, en cambrant les reins pour déployer tes fesses  au maximum. J'aime bien prendre la mesure des derrières que je vais corriger pour décider de l'ampleur de la fessée à administrer. 

Elle rit encore, pendant qu'il s'exécute en se déculottant comme elle vient de le lui ordonner. Tout en savourant l'apparition de l'imposant fessier soumis à son expertise, elle retrousse la manche droite de son chemisier pour bien dégager la main qui va claquer.

Eh bien, mon ami,  voilà une magnifique paire de fesses qui n'a pas traîné à se faire une réputation. M'est avis qu'elles vont pleinement profiter des méthodes disciplinaire en vigueur par ici . Ça promet de belles fessées qui vont vous laisser des souvenirs impérissables sur le derrière !

Andrew de moins en moins à l'aise se dandine d'un pied sur l'autre en retenant à deux mains son pantalon baissé au milieu de ses cuisses. Il garde les reins cambrés pour présenter du mieux qu'il peut son plantureux fessier, bien arrondi,  sous le regard goguenard de sa fesseuse.

– Ooooh, please Madame … Noooo, s'il...  vous plaît... je suis very désolé...

– Trop tard mon ami, trop tard. Et désolé de quoi ? Voilà ce que c’est d'être insolent. Cela vous apprendra à vous conduire correctement en public ! Il n’y a rien de tel pour vous faire comprendre cela ,Monsieur, que de bonnes-fesssssées-dé-cu-lo-ttées !!!” 

Elle le reprend par les cheveux et le couche en travers de ses cuisses, les jambes en l'air, en appuis sur les mains, la tête au ras du sol. Instinctivement il bombe le derrière pour en accentuer l'arrondi, comme il a été habitué à le faire dans cette position.

Elle insiste à plaisir pour l'impressionner davantage  

– Vous avez entendu Andrew, j’adore prononcer ces mots à la suite : bonnes-fessssées-dé-cu-lottée...ils vont bien ensemble vous ne trouvez pas ?  ... C'est encore mieux en insistant  longuement sur les sifflantes des 'SSSS'', ça sonne aussi bien à l’oreille que sur les fessssses !   Fessssssée-déculottée... comme si on entendait déjà le glissement du slip sur les cuisses et la fessée claquer sur le derrière ...Je suis très sensible à la sonorité des mots... et encore davantage à celle des claques sur les fessssses !

Maîtresse du déroulement de la punition,  elle savoure l'instant qui prélude au déclenchement de la fessée. Elle prend tout son temps avant de commencer, notamment celui de le sermonner  pour bien lui faire comprendre qu'il a mérité sa correction et en justifier la sévérité. Elle le tourmente avec jubilation en le rendant témoin des préparatifs de sa propre fessée. Le pauvre garçon n'a pas fini de regretter le marché de dupe qu'il a accepté, sans se douter de la personnalité perverse de la jeune femme qui le tient à sa merci. Elle a plongé d'autorité la main dans son slip et, dans un surcroît d'humiliation, lui  patine les fesses sous le nylon tout en détaillant, avec cynisme, sa méthode de correction. 

– Voyez Andrew, explique-t-elle avec un cruel détachement. Pour réussir, de bonnes fessées... Quand je dis '' bonnes fessées'', vous comprenez ce que je veux dire... des sévères, bien cuisantes... Vous m'écoutez Andrew ?

– Si , oui... yes, madame Bettina … je... écoute !

  Non  Andrew, vous n'écoutez pas !

Elle lui tire la tête en arrière en le tenant par les cheveux et lui balance une monumentale claque aux fesses qui les fait rebondir sur ses genoux. Il ne s'y attendait pas et pousse un petit cri.

– Vous avez la tête ailleurs on dirait... C'est pour ça que je parle à vos fesses. Voilà, merci ! Je disais donc Andrew... , pour bien fesser, fort et longtemps, il faut  fesser à l'aise et n'être gêné par rien. Le derrière bien positionné, stable, manche retroussée, et une main très ferme pour claquer sec.

Andrew, au bord des larmes, se sent obligé de répondre... très mal.

  Yes... Euuh, oui  ma... madame Bettani... Euh sory... Bettina …

Elle retire sa main dans un claquement d'élastique et lui tapote maintenant le derrière  à travers le nylon pour en apprécier la fermeté. Il est presque dur, serré dans son slip à fessée si moulant qu'il lui colle au derrière comme un deuxième peau. Il en saisit la protection dérisoire, à l'instant où éclatent les premières claques. 

– Après la théorie, la pratique, annonce Bettina d'un ton professoral... Démonstration à l'appui avec un petit exercice d'échauffement avant les fessées déculottées. . 

Nouvel éclat de rire sonore qui accompagne le démarrage en trombe de la première tournée, à travers un slip, tendu à craquer sur les grosse fesses rebondissantes . Elles en offrent une surface très ferme et excitante à claquer. Cerise sur le derrière, le nylon, excellent conducteur de chaleur, accentue encore l'effet de cuisson.

Andrew en hoquette déjà de douleur et sent qu'il ne va pas résister longtemps avant de passer des larmes dégoulinantes, aux lourds sanglots.  

– Oh please...s'il vous plaît ,madame... Ouaaaaaaiiii !i Pas si hard la spanking...   Ouaiii Ouaiiii !!!

– Ah, c'est bon signe, s'exclame Bettina, sa main virevoltant d'une fesse à l'autre  avec entrain. A vous entendre, on dirait que ça commence déjà à bien chauffer, ou alors je ne vous supposais pas si douillet.

– Oauiiiiiiie !!  Ouaiiiii !!! Please ! Please !!!

Le fessier tout entier semble gonfler sous les claques, et emplit le slip qui se tend à éclater. Sous la force des allers et retours, les élastiques s'enfoncent progressivement dans la raie. Elle se régale Bettina, à claquer vigoureusement la belle surface fessière qui s'offre, ferme et compacte, à sa main, étroitement moulée dans le nylon serré comme une gaine. Et ça claque sec, de plus en plus fort.

En anglais comme en français, les cris de douleur et les pleurs se ressemblent tous, Ceux d'Andrew montaient progressivement dans les aigus au fur et à mesure que ses fesses rougissaient, et ce n'était que le début . 

– Quelle merveilleuse idée vous avez eu de ramener une pareille paire de fesses par ici.  Fermeté, souplesse, endurance, que du bonheur, plein la main !

– Oaaaarrrrh !!! Please , !! Vo claquez fort … Oaiiiie,  my... but !!!

– Bien sûr jeune homme, une fessée c’est une fessée... cela doit toujours bien claquer,  au minimum une bonne demi-heure, en plusieurs fois, pour faire durer le plaisir... Avec une paire de fesses comme les vôtres, comment voulez-vous résister. Elles claquent tellement bien. Des fesses comme ça, c'est fait pour la fessée,  je suis certaine qu'on va bien s'entendre, et qu'on va surtout bien les entendre pendant votre séjour. Elle rit, d'un rire clair, joyeux, communicatif. Sauf pour Andrew, qui, dans sa position, n'avait pas du tout envie de rigoler. Mais alors... pas du tout !

Elle avait beau avoir ce côté garce perverse, comme on le disait, Bettina compensait par une nature généreuse qui ne se départissait jamais de sa bonne humeur, de sa joie de vivre et... de fesser. Elle trouvait toujours le moyen de se moquer, d’ironiser, de provoquer, même dans les situations les plus scabreuses. Andrew n'avait pas le choix et encaissa en pleurant l’éclat de rire de sa fesseuse en même temps que l'éclat de sa fessée.

Bettina, désireuse d'obtenir un beau rouge uniformément réparti sur toute la surface offerte à sa main, s'appliquait à distribuer les claques d'une fesse à l'autre, avec la même intensité. Le claquement de la fessée était si fort qu'elle n'avait pas entendu arriver Géraldine, qui, de la porte du salon, savourait le spectacle, du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille. Elle signala sa présence en s'exclamant d'une vois enjouée.

– Hummmm, ça sent bon la fessée ici ! Ce sont encore les fesses de notre ami Andrew qui régalent . Ça chauffe dur on dirait ! 

Bettina releva la tête tout en continuant à fesser.  Une fois lancée, elle n'avait jamais de problème pour garder les bonnes trajectoires de sa main au derrière qu'elle corrigeait, même sans regarder. Elle fit semblant d'être étonnée pour qu'Andrew ne se doute de rien.

– Ah c'est vous Géraldine, quelle bonne surprise ! Comme vous faites bien de nous rendre visite, elle prend un ton ironique. Vous passiez par ici, ou par-là ? Vous avez vu de la lumière ?

une fessée déculottée en public



– Pas ex-ac-te-ment ! Répond Géraldine avec son petit sourire vicieux. Disons que j'ai entendu claquer une paire de fesses, alors je suis entrée. C'est l'avantage de fesser les fenêtres ouvertes. Mais ça claque tellement fort que vous ne m'auriez pas entendu si j'avais sonné.

– Vous avez bien fait ma chère, on ne va pas se gêner entre nous ! Comme vous le voyez, Andrew supporte très bien sa petite séance d'échauffement !  Sans compter que vous devez bien les connaître, maintenant, les fesses de votre protégé.

Géraldine se retient de rire, le regard gourmand, fixé sur le gros derrière rebondissant , elle pouffe entre ses mains.

– Pour ça oui, c'est au moins sa quatrième fessée à laquelle j'assiste, sans compter celles que je lui ai déjà mises à la maison... avec maman  ! Vous pouvez le dire, on s'en occupe bien de ses fesses !

-- Et bien  Andrew ! Interpelle Bettina, qui ne perd pas le rythme pour autant et tape toujours aussi fort. La surface de fesses débordant des élastiques du slip commence à virer à l'écarlate. On ne dit pas bonjour à son amie Géraldine ?

Le malheureux se tord le cou par-dessus son épaule, pour gargouiller un misérable, ''good''... quelque chose , entre '' morning'' et bonsoir. A peine s'il aperçoit, à travers ses larmes, la frétillante silhouette de la fille Delaniaires, qui ne présage rien de rassurant pour ses fesses. Il n'a pas tort d'en redouter la présence, surtout lorsque Bettina lui demande de bien vouloir aller chercher le tube de Dolpic dans la salle de bain. 

– La deuxième porte au fond à gauche. Vous allez le trouver dans le tiroir du haut du petit meuble, à côté d'un gros martinet que vous voudrez bien rapporter aussi. Merci, vous êtes bien aimable.

– Avec plaisir chère amie, minaude Géraldine en ondulant du derrière. Quand on a une paire de fesses comme celles-là, sous la main, une bonne fessée déculottée au Dolpic avec le manche du martinet bien enfoncé dans le derrière, moi je dis qu'il n'y a rien de mieux !

Sa courte jupe plissée battant le haut de ses cuisses, elle disparaît dans le couloir dans un bruyant claquement de talons aiguilles, en écho de celui des fesses d'Andrew, qui commence à réellement sentir sa douleur sous la main ferme de la maîtresse de maîtresse de maison.

 Lorsque  celle-ci estima lui avoir bien chauffé le postérieur et suffisamment préparé à la fessée suivante, elle le remit debout, sanglotant entre ses cuisses, pour le déculotter. 

– Attention Andrew, interdiction formelle de se frotter les fesses ! Avertit-elle, impitoyable,  d'un ton plus menaçant que prévenant . Sinon... c'est retour sur mes genoux et fessée supplémentaire avant la déculottée !

 C'est au moment où, son visage placé à un niveau qui pouvait sembler équivoque, Bettina saisissait les élastiques du slip d'Andrew pour le déculotter, que Walter, le mari, fit une entrée inattendue, car prématurée, dans le salon. Encore une fois, à cause du formidable  claquement de la fessée et des cris du puni, personne n'avait entendu la porte d'entrée s'ouvrir et se refermer.



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 13

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

4 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la fessée promise, Bonjour,
    Après quelques écarts de conduite sur lesquelles Bettina ne veut pas faire de Pub licité, c'est Andrew qui est obligé de venir à l'insu de son plein gré pour recevoir sa correction méritée. Quelle idée de s'enivrer comme un pochtron au premier troquet ouvert... En période de confinement, de surcroit. Bettina a comme mot d'ordre "à nous les petits anglais".
    On en apprend de belle sur miss Bettina. Elle ne serait pas contre recevoir quelques claquées pour avoir quelques degrés de plus aux fesses.
    Pour Andrew, c'est ce qui s'appelle tomber de Charybde en Scylla voire de Maitresses Bettina en Margaret, ès fessées, ce qui n'est guère mieux.
    Le Dolpic va reprendre du service, ce qui promet de belle fesses rouges et brulantes durant un petit moment.
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Bonjour Elena,

    Belle analyse synthétique.Il y a aussi du talent chez vous.
    Eh oui, Bettina est "bi " fessée" Elle aime recevoir autant que de donner. Et pour paraphraser ce que vous dites si à propos, "A elle ( les fesses ) des petits anglais!" Fessée bien ordonnée commence par les fesses des autres.
    Géraldine n'est pas en reste et le plaisir de claquer une belle paire , n'a d'égal que celui de se faire rougir les siennes. Mieux que la chandelle, l'avantage de se faire chauffer les jarretelles par les deux bouts!
    Quant à Andrew , il n'a pas fini de découvrir que l'Angleterre n'a pas l'exclusivité des meilleures fessées!
    Ah ma po'v dame, faut se donner bien du mal pour éduquer ces insolents derrières!
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonjour Elena, bonjour Ramina,

      J'avais écrit un commentaire et il est tombé dans l'oubliette...
      Ces dames font du chantage , mais c'est pour la bonne cause. Ton épisode m'a inspiré une saynète pour Dimanche prochain. Toujours l'inter-activité. On se croise beaucoup sur cette scène de théâtre.
      Amicalement. Peter.

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  3. Bonjour Peter,

    Je trouvais ça curieux ... Oui, ça m'est arrivé aussi... Les voix du web sont imprévisibles... Pas tout à fait, pour la suite de ces histoires rocambolesques avec cet aréopage de personnages finalement assez prévisibles, encore que .... On se doute de ce qui va arriver s'en en être certain. Comme la dernière image en bas de page d'une BD qui introduit une interrogation et rend le lecteur impatient de savoir la suite.
    Hi, HI ! Quelle va être la réaction de Walter, que va t il donc arriver à Bettina... Andrew va -t-il échapper à sa fessée déculottée ? Oula, la , mon pôv' monsieur! Suspense insoutenable ! Probable, que ça risque de "chauffeeeeer" ... ( comme dirait quelqu'un de mes connaissances)
    Au moins je sais que ça t'interpelle, et, ma foi, ça ne me déplaît pas de savoir que ça titille ton inspiration dominicale. je suis toujours curieux de découvrir ta version des faits...sses! (rire) dans le petit théâtre des " Mémoires d'un garnement..."
    Amicalement,
    Ramina

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