mardi 23 mars 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 17

QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

QUAND MARGARET REMET LES PENDULES A L'HEURE. 

 Géraldine ne s'était pas trompée. Margaret les attendait dans le salon, déterminée à régler cette histoire, selon sa méthode habituelle. Cela faisait un petit moment qu'elle n'avait pas flanqué de fessées à sa fille, c'était l'occasion idéale de la reprendre en main.

Walter l'avait mise au courant, par téléphone, du comportement scandaleux d'Andrew et de ses amis Anglais, au pair, eux aussi, dans des familles françaises. Bettina l'avait surpris, en plein après-midi, en sortie de Pub, dans un état que la morale réprouve ainsi que les ligues antialcooliques. Elle avait profité de l'aubaine pour le corriger elle-même, avec la complicité de Géraldine, qui, pour l'occasion, s'était dispensée d'en informer sa mère.

  Pour être complet, Walter avait précisé qu'il avait déjà corrigé Bettina, mais qu'elle en méritait bien davantage pour avoir comploté dans son dos.

– « Bien entendu, je n'ai pas de conseil à vous donner, avait-il ajouté prudemment.  Mais je pense que votre lascar d'étudiant et votre fille méritent aussi tous les deux, une punition exemplaire. Pas tous les deux pour les mêmes raisons, si j'ai bien compris, mais avec les même effets. 

 – Mais Walter, vous n'imaginiez tout de même pas que j'allais laisser passer ça ! Ici  comme ailleurs, ça marche à la fessée, vous le savez bien !

 – Oui Margaret, bien sûr ! »

 Walter était un honnête homme. Il tenait à ce que les choses soient claires et les sanctions justifiées. Il expliqua qu'Il était rentré plus tôt que prévu et avait surpris les deux femmes en pleine action.

 – «  Apparemment,  Géraldine n'a pas directement participé. Mais vous connaissez votre fille mieux que moi. Elle ne se serait pas gênée, pour flanquer, elle aussi, une raclée à  Andrew si elle en avait eu le temps.       

– Je ne vous le fais pas dire Walter, et merci de m'en avoir informé,  avait simplement répondu Margaret . Vous me dites qu'ils sont partis depuis trois quart d'heure. Je me demande bien ce qu'ils fabriquent, ils ne sont pas encore arrivés et vous habitez de l'autre côté de la maison. »

 Arnold, son mari, était en réunion de conseil d'administration. Elle était seule avec son fils  Sébastien, étudiant, en première année d'école de commerce, comme Rodolphe, et Gérôme. Robin était dans le même établissement mais sur une autre  filière. On ne peut pas dire que les performances scolaires des trois zigotos étaient brillantes. Gérôme en était aux cours particuliers d'anglais avec Patricia et de français avec sa sœur Anna, prof en fac de lettre. Quant à Rodolphe il désespérait, Clarisse, sa mère par une désinvolture chronique vis à vis des études. Sébastien venait de rentrer pour le Week-End avec un bilan de semaine à côté duquel la catastrophe de Tchernobyl  était un non-événement.

 Margaret, s'était servi un verre de l'excellent pur malt qu' Andrew avait offert en cadeau d'arrivée. Il en restait encore, malgré la claque que lui avaient mise Gladys et Patricia lors  de la magistrale séance de fessées du Dimanche précédent, pour fêter l'arrivée du jeune homme au pair. Elle le dégustait tranquillement dans le canapé, en feuilletant, distraitement, le dernier catalogue d'instruments de discipline de la maison Delaniaires.  A chaque petite gorgée, les glaçons tintaient dans le verre en même temps que les anneaux de son bracelet de poignet. Un son, clair et joyeux, qu'elle entendait avec plaisir, mais pas autant tout de même, que celui du claquement de sa main sur une paire de fesses déculottées. Niveau sensations, il n'y avait rien de comparable.

  Elle sirotait son Whisky et levait de temps en temps les yeux du catalogue pour contempler le gros derrière enluminé de son fils qu'elle venait de corriger. Vingt et un ans, et pas plus mature que les Gérôme, Rodolphe, Robin, du même âge, plus assidu à  ''  l'Olympic'' aux fléchettes et au babyfoot, que sur les bancs de l'Institut. Il était en pénitence sur le tabouret à fessées, bien en vue, au milieu du salon. Margaret l'avait fait asseoir sur les cuisses, le slip baissé, les fesses dans le vide, entièrement débordantes de l'assise, ce qui en développait encore les proéminentes rondeurs. La fessée avait été très cuisante, à la hauteur de la tricherie. Il avait signé à la place de sa mère, un contrôle qu'il devait lui montrer, noté zéro. Il avait bêtement copié sur Rodolphe, aussi nul que lui, lequel avait récolté un trois sur vingt.  Dans le genre association de mal-fauteurs, difficile de mieux faire pire...

 – « Alors mon chéri, ça cuit ? Dit Margaret en reposant son verre sur la table basse.  Elle était bonne ta fessée non et méritée ? Ça valait bien ton zéro de contrôle. Et ma main... tu l'as bien sentie ma main, claquer sur tes fesses ! »

  Sébastien se retourne, le visage en larme, et sanglote par-dessus son épaule.

 – « Oh oui... maman, oui... je...  je l'ai bien sentie, ta main... la fessée ! Mais c'est vrai...Je... je l'ai méritée

 – J'espère bien !  Elle reprend une petite gorgée de Whisky. Et pourquoi tu l'as méritée ta  fessée ?

 – Parce que j'ai triché maman, et... et  que j'ai imité ta signature …

 – Et bien, j'espère que cela va te servir de leçon. Tu vas rester là, sans bouger,  jusqu'à ce que ta sœur arrive … avec Andrew.

 – Oui maman...

 – Mais qu'est-ce qu'elle fabrique d'ailleurs ? Toujours à n'en faire qu'à sa tête. Après ce qui s'est passé cet après-midi. Elle va me payer ça, la petite garce ! »

 Margaret que la correction, pourtant sévère, administrée à son fils n'avait pas calmée, sentait monter une colère sourde, qu'elle se réservait de laisser éclater lors des corrections à venir. Elle a un retard de fessées à rattraper, notamment sur Géraldine qui a pris de l'avance impunément. 

Il y avait des règles à respecter dans l'exercice de l'autorité. Bien sûr, elle trouvait normal de sanctionner systématiquement les écarts de comportement et flanquer une bonne fessée à qui le méritait, c'était dans l'ADN de la famille. Mais quand  Andrew devait être puni, c'était d'abord à elle de le corriger. Il était placé sous sa responsabilité. Bettina n'avait pas à en prendre l'initiative et encore moins Géraldine qui aurait dû lui en parler avant de s'en rendre complice.  Elle allait avoir une petite discussion avec ses fesses pour lui rappeler qui  avait le pouvoir de décision dans cette famille.

 Et ça n'allait pas tarder. La porte de l'entrée s'ouvre brusquement.  Andrew, trébuchant,  tenant toujours son pantalon baissé, fait, le premier, irruption dans le salon, poussé par Géraldine.

 – « Voici notre héros du jour, claironne-t-elle en le propulsant vers sa mère d'une claque retentissante sur les fesses. Monsieur s'est déjà distingué au Pub avec ses petits camarades anglais ! 

 – Oui, je suis au courant... et c'est pour ça que tu arrives à cette heure-là ?  Elle désigne Andrew d'un geste du menton.  Et lui, qu'est-ce qu'il fait à se balader le pantalon baissé ? »

 Géraldine sait qu'elle est en défaut et que sa mère a appris ce qui s'est passé chez Bettina. Innocente comme le gigot d'agneau avant de passer au barbecue, elle feint l'étonnement et reste vague, en évitant de rentrer dans les détails.

 – « Ben maman, tu le vois bien, il a été puni... et j'ai pensé que la leçon serait plus efficace, en le ramenant  comme ça à la maison. »

 Margaret a un petit sourire narquois ;

 – « Tu dis, ''Il a été puni''... mais puni par qui ? »

Géraldine, ne se démonte pas et continue avec aplomb . 

 – « Et bien par Bettina ! C'est elle qui l'a surpris devant le Pub et qui a décidé de le corriger elle-même ! Tu la connais Bettina elle ne rate pas une occ...-        

– Et toi tu n'as rien à voir là-dedans ?

 – Je te jure maman !! J'ai récupéré Andrew quand il sortait de chez elle. »

 Elle n'évoque même pas sa rencontre avec madame Baufaissier et la fessée qu'elle a administrée à son mari. Margaret change de ton.

 – Et bien tu ne manques pas de culot ma petite !  Walter t’a surprise, chez lui, un tube de Dolpic et un martinet entre les mains,  Andrew sur les genoux de Bettina, pour ce qui avait l'air d'une  deuxième fessée.  Non seulement tu ne l'en as pas dissuadée, mais tu l'as encouragée.  Et je suis sûre que si son mari n'était pas arrivé à l'improviste, tu lui en aurais flanqué une à ton tour, et ce, sans mon autorisation ! Car c'est à moi que revient la responsabilité de corriger Andrew quand il le mérite. Quant à ta copine Bettina, elle s'est mêlée de ce qui ne la regardait pas.  Tu comprends ça ? ».

 Géraldine se sent un peu coincée. Elle se mord  les lèvres en cherchant une réponse, lorsqu'elle aperçoit les fesses rouges de son frère en pénitence sur le tabouret à fessées. Captée par la conversation avec sa mère, elle n'y avait pas encore prêté attention.

 – « Et mais dis donc, on dirait que tu en as encore mis une bonne à Sébastien. Tu lui as sacrément bien rougi les fesses ! Qu'est-ce qu'il a encore fait...ou pas fait  ?

 – N'essaye pas de changer de sujet ! Ça ne prend pas ma petite ! On a décidé, Walter et moi, que vous aviez mérité une bonne leçon. Chacune sa fessée à la maison et une deuxième séance toutes les deux en même temps, chez eux. »

 Géraldine, que la  mauvaise foi n'étouffe pas, proteste vigoureusement en tapant du talon aiguille sur le sol.

 – « Mais maman, toi tu as bien fessé Sébastien, alors que tu m'as toujours dit que, maintenant, c'est moi qui m'en chargerais.

 – Oui, mais ne t'en déplaise, c'est moi qui prends les décisions . Et je te signale que tu n'étais pas là pour t'occuper de ses fesses ! Maintenant, ta copine et toi vous allez regretter vos petites combines. Et toi, en plus, tes mensonges répétés ! Vous allez vous en souvenir crois moi ! »

 Géraldine se dit qu'il était inutile d'insister et préparait mentalement ses fesses. La perspective de recevoir une fessée ne l'impressionnait pas plus que ça. Elle était habituée, depuis longtemps, à sentir la main de sa mère claquer sur ses fesses et, un peu comme  Bettina, elle éprouvait de voluptueuses sensations à se faire sévèrement chauffer l’arrière-train. Les cuisantes déculottées de sa vicieuse Tante Astrid, avec gingembre ou manche de martinet enfoncé dans le derrière, lui avait fait découvrir une palette d'émotions fortes encore plus riche. La perspective d'une bonne séance de fessées n'était pas pour lui déplaire et il fallait des circonstances vraiment particulières pour lui impressionner le derrière . Elle n'en était pas loin, avec l'annonce d'une fessée commune avec Bettina, chez elle. Ça sentait la grosse raclée.

 Ses craintes furent immédiatement confirmées par la colère, jusque-là contenue, avec laquelle Margaret haussa soudain le ton.

 – « Il va falloir aussi, Géraldine, que tu perdes l'habitude de contester sans arrêt.  Tu ne fais qu'aggraver ton cas. Amène-moi plutôt tes fesses ! Règle numéro un : C'est maman qui décide des fessées à administrer ! » 

 Sébastien, qui ne perd pas une miette de la conversation, s'est retourné et, par-dessus son épaule, lance un regard vengeur vers sa sœur.  Andrew planté au milieu de la pièce n'ose pas bouger et attend qu'on lui dise quoi faire. Il a bien compris que ce n'était pas le moment de la ramener, en plein règlement de compte entre la mère et la fille.

 En moins de temps qu’il ne faut pour le réaliser, Géraldine se retrouva, à plat ventre sur les genoux de sa mère, déculottée en un tour de main, le derrière en l’air, bien arrondi. Loin de se montrer récalcitrante, elle présenta spontanément  son postérieur dans la “bonne position” requise pour une fessée.  Les seins plantureux à moitié échappés du chemisier, les jambes gainées de nylon, prêtes à battre l’air en envoyant valser les talons aiguille et le slip tendu en travers des cuisses, à mi-chemin entre les fesses et les genoux.

 Ô temps suspend ton vol, Margaret suspend celui de sa main, levée au-dessus du fessier à corriger, et interpelle Andrew qui ne sait toujours pas s'il peut se reculotter ou non.

 – « Et bien mon ami, qu'est-ce que vous faites planté là ? Je ne vais pas vous faire le cadeau d'assister à la punition de ma fille. Montez dans votre chambre, en attendant votre tour ! Aller en vitesse!    

– Yes Ma'am ! Yes ! »        

Il ne se fait pas prier et grimpe l'escalier en retenant son pantalon à deux mains.

 – « Quant à toi Sébastien, tourne-toi et regarde bien la fessée que je vais administrer à ta sœur. Juste un avant-goût de ce qui pourrait à nouveau tomber sur les tiennes ! »

 Géraldine, s'est installée confortablement sur les genoux de sa mère, comme on s'allonge sur un canapé pour lire, lui offrant complaisamment  sa magnifique paire de fesses déculottée, bien rondes, encore blanches un peu rosées, que plus rien ne dissimulait aux regards. Provocante, elle expose  sa croupe volumineuse sans aucune pudeur et sans protestation  afin d’être corrigée le plus efficacement possible ...

 C’était la première fois que Sébastien, sollicité par sa mère, pouvait profiter pleinement de ce spectacle qui le réjouissait sans la moindre nuance de compassion. C'était pour lui comme une petite revanche, par rapport à toutes les terribles fessées que sa sœur lui infligeait régulièrement, d'assister à celle qu'elle allait recevoir.  Il éprouvait un plaisir décomplexé à épier le moindre frémissement de la belle peau lisse, la moindre contraction des globes fessiers ou de la raie offerte indécemment aux regards. Le derrière déculotté, en attente de la fessée imminente,  semblait déjà anticiper les claques qui allaient lui tomber dessus !

 Margaret  en accentua l'arrondi en faisant pression sur les reins et commença  l’administration de la fessée …Elle avait concentrer son énergie et son désir de corriger sa fille depuis l'arrivée de celle-ci, car les claques s’abattirent aussitôt avec force et un bruit retentissant qui emplit la pièce. Tout en fessant avec ardeur elle la sermonne.

– « Alors tu la sens bien ta fessée ? Elle te les chauffe bien tes grosses fesses ? tu vas t’en souvenir de cette déculottée je te le garantis ! Je vais t'apprendre à me désobéir moi, petite prétentieuse ! »

Géraldine se contente de serrer les dents, en tendant son derrière dans une attitude provocante, comme pour défier sa mère en lui montrant qu'elle pouvait supporter sa fessée sans broncher, du moins pour l'instant. Le souffle court, les mains plaquées au sol, elle tortille du derrière en rythme, comme pour accompagner la tombée régulière des claques. Peu à peu, les sanglots et les plaintes, commencent d'ailleurs à se faire entendre témoignant de la sévérité de la correction et aussi de l'expression du plaisir et de la douleur mêlés de Géraldine, friande de sensations fortes. De ce côté-là elle est plutôt bien servie.  

 Le  spectacle fascinait tant Sébastien qu'il en oubliait même que sa mère lui avait annoncé une deuxième fessée. Il n’éprouvait  aucune gêne et encore moins de complaisance à voir cette magistrale fessée s’abattre sur la croupe écarlate de sa sœur qui se trémoussait follement. Il se régalait plutôt, à la voir recevoir à son tour une fessée magistrale qui en quelque sorte la remettait au même niveau que lui. Elle l’encaissait par contre dans une attitude de défi, et il était clair qu’elle savait, en la circonstance, montrer davantage de courage ou de fierté que lui-même ou les Rodolphe, Gérôme ou Robin dans la même situation. Elle avait droit, comme eux, à une bonne fessée , bien sévère , bien appliquée sur son volumineux fessier déculotté, mais cela ne semblait pas lui faire le même effet qu’à n’importe lequel d’entre eux.  Les petits gémissements qu'elle émettait ne ressemblaient pas tout à fait à ceux qu'on pousse d'habitude quand on reçoit une grosse fessée. Il n'en percevait pas encore bien la raison et ne cherchait pas trop à comprendre. Géraldine était pour lui, et avant tout, une menace permanente pour ses fesses, depuis que sa mère lui avait confié la responsabilité de ses punitions. Et c'est fou comme elle  s'en sentait responsable. Pour le moment c'est sur ses fesses que ça se passait.

 Margaret fessait avec une diabolique précision, claquant tour à tour chaque fesse avec force, bien en rythme, pour accentuer les trépidations du derrière, ou insistant longuement sur une fesse, puis sur l'autre, rendant la fessée encore plus douloureuse. Géraldine commençait à en sentir la cuisson s'intensifier, au-delà de ce qui lui procurait d'émouvantes sensations et lui aurait fait mouiller sa petite culotte si elle avait encore eu les fesses dedans.

 Margaret, connaissait  très bien les réactions de sa fille.

 – « Alors, ça commence à chauffer dur? On fait moins la fière maintenant,  n'est-ce pas mademoiselle '' la fessée, même pas peur ''  Ce n'est  pas la même chanson quand c'est maman qui fesse !  

Fessée déculottée

Géraldine, pourtant en mauvaise posture, continue de répondre pour ne pas laisser le dernier mot à sa mère.

– Oh, mais... Aaaaaaîe !   tante Astrid aussi... Ouuuille !!  elle fesse bien … elle aussi tape fort ! »

 Elle serre rageusement les fesses pour les rendre plus dures sous l'avalanche de claques que Margaret lui expédie sur le derrière à toute volée. Elle l'a reculottée et l'a fait changer de position pour l'avoir à genoux sur le sol entre ses jambes, la tête passée sous sa cuisse, le derrière épanoui, mieux exposé à sa main.  

– Comme ça tu seras moins tentée de durcir ton derrière !  Et de tout façon, ce n'est pas ça qui va m'empêcher de te le corriger comme je veux. Je peux taper encore plus fort tu sais ! Parce que je vais te les dresser moi tes grosse fesses d'insolente ! Ça va  t'apprendre à désobéir et à mentir !

Géraldine n'a plus du tout envie de résister. Elle prend un ton doucereux pour faire acte de contrition et faire semblant de se soumettre pour abréger sa correction.

– « Pardon maman,  pardon ...  je ne désobéirai plus jamais, dit-elle sur un ton pathétique, des sanglots forcés dans la voix. Tu m’as bien corrigée, j’ai reçu une bonne fessée , j’ai bien compris la leçon … »

Margaret semblait décidée à rester inflexible.

– « Tiens donc, on dirait soudain que ta raclée te fait du bien. Mais je te connais par cœur ma petite. Des promesses, toujours des promesses... pour protéger tes fesses !

Encore une dizaine d'allers et retours tonitruants et elle la libère de l'étreinte de sa cuisse. Elle en ressort le visage pas loin de la rougeur éclatante de son postérieur en feu, et se relève, l'esquisse d'un petit sourire narquois sur les lèvres. Du genre ''même pas mal, mais quand même'' !

– « Oh la, la, maman, tu m'as mis une sacrée fessée ! Dit-elle en se frottant le derrière à travers son slip qui ne l'a pas vraiment protégé des claques. Au début, c'était bien, mais après t'as tapé vraiment fort... ça me cuit jusqu'au fond de la raie !

Peut-être pas assez finalement , répond Margaret pas dupe. C'est plus fort que toi, hein, il faut toujours que tu fasses ta maline. Ta prochaine fessée sera encore meilleure, avec le manche de ton martinet dans le derrière !

– Rôôôôh, maman...Pas celui avec le gros manche, quand même !

– Je ne te demanderai pas ton avis ma petite. Maintenant va me chercher Andrew j'ai aussi un compte un régler avec lui.  »

Elle réfléchit quelques secondes avant de changer d'avis.

– «  Et puis non, je m'occuperai de lui demain. J'aurai plus de temps à consacrer à ses fesses. Je préfère que tu gères ton frère. »

Elle se tourne vers Sébastien, impressionné par la formidable fessée que sa sœur vient de recevoir, sans plus broncher que ça. Elle s'est déjà reculottée, bien serré et a plutôt l'air de savourer l'effet de cuisson qui lui réjouit l'entre cuisses.

 – « Toi, monte dans ta chambre, et refais-moi le contrôle qui t'a valu un zéro ! Et gare à tes fesses si c'est mal fait. C'est Géraldine qui s'en chargera. Et tu connais ta sœur, elle a la main lourde, surtout dans l'état d'excitation où elle est après une déculottée.»  



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 16

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    "Association de "mal-fauteurs" (excellent).
    "En ce jour Mardi 23 mars de l'An de grâce 2021, après réunion du conseil de famille et après 10 minutes de délibération maternelle, la sentence est prononcée. Exécutable immédiatement. La fautive sera punie de la grosse fessée maternelle administrée sur la partie la plus honteuse de son anatomie de la main de sa mère Margaret Elizabeth Martine Het épouse Delaniaires."
    La fessée est toujours une affaire de famille. Non ?
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  2. Amis de la poésie et de la fessée maltaise... bonjour,
    Hello Ramina.
    Cette fois, c'est règlement de compte à OK coral. Margaret dégaine son martinet en buvant son whisky et fesse plus vite que son ombre. Une vraie lucky fesseuse... Son surnom est connu dans tout l'Ouest, c'est Calamity Margaret, voire la dixième plaie d'Egypte, j'hésite encore entre les 2.
    Dans la famille fesseuse, après la mère, je veux la soeur... Les garçons ont intérêt à se tenir à carreaux, car le martinet va encore être de sortie... Et bien enfoncé, telle une banderille sur le dos d'un taureau. Olé !
    Amitiés.
    Elena.
    Sébastien et Géraldine sont les victimes de Lucky Ma'am !

    RépondreSupprimer
  3. Bonjours Elena,Peter, et les autres... Il doit bien y en avoir.

    Ah mes amis, comment l'esprit vient aux fidèles lecteurs!!
    Merci, pour ce festival de références, jeux de mots et commentaires aussi savants que drôlatiques, genre Western disciplinaire, voire biblique avec la dixième plaie d'Egypte pour fessée pyramidale!
    Règlement de compte à "OK Coral" , " Lucky Ma'am" certes, mais aussi "Lucky Stricte"... ( D'accord un peu fumeux le jeu de mot! )
    La fessée "une affaire de famille" (Eric Klapisch), comme dit Peter, sauf qu'en matière de fessier je dirais plutôt la partie la plus "glorieuse" de l'anatomie! Surtout quand il s'agit des fesses de Géraldine!(rire)
    Et comme une fessée n'arrive jamais seule, telle la banderille sur le dos du taureau, chère à Elena, il est probable que le manche d'un martinet, habilement manié, devrait retrouver une place de choix, planté au centre d'un beau derrière en cours de cuisson! Le rouge et le noir!
    Amicalement
    Ramina
    -- Euuh, j'ai pas compris le coup de la fessée Maltaise (?) ELisabeth Martine Het... non plus... ça doit être la Covid!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ah le COVID, quand tu nous tiens...
      En référence au whisky pure malt ! Et dans l'univers du western, le pure malt y tient une place de choix. Un petit verre de whisky et on dégaine le 6 coups, voire le six lanières...
      Amitiés.
      Elena.

      Supprimer
  4. Hello Ramina,

    Fameux (ou fumeux, Rires) le jeu de mot : Martine-Het = Martinet !
    La fessée Maltaise ? Fessée insulaire (comme le "Perfide Albionais")?ou encore : fessée teintée du breuvage des Pictes : le Pur Malt ?
    5merci pour la référence cinéma ! )
    Amicalement . Peter.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.