jeudi 4 mars 2021

Le journal d'Olga - chapitre 41 - 1ère partie

 Le jour de la rentrée des classes de septembre, on a eu une belle surprise. Huit adultes. Quatre hommes et quatre femmes. Dont on s’est d’abord demandé ce qu’ils fichaient là. C’était quoi ? De nouveaux profs ? Des observateurs extérieurs ? Mais en fait non. Pas du tout. Ils étaient là comme élèves dans le cadre de la formation continue des adultes. En informatique. Et c’est dans nos sections à nous qu’ils allaient se trouver du coup.

La directrice nous a sermonnés.

« Faites en sorte qu’ils ne se sentent pas complètement perdus. Ça ne doit pas être facile pour eux de reprendre des études à leur âge. Alors mettez-y du vôtre. Autant que faire se peut.

On voulait bien, nous. On demandait pas mieux. Alors s’ils avaient des questions…

Ils en avaient, oui. Et d’abord c’était quoi cette histoire de châtiments corporels dont ils avaient vaguement entendu parler ?

Oh ben, ça coulait de source, non ? Quand notre conduite laissait à désirer ou que nos résultats scolaires étaient en chute libre, on nous remettait dans le droit chemin. À coups de martinet. Ou à coups de fouet.

L’œil de l’un des types, Makary D., s’est allumé.

‒ Mais on vous le fait… les fesses à l’air ?

Ah ben oui, ça, forcément !

‒ Les filles aussi ?

‒ Les filles aussi.

Il a dégluti.

‒ Et devant tout le monde ?

‒ Devant toute l’école, oui. Dans la cour. Ou bien, quand c’est l’hiver et qu’il fait froid, au réfectoire.

Il y a eu un long moment de silence. Le temps qu’ils digèrent l’information. Et puis ils ont essayé de se rassurer.

‒ Oh, mais à nous, on nous le fera pas. Pas à notre âge.

Oui, ben alors ça, ils avaient qu’à y croire.

‒ Vous avez bien lu le règlement ?

Oui. Enfin non. Pas tout. Il y en avait quarante pages.

‒ C’est écrit noir sur blanc. Vous avez signé ?

Ils avaient signé, oui.

‒ Eh ben donc, vous avez accepté d’être punis quand vous l’aurez mérité.

Ils ont bien essayé de se débattre un peu. D’argumenter. De se convaincre qu’à eux ça n’arriverait pas. Ça ne pouvait pas arriver.

On leur a désigné du doigt Mary P., la secrétaire de la directrice, qui traversait justement la cour à ce moment-là.

‒ Vous la voyez, elle ? Eh bien, elle y a eu droit. »

Et on leur a raconté en long, en large et en travers, en s’y mettant à cinq ou six, la fois où elle avait été fouettée devant toute l’école.

Ils ont accusé le coup. Et ça en est resté là. Parce que la cloche a sonné. Et qu’on a regagné nos salles de cours respectives.

 

Le soir, dans la chambre, on a évidemment parlé, Iourievna et moi, de ceux qu’on s’était mises à appeler, entre nous, les petits nouveaux.

Elle, elle était aux anges.

« T’imagines que sûrement, un jour ou l’autre, il y en a un qui va sortir des clous. Forcément. Et que, ce jour-là, on va lui voir le cul rougir sous les claquées. Oh, non, j’ai trop hâte, moi ! Un type qu’a le double de mon âge… Je vais trop kiffer.

Elle s’est perdue quelques instants dans ses pensées.

‒ Celui à qui j’aimerais le plus que ça arrive, c’est Makary D. Et de loin. Mebrahtu A. aussi, oui, bien sûr. Parce qu’il a près de cinquante ans. Et que comment ça doit être humiliant à cinquante ans d’être obligé de se laisser déculotter et punir. Mais quand même, je préférerais Makary D. Pas toi ?

‒ Si ! Oui. Peut-être. Je sais pas.

En réalité, celle que j’aurais eu le plus envie de voir fessée, c’était Rose P. Tout de suite, dès que je l’avais aperçue, ça m’avait déclenché des tas de trucs à l’intérieur. Mais j’en étais pas d’en parler de tout ça. C’était trop tout neuf. Et j’y voyais pas encore suffisamment clair. Ça me perturbait, cet élan  que j’avais maintenant souvent envers les femmes. Beaucoup. Heureusement, il y avait Théo. Que j’aimais et qui…

Elle m’a regardée d’un air soupçonneux.

‒ Qu’est-ce t’as ?

‒ Mais j’ai rien.

‒ Si, t’as quelque chose, je le vois bien. T’es pas comme d’habitude.

J’avais… J’avais, si elle voulait vraiment le savoir, j’avais qu’il y avait ce conseil de discipline que la directrice, à la fin de l’année scolaire précédente, m’avait promis pour la rentrée, qu’elle n’avait sûrement pas oublié, c’était pas son genre, que j’allais être convoquée d’un moment à l’autre et que je m’attendais au pire.

‒ Parce qu’ils vont pas me louper. Tu vas voir que c’est moi qui vais essuyer les plâtres cette année. Et devant eux, là, les nouveaux. Qui vont se régaler : une petite jeune le cul à l’air…

Elle a esquissé une grimace.

‒ Ça, il y a toutes les chances. »

 

Le courant passait pas trop avec eux en fait. On n’avait pas les mêmes centres d’intérêt. Pas les mêmes sujets de conversation. Alors ils restaient le plus souvent entre eux. Ils nous ignoraient. C’était Bonjour-Bonsoir. Quelques mots échangés sur les cours, sur les devoirs à faire. Et puis voilà. Enfin presque. Parce qu’au bout de quelques jours, les types se sont mis à nous laisser traîner les regards dessus. Insistants. Sur les seins. Sur les fesses. Un peu partout. Tous les quatre, mais deux surtout. Mebrahtu A. et Makary D. C’était d’un lourd, mais d’un lourd !

Il y avait des filles qui disaient que le mieux, c’était de pas s’en occuper, qu’à force ils finiraient bien par se lasser.

Et d’autres qui pensaient qu’on pouvait quand même pas laisser un truc pareil.

‒ J’en ai marre qu’on me prenne pour un morceau de viande à baiser, moi, merde !

‒ T’as l’impression qu’ils te tâtent sans arrêt avec les yeux.

Elle n’était pas la seule.

Ben oui, mais elles voulaient qu’on fasse quoi ?

‒ Ils vont dire que c’est des mythos, qu’on prend nos désirs pour des réalités.

‒ Et nous rendre la vie impossible.

Sauf qu’à force de rien dire ils se sont enhardis. Et mis à faire tout un tas de réflexions.

‒ Tu sais que t’es bonne, ma chérie ? Sacrément bonne.

‒ T’as jamais vu le loup ? Je pourrai te faire faire connaissance avec lui, si tu veux.

‒ Ça te dirait pas que j’aille rendre une petite visite à ton gentil petit triangle d’amour, là, en bas ?

Avec des regards appuyés dessus.

Il y en avait marre, mais marre.

Les femmes également elles en avaient après nous, mais pas de la même façon.

‒ Si vous vous habilliez un minimum décent aussi, ça vous arriverait pas…

Oui, ben on faisait ce qu’on voulait.

‒ Manquerait plus que ça qu’on puisse pas mettre ce qu’on veut !

‒ Venez vous plaindre alors ! Quand on se balade sans sous-tif, obligé que les mecs, ça leur mette les hormones en ébullition. »

Ça, c’était leur problème, pas le nôtre…

 

Et évidemment, un beau jour, est arrivé ce qui devait arriver. Il y en a un, Makary D., qu’a passé une main au cul de Flavie. Et carrément. Tout le monde l’a vu. On était outrées. Toutes. La plupart. Parce qu’il y en avait qui le défendaient quand même. Des filles comme des garçons. Qui disaient que Flavie, ce matin-là, elle avait trois ou quatre boutons de sa chemise qu’étaient pas fermés, qu’alors fallait pas s’étonner qu’il y en ait à qui ça donne des idées…

« Oh, mais j’avais une veste par-dessus quand même ! On voyait pas mes seins…

Il y en avait qu’étaient pas d’accord. Pas du tout.

‒ Tu parles qu’on les voyait pas, alors là…

‒ N’importe comment, elle, la connaissant…

Toujours est-il qu’au final ça a fait tout un tas de remous et que la directrice a décidé de convoquer un conseil de discipline pour éclaircir la situation et prendre, le cas échéant, les décisions qui s’imposaient.

Iourievna m’a fait un petit clin d’œil.

‒ C’est tout bénéfice pour toi, ça. Tu seras peut-être pas la première de l’année finalement… Et, si ça tombe, on va complètement t’oublier.

‒ Si seulement tu pouvais dire vrai !

 

On était une bonne cinquantaine à attendre, devant le portail, le résultat du conseil. Qui a duré près de trois heures. Quand Léa, notre déléguée de classe, a enfin fait son apparition, tout le monde s’est précipité, l’a entourée.

« Alors ? Qu’est-ce qu’ils ont dit ?

‒ Vous m’étouffez…

Elle a attendu qu’ils s’écartent un peu, que tout se calme, que le silence se fasse.

‒ Bon, ça y est ? Vous y êtes ? Alors voilà ce qui a été décidé.

Pour avoir eu une tenue et un comportement indécents, Flavie était condamnée à recevoir vingt coups de martinet sur les seins en présence de la directrice, de sa secrétaire, Mary P, de notre professeur principal, François F., de l’infirmière Laëtitia F et des deux religieuses, Jolanta O. et Weronika S., habituellement chargées de l’exécution des sentences.

Elle s’est redressée, toute fière.

‒ Mais cette fois, c’est moi qui vais cingler… Jeudi prochain ce sera.

Ça a protesté de tous les côtés. Pourquoi elle ? Et puis pourquoi ce serait pas devant tout le monde comme d’habitude ?

Elle a haussé les épaules.

‒ C’est comme ça, un point c’est tout.

Bon, mais… et Makary D. ? Il avait été décidé quoi pour lui ?

‒ Cinquante coups de palette à fessée. Le lendemain ce sera. Le vendredi.

‒ Devant tout le monde ?

‒ Non. Seulement les élèves de sa classe.

‒ Hein ? Mais c’est dégueulasse ! Pourquoi on est privés, nous ?

‒ C’est pas moi qui décide. Alors, si ça vous convient pas, vous pouvez toujours aller protester auprès de la directrice. Vous verrez bien…

Elena s’est penchée à mon oreille.

‒ T’es dans sa classe, toi ! T’as un de ces pots. Tu nous raconteras, hein !

‒ Évidemment ! Ça coule de source. »

 

Entre Léa et Flavie c’était depuis longtemps à couteaux tirés. Une sombre histoire de mec à laquelle personne n’avait jamais compris grand-chose. Elle jubilait du coup, Léa, d’avoir à la punir et elle a passé les jours suivants à la traquer dans la cour.

« Alors ? T’appréhendes pas trop ?

Flavie ne répondait pas. Elle baissait la tête, essayait de s’enfuir.

‒ Mais reste là ! Où tu veux aller comme ça ? Et tu m’as pas répondu. T’appréhendes pas trop ? Si, hein ! Oh, ben, tu peux ! Tu peux… Parce que je peux te dire que je vais te la faire pousser, la chansonnette. Et que t’auras pas envie de te les mettre à l’air d’un moment, les nénés. Ils vont morfler.

Flavie serrait les poings. Elle prenait sur elle, ça se voyait, pour ne pas pleurer, pour ne pas lui faire ce plaisir.

Quand ça a enfin été le grand jour, le jeudi, à dix-sept heures, Léa est venue la chercher, aussitôt les cours terminés.

‒ Allez, en scène ! Tu me suis, ma chérie…

Flavie a eu un mouvement de recul.

‒ Allons ! Sage ! Sage ! Sinon…

Elle l’a prise par la nuque, poussée devant elle. Et elles ont disparu.

Iourievna a soupiré.

‒ Quand je pense qu’on va louper ça !

‒ Il y aura le film. Et, connaissant Léa, on va l’avoir sans tarder. »

 

On finissait de dîner.

« Tiens, qu’est-ce que je te disais !

On a souhaité le bonsoir aux parents.

‒ On a des devoirs à faire.

Et on s’est empressées de monter.

C’était bien le film. Qu’on a regardé côte à côte sur mon lit, cuisse contre cuisse.

Ça a commencé par la directrice qui a lu le rapport du conseil de discipline. On s’est impatientées.

‒ Allez, abrège !

Elle a enfin reposé ses papiers et ordonné à Flavie de retirer sa veste. Ce qu’elle a fait après avoir marqué un long temps d’hésitation. Puis sa chemise. Après un temps un peu plus long encore. Et elle s’est caché les seins avec les mains. Ce qui a agacé la directrice.

‒ Quand il s’agit de les laisser entrevoir à tes petits camarades dans la cour, tu fais pas tant d’histoires. Allez, arrête tes simagrées !

Ce qu’elle a fait, vaincue. Sous l’œil on ne peut plus attentif de François F.

Iourievna a murmuré.

‒ Regarde-le, lui ! Non, mais regarde-le ! Il en perd pas une miette.

L’infirmière, sous prétexte de vérifier qu’elle était bien physiquement en état de supporter sa punition, y est allée d’un examen extrêmement minutieux. Elle lui a palpé les seins, les lui a longuement soupesés tandis que Léa faisait claquer avec délectation son fouet à long manche tout en proclamant haut et fort qu’elle allait lui faire passer l’envie de recommencer.

Iourievna a constaté.

‒ Ils pointent, ses tétons.

C’était vrai. Et pas qu’un peu.

‒ Comment j’aurais honte, moi, à sa place !

‒ Mais elle a honte. Tu vois pas tous ces regards qu’elle jette tout autour d’elle ?

Et qu’elle jetait aussi en direction de la caméra.

L’infirmière a dit que c’était bon, qu’il n’y avait aucune contre-indication et elle a signé l’autorisation de correction. Alors Flavie a hurlé que non, non, elle voulait pas être fouettée, qu’elle le supporterait pas. Et elle s’est mise à supplier tout le monde. L’infirmière. La directrice. François F. Et même Léa.

Iourievna a secoué la tête d’un air écœuré.

‒ Elle est lamentable.

Sans tenir le moindre compte de ses protestations, Léa l’a attachée les bras en l’air à une poutre.

‒ Là ! Plus bouger maintenant. Juste chanter.

Elle a longuement fait attendre le premier coup.

‒ Prête ? Alors… feu !

Et elle a cinglé. Ce qui a arraché à Flavie un hurlement déchirant. Elle a aussitôt enchaîné. Elle visait juste. Régulier. De façon à couvrir les seins de longues stries brunâtres sur toute leur surface. Chaque coup les faisait ballotter et tressauter. Et Flavie hurlait. Elle hurlait tout ce qu’elle savait. Ce qui, à l’évidence, amusait follement Léa.

‒ Plus fort ! Plus fort ! On t’entend pas…

Et ce qu’appréciaient manifestement les assistants.

‒ T’as vu ? Il bande, François F.

La directrice, quant à elle, avait un petit sourire de satisfaction juché au coin des lèvres. Comme Mary P. Sœur Weronika S., elle, les yeux tout brillants, triturait nerveusement le cordon de sa robe de bure. Mère Jolanta S. Est venue proposer à Léa de la remplacer.

‒ Oh, non, non, c’est pas la peine.

Et elle a donné les derniers coups. Du plus fort qu’elle a pu. Encore des hurlements. Des supplications.

‒ C’est fini.

Comment elle était marquée !

‒ Ah, ça, elle va déguster un moment…

Ce sont les sœurs qui l’on détachée.

‒ Tu te comporteras de façon décente désormais, ma fille ?

‒ Oh, oui, ma mère ! Oui.

Et Flavie est allée se réfugiée, en larmes, contre le poitrail de Mère Jolanta S. Qui lui a doucement caressé la tête.

‒ Là ! Là ! C’est tout. C’est tout.

Elle l’a aidée à renfiler sa chemise. Avec mille précautions. Et l’infirmière l’a emmenée.

Iourievna a proposé.

‒ On remet au début ?

‒ Si tu veux, oui. Et puis après je l’enverrai à Théo. Qu’il en profite, lui aussi…



Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 40 2ème partie
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 41 1ère partie

Et la suite ?

François nous la prépare pour la semaine prochaine

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

2 commentaires:

  1. Bonjour François,
    Makary D., un adulte a bien choisi son école de formation. Il n'en revient pas d'apprendre que les mauvais élèves s'en prennent une lorsque ça devient nécessaire. Il se régale d'avance d'assister et de voir les petite jeune se faire fesser en public. Il n'en perdra pas une miette...
    Remarquez, quoi de plus sympa que de reluquer les petites minettes...
    Entre Léa et Flavie, ça fait des étincelles, car entre femmes, nous ne sommes pas tendres, de plus lorsqu'il y a une histoire de mec, là-dessous, c'est explosif...
    Durant la fouettée de Flavie, les hommes comme les femmes n'ont pas leurs yeux dans leurs poches. Ils profitent bien du spectacle. Léa, cette petite peste, ne donnerait pas sa place à la religieuse qui lui propose, tant elle est excitée et aime corriger sa camarade.
    Que les punitions soient filmées met du piment dans la vie des étudiants de Ste CROIX, qui peuvent à loisir mettre et remettre les exploits de leur camarades !
    Amitiés.
    Elena.

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  2. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
    Flavie ne s'attendait certainement pas à être, elle aussi, mise en position d'accusée. C'est pourtant bien ce qui lui arrive au motif qu'elle a arboré une tenue indécente dans l'établissement. Pour le plus grand ravissement de Léa qui occupe des fonctions de plus en plus officielles. Et comme il doit être humiliant pour les puni(e)s de se faire corriger par la déléguée de classe! Quant aux autres élèves, c'est une bénédiction pour eux que des films soient systématiquement tournés: même quand ils n'assistent pas à une punition en direct, ils y ont néanmoins accès. C'est même mieux dans un sens. Parce qu'un film on peut revenir en arrière, faire arrêt sur image, reprendre au début, etc.
    Amicalement.
    François

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